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La France et ses programmes UAV/UCAV
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ce qui a envoyé les Mirage F1, Jaguar, Mirage III et IV chez le ferrailleur s'applique aussi aux UCAV. Par ailleurs on a un nombre de pilotes adapté au nombre d'avions, et non l'inverse. Une partie de ceux qu'on a en trop vont tâter du PC-21 en attendant une déflation naturelle des effectifs, d'autres vont être "promus" et devenir pilotes de bureau entre 4 murs. Bref, la variable d'ajustement n'est pas le nombre d'avions. -
1. La vitesse max peut être dictée par d'autres facteurs (limitation des entrées d'air, température d'impact, etc), donc dissociée de la puissance max. 2. La puissance max développée au sol à vitesse nulle n'est pas la même que celle obtenue à 35000 fts et Mach 1.8 (laquelle est largement inférieure du fait d'un différentiel de vitesse réduit ; P = m.(V2-V1) où V2 est la vitesse d'éjection des gaz, V1 celle de l'avion et m la masse des gaz éjectés)
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Ce coup de gueule est mal placé. D'abord parce qu'il était question d'exploiter un turboprop et non un jet afin de tirer les coûts d'utilisation vers le bas. Ensuite parce que c'est le budget de la défense qui paye sans jamais voir la couleur d'éventuelles retombées ; Tout ce qui revient à l'Etat s'arrête dans les caisses de Bercy. Par conséquent, budgétairement, la solution acceptable la mieux disante est bien la plus pertinente même si elle ne plait pas à tout le monde.
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De toute façon le choix portait sur un turboprop. Exit les M-34x et autres Hawk.
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C'est le kit (AASM, Paveway) qui fait l'essentiel du prix. Une Mk-82 coûte moins de 3000 euros.
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C'est un faux problème, créé de toute pièce par un raisonnement simpliste qui ignore l'essentiel des variables.
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La méthode de tir en TBA (SCALP, AASM et ASMP compris) est un tir en pop-up (ressource pour tirer puis replongée en TBA). L'exposition dure quelques secondes seulement et si le tireur est situé à un instant T à cause de ça, il redevient "invisible" à T+x (et à ce moment là il a déjà fait son job). Il existe une altitude de tir minimale en pallier, de l'ordre de quelques centaines de pieds et variable selon les munitions, laquelle détermine le plancher du domaine de tir.
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Moi non plus. Je m'attendais à lire des choses à propos de l'Inde, mais le titre du sujet m'a envoyé sur une fausse piste. C'est par où ceux qui causent de l'Inde ?
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La question est surtout d'avoir un raisonnement pertinent qui prenne en compte l'ensemble des paramètres et pas seulement un sous-ensemble étriqué sorti de tout contexte réaliste.
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Non il ne s'agit pas de remplacer tous les Alphajet. Il s'agit de moderniser la formation initiale actuellement réalisée sur Alphajet à Tours.
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Non. Ce sera PC-21 pour le socle de base, puis l'Alphajet à Cazaux pour la partie "chasse", puis l'ETR pour la spécialisation sur Rafale, et enfin l'arrivée dans le grand bain d'un escadron Rafale opérationnel.
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D'autres se contentent de savoir à quel moment le missile passe actif et manoeuvrent en conséquence. Qu'il ne trouve pas sa cible ou qu'il la rate, le résultat est le même et mieux vaut avoir anticipé pour se retrouver dans la position la plus favorable en cas d'échec. De toute façon il est trop tard pour rattraper le coup (quelques secondes avant l'interception prévue). Dans ces conditions savoir que le missile a accroché n'apporte rien de concret.
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Plus que ça puisque le premier 2000 a volé en 78. Et encore davantage si on considère que les premières CDVE en France sont apparues sur le Mirage IV en 1964.
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Le -C5 a un moteur légèrement modifié (WPU-16/B), repris sur le -C7. La partie propulseur (= tout l'arrière du missile) passe de 70 à 75 kg. L'essentiel de la différence de portée s'explique par une utilisation différente de l'énergie (en gros : moins vite = plus loin)
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Sauf que l'aile ne se tord pas. Je pensais avoir été assez clair, mais c'est visiblement raté. Le MICA d'extrémité de voilure conserve son angle avec le reste de l'avion.
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Un aéroport local qui se retrouve en zone urbanisé est voué à disparaître, quitte à être re-créé ailleurs (plus loin).
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Bah ça fait 25 ans qu'ils utilisent le même moteur sur leurs AIM-120, nos amis US. La miniaturisation de l'électronique sur le C7 n'a servi qu'à créer du vide. Quant aux poudres, elles n'évoluent plus de manière significative depuis près de 50 ans. L'ajout d'aluminium avait apporté un peu de boost mais le dosage a dû être réduit drastiquement (vers les 2%) pour réduire les fumées et améliorer la discrétion radar des produits de la combustion. Sinon le MICA évolue régulièrement (fiabilité, performances de l'AD, contre-contre-mesures, pilotage, navigation, etc)
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La disponibilité d'un nouveau modèle d'avion est toujours très très faible. Inutile, donc, de s'en offusquer.
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C'est fait exprès. Au sol l'avion a une incidence nulle et le MICA regarde le goudron. En l'air l'avion a une incidence positive pour générer de la portance et du coup le MICA regarde droit devant (ce qui réduit la traînée). L'aile ne se tord pas, ce qui aurait pour effet de générer un roulis variable selon la dissymétrie du moment entre les deux côtés de l'avion. En revanche elle a une certaine souplesse qui lui permet de plier sous l'effet de la portance, ce qui fait "remonter" le saumon d'aile. L'angle entre le lance-missiles et l'axe du fuselage reste constant.