-
Compteur de contenus
12 739 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
112
Tout ce qui a été posté par DEFA550
-
Si on lit entre les lignes, ils se sont retrouvés là où ils ne devaient plus aller. Les anglais ont changé quelque chose par rapport à leur comportement "historique" et connu ; Nouvelles tactiques, missiles améliorés, capacités nouvelles, etc. C'est l'jeu, et comme on a appris quelque chose, c'est une expérience positive.
-
Tu exagères. Et comme je sens une forme de frustration, j'imagine qu'une expérience de "simer" te sert de fondement pour te forger une opinion, ce qui est quand même assez présomptueux parce qu'en dehors d'une représentation d'un modèle de vol plus ou moins fidèle, le reste est assez éloigné de la réalité, voire inexistant. Et non, ils ne regardent jamais dehors en permanence. Même en BFM.
-
Peut-être aussi qu'ils savent de quoi ils parlent. En air/sol, ils sont clairement demandeurs. Mais en air/air... ils sont franchement plus dubitatifs. La perspective de porter un poids supplémentaire en combat aérien pour faire ce qu'ils font déjà ne les réjouit pas plus que ça (entendu chez les Cigognes) Le viseur de casque a gommé l'avantage qu'ils avaient face à certains adversaires et ils ont dû revoir leurs tactiques faute de pouvoir exploiter les faiblesses. C'est pour ça que ça les emmerde de voir un viseur de casque dans le cockpit d'en face (rien à voir avec la jalousie). Mais dans ce qu'ils ont à faire et de la manière dont ils le font, ben... ils ne voient pas trop l'intérêt d'en avoir un.
-
L'hypothèse est recevable, mais ça n'implique pas l'absence de solutions. A commencer par chauffer moins, avec un radar qui consomme moins de puissance par exemple
-
Je voulais dire pourquoi ce serait définitif... Il y a des choses structurelles qu'il est impossible de corriger, mais un radar ça se met au point ou ça se remplace. C'est pas comme s'ils ne l'avaient pas fait des dizaines de fois en quelques décennies.
-
C'est ça. Les systèmes d'armes ne sont pas figés et les anglais ont pu bénéficier d'une amélioration alors inconnue des français, qui ont dû ensuite modifier quelques paramètres pour ne pas entrer dans une zone de danger probablement élargie.
-
Qui peut penser une seule demi-seconde que ça pourrait être le cas, et pourquoi ?
-
Grossièrement le propulseur ne fait qu'entretenir la vitesse de l'AASM, qui reste donc peu ou prou sous l'avion, ou trop près pour manoeuvrer à brève échéance dans des conditions de sécurité acceptables. Le problème n'est pas la hauteur, mais la séparation horizontale entre le missile et son vecteur avant de pouvoir modifier cette hauteur. C'est pourquoi il n'y a en gros que deux solutions : adapter le domaine de tir et le comportement du missile pour générer une séparation horizontale suffisante avant d'évoluer dans le plan vertical, ou stabiliser quelques secondes la trajectoire du missile et déplacer l'avion pour générer cette séparation horizontale. Je pense que c'est un raccourcis maladroit pour dire que ça peut faciliter le travail. Je comprends que ça puisse être le cas sur des avions où le missile de combat est une munition comme une autre et n'est pas réellement intégré au SNA de l'avion. Dans les autres cas le gain est nettement plus marginal. Par ailleurs, en avoir un ne réduit pas les performances du camp d'en face. La question tourne donc uniquement autour du gain à en attendre, et des inconvénients qui vont avec (y compris, c'est évident, les différents coûts).
-
Oh ! Un radar Téfal !!!
-
Dites-moi, si nos frenchies se sont adaptés à partir du deuxième jour, quel est donc l'inconvénient rédhibitoire de ne pas en avoir, et quel est donc cet avantage que vous lui accordez et qui n'a finalement duré qu'un seul jour ? Question subsidiaire : Est-il judicieux de risquer une tétraplégie à l'éjection ?
-
Les goûts et les couleurs... Mais dans un autre registre, j'ai du mal à voir en quoi ce genre de camouflage plus complexe à réaliser aide à maintenir le coût de la MCO au ras des pâquerettes. A moins que là aussi on nous vende du rêve...
-
C'est quand même hallucinant... A l'époque où le F-16 devait être le Roi, le "Sustain turn rate" était le juge de paix et ceux qui pensaient autrement n'avaient rien compris. Mais ce temps est révolu, le nouveau Roi s'appelle F-35, et le juge de paix est maintenant la "Nose authority" chère aux tant décriés Mirage 2000 et F-18 (entre autres). La conclusion est qu'ils sont tous comme un gamin devant son cadeau de noël : Tout nouveau, tout beau et tellement content qu'y a rien d'mieux.
-
Bah oui, à force de tout mélanger le JSOW en devient adapté à faire du SEAD... Sauf qu'il fait du DEAD.
-
Je pense que tout le monde avait compris qu'à partir du moment où le SCALP s'arrête à 5m de béton au lieu de 6, il ne va surement pas jusqu'à 30m de terre meuble parce qu'après tout ce n'est qu'une question d'énergie transmise à la charge militaire. Si on la joue à la proportionnelle, on devrait donc approcher les 25m. Bref, il fait presque aussi bien et ce "presque" que j'ai utilisé a une importance que tu a négligé pour finalement dire la même chose. Maintenant si l'installation est enterrée à 31m alors la question ne se pose plus. rogue0 l'a dit ; A défaut de pouvoir détruire le bunker, il reste des solutions pour le rendre invivable ou inutile. Le renseignement ne porte pas que sur la seule existence de ce bunker, sur l'épaisseur de ses murs, la profondeur à laquelle il se trouve ou la nature des couches géologiques. Il ne faut pas non plus perdre de vue que l'attaque d'un bunker n'est que le moyen le plus rapide de ruiner ou désorganiser tout un pan du dispositif adverse. C'est une option, pas une obligation.
-
C'est pour ça qu'il est défini un domaine de tir. Le problème posé avec les bombes ou certains missiles (SCALP compris) est qu'elles suivent l'avion avec une trajectoire quasi parallèle pendant quelques secondes. Autrement dit la séparation (au delà de l'éjection elle-même) n'est pas franche et les trajectoires ne sont pas immédiatement significativement divergentes. Ce problème est accru avec les munitions propulsées qui ont tendance à rester sous l'avion plus longtemps encore. L'AASM ajoute à ça une instabilité statique qui le fait rapidement dévier de sa trajectoire s'il n'est pas très vite piloté, ce qui amplifie le risque de collision.
-
Dans un milieu confiné comme celui d'une cible durcie ou enterrée, la moindre charge est dévastatrice. Je rappelle par ailleurs que pour doubler la zone d'effet d'un explosif (c'est à dire la distance à laquelle un certain effet est produit) il faut multiplier la charge par 8. On est donc très loin du rapport de 1 à 6 suggéré par la quantité d'explosif embarquée sur la GBU-28 (à mi-chemin entre la Mk-83 et la Mk-84) et les 50 kg estimés de la charge BROACH.
-
Passer de la version 2 à la version 2.1 ne l'est pas...
-
C'est trompeur. Elle permet sans doute d'obtenir un effet qui demanderait autrement 44 T de TNT (par exemple un effet thermique), mais ne permet certainement pas d'en obtenir tous les effets (souffle, brisance, etc). La vraie question, c'est pour quoi faire ?
-
J'connaissais pas, mais ça me rappelle le "nouatte" (Nous à Toul)
-
C'est incorrect. Le SCALP/Storm Shadow/Black Shaheen sont classés en catégorie 2 (portée supérieure à 300 km MAIS charge inférieure à 500 kg) et à ce titre ils ne sont pas interdits d'exportation.