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Tout équipé, pas à poil.
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Armée de l'air des E.A.U
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Quand on cite un passage qui parle des M2K-9 pour ensuite parler d'un coût de 250 millions par avion, ça choque. En fait il fallait aussi lire le lien du passage cité pour remettre la réponse dans le véritable contexte. Merci Pic -
Armée de l'air des E.A.U
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
C'est quoi ce délire... -
Négliger l'importance de cette indiscrétion est une erreur tactique monumentale. La furtivité vise à octroyer un avantage offensif en généralisant l'effet de surprise même là où il n'est d'habitude plus de mise en raisons de la présence de capteurs adverses. Cet avantage offensif est tout simplement ruiné par la moindre indiscrétion, ce qui ouvre une brèche permettant à l'adversaire d'agir. Peu importe où, quand et comment parce que ce n'est plus qu'une question de temps, de moyens et de tactiques.
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Je ne suis pas sûr de comprendre ce que tu as voulu dire... L'usure d'un missile est aussi (surtout) conditionnée par le fonctionnement (préparation en vol), les vibrations et les variations de pression et de température. Les avoir dans une soute ne change donc pas grand chose. Quant aux AIM-9, ils sont exclusivement montés sous voilure jusqu'à preuve du contraire.
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Je vois que Dassault n'a pas très bonne presse auprès de certains et endosse tous les "crimes", y compris ceux (partagés ou non) de Thales, Safran et MBDA. Ce n'est pas très cohérent, ni juste, ni pertinent puisque Dassault n'encaisse qu'une petite portion du gâteau, si bien que ces multiples coups de gueules à peine dissimulés ont un savoureux effet boomerang... Je crois savoir qu'Embraer n'est pas une référence, que ce soit en fiabilité ou en qualité de fabrication et de conception. Testé et rapidement désapprouvé avec l'EMB-312F.
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150 L pour la nacelle Douglas D827, donc sans grand intérêt en tant que réservoir supplémentaire (si tant est que ce soit possible).
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Facile : Tu modifies les critères de l'IOC. Après tout il ne s'agit que d'une capacité opérationnelle initiale, c'est à dire à quoi l'avion doit pouvoir servir dans un premier temps. Ces prétentions là peuvent être revues à la baisse pour tenir le calendrier et passer le jalon comme prévu, quitte à obtenir les capacités voulues (ou pas) quelques mois plus tard. Les retards sont une caractéristique endémique du programme ; Il ne s'agit plus de les réduire, mais bien d'adapter les objectifs pour que les jalons calendaires soient passés en temps et en heure. L'inventaire à la Prévert de Gilmore ne fait que dresser un état des lieux qu'il s'attache à assombrir autant que possible. Bogdan fait exactement l'inverse : Il noie le poisson et peint tout en rose. La vérité est certainement entre les deux, mais difficile de savoir ce qui sera fonctionnel, à quel moment, et si les performances et autres capacités seront atteintes (toutefois on sait déjà que la variable d'ajustement est là).
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Le Mirage IIIC faisait un peu plus de 6T, mais il n'y avait quasiment rien dedans. Un IIIE, déjà mieux équipé, faisait 7T. Ce qui renvoie à l'analyse de départ.
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Si la SFC est la même, alors on injecte autant de carburant pour la même poussée (par définition). Si gain de poussée significatif il y a, il est sans doute obtenu par un accroissement du débit massique d'air. Plus d'air à l'entrée = plus de poussée à la sortie, mais aussi plus de pétrole brûlé (SFC). Pour la température de turbine, elle peut être identique ou non (dépend aussi tu taux de compression).
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C'est là que je n'achète pas, à moins qu'il soit significativement plus lourd que les avions de taille comparable, donc plus près des 8T que des 7T. Ou alors on ne parle pas de la même chose ; Avions équipés d'un côté, et Tejas "nu" de l'autre (= juste le planeur, sans moteur ni avionique).
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En effet, ça me fait penser à de la peinture/enduit craquelé par des contraintes mécaniques (dilatation thermique, contraintes aérodynamiques, vibrations, etc) affectant de manière différenciée la structure de la verrière et le transparent. En gros, ça "travaille" à la jonction entre les deux.
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Heu... Je ne sais pas ce que tu cherches à dire, tellement c'est alambiqué, mais ce qui fait la poussée c'est le volume la masse et la vitesse des gaz éjectés. Par ailleurs à vitesse constante, la poussée est identique puisqu'un moteur poussant davantage ne modifie pas la traînée de l'avion.
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Le Tejas, c'est grosso-modo un fuselage de Gripen avec une voilure de Mirage 2000 (je parle des dimensions). Il n'y a aucune chance qu'il soit significativement plus léger que l'un ou l'autre, ce qui l'expédie de facto et définitivement dans la classe des 7 T.
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Je ne sais pas d'où vient cette idée selon laquelle il faudrait pointer le nez de l'avion vers l'adversaire faute d'avoir un viseur de casque... Sinon (pour répondre aussi au second paragraphe) la NEZ est par définition l'enveloppe dans laquelle aucune cible manoeuvrante (9G) ne peut s'échapper, quelles que soient les manoeuvres effectuées. Ca veut dire que le missile dispose de l'énergie et d'une capacité de manoeuvre suffisantes pour mener l'interception à son terme, et ça ne traite donc que de la partie dynamique. L'échec reste néanmoins envisageable, soit en raison d'impondérables (panne/défaillance du missile), soit parce que les contre-mesures adverses atteignent leur objectif, soit parce que les dégâts sur la cible ne suffisent pas à la mettre hors-jeu.
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Est-ce qu'il est censé ne faire que ça, ou doit-il aussi régulièrement vérifier ses paramètres de vol, poursuivre l'observation de son environnement, vérifier sa situation tactique, et assurer l'anti-abordage avec son coéquipier ?
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Non. Il peut être incidemment caché aux yeux du pilote par l'arceau du pare-brise mais ce n'est pas quelque chose qu'il peut faire volontairement. Ca ne le cache pas vis à vis du radar, des capteurs IR, du coéquipier, ni des méthodes de balayage visuel en vigueur.
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C'est donc un problème de voiture, et non de montants de pare-brise puisque les solutions qui les rendent plus fins te conviennent. Où peut-être faut-il dériver sur la finesse des montants de pare-brise du Rafale ainsi que sur l'environnement dans lequel il évolue et où il n'y a pas de ronds-point ni de trucs qui y évoluent à quelques mètres seulement ?
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Les intéressés disent depuis longtemps, et sous diverses formes (par exemple au sujet de la perche de ravitaillement) que ce n'est pas gênant. En quand on y réfléchi, je ne vois pas pourquoi ça le serait plus que les montants de pare-brise dans une voiture.
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Non, 5.