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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Il suffisait de demander https://www.lefigaro.fr/societes/guerre-des-mines-le-francais-exail-decroche-un-nouveau-contrat-de-plusieurs-centaines-de-millions-d-euros-20250211?msockid=049eb9c8ccec6f6f3ec6ac59cd266ed2 Nouveau succès à l’exportation pour Exail Technologies. L’ETI de défense, spécialiste de la robotique aérienne, terrestre et navale, commence bien 2025, en annonçant, ce mardi, avoir signé un contrat portant sur la fourniture d’un système complet de lutte anti-mines avec une marine de premier rang (il en existe une vingtaine dans le monde). Le client a toutefois exigé de rester anonyme à ce stade. Son montant est tenu secret mais il est du même ordre de grandeur que le contrat remporté auprès des Marines Belge et Hollandaise (436 millions d’euros) et notifié en 2019. «Nous avons fait la différence car notre offre est la plus performante au meilleur prix. C’est ce que disent nos autres clients, en particulier la Marine Belge, qui est la référence OTAN en matière de guerre des mines, et Hollandaise qui ont acheté notre solution et l’ont montré à des représentants d’autres marines »
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USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
Titus K a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
Ça vient directement du Con Graisse -
USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
Titus K a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.congress.gov/bill/119th-congress/house-bill/1161 H.R.1161 - To authorize the President to enter into negotiations to acquire Greenland and to rename Greenland as "Red, White, and Blueland" Sponsor : Rep. Carter, Earl L. "Buddy" [R-GA-1] (Introduced 02/10/2025) Committees : House - Foreign Affairs; Natural Resources -
L'Écosystème de l'IA en France & Europe face aux géants Chinois, Américains ...
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Economie et défense
Le Royaume-Uni et les États-Unis refusent de signer la déclaration internationale sur l'IA https://www.bbc.com/news/articles/c8edn0n58gwo Le Royaume-Uni et les États-Unis n'ont pas signé d'accord international sur l'intelligence artificielle (IA) lors d'un sommet mondial à Paris. La déclaration, signée notamment par la France, la Chine et l'Inde, promet une approche « ouverte », « inclusive » et « éthique » du développement de cette technologie. Downing Street a déclaré que le Royaume-Uni « n'avait pas été en mesure d'approuver toutes les parties de la déclaration des dirigeants » et qu'il « ne signerait jamais que les initiatives qui sont dans l'intérêt national du Royaume-Uni ». Auparavant, le vice-président américain JD Vance avait déclaré aux délégués réunis à Paris qu'une réglementation trop stricte de l'intelligence artificielle (IA) pourrait « tuer une industrie transformatrice au moment même où elle prend son essor ». M. Vance a déclaré aux dirigeants mondiaux que l'IA était « une opportunité que l'administration Trump ne gaspillera pas » et que les « politiques d'IA favorables à la croissance » devraient être prioritaires par rapport à la sécurité. Il a ajouté que cela nécessiterait une réglementation qui favorise le développement de l'IA « plutôt que de l'étrangler ». M. Vance a ajouté que les dirigeants européens devraient surtout « regarder cette nouvelle frontière avec optimisme, plutôt qu'avec inquiétude ». Ses commentaires semblent le mettre en porte-à-faux avec le président français Emmanuel Macron, qui a défendu la nécessité d'une réglementation plus poussée. « Nous avons besoin de ces règles pour que l'IA progresse », a déclaré M. Macron lors du sommet. Le Royaume-Uni a déjà défendu l'idée de la sécurité de l'IA, le premier ministre de l'époque, Rishi Sunak, ayant organisé le premier sommet mondial sur la sécurité de l'IA en novembre 2023. Andrew Dudfield, responsable de l'IA au sein de l'organisation de vérification des faits Full Fact, a déclaré que la décision du gouvernement de ne pas signer le communiqué de Paris mettait cela en péril. « En refusant de signer la déclaration d'action internationale sur l'IA d'aujourd'hui, le gouvernement britannique risque de compromettre sa crédibilité durement acquise en tant que leader mondial de l'innovation en matière d'IA sûre, éthique et digne de confiance », a-t-il déclaré. Que dit l'accord ? La déclaration signée par 60 pays a pour ambition de réduire la fracture numérique en favorisant l'accessibilité de l'IA et en veillant à ce que le développement de cette technologie soit « transparent », « sûr » ainsi que « sécurisé et digne de confiance ». Une autre priorité est de « rendre l'IA durable pour les personnes et la planète ». L'accord note également que la consommation d'énergie de l'IA - qui, selon les experts, pourrait atteindre celle des petits pays dans les années à venir - a été discutée pour la première fois lors d'un sommet. « En examinant la déclaration du sommet, il est difficile de déterminer ce que le gouvernement désapprouve exactement », a déclaré Michael Birtwistle, directeur associé de l'Ada Lovelace Institute. En ce qui concerne la décision du Royaume-Uni de ne pas signer la déclaration, le porte-parole officiel du Premier ministre a déclaré aux journalistes que « ces discussions sont très vivantes » et que le Royaume-Uni a « travaillé en étroite collaboration avec les Français tout au long de ce processus ». « Ils restent l'un de nos partenaires les plus proches dans tous les domaines de l'intelligence artificielle », a-t-il ajouté. Des actes d'équilibrisme Le sommet s'inscrit dans un contexte de discussions sur l'impact du développement de l'IA sur la société, l'environnement et la gouvernance. Les décideurs politiques, les cadres et les diplomates ont réfléchi aux moyens d'exploiter les avantages économiques de l'innovation en matière d'IA, tout en tenant compte des risques liés à cette technologie. Le coup d'envoi a été donné par M. Macron, qui a publié sur les médias sociaux une compilation de faux clips humoristiques de lui-même dans des films et des séries télévisées populaires. « Ce sommet est axé sur l'action, et c'est exactement ce dont nous avons besoin en ce moment », a déclaré mardi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Elle a ajouté que l'approche de l'Europe en matière d'IA, qui a été défendue tout au long du sommet, mettrait également l'accent sur l'innovation, la collaboration et « l'adoption de la puissance de la technologie open source ». La réunion se déroule également à un moment où les tensions commerciales entre les États-Unis et l'Europe ne cessent de croître. Le président Tump a décidé d'imposer des droits de douane sur les importations d'acier et d'aluminium aux États-Unis, une décision qui affectera le Royaume-Uni et l'UE. Il est entendu que le Royaume-Uni ne prendra pas immédiatement des mesures de rétorsion, car il cherche à maintenir de bonnes relations avec l'administration Trump tout en resserrant ses liens avec l'UE. -
USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
Titus K a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
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C’est sur que ça va devenir difficile de faire la leçon à ceux qui achètent coréen …
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- artillerie
- roquette
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Comme Clem, j’ai pas bien compris. Si tu parles de l’artillerie principale, je vois pas la différence avec une FDI ? Oui, je m’amusait souvent à en faire pendant mes études, ça devient vite assez naturel donc ç’est resté
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[Union Européenne] nos projets, son futur
Titus K a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Politique etrangère / Relations internationales
Point de vue du PDG d'ASM (j'apprend qu'il est français) sur la compétitivité de l'UE ... notamment à 33:50 -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Sizewell C présente l'état d'avancement du projet au Parlement https://www.world-nuclear-news.org/articles/sizewell-c-reports-project-progress-to-parliament Le projet de centrale nucléaire Sizewell C au Royaume-Uni respecte les délais et le budget et est « le projet nucléaire le mieux préparé de l'histoire moderne du nucléaire », ont déclaré les députés dans le premier rapport annuel sur l'état d'avancement du projet. La mise à jour présentée aux députés par Sizewell C - détenue majoritairement par le gouvernement - décrit les progrès réalisés depuis que le projet a reçu son Development Consent Order (DCO) il y a un an. Julia Pyke et Nigel Cann, directeurs généraux conjoints de Sizewell C, ont présenté cette mise à jour au début de la Semaine du nucléaire au Parlement. Les députés ont également appris qu'une évaluation indépendante commandée par la banque HSBC au cabinet de conseil Enco a fait l'éloge des progrès du projet, déclarant que « Sizewell C est probablement le projet nucléaire le mieux préparé de l'histoire moderne du nucléaire ». L'évaluation indépendante a conclu : « Le projet Sizewell C a de grandes chances d'éviter les écueils qui ont conduit à des dépassements importants de calendrier et de coûts dans de nombreux projets nucléaires, y compris ceux qui utilisent des modèles de réacteurs EPR. Le projet mené par EDF prévoit que Sizewell C comporte deux réacteurs EPR produisant 3,2 GW d'électricité, soit suffisamment pour alimenter l'équivalent d'environ six millions de foyers pendant au moins 60 ans. Il s'agirait d'une conception similaire à celle de la centrale à deux réacteurs en cours de construction à Hinkley Point C dans le Somerset, l'objectif étant de la construire plus rapidement et à moindre coût grâce à l'expérience acquise dans le cadre de ce qui est le premier projet de construction d'une nouvelle centrale nucléaire au Royaume-Uni depuis une trentaine d'années. La mise à jour indique que le projet démontre les « avantages qui changent la donne » de la reproduction de la conception du réacteur de Hinkley Point C, avec 1 milliard de livres sterling (1,2 milliard de dollars) d'économies identifiées jusqu'à présent grâce à l'innovation et à la reproduction. Les députés ont appris que des contrats d'une valeur de 2,5 milliards de livres sterling ont déjà été conclus avec 290 fournisseurs au Royaume-Uni. À terme, le projet soutiendra plus de 70 000 emplois au Royaume-Uni et générera des revenus pour plus de 2 000 fournisseurs britanniques, 90 % des bénéfices de la chaîne d'approvisionnement se faisant sentir au Royaume-Uni. 1000 personnes sont aujourd'hui employées sur le site, avec une équipe de direction composée à 60 % de femmes. Depuis le début du programme en 2021, 50 % des apprentis recrutés par Sizewell C sont des femmes. La main-d'œuvre est actuellement composée de plus de 40 % de femmes. Le projet générera environ 2,92 livres sterling de valeur économique pour chaque livre sterling investie pendant la construction et créera plus de 100 milliards de livres sterling de valeur pour le Royaume-Uni au cours du cycle de vie du projet. Pyke et Cann ont commenté cette mise à jour : « Sizewell C est déjà un énorme moteur de croissance pour le Royaume-Uni, et l'équipe a réalisé des progrès extraordinaires au cours de l'année qui s'est écoulée depuis que nous avons reçu l'autorisation de commencer la construction. « Sizewell C respecte les délais et le budget, et sa base de coûts est stable. Cela s'explique en grande partie par le fait que nous utilisons exactement la même conception de réacteur qu'à Hinkley Point C, ce qui signifie que nous avons bénéficié de la recherche et de l'innovation déjà effectuées là-bas. « Sizewell C est le projet énergétique le plus important que le Royaume-Uni est susceptible d'entreprendre au cours des deux prochaines décennies, et ses avantages seront ressentis dans toutes les circonscriptions du pays. Le projet a reçu un financement supplémentaire de 2,7 milliards de livres sterling de la part du gouvernement dans le budget 2024 et devrait recevoir sa décision finale d'investissement lors de la prochaine révision des dépenses. -
Quai endormi, Mogami sous la lune, Ombres immobiles. Sous la lune pâle, L'acier fend la nuit, Flots argentées.
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https://www.meretmarine.com/fr/defense/le-premier-des-nouveaux-chasseurs-de-mines-belgo-neerlandais-a-rejoint-lorient Deux jours après son départ de Concarneau, l’Oostende est arrivé vendredi 7 février à Lorient, où il s’est amarré au quai des TCD. Depuis le port morbihannais, le bâtiment de 82.6 mètres de long pour 17 mètres de large va tester son système de combat grâce aux moyens d’essais du site lorientais de Naval Group. Il s’agira non seulement d’éprouver ses capteurs et son armement, mais aussi, ce qui constitue le point crucial de ce programme, son système robotisé de guerre des mines, fourni par le groupe français Exail. L’Oostende doit être livré à la marine à la marine belge au second semestre de cette année. Son premier jumeau, le Vlissingen, destiné aux Pays-Bas et lancé en septembre 2023, devrait bientôt débuter ses essais en mer en vue d’une livraison en fin d’année. Suivra le Tournai, mis à l’eau en juin 2024 et qui sera réceptionné par la Belgique en 2026, de même que le Sheveningen, dont la coque, produite par Piriou en Roumanie, devrait prochainement arriver à Concarneau pour son achèvement. Les huit autres bâtiments de cette série doivent être livrés d’ici 2030.
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L'Écosystème de l'IA en France & Europe face aux géants Chinois, Américains ...
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Economie et défense
https://www.linkedin.com/posts/mistralai_tomorrow-kicks-off-the-ai-action-summit-activity-7294435584431775744-dpnm A la veille de l'AI Action Summit, nous sommes ravis d'annoncer notre tout premier cluster AI ! Ce centre de données de pointe favorisera notre croissance et notre R&D. Il sera situé près de Paris, dans l'Essonne. Il sera équipé des dernières puces pour entraîner nos modèles et sera alimenté par une énergie décarbonée. Il sera opérationnel dans les mois à venir. Il s’agit d’une nouvelle étape décisive pour notre développement et notre indépendance et qui nous permettra de continuer de rendre l'IA toujours plus accessible, plus personnalisable et open-source pour tous ! Arthur Mensch, de Mistral AI : « Nous sommes plus créatifs, plus rapides et nous faisons moins de politique » https://www.leparisien.fr/high-tech/arthur-mensch-de-mistral-ai-nous-sommes-plus-creatifs-plus-rapides-et-nous-faisons-moins-de-politique-09-02-2025-N73WDOT5ENDSHJ6GH3KUXLPBAY.php EXCLUSIF. Le jeune patron de la pépite française de l’intelligence artificielle nous a reçus et a détaillé sa stratégie pour convaincre les Français d’utiliser, sans crainte, des outils européens. Il vient décontracté mais concentré, à quelques heures de l’arrivée sur les magasins d’applications de son Chat, chatbot intelligent concurrençant directement ChatGPT et revendiquant plusieurs millions d’utilisateurs. Le jeune patron de Mistral AI, Arthur Mensch nous reçoit ce jeudi 6 février dans les locaux de la start-up, tête de pont de l’intelligence artificielle en France, et même en Europe. Au menu, la recette du succès, bien sûr, mais aussi la question brûlante de la régulation et, plus largement, les craintes du grand public autour de l’IA, à l’heure où le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle doit réunir lundi et mardi au Grand Palais à Paris des chefs d’État et de gouvernement, dirigeants d’entreprise, chercheurs… Paris accueille le Sommet pour l’action sur l’IA. Qu’attendez-vous, en tant que patron de Mistral AI, d’un tel événement ? À ce que cela fasse rayonner la France et l’Europe comme un endroit de référence en intelligence artificielle. Nous sommes intéressés par la dimension géopolitique, commerciale — c’est l’occasion de présenter notre nouveau produit, le ChatPro —, mais c’est également l’occasion de s’adresser à une population plus grande, car l’IA n’est pas toujours bien comprise par les Français. Nous avons créé Mistral pour donner accès à une IA populaire et qui ne soit pas américaine. Quel est l’intérêt, pour un utilisateur français, d’utiliser Le Chat et pas ChatGPT ? Notre modèle parle très bien français et comprend mieux les biais culturels et les valeurs européennes. Vous allez donc préférer sa « personnalité ». Il est aussi plus vertueux en termes de confidentialité et de transparence, car il utilise des modèles ouverts, et surtout plus rapide, grâce à notre technologie à 1 000 mots par seconde. Alors que les Américains annoncent des centaines de milliards d’investissement et que la Chine épate avec son modèle DeepSeek, l’Europe fait entrer en application son règlement sur l’IA… Adhérez-vous à la petite musique qui dit que l’Europe régule pendant que le reste du monde innove ? Nous n’avons pas été aidés par le focus un peu long sur la régulation, mais il y a désormais une prise de conscience en Europe : si toutes les start-up travaillent main dans la main, nous pouvons être un leader. Nous innovons et nous méritons d’être plus reconnus pour ça ! DeepSeek utilise, par exemple, une architecture que nous avons mise à disposition en open source. Nous pouvons être fiers de ce que nous arrivons à faire en Europe. Mais il y a quand même des limites, notamment dans le financement… Il y a, bien sûr, des narratifs américains qui expliquent que nous n’avons plus rien à dire. Mais l’Europe a les meilleurs talents du monde en IA et, avec un bon produit, vous levez des capitaux considérables. Il y a des investissements étrangers en Europe dont il faut se réjouir ! Nous ne croyons pas qu’il faille disposer de 100 milliards d’emblée pour avoir les modèles les meilleurs du monde, et nous l’avons démontré. C’est en ramenant une soixantaine de scientifiques des États-Unis en leur expliquant que nous avions la meilleure équipe du monde que nous avons réussi à créer Mistral AI. Nous sommes plus efficaces, plus frugaux, plus créatifs, plus rapides, et nous faisons moins de politique. Il y a dans la société une peur latente de l’IA qui pourrait remplacer l’humain. Comprenez-vous cette appréhension ? Il faut que les Français testent, car ce n’est pas de la magie noire ! Et qu’ils apprennent à l’utiliser comme ils ont appris, il y a vingt ans, à utiliser un ordinateur personnel ou, il y a dix ans, un smartphone. L’IA sert à chercher de l’information plus efficacement qu’avec un moteur de recherche, à automatiser des tâches comme faire ses courses, gérer sa vie au quotidien à la maison et au travail. L’IA peut faire gagner le temps qu’on perd à certaines tâches, et donc le consacrer à plus important, comme le contact humain. L’IA n’est pas là pour remplacer les gens mais pour fluidifier leurs échanges. Elle facilite encore l’accès au service public — les demandeurs d’emploi, enseignants et étudiants utilisent notre technologie. Aujourd’hui, les plus jeunes savent mieux l’utiliser mais, à terme, notre objectif est de résorber la fracture numérique. L’un des domaines avec le plus de potentiel concret est la médecine. La révolution arrive? Oui, c’est une des plus grandes verticales, même si ce n’est pas celle qui l’adopte le plus vite. Des assistants IA permettent de deviner à partir de discussions avec des patients si c’est un problème grave, auquel cas on demande l’avis d’un médecin. Ils peuvent aussi aider à prioriser rapidement les patients qui arrivent aux urgences. La médecine, c’est souvent une question de filtres. On travaille également avec des sociétés américaines qui proposent des services de présence permanente auprès de patients qui ont besoin de soins. Ils vont vérifier s’ils prennent bien leurs médicaments, par exemple. L’IA peut être en permanence empathique, quel que soit notre état. On parle de plus en plus de souveraineté, tous ces services sont-ils hébergés sur des serveurs français ? Ce sont des serveurs européens, mais ces derniers ne sont pas toujours servis par des acteurs européens. On a aussi fait des partenariats avec des fournisseurs de cloud locaux pour des hôpitaux ou des entreprises. Pour construire de l’IA, il faut beaucoup de cartes graphiques et de capacités de calcul, et l’Europe en manque cruellement… On va d’ailleurs prendre notre part et investir plusieurs milliards d’euros dans un cluster qui sera installé en Essonne, pour pouvoir entraîner des systèmes encore plus performants d’ici quelques mois. Que pensez-vous de Grok, le système d’IA lancé par X et Elon Musk ? Il fait partie des nombreux acteurs américains qui dépensent beaucoup d’argent avec des niveaux de qualité pas forcément élevés. Et chacun a ses orientations éditoriales. Nous, on essaie d’être le plus neutre possible, dans les limites d’une modération acceptable. -
Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
J'avais posté dans le fil marine canadienne pas mal d'infos -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Visite de Modi en France a l'occasion du sommet sur l'IA https://actu.fr/provence-alpes-cote-d-azur/marseille_13055/emmanuel-macron-a-marseille-ce-que-vient-faire-le-president-avec-le-premier-ministre-indien_62231265.html De nouveaux projets autour du nucléaire Le président de la République Emmanuel Macron et le premier ministre indien resteront ensuite dans les Bouches-du-Rhône mais se déplaceront jusqu’à Saint-Paul-lès-Durance. Ils y visiteront le chantier du réacteur expérimental international de fusion nucléaire (Iter) de Cadarache. Ce projet de coopération, en retard de plusieurs années et dont le coût va s’alourdir de plusieurs milliards d’euros, « vise à travailler ensemble vers une technologie de pointe et surtout une énergie plus abondante, plus efficace », selon l’Élysée. La visite sera également l’occasion pour les deux pays de faire des annonces sur des projets communs autour de « nouveaux réacteurs » et notamment les « SMR », des petits réacteurs modulaires, a fait savoir l’Élysée. -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Quelques nouvelles du projet de construction de 4 nouvelles centrales aux Pays-Bas Cabinet : « Les nouvelles centrales nucléaires deviendront des entreprises d'État ». https://www.volkskrant.nl/economie/kabinet-nieuwe-kerncentrales-worden-staatsbedrijven~bea0396c/?referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com%2F Les quatre centrales nucléaires que le gouvernement souhaite construire deviendront très certainement des entreprises publiques. Les entreprises commerciales ne sont pas disposées à prendre les risques élevés liés à la construction et à l'exploitation d'une centrale nucléaire. C'est ce que révèle une étude du ministère du climat et de la croissance verte, a déclaré la ministre Sophie Hermans (VVD) dans une lettre adressée à la Chambre des représentants. Même avec un soutien important du gouvernement, ils ne veulent pas assumer cette responsabilité ». Selon Mme Hermans, « compte tenu de l'importance publique de l'approvisionnement en énergie », il est également important que les centrales nucléaires tombent dans le giron public. Le projet de construction de quatre centrales nucléaires aux Pays-Bas n'en est encore qu'au stade exploratoire. Tout ce qui est clair, c'est que le gouvernement les veut, car ces centrales peuvent jouer un rôle important dans un système électrique qui, à l'avenir, reposera largement sur les panneaux solaires et les éoliennes. Quand il fait sombre et qu'il n'y a pas de vent, les Pays-Bas auront toujours l'énergie nucléaire. Pour l'heure, l'une des principales questions qui se posent est celle de l'emplacement de ces quatre centrales nucléaires. Le cabinet précédent, qui voulait deux nouvelles centrales nucléaires, avait choisi Borssele comme lieu d'implantation, à côté de la centrale nucléaire existante. Le cabinet Schoof a depuis déterminé que Terneuzen, la Maasvlakte et Eemshaven étaient également appropriés. Ce dernier site est toutefois très sensible sur le plan politique, car les Grononais s'étaient vu promettre, après le scandale du tremblement de terre, qu'ils ne seraient plus jamais confrontés à des risques liés à l'énergie. Des coûts incertains Outre le choix des sites et la longue procédure d'autorisation, les coûts constituent l'autre grand problème. Le gouvernement les a budgétisés à environ 14 milliards d'euros, (C'était pour 2 centrales) mais le cabinet a écrit à la Chambre basse l'année dernière qu'il s'agissait probablement d'une sous-estimation et certainement d'une estimation très incertaine. Dans d'autres pays, la facture des centrales nucléaires est devenue incontrôlable. En Grande-Bretagne, par exemple, le coût de Hinkley Point était initialement estimé à 21 milliards d'euros, alors que la facture s'élève aujourd'hui à plus de 50 milliards d'euros. En Finlande, le compteur de la centrale nucléaire d'Olkiluoto, retardée de 14 ans, s'élève à 11 milliards d'euros, alors qu'il était initialement estimé à 3 milliards d'euros. L'impossibilité de trouver des investisseurs privés pour des investissements aussi risqués n'est pas surprenante au vu de ces exemples. Le cabinet va donc maintenant chercher la structure exacte dans laquelle une participation de l'État devrait s'inscrire au mieux, écrit M. Hermans. Avant de prendre des mesures irréversibles, la Chambre des représentants doit d'abord donner son accord. -
L'Écosystème de l'IA en France & Europe face aux géants Chinois, Américains ...
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Economie et défense
Mistral AI va ouvrir son premier data center en France https://www.usine-digitale.fr/editorial/mistral-ai-va-ouvrir-son-premier-data-center-en-france.N2227191 Le champion français de l'IA générative participe à l'effort de guerre autour du Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle avec l'annonce d'un premier data center dans l'Hexagone. Il sera situé dans l'Essonne. Mistral AI disposera bientôt de son propre data center. Celui-ci sera situé dans l'Essonne, département qui héberge déjà entre autres le Très Grand Centre de Calcul (TGCC) du CEA et les trois campus de Data4. Arthur Mensch, fondateur et PDG de la start-up, en a fait l'annonce au JT de 20 heures de TF1 ce 9 février. Il n'a cependant pas encore dévoilé de détails sur la capacité du centre de données, sa localisation exacte où les partenaires qui travailleront à sa construction. Arthur Mensch précise à l'antenne que Mistral l'utilisera pour entraîner ses modèles, mais aussi qu'il a choisi la France "pour son efficacité énergétique et la qualité de son mix énergétique en matière d'émissions carbone". Avant de poursuivre : "On l'a choisi aussi pour la qualité de ses techniciens et la qualité de ses déploiements en centre de données. Pour nous, c'est un choix qu'on fait de maîtriser l'ensemble de la chaîne de valeur, c'est-à-dire de la machine jusqu'au logiciel, parce que ça nous permet d'avoir l'efficacité dont on a besoin pour créer les meilleurs modèles et les créer de la manière la plus efficace possible." L'ambition d'être un leader mondial Champion français – et européen – de l'intelligence artificielle générative, Mistral AI a rapidement su s'imposer comme un concurrent de taille face aux ténors américains comme OpenAI, Google, Meta ou Anthropic. "On a l'ambition d'être un leader mondial, on l'a démontré sur le plan technologique, maintenant on avance sur l'aspect produit pour le démontrer aussi", déclare Arthur Mensch. "On a déplacé largement les champions américains qui prétendaient que ça coûtait extrêmement cher de faire ces technologies", assène encore le jeune PDG. L'une de ses forces est aussi le parti pris de l'open source, qu'il partage avec Meta et qui a secoué l'écosystème outre-Atlantique ces dernières semaines avec les modèles du chinois DeepSeek. "Notre créneau pour nous différencier auprès des entreprises c'est l'ouverture, c'est la capacité à se déployer n'importe où, sur n'importe quel type d'infrastructure, et c'est la capacité à gérer de la donnée d'une manière plus souveraine, avec une meilleure gouvernance et plus de confidentialité," avance Arthur Mensch. Tout en précisant au passage que ses modèles sont aussi "les plus efficaces du marché". -
L'avenir de la péninsule coréenne
Titus K a répondu à un(e) sujet de Andromeda dans Politique etrangère / Relations internationales
Très belle vidéo -
Moi je comprends que c'est pour indiquer qu'ils ne savent quand Taiwan pourra être livré de ses nouveaux E-2D, puisque sont déjà sur la liste d'attente : - 3 avions pour la France a partir de 2027 - 5 avions pour le japon a partir de 2028 Taiwan 2029 ?
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En septembre le gouvernement Néerlandais avait annoncé que la commande de frégates ASWF serait doublée, passant de 2 à 4 frégates ... quelques récentes rumeurs laissent a penser que ca pourrait n'être au final qu'1 frégate supplémentaire, soit 3 Frégates pour les Pays-Bas... compensée par un investissement dans les drones accompagnateurs MSS ? Je rappelle que la Belgique a aussi fait part de son intention de passer de 2 à 3 frégates Donc pour Damen : --> Probablement 6 frégates ASWF pour les deux pays (4+2 ou 3+3) ... peut être 7 au maximum. --> Puis à partir de 2034, 4 FuAD pour les Pays-Bas https://premium.marineschepen.nl/bestelling-2-extra-nederlandse-fregatten-onzeker/ En partie dans les coulisses, car, par exemple, le secrétaire d'État à la Défense, Gijs Tuinman, a déclaré lors de la foire navale à Paris, Euronaval, lors de diverses conversations avec l'industrie qu'une commande de deux frégates supplémentaires n'était pas certaine. Au lieu d'une deuxième frégate supplémentaire, cette capacité pourrait être remplie « avec innovation », tel était le raisonnement. ... Outre le désir d'innover davantage, la pénurie actuelle de personnel joue également un rôle dans cette position. Après avoir été accueillis avec incrédulité par des personnes de la marine et de l'industrie, les plans ont suscité des inquiétudes chez Marineschepen.nl. Peu de temps après, Marineschepen.nl a été informé par la marine que tout le monde était de nouveau sur la même longueur d'onde et que deux frégates ASW supplémentaires seraient finalement commandées. La lettre D n'allait pas tarder à arriver. Cependant, la lettre D n'est pas apparue au début du mois de février et la discussion ne semble pas résolue, ou pas en faveur de deux frégates supplémentaires. Suite aux questions posées par Marineschepen.nl cette semaine sur la position de la Défense, un porte-parole de la Défense a écrit que la Défense « comme nous l'avons signalé à l'Assemblée, souhaite augmenter les capacité de l'ASWF. Les derniers détails doivent encore être communiqués à la Chambre par le biais de la lettre D. Nous ne pouvons pas l'anticiper pour le moment. ». « Nous tenons à souligner que, lors de l'acquisition de cette capacité, nous prendrons explicitement en compte les possibilités d'innovation et les éléments non encadrés. Ainsi, alors que la Défense elle-même a précédemment mentionné une commande de deux frégates supplémentaires dans divers documents, la réponse ci-dessus ne répète pas ce chiffre.
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European AI startups raised $8B in 2024 --> https://techcrunch.com/2025/02/04/european-ai-startups-raised-8-billion-in-2024/ Bpifrance prévoit 10 milliards d'euros d’investissements dans l’intelligence artificielle d'ici 2029 --> https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/bpifrance-prevoit-10-milliards-d-euros-d-investissements-dans-l-intelligence-artificielle-d-ici-2029-20250207 L’organisme annonce un vaste plan qui bénéficiera aux start-up, mais aussi au fonds d’investissement actifs dans le domaine. La banque publique Bpifrance investira 10 milliards d'euros dans l'intelligence artificielle (IA) d'ici 2029, pour soutenir le développement de l'IA et son adoption par les entreprises, a-t-elle indiqué vendredi dans un communiqué. L'annonce intervient au deuxième jour des tables rondes scientifiques organisées en amont du sommet de Paris pour l'action dans l'intelligence artificielle, lundi et mardi, et après l'annonce mi-janvier par les États-Unis d'un plan d'investissement dans l'IA, baptisé «Stargate», à hauteur de 500 milliards de dollars. «Grâce à nos investissements et à notre soutien continu, nous renforçons la position de la France en tant qu’acteur mondial dans ce domaine stratégique», a déclaré au sein du communiqué le directeur général de Bpifrance, Nicolas Dufourcq. Bpifrance, qui a déjà mené plusieurs levées de fonds pour des start-up françaises spécialisées dans l’IA, a précisé que les 10 milliards d’euros débloqués seraient destinés à des investissements directs et indirects. Investir dans les fonds de fonds Les investissements directs iront à la fois dans des start-up, des acteurs spécialisés dans les infrastructures dédiées à l’IA ou les composants nécessaires au développement de cette technologie, tels que les puces. Mais l’enveloppe globale est également destinée à «renforcer l’action»de Bpifrance dans les fonds de fonds «français et internationaux», c’est-à-dire des fonds d’investissement qui investissent eux-mêmes dans d’autres fonds. Bpifrance n’a pas précisé si ces investissements dans des fonds de fonds seraient destinés à financer des entreprises d’IA exclusivement françaises. Avec l’organisation du sommet sur l’IA, la France espère «positionner Paris comme la capitale mondiale de l’IA», selon la ministre en charge de ce dossier, Clara Chappaz. Le gouvernement, qui a déjà annoncé que 35 nouveaux sites étaient prêts à accueillir des centres de données, espère des annonces d’investissements «massifs». L’entourage d’Emmanuel Macron évoque un ordre de grandeur «au moins»comparable à celui du sommet annuel Choose France. Vitrine annuelle de l’attractivité française avec ses centaines de patrons étrangers invités, ce sommet avait attiré 15 milliards d’euros d’investissements en 2024. SOMMET POUR L’ACTION SUR L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE --> https://www.elysee.fr/sommet-pour-l-action-sur-l-ia Une interview Arthur Mensch de Mistral AI -->