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Tout ce qui a été posté par Titus K
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https://x.com/xaviervav/status/1791433740821971174 I had the rare chance to interview Admiral Muhammad Ali, Chief of Staff of the Indonesian Navy @_TNIAL_ as he toured the Naval Group shipyard and an FDI frigate this morning. Stay tuned to @navalnewscom for our coverage
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Pensez vous qu'il est-il prévu d'installer un grand nombre d'ascenseurs a munitions sur le PANG à l'image du Ford ou du nouveau Fujian ? Sur le CDG il y a 2 monte-charges c'est bien ca ? Il y en a 6 sur le Fujian :
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Succession du CHARLES DE GAULLE : construction de porte-avions/drones légers?
Titus K a répondu à un(e) sujet de Salverius dans Divers marine
Avec un troisième avion embarqué different ? Ce sera quoi cette fois fois-ci, F/A-18, J-15, KF21, Tejas, Sea Gripen ? Ils ne prévoient même pas une petite catapulte pour des drones ??? -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Titus K a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
On parle de combien de "manifestants" en tout a votre avis ? -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Titus K a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Quand des puissances étrangères ciblent les outre-mer français https://www.radiofrance.fr/franceinter/quand-des-puissances-etrangeres-ciblent-les-outre-mer-francais-5403867 Russie, Chine, Azerbaïdjan, Comores... Plusieurs pays mènent des opérations d’ingérences ou de déstabilisation dans les outre-mer français. La Nouvelle-Calédonie et Mayotte sont les plus visées. Le drapeau azéri claque au vent en ce jeudi 28 mars. Il est reconnaissable à sa lune et son étoile blanches, sur trois bandes horizontales bleu, rouge et verte. À Nouméa, au cœur du Pacifique Sud, nous sommes pourtant très loin de l’Azerbaïdjan. Ce jour-là, des dizaines de milliers de personnes défilent dans la capitale de la Nouvelle-Calédonie, à l’appel de la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT). Ce sont essentiellement des Kanak, partisans de l’indépendance et mobilisés contre le projet de “dégel” du corps électoral, qui prévoit d’élargir le corps électoral local, et qui ferait, selon eux, la part belle aux partisans du maintien de l’archipel dans la République. Si les drapeaux de la Kanaky (nom donné à la Nouvelle-Calédonie par les indépendantistes) sont innombrables, en regardant de plus près, on aperçoit nettement le drapeau azéri à la tribune où se succèdent les orateurs. Le reportage de Calédonie Première (la chaîne de la télé publique locale) en atteste. --> je vous laisse lire le reste On marche sur la tête non ? --> https://en.wikipedia.org/wiki/Baku_Initiative The Baku Initiative is an international initiative of the European Union.[1] It is a policy dialogue on energy and transport cooperation between the European Union, Turkey, and the former Soviet republics, undertaken as part of the INOGATE energy and TRACECA transport programmes.[2] -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Titus K a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
L'ONU fait la même chose puisqu'elle considère saint Helene et les Malouines comme des colonies britanniques par exemple ... alors que dans les deux cas il n'y avait pas de population au moment de l'arrivée des européens. Ce qui est curieux c'est ceux qui défendent une préférence nationale (en fait ethnique) et un droit de vote non universel en nouvelle Calédonie ... -
H145/UH72 dronisé, ce serait pas une bonne solution sur le CDG pour servir de COD ? Voir même en avoir quelque uns sur BPC ? The UH-72 ULC is expected to be able to cruise at speeds of 135 knots out to ranges of at least 350 nautical miles, according to the Airbus website. The uncrewed Lakota will have a maximum payload capacity of around 4,000 pounds and be able to carry cargo internally and slung underneath its fuselage. Crewed UH-72s already have rear clamshell doors and an open cabin design with relatively large doors on either side, which translate well to an uncrewed cargo-carrying configuration.
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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Titus K a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Sont qualifiés de non autonomes, aux termes du chapitre XI de la Charte des Nations Unies, les « territoires dont les populations ne s'administrent pas encore complètement elles mêmes ». Dans sa résolution 66 (I) du 14 décembre 1946, l'Assemblée générale a dressé la liste des 72 territoires auxquels s'appliquait le chapitre XI de la Charte. En 1963, le Comité spécial chargé d'étudier la situation en ce qui concerne l'application de la Déclaration sur l'octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux (également appelé « Comité spécial de la décolonisation » ou « C-24 ») a approuvé une liste préliminaire de territoires auxquels s'appliquait la Déclaration (A/5446/Rev.1, annexe I). À l'heure actuelle, 17 territoires non autonomes, dont la liste figure ci-après, demeurent à l'ordre du jour du Comité spécial. On appelle Puissances administrantes les États Membres des Nations Unies qui ont ou qui assument la responsabilité d’administrer ces territoires. Je me demande si Hong Kong ou le Xinjiang ca être rajouté cette liste ? Y a t il une distance minimale au territoire colonisateur ? Quid des terroires ocuupés de palestine ? Pourquoi la Polynésie française et la Nouvelle Calédonie sont sur cette liste mais pas Wallis et Futuna ? Tant de question ! -
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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Titus K a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Naïvement comment fonctionne ce ce processus ? -
[Démonstrateur RACER By Airbus Helicopters]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Enfin une vidéo pour officialiser le succès... bon pas beaucoup d'images des vols d'essai -
Slovaquie
Titus K a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
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Géorgie
Titus K a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Un début de réponse peu être ? https://www.lefigaro.fr/international/loi-russe-adoptee-en-georgie-les-europeens-aux-cotes-de-la-rue-20240514 Au sein des Vingt-Sept, ce sont les pays Baltes, eux-mêmes anciennes républiques soviétiques, qui expriment le plus de solidarité à l’égard du peuple géorgien. Les ministres estonien, letton, lituanien et islandais des Affaires étrangères ont déclaré dans la foulée se rendre en Géorgie «pour exprimer (leurs) inquiétudes aux responsables politiques et rencontrer la société civile», estimant que le projet de loi «était incompatible avec l’orientation proeuropéenne du pays». Plus tôt dans la journée, la Commission avait lourdement insisté sur les «graves conséquences» qu’aurait l’adoption de cette loi, faisant clairement savoir que cette législation constituerait un obstacle au processus d’adhésion de la Géorgie à l’UE. Mais le projet de loi a poursuivi son chemin avec une efficacité brutale, parfois au sens propre, lorsque plusieurs bagarres ont éclaté au sein du Parlement géorgien. Ce texte a été décrit comme un outil «inspiré par le Kremlin» pour traquer les médias indépendants et les voix de l’opposition, dans un pays qui a longtemps oscillé entre la sphère d’influence russe et ses rêves européens. La loi doit désormais être transmise à la présidente, qui a dit vouloir y mettre son veto, mais le parti au pouvoir dispose d’assez de voix au Parlement pour passer outre. Officiellement candidate à l’entrée dans l’Union européenne depuis décembre dernier, la Géorgie incarne la guerre d’influence que livre la Russie dans les anciens États membres de l’URSS. L’accession à l’UE est vue par tout un pan de la population comme étant le seul futur possible pour le pays, alors que le gouvernement géorgien semble aujourd’hui pencher du côté de Moscou. -
Réponse le jour même haha
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Slovaquie / Le gouvernement est prêt à approuver la construction d'une nouvelle centrale nucléaire, selon le Premier ministre https://www.nucnet.org/news/government-set-to-approve-new-nuclear-power-plant-says-pm-5-3-2024 Le ministre aurait déclaré que la Russie serait exclue de l'appel d'offres La Slovaquie dispose de trois réacteurs nucléaires à Mochovce (photo) et deux à Bohunice. Courtoisie de SkodaJS. Le gouvernement slovaque est sur le point d'approuver le développement d'une unité de production d'énergie nucléaire supplémentaire de 1 200 MW, selon le premier ministre Robert Fico. S'exprimant lors d'une récente conférence de presse, M. Fico a révélé que le gouvernement pourrait prendre une décision sur la préparation du projet lors d'une réunion prévue le 15 mai. "Nous avons conclu un accord selon lequel la Slovaquie - l'État - a intérêt à construire, sous la propriété de l'État, une unité nucléaire massive d'une puissance allant jusqu'à 1 200 MW", a-t-il déclaré. Il n'a pas précisé où cette nouvelle unité serait construite. Le ministre de l'économie, Denisa Sakova, a été cité dans la presse locale comme ayant déclaré que, bien que la Slovaquie ait adopté une position plus pro-russe sous l'administration de M. Fico, le fournisseur de la nouvelle unité nucléaire serait choisi par le biais d'une procédure d'appel d'offres, excluant explicitement la participation de l'entreprise nucléaire publique russe Rosatom. La Slovaquie possède cinq réacteurs nucléaires commerciaux - trois à Mochovce, dans le sud-ouest du pays, et deux à Bohunice, dans l'ouest - tous de type VVER-440, réacteur à eau pressurisée conçu par la Russie. La dernière unité du pays, Mochovce-3, a été mise en service à la fin de l'année 2023. Une unité identique, Mochovce-4, est toujours en construction. Le parc a produit environ 59 % de l'électricité du pays. Mochovce-3 augmentera la part du nucléaire dans la production d'électricité du pays. -
Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je me rappelle d'un message sur le forum qui disait qu'en outre-mer, c'était justement la menace sous-marine qui se démocratisait de + en + (y compris drones) et contre laquelle il fallait s'armer, c'est pas dommage de ne pas installer un captas compact ? -
suite Vingt ans D'après les propos du ministre Adriaansens, Naval Group prévoit d'attribuer des travaux d'une valeur de "centaines de millions d'euros" à des entreprises néerlandaises sur les quelque 5 milliards d'euros que coûteront les bateaux (sans compter la réserve pour risques). Cela ne signifie pas encore que tous les travaux seront liés aux sous-marins. Dans le cadre de cet accord de coopération, l'ICA, le chantier naval retenu est libre d'attribuer à une entreprise néerlandaise des contrats qui ne relèvent pas non plus du domaine des sous-marins. C'est au chantier naval de présenter un plan. Même pour les entreprises qui bénéficient d'une position privilégiée, on ne sait pas encore exactement ce qu'elles feront. Si une entreprise néerlandaise est impliquée, cela peut signifier qu'elle peut se plonger dans la conception, mais dans le pire des cas, elle n'obtiendra que des travaux relativement simples dont elle n'est pas consciente. De nombreuses gradations sont également possibles dans les exemples cités par Naval Group. Selon Adriaansens, l'ICA a des obligations légales strictes pour obliger le chantier gagnant à respecter le plan convenu. La durée de l'ICA constitue toutefois un obstacle : 20 ans, a indiqué la Défense à la suite de questions posées par Marineschepen.nl. Il faudra attendre la période 2024 - 2044 pour savoir si le plan sera réellement mis en œuvre. Une durée aussi longue a pour conséquence qu'il est difficile d'obliger un chantier naval à respecter ses engagements. Des conséquences sur le prix ? Les entreprises néerlandaises doivent donc soumettre des offres, mais un prix a déjà été mentionné dans la proposition française. Selon Carel Prins, l'intégration de ces entreprises néerlandaises dans la conception pourrait entraîner une augmentation des coûts. Cela pourrait, selon lui, avoir une incidence sur le prix final. Mais, selon M. Prins, il ne s'agit pas d'une question d'économie. Prins : "Le contrat de maintenance est séparé du contrat d'achat. Cela semble plus simple, mais si vous n'êtes pas impliqué dans la conception et que vous n'avez pas consulté vos propres services de maintenance navale, vous risquez de rencontrer des problèmes. Il est donc moins intéressant de savoir si le soudage ou quoi que ce soit d'autre viendra aux Pays-Bas que de savoir si notre industrie et nos instituts de recherche sont impliqués dans la conception." Différent sous l'eau et en surface ? La Défense achète un bateau à l'étranger, n'a que peu d'influence sur la conception et laisse au marché le soin de décider si des entreprises néerlandaises peuvent y participer. C'est exactement ce que les représentants de la Défense eux-mêmes ont déconseillé à la Chambre des représentants le 3 avril 2024. Bien sûr, le briefing technique de l'époque concernait les navires de transport amphibie et le remplacement des frégates de défense aérienne et de commandement. En d'autres termes, il s'agissait de navires de surface pour lesquels les Pays-Bas disposent aujourd'hui d'une industrie. Mais ces arguments s'appliquaient également aux sous-marins il n'y a pas si longtemps, et bien que l'industrie sous-marine aux Pays-Bas ne soit plus aussi importante, les navires de surface et les sous-marins ne sont pas des mondes parallèles. On ne voit pas pourquoi, compte tenu de l'argument de la Défense, celle-ci ne vise pas une situation similaire à celle des navires de surface pour les sous-marins. Suite à une question de Jimme Nordkamp (GL-PvdA), les trois experts de la défense ont expliqué pourquoi il n'a pas été choisi d'acheter des frégates à l'étranger. "Sur la base de nos vastes connaissances industrielles et technologiques aux Pays-Bas, tant dans l'industrie néerlandaise que dans nos centres de connaissances, nous constatons que nous sommes finalement un peu plus intelligents et moins chers que d'autres pays", a déclaré le Commodore Harold Boekholt, directeur de Projects COMMIT. "Si nous optons pour un navire anglais ou américain standard, nous serons plus chers, ou nous aurons un prix égal avec une capacité moindre si nous considérons les applications françaises dans ce domaine, par exemple. KTZ George Pastoor, chef du département des opérations navales à la direction des plans, a ajouté que l'achat d'un autre système de gestion des combats a des conséquences. Aujourd'hui, la Défense dispose de ce système en interne (y compris pour les sous-marins). Selon M. Pastoor, les ajustements peuvent être effectués en quelques semaines, alors qu'avec un CMS commercial, il faut compter six mois ou un an avant de pouvoir commencer les ajustements. Selon Maarten van Meurs, conseiller principal en matériel, la Défense "pense qu'il est important de disposer de ces connaissances et de cette technologie en interne". Pour les améliorations à court terme et les modernisations à long terme. [Nous pouvons ainsi préserver notre autonomie dans ce domaine". Le 19 avril, la Chambre des représentants a posé 200 questions auxquelles la Défense devait répondre le 10 mai. Elle devrait le faire cette semaine.
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Encore beaucoup d'incertitudes autour des nouveaux sous-marins https://marineschepen.nl/nieuws/Nog-veel-onzeker-rond-nieuwe-onderzeeboten-150524.html L'offre du chantier naval français Naval Group était inférieure d'un milliard et demi d'euros à celle de Saab-Damen. Comment cela se fait-il et qu'est-ce que cela signifie ? Quoi qu'il en soit, la différence de prix est frappante. On ne sait pas non plus si et sous quelle forme l'industrie néerlandaise sera autorisée à coopérer sur le bateau. Les entreprises néerlandaises seraient en concurrence avec les fournisseurs français ou Naval Group lui-même. Les sous-marins et les frégates sont-ils construits dans des univers complètement différents ? Le 15 mars, le secrétaire d'État à la défense sortant, Christophe van der Maat, a annoncé que Naval Group était, pour l'instant, le vainqueur. Jusqu'à peu de temps avant l'annonce, le choix attendu de l'offre française a fait l'objet de vives critiques. La tempête s'est toutefois rapidement calmée après l'annonce. Le secrétaire d'État Van der Maat et la marine ont déclaré que le chantier français était le meilleur bateau au meilleur prix, avec une contribution néerlandaise maximale. En outre, les experts interrogés par Marineschepen.nl ont accueilli très favorablement les informations communiquées sur les bateaux. Le dossier soulève toutefois de nombreuses questions, d'autant plus que le magazine EW a révélé que le prix de l'offre française était inférieur de 1,5 milliard d'euros à celui de Saab-Damen. Comment une telle différence de prix est-elle possible dans un marché où les marges bénéficiaires sont faibles ? Il ressort également des conversations que Marineschepen.nl a eues avec plusieurs entreprises néerlandaises qu'il n'est pas du tout certain que les entreprises néerlandaises joueront un rôle à bord des sous-marins. En attendant, c'est précisément la Défense qui a plaidé devant la Chambre basse en faveur du maintien des connaissances et du travail à domicile pour les navires de surface. En ce qui concerne les frégates néerlandaises, il a été dit que les Pays-Bas peuvent le faire "plus intelligemment et à moindre coût" que d'autres pays. Le dossier n'est pas calme parce qu'il n'y a plus de questions (deux cents ont été posées par la Chambre des représentants), mais les informations sont rares. La défense ne veut presque rien dire sur l'affaire. Les employés de l'organisation matérielle COMMIT ont dû signer un accord de confidentialité, qui s'ajoute au secret dont ils jouissaient déjà. Pourtant, les informations commencent à filtrer, surtout à l'approche de la date prévue pour le débat sur les sous-marins. "J'aimerais avoir une autre conversation" La différence de prix de 1,5 milliard d'euros évoquée par EW n'a pas été confirmée par la défense. Naval Group a déclaré dans un commentaire que l'entreprise souhaitait offrir "le meilleur bateau au meilleur prix", mais n'a pas pu en dire plus sur le prix lui-même. Une différence de prix de 25 % n'est pas facile à expliquer. Certainement pas parce que les concepteurs français ont encore besoin de beaucoup de temps pour la conception, car la version envisagée pour les Pays-Bas diffère grandement du bateau nucléaire français et de la variante diesel-électrique australienne (annulée). En outre, certains systèmes doivent encore être développés, comme le moteur électrique de ce grand sous-marin. Et certains systèmes sont les mêmes : les torpilles MK 48 et les armes de croisière Tomahawk. Les salaires ne sont pas non plus moins élevés en France qu'aux Pays-Bas et en Suède. D'autre part, la question est de savoir si Naval Group a cassé les prix ou si Saab et Damen sont en réalité très chers. Damen n'a généralement pas la réputation d'être cher, ce que la Défense elle-même confirme (voir ci-dessous). Selon une source, une partie de la différence de prix pourrait s'expliquer par le fait que les exigences financières du ministère de la défense ont entraîné une hausse considérable des coûts. Cela aurait particulièrement affecté les chantiers Saab et tkMS. "Avant de pouvoir dire quoi que ce soit à ce sujet, il faut savoir exactement ce qui a été proposé", déclare Carel Prins. M. Prins travaillait à la Rotterdamsche Droogdok Maatschappij (RDM), où il a participé à la conception du sous-marin Moray et aux tentatives de vente aux Pays-Bas et à l'étranger. "S'il s'agit uniquement du montant en bas de la ligne, sans plus savoir ce qu'il représente en termes de contenu, c'est un peu court. Il se peut que le montant de l'offre française soit inférieur de 1,5 milliard, mais cela ne veut rien dire. "À l'époque du Moray, j'étais impliqué dans l'offre faite à l'Indonésie", explique M. Prins. "Un concurrent proposait une offre nettement inférieure à celle que nous pouvions faire. Mais j'ai vu l'offre et j'ai vu toutes sortes de pièces jointes : si vous voulez un deuxième périscope, tant de choses viennent avec, et si vous voulez ceci ou cela, tant de choses viennent avec". "Il se peut que cette offre soit pleine de composants français et que s'ils doivent être remplacés par un autre produit, alors le prix augmente." "Pour le Moray, poursuit M. Prins, nous avons reçu des offres de plusieurs fournisseurs pour un CMS [système de gestion de combat, logiciel pour combattre avec le bateau]. Une offre était deux fois plus chère que les autres. Une analyse plus poussée a révélé qu'elle contenait d'énormes couches de modèles électroniques et de méthodes d'analyse, ce qui en faisait un système très cher et très compliqué." "Que signifie donc un montant inférieur ? Je n'en sais rien. Si j'avais de telles différences de prix dans une offre, je voudrais discuter plus en détail avec les fournisseurs. Cela nécessite certainement une ventilation détaillée du prix". Selon M. Prins, il ne devrait pas s'agir du prix d'achat, mais du prix total du bateau. "Supposons qu'un bateau soit plus cher à l'achat, mais qu'il soit conçu en tenant compte de l'entretien, il se peut que ce bateau soit finalement beaucoup moins cher. Alors qu'avec un bateau moins cher à l'achat, il faut démonter 26 tuyaux et câbles avant de pouvoir accéder à une pompe pour effectuer des réparations". Participation des entreprises néerlandaises ? "Je suis convaincu que la proposition française ne sera pas un mauvais bateau", poursuit M. Prins, "et que les Français sont capables de construire de bons sous-marins. Mais ce qui m'importe, c'est de savoir combien d'entreprises néerlandaises participeront effectivement à la conception. "Ma grande inquiétude est que les entreprises néerlandaises ne soient pas impliquées dans la conception de ce bateau français. Car si vous ne participez pas, c'est que vous ne faites pas les choses correctement. Le produit est suffisamment compliqué pour qu'il y ait des oublis. Même pour les personnes qui s'y connaissent. Si vous n'avez aucune influence, vous ne savez pas non plus ce que vous obtenez. Les Pays-Bas n'ont pas fixé d'exigence minimale pour la participation de l'industrie néerlandaise, a déclaré une source à Marineschepen.nl, et cela s'est reflété dans les propos du ministre sortant des affaires économiques et du climat, Micky Adriaansens, lors du débat du 13 mars. Plus tard, Adriaansens a déclaré qu'il était satisfait du choix de Naval Group ; des centaines de millions iraient à des entreprises néerlandaises et, plus tard, "de véritables milliards". Naval Group a présenté une liste d'entreprises néerlandaises qui collaboreraient à la construction du sous-marin peu de temps après l'attribution du contrat. Mais l'affichage du logo de ces entreprises ne signifie pas encore qu'elles ont signé un contrat avec le chantier français. Naval Group, interrogé par Marineschepen.nl pour savoir si des contrats ont déjà été signés, déclare que "la coopération avec le NL DTIB [l'industrie néerlandaise] est essentielle pour atteindre l'autonomie stratégique nécessaire. Nous avons eu la chance de pouvoir tirer parti de nos liens existants avec le NL DTIB et d'en établir de nouveaux pour le programme de sous-marins néerlandais, notamment avec d'éminents membres du DUKC [entreprises du secteur néerlandais de la construction de sous-marins]. Ainsi, des technologies clés seront développées aux Pays-Bas, telles que le système intégré de gestion de la plate-forme, des matériaux spécifiques réduisant le bruit et des équipements de détection innovants". Toutefois, les entreprises avec lesquelles Marineschepen.nl s'est entretenu n'ont pas encore de contrat et doivent soumettre des offres. Pour obtenir du travail, elles doivent être choisies parmi les fournisseurs existants ou les départements de Naval Group. Il n'est donc pas encore certain que ces entreprises joueront un rôle dans le développement des bateaux. C'est Naval Group qui s'en chargera en dernier ressort. L'état d'esprit diffère selon les entreprises, car les trois chantiers ont chacun leur propre approche. Alors que l'un d'entre eux s'attendait à obtenir plus de travail chez Naval Group, Saab a montré plus d'intérêt pour une autre entreprise néerlandaise. Selon des entretiens avec des entreprises néerlandaises, l'entreprise suédoise a indiqué qu'au moins deux entreprises obtiendraient du travail après l'attribution du contrat, sans avoir à soumettre un autre appel d'offres. Les entreprises identifiées par Naval Group sont positives et pleines d'espoir. Toutefois, la possibilité que l'industrie néerlandaise ne reçoive que des "miettes", comme cela a été évoqué il y a quelques années, est toujours présente.
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2023 Guerre de Soukhot
Titus K a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
en voila 3 Quand la Chine, la Russie et l’Iran se soucient des droits de l’homme… en France https://www.lepoint.fr/societe/quand-la-chine-la-russie-et-l-iran-se-soucient-des-droits-de-l-homme-en-france-02-05-2023-2518535_23.php#11 -
Ici ils disent que 28" c'est pour l'exterieur du Mk57 non ? https://www.seaforces.org/wpnsys/SURFACE/Mk-57-missile-launcher.htm EDIT : non je suis bete je me suis trompé, je laisse le message pour les chiffres
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Les deux consortiums vont proposer deux camions porteurs differents ? Ce serait pas mal que les deux soit compatibles avec le MLRS, si jamais on se décide un jour de financer la roquette qui n'aura pas été retenue en premier lieu ...
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Concept SkunkWorks d'un ravitailleur furtif https://theaviationist.com/2024/05/13/skunk-works-release-new-kc-z-stealth-tanker-rendering/
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Concurrence européenne : Agreement Reached For Super-Sonic Strike Missile (3SM) Tyrfing Development https://www.navalnews.com/naval-news/2024/05/agreement-reached-for-super-sonic-strike-missile-3sm-tyrfing-development/ Kongsberg Defence & Aerospace, along with its German partners Diehl Defence and MBDA Deutschland, have teamed to ensure the successful development of the future Norwegian and German super-sonic strike missile known as 3SM Tyrfing. The team will work closely with the Norwegian and German Defence Forces as well as their national research organisations to define and develop the world’s most advanced long-range strike capability designed to meet future surface threats.