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max

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Tout ce qui a été posté par max

  1. Google balance ce qu'on lui donne camarade, rien de plus et rien de moins. Et ce qu'on lui donne c'est pas forcément du propre. Mais très franchement encore une fois je m'incline si le vox populi pense que tout ça est sans faille et permet à Mr Chombier de reluquer à souhait tout ce qui est sensible et classé sur le globe. Je trouve mème ça plutot rigolo .
  2. Le matilda II mark I était doté d'un canon de 2 livres et d'une mitrailleuse Vickers de.303 Le matilda II mark II était doté d'un canon de 2 livres et d'une mitrailleuse BESA de 7.92 mm Le matilda II mark II CS était doté d'un obusier de 3 pouces et d'une mitrailleuse BESA de 7.92 mm Les mark I et II sont doté de deux moteurs 6 cylindres en ligne diesel AEC (un total de 175 ch), les mark III ont une monte d'architecture identique de deux 6 cylindres en ligne diesel mais de chez Leyland développant au total 190 ch. Les mark V était doté d'un servo pneumatique au sommet de la BV pour facilité les changements de vitesse ( une sorte d'assistance alors fortement bienvenue quand on sait que la boite intègre des pignons à dentage droit genre crabot.....). Il semblerait que les projet de booster le canon principal de 2 livres avec un 6 livres ait été rapidement abandonné à cause du manque de place en tourrelle. La tourrellle étaient sous dimensionné en terme d'habitabilité pour les 3 membres d'équipage avec sa livré de 2 pouce, imaginez avec l'obusier de 3 pouces pour le mark II CS. Je reviens sur les jupes de protections , les premiers modèles de protos n'avaient pas d'ouverture sur celles-ci. Deux facteurs ont motivés la réalisation des ces ajournements particuliers, en premier lieu il faut savoir que ces jupes étaient coulées d'un seul bloc !!!! Imaginez le poid monstrueux de celles-ci ?! De plus la fonderie Vulcan de Warrington n'arrivait pas à produire suffisamment selon les cotats prévus avec le War Office ( on est en Avril 1937 et l'industrie britannique n'a que des moyens très limités pour le coulage de pièces de grande dimension ). Devant ce retard et alors en plein réarmement de 1938 le War Office fait donc appel à pas mal d'autres firmes pour pallier la prod' défectueuse, cependant Vulcan restera adjudicataire principal pour toutes les pièces coulées. Pour pallier justement à la difficulté du process des jupes et améliorer sensiblement la mobilité du matilda, les ingénieurs de l'arsenal de Woolwich ont crée des déversoirs, ces ajournements que l'on voit sur les photos. Ainsi le matilda par le seul mouvement de ses chenilles permettait de ce débarrasser de l'accumulation de boue dans ces trains de roulement, so British..... =D =D =D Pour la petite histoire, le matilda est un des seuls chars qui ont commencé leur service en 1939 et fini en ...1945. Y'a pas beaucoup de char qui ont été en dotation sur toute la duré de la WW II.
  3. Le fait qu'il n'y ai pas de "floutage", et qu'ainsi nos cher petits yeux puissent mirer une scène en "clair" ne veut strictement rien dire du tout. Google earth reste un sympathique outil du net, de la source ouverte pour Mr tout-le-monde. Si certains pensent que de voir sur Earth des PA à quai, des voilures en bout de piste ou une jeté de l'ile Longue équivaut a disposer d'une scène brut ( donc fidèle et par nature exploitable pour faire du Rens ), alors je m'incline. =D =D =D
  4. Il semblerai que le T34 a fortement inspiré le camarade Dukhov notamment en matière de blindage pour la conception de l'IS III. Le blindage, encore plus épais et mieux dessiné d'un point de vue balistique, était fortement incliné afin d'offrir une protection optimale. L'IS III se distinguait de ses ainés par une coque en acier laminé et une tourelle en forme de carapace qui va inspiré par la suite toutes les tourele de T-XX dites en "gouttes de suie". Le T-10, version finale de ce char lours, fut le dixième construit. Le préfixe IS fut abandonné en raison de la politique de déstalinisation adoptée par l' Union Soviétique au milieu des années 1950.
  5. ...un jour je l'aurai...(rire ) =D =D =D
  6. mea culpa Extramusicaman... =(, promis j'arrète la bière. Je voulais parler du Mattilda II en fait. Une de ses premières confrontation eu lieu le 21 Mai 1940 près de Arras , lors de l'attaque du flanc de la 7eme panzer Division commandé par rien de moins que.... Erwin Rommel. Il semblerai que les unités Allemandes aient été surpris par le fait que les obus ricochaient littéralement sur le blindage frontale des Matilda ( II), il est cité un exemple ou un Matilda aurait été l'objet de 14 impacts directs avec comme seul résultat des égratignures du blindage. Pour l'IS, la version II fut utilisé en février 1943 à Korsun....La version III a vue le jour à la fin de l'année 1944 mais n'a pas pris par au combat. ah la bière, quel fléaut. =D
  7. max

    bonjour à tous

    bienvenue et bon forum camarade !
  8. I think so, la richesse des échanges et la connaissance de certains membres me paraissent hautement plus interressant que les prout-prout de 3 mots ! =D =D
  9. Super sujet Farmalite, thinks a lot ! J’ai pas vu encore Berkut et Hitmoon par ici =D.... alors je vais juste avancer qq propos. On associe souvent trois aspects dont procède un char, la puissance de feu, la mobilité et la protection. Le facteur déterminant dans la finalité d’un char reste et restera son coût , aussi je pense que dès lors on peut parler de « compromis » entre ces trois aspects, et plus particulièrement dans la période de la seconde guerre mondiale. Il va donc falloir faire gaffe à ne pas parler de tel ou tel char véritable laboratoire technologique de l’époque, mais bien de ce que l’on trouve en dotation de masse dans les forces des nations belligérantes du conflit. Si je résume, à la poubelle les Mauss, IS-2 et autres engins qui ne font pas l’échos de présence sur les théâtres d’opération entre 1939 et 1945 et qui surtout n’ont pas connus le feu. Cassons un mythe au passage ( Berkut va rire ), l’Allemagne ne dispose pas d’un parc blindé « hyper-giga-méga top » aux premiers jours du conflit, parfois les comparaisons avec un S35 Français tient la route. La conception d’emploie du blindé a fait la différence ( création alors des « kampf gruppen » et premières expériences de la Blitzkrieg, véritable force autonome sur un objectif alliant de l’infanterie, de l’appuis aérien, du génie, des transmissions….et des chars). Donc pas de char Allemands en 1939 SANS points faibles. Je pense que le premier point faible des chars toutes nations confondu en 1939 tient dans la silhouette de celui-ci. Le début du conflit voit des chars dont le concept est par nation intégralement dédié à ce chaque pays et ses militaires en pensent, ainsi que le RETEX de la WW1. On assiste donc souvent à des profils divers et variés dont parfois la hauteur du char mesure jusque 4 m ! ( France avec le char 2C ). L’inclinaison des plaques de blindage est encore peu répandu ( cf Vickers Mark VI Anglais ou T-28 Russe ) et pas mal d’endroit du char voient leur cuirasse « droite ». Les flancs et plus particulièrement le train de roulement ne font pas encore l’objet de jupes de protection . Et quand bien même un flanc cuirassé est présent, la « superficie » de celui-ci est telle qu’elle en fait une véritable cible roulante ( cf Matilda I Anglais ). Puisque le sujet est aux points faibles, il est donc nécessaire de rappeler que la majorité des chars en début de conflit sont mues par un moteur à combustion interne dont le carburant est… l’essence. Le compartiment moteur et les réservoirs dès lors sont donc un point TRES vulnérable. Cette vulnérabilité est d’autant plus forte que le blindage général sur les chars de 1939 est au plus faible de son épaisseur. Mais il faut tempérer cette faiblesse car le CRAC (combat rapproché anti-char ) en est aussi à ses balbutiements, le RPG n’est pas en dotation dans les groupes de combats ( sections ) et l’approche en défilement ou par l’arrière du char n’est pas encore dans la doctrine des nations belligérantes…..Hé oui, la vulnérabilité du GMP était donc déjà de mise à l’époque ! =) Le blindage d’un char représente environ 30 à 40% du poids total . Ce blindage en 1939 fait l’objet d’une attention…de « début » de conflit qui va véritablement muter au fil des combats et des années. Selon que le char soit de tel ou tel nation, une constante apparaît comme avéré ; le char est soit un char d’infanterie lourdement blindé ( mais lent ) ou soit un char de combat peu blindé ( mais « rapide » ). Ainsi les épaisseurs de blindage varient-ils selon le concept ( cf le Mathilda II en 1940 sur le sol Français montrera qu’il est bien protégé quand à son blindage face aux menaces des forces Allemandes ). L’inclinaison des blindages est encore aux plaques verticales ( … la règle selon laquelle une inclinaison de 60° d’une plaque équivaut à deux fois son épaisseur en verticale en terme de coefficient de protection….) donc augmentent les probabilités de pénétration des munitions. Je rappel que lors d’un impact de gros calibre l’effet sur une caisse ou une tourelle est sensiblement lié au fait que celle-ci soit mécano soudé, riveté ou coulé. En gros le mode d’assemblage retenu est prépondérant à l’impact ainsi que le nombre d’ouvertures présentes ( trappes et ouvertures divers entre autres ), on parle alors « d’étanchéité » à l’impact ( cf Mk IV Anglais et Panzer 38 t Allemand « rivetés »), par exemple la famille des panthers Allemands intégraient une tourelle et une caisse entièrement mécano soudé ). L‘adaptation des blindés et leur protection face à la menace du champ de bataille de la WWII sera rythmé par l’évolution des calibres et des munitions rencontrés au fil du conflit, le combat éternel du boulet et de la cuirasse….. =) Je n’ai que peu de connaissance dans les aciers dits « balistiques » et les comparatifs des RHA de l’époque , mais je sais que les aciers au nickel chrome et enrichis au manganèse sont apparu en fin de conflit. Pour le début des hostilités les aciers des plaques de blindage sont corroyés ou laminés. Par la suite pas mal d’équipage de l’époque ont caparaçonné le front de leur monture avec de patins de chenilles en guise d’écran additionnels ( système D quand tu nous tiens..). Je ne suis donc pas sur que le blindage en général d’alors fasse l’objet d’une vulnérabilité plus présente que ce que l’on rencontre aujourd’hui toutes proportions gardées ( il suffit de se rappeler que l’arme de dotation anti-char Française en 1939 est le 37 mm Mdle 16 …), j’ai bien dit « toutes proportions gardées ». Les flancs des chars ne seront doté que partiellement de jupes de protection ( cf PzKpfw IV et StuG III Allemands par exemple ) et pas du tout en début de conflit, donc une certaine vulnérabilité reste aussi dans le type du train de roulement ( Vickers ou Christie ) qui par le diamètre plus élevé des galets/ poulies de tension permet un écran additionnel en bas de caisse… Bon, j’espère que ma bafouille est lisible… :|
  10. On montre bien ce que l'on veut montrer sur Google earth, ne l'oublions pas.... =) Disposer d'une "photo" sur un site quel qu'il soit et d'ou qu'il soit ne veut pas dire que cette photo est le reflet exact de la capture. Du reste, la dite photo disponible n'est pas forcément la plus récente... D'ailleurs peut-on imaginer que la photo d'un site classé soit disponible sur Google earth ? Allons allons. =D
  11. je ne le pense pas vraiment. Que la DTO du détachement au Liban soit au plus haut niveau c'est pas l'essentiel, c'est normal. Je ne conceverais pas que mon pays, la France, ne soit pas capable de le faire pour une poigné de Panzers et qq pièces d'artillerie en OPEX. Il reste ahurissant qu'aujourd'hui encore la DTI en métropole soit la 5eme roue de la charette, une sorte de variable du bas de laine des crédits de fonctionnement. Je ne suis pas par expérience un partisan des "parcs à ferraille" dans les régiments ou les visites du DCTMAT ne sont plus que l'ombre d'elles-mème et comme précisé par Froggy la pièce à 10 euros immobilise un véhicule. Le maintien en condition ( MEC ) en général devient quasi-spectrale et ne respecte plus les règles de base des échelons tant les pièces détachés se font rares ( sauf celles qui ne servent jamais ). Le résultat est consternant et s'approche du modèle Anglo-saxon avec toutes les dérives que l'on connait ( explosion de l'enveloppe du MEC pour au final une DTI exangue et une DTO accouché au forceps, et encore en criant au secour à l'EMAT ). Mes excuses pour le HS, mais y'a des trucs qui me font bondir.....( pas Philippe ! je le respecte et l'apprécie beaucoup =) )
  12. max

    110e d'infanterie

    ... "qui s'y frotte s'y pique !"...
  13. max

    Séparation du budget de la défense ?

    Peu importe les rales et pleures pour la fusion de l'IRCGN avec la "police scientifique", le potentiel de savoirs et de savoirs-faires extraordinaire de cet outil mérite bien que l'on casse qq peu le vernis ( interne ) des institutions, et que l'on écorne qq sensibleries locales de chapelles. En revanche je ne vois pas du tout en quoi l'Armée de terre peut se réjouir de voir ses frères de la gendarmerie s'éloigner..... Quand à dire que la gendarmerie a "trop voulue tout embrasser", merci de bien vouloir étayer ces propos. =)
  14. rien dans ce bout de video ne montre un impact ( RPG ou autre....)
  15. i think so, le camarade Richard a été un sacré "sinistre"... vraisemblablement l'archétype du parachuté politique contre productif dont le souvenir chez pas mal de militaire ne rime pas avec compétence et bon sens. Pour MAM, je garde d'elle une personne pugnace et volontaire avec une VRAIE dimension humaine qui restera certainement un des moins mauvais ministre de la défense sous lesquels il m'a été donné de servir. Puis ma modeste expérience militaire ajouté aux nombreuses discutions avec mon voisin qui se trouve ètre son chauffeur ( on ne rit pas =D ) font qu'elle restera dans la hiérarchie de ma mémoire plus haut que pas mal d'autres.... Le fait qu'elle soit "femme" est un argument déplacé. En dehors de ses défaut( nombreux diront les puristes ), de ses échecs et de son allure pincé, je crois que c'est la seule (avec Hernus) que j'ai vue capable de ne pas trop s'enmm... avec un militaire dans le kiosque d'un char ou sur un pas de tir. Elle a ce coté réel et non emprunté dans sa présence ( sur un théatre ou en métro' ) ou qu'elle soit et ça le bidasse y est sensible... De la com' et de la figuration me direz-vous ? Peut-ètre, peut-ètre.
  16. max

    Vidéo du char Arjun Mk.1

    Le DRDO et l'Arjun........ =| =| =| On voit clairement la touche Reinhmetall/Krauss maffrei/Hans dans le design, la touche à Youri dans le support de Dushka/ les futs ( et écrans ) de gas-oil additionnels de 200 l jumelés en arrière de caisse/tourelleau/facine... Je trouve que finalement les protos ont une bonne tète, mais rien de plus. La volonté manifeste de l'Inde de rompre avec du T 80/90 reste méritoire selon moi, mais voila, quid de la prod' ? Les défilés et autres exibitions nationales des qq protos ( mème bien peints ) ne suffisent pas. "La science c'est comme la confiture, moins on en a plus on l'étale !!". D'ailleurs c'est rigolos, lorsque vous avez des photos de "parade", zoomez bien sur les photos des qq protos qui défilent, souvent on aperçoit alors des différences d'un char à l'autre, pas un n'est identique ( optique de visé en masque de tourelle, juppes de protections lattérales, GE en nuque de tourelle, tourelleau...).
  17. ... je dirai impact au choc, pas trop de grenaille, des passants encore debout... J'aurai bien aimé voir le véhicule de près "post strike".
  18. génial ! [08][08][08]
  19. pitié les gars ! Le sujet de Rochambeau est génial, faites qu'un peu de réserve ne fasse pas virer cette discut' comme les sujets de type "Algérie/Maroc/ polisario" ou le fond ( passionnant) vire au cacaboudin-prout. On va bien pouvoir parler de cette Division appartenant aussi à notre histoire sans pour autant se chier dessus , non ? Hep les modo, be quiet un peu là, le sujet mérite un arrèt quand mème, merci.
  20. max

    Médailles et décorations

    ... certains stages donnent droit au port d'un insigne metallique, mais cela n'a RIEN à voir avec une médaille, bien sur. De mème le BMPE, BMP1 et BMP2 ( brevet militaire professionnel élémentaire, du 1er degré et du second degré ) font l'objet dès leur obtention d'un insigne métallique. Il est ici question de brevets accomplis au cours de la carrière de sous officier. Cela dit pour revenir au "mérite" du port d'une décoration, je comprend que parfois pas mal de gens profitent des critères d'obtention ( ancienneté, nombre de points, considération et notation individuelle ) et dès lors arborent un ruban qui n'est pas le fruit d'une action d'éclat au combat... Mais un trouffion ou un sous off' ( surtout de moins de 40 piges )qui pète une légion d'honneur sur sa tenue ne sera JAMAIS un nantis qu système ou un lèche botte profiteur ! IMPOSSIBLE. Aussi une décoration "majeure" porté par un sans-grade ou un "petit gradé" donne toute sa valeure et sa grandeur à la dite déco'. Un caporal croisant sur sa poitrine une croix du combattant, une médaille militaite ou la légion d'honneur n'a pas à rougir et à cacher ( voir se cacher ) ses déco'. Par contre que Johnny Haliday ou que le chien Rintintin exibent fièrement un ruban rouge.... encore une fois libre à chacun de juger ( sans amalgame bien sur ).
  21. max

    Bienvenue

    salut camarade et bienvenue, "Français jamais, breton à l'occasion et Malouin certain ! " nous sommes maintenant deux Malouins sur le site...[08][08][08]
  22. max

    Médailles et décorations

    ça doit faire lourd à la longue, non ?![28]
  23. max

    Médailles et décorations

    effectivement Davout, je rejoins ton point de vue qui ,si je ne m'abuse, met en exergue la "qualité" plutot que la "quantité" des décorations. Il est vrai que les américains ont une collection de médaile pratiquement incomparable. Chaque " évènement" fait l'objet d'une déco... Une manoeuvre, une instruction ou l'ancienneté. La poitrine d'un soldat US est vite couverte. Cette tendance est d'ailleurs venue pointé le bout de son nez chez nous, surtout depuis la fin du clivage est/ouest et son lot d'Opex actuel... Coté Russe je ne sais pas.
  24. max

    Médailles et décorations

    Ben voyons, il semblerait aussi qu'en grattant un Morpion ou un Vegas on puisse mème obtenir la croix de la libération. Faut pas confondre la française des jeux et la chancellerie de la légion d'honneur, pitié. La confusion des genres est tentante et l'on mélange ainsi dans le saladier la Hernu cross ( médaille de la déf' Nat' ), la médaille militaire et les commémo'... AAAAAARRRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGGGGG [04][20][04][20][04][20][05] Je suis d'accord que certaines pendantes militaires ressemblent à des guirlandes ( pas illuminées ) dont l'attribution se fait aussi par des points cumulés. Mais après tout ce mode de décoration des poitrines "américanisé" ( très récent ) ne produit que des médailles.... de déco'. Pour ma part sans jouer "le héros de la gloriole" ( H.F. Thiéfaine ) je possède qq déco en chocolat comme celles-ci et ne les laisse que pour ce qu'elle sont, des souvenirs dans un carton. A chacun de juger la teneur du symbole et la sémantique des rubans. Du reste je rappel que ces médailles, liées au métier des armes et à son contexte, sont aussi dans l'esprit des "récompenses". Aussi je le demande, par rapport au secteur privé dans la société civile ou les récompenses de la profession se font parfois plutôt à coup de primes et d'intéressement en espèces sonnantes et trébuchantes, est-ce que l'argent est alors un moteur ayant plus de "valeurs" qu'une décoration ? Moi je mets une enveloppe de 1000 euros dans un de mes secrétariats et , miracle, le bataillon de secrétaires se découvre une motivation comme jamais, pire encore, l'esprit de cohésion s'en trouve sensiblement diminué et alors les plus intéressé pointent le bout de leur nez...au détriment des autres ( et encore là j'enfonce pas le clou ). Y.Solo, je ne suis pas sur que si tu balances par terre une poigné de croix du combattant dans le campement d'une section Française de la Finul à Beyrouth les gars auront une motivation plus importante ou se chieront dessus. La légion d’honneur pour un militaire n’est pas une prime d’ancienneté quémandée à la Star Ac ni un brevet de points cumulé en fin de parcours.
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