"l'amiral en retraite Alain Coldefy, ancien major général des armées françaises, en rappelant un précédent français: en 1972, le destroyer français Dupetit-Thouars qui patrouillait au sud de la mer Rouge avait été ciblé par des obus yémenites."
Ce que l'amiral oublie de dire, c'est qu'à l'époque le DPT avait voulu "admirer" la côte est de l'ile de Périm, en passant entre l'île et la côte. Si le premier passage avait surpris les défenses locales, il n'en n'a pas été de même au second puisque qu'un char yéménite avait alors ouvert le feu.
Encore au début des années 80, nous étions passé du côté ouest en rasant les eaux territoriales, nous avions pu "admirer" la garnison se mettre aux postes de combat derrière les très nombreux canons. Une vedette OSA était même amarrée à l'intérieur du port. L'île disposait aussi d'un radar de veille aérienne.
Le coin a toujours été "chaud" dans tous les sens du terme