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Tout ce qui a été posté par loki

  1. l'Iran accédant à l'arme nucléaire est une possibilité réelle ( dans le futur ).
  2. oui c'est l'une des plus grandes victoires japonaises de la guerre et elle doittout au commandement et à la qualité des troupes !!
  3. pour la frontière commune à l'Iran, le Sud-Liban, la Syrie et Israél référe toi à un manuel de géographie . Si la syrie a de si gros moyens, pourquoi ne reprend t'elle pas le Golan ? je ne nie pas que Israél a subi un revers mais 100 où 200 ( si tu veux ) morts ce n'est pas un défaite majeure. Si tout ton post est une blague, elle est trés drôle [08]
  4. la nature des régimes n'est pas seule en compte, il faut aussi tenir compte de l'environnement international ( souviens toi qu'en 1948, Israél a expulsé 750000 palestiniens de chez eux ; le régime était pourtant une démocratie ; je connais moins l'histoire de l'inde désolé ) pour la détermination des combatants du hezbollah, il faut prendre aussi en compte qu'ils combataient dans leurs villages et villes, ça motive !!
  5. c'est vrai mais les britanniques avaient un supériorité de 1,5 à 2 contre 1 en effectifs !! c'est pour ça que je la cite.
  6. Le Monde : Les règles d'engagement" de la Finul bientôt connues, l'Italie pressentie pour la diriger LEMONDE.FR | 21.08.06 | 08h14 • Mis à jour le 21.08.06 | 08h34 Les règles d'engagement [de la force de maintien de la paix de l'ONU dans le sud du Liban] sont presque finalisées", a assuré, dimanche 20 août, un émissaire des Nations unies. "Les détails finalisés sortiront peut-être dans les prochains jours", a ajouté Vijay Nambiar, conseiller spécial du secrétaire général de l'ONU, lors d'une visite à Beyrouth. Cette perspective devrait accélérer la mise en place de la Finul alors que les promesses fermes d'engagement tardent à intervenir. La résolution votée par le Conseil de sécurité pour mettre fin au conflit entre le Hezbollah et Israël autorise, pour faire respecter le cessez-le-feu, le déploiement de 13 000 hommes supplémentaires, s'ajoutant aux 2 000 hommes de la Force intérimaire des Nations unies au Liban déjà sur place. Mais la situation sur le terrain pourrait décourager les pays contributeurs. Terje Roed-Larsen, l'émissaire de l'ONU, a déploré le raid lancé samedi par Israël contre le Hezbollah dans l'est du Liban, qui selon le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, viole la trêve au Liban. A l'inverse, Larsen a estimé que le déploiement des troupes libanaises dans le sud du pays contribue "à faire en sorte que des contributeurs de troupes se manifestent pour restructurer et renforcer la Finul". La Maison Blanche a aussi réagi à l'opération commando israélienne de samedi en soulignant "l'importance d'un déploiement rapide d'une Finul renforcée". Le président Jacques Chirac s'est entretenu samedi avec les dirigeants de plusieurs pays, dont le président du Conseil italien Romano Prodi et le premier ministre finlandais Matti Vanhanen, pour souligner la nécessité de clarifier le mandat de la Finul. Au sein de cette force, et en raison de la volte-face de Paris – longtemps pressentie pour fournir la colonne vertébrale de la Finul, qui n'a pour l'instant annoncé que l'envoi de 200 hommes –, l'Italie pourrait occuper un rôle de premier plan. Le cabinet de Romano Prodi a multiplié les contacts pendant le week-end avec les responsables israéliens et libanais. "Il est important que la force multinationale arrive dans la région au plus tôt et que l'Italie y joue un rôle primordial", a indiqué, dimanche, Ehoud Olmert, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue italien. Le président du Conseil israélien, lui, a par ailleurs fait savoir qu'il s'opposerait "à la participation à la force multinationale de contingents venant d'Etats avec lesquels [l'Etat hébreu] n'a pas de relations [diplomatiques]" ou de "soldats de pays dont le gouvernement a soutenu le Hezbollah durant la guerre". Le premier ministre libanais Fouad Siniora ne s'opposerait pas non plus à ce que l'Italie joue un rôle majeur au sein de la Finul. De son côté, le ministre des affaires étrangères français, Philippe Douste-Blazy, a indiqué, sur France Info, qu'il souhaitait "que s'exprime le plus rapidement possible une solidarité européenne". Un responsable finlandais a dit que la France réclamait une réunion, mercredi, du Comité politique et de sécurité de l'Union européenne. "La réunion vise à discuter de ce que les pays vont faire au Liban. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une mission de l'UE, c'est pour coordonner ce que vont faire les différents pays de l'UE", a expliqué Susanna Parkkonen, porte-parole du ministre finlandais des affaires étrangères. Il s'agira d'une réunion d'experts et de diplomates.
  7. Un article de Libération : La résistance du Hezbollah à l'attaque d'Israël inquiète les autres communautés du Liban. «Nasrallah nous a tous pris en otages. C'est un coup d'Etat» Par Christophe BOLTANSKI QUOTIDIEN : Lundi 21 août 2006 - 06:00 Beyrouth envoyé spécial Son visage rond entouré d'un turban et d'une barbe broussailleuse envahit l'écran. Pour s'adresser à ses concitoyens, le cheikh Hassan Nasrallah a choisi, comme à son habitude, l'heure du dîner. Sur le ton à la fois grave et serein d'une causerie au coin du feu, le leader du Hezbollah revendique, ce soir-là, une «victoire stratégique et historique pour tout le Liban et la résistance». Il promet d'indemniser les victimes «dès demain», invoque l'intérêt national pour refuser le désarmement de sa formation et parle avec des accents de chef d'Etat. Le maître de maison, un professeur d'université, coupe le son, l'air accablé. «Qu'est-ce qu'on va devenir ? On n'a plus qu'à quitter le pays», lance-t-il à son épouse. Assis au balcon de leur appartement d'Ain Rommané, un quartier chrétien du sud de Beyrouth, ils peuvent apercevoir, quelques pâtés de maisons plus loin, des balles traçantes qui décrivent des pointillés dans le ciel noir. Les tirs de joie, version locale du feu d'artifice, prennent fin à 22 heures pétantes. Le militant du Hezbollah est visiblement aussi discipliné que couche-tôt. «Hégémonie américaine». Le simple fait d'avoir tenu tête à l'armée israélienne pendant un mois permet au Parti de Dieu de crier victoire. Les médias libanais, toutes tendances confondues, saluent ses exploits militaires. Sur les routes encombrées du Sud, des réfugiés qui ont souvent tout perdu arborent son drapeau jaune. «Les chiites sont entrés dans une relation mystique avec Nasrallah», affirme Joseph Samara. Rédacteur en chef du tout nouveau quotidien Al-Akhbar, lui-même ne cache pas, au nom du nationalisme arabe, ses sympathies pour ce mouvement qui «lutte contre l'hégémonie américaine». Nombre de Libanais n'expriment, à l'inverse, que de la colère. «Nasrallah nous a tous pris en otages. C'est un coup d'Etat», fulmine un photographe. D'autres choisissent la dérision. La blague court Beyrouth : pourquoi les vieilles dames huppées d'Achrafié, le quartier maronite, adorent-elles le dirigeant chiite ? «Parce qu'il les a rajeunies de trente ans», quand la guerre civile faisait rage. En dépit de la solidarité témoignée par le reste du pays aux populations chassées du Sud, le conflit a accru le clivage entre les chiites et les trois autres communautés, sunnite, druze et chrétienne. «Cette forme de défaite que le Hezbollah a infligée à Israël ne lui a pas valu, sur le plan intérieur, une plus grande popularité. Peut-être en Egypte. Pas au Liban. Car il est apparu comme un bataillon avancé de l'Iran en Méditerranée», assure Samir Frangié, l'un des animateurs de cette «révolution du Cèdre» qui, il y a plus d'un an, avait abouti au départ de l'armée syrienne du pays. «Il y a un refus du reste de la population de reconnaître les chiites comme vainqueurs ou victimes. Même chez ces derniers, il y a un très grand questionnement. Il faut cependant du temps pour que ces voix discordantes puissent s'exprimer.» Pendant cinq semaines, une communauté presque tout entière a été prise pour cible. Près d'Israël, le village d'Ait al-Chaab est complètement détruit alors que, trois kilomètres plus loin, la bourgade chrétienne de Rmaich n'a pas essuyé le moindre tir. L'économie chiite est en partie ruinée. Partout, des immeubles, des stations-service, des usines ont été frappés, en fonction de l'appartenance confessionnelle et politique de leurs propriétaires, avec parfois une précision incroyable, telle cette église intacte au milieu des décombres de Haret Hreik, le fief du Hezbollah au sud de Beyrouth. Le Parti de Dieu a perdu son sanctuaire. Sa banlieue, dont il contrôlait chaque ruelle, a été réduite en poussière. «Il se retrouve aujourd'hui sans protection. Si vous êtes un de ses dirigeants, où allez-vous habiter ?» s'interroge Samir Frangié. Le raid israélien raté, samedi dans la plaine de la Bekaa, qui apparemment visait une fois de plus Mohammed Yazbeck, représentant du Guide suprême iranien Ali Khamenei au Liban et trésorier du mouvement, démontre que la traque des leaders du Hezbollah va se poursuivre. «Qu'est-ce que trois bâtiments ? s'écrie Wadah Charara, un intellectuel chiite, auteur d'un livre sur le Hezbollah. Son vrai sanctuaire, c'est sa population.» Reste la question de sa capacité militaire. Selon un expert étranger, «au moins 300 de ses 2 000 combattants d'élite auraient été tués par les Israéliens». Quel que soit le bilan exact de ses pertes, le parti chiite conserve encore les moyens de frapper à tout moment Israël. Ni les soldats libanais qui se sont déployés dans le Sud ni la future «Finul Plus» ne paraissent en mesure de saisir son arsenal. «Il n'y aurait plus d'armée libanaise si elle tentait de désarmer le Hezbollah», prévient Joseph Samara, qui rappelle le poids très important des chiites dans la troupe. Pour Wadah Charara, le Hezbollah, qui s'était jusque-là fixé des objectifs précis et strictement libanais, comme la libération des prisonniers ou le transfert au Liban des fermes de Chebaa, mène aujourd'hui un combat plus large. «Le désarmement du Hezbollah ne peut plus se faire sur cette base, dit-il. Cette guerre s'inscrivait dans une stratégie régionale des Etats-Unis. C'était le premier acte d'une confrontation avec l'Iran. On ne peut pas déconnecter les conflits les uns des autres.»
  8. aucune chance, leur constitution est presque aussi sacrée que la Bible.......
  9. oui elles se sont même encore agrandies [08]
  10. ça sera d'autant plus difficile que la tache de la FINUL ne consiste pas à désarmer le hezbollah !!
  11. la guerre des 6 jours c'est celle de 67, celle du kippour c'est 73.
  12. en fait à l'époque Rome était encore une République, il faut attendre Octave/Auguste pour avoir l'Empire.
  13. je n'ai pas dit que les casques bleus n'avaient pas le droit de tirer mais comme la directive ne mentionne pas l'article VII et qu'on parle surtout d'un droit d'autodéfense, j'aurais aimé savoir si il y avait du nouveau sur les conditions d'usage de la force de la FINUL ( ex concret : pourra t-elle abattre les avions israéliens qui violent l'espace aérien libanais où appréhender des membres du hezbollah envoyant des roquettes sur Israél ? ) voilà, désolé si la formulation n'était pas assez précise ?
  14. désolé de t'apprendre que tous les spécialistes n'accordent AUCUNE chance à l'armée syrienne dans un combat offensif ( au mieux et en utilisant la surprise et des armes chimiques , elle peut ( peut être ) reprendre le golan et le tenir jusqu'à ce que l'ONU impose un cessez le feu ). L'Egypte n'a aucune envie de faire la guerre à Israél; l'Iran n'a pas de frontière commune avec Israél ( donc pas du guerre terrestre possible ) et posséde moins de 50 SHAHAB 3. Enfin, Israél posséde le meilleur ( et le plus nombreux matériel ) , quant au courage c'est une donnée que tu ne peux quantifier qu'après les combats mais par le passé, ils n'en n'ont pas manqué. dernier point, les armées arabes ont toujours eu du mal à créer un corps d'officiers subalternes et de sous-officiers compétents suffisants pour avoir une réelle éfficacité tactique . Bref ne te fais pas d'illusions, le jour où Israél subira une vrai défaite ( et non pas un simple revers comme au liban ) est encore loin !!
  15. bon désolé je dois vérifier si la mienne a terminé le ménage et la vaisselle [08] ok je sors ( it's a joke )
  16. dans le cercle privé ( violence conjugale par ex ) oui, en tant que dirigeantes ce sont d'autres facteurs qui jouent .
  17. c'est ridicule, si tu penses que la violence est inhérente à la morphologie ...... as tu songée que bien des femmes ont déjà été chef d'états ( reines, premier ministre etc....... ) et que le bilan final ne prouve pas qu'elles ont été plus tendres que leurs homologues masculins........ dernier point : si tu crois que les USA ont attaqués l'Irak juste pour se débarasser de saddam hussein, il faut que tu lises des études géo-stratégiques.
  18. euh kedith tu parles bien de la femme qui dès 1998 souhaitait envahir l'Irak !! ? tu penses pas que cette vision femmes=bien, hommes=violence, c'est un peu caricatural ?
  19. tiens il m'avait échappé cet article [22] ça augure rien de bon tout ça......... en cas de 2iè round, le rôle de la FINUL c'est quoi ?
  20. tu peux citer la source où les israéliens déclarent vouloir lancer le 2iè round car moi ce que j'ai entendu, c'est qu'israél comptait continuer ses incursions aériennes ( et éventuellement ses raids de commando ) au liban : il y a une nuance.
  21. vu que les 2 pays n'ont pas de frontière commune, il y a peu de risques que quelqu'un le vérifie un jour [08] par contre ( pour why not ), il ne faut pas faire de jugements hatifs, même si Israél a subi une échec devant le hezbollah , elle reste la plus puissant armée du proche orient. d'autre part son aviation peut attaquer l'Iran ( même si ce ne sera pas facile ), l'inverse n'est pas vrai et les capacités ballistiques de l'Iran sont limités ( d'où l'intérêt pour l'iran de son alliance avec le hezbollah )).
  22. trop tard pour aujourd'hui c'est passé !! [08] et demain je bosse de 15 à 22 heures. mais bon je me doute que CERTAINS ( nombre indéfini ) libanais n'ont pas appréciés d'être impliqués dans la guerre opposant le hezbollah à Israél, par contre je pense que la quasi-totalité en veut bien plus à Israéel pour ces bombardements massifs....... ( je demanderais à mon prof de kung fu quand il rentrera du liban ).
  23. le figaro aujourd'hui : Les pertes de l’armée israélienne, la résistance du Hezbollah, et la division de l’opinion publique israélienne n’empêchent pas Dan Haloutz, commandant en chef de l’armée d’Israël, de déclarer que l’offensive au Liban constitue une victoire. Dimanche, devant le cabinet israélien, le lieutenant-général Dan Haloutz a défendu le bilan de l’opération militaire au Liban. « En comptant les points, c’est définitivement une victoire. Peut-être pas un KO, mais en terme de réalisations, c’est une victoire », a-t-il martelé. A l’appui, Haloutz estime qu’Israël a détruit l’infrastructure militaire du Hezbollah. Un triomphalisme bien isolé en Israël. Selon des sondages sur le site du quotidien Yedioth Ahronoth, 58% des Israéliens jugent que leur armée a rempli peu ou aucun des objectifs de l’opération. 64% estiment que la résolution du Conseil de l’Onu constitue une défaite pour Israël. Et, si des élections avaient lieu aujourd’hui, la coalition de Kadima, le parti du premier ministre Ehoud Olmert, et du Parti travailliste dirigé par le ministre de la Défense Amir Peretz, ne recueillerait que 32 sièges (contre 48 actuellement). La presse n’est pas plus tendre avec l’armée israélienne. Les médias israéliens reprochent pêle-mêle à Ehoud Olmert son «arrogance», d'avoir sous-estimé la résistance du Hezbollah, renforcé le prestige du mouvement chiite dans le monde arabe, surestimé la puissance de ses forces, fixé des objectifs «présomptueux», et mal préparé l'arrière. Sous le sceau de l'anonymat, un ministre a reconnu lundi dernier que «le gouvernement ne pourra pas échapper à la création d'une commission d'enquête. L'opinion veut un coupable pour les manquements constatés». « Nous avions tellement faim que nous nous jetions sur les étals d'épicerie » Dans le quotidien Haaretz, c’est le frère d’un des deux soldats enlevés par le Hezbollah qui vient rappeler l’un des objectifs initiaux d’Israël : la libération des militaires captifs. Parmi l’armée, la contestation monte. Jeudi, les soldats de réserve des bataillons dans lesquels servaient les deux soldats ont lancé une pétition. « Cher premier ministre, vous avez peut-être réussi à l’oublier, mais la raison pour laquelle Israël a fait la guerre au Liban n’était pas la présence du Hezbollah le long de la frontière, mais bien l’enlèvement de deux soldats du bataillon 8110 par le Hezbollah », écrivent-ils. Dan Haloutz lui-même est pointé du doigt. Accusé d'avoir vendu des actions peu avant le déclenchement des combats au Liban le 12 juillet. Au sein de l’état-major, la conduite de la guerre par Haloutz a été vivement contestée. Issu de l’armée de l’air, il a fondé sa campagne sur le « shock and awe », une stratégie d’inspiration américaine qui consiste à immobiliser l’ennemi sous un déluge de bombe avant toute action terrestre. Une décision qui a fait grincer des dents parmi les pontes de l’armée de terre. Parmi les soldats, les critiques fusent : «Nos ordres étaient trop confus. On nous dit de monter à l'assaut d'un village. Cela se passe mal, des soldats se font tuer. On nous dit alors d'en sortir précipitamment et de tenter notre chance dans un autre», relate un lieutenant de la brigade d'infanterie d'élite Golani. Un officier du renseignement confie que les cartes aériennes cartographiées mises à leur disposition par le commandement dataient de 2002 et étaient pleines de lacunes, notamment sur des caches d'armes ou places fortes du Hezbollah. «Il est inconcevable d'envoyer des soldats au combat sans eau», se plaint un réserviste qui raconte avoir été contraint de boire de l'eau dans des gourdes abandonnées par des combattants du Hezbollah. Des réservistes font ainsi état de «pillages» d'épiceries libanaises : «Nous avions tellement faim que nous nous jetions sur les étals d'épicerie sans pouvoir nous retenir». à signaler que israéel a confirmé que ses opérations militaires allaient continuer : Dimanche matin, Israël a même assuré que ses opérations militaires destinées à empêcher toute livraison d’armes au Parti de Dieu continueraient. Un porte-parole de l'armée a ainsi réaffirmé qu'en «l'absence d'un système de contrôle à la frontière entre la Syrie et le Liban, Israël continuerait à opérer pour empêcher le transfert d'armes au Hezbollah». elle a aussi indiqué vouloir interdire à l'armée libanaise de s'installer à moins de 2 km de ses frontières : Alors que, pour la première fois depuis trente ans, l’armée libanaise a commencé à prendre position à la frontière avec Israël samedi matin, le ministre israélien de la Défense, Amir Peretz, hausse le ton : «Nous allons continuer à empêcher l'armée libanaise de se déployer à moins de deux kilomètres de la frontière avant le déploiement d'une force multinationale». les 2 citations tirées du figaro. Bref la paix risque d'être éphémère au Liban.
  24. loki

    AFV échange d'infos

    je propose d'ouvrir un sujet pour demander et fournir des indications techniques ( blindages, etc.... ) où tactiques sur les AFV où des liens internet. pour ma part : concernant les T72, T90 et T80 : http://armor.kiev.ua/fofanov/ pour les tigres I et II, Abrams, Merkava , challenger, Leopard II, T90 et T80: http://www.fprado.com/armorsite/main.html pour des données sur les niveaux de protections des AFV ( mais sans garantie d'exactitude, il n'y a pas de sources ): http://members.tripod.com/collinsj/protect.htm quelqu'un connait-il le niveau de protection ( vs KE et vs HEAT ) des chars suivants: T72B T90 T80U Leclerc Léopard II A5 et 6 M1A2 et M1A2SEP MERKAVA III et IV
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