casoucasou
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Je ne trouve pas l'information rassurante ^^. En tout cas, Até explique très bien qu'on ne forme pas un pilote de chasse à faire du convoyage, mais à intervenir sous forte fatigue, beaucoup de stress, une météo désastreuse, et un avion en avarie. Il semblerai que si le simulateur a son utilité, il ne puisse remplacer l'entrainement en vol que dans une certaine limite qu'il serait dangereux de dépasser. Até explique également que ces caractéristiques ne sont pas du tout uniques, et que les simulateurs Rafale produisent également ce genre de scénario. C'est surement le cas des autres concurrents.
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Ce qui est intéressant, c'est que chacun pense que le concurrent ne peut gagner que par le biais politique : sur f-16, je lisais souvent que "le Rafale ne gagnera que sur un critère politique" et ici, on pense que "le f-35 n'a gagné que par la pression américaine". En tout cas, ton explication sur les économies d'échelle n'est pas complète selon moi. Tu compare deux fabricants qui produisent des clous identiques. Le Rafale et le F-35 ont ils les mêmes performances (je serai ravi de te l'entendre dire, mais il semble que non). Donc si le f-35 est tellement supérieur, l'économie d'échelle est à nuancer, car la supériorité implique des couts de développement et de fabrication importants (que l'on constate dans l'histoire de l'aviation : les prix ne font que grimper, malgré une meilleur industrialisation). Il y a donc trois explications : Soit le f-35 est supérieur et moins cher -> LM est un magicien. Bravo aux américains. Soit le f-35 est supérieur et plus cher -> LM a floué les Suisse sur les prix. Bravo aux américains Soit le F-35 est équivalent et donc moins cher (économie d'échelle) -> LM profite de l'argument "5th gen" sans que cela corresponde à une vraie différence technique (pour les avions à l'export, je précise). Personnellement, je penche pour la deuxième option, mais je me trompe peut-être… ce peut être la troisième ;)
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Bienvenue camarade. Un peu de persillade avec votre plat de grenouilles ?
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Là où sera le cadavre, là s'assembleront les vautours... (Jésus-Christ)
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Boarf, à ce prix là, c'est juste ce qu'il faut pour se créer de nouveaux problèmes. Vois grand Teny, à 400 000 000, tu commence à pouvoir faire des trucs…
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Pour le coup, je suis d'accord avec @Napoleons_Bee, il faut faire face aux faits. Or, les faits sont que LM et les USA a fait la meilleur proposition (et j'y inclue la proposition politique). Si on se montre incapable de l'admettre, on ne progressera jamais. On a le droit d'être déçu ou en colère, mais pas de faire un déni de réalité à base de "c'est un complot" (j'exagère un peu, et ce n'est pas contre toi en particulier) <3
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Y'en a un qui est content, c'est le portefeuille de @cicsers ^^ Pas besoin d'aller rincer tous les soiffards d'AD
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Quelles qu'en soient les raisons nous avons perdu. Il faudra en tirer les conclusions pour les futurs aux appels d'offres. Bonne chance aux Suisses.
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Heureusement qu'il y a air-defense pour se sentir épaulé
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je vais faire amende honorable
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Bouhouhouhohuohu (il n'y a même pas de smiley qui pleure)
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Oui, je peux porter ma fille dans les bras ou en la prenant par les cheveux (méthode dite de cro-magnon) Porter ≠ soutenir
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Fait !
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Ah ben voilà, tout de suite, je comprends mieux ! (ce n'est pas ironique) Donc c'est une flèche de type "précontrainte" edit : arc, pour améliorer le comportement de la "poutre" sous son facteur de charge usuel.
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Sentiment que l'on a pas sur le Rafale Edit : Ni sur d'autres avions avec une architecture différente
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Je ne sais pas si on parle de la même chose : Ce n'est pas le plan de l'aile dont je parle, mais d'un sentiment de flêche comme si l'aile était "chargée". juste pour être sur : un croquis vu de face
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a quoi sert la contre flèche des ailes su le typhoon ? J’ai l’impression qu’elles sont légèrement courbes. Ça a une raison aéro ou structurelle ou autre chose ?
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On dirait du Audiard
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Ou à la veille d'une mutinerie
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"C'est quand les soldats arrêtent de se plaindre qu'il y a vraiment un problème" dit-on en France.
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Aurai tu un concierge dans tes contacts pour te montrer si audacieux ?
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Mon concierge polonais m'a dit de rester confiant. Donc je reste confiant.
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
casoucasou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Comment choisir le "Best Athlete ?" E. Trappier : Toute technologie de rupture se prépare en amont (sous entendu, on peut déjà voire qui est en avance). Ensuite il faut passer par des démonstrateurs pour vérifier la maturité des technos et enfin, faire la boucle entre les technos, les démonstrateurs et les choix de ce qu’on intégré dans le programme pour ne pas pourrir les performances avec des technos non mature. Comment on choisis : faire confiance aux experts de l’état ( sous entendu DGA ?). Il faut un leader au sein des états, sinon, on est sûr du mauvais résultat. Qui assume la maîtrise d’ouvrage ? Il faut que se soit un état leader. Ensuite, faire confiance aux maîtres d’œuvres pour choisir leur sous traitants afin de préserver la responsabilité des entrepreneurs. --- L’intervenant allemand pense qu’il faut faire concourir les industriels et « que le meilleur gagne ». Sur la question de l'ITAR free : E. Trappier : Il faut s'assurer de la fiabilité de l’ensemble des partenaires. Il en suffit d’un (suivez mon regard) pour remettre en question la capacité d’export. Les américains sont capable de fixer des règles, y compris à certains de nos futurs partenaires (mais suivez mon regard b#rdel ! ). Donc il faut être très vigilant dès le départ et être sûr que tout le monde est d'accord. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
casoucasou a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Les trois points d'une coopération réussie selon E. Trappier. Il faut adapter les modalités de coopération à la performance du résultat (et non sacrifier la performance pour que la coopération fonctionne). Mettre les budgets en adéquation avec les ambitions : la coopération ne doit pas alourdir MAIS ALLÉGER l'effort budgétaire consenti. Ce qui n’est pas forcément pris en compte dès le départ notamment sur la relation partage des taches/capacités. Il faut l’export -> se mettre d’accord sur les clauses d'exporation et être meilleur que les participants (d'où l'importance de la performance cf pt. 1)
