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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
A propos des potentiels 4 EPR1200 en République Tchèque Czech Republic / Prague Aims To Finalise Contracts For New Nuclear Plants By March 2025 https://www.nucnet.org/news/prague-aims-to-finalise-contracts-for-new-nuclear-plants-by-march-2025-5-1-2024 Trial operation of first new unit scheduled for 2036 with commercial operation in 2038 Czech nuclear project company Elektrárna Dukovany I (Edu Il) has confirmed it has received amended bids for new nuclear power plants from France's EDF and South Korea's Hydro & Nuclear Power (KHNP) with the aim of finalising contracts ready for signing by 31 March 2025 -
Dissuasion nucléaire française...
Titus K a répondu à un(e) sujet de leclercs dans Dissuasion nucléaire
Est-on vraiment sur que la Micronésie ne cache pas un ou deux silos quelque part sur un ilot ? Non parce que ... : -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
cocorico Record de fusion établi pour le tokamak au tungstène WEST https://www.pppl.gov/news/2024/fusion-record-set-tungsten-tokamak-west Des chercheurs du laboratoire de physique des plasmas de Princeton (PPPL) du ministère américain de l'énergie ont mesuré un nouveau record pour un dispositif de fusion revêtu intérieurement de tungstène, l'élément qui pourrait être le mieux adapté aux machines commerciales nécessaires pour faire de la fusion une source d'énergie viable pour le monde. Le dispositif a maintenu un plasma de fusion chaud(Link is external) d'environ 50 millions de degrés Celsius pendant une durée record de six minutes, avec une puissance injectée de 1,15 gigajoule, soit 15 % d'énergie en plus et une densité deux fois plus élevée qu'auparavant. Le plasma devra être à la fois chaud et dense pour générer une énergie fiable pour le réseau. Le record a été établi dans un dispositif de fusion connu sous le nom de WEST, le tokamak de tungstène (W) Environment in Steady-state, qui est exploité par le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA). PPPL travaille depuis longtemps en partenariat avec WEST, qui fait partie du groupe de l'Agence internationale de l'énergie atomique pour la coordination des défis internationaux en matière d'exploitation à long terme (CICLOP). Cette étape représente un pas important vers les objectifs du programme CICLOP. Les chercheurs soumettront un article pour publication dans les prochaines semaines. "Nous devons fournir une nouvelle source d'énergie, et cette source doit être continue et permanente", a déclaré Xavier Litaudon, scientifique au CEA et président du CICLOP. M. Litaudon a déclaré que les travaux du PPPL à WEST en sont un excellent exemple. "Ce sont des résultats magnifiques. Nous avons atteint un régime stationnaire malgré un environnement difficile en raison de ce mur de tungstène". Rémi Dumont, chef du groupe Expérimentation et développement des plasmas de l'Institut de recherche sur la fusion magnétique du CEA, a été le coordinateur scientifique de l'expérience, qu'il a qualifiée de "résultat spectaculaire". Les chercheurs du PPPL ont utilisé une nouvelle approche pour mesurer plusieurs propriétés du rayonnement du plasma. Ils ont utilisé un détecteur de rayons X spécialement adapté, fabriqué à l'origine par DECTRIS, un fabricant d'électronique, puis intégré au tokamak WEST, une machine qui confine le plasma - le quatrième état ultra-chaud de la matière - dans un récipient en forme de beignet à l'aide de champs magnétiques. ... ... ... Je vous laisse lire la suite si vous même -
Non, j'ai pas dis de foirade matérielle ... Je dis juste que j'ai l'impression qu'on voit le booster retomber à la fin de la video. Ca indiquerait que le booster vient tout juste de se séparer de l'étage intercepteur, et donc que la distance n'est pas "grande" comme le dis le texte.
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Ce qui m'étonne dans cette publication de vidéo c'est le texte : Détectant un drone de combat à grande distance, une frégate s'est interposée pour protéger un groupe de 3 bâtiments de commerce en route vers le nord dans le détroit de Bab El Mandeb. Le drone de combat a été intercepté par la frégate avant qu'il n'atteigne sa cible. Mais dans la vidéo il me semble que juste après l'impact avec le drone, on voir le booster de l'aster retomber en chute libre ... donc la cible ne devait pas être "a grande distance", puisque la séparation avec le booster vient d'avoir lieu ... donc la phase de boost initiale viendrait d'avoir lieu et l'aster récupère tout juste sa manœuvrabilité, d'ou le virage bizarre ... Je me trompe ?
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Oui de l'eau, puisque le Nuward est simplement un REP, tout comme le SMR de Rolls-Royce par exemple... Celui de GE-Hitachi est un REB de 300MWe -
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Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Nucléaire – La bataille des territoires pour accueillir les EPR2 https://www.lemondedelenergie.com/nucleaire-bataille-territoires-pour-accueillir-epr2/2023/12/13/ Après la désignation des sites de Penly, Gravelines et Bugey, reste à choisir les 4 futurs sites où seront implantés les 8 EPR de nouvelle génération prévus dans le plan de relance du nucléaire. Un enjeu exceptionnel pour les territoires des sites existants, susceptibles de les accueillir à raison de deux EPR par site. Ces derniers temps, la presse a fait état des candidatures des sites de Nogent-sur-Seine, Tricastin, Belleville, Chinon, Golfech, Chooz et Blayais, portées par leurs territoires. D’autres suivront peut-être tant les enjeux liés à ces projets industriels hors normes sont colossaux. Cette compétition ne déplait pas à Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition énergétique, qui avait déclaré à Lyon, devant les professionnels de la filière nucléaire Française, « ne pas être contre une certaine émulation des sites candidats » … Le soutien du territoire reste un élément essentiel à l’aboutissement du projet… C’est ainsi que la candidature du site girondin du Blayais situé à 60 km de Bordeaux entre les départements de la Gironde et de la Charente Maritime a fait l’objet d’une mobilisation formidable du territoire, avec notamment la constitution d’un Collectif de 461 membres dans lequel des élus de proximité et d’anciens exploitants de la centrale se complètent à merveille pour démontrer l’adhésion au projet de la population. Mais aussi celle des entreprises, des secteurs sociaux, culturels, voire sportifs ou commerciaux. Car, au fil du temps, dans ce territoire rural où le taux de chômage et de pauvreté se situe au-dessus de la moyenne régionale, la centrale du Blayais est devenue une véritable pierre angulaire, moteur économique structurant d’un paysage local auquel la population est particulièrement attachée. Et ce projet est compris comme une opportunité à ne pas laisser passer. Depuis plus d’un an, ce Collectif multiplie les initiatives pour promouvoir la candidature d’un site qui ne manque pas d’atouts comme sa situation, exceptionnelle à plus d’un titre. Situé au bord d’un estuaire de 635 km2, soit le plus vaste d’Europe, il dispose d’une ressource en eau bien supérieure à celle des fleuves. Un atout fort, alors que l’eau se raréfie dans notre pays à l’heure du réchauffement climatique et de la multiplication des sécheresses. Un manifeste pour convaincre la ministre … Des motions de soutien ont été votées en grand nombre par des communes, des clubs sportifs ou des associations qui témoignent de l’acceptation du projet dans toutes les couches de la population. Mieux encore, le Collectif a remis en main propre un manifeste à Agnès Pannier-Runacher, ce 22 novembre en marge du Congrès des maires de France. Un texte porté par une délégation du Collectif dans lequel les signataires font état de la forte attente suscitée dans le territoire par l’espoir de voir un jour une paire d’ERP2 sur le site du Blayais. Cette démarche inédite n’est que le début d’un long parcours qui sera marqué par des études de faisabilité pour certains des sites candidats afin de vérifier leur compatibilité avec les exigences techniques d’EDF. Et ce seront les résultats de ces études et les coûts associés qui les départageront. Au final, il vaudra mieux pour EDF, comme pour le gouvernement, avoir le choix entre plusieurs sites que pas de choix du tout. Que les meilleurs gagnent !… Site confirmés, EPR2 premiere tranche 6 réacteurs : Penly Gravelines Bugey Site candidats, EPR2 deuxième tranche 8 réacteurs : Tricastin Chinon Blayais Golfech Nogent Chooz Belleville -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Nucléaire en Haute Gironde : des nouvelles « dès l’été » de la candidature du Blayais pour deux EPR ? https://www.sudouest.fr/environnement/nucleaire/nucleaire-en-haute-gironde-des-nouvelles-des-l-ete-de-la-candidature-du-blayais-pour-deux-epr-18656063.php Le territoire poursuit une action de lobbying en faveur de l’installation de deux réacteurs EPR2 sur le site de la centrale du Blayais, à Braud-et-Saint-Louis. Entretien avec Alain Desgranges, président du comité de suivi Trois sites ont été retenus pour l’implantation de paires de réacteurs EPR2 – Penly, Gravelines et Bugey. Une nouvelle sélection de quatre sites doit être annoncée. Comment le projet du Blayais se positionne-t-il ? Le dossier est bien avancé. Et la candidature du Blayais coche toutes les cases. L’étude préliminaire d’EDF se poursuit, de la même manière que sur les autres sites candidats, pour déterminer si le Blayais répond bien à tous leurs impératifs techniques. Il reste que sept territoires ont fait connaître leur candidature par voie de presse, dont dernièrement celui de Golfech, dans le Tarn-et-Garonne, à quelques kilomètres d’Agen. Et d’autres sites pourraient y prétendre. Nous considérons en outre que la candidature de la centrale du Tricastin [dans la Drôme, NDLR] devrait être retenue. Ce qui laisse six candidats pour trois paires d’EPR… Golfech est une deuxième option pour le gouvernement dans le Grand Sud-Ouest… Il est certain que les deux projets peuvent se voir opposés. Mais pourquoi ne pas faire les deux ? Les besoins en production d’électricité sont importants. L’arrêt des tranches (réacteurs, NDLR) du Blayais pour contrôle avait été décalé parce que Golfech était lui-même à l’arrêt. D’un point de vue technique, pour les besoins en eau, le Blayais est mieux positionné sur la Gironde que Golfech sur la Garonne… Nous serons peut-être fixés très bientôt. Le calendrier, selon vous, pourrait s’accélérer ? L’annonce définitive des sites retenus est initialement prévue en 2026. Le président de la République Emmanuel Macron s’est cependant exprimé sur ce sujet lors d’une conférence de presse donnée à l’Élysée mi-janvier. Il a affirmé qu’il annoncerait « dès l’été les grands axes pour les huit prochains » réacteurs de type EPR, dans le cadre de la relance du nucléaire. Certains sites peuvent être confirmés comme d’autres laissés de côté. Il nous faut maintenir la pression Vous êtes soutenus par la très grande majorité du territoire… Les communes et les communautés de communes de Haute Gironde nous ont très rapidement confirmé leur soutien. Le président de la Région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, est à nos côtés dans ce combat. Le Département de la Gironde a adopté une motion présentée par le groupe d’opposition de droite Gironde Avenir, moyennant l’abstention de la majorité. Nous sommes soutenus à tous les niveaux. Nous recevons même des soutiens du Département voisin de la Charente-Maritime. De nombreuses communes et la communauté de communes de Haute Saintonge, présidée par Claude Belot, sont très mobilisées. Le monde économique s’est également engagé en faveur de notre candidature, grâce à l’action de la Chambre de commerce et d’industrie Bordeaux Gironde, présidée par Patrick Seguin. Vous continuez à collecter des motions ? Nous y travaillons activement. Nous en avons réuni plus de 75. Plus de 900 élus, associations, chefs d’entreprise… ont signé notre manifeste. C’est un engagement impressionnant du territoire. Il faut rappeler par ailleurs que 87 % de la population à proximité de la centrale est favorable à la construction de nouveaux réacteurs. Le point faible de cette candidature était le manque d’offre de formations dans les métiers du nucléaire sur le territoire. Où en sommes-nous ? Le campus d’excellence des métiers et des qualifications « Maintenance en environnement sensible » forme des centaines de jeunes chaque année à travailler dans ces milieux exigeants et particuliers. Il fédère autour de ces enjeux un réseau d’établissements de formation allant jusqu’au Master 2 (lycées, CFA, centres de formation continue, universités…), d’organisations professionnelles, de clusters et d’entreprises. Son développement, décidé par la Région Nouvelle-Aquitaine et l’Académie sur le territoire de la communauté de communes de Blaye, bénéficie d’un investissement de plus de 10 millions d’euros, bâtiment d’hébergement compris. Que représenterait pour vous un échec de la candidature ? Il ne faut pas décevoir les attentes d’un territoire déjà en souffrance avec la crise viticole et saisir cette opportunité qui ne se représentera pas. La Haute Gironde est l’un des secteurs les plus pauvres de la région. Le Centre nucléaire de production d’électricité (CNPE) du Blayais est un ballon d’oxygène pour cette zone. Une récente étude Insee, doit-on le rappeler, précisait que la centrale faisait vivre quelque 9 400 personnes en 2017, dont 6 700 en Gironde, plus de 6 000 dans un territoire de 74 communes qui rayonne autour de Braud-et-Saint-Louis, de Mirambeau en Charente-Maritime, et de Saint-André-de-Cubzac. -
https://ukdefencejournal.org.uk/britain-confirms-plans-to-double-rocket-artillery-fleet/ Le ministère de la Défense a confirmé son intention de mettre à niveau et d'étendre sa flotte de système de fusées à lancement multiple (MLRS) à 85 véhicules au lieu de 40. L'information, confirmant les plans antérieurs, est venue en réponse à une question du député conservateur Mark François concernant les spécificités de la flotte actuelle et les futures stratégies d'amélioration. Le ministre d'État au ministère de la Défense, James Cartlidge, a révélé que le ministère gère une flotte opérationnelle de 26 unités MLRS, avec 50 systèmes supplémentaires détenus en réserve. Les plans de mise à niveau englobent 69 de ces systèmes pour un coût prévu de 481 millions de livres sterling. De plus, 158 millions de livres sterling supplémentaires ont été réservés à l'amélioration de 16 autres systèmes. Cette phase comprend l'acquisition d'unités excédentaires auprès de partenaires internationaux, dans le but d'étendre la flotte opérationnelle à 85 systèmes.
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Les partenaires de l'A400M approuvent un contrat de soutien des moteurs TP400 qui change la donne https://www.flightglobal.com/defence/a400m-partners-approve-game-changing-tp400-engine-support-contract/158082.article L'organisme européen de passation des marchés de défense OCCAR a signé avec Europrop International un contrat portant sur la poursuite du soutien en service des moteurs TP400 équipant les transports tactiques A400M d'Airbus Defence & Space pour les six pays de lancement du programme. L'organisme européen de passation des marchés de défense OCCAR a signé avec Europrop International (EPI) un contrat portant sur la poursuite du soutien en service des moteurs TP400 équipant les avions de transport tactique A400M d'Airbus Defence & Space pour les six pays de lancement du programme. Annoncé le 24 avril, l'accord Engine Support Step 2 (ESS2) a été conclu au nom des opérateurs de l'A400M : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Royaume-Uni et Turquie. Il a été signé par Joachim Sucker, directeur de l'OCCAR-EA, et Catherine Poincheval, présidente exécutive d'EPI. Les moteurs TP400 équipent une flotte de 124 avions de transport tactique A400M en service. EPI est un consortium de propulsion regroupant ITP, MTU Aero Engines, Rolls-Royce Deutschland et Safran Aircraft Engines. "Cet accord représente une avancée significative pour l'industrie et les États participants, car il résout le passé, aborde le présent et prépare l'avenir", déclare l'OCCAR. "Ce contrat quinquennal axé sur les services et les performances est considéré par toutes les parties comme un changement de cap", ajoute l'OCCAR. "Cette réalisation marque une étape importante dans le programme A400M et son moteur TP400, car elle permet à l'industrie de sécuriser ses investissements au profit du TP400, tout en répondant au souhait de l'OCCAR et des nations de mettre en œuvre de nouveaux services et de se concentrer sur la réduction du coût d'exploitation", indique le document. L'agence d'approvisionnement décrit le processus d'obtention d'un consensus sur l'accord ESS2 comme ayant impliqué "plusieurs années de négociations difficiles et intensives entre toutes les parties prenantes". L'OCCAR précise que les termes du nouvel accord comprennent l'amélioration de l'efficacité des accords de soutien précédents couvrant les réparations et les pièces détachées. De "nouveaux services à valeur ajoutée" ont également été introduits afin d'améliorer la disponibilité opérationnelle, parmi lesquels "l'analyse/le stockage des pièces retirées en vue d'une utilisation future potentielle, des groupes de travail à des niveaux de maintenance inférieurs, une gestion stratégique de la flotte et un service de recommandation de stock basé sur la modélisation de l'ensemble de la flotte de l'OEM". En outre, "une feuille de route exhaustive a été établie pour réduire le coût de possession des moteurs", indique l'OCCAR. À ce jour, Airbus a livré 124 avions de transport A400M Atlas sur un carnet de commandes total de 178. Outre les six pays européens partenaires du programme, ce total comprend également des appareils en service pour le Luxembourg (1) et la Malaisie (4), ainsi que des exemplaires en commande pour l'Indonésie (2) et le Kazakhstan (2).
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Le plus bizarre dans cette histoire c'est que la plainte de TKMS est fondé sur le fait que le "blacksword barracuda" de NG n'est pas un produit sur étagère "MOTS - military of the shelf" . Le problème c'est que leur propre proposition est basée sur le type 212 CD, qui n'est même pas encore en construction ... Je me demande quel nom ils ont donné a leur concept mais je doute que l'appeler "Type 212 CD NL" suffise a faire passer ca pour un modele sur étagère tant les modifications doivent être conséquentes. D'ailleurs a mon avis la proposition de Saab nest pas non plus sur étagère franchement ...
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Pourquoi soutenir la Russie séduit-elle bon nombre d'Européens ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Eau tarie dans Politique etrangère / Relations internationales
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je reposte ici, il me semble qu'il y a pas mal de système Diehl en Ukraine -
(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Boarf c'est pas grand chose, mais le layout de la centrale est devenue symétrique, avec la piscine d'entreposage des déchets entre les deux réacteurs ... Le premier concept ressemblait plus au Layout de Nuscale, avec les réacteurs cote a cote. Je suis assez d'accord avec son analyse, sur la guerre sale que font les US a filière française, mais surtout sur l'absence de debat sur l'Europe dans les élections européenne (spoiler c'est pareil aux Pays-Bas) ... Après pour tempérer le propos, les russes ne vont pas construire de nouvelles centrales en Europe de si tot... Et de l'autre coté je ne pense pas que Westinghouse a les ressources pour saturer le marché Européen de projet de grosses centrales nucleaire... déjà parce qu'il n'y a pas de programme de relance du nucleaire (hors SMR) aux états unis pour redonner un coup de pouce au secteur ... à l'inverse de la France (surtout si on confirme 14 EPR au minimum) En revanche je suis surpris qu'il ne parle pas des coréens qui eux profitent d'un marché interieur de déjà 8 centrales APR1400 en service ou construction, plus les 4 centrales aux EAU et les 3 centrales signées pour la Pologne , et ils participent encore à tous les appels d'offre Européens (PB/SLO/CZ...)... En plus leur produit de 1400MW rentre pile dans la gamme de puissance d'un EPR, alors que Westinghouse se limite a 1100MW. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Je lisais cet article de 2021 et en comparant avec la dernière brochure de septembre 2023, et on remarque déjà des premières différence d'agencement des centrales Nuward Ancien Nouveau -
Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Sois rassuré, je suis pret a parier que ce n'est pas Macron himself qui gère le compte twitter d'Opex360, ni le compte M51.4ever. Pas besoin d'un Gaffiot du macronisme -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Un des facteur importants ca va être le nombre de techniciens nécéssaires pour gérer un mini réacteur comme Jimmy ou Newcleo ... Parce que si tu te retrouve a avoir besoin d'1 technicien par MW ca devient vraiment compliquer d'être compétitif en face d'un EPR de 1650MW -
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Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Les 11 Lauréats de l'appel d'offre du gouvernement "Réacteurs Innovants" -
[Drone] Surface / Sous-marin
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Divers marine
Un beau bébé le Manta-Ray américain ! -
Hélicoptères de la Défense en GB / Helicopters in UK Defense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Hélicoptères militaires
Il veulent une ligne d'assemblage pour 30 hélicos ? -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
L'UE définit les conditions de l'aide d'État tchèque approuvée dans le domaine nucléaire https://www.world-nuclear-news.org/Articles/EU-sets-out-terms-for-allowing-Czech-nuclear-state La Commission européenne a approuvé le programme d'aide publique proposé par la République tchèque pour le nouveau nucléaire - après qu'une série de modifications ait été apportée pour répondre à ses préoccupations au cours d'une enquête qui a débuté en juin 2022. La République tchèque prévoit d'accorder un soutien direct des prix sous la forme d'un contrat d'achat d'électricité avec une société d'État à finalité spécifique, garantissant des revenus stables pour la nouvelle unité nucléaire prévue à Dukovany pendant 40 ans, avec un prêt subventionné de l'État pour couvrir la majorité des coûts de construction ainsi qu'un "mécanisme de protection contre les événements imprévus ou les changements de politique". En annonçant sa décision, la Commission européenne (CE) a déclaré que pour "garantir que l'aide est proportionnée et ne fausse pas indûment le fonctionnement du marché de l'électricité", la République tchèque avait "introduit une formule de rémunération qui s'apparente à un contrat bidirectionnel de différence, qui assure la stabilité des recettes et limite la rémunération excessive grâce à un règlement annuel ex post". Cela signifie en fait que si les prix de l'électricité sont inférieurs au niveau convenu, le projet nucléaire recevra une subvention pour atteindre le prix convenu, et si les prix de l'électricité sont supérieurs au prix convenu, le projet nucléaire remboursera l'argent au gouvernement. La Commission européenne a également indiqué que la période de soutien direct des prix avait été ramenée de 60 à 40 ans et que le prix d'exercice était fixé "sur la base d'un modèle d'actualisation des flux de trésorerie garantissant que le montant total de l'aide, compte tenu du prêt bonifié, est limité au déficit de financement du projet ...". Les actionnaires d'EDU II obtiendront un taux de rendement égal au rendement du marché que les investisseurs exigeraient pour un investissement similaire". Un mécanisme de récupération sera également mis en place pendant toute la durée d'exploitation de la centrale afin de garantir que "les gains supplémentaires générés par le projet seront partagés avec l'État tchèque" et "pour éviter la concentration du marché et éliminer le risque que la mesure procure un avantage à certains consommateurs d'électricité, la République tchèque s'est engagée à faire en sorte qu'au moins 70 % de la production d'électricité soit vendue sur le marché libre de l'électricité - à savoir les marchés à terme, intrajournalier et à terme - pendant toute la durée d'exploitation de la centrale électrique. Le reste de la production peut être vendu à des conditions objectives, transparentes et non discriminatoires par le biais d'enchères". Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la politique de concurrence, a déclaré : "La République tchèque soutiendra la construction d'une centrale nucléaire à Dukovany. Le rôle de la Commission est de veiller à ce que l'aide d'État proposée soit ciblée, proportionnée et n'affecte pas indûment le marché de l'énergie de l'UE. Au cours de notre enquête, la République tchèque a modifié la mesure initiale et a présenté des engagements substantiels. Cela nous a permis d'approuver l'aide". La République tchèque tire actuellement environ un tiers de son électricité des quatre unités VVER-440 de Dukovany, qui ont commencé à fonctionner entre 1985 et 1987, et des deux unités VVER-1000 de Temelín, qui ont été mises en service en 2000 et 2002. Elle lance actuellement un appel d'offres pour quatre nouvelles unités, deux autres étant prévues dans chacune des centrales existantes. Korea Hydro & Nuclear Power et l'EDF de la France sont les deux soumissionnaires. -
Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Les images ont été retweeté par la MN Il a bien un hélico en vol pour prendre la photo non de toute façon ? -
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Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
EDF commande à Framatome les chaudières nucléaires des futurs EPR2 https://www.sfen.org/rgn/edf-commande-a-framatome-les-chaudieres-nucleaires-des-futurs-epr2/ EDF vient de signer avec Framatome le contrat des chaudières qui équiperont les trois futures paires d’EPR2. Le contrat porte sur la conception, la fabrication, le montage et la mise en service des six chaudières. EDF a signé avec Framatome le contrat pour six chaudières nucléaires dans le cadre du futur programme EPR2. Il s’agit plus précisément de la fourniture des composants primaires (la cuve et son couvercle, les générateurs de vapeur et le pressuriseur), du contrôle-commande de sûreté, de l’instrumentation du cœur et des équipements associés à la chaudière. Le contrat va de la conception à la mise en service en passant par la fabrication et le montage des six EPR2 prévus à Penly, Gravelines et au Bugey. « Ce contrat, qui inclut des clauses de résiliation, permet de poursuivre la préparation du programme EPR2 », a précisé EDF à la Sfen. « Ce contrat est l’aboutissement d’un travail important de spécification et d’optimisation, indispensable pour assurer la performance attendue tout au long de la réalisation du programme de 3 paires. Il permet également de capitaliser sur le retour d’expérience des premiers EPR en exploitation ou en construction », a fait savoir l’électricien. De bonnes nouvelles pour Framatome Cette commande vient s’ajouter à d’autres bonnes nouvelles pour Framatome. En effet, il y a deux semaines l’entreprise a annoncé la signature de contrats de plusieurs milliards d’euros avec Sizewell Cltd. qui porte le projet de construction de deux réacteurs EPR dans le Suffolk, en Angleterre. Ces contrats concernent, entre autres, la fourniture et la mise en service de la chaudière nucléaire mais aussi leur approvisionnement en combustible. De plus, le site de Framatome au Creusot a, toujours en avril, remporté un prix dédié à la relocalisation pour le rapatriement de la fabrication des internes de cuve. L’actualité des EPR2 Du côté de l’EPR2, un futur débat public est à venir sur les deux unités de Gravelines (Nord), après celui achevé en 2023 sur les deux EPR2 de Penly (Seine-Maritime). Après un travail commun entre la Délégation interministérielle au Nouveau nucléaire (DINN) et EDF, il a été décidé en février dernier de reporter de six mois la finalisation du Basic Design des futurs réacteurs. Ce délai n’a pas d’impact sur le programme alors que le premier béton des EPR de Penly n’est attendu que pour 2027. En revanche, il doit permettre de lancer le projet sur les meilleurs rails en sécurisant la maturité du design, en « dérisquant » le projet et en cherchant un optimum économique. Ce travail doit aussi permettre de faciliter l’obtention d’un effet de série sur les premiers EPR2. -
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Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Rattraper l'echec de 2009 quand les coréens ont étés choisis ? Difficile d'y y croire au niveau timing, mais sait on jamais... D'ailleurs la France n'est pas mentionnée dans l'article. Émirats arabes unis / Le pays prévoit de lancer un appel d'offres pour quatre nouveaux réacteurs nucléaires https://www.nucnet.org/news/nation-planning-tender-for-four-new-nuclear-reactors-4-1-2024 Un rapport non confirmé indique que la construction pourrait commencer dès cette année Les Émirats arabes unis prévoient de lancer prochainement un appel d'offres pour la construction d'une nouvelle centrale nucléaire qui doublerait le nombre de réacteurs nucléaires commerciaux de l'État du Golfe, selon Reuters. Selon Reuters, trois sources au fait du dossier ont déclaré que les Émirats arabes unis prévoyaient de lancer un appel d'offres cette année, potentiellement dans les prochains mois, pour la construction de quatre nouveaux réacteurs. Les sources ont déclaré que les Émirats arabes unis souhaitaient attribuer l'appel d'offres et commencer la construction dès cette année, afin que la nouvelle installation soit opérationnelle d'ici 2032 pour répondre aux besoins énergétiques prévus. L'appel d'offres sera ouvert à tous les soumissionnaires potentiels, y compris les entreprises américaines, chinoises et russes, ont déclaré les sources, ajoutant que la Corée du Sud ne serait pas considérée comme un soumissionnaire privilégié. La Corée du Sud a fourni quatre de ses unités APR1400 pour la centrale nucléaire de Barakah, sur la côte du golfe Persique, à l'ouest de la ville d'Abou Dhabi, dans les Émirats arabes unis. Barakah est la première centrale nucléaire commerciale du monde arabe. Les unités 1, 2 et 3 de Barakah sont toutes commercialement opérationnelles, tandis que l'unité 4 a récemment été connectée au réseau national et a commencé à produire de l'électricité, l'exploitation commerciale complète approchant. Une fois commercialement opérationnelle, l'unité 4 portera la capacité totale de production d'électricité de Barakah à 5,6 GW, ce qui équivaut à 25 % des besoins en électricité des Émirats arabes unis et permet de produire plus de 40 TWh d'électricité par an. Les trois unités commercialement opérationnelles de Barakah produisent déjà plus de 30 TWh d'électricité, soit un peu plus de 12 % de la production d'électricité des Émirats arabes unis. Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique, la centrale nucléaire de Barakah est déjà le plus grand producteur d'électricité et la plus grande source d'électricité propre de la région. Les Émirats arabes unis ont déclaré vouloir faire de l'énergie nucléaire la principale source de production d'électricité hors hydrocarbures. La majeure partie de l'énergie produite aux Émirats arabes unis provient du gaz naturel et du pétrole. Le pays est également un grand exportateur de pétrole et de gaz, le gaz naturel représentant 63 % de l'approvisionnement énergétique total en 2021, selon l'Agence internationale de l'énergie.