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turquie La Turquie
Neuron a répondu à un(e) sujet de madmax dans Politique etrangère / Relations internationales
Effectivement j'ai lu la même chose, no fly zone pour les avions turcs, imposé par l'USAF! Ajouter à cela le sénateur US Graham qui est un peu le porte-parole d'une partie de l'appareil d'état américain qui parle de ligne rouge à ne pas franchir... Erdogan devrait vraiment mûrement réfléchir ses prochaines actions. -
Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Le jiu-jitsu brésilien est très différent du jiu-jitsu traditionnel et surtout redoutable en 1 contre 1 quand on le maitrise un minimum. Nos "amis" brésiliens nous agaçent sévèremment ces derniers temps, mais cela n'enlève rien à l'efficacité brutale du jiu-jitsu brésilien qui reste aussi une école de la vie. Au JJB j'ai vu des gamins à la dérive devenir des jeunes biens ou déjà plus respectueux des autres dans bien des cas. -
Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est pas faux et la France devrait quand même commencer à signer la fin de la partie en commençant par un rappel d'ambassadeur pour consultation ou en boycottant un symbole pour le pouvoir brésilien en place. -
Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Un ministre du tourisme du Brésil insulte Emmanuel Macron et sa femme Et dire que cet énergumène est (était) un modèle pour tous les pratiquants de jiu-jitsu brésilien... -
Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Et puis il y'avait eu le coup avec Le Drian juste avant pour se remémorer le contexte... -
Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Bolsonaro exige que Macron «retire ses insultes» avant de discuter de l'aide du G7, il ne s'arrête jamais celui-là! http://www.lefigaro.fr/flash-actu/bolsonaro-exige-que-macron-retire-ses-insultes-avant-de-discuter-de-l-aide-du-g7-20190827?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3 -
Le Brésil décide d'une opération militaire contre la Guyane Française
Neuron a répondu à un(e) sujet de Neuron dans Conflits probables
C'est totalement vrai, mais tu apportes de la rationalité à un dirigeant irrationel. -
Le Brésil décide d'une opération militaire contre la Guyane Française
Neuron a répondu à un(e) sujet de Neuron dans Conflits probables
Merci pour cet éclairage! On pourrait dans le même temps faire une doctrine du fort (France) au faible (Brésil). En attendant que le GAN soit sur place et détruise la marine brésilienne, l'armée de l'air pourrait attaquer depuis la métropole des centres de commandement en territoire brésilien, l'état major brésilien, etc. De son côté le Brésil n'aurait pas les moyens de rendre les coups autrement que localement en Guyane. Cela présuriserait le mental brésilien (par exemple le batiment du ministère de la défense détruit avec plusieurs officiers généraux dedans), on pourrait aussi brouiller les satellites de communication brésiliens,etc. Cela permettant à la Marine Nationale d'arriver sur place pour gagner du temps. -
Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Merci pour cet épisode totalement méconnu (pour moi en tout cas). J'ai créé un fil dans les conflits probables entre France et Brésil, même si cela paraît complètement ubuesque bien évidemment. -
Le Brésil décide d'une opération militaire contre la Guyane Française
Neuron a posté un sujet dans Conflits probables
Nous sommes fin septembre 2019, depuis un mois, les tensions verbales entre le Brésil de Bolsonaro et la France ne cessent de s'accroitre. Bolsonaro dans un coup de poker politique et pour remobiliser son électorat (il baisse fortement dans les sondages depuis plusieurs semaines), décide d'un coup de force limité mais symbolique contre la Guyane Française. Que fairait Bolsonaro? Les forces brésiliennes même si elles semblent pléthoriques sur le papier sont constituées de beaucoup de réserves... et puis il y'a surtout la forêt à traverser, et il faut arriver au Nord Est de la Guyane Française via le pont du poste frontière sur la rivière Oyapock. Il semble difficile d'y faire passer beaucoup de troupes et véhicules sans compter que les Français tiendraient le pont préventivement sans aucun doute. Cayenne est donc très vraissemblablement peu menacé. La seule option crédible serait des frappes aériennes sur un symbole comme la partie militaire de l'aéroport de Cayenne, la base aérienne 367 ou la base navale de Degrad des Cannes. Sans aucun renfort de la métropole, les moyens disponibles en Guyane semblent faibles, mais les moyens brésiliens le sont également: une quarantaine de F5, une quarantaine d'AMX et environ 30 Tucano. Au vu du budget brésilien de la défense il est peu probable que plus de la moitié de ces appareils soient mobilisables pour aller au combat. Le Brésil ne peut donc compter que sur une cinquantaine d'appareils légers. Si la Guyane se voyait réellement frappée, une réponse immédiate de Paris pourrait être l'envoi d'un raid de 6-8 Rafale avec SCALP et A330 MRTT depuis la France pour répondre immédiatement. Si les choses s'enveniment les renforts de la Marine Nationale depuis la Métropole fairaient changer de braquet la risposte française: CDG avec 30 Rafale à bord + 2 FREMM avec MdCN+ SNA + FAA + éventuellement 1 ou 2 BPC avec Tigres pour des raids côtiers. Sans compter évidemment l'Armée de l'Air qui pourrait réiterer ses raids de 6-8 Rafale depuis la métropole à plusieurd reprises. Si la France peut peut-être se retrouver au dépourvu au tout début du conflit, dès l'arrivée du Groupe aéronaval et de ses éléments associés, toute nouvelle attaque de l'aviation brésilienne se solderait pas de lourdes pertes. N'hésitez pas à ajouter vos contributions, je n'ai pas évoqué la défense sol-air en Guyane ne la connaissant pas du tout, mais on peut immaginer qu'une batterie d'Aster soit convoyé assez vite sur place si besoin. -
Le Brésil, le géant de l'Amérique du Sud
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Tu as tout à fait raison, et j'ajouterais que le président brésilien oublie que c'est la France et uniquement la France qui les aide à développer un SNA et les pousse à avoir un siège permanent au Conseil de Sécurité. Sur ce plan de la grandeur et de la puissance du pays , il me fait penser en un peu différent à l'extrême droite française qui sous couvert d'être soit disant "patriote" milite pour des solutions qui diminueraient le poids de la France (frexit, sortie de l'OTAN, etc.) -
Allemagne
Neuron a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Les ricains partant de Ramstein il y'aurait plein de Mustang et Camaro à prix cassé sur le marché local que nos soldats pourraient s'amuser à conduire prestement sur les autoroutes illimitées à proximité de cette base! Ok => je sors! -
L'histoire que j'ai relaté ne dit pas si nous avons perdu ou gagner ;) les américains ont perdu cette affaire en tout cas et le client a adapté son process en amont pour réduire à zéro le risque.
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@herciv Pour répondre à ta problématique, non lorsqu'il y'a des vies en jeu, l'intérêt industriel, commercial, financier DOIT passer après. Par le passé j'ai vendu des usines destinées à la pétrochimie et au raffinage dans une grande entreprise française, nous avons toujours eu comme baseline la sécurité des opérations. Un jour j'ai refusé de vendre, le gaz d'apport fourni par le client pour la future usine pour laquelle nous étions en concurrence, ne pouvait être traité correctement et présentait un danger d'explosion en opération. Nos concurrents allemands ont refusé de vendre également, mais les américains si! Finalement le client s'est rendu compte que les Français et les Allemands avaient vu juste et les Américains ont du revoir leur copie. On ne transige jamais avec la sécurité même s'il n'y a qu'une seule fois une seule vie en jeu. Boeing est descendu bien bas, à un niveau inimaginable dans une industrie manufacturière de pointe, Boeing va devenir un cas d'école, c'est certain. La justice US s'est mise en marche heureusement, je ne serais pas surpris que certains executives de Boeing profitent de leur retraite en prison, et c'est la moindre des choses. Pour le reste évidemment c'est la finance qui fait fonctionner et permet d'investir, mais lorsque les risques deviennent trop importants, il faut savoir faire machine arrière, même si cela implique de perdre des parts de marché.
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@Picdelamirand-oil Surtout Boeing essaie de faire remonter son cours de bourse avec ces effets d'annonce. Muilenburg n'a pas été viré malgré le désastre humain, industriel et de communication autour du 737 MAX. En revanche le cours de bourse peut le faire virer par ses actionnaires. C'est un bien triste état de fait où les intérêts financiers priment devant tout le reste.
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Quand l'article commence par "le Rafale est un des jets le moins apprécié au monde" et qu'on y apprend que le Rafale peut emporter des sidewinders... au delà du fait que c'est un article américain c'est surtout un article écris par un américain qui découvre le Rafale dans une vidéo de l'évaluation suisse.
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La France pourrait prendre l'initiative d'une coalition navale dans le Golfe, non alignée sur les US. https://www.meta-defense.fr/2019/08/12/la-france-pourrait-prendre-la-tete-dune-initiative-navale-europeenne-dans-le-golfe-persique/
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Puisque cela va relever de l'Armée de l'Air prochainement, Florence Parly a annoncé ce jour que la France allait se doter d'armes anti satellites non seulement basées sur Terre mais aussi sur nos futurs satellites directement. Un laser ionique a même été testé contre un ancien satellite Spot en fin de vie. https://www.challenges.fr/entreprise/defense/la-france-va-doter-ses-satellites-d-armes-laser_666162 Lors de la présentation de la stratégie spatiale de défense française, la ministre des Armées Florence Parly a annoncé vouloir doter les satellites militaires de capacité d’auto-défense: armes laser et essaims de satellites de patrouille. Un changement de doctrine majeur. Rompant avec des décennies de prudence, d'aucuns diraient d'angélisme, sur la question du spatial militaire, la France a décidé de muscler son dispositif de défense spatiale. La ministre des Armées Florence Parly a présenté ce jeudi 25 juillet, sur la base de Lyon Mont-Verdun, une nouvelle stratégie spatiale de défense destinée à répondre à l'"arsenalisation" de l'espace, selon le terme employé par l'hôtel de Brienne. L'annonce la plus marquante était déjà connue: comme annoncé par Emmanuel Macron le 13 juillet, un grand commandement de l'espace sera créé le 1er septembre au sein de l'armée de l'air, qui deviendra, à terme, l'armée de l'air et de l'espace. Ce nouveau commandement succédera à l'actuel Commandement interarmées de l'espace (CIE), créé en 2010, qui était directement rattaché au chef d'état-major des armées. Mais Florence Parly avait d'autres annonces majeures dans les cartons. La plus spectaculaire est la volonté de doter les satellites militaires français de moyens d'autodéfense, notamment d'armes laser. "Si nos satellites sont menacés, nous envisagerons d'éblouir ceux de nos adversaires, indique la ministre. Nous nous réservons le moment et les moyens de la riposte: cela pourra impliquer l'emploi de lasers de puissance déployés depuis nos satellites ou depuis nos nano-satellites patrouilleurs." Ces engins de quelques kilos patrouilleraient autour des satellites de l'armée pour les protéger. Leur entrée en service est prévue à partir de 2023. Coût de 700 millions d'euros Cette nouvelle stratégie, dite de "défense active", aura bien sûr un coût. Celui-ci est estimé à 700 millions d'euros d'ici à 2025 par le ministère des Armées. L'effort paraît soutenable: il représente un peu plus de 100 millions par an, soit l'équivalent d'un chasseur Rafale. Il s'ajoutera aux 3,6 milliards d'euros déjà prévus par la loi de programmation militaire pour le renouvellement des capacités spatiales des armées. Le vrai pari, plus que la somme elle-même, est de faire rentrer cet investissement dans l'enveloppe financière de la loi de programmation militaire 2019-2025, et d'éviter tout effet d'éviction sur les autres programmes, une promesse de l'hôtel de Brienne. Sur les trois prochaines LPM, l'investissement total est estimé à 2,2 milliards d'euros. Pourquoi cette conversion à l'autodéfense? La situation en orbite s'est tendue ces dernières années. Les "visites" de satellites étrangers à proximité de satellites français se sont multipliées. Le satellite russe Louch-Olymp, exploité par l'armée russe et le FSB (ex-KGB), s'était ainsi approché à 80km du satellite militaire franco-italien Athena Fidus en 2017, obligeant l'armée à couper les communications à deux reprises. "Un acte d'espionnage", avait dénoncé Florence Parly en septembre 2018, en révélant cette approche "inamicale". La ministre des Armées est revenue sur le sujet lors de son discours à Lyon. "Il y a un an, je vous avais parlé d'un espion de l'espace, l'indiscret Louch-Olymp, un satellite russe. Je ne résiste pas à vous en donner quelques nouvelles: il a, depuis, laissé sa carte de visite à huit nouveaux satellites, appartenant à différents pays." Un autre engin spatial, non identifié celui-ci, avait frôlé un satellite militaire français Syracuse à trois reprises, en 2011, 2013 et 2015. Armes antisatellites Au-delà des cas d'espionnage, l'espace s'est militarisé. Plusieurs grandes puissances ont développé des armes capables de détruire des satellites en orbite. La Chine avait détruit un de ses engins avec un missile en 2007, pour prouver ses capacités en la matière. Elle avait été suivie par les Etats-Unis l'année suivante. La Russie dispose également d'arme antisatellites, les missiles Nudol. L'Inde a rejoint ce club très fermé cette année, en détruisant un de ses satellites fin mars. Les grandes puissances spatiales disposent également de capacités de brouillage, voire de désorbitation de satellites, rappelle la stratégie spatiale de défense publiée le 25 juillet par le ministère des Armées. Comment réagir à ces menaces? Heureusement, la France ne part pas de zéro. Elle dispose d'une dizaine de satellites militaires: des satellites d'observation (Helios, Pléïades, CSO), d'écoute électromagnétique (Elisa, bientôt remplacé par CERES), de communications (Syracuse, Athena Fidus). Elle peut s'appuyer sur le système GRAVES de l'Onera et les radars SATAM de l'armée de l'air pour surveiller les orbites basses. Elle dispose du système GeoTracker d'ArianeGroup et des télescopes TAROT du CNRS pour scanner l'orbite géostationnaire (36.000 km). La loi de programmation militaire 2019-2025 marque un effort important sur le spatial militaire: elle prévoit le renouvellement de toutes les capacités satellitaires de la défense française, un investissement total de 3,6 milliards d'euros. Mais ce dispositif a quelques trous dans la raquette. Le suivi de la situation satellitaire (la SSA, Space Situational Awareness) est insuffisant: il faudrait pouvoir repérer des objets plus petits, plus lointains, et être capables de les identifier précisément. "Nous devrons être capables de repérer des satellites de la taille d'une boîte à chaussures à 1.500km", indique Florence Parly. Le système GRAVES de l'Onera sera donc rénové à l'horizon 2022. Le développement de son successeur sera avancé, avec de premières capacités attendues dès 2025. Les radars SATAM de l'armée de l'air seront remplacés d'ici à 2030, et le réseau de télescopes du CNRS densifié. Le document prévoit le développement de systèmes d'imageries radar et de télescopes équipés d'optique adaptative pour permettre d'identifier des objets en orbite basse. Des moyens d'observation depuis l'espace sont aussi envisagés. "On peut envisager une surveillance depuis l'espace, avec par exemple une constellation de nano-satellites dédiées à ces missions, indiquait en novembre à Challenges le général Michel Friedling, patron du commandement interarmées de l'espace. Il faut également voir ce que nous pouvons faire avec les autres pays européens, comme l'Allemagne ou l'Italie. Le système de surveillance radar Gestra du DLR, l'agence spatiale allemande, pourrait être intéressante et complémentaire d'un système post-GRAVES." Lasers embarqués L'autre faiblesse identifiée est la protection des satellites militaires français. Florence Parly a confirmé le développement de lasers capables d'aveugler ou d'endommager des engins spatiaux ennemis. L'Onera, le laboratoire public de recherche aérospatiale, travaille depuis quatre ans sur le sujet, dans le cadre d'un contrat d'études confié par la DGA. L'objectif est de développer des armes laser capables de rendre inopérants des satellites d'observation situés entre 400 et 700 km d'altitude. "Nous travaillons sur une technologie dite d'optique adaptative, expliquait Franck Lefèvre, directeur de l'activité défense de cet établissement rattaché au ministère des Armées, l'Onera le 7 juin dernier. L'effet recherché n'est pas de détruire l'objet, mais de l'empêcher d'effectuer sa mission." Profitant de la fin de vie programmée d'un satellite français Spot, les équipes de l'Onera ont déjà réussi à éblouir les capteurs haute résolution du satellite grâce à un laser ionique. Cette technologie pourrait être installée sur les satellites, mais cela nécessitera un développement conséquent: le besoin en énergie de ce type d'armement est énorme.
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Tout ce que tu dis est vrai, en parallèle le M51 à tête unique permet de répondre graduellement malgré tout, tout en restant ambigue. Un M51 mono-tête sur une force militaire/centre de commandement militaire/groupe aéronaval, ce n'est pas la même chose que balancer les 16 M51 à 6 têtes chacun sur les principales villes du pays ennemi. C'est d'ailleurs sans aucun doute la raison de l'existence supposée de ce vecteur: le trait d'union entre la salve de M51 full load et les cas de figures où ne peut pas traiter à l'ASMPA (cas cité précédemment où la gradation de réponse ne demande pas de frappes anti cité mais où un raid de Rafales avec ASMP a peu de chances de réussir: objectif militaire à 10 000 kms de la métropole et potentiellement très fortement défendu avec 150 J20 par exemple. Ce serait compliqué d'envoyer des A330 MRTT + dizaine de Rafales dans ces conditions!)
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Chirac avait en son temps mentionné les M51 à tête unique pour davantage de portée et apporter un message légèrement différent. Si le CDG est coulé au large des côtes taiwanaises ou japonaises cela va être compliqué d'engager les FAS depuis la France pour répliquer sur le groupe aéronaval qui l'aurait coulé... alors qu'un M51 mono-tête, la réponse arrive très vite et on garde les FAS bien au chaud pour d'autres objectifs potentiels.
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Ton vécu est une chose ce n'est pas forcément celui des autres. Clairement depuis quelques années la petite courronne et plusieurs arrondissements de Paris commencent à être bien trop souvent l'objet d'agressions verbales de jeunes hommes sur de jeunes femmes. Ma compagne en a fait les frais récemment dans les beaux quartiers parisiens en pleine journée. Pour te paraphraser c'est bel et bien ta réponse qui est m... et non pas ma thérorie qui n'en est pas une mais une analyse d'éléments factuels. Bref fin du HS, mais en tant que jeune femme tu as plus de probabilité d'être importunée à Paris qu'à Téhéran.
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Non ce ne sont pas des exemples particuliers mais ce que j'ai constaté en voyant des centaines d'Iraniennes dans la rue à Téhéran, Tabriz, etc.
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Je n'ai pas le temps de m'étendre sur le sujet maintenant, mais après une dizaine de voyages effectués en Iran et connaissant pas mal d'Iraniennes habitant Téhéran, une femme en Iran a plus de liberté que de bien trop nombreuses femmes dans certaines cités en France. Les femmes en Iran sont plus bien plus représentées dans l'industrie qu'en France par exemple. La majorité des Iraniennes sont très maquillées et portent un foulard léger. Oui les Iraniennes ont moins de droit que les Françaises mais elles sont plus respectées dans la rue à Téhéran que pas mal de Françaises dans Paris intra-muros.
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turquie La Turquie
Neuron a répondu à un(e) sujet de madmax dans Politique etrangère / Relations internationales
La tension monte entre l'UE et la Turquie à propos des forages chypriotes. https://www.meta-defense.fr/2019/07/16/le-ton-monte-entre-lunion-europeenne-et-la-turquie-au-sujet-de-chypre/ -
SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
Neuron a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
De nouvelles photos intéressantes. Je ne sais pas s'il ne faut pas être enregistré sur LinkedIn en revanche. https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:6555388358904946688