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Tout ce qui a été posté par collectionneur

  1. Journée noire pour les hélicos., un appareil russe à explosé avec 16 militaires Vietnamiens dont 2 généraux. :?
  2. Plus sérieusement, voici les scénarios possibles d'aprés la Fondation de Recherche Stratégique :arrow:
  3. Les Mollah n'avait qu'a pas demandé de voter pour lui :lol: ;) L'Iran préfère Bush à Kerry 19.10.2004 Le gouvernement iranien vote Bush. Pourtant accusé par celui-ci d'appartenir à "l'axe du Mal", d'accueillir des membres d'Al-Qaïda et de chercher à se doter d'armes nucléaires, l'Iran a apporté son soutien au président américain pour l'élection du 2 novembre. Historiquement, les démocrates, dont John Kerry est le candidat, ont causé plus de torts à l'Iran que les républicains, a expliqué Hassan Rowhani, chef du Conseil suprême de la sécurité nationale iranienne. "Nous n'avons rien vu de bon des démocrates. (...) Nous ne devons pas oublier que la plupart des sanctions et des pressions économiques imposées à l'Iran l'ont été à l'époque de Clinton. Et nous ne devons pas oublier que Bush, malgré sa rhétorique dure et sans fondement contre l'Iran, n'a pas pris concrètement de mesures dangereuses contre l'Iran", a déclaré M. Rowhani à la télévision iranienne. C'est la première fois depuis plusieurs décennies que l'Iran se prononce ouvertement en faveur de l'un des candidats à la présidentielle américaine. Téhéran préfère généralement les républicains aux démocrates, qui ont tendance à faire davantage pression sur la question des droits de l'Homme. "Nous ne désirons pas voir les démocrates prendre le pouvoir", a reconnu M. Rowhani.
  4. Preuve s'il en est qu'Israel ne controle pas les médias :rolleyes: Il a aussi des sondages disant que les Iraniens aurait voté Georges W Bush :lol: Et le gouvernement Iranien l'a aussi soutenut :arrow: L'Iran préfère Bush à Kerry 19.10.2004 Le gouvernement iranien vote Bush. Pourtant accusé par celui-ci d'appartenir à "l'axe du Mal", d'accueillir des membres d'Al-Qaïda et de chercher à se doter d'armes nucléaires, l'Iran a apporté son soutien au président américain pour l'élection du 2 novembre. Historiquement, les démocrates, dont John Kerry est le candidat, ont causé plus de torts à l'Iran que les républicains, a expliqué Hassan Rowhani, chef du Conseil suprême de la sécurité nationale iranienne. "Nous n'avons rien vu de bon des démocrates. (...) Nous ne devons pas oublier que la plupart des sanctions et des pressions économiques imposées à l'Iran l'ont été à l'époque de Clinton. Et nous ne devons pas oublier que Bush, malgré sa rhétorique dure et sans fondement contre l'Iran, n'a pas pris concrètement de mesures dangereuses contre l'Iran", a déclaré M. Rowhani à la télévision iranienne. C'est la première fois depuis plusieurs décennies que l'Iran se prononce ouvertement en faveur de l'un des candidats à la présidentielle américaine. Téhéran préfère généralement les républicains aux démocrates, qui ont tendance à faire davantage pression sur la question des droits de l'Homme. "Nous ne désirons pas voir les démocrates prendre le pouvoir", a reconnu M. Rowhani.
  5. Voici la liste des installations nucléaires déclaré par l'Iran en 2003 ;) :arrow: http://www.globalsecurity.org/wmd/world/iran/nuke-fac.htm
  6. Que pensez vous de cette proposition de DDavid :lol: :arrow: Si les pays européens veulent la jouer machiavélique, ils devraient pousser à une guerre -si possible nucléaire limitée- entre les USA et la Chine. Cela réduirait à néant les capacités financières et industrielles de ses deux pays avec quasiment aucun dommage collatéral pour les pays de l'UE. La géopolitique ayant horreur du vide, ces derniers en profiteraient pour pousser leurs pions dans les secteurs industriels, économiques, politiques et culturels. Voir nous vendrions notre aide très chèrement à un des deux camps pour être sur qu'il l'emporte, mais en s'assurant de le laisser sous tutelle économique pour les 50 ans suivants.
  7. Peut on rappelez qui a plusieurs reprises menacé d'anihiler tout un peuple :?: Avez vous vue un dirigeants d'Israel parler d'exterminer tout les Syriens, Iraniens ou Egyptiens :?: Si les pays de la régions n'ont pas l'arme atomique, ce n'est pas faute d'essayer, que venait donc faire ses savants Allemands en Egypte dans les années 50/60 :?:
  8. 17eme versions des événements, oui, il y a des Français tué par les Su-25, non, ce n'est pas à Bouaké - et on oublie le civil américain - :rolleyes: :twisted: Les révélations de Ange Kessi à Gbagbo Les Echos du Matin - 1/23/2005 5:48:06 PM Des informations sur les bombardements des FANCI à Bouaké au cours de l’opération Dignité commencent à filtrer depuis l’enquête menée par le Commissaire du gouvernement. Le magistrat-capitaine de Corvette capitaine Ange Kessi Kouamé, commissaire du gouvernement, a été mandaté par le chef de l’Etat, il y a quelques semaines, pour mener une enquête sur le supposé bombardement d’un camp français à Bouaké. Il s’agissait pour le Président Laurent Gbagbo de savoir les raisons pour lesquelles l’aviation militaire ivoirienne a ouvert le feu sur des soldats français à Bouaké, sachant pertinemment que la force Licorne y était installée, causant ainsi la mort de 9 ( ?) d’entre eux. Le Commissaire du gouvernement s’est donc rendu partout où les besoins de l’enquête l’ont conduit pour en savoir un peu plus sur cette affaire qui a entraîné la destruction des aéronefs ivoiriens par la force Licorne. Après un peu plus d’un mois de collecte d’informations, le capitaine de Corvette Ange Kessi Kouamé a achevé sa mission. Le vendredi 21 janvier, il a été reçu en audience par le chef de l’Etat à qui il a livré la primeur des informations sur cette enquête. Fort des observations sur le terrain et des preuves en sa possession, le Commissaire du gouvernement a rendu compte, dans les moindres détails, au Président Laurent Gbagbo de tout ce qu’il lui a été donné d’observer et de ses conclusions. A l’issue de l’audience, le Commissaire du gouvernement s’était contenté, ce jour là, de déclarer à la presse, sans autre précision, qu’il n’avait fait que rendre compte au chef de l’Etat des résultats de son enquête. Quelques indiscrétions nous ont, cependant, permis d’en apprendre un peu plus. Des sources proches du palais présidentiel, il semble que le capitaine Ange Kessi a fait d’importantes révélations au Président Laurent Gbagbo sur les bombardements de l’aviation ivoirienne dans le camp français de Bouaké. Selon nos informations, le commissaire du gouvernement a révélé que ces soldats français ne sont pas morts à Bouaké, mais plutôt à Vavoua, loin de leur quartier général de Bouaké, lors des premières frappes de l’armée ivoirienne lors de l’opération Dignité. Il a clairement expliqué au président Laurent Gbagbo que les avions de combats de type Sukhoï 25 n’ont commis aucune bavure à Bouaké. Toutes les cibles visées ont été atteintes avec précision. Sachant que l’armée française y était présente et qu’il y avait aussi de nombreuses populations civiles, l’aviation ivoirienne a tout mis en œuvre pour éviter des dégâts collatéraux. Elle a donc mené minutieusement cette opération de bombardement à Bouaké et réussi sa mission à ce niveau. Le capitaine Ange Kessi aurait dit au chef de l’Etat que c’est plutôt à Vavoua que les bombardiers ivoiriens, en détruisant des cibles rebelles, ont atteint des soldats français qui y étaient installés en tant qu’instructeurs des combattants rebelles. Cela est d’autant plus vraisemblable que des soldats français ont a été accusé il n’y a pas longtemps d’avoir servi d’instructeur aux milices Hutu ‘’interhamwe’’ impliquées dans le génocide rwandais. Officiellement, selon nos sources, les soldats de l’opération Licorne n’auraient donc pas dû se trouver dans la zone bombardée. Leur présence en ces lieux ne pouvait être justifiée valablement sans éveiller les soupçons des responsables des Forces armées nationales de Côte d’Ivoire (FANCI). C’est la raison pour laquelle la force Licorne a décidé de transférer le corps des soldats qui avaient été touchés par les tirs aériens de l’armée ivoirienne, dans le camp français de Bouaké, connu de tous. Cela, pour faire croire que c’est à Bouaké que l’adjudant-chef P. Capdeville, le sergent-chef F. Delon, le caporal-chef P. Falevu, le caporal B. Marzais, le maréchal des logis D. Decuypere, l’adjudant-chef T. Barathieu, le caporal-chef L. Derambure, le brigadier-chef F. Duval et le caporal E. Tilloy ont trouvé la mort et justifier ainsi l’interruption de l’opération Dignité. Ces 9 morts, rappelons-le, ont justifié la destruction des aéronefs ivoiriens et les violences des 6, 7, 8 et 9 novembre dernier à Abidjan et dans certaines villes de l’intérieur du pays. Roselyne Aka
  9. Je signale cette page avec l'ordre de bataille des 2 belligérants et de bonnes photos ;) :arrow: http://www.acig.org/artman/publish/article_206.shtml Et voici un court résumé de cette guerre :arrow: La guerre Iran et Irak Louis Brûlotte et Mathieu Poirier La guerre opposant l’Iran et l’Irak est motivée par de multiples facteurs. Outre la rivalité ancienne entre Arabes et Perses, la guerre a pour enjeu la région stratégique du Chatt al-Arab, et ainsi obtention du contrôle Arabo-Persique. On considère aussi la guerre Iran-Irak comme une lutte pour la suprématie régionale. En 1975, l’Iran, dirigé par Muhammad Riza Chah, et l’Irak, signent deux traités qui leur assurent une navigation libre sur le Chatt al-Arab, donc un accès aux ports iraquiens et aux ports iraniens. Ces traités modifient légèrement la frontière entre les deux pays, au détriment de l’Irak. En contrepartie, l’Iran doit soutenir l’Irak dans sa lutte contre le peuple kurde vivant en Irak. En 1979, une république islamique s’installe en Iran. À partir de ce moment, les relations se détériorent. Le 30 novembre 1979, le gouvernement iraquien demande une révision des les traités signés en 1975, ce qui lui est refusé par le gouvernement iranien. En 1980, le régime baasiste de Bagdad prend l’initiative militaire: il veut récupérer le Chatt al-Arab et le Khouzistan iranien. De plus, il veut mettre un point final à la révolution islamique, qu’il juge prête à tomber. Saddam Hussein, voyant que l’armée de l’Iran est affaiblie par la révolution islamique, en profite pour déclencher la guerre, le 17 septembre 1980. Contrairement à ce que pense Saddam Hussein, l’Iran offre une résistance surprenante, et une guerre de tranchée de huit ans s’engage. Les deux armées utilisent pendant cette guerre des armes chimiques, mais aussi des armes plus conventionnelles. Le conflit change certaines alliances établies depuis très longtemps au Proche-Orient. La république islamique d’Iran présente maintenant une menace pour la collectivité des pays exportateurs de pétrole du golfe Persique, mais encore plus pour les pays arabes. Saddam Hussein reçoit l`appui de l’URSS et de la France, de même que celui de certains pays occidentaux. Seulement Israël prend parti en faveur de l’Iran, car l’Irak représente un certain danger pour l’État hébreu. La poursuite de la guerre est favorisée par le grand nombre d’armes obtenues avec l’argent de l’exploitation pétrolière, ainsi qu`avec l’aide de pays occidentaux qui fournissent secrètement des armes à l’Iran. À partir de 1982, Khomeyni décide de poursuivre le combat, et il refuse les propositions de cessez-le-feu et les innombrables médiations. Le conflit Iran-Irak ne s'inscrit pas dans le cadre Est-Ouest, car chacun des deux pays a des alliés et des ennemis dans un camp ou dans l’autre. Paris et Moscou appuient Bagdad, en leur fournissant des armes, tandis que Washington fait de même pour la République islamique. Le 20 juillet 1987, l’organisation des Nations unies (ONU) exigent que l’Iran et l’Irak cessent le feu, retirent leurs troupes de parts et d’autres des frontières internationalement reconnues. Après un premier refus des deux pays, l’Iran, épuisé militairement, accepte le cessez-le-feu le 18 juillet 1988. Le 15 août 1990, Saddam Hussein accepte de revenir aux accords d’Alger de 1975: il libère les prisonniers de guerre et quitte les territoires occupés. La boucle est bouclée : des centaines de milliers d’hommes sont morts inutilement. Le traité de paix est finalement signé le 20 août 1990, selon les conditions iraniennes. Au total, les dépenses militaires, pertes en produit intérieur brut et capitaux non investis, auraient dépassé 500 milliards de dollars pour les deux pays. L’Iran estime officiellement à 300 milliards le prix de la reconstruction de son économie. L’Irak, pour sa part, l’évalue entre 50 et 60 milliards de dollars. On peut estimer la perte de vies humaines à plus de 1 200 000 morts, ce qui est très élevé pour un conflit régional.
  10. Chine: des milliers de Hongkongais rendent hommage au réformateur Zhao HONG KONG (AFP), le 22-01-2005 Une quinzaine de milliers de personnes, selon les organisateurs, ont rendu hommage à Hong Kong vendredi soir à l'ancien dirigeant réformateur chinois Zhao Ziyang, décédé lundi, lors de la seule cérémonie publique tenue en Chine pour le sympathisant du mouvement de Tiananmen de 1989. La veillée aux chandelles, organisée dans le parc Victoria, traditionnel lieu de rendez-vous des manifestations, avait pour thème "Défense du 4 juin; Pleurons Ziyang". Zhao Ziyang, ancien patron du Parti communiste chinois (PCC), avait été limogé puis placé en résidence surveillée pour le restant de ses jours après avoir sympathisé avec les étudiants en grève de la faim sur la place Tiananmen en 1989. Ce mouvement avait été écrasé par l'armée le 4 juin de la même année, faisant des centaines voire des milliers de morts. Parmi les bouquets de fleurs déposés sur un autel dressé en hommage au réformateur, des messages de condoléances avaient été apposés. "Vous êtes le dirigeant du peuple chinois. Le Parti communiste ne veut pas de vous mais le peuple vous aimera pour toujours", pouvait-on lire sur l'un d'eux. L'organisateur Szeto Wah, membre de l'Alliance de Hong Kong pour le soutien des mouvements démocratiques patriotiques de Chine, a emmené une douzaine de militants pro-démocratie vers l'autel avant de prononcer un discours tandis que des milliers de chandelles se dressaient dans la foule. "Lors du mouvement démocratique de 89, (M. Zhao) a défendu des solutions mettant en avant la démocratie et la loi, il a sympathisé avec les étudiants et s'est opposé à leur répression", a déclaré le responsable. "Durant ces 15 dernières années, il a tenu bon et n'a pas cédé", a-t-il ajouté. ............. Le reste de l'article reprent les derniers chapitres de la dépéche précedentes -
  11. Les hélicos sont des machines au pilotage délicats, une Gazelle Canon s'est crashé sur un étang à 2 kms de chez moi cette été - l'équipage s'en est sortie- :rolleyes: Ce n'est pas le 1er accident de l'année :arrow: BOGOTA, 13 janvier (XINHUANET) -- Un hélicoptère de l'armée colombienne s'est écrasé jeudi dans le sud-ouest de la Colombie, tuant les 20 soldats à son bord, ont annoncé les autorités militaires colombiennes. L'hélicoptère Black Hawk offert par les Etats-Unis s'est écrasé près du village de Manguipayan, à quelque 550 kilomètres au sud- ouest de Bogota, alors qu'il effectuait une opération nocturne " contre les trafiquants de drogue et les dirigeants des groupes rebelles", a déclaré le commandant de l'armée colombienne, le genéral Reinaldo Castellanos, dans un communiqué. Le commandant a indiqué que les conditions climatiques étaient mauvaises au moment de l'accident, mais n'a pas écarté la possibilité que l'appareil ait été abattu par des guérilleros anti- gouvernementaux, les Forces armées révolutionnaires de Colombie ( FARC, opposées au gouvernement) opérant dans la région. A Washington, le porte-parole du département d'Etat américain Richard Boucher a déclaré que son gouvernement enverrait une équipe pour faire une enquête sur l'accident. L'hélicoptère est l'un des 16 Black Hawks offerts au gouvernement colombien par les Etats-Unis pour lutter contre le trafic de drogue. Plus grand producteur de cocaïne du monde et principal fournisseur d'héroïne du marché américain, la Colombie produit 570 tonnes de cocaïne par an, soit 90% de la production totale mondiale. Fin
  12. Voici quelques photos prises coté Iranien, je rappelle que c'est l'Iran qui à demander le cessez le feu car ses forces étaient épuisé en 1988 :arrow: http://www.abadan.net/war.html http://www.abadan.net/war/tn_war6_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war7_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war8_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war9_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war10_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war11_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war12_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war13_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war14_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war15_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war16_jpg.jpg
  13. Je signale ce mémoire sur les effets démographiques de la guerre 1980/1988 entre l'Iran et l'Irak coté Iran :arrow: http://www.college.interarmees.defense.gouv.fr/03pub/memoire/geo/galharba0804.pdf Les pertes de l'armée réguliére représente moins de 30 % des pertes militaires totale de ce pays, ce sont les "pasdarans" qui ont le plus souffert - Devinez pourquoi- :rolleyes: Ce mémoire long à s'afficher si vous n'avez pas le haut début récapitules tout les effets de cette guerre sur la population telles que le taux de chomage, le nombre d'handicapés, les mariages, les personnescontraintes de quitter leur domiciles, statistiques en tout genres, ect... Pétrolier Chypriote "Pivot" aprés une attaque Iranienne Victime iranienne "carré militaire" d'un cimetiére Iranien T-62 Iraquiens franchissant la frontiére le 1er jour du conflit :arrow: Equipage d'un BMP-1 Iraquien évacuant en vitesse à cause d'une alerte aérienne "Gazelle" Iraquienne ( ~ 40 vendues à ce pays) Monument au morts en Iran
  14. Discuter avec avec des manisfestants est une toujours considéré comme une grave erreur par le gouvernement Chinois Chine: Pékin maintient que Zhao Ziyang a fait de "graves erreurs" :? PEKIN (AFP), le 21-01-2005 Le gouvernement chinois a maintenu vendredi que le dirigeant réformiste Zhao Ziyang avait fait de "graves erreurs" en 1989, tandis qu'une source diplomatique a indiqué que le Premier ministre Wen Jiabao s'était rendu à son chevet deux semaines avant sa mort. Pékin a réitéré dans un communiqué son jugement sur l'ancien patron du Parti communiste chinois (PCC) formulé le 24 juin 1989. "Jusqu'au début de la période d'ouverture et de réformes (dans les années 1980), le camarade Zhao Ziyang avait fait des contributions bénéfiques à la cause du parti (communiste) et du peuple", selon le texte du Département de l'information du gouvernement. "Pendant la crise politique de la fin du printemps et du début de l'été 1989, il commis de graves erreurs. Le quatrième plénum du 13e comité central est arrivé à des conclusions politiques sur la nature de cette crise et les graves erreurs commises par le camarade Zhao Ziyang. Ces conclusions sont parfaitement correctes", poursuit le communiqué. Quelques jours après la sanglante répression armée de la nuit du 3 au 4 juin 1989, qui a fait des centaines, voire des milliers de morts, le mouvement pour la démocratie de la place Tiananmen avait été qualifié de "contre-révolutionnaire" et Zhao Ziyang accusé de "soutenir les émeutes". Le Premier ministre Wen Jiabao, qui fut bras droit de M. Zhao en 1989 et que des photos montrent à ses côtés sur la place Tiananmen devant les étudiants en grève de la faim, s'était rendu deux semaines avant sa mort au chevet de l'ancien dirigeant, âgé de 85 ans et souffrant des problèmes cardio-vasculaires et pulmonaires, a indiqué une source diplomatique dans la capitale chinoise. Cette visite n'a pas été signalée par les médias en Chine. M. Wen, qui n'avait pas été mis à l'écart en 1989, a publiquement tenté de justifier la répression contre le Printemps de Pékin depuis qu'il a pris ses fonctions de chef du gouvernement en mars 2003. Celle du vice-président chinois Zeng Qinghong une heure avant son décès, annoncée à l'AFP par des proches, n'a pas été médiatisée non plus. Jeudi, le gouvernement avait annoncé que ses obsèques seraient celles d'un simple vétéran du parti, sans mentionner que M. Zhao avait été secrétaire général du PCC de 1987 à 1989 et Premier ministre de 1980 à 1987. L'Etat "refuse que la famille arrange de manière privée" les funérailles, a déclaré vendredi sous couvert de l'anonymat à l'AFP une source proche de la famille de M. Zhao. "Les autorités veulent que la famille les laisse organiser" les obsèques, a ajouté cette source.
  15. Prit sur blog ;) :arrow: Il me semble que Bush parle là d'une situation comme elle s'est par exemple présentée en Ukraine. Les américains y auraient soutenu le mouvement d'opposition. . Est-ce que Bush souhaite que l'Iran se dirige dans la même direction que l'Ukraine? Des éléctions y ont lieu en printemps... J'en doute et je ne sais surtout pas si ces élections pourraient apporter du nouveau et surtout du meilleur. Mais je pense qu'il est extrêment important que le "problème iranien" trouve une solution, c'est-à-dire le désarmement. C'est une bien trop grande menace qui est en train de se mettre en place. Le blabla et les soi-disantes négociations de l'UE avec l'Iran n'ont mené qu'à une seule chose: prouver que les mollahs restent les maîtres de la manipulation et qu'ils ne veulent que gagner du temps. Qu'en pensez vous, l'opposition légale et "illégale" Iranienne est elle crédible aprés les législatives tronquées dans ce pays :?:
  16. Selon cette article, le nombre de sites qu'il faudrait mettre hors jeu en cas de frappe varierait de 23 à 63 :? :arrow: http://www.strategypage.com/dls/articles/200511123.asp Osirak vue par un F-16; les Iraniens ont aussi bombardé la centrale alors qu'elle était en reconstruction ;) Mais ce type de frappe ne ferait que relentir un programme d'armement. Le programme nucléaire iranien ne cessera que lorsque les dirigeants de Téhéran se résoudront à accepter que l'arme atomique n'est pas la meilleure option stratégique à privilégier. Et si le gouvernement actuel ne l'accepte pas pacifiquement, il faudra le faire changer d'avis d'une autre maniére ( Le retour du Shah :?: ) Au fait, selon les sondages, les Iraniens serait l'un des quelques peuples qui auraient voté pour Bush Jr :lol:
  17. Poid à vide de 4,8 tonnes, ce n'est pas un poid léger :lol: Au fait, la mitrailleuse du toit, elle est téléopéré :?:
  18. "Nous pouvons revendiquer le fait que nous avons rapidement produit un équipement dont il a résulté le plus fort élément de dissuasion", Le ministre Iranien donne le baton pour ce faire battre :lol: Bombe "sale" ou gaz de combat peut étre :?:
  19. Voici le démenti du Pentagone à propos de cette article avec des précisions sur quelques point de celui ci : http://www.defenselink.mil/releases/2005/nr20050117-1987.html
  20. C'est peut étre comme pour l'histoire de La Mecque, une info dirigée pour faire monter la pression sur Téhéran et l'inciter à négocier sérieusement sur ces installations nucléaires avec l'AIEA et l'Europe ;)
  21. Les Britannique nous recopie le concept de notre ancienne 4ème Division Aéromobile de la FAR :lol:
  22. Je précise que le Japon n'a pas non plus de missiles de croisiéres -armes offensive contraire à leur constitution- ;)
  23. Et les milliards de piéces détaché produites pour les Black Hawks, ils en font quoi :?: :lol: Je signale qu'il reste encore des centaines Hueys dont la conception remonte aux années 60 en service 8) Les Hercules volent depuis 50 ans et ils se vendent toujours :lol: Les prix du UH-60M seront nettement inférieurs à ceux du NH-90, et les frais des industriels sont largement amorti :rolleyes:
  24. On continue les négociations de part et d'autre mais on se prépare au cas ou :arrow: Téhéran multiplie les démonstrations de force Téhéran : Delphine Minoui [14 janvier 2005] Au cours de ces dernières semaines, la République islamique d'Iran a multiplié, de façon ostentatoire, les déclarations laissant entendre qu'en cas d'intervention militaire extérieure, elle aurait les moyens de réagir. Certes, l'épreuve de force, envisagée préalablement par certains faucons de Washington n'est plus aujourd'hui à l'ordre du jour, au vu de l'enlisement des forces américaines en Irak. Certes, les capacités militaires de l'Iran sont limitées. Mais les Iraniens se sont engagés dans une politique de défense dissuasive. «D'un côté, ils jouent sur l'ambiguïté au niveau du nucléaire et, de l'autre, ils développent depuis plus d'un an la tactique de la guerre asymétrique – comme en Irak –, qui viserait à ne pas résister à une pénétration de forces étrangères, mais à utiliser ensuite sur le terrain toutes sortes de capacités de nuisance», confie un expert occidental, sous couvert de l'anonymat. Tout a commencé, début décembre, avec cette annonce en grande pompe de l'organisation de manoeuvres militaires iraniennes au sud-ouest de l'Iran, près de la frontière avec l'Irak. L'exercice militaire, présenté comme un des plus importants depuis la révolution de 1979, aurait mobilisé quelque 120 000 hommes. Et puis, plus récemment, la presse iranienne rapportait que l'armée de l'air iranienne avait reçu l'ordre de tirer sur tout engin étranger qui violerait l'espace aérien iranien, quelques jours après avoir menacé de riposter en cas d'attaque étrangère contre les sites nucléaires iraniens. «Il est évident que dans le contexte actuel d'encerclement de l'Iran par les Etats-Unis et de la pression américaine sur le nucléaire, l'Iran cherche à faire une démonstration de force», souffle un diplomate occidental. Mais l'Iran a-t-il vraiment les moyens de transformer ses paroles en actes ? «Difficile à dire, répond l'expert en la matière, car l'accès aux manoeuvres militaires est toujours fermé aux étrangers, à l'exception des deux défilés officiels annuels.» Seule exception : la présentation publique, l'année dernière, à Qazvin, du «bataillon iranien du maintien de la paix» devant un parterre de spécialistes étrangers. A cette occasion, certains signes de faiblesse ont pu être détectés. «Le matériel avait trente ans d'âge. Il y avait des vieux véhicules américains M113, capables de rouler sur quelques mètres. Mais quid d'une situation de combat ?», s'interroge l'expert. Dans un récent rapport sur les capacités militaires de l'Iran, réalisé pour le compte du Center for Strategic and International Studies, le chercheur Anthony H. Cordesman fait le même constat : «L'Iran a vu entre 50 et 60% de ses équipements militaires détruits pendant la guerre Iran-Irak (1980-1988), dit-il. Aujourd'hui, la plupart des équipements sont vieux et usagés.» Et d'ajouter : «Si grandioses soient les plans militaires annoncés, l'Iran n'a pas été en mesure de se procurer un nombre significatif d'avions de combat moderne.» L'embargo américain et celui, plus récent, des Européens sur la vente d'armes à l'Iran (selon la déclaration du Luxembourg, en 1997) ont largement limité toute possibilité de se rééquiper. Néanmoins, précise Cordesman, «L'Iran est le seul pays de la région qui pose une sérieuse menace militaire à la stabilité du Golfe. Il y a une preuve évidente selon laquelle l'Iran cherche à développer des missiles ainsi que l'arme nucléaire». Le chercheur américain fait bien sûr référence au dernier missile balistique iranien Shahab 3, d'une portée pouvant aller jusqu'à 2 000 kilomètres. Il sous-entend également que la suspension, annoncée en novembre dernier, du programme iranien d'enrichissement d'uranium au terme de longues négociations avec l'Union Européenne ne garantit pas la suspension totale des activités iraniennes. «Dans le cadre du nucléaire, la confiance est en effet difficile à établir avec les Iraniens», confirme, de son côté, l'expert, qui partage les propos d'Antony Cordesman. Pour lui, «cette ambiguïté autour du nucléaire, entretenue en permanence par l'Iran, s'inscrit dans une politique de défense dissuasive». La preuve en a été faite cette semaine, avec l'acceptation de la visite des inspecteurs de l'AIEA sur le site militaire iranien de Parchine, mais une condition : se limiter au prélèvement d'échantillons, seulement à l'extérieur. «C'est un coup d'épée dans l'eau», constate l'expert. D'autant plus que la demande de la visite du site avait été formulée en octobre. Depuis, les Iraniens ont pu jouer avec le temps pour réorganiser leur site. Mais, d'après lui, ils jouent aussi avec les mots. «Les responsables iraniens ne cessent de clamer haut et fort que le but de leur programme est civil et que l'utilisation militaire de l'arme nucléaire est «haram» (interdit par l'islam). Mais quelle est la part de la sincérité dans tout cela ? Le problème, c'est qu'à l'époque, l'ayatollah Khomeiny a déjà donné le mauvais exemple en déclarant qu'au nom de ce fameux principe chiite de la «takiya», on a le droit de dissimuler la réalité quand ses propres intérêts sont en jeu. Donc à partir de là, aucune déclaration n'est totalement fiable», commente-t-il. Autre politique actuelle de dissuasion iranienne : la tactique de la guerre asymétrique. «Conscient de sa faiblesse technique, l'Iran serait prêt, le cas échéant, à envisager de laisser pénétrer un ennemi étranger sur son territoire, pour ensuite l'affaiblir par tous les moyens : ouverture de barrages, blocage de routes, recours à des bombes sales», confie l'expert. Dans ce cadre-là, les soldats de l'armée régulière pourraient être amenés à se mobiliser, et plus particulièrement l'armée d'élite, les fameux Pasdaran (Gardiens de la Révolution), fidèles au Guide religieux, l'ayatollah Ali Khamenei. Sans compter les 7 à 8 millions de bassidjis, ces fameux miliciens islamistes volontaires. Signe des temps : cette force paramilitaire d'intervention populaire massive a récemment augmenté ses effectifs et multiplié ses rassemblements.
  25. Pris sur "Tunis Hebdo", édité le 20 décembre 2004 : Les faux calculs de Téhéran Le bras de fer entre la République islamique d’Iran et les Etats Unis d’Amérique, ainsi que l’Europe communautaire, évolue en dents de scie, sans qu’il soit clair de prévoir avec certitude l’issue de cette bruyante affaire, qui accapare désormais la troisième place de l’actualité internationale. Voire. Téhéran avait savamment entretenu, durant ces deux dernières années, la politique de la «balançoire» sur la poursuite de son programme nucléaire, dans l’espoir de voir George Walker Bush quitter la scène politique américaine lors de l’élection présidentielle, et s’éloigner du danger. Cet espoir s’étant évanoui, les options qui restent aux mains du Pouvoir iranien sont, de l’avis des observateurs avertis, assez minces, pour ne pas dire très ténus. Le départ de Colin Powell, seule «colombe» dans le gouvernement de faucons de George Bush, et son remplacement par la «dame de fer», dont les positions maximalistes sont légendaires, Condoleezza Rice, nouveau Secrétaire d’Etat US, augurent en eux-mêmes un genre de «dialogue» qui présidera aux rapports des deux parties. «Condy» n’a jamais écarté et, encore moins, démenti la possibilité d’une attaque militaire contre l’Iran, si ce dernier ne mettait pas définitivement fin à son programme nucléaire. Une menace d’autant plus prise au sérieux que le président des Etats-Unis a en tête, pour son second mandat, le fameux projet de «Grand Moyen-Orient», lequel place le pays de Omar Al-Khayyam au cœur du chambardement envisagé. Washington et Tel-Aviv, son allié numéro un, s’inquiètent plus que les Européens que l’Iran devienne une puissance nucléaire et n’hésiteront pas à recourir à la force, assure-t-on à Tel-Aviv et à Washington. Le gouvernement iranien, compte certainement sur un certain nombre de facteurs pour contourner cette menace et revenir à la charge de son projet. Téhéran pense que l’horrible expérience des Etats-Unis en Irak, où ils ont perdu beaucoup plus de mille soldats et de l’argent fou, en plus de l’hostilité anti-américaine qui se propage dans le monde à une vitesse supersonique, dissuadera l’Oncle Sam de se lancer dans une aventure iranienne qui serait désastreuse pour les USA sur tous les plans. Erreur, répondent des analystes : les néo-conservateurs américains peuvent interpréter le vote majoritaire en leur faveur comme le signe que le peuple des Etats-Unis accepte la perte de soldats comme «un prix raisonnable à payer». Téhéran pense également que la toile d’araignée commerciale et économique qu’il a tissée avec les grandes puissances, lesquelles disposent du droit de veto à l’ONU, découragerait Washington d’entreprendre contre lui une action militaire. L’Iran a engagé avec la Chine ce que les économistes appellent «le marché du siècle» : un énorme accord gazier, jamais réalisé sur la scène internationale. L’Inde et le Pakistan, alliés stratégiques de Washington et de Tel-Aviv sont, eux aussi liés à l’Iran par de grands accords commerciaux et économiques, qu’il serait chimérique de la convaincre à les résilier ou seulement à les suspendre. New Delhi tient à son projet d’oléoduc qui lui fournira du gaz iranien via le Pakistan. La Russie, la Turquie et même le Koweït, poumon pétrolier des USA, se trouvent organiquement liés à l’héritière de la grande Perse par des projets d’importance capitale. Idem pour le Japon dont les intérêts en Iran sont immenses. Faux calculs, que tout cela ? Possible. Très possible même : George Walker Bush n’a-t-il pas attaqué l’Irak malgré l’opposition du monde entier, de l’ONU et de toutes les organisations ? L’Iran est bel et bien dans l’œil du cyclone. T.H
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