
Alberas
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Tout ce qui a été posté par Alberas
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Ah! J'avais pas noté que Lockeed Martin avait racheté le Figaro à Dassault PS Comment vont ils faire pour faire du "combat collaboratif" entre le F35 et tout le reste?
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Alors, une petite couche sur l'IRAK ? https://www.avionslegendaires.net/2025/02/actu/sur-le-dassault-aviation-rafale-f4-lirak-refait-parler-delle/ Depuis trois ans on n’en parlait guère plus mais Bagdad n’a pas renoncé à acquérir l’avion français. L’Irak compte en effet toujours acheter un lot de quatorze Dassault Aviation Rafale F4 afin de renforcer l’occidentalisation de sa force aérienne, aujourd’hui axée sur le Lockheed-Martin F-16IQ Iraqi Falcon. C’est notamment le retour des antagonismes avec son puissant voisin qu’est l’Iran qui relance l’intérêt pour l’avion clodoaldien. Rappelons que déjà du temps de l’Irak baasiste en 1988-1990 le Rafale avait été approché. Et pourtant à l’époque ce chasseur n’existait que sous la forme du démonstrateur technologique Rafale A que le dictateur Saddam Hussein avait pu observer de près lors d’une visite d’état en France. Sa décision en août 1990 d’envahir et d’annexer le petit émirat pétrolifère du Koweït avait réduit à néant tout espoir irakien de devenir un jour le client de lancement du chasseur biréacteur français. Aujourd’hui que le baasisme est derrière l’Irak le temps est venu de reprendre les négociations. En fait elles ont débuté en 2022. La situation diplomatique a depuis évolué et l’Iran a pris une place prépondérante au Moyen-Orient. Au point de réactiver les antagonismes Iran / Irak. Mais surtout le Rafale est désormais partout dans la région. Les Qataris l’emploient désormais de manière opérationnelle tandis que les Émiratis viennent de découvrir leur premier exemplaire. L’Arabie Saoudite fait souffler le chaud et le froid à son sujet. Et l’Irak dans tout ça ? Son espace aérien est perpétuellement utilisé, en toutes légalités, par des exemplaires de l’Armée de l’Air et de l’Espace qui assurent à la fois des missions de frappes contre Daech et qui assistent l’Al Quwwat al Jawwiyah al Iraqiyyah dans ses missions du quotidien. Les patrouilles communes F-16IQ / Rafale sont monnaie courante. Les pilotes irakiens connaissent donc très bien l’avion français. Et ça, ça vaut tous les éléments de langage et arguments commerciaux. Surtout Bagdad et Paris ont retrouvé des liens diplomatiques forts et les entreprises françaises sont de nouveau très présentes dans le pays. Outre le Rafale F4 on parle de nouveaux hélicoptères pour Airbus Helicopters, en plus des H225M commandés l’été dernier, et même de véhicules blindés Serval et de canons Caesar. Les négociations entre l’état-major de l’Al Quwwat al Jawwiyah al Iraqiyyah et Dassault Aviation ne semblent en fait jamais avoir été rompu. Simplement elles sont dorénavant fortement relancés. Bagdad veut refaire de la France un de ses principaux fournisseurs, surtout depuis l’arrivée au pouvoir d’un Donald Trump pour qui les Irakiens ne sont qu’un peuple de plus pour qui il a du mépris. Affaire à suivre.
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Quand je lis certaines informations, je ne peux m'empécher de penser aux "tontons flingieurs" et à sa célèbre citation....
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Regardons ce que dit Wikipedia sur la convention de l'OCDE Les entreprises exportatrices dont du adapter leurs pratiques commerciales à cette législation. Non, ça c'était avant d'avoir ratifié la convention, comme en France. Mais la convention oblige les pays signataires à poursuivre les entreprises délictueuses. Sinon les USA vont intervenir. Dans les contrats, m^me avant l'OCDE, le vendeur déclare toujours ne pas avoir utilisé des pratiques de cotrruption. Si, ultérieurement, le cas est avéré, le pays acheteur applique sa loi. Le pays du vendeur aussi. Il ne faut pas voir la corruption partout.. Il y a de nombreuses commissions impliquées dans les phases d'appel d'offre, d'analyse des propositions, de négociations finales techniques, contractuelles, financières, ... Pour gagner, il faut être bien soutenu par nos politiques, nos banques, nos partenaires industriels locaux et nos lobbyistes, mais surtout il faut être bon. Les perdants essaient souvent de contrer le choix du client en accusant le gagnant de mauvaises manières. On a eu 2 exemples récents: - En Suisse, on a contesté le choix "surprenant" du F35. Les Suisses ont analysé que c'était la meilleure offre pour eux. - En NL, les allemands ont contesté le choix du Barracuda,et ont échoué. Dans les 2 cas, il n'a jamais été question de corruption.
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Don't panic! Les chiens aboient ...le Rafale passe
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A vérifier de quoi il s'agit vraiment.
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Mais alors comment faut il interpréter cet article? Premier Rafale pour les EAU ! Avia news 30 janv.3 min de lecture Le constructeur français Dassault Aviation a présenté le premier avion de combat Rafale au standard F4.1 construit au profit de l'armée de l'air des Émirats arabes unis (EAU). Il s’agit du premier des 80 avions de combat acquis par l’Émirat. Rappel C’est en 2021, que le contrat pour l’acquisition de 80 Rafale au standard F4 pour équiper l’Armée de l’Air des Émirats Arabes Unis (United Arab Emirates Air Force & Air Defence – UAE AF & AD) a été signé. L’Armée de l’Air des Émirats sera le premier utilisateur en dehors de la France, ce contrat est l’aboutissement de plus de 45 ans d’une relation de confiance entre les Émirats Arabes Unis et Dassault Aviation société au travers de la famille d’avions de chasse Mirage. Présentation Ce 29 janvier, devant le premier Rafale F4.1, tout juste sorti de la chaîne de production, a été présenté lors d’une cérémonie en présence d’Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation du ministre d'État chargé des Affaires de Défense des Émirats arabes unis, Mohamed Bin Moubarak Fadhel Al Mazrouei, de Sébastien Lecornu, ministre français de la Défense, et de trois hauts représentants des forces aériennes des Émirats arabes unis et de la France. Le Rafale F4.1 Pour donner suite à nombreux retards de mise au point, la nouvelle version du Rafale F4 est délivrée pour l’instant au standard F4.1 (30% du standard définitif) qui comprend des mises à niveau des capacités existantes, telles que le radar RBE » AESA de Thales et la nacelle de ciblage « Talios » qui offriront des améliorations dans le mode air-sol. Le nouveau standard offre également des nouveautés, avec « enfin » l’arrivée d’un viseur de casque avec le système Thales Scorpion. Un nouveau système de Pronostic et d’Aide au Diagnostic introduisant des capacités de maintenance prédictive. D’autres optimisations de la maintenance sont également programmées, avec notamment des solutions basées sur le Big Data et l’intelligence artificielle. Dans le but de permettre au Rafale de combattre au niveau collaboratif et en réseau, l’avion est doté d'une liaison de données améliorée et d'une radio numérique cryptée CONTACT, couplée au système de communication par satellite Syracuse IV. En matière d’armement le F4 sera doté de la gamme de missiles air-air MICA NG (Next-Generation) de MBDA pour le mode air-air. En matière d’attaque au sol la bombe de 1’000 kilogrammes A2SM/ASSM (armement air-sol modulaire) « Hammer » de Safran est articulée autour d’un système de guidage GPS et inertiel. L’équipementier Thales s’est vu notifier une commande pour 400 écrans de Visualisations Têtes Latérales (VTL) numériques en vue de remplacer les Visualisations Têtes Latérales des Rafale en service. Ces écrans latéraux du cockpit permettent notamment d’afficher les informations sur l’état des systèmes de l’avion ainsi que les images issues des différents capteurs. Ce nouvel équipement offre une surface d’affichage étendue, un écran tactile amélioré et des capacités de calcul augmentées. Il faudra attendre 2026 pour obtenir la seconde incrémentation soit le F4.2 (30% supplémentaires) qui devrait permettre de disposer d’une nouvelle optique infrarouge et une meilleure connectivité avec l’intégration de Liaison 16 Block 2 et des systèmes TRAGEDAC et CAPOEIRA (localisation 3D passive en réseau). Puis c’est enfin en 2030 que le standard devrait être complet avec l’incrémentation au standard F4.3. A noter, qu'il n'est pas prévu de retrofit au sein de l'Armée de l'air française, les appareils livrés resteront pour l'instant au standard livrés (F4.1 ou F4.2). ---------------- Donc, si je comprends bien, il y aura un standard F4.2 pour l'AAE et certains ckients export, et un standard F4.3 (avec upgrade possible à F5 ?) pour les EAU et les clients suivants?
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Ca c'est du ressort de Pic
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Le contrat M est sera signé, peut être en avril ou mai puisque l'année budgétaire semble être prolongée. La question est celle d'un contrat MRFA, ie plus de 100 avions, donc avec du make in India. Mais quand j'entends 100% de transfert, j'entends aussi négos trèèèèès longues, paisque le 100% n'existe pas. Sais tu quel est le % max de part importée pour qu'un produit soit déclaré "make in INDIA" ?
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Si tu veux! Cette vidéo est l'équivalent d'une "tribune d'opinion" ou d'un "billet d'humeur" comme en lit dans la presse (Groupe Mars par exemple) où l'auteur dénonce une situation insupportable. Là, c'est pour équiper l'IAF des avions qui lui manquent cruellement (là, il a raison!) tout en appelant à des solutions malheureusement irréalistes pour résoudre rapidement ("we want our aircraft TODAY!") cette situation. En s'appuyant sur les déclarations du Chief Marshal, il exhorte donc Modi à commander "one shot" et sans délai un grand nombre (100? 200? 300?) de Rafale pour qu'ils soient construits en Inde avec un ToT à 100% sur tout. C'est vraiment du yaka faucon! Note que j'aime bien. Cette déclaration d'amour au Rafale ne peut que nous flatter, mais il parle au nom de qui? Par ailleurs, tout à la fin, je crois avoir entendu 'HAL should take the lead". J'ai pas compris à quoi il faisait référence. Il ya donc 2 aspects pathétiques - l'illustration de la situation de l'IAF et son impossibilté de répondre à ses missions - l'appel désespéré au chef suprême pour résoudre ce problème PS: Au dela de cette video, si les pressions de l'IAF arrivent à obtenir une commande de Rafale "MRFA like" en circuit rapide (au sens indien) tout le monde s'en réjouira.
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C'est pathétique.
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D'autres journaux parlent de 500 millions d'euros. Mais qui est le client?
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est pas tout à fait exact. A l'époque, Alcatel avait aussi cédé des activités et les 2 sociétés étaient devenues actionnaires de Thomson-csf puis Thales, jusqu'à ce que, en 2009, Alcatel en difficulté cède ses parts à Dassault qui est alors devenu "l'actionnaire industriel de référence" de Thales avec ses 26 %. Entretemps, en 2007, une opération semblable avait permis à Thales d'obtenir 25% de DCNS devenu Naval Group. L'histoire n'est pas finie avec les activités "sensibles" de ATOS, et surtout le regroupement (?) du spatial. PS Cet article des Echos de 1999 est beaucoup plus précis. https://www.lesechos.fr/1999/11/alcatel-prend-253-du-capital-de-thomson-csf-et-se-desengage-tres-largement-de-framatome-779965 Cinq ans après le début des négociations pour une sortie de Framatome et après plus d'une année de manoeuvres pour accéder à un véritable statut d'actionnaire de référence de Thomson-CSF, Alcatel parvient enfin à ses fins. Le gouvernement, Thomson-CSF et Alcatel ont en effet annoncé vendredi la finalisation de l'accord industriel du 29 juillet dernier aux termes duquel le groupe de Serge Tchuruk se désengage en grande partie du capital de Framatome, qu'il détenait à hauteur de 44 % (il ne conservera que 8,6 %), et monte en puissance, comme il en avait exprimé le désir, dans celui de Thomson-CSF, à hauteur de 25,3 %. Ces modifications du périmètre d'Alcatel ont tout pour réjouir Serge Tchuruk, qui était depuis longtemps en quête d'une simplification de son organigramme financier. « Une participation de 16 % dans le capital de Thomson-CSF, c'est trop ou trop peu », allait-il répétant ces derniers mois. « Maintenant, les choses sérieuses peuvent commencer », assure le PDG d'Alcatel. Désormais, Alcatel et Thomson-CSF ne pourront plus se retrancher derrière l'insuffisance des liens capitalistiques pour expliquer la faiblesse des synergies communes dégagées à ce jour, hormis la fusion des activités spatiales, aujourd'hui achevée. Pour l'instant les économies sur les achats ne dépassent pas les 100 millions de francs chacun, quant aux synergies de recherche, « elles ne sont pas chiffrables », assure Denis Ranque, le PDG de Thomson-CSF, qui reconnaît que « le monde de l'électronique de défense est de plus en plus tiré par le civil ». Outre l'espace, les synergies sont espérées dans le domaine de la recherche et des technologies. Ainsi, dans le domaine de l'optoélectronique, un secteur en très forte croissance dans les télécoms ou pour adapter à la défense les technologies à base de protocole Internet, Thomson-CSF pourra bénéficier de l'expertise d'Alcatel. Ce dernier pourra de son côté utiliser la compétence de son partenaire dans le domaine des hyperfréquences pour se renforcer en télécoms dans l'activité prometteuse des boucles locales radio. « J'ai toujours été convaincu de la réalité des synergies entre nos deux métiers », assure Serge Tchuruk. Et quand on lui fait remarquer que très peu d'entreprises d'électronique dans le monde arrivent à marier avec bonheur télécommunications civiles et électronique militaire, il assure : « Beaucoup d'acteurs en rêvent. Nous anticipons sur une tendance. » Même s'il reconnaît que ce sont surtout les spécialistes du militaire qui rêvent de se raccrocher à un marché civil en pleine explosion. De toute façon, sa participation dans Thomson est totalement liquide, et s'il affirme aujourd'hui qu'il n'a « ni l'obligation de rester, ni l'envie de sortir », rien ne l'empêche de changer d'avis si les synergies espérées ne sont pas au rendez-vous. Alliance européenne De son côté, Dassault Industries, qui avait, lors de la privatisation de Thomson-CSF, apporté Dassault Electronique en échange d'une participation de 5,8 % dans le capital de la société de Denis Ranque, conserve la même part. Le pacte d'actionnaires qu'il avait conclu à l'époque avec Serge Tchuruk n'est pas modifié. L'Etat voit, quant à lui, sa participation dans le capital de l'électronicien de défense tomber de 40 % à 33,4 %, ce qui en fait toujours le premier actionnaire, devant le marché (33 %), Alcatel (25,3 %), Dassault (5,8 %) et les salariés, qui profitent de l'opération pour voir leur contrôle s'élever à 2,5 %. A la cession à Alcatel des 6 % de Thomson entre les mains de l'Etat s'ajoute celle des quelque 4 % que l'Etat avait repris à Aerospatiale en échange de 1 milliard de francs, après que l'avionneur eut apporté ses activités satellites de Cannes à l'électronicien. Cette opération permettra-t-elle à Thomson-CSF de conforter son rang de numéro deux européen de l'électronique de défense ? C'est du moins ce que semble penser le marché, qui a réservé un excellent accueil à l'annonce de l'opération (voir ci-dessous). Le marché semble désormais valider les deux axes de la stratégie de Denis Ranque. L'un, « multidomestique », lui permet de nouer des partenariats par métier à l'international, comme cela a été récemment le cas aux Etats-Unis, en Australie et en Corée ; l'autre, plus délicat à mettre en oeuvre, consisterait à nouer une alliance majeure en Europe. Serge Tchuruk a beau répéter que « Thomson-CSF peut continuer sa route tout seul » et que « Thomson-CSF a fait l'erreur de laisser croire qu'il était tributaire d'une alliance » (« Les Echos » du 25 octobre), le gouvernement n'en cherche pas moins à adosser une partie des activités de Thomson-CSF à celles, correspondantes, de Dasa, voire d'Alenia Marconi Systems (Finmeccanica 50 %, British Aerospace 50 %). Cela ferait de Thomson-CSF la « colonne vertébrale » de l'électronique européenne, un schéma dont rêvait le gouvernement mais que la fusion BAe-GEC Marconi a sérieusement remise en cause. -
Ils engrangent sur tout. Mais discrètement!
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Il y en a qui sont moins doués que d'autres
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Allemagne
Alberas a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est la vision allemande de "l'économie de guerre!" -
@Picdelamirand-oil Merci, j'avais pas su recopier l'article. En tout cas, il y a de la matière pour l'article de Cabirol. Concernant les livraisons, ça ferait donc 1/mois ouvrable à partir du 37ème mois.
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Oh, on n'a besoin de personne pour spéculer Et puis on a toutes les infos avec la presse indienne: https://timesofindia.indiatimes.com/india/india-france-strategic-ties-to-get-major-boost-with-rafale-scorpene-deals/articleshow/118127294.cms
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Ben, on espérait Cabirol ...
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Chine
Alberas a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Qui c'est ce Gugus? Une IA chinoise? Ou quelqu'un qui s'amuse avec un avatar? -
Ah non! On a déjà assez attendu
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CCS = Cabinet Committe on Security CCS sanctioned = approuvé par le CCS PS A titre d'exemple, le CCS doit approuver la signature des contrats Rafale M et Scorpene
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Tout est une question de temps et de moyens, pas de patronyme du NGF fait par Dassault . Je ne sais pas! Dire qu'il y aura des protocoles communs pour tout ce qui est commun est une évidence.
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En vois tu un autre?