Chronos

Après ne pas avoir voix au chapitre. Ils n'auront pas voix délibérative, c'est différent. J'ai quelques amis lobbyistes qui m'expliquent parfois comment les norvégiens ont accès aux groupes de travail, notamment dans les définition de normes techniques et leur établissement. Ils ont parfaitement admis aux discussions, peuvent remettre des observations etc. C'est juste qu'ils ne peuvent pas voter et sont donc obliger de tout envisager plus en amont.

Il faut distinguer deux choses. - L'analyse du vote : On constate là que même si des plus jeunes sont opposés au projet européen, eh bien ce qui fait pencher la balance vers un Brexit ce sont les votes des plus âgés, des pensionnés et vieux. C'est une génération qui n'aura pas à assumer les conséquences du Brexit qui a voté contre ceux qui devront vivre avec leur choix. - La ligne qui devrait être adoptée par les continentaux. Le peuple anglais s'est prononcé, et c'est au gouvernement britannique de prendre ses responsabilités. Je pense qu'il est de notre intérêt continental de mettre la pression maximale sur ce gouvernement pour que les pourparlers de sortie débutent. Je pense aussi qu'on sera mieux sans eux. Et vu que le peuple a décidé, reconnaissons-lui le droit d'en assumer les conséquences, justement. Donc ce qui peut être rapatrié, débauché, ou ramené sur le continent doit l'être, et au Royaume-Uni d'être traité comme n'importe quel État tiers, c'est à dire ceux à qui l'on précise que les différents peuples qui les composent on le droit de dispose d'eux-mêmes, qu'ils sont priés de se conformer à la réglementation européenne, notamment en matière de services financiers, de pêche, de commerce extérieur. Le Royaume-Uni pense pouvoir affronter la Chine tout seul dans des négociations commerciales ? Libre à lui d'essayer. Je pense qu'on va rire et que la facture serait amère pour Londres. Le Royaume-Uni pense pouvoir renouer avec le Commonwealth dont les membres ont aujourd'hui des intérêts régionaux bien sentis et, dans un cas de l'Inde, d'autres besoins ? Libre à Londres d'essayer. Cela risque d'être moins facile ou drôle que ce que certains nostalgiques de l'âge d'or pensent. La réunion des ministres des affaires étrangères des 6 fondateurs était une excellente initiative. C'est au 6 qu'il appartient de redresser une barre laissée depuis trop longtemps à la dérive et de reprendre l'idée européenne sur les rivages où elle a finit par s'échouer à coups d'élargissements opérés sans considération stratégique ou politique...

Mais même comme ça en quoi "l'Europe" serait-elle responsable ? Il tient au gouvernement britannique de déclencher la procédure de l'article 50... Un Etat membre peut sortir de l'UE, pas s'en faire débarquer par la Commission... Les petites gens ou le troisième âge ? À voir la répartition du vote par tranche d'âge on peut se poser la question...

Au fond rien ne s'est encore passé. Tout dépendra de l'exploitation politique du vote par les différentes factions en présentes. Reste quelques éléments objectifs comme le contraste entre l'Angleterre et l'Ecosse mais aussi le fait qu'il s'agit là du vote d'une génération contre l'autre. Plus encore, l'on constate que les partisans du départ sont ceux qui n'auront pas à vivre les conséquences de la décision. Ou en tout cas pas longtemps... La gérontocratie a encore frappé en quelques sortes.

Disons que tu seras bien rôdé le moment venu...

Les histoires marchent avec les méchants. Et c'est un excellent méchant. Probablement plus intéressant que Hoyt.

Je confirme, excellente émissions. Pour connaître un peu le secteur du recouvrement (en version européenne, donc généralement bien moins ignoble et plus justifié), c'est très ben fait même s'il reste quelques vide, notamment pour ce qui a trait au fait que les débiteurs sont quand même au courant, la chose ne sort pas de nul part non plus (sauf les dettes ressuscitées).

Tellement bas que si mes souvenirs sont bons un pilote a fini par s'encastrer dans la mâture d'une de ses cibles.

Et encore même en droit latin...

C'est là le sens même de la manœuvre. Après ils comblent un vide dont la nature a forcément horreur. Hormis les Etats-Unis et leur Space Act, aucune nation disposant d'une importante industrie spatiale ne semble entamer la réflexion de l'exploitation et de la rentabilisation économique directe des investissements consentis...

À noter qu'un réfugié craignant d'être expulsé aura intérêt à se convertir. Devenu apostat ou hérétique dans son pays d'origine, il y risquerait gros et pourrait contester son expulsion sur cette base. Cela peut aussi être une raison parmi tout ce que tu avances.

Plus de combat à l'arme à feu peut-être. Les occupations de l'Irak et de l'Afghanistan ont surtout été le théâtre de minage de harcèlement visant des véhicules fortement blindés. On est plus dans des cas de stress, de blessures et de commotion là où les opérations contre le Califat relèvent plus de la guerre de harcèlement, des chindits ou de guérilla.

J'ai longtemps hésité avant de lancer le sujet tant son intitulé fait "histoire belge". Toutefois, gouvernement grand ducal a l'air sérieux dans son initiative et si le Grand Duché ne maitrise pas les technologies, la capacité qu'il, a au moyen d'incitants, de fédérer certains moyens d'autres Etats, membres ou non de l'Union, reste à analyser. Après tout si l'espace peut être économiquement exploité à l'avenir, cela sera tant une question de volonté politique que de concentration financière et de retour sur investissement. On notera que le projet en lui-même mobilise peu de ressources propres luxembourgeoises. Dans les faits, des juristes et des financiers pour développer ce que le Luxembourg fait de mieux : des fonds. http://www.levif.be/actualite/international/le-luxembourg-se-reve-pionnier-de-l-exploitation-des-ressources-minieres-de-l-espace/article-normal-505911.html?utm_campaign=Echobox&utm_medium=social&utm_source=Facebook http://www.spaceresources.public.lu/en/index.html

Il faut dire que la Baltique s'y prête. Après est-ce germano-allemand ? Quand on voit les Skjold norvégiens le concept est relativement proche.

Au pire elle est sur Netflix.

Tout ce que tu sors sur le Victory Fund.

@Tancrède, tu as une source pour cette information ? J'aimerais la relayer à un pote.

C'est surtout que... contre qui ?

C'est un sacré saut capacitaire. Ça ne te paraît pas beaucoup Serge ?

Disons qu'on évoquera un frémissement...

À noter vu qu'on parle de réarmement allemand que le traité de Moscou de 1990, aussi appelé Traité 4+2 prévoit que l'Allemagne ne peut aligner plus de 370 000 militaires. Bref, ils sont encore loin du compte.

J'ai vu les deux premiers épisodes. J'ai l'impression qu'il y a un gros potentiel manqué et je ne sais pas trop quoi penser de Magimel là-dedans. Pas encore. Depardieu reste pareil à lui-même et on sent qu'il a l'expérience.

Mea Culpa. J'aurais dû écrire compétence.

Non c'est toi qui ne mets pas ce verbe en relation avec le verbe principal. L'option/solution fournit des kits permettant de corriger ce qui exclut/empêche au F35 d'avoir sa capacité. Ceci implique également que sans ces kits le F35 ne pourrait pas l'avoir. C'est un des nombreux défauts de l'appareil qui est en passe d'être corrigé. Bref, le programme avance.

Moi j'ai vu en entier et j'ai trouvé ça très bien. Justement les scènes d'action. On est loin des films plein d'effets spéciaux et la manière dont la violence, psychologique, se distille dans l'ensemble, est au contraire très bien amenée. Les rares scènes d'action rappellent Michael Mann. Des fusillades brèves, brutales, contrôlées. N'oublions pas que les personnages à l’œuvre sont des professionnels. Chaque action est proportionnée, posée, pas un coup de trop ou de trop peu. Tous sont des fantassins légers sans protection particulière, à courte distance et celui qui réagit le premier l'emporte, sans concession. La scène à la frontière est excellente dans ce registre. Les regards et l'observation, l'attente et la réaction, où la formation prend le dessus sur l'amateurisme. Qui sort le premier l'emporte. Brolin est juste excellent en barbouze et Del Torro en homme sans âme assure complètement également. Enfin c'est Emily Blunt qui est dommage dans l'ensemble. Elle colle pas par rapport au personnage. Je ne sais pas qui on aurait du prendre pour le rôle mais ça colle pas assez. Après le film est à mi chemin entre le documentaire et le film d'auteur, ce n'est pas un film d'action, ni un polar. C'est juste l'histoire d'une barbouzerie, une opération "lambda". Ce que les extraits ne laissent pas transparaître est plutôt l'ambiance générale. Celle d'une insécurité complète, d'une angoisse sourde mais lancinante. Tant dans la dimension Cartel qu'institutionnelle. La façon dont le réalisateur change de personnage principal au cours du film est également très intéressante. Les deux tiers du film tournent autour du personnage de Blunt pour basculer ensuite sur le vrai personnage du film, celui qui est à la fois humain et bestial, le sicaire.