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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Sous-marins pour les Pays-Bas : le contrat avec Naval Group peut-il être torpillé, comme en Australie ? https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/sous-marins-pour-les-pays-bas-le-contrat-avec-naval-group-peut-il-etre-torpille-comme-en-australie_60950621.html Les chantiers navals devancés, pour le contrat de quatre sous-marins, aux Pays-Bas par Naval Group n'ont pas renoncé à faire capoter le programme franco-néerlandais.
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(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
Nouvelle commande de l’OTAN pour le pilier munitionnaire de KNDS France Nouveau succès « otanien » pour KNDS France (ex-Nexter), qui décroche un contrat majeur pour la production de munitions d’artillerie de 155 mm au profit de plusieurs armées de l’Alliance. https://www.forcesoperations.com/nouvelle-commande-de-lotan-pour-le-pilier-munitionnaire-de-knds-france/ "KNDS France livrera des coups complets, à savoir les obus, les charges modulaires nécessaires à leur propulsion, les fusées et les amorces. Le lot comprend notamment des obus hautement explosifs (HE) et à portée étendue (ER). " "L’annonce d’hier suit de peu l’attribution, à nouveau par la NSPA, d’un marché de 1,1 Md€ à KNDS France et Junghans Defence pour des obus et fusées compatibles avec les canons automoteurs CAESAR et PzH 2000. Un marché dont la partie relevant de KNDS est valorisée à 915 M€."- 297 réponses
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Un article très complet sur la propulsion des type 26 https://www.navylookout.com/powering-the-stealthy-submarine-hunter-type-26-frigate-propulsion-system-in-focus/
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L’Inde a acheté 4 type 209 allemands, 2 construits à Kiel, et 2 construit à Mazagon Dock en Inde avec transfer de technologie.
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Qu'en pensez vous ? Frégate FDI HN LIGHT : un choix logique, pour une flotte grecque puissante ! https://www.navalanalyses.com/2024/04/fdi-light-logical-choice-for-powerful.html Une version légère de FDI HN, la frégate à usage général FDI LIGHT. Graphique par Aylont1. En suivant de près les efforts de la marine hellénique (HN) ces dernières années, après une période d'inactivité due à la situation économique du pays, nous comprenons les difficultés auxquelles cette entreprise est confrontée, le principal obstacle étant le coût. Le point de vue de l'auteur sur la résolution de cette situation difficile est resté cohérent sur les réseaux de médias sociaux. L'idée principale est que la marine devrait se concentrer sur l'acquisition d'unités de surface de taille adéquate, telles que les frégates, avec des équipements qui répondent aux exigences de la marine telles que définies dans la compétition informelle du programme d'acquisition des corvettes. En outre, cet équipement devrait être proposé par les entreprises participant au programme. À tout le moins, il devrait être de qualité similaire. Ainsi, la marine, avec un navire de plus grande taille au lieu d'une corvette, peut bénéficier du coût relativement faible de l'augmentation de la taille. En effet, la petite valeur de la coque d'un navire de guerre est principalement chargée d'équipements, tels que les capteurs, l'armement et d'autres équipements. Par conséquent, un navire plus grand pourrait offrir tous les avantages en termes de survie, de rayon d'action, d'autonomie, de confort du personnel et, bien sûr, de potentiel de développement qu'un navire plus grand offre. Dans cet article, nous examinerons cette perspective à travers le retrait d'équipement de la classe Kimon(FDI HN de Naval Group). Le navire est présenté dans les graphiques du remarquable Aylont1, qui nomme cette configuration FDI HN LIGHT (FDI HN-LT) qui est en fait une frégate polyvalente (GP) équilibrée. Tout d'abord, le changement le plus important est le remplacement du mât intégré du PSIM qui abrite les capteurs avancés, y compris le Thales SEAFIRE MFR, par un mât similaire à celui de la corvette GOWIND, l'installation d'un radar rotatif de surveillance aérienne et de surface Thales NS110 avec IFF intégré (d'où l'élimination de Thales BLUEGATE) et l'équipement de Thales VIGILE R-ESM (au lieu de Thales SENTINEL), de Thales ALTESSE-H C-ESM et du R-ECM qui est en cours de développement et sera installé sur les frégates HN de la FDI. Cette conversion peut à elle seule permettre de réaliser des économies atteignant jusqu'à 100 millions d'euros. Un deuxième changement important est le retrait des quatre systèmes de lancement vertical (VLS) octuple A50 et leur remplacement par 32 systèmes de missiles MICA-NG MBDA VL ou par des MBDA CAMM-ER. D'après des informations provenant de sources ouvertes, le coût des VLS A50 vides est comparable au coût de 32 missiles MICA-NG et de leurs lanceurs. Dans ce cas, la non-installation des systèmes de missiles ASTER 30 nous permet d'économiser un montant d'environ 150 à 180 millions d'euros. L'idée principale de la configuration proposée. Image originale par Aylont1, modifiée par D-Mitch. En outre, des modifications ont été apportées à deux autres endroits. Premièrement, il y a le remplacement du CAPTAS-4 par le CAPTAS-2, ou même l'élimination potentielle de tout VDS mais le maintien du KINGKLIP Mk2 HMS afin que le navire puisse servir de frégate GP, de la même manière que les configurations GP et ASW de la FREMM IT. D'autre part, le remplacement du CIWS RAM par un système de canon Bofors 40 Mk4 de BAE Systems, capable de tirer des munitions programmables de 40 mm 3P, ou par le CIWS 40 mm RAPIDFire de Nexter-Thales, ce qui pourrait permettre une économie de plusieurs dizaines de millions d'euros. Le reste de l'armement est identique à celui du FDI HN, notamment les lance-torpilles jumelés pour les torpilles MU90 et les huit lance-missiles antinavires EXOCET au milieu du navire. La configuration de la frégate à usage général FDI LIGHT. Graphique par Aylont1. En faisant les calculs, on se rend compte que le coût final du navire (avec son armement et ses munitions) est passé nettement sous la barre des 750 millions d'euros. Même si nous l'équipons finalement d'une charge complète de missiles RAM et d'un lanceur (+45 millions) et de Leonardo LIONFISH 30 30mm RWS avec munitions programmables (+5 millions) au lieu de LIONFISH 20 RWS, le coût ne dépassera pas 800 millions d'euros. Le projet pourrait même recevoir un troisième LIONFISH 20 RWS, installé dans l'espace vide près de la passerelle (à tribord), afin de renforcer son armement secondaire. Notre proposition est d'adopter cette configuration GP ou alternativement LIGHT des FDI HN, dans le cadre d'un programme national de construction navale d'au moins trois (3) unités, similaire au cas de la classe Kimon. Tout ajout ou amélioration de l'armement pourrait être effectué ultérieurement, tandis que dans le cadre d'une MLU de 20 ans, une configuration similaire pourrait être adoptée et le FDI HN mis à niveau à ce moment-là. De cette manière, le pays hôte pourra acquérir de véritables frégates qui n'auront rien à envier aux autres navires de la région, sans être contraint de faire des compromis avec des navires plus petits et aux capacités proportionnellement moindres, comme les corvettes. L'engagement de fonds pour y parvenir se fera dans des limites raisonnables et acceptables à la fois par les dirigeants militaires et, bien sûr, par la sphère politique. La Grèce sera ainsi en mesure d'atteindre une sorte d'autonomie partielle en termes de conception des IED, tandis que la flotte deviendra redoutable, permettant le retrait des frégates obsolètes de la classe Elli (Kortenaer). Plutôt que d'opter pour une flotte grecque composée uniquement de frégates GOWIND et FDI comme indiqué dans ce graphique du groupe naval, notre proposition suggère une approche raffinée : intégrant exclusivement deux configurations distinctes de navires FDI - la variante polyvalente multi-missions et la version agile légère/usage général. Nous soulignons ici qu'outre le coût exceptionnellement abordable de cette option pour le renforcement de la flotte, dans le cadre d'un ensemble permettant un nombre beaucoup plus important de constructions, la resélection de l'IED simplifie à la fois la formation du personnel et la mobilité d'une unité à l'autre. Il rationalise également l'exploitation opérationnelle et la maintenance des navires, en réalisant des économies d'échelle dans des sous-systèmes clés. C'est un choix logique, qui va dans la bonne direction ! Je vous remercie pour le temps que vous avez passé à lire mon article, et je remercie tout particulièrement mes amis Dimitris Mitsopoulos pour l'hébergement, l'édition et l'encouragement inébranlable qu'il m'a prodigué pour faire naître cet article, et bien sûr Aylont1 pour avoir habilement transformé le concept de la FDI LIGHT en une représentation visuelle captivante.
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Voici l'objectif des britanniques quand aux livraisons de T26 : https://www.navylookout.com/type-26-frigate-construction-and-shipyard-investment-progress-update/ Capacité et exportation Avec la mise en service du nouveau hall de construction navale, l'externalisation de la construction de charpentes métalliques ne devrait plus être nécessaire à grande échelle, à moins que des navires supplémentaires ne soient commandés par une autre marine. Si des capacités supplémentaires plus importantes sont nécessaires, Ferguson pourrait se voir confier plus de travail ou un partenariat plus formel pourrait être mis en place avec Cammell Laird. La Norvège prévoit de doubler son budget de défense en termes réels au cours des 12 prochaines années et cherche à acquérir au moins 5 frégates ASW en utilisant un modèle déjà en production dans un pays partenaire. Des frégates basées sur le modèle du Type 26 construit sur la Clyde pour les Norvégiens semblent être une réelle possibilité. Il est dans l'intérêt stratégique du Royaume-Uni que les Norvégiens disposent des meilleurs équipements ASW, car ils sont en première ligne des opérations contre la flotte russe du Nord. Le Royaume-Uni entretient déjà des relations étroites avec la Norvège en matière de défense et le projet répond à la demande d'une plate-forme ASW haut de gamme dotée de capacités polyvalentes. Bien entendu, il ne s'agit que de spéculations à ce stade et il existe quelques alternatives européennes moins chères.
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Quelques extraits : https://www.lejdd.fr/societe/eric-beranger-pdg-du-missilier-mbda-nos-missiles-vont-proteger-les-populations-ukrainiennes-144082 ... ... Sur l’Aster, on est en train d’augmenter nos cadences de production de 50 % par rapport à 2022. Et nous allons drastiquement réduire les délais de production. Cette prise de parole a-t-elle changé quelque chose dans vos usines ? Nous sommes en train de travailler avec les services du ministère pour accélérer. Initialement, 200 Aster avaient été commandés début 2023 avec des premières livraisons prévues fin 2025 ; désormais, nous travaillons pour pouvoir les fournir dès la fin de 2024. Et pour 2025, nous allons essayer de leur en fournir beaucoup plus que prévu, c’est-à-dire environ six fois plus que ce qui était prévu contractuellement ! ... ... Comment comptez-vous améliorer vos rendements ? Pour commencer, nous devons déjà utiliser au mieux tout ce que nous avons. Nos usines sont passées en trois-huit partout où c’est utile. Nous faisons également des stocks. Aujourd’hui, nous avons à peu près 80 tonnes d’aciers spéciaux, alors qu’en une année, nous en consommons à peu près quatre ou cinq. On a, en ce qui concerne le titane, de quoi faire 3 000 missiles dont Aster. Pour vous donner une idée, au 1er janvier 2022, MBDA avait des stocks qui représentaient à peu près 500 millions d’euros. Aujourd’hui, c’est un milliard. D’autres changements sont-ils à l’ordre du jour chez MBDA ? Pour produire plus, nous devons accroître notre outil industriel. C’est ce que nous faisons avec un plan d’investissement pour nos usines, sur les cinq prochaines années, d’à peu près un milliard d’euros pour la France et de 2,4 milliards d’euros pour le groupe. Concrètement, nous avons par exemple doublé la superficie du site où nous faisons l’assemblage final des missiles, en région Centre, et nous sommes en train de remplacer notre usine d’électronique (qui fabrique les cerveaux de nos missiles) par une nouvelle installation flambant neuve. Nous investissons également dans les moyens industriels, à savoir l’achat des machines, puisqu’il y a un besoin pour réaliser toutes les pièces mécaniques des missiles. Sur les deux prochaines années, nous en avons commandé à peu près une vingtaine et nous en avons même loué certaines pour les missiles Aster, en raison de l’urgence. Nous sommes aussi en train d’injecter 35 millions d’euros dédiés directement à la chaîne d’assemblage de ce missile. Enfin, nous avons recruté quelque 2 600 personnes dans le groupe entier, l’an dernier. Pour la France, cela représente à peu près 1 000 personnes, et nous ferons la même chose en 2024. Sur ces recrutements, nous avons d’ores et déjà ouvert cinquante postes dédiés à Aster. ... ... Le missile Aster est parfois comparé à son homologue américain, le Patriot. Qu’est-ce qui les différencie ? Son autoguidage est très précis et il a une manœuvrabilité exceptionnelle quand il s’approche de la cible grâce à un système qui s’appelle le Pif (pilote inertiel en force). Quand il approche de la cible, il est capable de se déplacer très rapidement avec une accélération très forte en latéral, pour se rapprocher d’elle et pour la détruire. Grâce à la combinaison de sa précision et de cette capacité, il est très efficace et n’a rien à envier aux systèmes américains. Avec vos faits d’armes en mer Rouge, l’avenir semble prometteur. Espérez-vous pour le missile la même trajectoire que le Rafale à l’international ? On se souvient que l’avion de chasse avait mis plus de quinze ans avant d’être exporté… Je suis convaincu qu’il va y avoir une demande très forte. Je pense déjà que si nous avions plus de missiles Aster disponibles aujourd’hui, nous en vendrions beaucoup plus. Et malheureusement, beaucoup de pays vont chercher à se protéger en raison de l’évolution des tensions géostratégiques. Tout le monde voit les capacités exceptionnelles de ce missile. Quand nous aurons atteint des régimes de production plus élevés, nous servirons ceux qui viendront les premiers.
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Des rumeurs, le recrutement ne pourra pas suivre de toute façon. Je pense qu'un renforcement des 3 brigades existantes (rajout d'un bataillon de char était discuté) et augmenter l'appui feu est plus probable
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Après avoir remporté les appels d'offre au canada et en Australie ils n'ont pas tord d'y croire... Ils sont bons pour vendre du rêve nos voisins En revanche si j'étais Norvégien je regarderais de près l'explosion des budgets alloués au programme au canada et en Australie Edit --> Exemple Canada https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/unprecedented-level-of-secrecy-surrounds-costs-and-work-on-80b-warship-project
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Restructuration de l'armée néerlandaise vers 4 brigades avec un soutien au feu organique à longue, moyenne et courte portée est impressionnante 4 brigades ? Oui 4, ce sont les rumeurs maintenant. 2 mechanisée, 1 motorisé et 1 assaut aérien. Les 2 premiers avec des chars. Je me demande quand ils rétabliront une division.
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Le Telegraph suggère que si des frégates de type 26 devaient être construites pour la Norvège par BAES_Maritime sur le Clyde, RN devrait se séparer des navires 3 et le navire 4 (HMS Belfast & Birmingham) pour respecter l'horaire norvégien. Alors qu'une énorme victoire à l'exportation potentielle et que la Norvège recevrait le meilleur kit ASM existant sont dans l'intérêt stratégique du Royaume-Uni, RN a désespérément besoin de nouvelles frégates.
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Merci beaucoup ! J'ai cherché mais pas facile a trouver sur le net ... Sur un avion comme Le GlobalEye il font l'économie de quels poste a ton avis ?
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Torpilles et légumes -
2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
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Il vont être jaloux les pilotes de Rafale en mission Pégase quand ils vont voir a travers le hublot leurs collègues à table avec un repas chaud
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A 22:40, Philippe Gros indique que en dehors des américains, les occidentaux les plus avancés sur lasers navals sont - la Royal Navy qui a plusieurs années d'avance - puis la marine allemande qui investit beaucoup dans la R&D - la marine turque - et la marine française
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Surtout que E-3, E-7 et même le projet indien sur base A320 sont tous des monocouloirs … les opérateurs ont pas non plus besoin d’un salle de sport et d’un home cinéma pour les pauses durant les mission
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2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Un E-11A americain se dirige vers l'irak -
2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai des doutes sur la première video, et puis Mario c'est un clown en plus ... -
2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Jamais vu autant de monde sur flightradar24 -
2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
La chevauchée des tondeuses volantes -
Les moyens aériens de lutte contre les incendies
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Actualités air
Pour ceux qui, comme moi, ne connaissaient pas cet appareil -
2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Pour les coordonnées c'est aux alentours de Sanandaj en Iran, proche de la frontière irakienne.