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loki

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Tout ce qui a été posté par loki

  1. qui veut nous attaquer avec ce type d'armes ? [09]
  2. qui est minoré ( j'ai oublié de finir ma phrase )
  3. oui mais à la différence des études anciennes qui imputaient ces défaites à la destruction des blindés allemand à koursk, les études modernes montrent que koursk n'est que l'une des nombreuses ( et pas la plus sanglante ) batailles livrées par les 2 armées de juillet 43 à mai 44 qui laissent l'ostheer sur les genoux ( et une partie de l'infanterie soviétique au cimetière ); c'est le rôle de koursk dans la défaite finale ( avant la bataille était considérée comme l'égale de stalingrad, voire plus importante ). [28]
  4. moi, la syrie a des moyens bien supérieurs au hezbollah ( dont l'équivalent de 2 divisions de forces spéciales bien entrainées ( capables d'opérer en petites équipes autonomes comme le hezbollah ) et équipées de AT 14 .....( voire de SA 16 et 18 )), tu ajoute à ça un arsenal de plusieurs centaines de missiles ballistiques lourds ( dont une partie avec des têtes CW ) ..... bref la syrie a des capacités à se défendre ( même si elle ne peut espérer vaincre à la longue )
  5. comme ça date de 1998, je doute qu'un tel secret ait pu duré 8 ans; je dirais propagande [08]
  6. donc tu parles d'une bombe à uranium où plutonium pour une arme de première génération et à hydrogéne pour une arme de deuxième génération ? par contre j'ai de gros doutes que l'Iran posséde pour le moment ce type d'arme , tu as un lien ? [12]
  7. la bataille de kursk a été complétement revue au cours des 10 dernières années et son caractère décisif est maintenant remis en cause, les pertes des 2 camps : pertes soviétiques : 177847 hommes, 1614 chars pertes allemandes : 56827 hommes, 278 chars source : zetterling/frankson : kursk 1943 a statistical analysis publié en 2000
  8. why not, peux tu fournir des preuves de tes propos ? ( copier/coller d'articles; liens vers des articles en pdf ), je serais aussi curieux de savoir quels sont les ministres israéliens qui ont proposés de rendre le golan ? ainsi d'ailleurs de ce qu'est une arme nucléaire de première génération ? quant à cette phrase : cela ne sert a rien d etre partisan , il faut etre objectif meme si cela est difficile a reconnaitre, elle me fait bien rire, d'habitude sur ce site on m'accuse de soutenir le hezbollah [08]
  9. la bataille du golfe de leyte n'est pas une bataille où les chances étaient contre les américains ( loin de là, leur supériorité était écrasante ).
  10. les propos de yams ne me semblent pas à prendre au premier degré. quant aux pertes réelles du hezbollah et de israél, personne ne les connait !!
  11. oui probable mais gare aux représailles !!
  12. le retour des F15I est important sinon tu sacrifies l'élite de ton aviation pour un résultat incertain. l'itinéraire pose des pb diplomatiques ( violet la souveraineté d'autres pays ) et militaires ( risquer de se faire tirer dessus et devoir dépenser du carburant en manoeuvrant ). le pb du programme iranien, c'est que personne ne connait son étendue et sa redondance ( en tout cas personne ici ) donc on ne peut que spéculer sur sa vulnérabilité enfin si israél doit faire une campagne continue, ça risque de leur poser problème. pour why not : il faudrait nous dire ce que tu fumes, ça a l'air bien [08]
  13. attaquer le programme nucléaire iranien n'est pas aussi simple ( rien que les distances et l'existence de nombreux pays entre l'Iran et Israél rendent une telle attaque problématique , ajoute à ça que personne ne sait vraiment où sont les centres sous-térrain ( c'est l'intérêt d'enfouire tout d'ailleurs ) et que pour être efficace il faut entretenir les destructions ...........) pour la défense contre les roquettes, aucune info, désolé.
  14. si tu as une preuve de tes propos ça serait bien de la fournir, à défaut ça reste hautement hypothétique !! pour le reste l'Iran n'a pas non plus de frontière avec la syrie et n'a pas les moyens d'envoyer un corps expéditionnaire ( en plus avec les américains en Irak ça serait idiot ). Quant à la syrie, elle s'est tenue en retrait tout au long de la crise et son armée ( moyens financiers réduits ) n'est plus au top........
  15. belle analyse, je rajoute juste que la mission de la FINUL est trés dépendante de la bonne volonté des bélligérants ( c'est pour ça que je suis péssimiste ); sur les régles d'engagement elles devraient être annonçées cette semaine.
  16. l'Iran accédant à l'arme nucléaire est une possibilité réelle ( dans le futur ).
  17. oui c'est l'une des plus grandes victoires japonaises de la guerre et elle doittout au commandement et à la qualité des troupes !!
  18. pour la frontière commune à l'Iran, le Sud-Liban, la Syrie et Israél référe toi à un manuel de géographie . Si la syrie a de si gros moyens, pourquoi ne reprend t'elle pas le Golan ? je ne nie pas que Israél a subi un revers mais 100 où 200 ( si tu veux ) morts ce n'est pas un défaite majeure. Si tout ton post est une blague, elle est trés drôle [08]
  19. la nature des régimes n'est pas seule en compte, il faut aussi tenir compte de l'environnement international ( souviens toi qu'en 1948, Israél a expulsé 750000 palestiniens de chez eux ; le régime était pourtant une démocratie ; je connais moins l'histoire de l'inde désolé ) pour la détermination des combatants du hezbollah, il faut prendre aussi en compte qu'ils combataient dans leurs villages et villes, ça motive !!
  20. c'est vrai mais les britanniques avaient un supériorité de 1,5 à 2 contre 1 en effectifs !! c'est pour ça que je la cite.
  21. Le Monde : Les règles d'engagement" de la Finul bientôt connues, l'Italie pressentie pour la diriger LEMONDE.FR | 21.08.06 | 08h14 • Mis à jour le 21.08.06 | 08h34 Les règles d'engagement [de la force de maintien de la paix de l'ONU dans le sud du Liban] sont presque finalisées", a assuré, dimanche 20 août, un émissaire des Nations unies. "Les détails finalisés sortiront peut-être dans les prochains jours", a ajouté Vijay Nambiar, conseiller spécial du secrétaire général de l'ONU, lors d'une visite à Beyrouth. Cette perspective devrait accélérer la mise en place de la Finul alors que les promesses fermes d'engagement tardent à intervenir. La résolution votée par le Conseil de sécurité pour mettre fin au conflit entre le Hezbollah et Israël autorise, pour faire respecter le cessez-le-feu, le déploiement de 13 000 hommes supplémentaires, s'ajoutant aux 2 000 hommes de la Force intérimaire des Nations unies au Liban déjà sur place. Mais la situation sur le terrain pourrait décourager les pays contributeurs. Terje Roed-Larsen, l'émissaire de l'ONU, a déploré le raid lancé samedi par Israël contre le Hezbollah dans l'est du Liban, qui selon le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, viole la trêve au Liban. A l'inverse, Larsen a estimé que le déploiement des troupes libanaises dans le sud du pays contribue "à faire en sorte que des contributeurs de troupes se manifestent pour restructurer et renforcer la Finul". La Maison Blanche a aussi réagi à l'opération commando israélienne de samedi en soulignant "l'importance d'un déploiement rapide d'une Finul renforcée". Le président Jacques Chirac s'est entretenu samedi avec les dirigeants de plusieurs pays, dont le président du Conseil italien Romano Prodi et le premier ministre finlandais Matti Vanhanen, pour souligner la nécessité de clarifier le mandat de la Finul. Au sein de cette force, et en raison de la volte-face de Paris – longtemps pressentie pour fournir la colonne vertébrale de la Finul, qui n'a pour l'instant annoncé que l'envoi de 200 hommes –, l'Italie pourrait occuper un rôle de premier plan. Le cabinet de Romano Prodi a multiplié les contacts pendant le week-end avec les responsables israéliens et libanais. "Il est important que la force multinationale arrive dans la région au plus tôt et que l'Italie y joue un rôle primordial", a indiqué, dimanche, Ehoud Olmert, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue italien. Le président du Conseil israélien, lui, a par ailleurs fait savoir qu'il s'opposerait "à la participation à la force multinationale de contingents venant d'Etats avec lesquels [l'Etat hébreu] n'a pas de relations [diplomatiques]" ou de "soldats de pays dont le gouvernement a soutenu le Hezbollah durant la guerre". Le premier ministre libanais Fouad Siniora ne s'opposerait pas non plus à ce que l'Italie joue un rôle majeur au sein de la Finul. De son côté, le ministre des affaires étrangères français, Philippe Douste-Blazy, a indiqué, sur France Info, qu'il souhaitait "que s'exprime le plus rapidement possible une solidarité européenne". Un responsable finlandais a dit que la France réclamait une réunion, mercredi, du Comité politique et de sécurité de l'Union européenne. "La réunion vise à discuter de ce que les pays vont faire au Liban. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une mission de l'UE, c'est pour coordonner ce que vont faire les différents pays de l'UE", a expliqué Susanna Parkkonen, porte-parole du ministre finlandais des affaires étrangères. Il s'agira d'une réunion d'experts et de diplomates.
  22. Un article de Libération : La résistance du Hezbollah à l'attaque d'Israël inquiète les autres communautés du Liban. «Nasrallah nous a tous pris en otages. C'est un coup d'Etat» Par Christophe BOLTANSKI QUOTIDIEN : Lundi 21 août 2006 - 06:00 Beyrouth envoyé spécial Son visage rond entouré d'un turban et d'une barbe broussailleuse envahit l'écran. Pour s'adresser à ses concitoyens, le cheikh Hassan Nasrallah a choisi, comme à son habitude, l'heure du dîner. Sur le ton à la fois grave et serein d'une causerie au coin du feu, le leader du Hezbollah revendique, ce soir-là, une «victoire stratégique et historique pour tout le Liban et la résistance». Il promet d'indemniser les victimes «dès demain», invoque l'intérêt national pour refuser le désarmement de sa formation et parle avec des accents de chef d'Etat. Le maître de maison, un professeur d'université, coupe le son, l'air accablé. «Qu'est-ce qu'on va devenir ? On n'a plus qu'à quitter le pays», lance-t-il à son épouse. Assis au balcon de leur appartement d'Ain Rommané, un quartier chrétien du sud de Beyrouth, ils peuvent apercevoir, quelques pâtés de maisons plus loin, des balles traçantes qui décrivent des pointillés dans le ciel noir. Les tirs de joie, version locale du feu d'artifice, prennent fin à 22 heures pétantes. Le militant du Hezbollah est visiblement aussi discipliné que couche-tôt. «Hégémonie américaine». Le simple fait d'avoir tenu tête à l'armée israélienne pendant un mois permet au Parti de Dieu de crier victoire. Les médias libanais, toutes tendances confondues, saluent ses exploits militaires. Sur les routes encombrées du Sud, des réfugiés qui ont souvent tout perdu arborent son drapeau jaune. «Les chiites sont entrés dans une relation mystique avec Nasrallah», affirme Joseph Samara. Rédacteur en chef du tout nouveau quotidien Al-Akhbar, lui-même ne cache pas, au nom du nationalisme arabe, ses sympathies pour ce mouvement qui «lutte contre l'hégémonie américaine». Nombre de Libanais n'expriment, à l'inverse, que de la colère. «Nasrallah nous a tous pris en otages. C'est un coup d'Etat», fulmine un photographe. D'autres choisissent la dérision. La blague court Beyrouth : pourquoi les vieilles dames huppées d'Achrafié, le quartier maronite, adorent-elles le dirigeant chiite ? «Parce qu'il les a rajeunies de trente ans», quand la guerre civile faisait rage. En dépit de la solidarité témoignée par le reste du pays aux populations chassées du Sud, le conflit a accru le clivage entre les chiites et les trois autres communautés, sunnite, druze et chrétienne. «Cette forme de défaite que le Hezbollah a infligée à Israël ne lui a pas valu, sur le plan intérieur, une plus grande popularité. Peut-être en Egypte. Pas au Liban. Car il est apparu comme un bataillon avancé de l'Iran en Méditerranée», assure Samir Frangié, l'un des animateurs de cette «révolution du Cèdre» qui, il y a plus d'un an, avait abouti au départ de l'armée syrienne du pays. «Il y a un refus du reste de la population de reconnaître les chiites comme vainqueurs ou victimes. Même chez ces derniers, il y a un très grand questionnement. Il faut cependant du temps pour que ces voix discordantes puissent s'exprimer.» Pendant cinq semaines, une communauté presque tout entière a été prise pour cible. Près d'Israël, le village d'Ait al-Chaab est complètement détruit alors que, trois kilomètres plus loin, la bourgade chrétienne de Rmaich n'a pas essuyé le moindre tir. L'économie chiite est en partie ruinée. Partout, des immeubles, des stations-service, des usines ont été frappés, en fonction de l'appartenance confessionnelle et politique de leurs propriétaires, avec parfois une précision incroyable, telle cette église intacte au milieu des décombres de Haret Hreik, le fief du Hezbollah au sud de Beyrouth. Le Parti de Dieu a perdu son sanctuaire. Sa banlieue, dont il contrôlait chaque ruelle, a été réduite en poussière. «Il se retrouve aujourd'hui sans protection. Si vous êtes un de ses dirigeants, où allez-vous habiter ?» s'interroge Samir Frangié. Le raid israélien raté, samedi dans la plaine de la Bekaa, qui apparemment visait une fois de plus Mohammed Yazbeck, représentant du Guide suprême iranien Ali Khamenei au Liban et trésorier du mouvement, démontre que la traque des leaders du Hezbollah va se poursuivre. «Qu'est-ce que trois bâtiments ? s'écrie Wadah Charara, un intellectuel chiite, auteur d'un livre sur le Hezbollah. Son vrai sanctuaire, c'est sa population.» Reste la question de sa capacité militaire. Selon un expert étranger, «au moins 300 de ses 2 000 combattants d'élite auraient été tués par les Israéliens». Quel que soit le bilan exact de ses pertes, le parti chiite conserve encore les moyens de frapper à tout moment Israël. Ni les soldats libanais qui se sont déployés dans le Sud ni la future «Finul Plus» ne paraissent en mesure de saisir son arsenal. «Il n'y aurait plus d'armée libanaise si elle tentait de désarmer le Hezbollah», prévient Joseph Samara, qui rappelle le poids très important des chiites dans la troupe. Pour Wadah Charara, le Hezbollah, qui s'était jusque-là fixé des objectifs précis et strictement libanais, comme la libération des prisonniers ou le transfert au Liban des fermes de Chebaa, mène aujourd'hui un combat plus large. «Le désarmement du Hezbollah ne peut plus se faire sur cette base, dit-il. Cette guerre s'inscrivait dans une stratégie régionale des Etats-Unis. C'était le premier acte d'une confrontation avec l'Iran. On ne peut pas déconnecter les conflits les uns des autres.»
  23. aucune chance, leur constitution est presque aussi sacrée que la Bible.......
  24. oui elles se sont même encore agrandies [08]
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