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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. herciv

    Le F-35

    Les UK dégage 1,4 milliard de livre (1,9 milliard de dollar US) pour acheter entre 12 à 16 F-35 B complémentaires au 48 existants. Ce que je comprend c'est qu'il y a un budget mais il reste à négocier (?) https://www.shephardmedia.com/news/air-warfare/uk-funds-additional-f-35-squadron-but-doubts-still/
  2. Il joue à quoi ? On a l'impression d'avoir sortie bozo le clown de sa naphtaline. Il a des choses à faire oublier ?
  3. Intéressant : La crise en elle-même est intéressante financièrement pour les Russes. Sur le stricte point de vue balance des paiements ils ont intérêt à faire durer.
  4. Video du largage et explication du mode d pilotage autonome ou à distance : http://www.opex360.com/2022/02/22/pour-la-premiere-fois-un-avion-de-transport-a400m-a-largue-un-drone-en-vol/
  5. Donc Invasion de toute l'Ukraine. Poutine se fout des sanctions et accepte par avance d'être le grand responsable du monde qui nous attends pour les 50 prochaines années. Désolé pour les Ukrainiens. Mais ils sont seules. Nous avons maintenant plus beaucoup de choux. Les modèle US des lois extraterritoriales va s'imposer partout.
  6. Comment la Belgique réagit ce matin ? Et la Hollande ?
  7. Tu es plus optimiste que moi. Tu penses que KAMALA HARRIS et BOJO bluffaient quand ils parlaient de niveau de sanction jamais atteinds ?
  8. Dans l'OTAN à part la France et dans une moindre mesure l'Allemagne je ne vois pas bien les critiques.
  9. Le bloc occidentale va prendre des mesures dont les principales seront l'accès à SWIFT et la généralisation des lois et normes extraterritoriales US. La grosse inconnu sur ce bloc c'est la prise en charge de la dette US. Comment on va payer cette dette sans la Chine ? Globalement il y a de forte raison de penser que les impôts et les inflations vont repartir à la hausse partout.
  10. @Akhilleus pensait que çà dépendrait du niveau de sanction pour que çà en reste là. Je regarde les réaction internationales et les réactions occidentales vont pas dans le sens d'un apaisement.
  11. Sur Europe1 un article étonnant. Propagande chinoise ? Sébastien Le Belzic (à Pékin), édité par Solène Leroux 06h20, le 22 février 2022, modifié à 06h28, le 22 février 2022 https://www.europe1.fr/international/crise-en-ukraine-pekin-a-fond-derriere-moscou-et-contre-washington-4095267 La Chine vole au secours de son allié russe et défend ses positions sur le dossier ukrainien. => Pour l'instant à l'ONU les réactions chinoise sont aussi mesurées que les indiennes Un front sino-russe qui inquiète les Occidentaux et notamment les Américains qui voient dans cette alliance de circonstance une occasion pour ces deux puissances d’imposer leurs modèles autoritaires. Dans le conflit russo-ukrainien, un pays se tient aux côtés de la Russie : la Chine. Un front sino-russe qui inquiète les Occidentaux et notamment les Américains qui voient dans cette alliance de circonstance une occasion pour ces deux puissances d’imposer leurs modèles autoritaires. Il y a deux semaines, lors de l'ouverture des Jeux olympiques de Pékin, Vladimir Poutine se tenait aux côtés de son grand ami Xi Jinping. Les Jeux sont terminés, mais l'alliance entre les deux pays est plus forte que jamais. La Chine vole au secours de son allié russe et défend ses positions sur le dossier ukrainien. Il faut respecter le point de vue de Moscou, affirme Wang Yi, le ministre chinois des Affaires étrangères, qui en profite pour taper sur l'Alliance atlantique. "L'Otan est le résultat de la guerre froide. Elle doit s'adapter à son époque", a-t-il affirmé. "La guerre froide est terminée depuis longtemps. L'expansion de l'Otan à l'Est serait-elle propice au maintien de la paix et à une stabilité durable en Europe ? C'est une question à laquelle nos amis européens doivent sérieusement réfléchir", a conclu Wang Yi. Un risque pour Taïwan Le président chinois est opposé à tout élargissement de l'Alliance atlantique et accuse les États-Unis de souffler sur les braises. À Pékin, on surveille de près l'évolution de cette crise. Car si Vladimir Poutine venait à envahir l'Ukraine, sans réaction des Américains, ce serait considéré comme un feu vert à la prise de Taïwan par la Chine communiste. => de deux choses l'une, soit les US interviennent mais se dégarnissent en Indo-Pacifique, soit les US n'interviennent pas et c'est un signal de faiblesse. Aucune des deux approches n'est la bonne à elle seule.
  12. Quelques réactions internationales. L'Europe suit la voie de l'OTAN. L'Inde tempère comme la Chine. Macron tente de limiter les déclarations de sanction trop forte. Les principales réactions à l'annonce de Poutine sur l'Ukraine AFP / le 22 février 2022 à 07h47 Le président russe Vladimir Poutine a reconnu lundi soir l'indépendance des régions séparatistes prorusses de l'Est de l'Ukraine. Voici les principales réactions à cette nouvelle étape majeure dans la crise russo-ukrainienne en cours. - ONU - La secrétaire générale adjointe de l'ONU pour les Affaires politiques, Rosemary DiCarlo, a vivement "regretté" la décision de la Russie. "Les prochaines heures et jours seront critiques. Le risque de conflit majeur est réel et doit être évité à tout prix", a-t-elle affirmé lors d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité dans la nuit de lundi à mardi. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a dit considérer la décision de Moscou "comme une violation de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de l'Ukraine". Elle est "incompatible avec les principes de la Charte des Nations Unies", a-t-il dénoncé dans un communiqué. - ETATS-UNIS - La décision du président Poutine contredit "l'engagement de la Russie envers la diplomatie" et mérite une réponse "ferme" et "rapide", a déclaré le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken. - FRANCE - Le président français Emmanuel Macron a condamné lundi la décision de Vladimir Poutine et réclamé des "sanctions européennes ciblées" contre Moscou. - UNION EUROPEENNE - L'UE a qualifié la reconnaissance des régions séparatistes de "violation flagrante du droit international" et va sanctionner "les personnes impliquées dans cet acte illégal". "Cette mesure constitue une violation flagrante du droit international ainsi que des accords de Minsk. L'Union réagira par des sanctions à l'encontre des personnes impliquées dans cet acte illégal". - OTAN - Le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, a "condamné" la décision : "Les Alliés demandent instamment à la Russie, dans les termes les plus forts, de choisir la voie de la diplomatie, de renoncer immédiatement à son renforcement militaire massif en Ukraine et autour de l'Ukraine, et de retirer ses forces conformément à ses obligations et engagements internationaux". - ALLEMAGNE - La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a estimé que Vladimir Poutine "renie tous ses engagements" vis-à-vis de la communauté internationale. "Nous mettons expressément en garde contre toute nouvelle escalade militaire de la part de la Russie", a-t-elle ajouté. - ROYAUME-UNI - Le Premier ministre britannique Boris Johnson a dénoncé "une violation flagrante de la souveraineté" de l'Ukraine et une "répudiation" des accords de paix de Minsk. Sa cheffe de la diplomatie, Liz Truss, a prévenu dans la foulée que la "violation" par la Russie de ses engagements internationaux ne resterait pas "impunie". - CHINE - Pékin n'a pas condamné explicitement la Russie et appelé lundi les acteurs de la crise ukrainienne à "faire preuve de retenue et à éviter toute action susceptible d'alimenter les tensions". - JAPON - Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a "fermement condamné cette série d'actions russes", affirmant qu'elles violent la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Ukraine: "Si une invasion se produit, nous coordonnerons une réponse forte, y compris des sanctions, en concertation avec le G7 et la communauté internationale". - POLOGNE - Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a déclaré que la décision "équivaut à un rejet du dialogue et à une violation flagrante du droit international". - LITUANIE - La décision de Moscou "prouve un mépris total du droit international et des chartes de l'ONU", a réagi Gabrielius Landsbergis, le ministre lituanien des Affaires étrangères. "Je reste convaincu qu'une telle escalade doit être sanctionnée". - INDE - L'ambassadeur de l'Inde aux Nations unies a appelé "toutes les parties à la retenue". "La priorité immédiate est la désescalade des tensions (...) Nous sommes convaincus que cette question ne peut être résolue que par le dialogue diplomatique", a déclaré l'ambassadeur T.S. Trimurthi. - AUSTRALIE - Le Premier ministre Australien Scott Morrison s'est dit favorable à l'adoption de "sanctions fortes et sévères à l'encontre de la Russie". - ALBANIE - "Qui est le prochain" à devoir être envahi?, s'est interrogé l'ambassadeur albanais à l'ONU, Ferit Hoxha
  13. Certains site web de l'ONU rencontre des problèmes. Serait-ce du à une fréquentation très à la hausse ? https://news.un.org/fr/
  14. Vu les efforts des US pour arriver à ancrer cette Scandinavie (vente de patriot à l'un ou de F-35 à l'autre avec récent refus d'adhésion à l'OTAN poar le président finlandais) c'est plutôt l'inverse qui arrive.
  15. Comme tu dis il n'y aura pas isolement mais il n'y aura plus ouverture comme il y a eu jusqu'à maintenant. Des barrières, financière, en particulier vont se lever et isoler des blocs plus ou moins hermétiquement. Le bloc Indo-arabique pouvant servir de tampon. Je n'arrive pas à savoir comment l'Europe va se positionner. Certe il y a rejet du bloc russe mais va-t'on adhérer sans réserve au point de vue US ? N'a-t'on pas intérêt à une position plus conscensuelle dans le bloc Indo / arabique comme la Gréce ou Israël semble montrer le chemin ?
  16. Bon alors on a un bloc Russie / Chine sur lequel les échanges avec lequel les échanges vont commencer à se limiter. Si vous identifiez des partenaires potentiel à ce bloc. N'hésitez pas à complèter la liste. Algérie, Nicaragua et finalement pas mal de pays d'amérique centrale / Sud pour moi, dont l'Argentine !! De nombreux pays africains pourrait aussi basculer nombreux venant de la France_Afrique. Suffit de regarder ou Wagner est positionné.
  17. L'article se pose plein de question. Il parle d'Irak et d'Arabie Saoudite pour refermer rapidement l'hypothèse. L'un pour ces problèmes de budget, l'autre parce que le contrat SAWARI est douloureux pour les saoud. Cabirol escompte seulement un mouvement des indiens sur le rafale marine avant la fin de l'année ou une commande grecque ou égyptienne complémentaire. Bref Il suppute comme nous. Seulement une info les US ne veulent pas du rafale en Irak.
  18. Je viens de regarder LCI. C'est bien j'ai l'impression qu'ils sont aussi peu d'accord que nous. Le directeur de l'IFRI pense que Poutine s'arrètera au DOMBASS. Un autre que non ...
  19. 200000 hommes pour prendre le DONBASS c'est difficiles à croire. Je pense également que c'est l'Ukraine la cible. @Akhilleus le voit diffremment moi je pense que le niveau de sanction est déjà fixé par les US (voir les différentes intervention des officiels US) et par les européens. Donc Poutine n'aura rien à perdre. Il ira jusqu'à KIEV. voilà mais maintenant qu'on sait que Poutine ne bluffe pas ni ne craint les sanction on a encore une chance que Zelensky tergiverse en faveur de la finlandisation.
  20. Macron s'est fait ridiculiser par les US et la Russie le même jour ni plus ni moins. Le coup de la conférence organisée par Paris mais dans laquelle la France n'existe pas c'est parlant quand même.
  21. C'est çà que j'attendais de Macron. Mais entrainer les européens derrière lui ne doit pas être une sinécure. Maintenant on est tous au pied du mur. Alors réaction coordonnées purement européenne ou pas ?
  22. Oui je sais je m'emballe. Pourtant admet que çà sent pas bon et que l'économie va en prendre un méchant coup. La question c'est combien de temps çà va durer pour qu'on s'habitue.
  23. Et cette liste là ils vont faire quoi ? "Avant l'entrée de l'Argentine, un total de 19 pays d'Amérique latine et des Caraïbes (ALC) avaient adhéré au projet "ceinture et route", à l'exception notable du Brésil, du Mexique, de l'Argentine et de la Colombie, les plus grandes économies de la région. Le président de l'Équateur, Guillermo Lasso, qui a rompu ses relations diplomatiques avec Taipei en décembre, a également rencontré Xi pendant les Jeux olympiques, apportant un protocole d'accord entre les deux parties destiné à ouvrir la voie à un accord commercial à la fin de l'année, ainsi qu'à favoriser les liens économiques par le biais de l'initiative. La Chine a dépassé le Brésil en tant que premier partenaire commercial de l'Argentine en avril et est un acheteur important de soja et de bœuf argentins."
  24. Ok pour çà mais les russes sont prêts si ils s'agit de sortir de SWIFT : Article d'avril 2021 suite à des exercices russes à la frontière : https://caspiannews.com/news-detail/russia-says-its-ready-for-disconnection-from-swift-2021-4-30-0/ Alors que Bruxelles serre la vis à la Russie en menaçant de couper le pays de l'un des moyens les plus rapides et les plus sûrs de recevoir et d'envoyer de l'argent par virement bancaire électronique, Moscou se prépare à toute éventualité en cas de fermeture. Andrey Krutskikh, envoyé spécial du président russe pour la coopération internationale en matière de cybersécurité, a fait savoir que Moscou était prête à réagir si la Russie était déconnectée du réseau mondial de paiement SWIFT. Toutefois, selon lui, les menaces de déconnexion de la Russie du système SWIFT ont peu de chances de se réaliser. "En ce qui concerne l'assurance technologique et militaro-politique contre la déconnexion, il faudrait demander aux spécialistes spécifiques de ces domaines", a déclaré mercredi M. Krutskikh, cité par Gazeta.ru. "Mais notre train blindé se tient sur la voie de garage, et, bien sûr, nous avons pleinement confiance en notre force et en la puissance de notre réponse." La Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication, ou simplement SWIFT, est un réseau mondial de transactions qui relie plus de 11 000 banques opérant dans au moins 200 pays. SWIFT est une société coopérative de droit belge détenue par ses institutions financières membres ayant des bureaux dans le monde entier. En début de semaine, le Parlement européen a appelé à des mesures coordonnées sévères contre la Russie, notamment la déconnexion de SWIFT. Les responsables européens ont accusé la Russie de ce que Manfred Weber, chef parlementaire du Parti populaire européen (centre-droit), a appelé "la poursuite de provocations dangereuses" et "le renforcement de la présence militaire autour de l'Ukraine orientale". Les craintes que la Russie soit coupée du système mondial existent depuis la crise ukrainienne de 2014. La même année, les États-Unis et l'Europe ont imposé des sanctions contre la Russie visant de multiples secteurs, notamment des sanctions financières. Les menaces d'interdire à la Russie d'utiliser le système international d'échange d'informations financières sont réapparues ces dernières semaines dans un contexte de dégradation des relations entre le Kremlin et l'administration Biden, Washington ayant infligé de nouvelles sanctions à Moscou et menaçant de prendre des mesures de suivi. En coupant les banques russes du système SWIFT, les pays occidentaux pourraient avoir pour objectif de faire échouer les opérations de paiement russes et de perturber ainsi les activités économiques intérieures et extérieures du pays. Pour contrer les sanctions américaines et européennes et protéger sa sécurité financière, la Russie a commencé à développer une alternative au système de paiement SWIFT basée sur une nouvelle plateforme technologique. Auparavant, dans une interview accordée à RIA Novosti, Alexander Pankin, directeur adjoint du ministère russe des affaires étrangères, a expliqué que les futures alternatives à SWIFT seraient plus avancées et ne dépendraient pas d'un monopole. L'émergence de ces options sera "non seulement une réaction à la situation géopolitique actuelle, mais aussi une réponse à la nécessité de moderniser les méthodes de paiement existantes en utilisant les meilleures innovations numériques." Dès 2014, la Banque centrale russe a lancé son système de transfert de messages financiers (SPFS) qui a été mis en service en 2015. Le principe de fonctionnement du SPFS russe est maintenu similaire à celui du système de paiement mondial afin de réduire les inquiétudes des clients russes et d'éviter de devoir changer leurs habitudes d'utilisation. À ce jour, plus de 400 entreprises russes (principalement des banques), dont huit banques étrangères, utilisent ce système comme alternative à SWIFT. La Russie n'est pas la seule à tenter de contourner SWIFT. L'Iran a déjà lancé un système de télécommunications financières maison, connu sous le nom de SEPAM, pour contourner les sanctions unilatérales américaines imposées au pays. Certains pensent que l'introduction de rails de paiement alternatifs rendra probablement difficile pour les pays occidentaux de suivre les paiements à travers le monde et d'utiliser le système SWIFT comme un outil politique pour menacer ou faire pression sur d'autres pays.
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