mudrets

Si j'en juge par cette photo là à droite, on dirait un échappement sous-marin des Diesel https://en.wikipedia.org/wiki/HNLMS_Walrus_(1985)

Il convient de souligner l'état de propreté et de clarté... comparé à certains chantiers beaucoup plus à l'est

Elles comportent toutes une pastille de sel qui fond lentement. Et après la fonte, elles coulent. Mais quelques unes sont parfois rejetées sur les côtes avec les courants et marées. Mais attention à ne pas toucher, parce qu'on peut les confondre avec des dispositifs de signalisation (phoscar) très corrosifs ! Un lien vers le site d'un fabricant US https://www.sparton.com/products/sonobuoys/

A mon époque une active valait dix passives ...

Allez, on refait des passerelles découvertes, comme sur les escorteurs rapides ... pour goûter aux embruns et autres vagues

Ca fait vraiment désordre sur un bâtiment aussi récent

Pour le problème des pièces détachées, c'est un sujet déjà entendu ... il y a 20 ans !

Les ceussses d'en face ont les mêmes. Ils travaillent aussi sur un système de brouillage des liaisons radio entre aéronef et bouée https://www.soumarsov.eu/armes/Armes_details/Burak-M.htm https://www.soumarsov.eu/armes/Armes_details/contrermezur.htm

Mouais, qualifier le MAD de radar ...

If it moves salute it. If it doesn't move, paint it.

Vu l'axe de prise de vue, j'aurais plutôt mis la brique et la belle, pour la dernière photo

Et aussi : "Mouillé, c'est lavé, sec c'est propre"

En fait, cette litote était réservée aux canonniers, très nombreux à bord des navires, et travaillant sur les oeuvres mortes, donc visibles. "tu salues tout ce qui bouge, et tu peins le reste"!

Tout simplement des baies de commande électroniques qui permettent de mettre en forme les ordres

Voilà le seul croquis que je connaisse du projet

Tu reprends le concept balistique soviétique des années (projet 602 et 602A Skat de 1964) https://www.soumarsov.eu/projets/projets_russes_six.htm

Ben oui. C'est le dilemme récurrent défense de zone contre défense ponctuelle

Oui, je te rejoins, pour avoir vécu le mic-mac local dans les années 80: permission de tir pour les commandants et ravitaillement en missiles

Cette distinction a toujours été un sujet sensible en URSS, et difficile à comprendre

Pas la peine. Safran a déjà une entreprise conjointe franco-chinoise sur les moteurs à Shangaï !

Pour le nouveau à louer, ce serait encore un classe 971 Akula qui est sensé arriver au mieux en ... 2026

Un projet de SSN https://www.livefistdefence.com/finally-indias-homegrown-ssn-project-kicks-off/

Yeap ! Pour en finir avec le HS, il y eu un temps une guéguerre entre les Masurquistes toulonnais et les Tartaristes brestois !

Je ne saurais te le dire. Au départ, le Masurca portait plus loin, mais le Tartar le rattrapait avec l'arrivée du SM-1. Le seul hic du Tartar / SM-1 des T-47 était le radar tridimensionnel AN/SPS-39 qui n'était plus à a la hauteur des performances du SM-1. Pour compléter l'info plus haut, l'autre problème du radar de tir était qu'il restait verrouillé sur la cible tout le temps de vol du missile. Et donc on ne pouvait traiter autant de cibles que de radar de tir simultanément. Avec le SPY-1 et la faible durée d'illumination de la cible, il était alors possible de tirer beaucoup plus de cibles simultanément. Un Ticonderoga, c'était 110 cellules de missile de mémoire.

Masurca? Quelle horreur ! Quel que soit le radar de tir de l'époque, il te faut déjà qu'un système de détection lointaine te donne une cible (radar, liaison de données, infra-rouge...) en azimut et distance (phase détection). Ensuite, un opérateur désigne cette cible au radar de tir qui se pointe alors vers elle et débute sa recherche notamment en site. Une fois qu'il a acquis la cible, il passe en mode poursuite et transmet ses éléments de pointage à un calculateur. Celui-ci donnera les premiers éléments de tir au missile et à l'époque à la rampe qui est pointée plus ou moins haut en fonction de l'altitude de la cible et dans la direction de celle-ci. Une fois le missile tiré, l'illuminateur transmet en fait deux faisceaux: un large qui permet au missile de savoir à quelle conduite de tir il est affecté, et un fin qui se réfléchit sur la cible. Celui-ci est capté par l'autodirecteur passif du missile qui optimise sa trajectoire pour s'en approcher au maximum, sinon la percuter. Défaut du système: dès que tu tires ton missile, la cible peut détecter le faisceau de l'illuminateur et réagir en conséquence, s'il n'a pas déjà détecté le radar de tir. C'est pourquoi à partir du SM-2 il n'y a plus de radar de poursuite, les données étant fournies au missile par une liaison montante alimentée au départ par l'AN/SPY-1. L'illuminateur n'est déclenché que deux ou trois secondes avant que le missile ne soit proche de la cible. Elle reste donc totalement ignorante ce qui va la frapper (à moins d'avoir vu la fumée / flamme du propulseur du missile). Tu peux rapprocher cela à un chasseur avec un chien. Le chien "détecte" la cible, la fait lever, le chasseur la voit puis apprécie son déplacement pour ajuster son tir. PS: pour le canal acoustique, point de "gramophone" mais tout simplement un traitement électronique du Doppler que l'on rendait audible par le jeu d'une modification de fréquence. On n'en était pas encore à compter les tours d'hélice, mais la différentiation réacteur / hélice était très nette, l'hélice donnant un signal haché. PPS: pour les couches, je "déconne" comme disait un mien cousin disparu