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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. La précision du pointage est bien meilleur normalement, la motorisation assurant la stabilité est plus fiable que les avant bras du tireur a la longue :)
  2. g4lly

    Super Floréal

    Il servent a rabattre le gibier a grand coup de sonar actif par petit fond, l'électronique a été revalorisé je crois il a déjà un moment... en cas d'écho suspect on envoi un frégate ASM, de toute façon vu qu'on a que ça pour faire le boulot ingrat on fait avec :)
  3. g4lly

    Les FREMM de la Marine Nationale

    En bas du cheque de 2mds€ :)
  4. Si. Mais la c'est un engin a roue de 20t bien plus protecteur pour les opérateur... et muni d'un bras pour manipuler la charge. Pas vraiment la meme catégorie d'engin ni le meme usage.
  5. Lors du tir a blanc y a pas de balle ... donc la détonation n'est pas retenu par la balle ... et s'échappe librement par le canon ... résultat la pression monte peu dans le canon en tout cas beaucoup moins que quand il est "bouché" par la balle a pousser dehors. Ce manque de pression empeche le recul complet de la culasse donc le rechargement automatique de l'arme. Ainsi une arme normal tirant un chargeur a blanc ne peut tirer en mode automatique... et devrait etre réarmé manuellement entre chaque tir. Pour éviter cela - et d'autre probleme lié au petit objet qui pourrait rentrer dans le canon et etre chassé comme une balle lors du tir a blanc genre tout petit caillou terre sable etc. et donc devenir dangereux - on fixe a la bouche un BTB, qui freine la sorti des gaz et la diffuse latéralement. Ça permet a la fois de faire monter la pression suffisamment dans le canon pour avoir un fonctionnement normal du mode automatique et d'empêcher que les corps étranger indésirable ne sorte du canon, du moins n'en sorte trop vite. Résultat des course pour le tir a blanc dans un FAMAS - c'est pas vrai pour toute les armes - le BTB est indispensable en dehors du coup pas coup rechargé a la main. Et la présence du BTB bouche le canon donc la munition réelle tiré heurte le bouche - vissé, en métal - et normalement se brise contre perdant pas mal de sont potentiel meurtrier ... a priori la munition réel tiré est aussi plus chargé que les munition a blanc donc non seulement la balle tape contre le bouchon mais la pression doit monter plus haut que la normal ... d'où un dysfonctionnement qui en tous les cas ne peut passé inaperçu pour le tireur. En fait les risque de blessure sont important pas éclatement d'une parti de l'arme si le bouchon ne saute pas très vite avec le choc de la balle. Résultat des course s'il s'agit d'un FAMAS équipé d'un BTB qui a tiré des balles de guerre ... normalement la premiere aurait du endommager l'arme, le tireur ou du moins faire suffisamment de bordel pour que le doute sur la munition ne persiste pas au dela de la deuxième balle tirée. Suffit de voir le choc que donne le tir d'une grenade luchaire pour comprendre le résultat si celle-ci est fixé au canon ... rien a voir avec un munition a blanc. Seconde chose étonnante... normalement lors des demos on ne tire même a blanc que vers le sol ou un mur - ou très haut vers le ciel - ... de manière a ce que, s'il se passe un incident le projectile aille se ficher dans le sol ou le mur ... comme a la chasse. Les circonstance rapportée ne sont probablement pas exacte ... des détails manque probalement pour expliquer l'ampleur de l'accident. Un ou deux blessé pas des éclat ou un ricochet ca arrive a pas de chance ... mais 16. Des detail précis du déroulement, ici d'un "témoin" dans le commentaire du blog de JDM. http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/06/drame-au-3me-rp.html#comment-120585336 J'ai assisté à une démonstration identique hier, et j'étais à 50m lorsque l'accident s'est produit, en train de faire un enregistrement audio des tirs pour ma sonothèque. La démonstration s'est produite sur un petit stade ouvert au public. Les quatre cotés du stade étaient accessibles à des personnes, le public étant massé surtout sur les cotés ouest et sud, le nord étant occupé par le podium et l'est par les soldats préparant les autres exercices. Le scénario était le suivant : une colonne d'une douzaine de soldat, en tenue de commando, traversait le terrain du nord vers le sud, pour atteindre un objectif situé devant le public au sud, une "maison" dans laquelle était détenu un ressortissant. le ressortissant était libéré, puis évacué vers le nord. Soudain, des tirs hostiles viennent de derrière la maison. Une partie du commando évacue le ressortissant vers le nord, l'autre partie le couvre en tirant à l'arme automatique à feu nourri et continu, dans la direction du public disposé en sud. Dans le même temps, les soldats déposent au sol, pendant qu'ils se retirent en tirant, des fumigènes censés les masquer de la vue des tireurs hostiles ; se faisant, ils se privent aussi de toute visibilité dans la direction dans laquelle ils tirent (tirs "à l'aveugle"). Pendant toute la séquence de tir, deux soldats tirent pour couvrir deux autres qui reculent, puis échangent les rôles, de manière à se retirer progressivement. Pendant la deuxième partie de la séquence de tir, on avait donc, aligné, les tireurs, l'écran de fumée, la cible, et...le public. Sur mon enregistrement de l'accident, je constate que la séquence de tir a durée 35 secondes, sans interruption.
  6. Les gros reacteurs en nacelle basse c'est pas super adapté aux piste sommaire ca a tendance a avaler pas mal de merde... Quant au train principal 8 roues ... il doit générer une jolie pression au sol. Les images que tu nous montre ce sont des piste en "dur" et "propre". Quitte a acheter du transport stratégique autant filer de la tune a airbus pour finir les A380F ... au moins on aura le must niveau emport et rayon d'action.
  7. C'est assez etonnant autant de blessés. Normalement même a "blanc" on évite de "tirer" autre chose que des tir fichant lors des demos. Edit Des précision sur les circonstance de l'accident chez JDM http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/06/drame-au-3me-rp.html Drame au 3ème RPIMa de Carcassonne: 16 blessés dont quatre enfants Seize personnes, dont quinze civils, ont été blessées, dimanche, "lors d'une démonstration d'assaut" dans une caserne de Carcassonne lorsqu'un soldat a tiré à balles réelles au lieu de balles à blanc, a annoncé le préfet de l'Aude au micro de France 3. "Le pronostic vital est engagé pour deux des blessés, dont un enfant, et deux autres personnes sont blessées très graves", a ajouté le préfet, Bernard Lemaire. Le drame s'est déroulé à 17h50 lors d'une "démonstration dynamique" au cours des Journées portes ouvertes du 3ème Régiment parachutiste d'infanterie de marine (RPIMa). Le Groupe de commandos parachutistes (GCP) - qui constitue l'élite du régiment - simulait une libération d'otages sur un terrain de sport. La démonstration avait déjà eu lieu cinq fois au cours de la journée, quand des rafales du fusil d'assaut FAMAS d'un sergent ont atteint la foule. Les causes exactes du drame n'étaient pas connues, dimanche soir, mais les munitions de 5,56 mm utilisées n'étaient pas celles qui auraient dû l'être. Lire la suite => http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2008/06/drame-au-3me-rp.html Le contexte est pas tres clair pour le moment ... notament sur le fait de pouvoir tirer des munition de guerre sur une arme équipé pour des tir a blanc... mystère.
  8. Comment veux tu faire autrement? c'est ça ou laisser des afghan sans aide alimentaire. Tous les ennemis négocie des trêves humanitaires le temps d'évacuer des blesser ou civils ou d'apporter une assistance a des non combattant.
  9. Pas grand chose ... la poignée de transport systeme de visée remplacé par un rail bas, et le garde main des G2 remplacé par une poingnée vertical avec les commandes. Y a pas de raison que ca ne s'adapte pas rapidement et facilement sur n'importe qu'elle arme qui puissent accepter une poignée avant et l'ensemble optique sur rail classique. La connectique est externe. Apres faut pas se leurrer ... la plupart des trooper n'auront pas le systeme de visé video/thermique ni la poignée de commande intégré a l'arme, et juste un viseur eotech ou lunette classique.
  10. Avec taliban express et sa formation en 15 jours ... le bodycount n'est plus vraiment décisif. C'est bien un des problemes. A quoi bon consommer 20 talibans dans une embuscade pour tuer un soldat de la coalition alors qu'avec des IED/attentat/mine on peut pourrir non seulement pourrir la chaine logistique mais en plus avoir un kill ratio de 1 pour 1. J'ai posté et traduit un long article a ce sujet http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=4266.msg308792#msg308792 Qui expliquait très bien la situation en reprenant le discours des soldats sur place. Les Taliban ne peuvent pas gagné mais nous non plus... avec la tactique actuelle, et les autres sont politiquement trop risquées.
  11. Que les modos me pardonne cet abus manifeste de hors-sujet ... Dans notre monde globalisé les différentes langue posent de réels probleme. Tellement de probleme que beaucoup d'organisme internationnaux depense des fortune en recherche pour de la traduction simultanée. En gros le temps passé a effectué les traductions est proprement halucinant. Ca induit une pertes de travail et une latence importante. La plupart des publication international, institutionnel scientifique technique etc. le sont en langue maternel + anglais international. Attendre une traduction pour les appréhender c'est a la fois perdre du sens et perdre du temps... Un exemple simple wikipédia ... la grande majorité des article sont en fait les traduction du wiki anglais ... c'est une perte de temps terrifiante tellement que de nombreux contributeur ont cessé d'effectuer les traductions et se concentre uniquement sur la mise a jour du wiki anglais. Une interview de Jacques Attali a ce propos, et sur les traducteur automatisé. A voir absolument. 1mds€ dépensés chaque année dans les instance de l'UE pour les interpretes. [dailymotion=425,350]x5itsf[/dailymotion] C'est stratégique.
  12. C'est bien le probleme plus tu parle de langue plus t'as de facilité pour en parler d'autre... je n'est rien contre les langues "régionales" mais je m'étonne du peu d'exigence sur les langue "étrangère" indispensables. Non, mais par "expérience" il me semble qu'en France c'est une catastrophe, meme les diplomé bac+5 ne maitrise pas/mal au moins une langue etrangere dans un grand nombre de cas... On va rester dans la "jeunesse" disons les moins de 35 ans qui on suivi leur formation scolaire dans la CEE etc. Les pays du nord de l'Europe parlent quasiment tous anglais courant des le primaire ne serait ce que pour suivre les film a la TV qui sont souvent pas traduit. Le Benelux parle quasi couramment anglais du moins les "germanophone". Espagne et Portugal, personne ne parle Anglais ou Français ou presque. l'Italie du nord c'est particulier y a pas mal de locuteur Germanophone et Francophone. La Suisse ca baragouine un peu tout. Les jeunes un peu diplômé des pays de l'est parle pas mal anglais... jamais eu de probleme la bas, les Allemand pareil.
  13. Ça peut être amusant mais moi ça me désole de voir si peu de français parler un minimum de langue étrangère... comprendre et communiquer c'est aussi stratégique que d'avoir des Rafale ou des VBCI tout neuf. Quand aux américains il s'en foutent ils ont réussi a coup de milliard a imposer leur langue comme référence dans les échanges. Tout s'achète même ça :) Plutôt que d'inscrire les langue régionale dans la constitution, on ferait mieux d'apprendre sérieusement l'anglais l'espagnol ou le chinois a nos môme des la maternelle et le primaire, vu qu'apparement ca ne rentre plus quand il sont au collège ...
  14. g4lly

    [Russie] Mil Mi-26

    Le Mi26 abattu l'a été sur la base aérienne tellement pres qu'il est tombé dans le champ de mine qui protégé la base ... pas un probleme d'escorte. C'est pas fait pour du vol tactique ce genre de transport lourd. Quant au transport sous élingue ça limite beaucoup les perf' ... vitesse autonomie par rapport a l'emport en soute. Pour le moment le probleme n'est pas de transporter des gros véhicule mais d'arriver a transporter deux compagnie en un seul vol pour avoir un avantage tactique ... ça nécessite 12 NH90 ... 6 CH53, 8 CH47, ... ou 2 Mi26.
  15. Les soldat français sont a l'image des français ils parlent peu les langue étrangères ... ils ont une formation accéléré pour les OMLT, mais il suffit de voir les reportage pour comprendre le niveau de langue ... assez moyen chez les officiers la troupaille ça doit être pire, surtout dans le speed et sur des sujet médicaux. Pour la radio les dispositif de brouillage IED brouille les radio ... donc souvent les convois n'ont pas de radio quand circulent et brouille ... au moins le voisinage du véhicule qui brouille. Pour les moyen radio entre OMLT et unité US ... c'est pas super évident visiblement on rapporte pas mal de probleme de com'.
  16. Le skipper et les 3 passager un couple et leur môme sont allemands ... même s'il semble que le couple soit franco-allemand. Le pavillon français du bateau je ne sais pas mais je n'ai lu ça nul part. Enfin les otages sont a terre et les autorités Somalienne affirment les avoir localisé et négocient avec, ils pensent que cela peut se résoudre sans violence. Il n'y a pas de raison d'intervenir sur le sol somalien pour le moment du moins directement pour le moment. Otage localisé négociation en cours. Si les chose change...
  17. http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/06/27/petits-arrangements-prives_1063693_3224.html Petits arrangements privés On essaiera de vous dissuader d'écrire sur le sujet. Peut-être même vous donnera-t-on des rendez-vous loufoques dans des jardins publics ! On prononcera devant vous les mots "barbouze" et "tricoche" - nom donné à la vente de services par des policiers et gendarmes ripoux. On vous suppliera de ne pas ternir l'image d'un secteur déjà malmené. Bienvenue dans le monde du renseignement privé. Il mêle des détectives - moins d'un millier - qui ont délaissé les missions d'adultère pour prendre l'appellation, plus chic, d'"agents de renseignement privé" (ARP), une nébuleuse de sociétés dites "d'intelligence économique", dont la mission est de collecter et d'analyser de l'information en milieu concurrentiel, et des anciens policiers et gendarmes reconvertis. L'activité est reconnue, ses acteurs honorables pour la plupart, mais le secteur connaît aussi des dérives. Le 13 mars, un commissaire divisionnaire de police, Patrick Moigne, est interpellé, puis écroué. Chef de la brigade des fraudes aux moyens de paiement de la police judiciaire de Paris, il est accusé d'avoir monnayé des informations puisées dans des fichiers bancaires ou de la police pour une petite société d'intelligence économique. Parmi les commanditaires figurerait le groupe Total. En mai, L'Express révèle que le porte-parole de la LCR, Olivier Besancenot, et sa famille ont été suivis, épiés et ses comptes bancaires violés par un "ARP" peu scrupuleux agissant pour un mystérieux donneur d'ordres. Le 12 juin, un ancien gendarme passé dans le privé, Patrick Baptendier, sème la zizanie en détaillant dans un livre (Allez-y on vous couvre, éditions du Panama) les pratiques douteuses des sociétés d'intelligence économique et de ceux qui agissent comme leurs sous-traitants, les détectives privés. Il dénonce le comportement ambigu de la direction de la surveillance du territoire (DST) dont il était devenu l'indic, et qui s'intéresse de près à ce secteur. En dépit des scandales, le marché ne cesse de se développer. Rien qu'à Paris, une vingtaine d'agences ouvrent chaque année, et une quarantaine de dirigeants sollicitent auprès de la Préfecture de police l'agrément, obligatoire depuis 2003. "Nous en refusons à peu près 10 %", indique Gilles Monbrun chef adjoint du 4e bureau de la Préfecture. Pour les ARP, un tiers des demandes émanent d'anciens policiers et gendarmes, certes appréciés pour leur qualité d'enquêteurs mais plus encore pour leur carnet d'adresses... Confrontés à des guerres commerciales sans merci, de grands groupes n'hésitent pas à demander des renseignements confidentiels sur leurs concurrents et leur personnel. Comptez entre 150 et 1 000 euros le renseignement saisi dans un fichier défendu - et jusqu'à 4 000 euros pour un très gros client ; entre 80 et 100 euros de l'heure hors taxe pour une filature avec un ou deux agents ; de 3 000 à 5 000 euros pour une enquête pour concurrence déloyale. Les tarifs sont libres. Mis en examen en 2006 pour "corruption et complicité de violation de fichiers automatisés", Patrick Baptendier risque cinq ans de prison. Il avait été mis sur écoute judiciaire au détour d'une enquête qui n'avait, à l'origine, rien à voir avec ses activités de "barbouze". Avec lui, tout un réseau s'est trouvé impliqué. Douze privés ont été mis en examen, ou entendus par la police. Parmi eux figurent deux responsables des principaux syndicats de privés. Secrétaire fédéral du CNSP-ARP, Alain Letellier est resté quatorze heures en garde à vue le 30 mai 2006. Cité dans le livre de M. Baptendier comme pouvant fournir lui-même "pour 500 balles", des informations confidentielles, il a présenté, le 13 juin 2008, sa démission au CNSP-ARP qui l'a refusée. "Pour nous, il n'y a aucun problème, ça arrive à tout le monde d'être entendu...", assure le vice-président du syndicat, Alain Bernier. Du côté du Snarp, c'est le trésorier, Alain Chouet, qui a été inquiété. Sous le couvert de l'anonymat, nombre de privés reconnaissent avoir recours à des pratiques illicites. "Lorsqu'on nous confie une enquête, en théorie, on devrait pouvoir y arriver en faisant notre boulot normalement, expose l'un d'eux. Mais ça prend du temps, et le temps, c'est de l'argent. Pour identifier une personne, par exemple, on va voir dans les fichiers des immatriculations, ça va beaucoup plus vite." Dans le cas de recherche sur les "PSA" (partis sans laisser d'adresse), les banques ouvriraient d'elles-mêmes leurs fichiers. Il y a les informations "blanches", celles que les privés peuvent se procurer légalement, et les autres. La frontière est poreuse. Ce qui choque d'ailleurs le secteur, dans l'affaire Besancenot, ce ne sont pas les faits reprochés, mais la longueur de la mission ! "Quatre mois, c'est de l'acharnement...", juge un professionnel, pour qui les "fuites" de cette histoire trouveraient leur origine dans un impayé entre le commanditaire et le détective privé... Bolloré, Vivendi, Les Mutuelles du Mans, ou la présidente du Medef, Laurence Parisot, font partie des noms de donneurs d'ordres cités par Patrick Baptendier. Tout comme les sociétés d'intelligence économique Kroll et Geos, deux poids lourds du secteur. Kroll, une société américaine qui se définit comme le "leader mondial en gestion du risque", aurait fait appel à des privés sans être regardante sur les méthodes. Par le biais d'une société de communication, elle fait dire qu'elle "n'a pas pour habitude de commenter des cas spécifiques et ne divulgue pas si elle a exécuté des travaux pour une personne ou une organisation". Une enquête de la Préfecture de police est en cours sur le statut juridique de sa filiale française. Pour prévenir les abus, la police a mis en place une "traçabilité" sur la consultation de ses fichiers. Mais c'est dans ses propres rangs que les scandales éclatent. Le 26 mai, comparaissait au tribunal de grande instance de Paris, un ancien commissaire des renseignements généraux, Alain Parat, accusé d'abus de bien sociaux et de "trafic d'influence". Révoqué de la police en 1988 pour corruption, il travaillait depuis lors comme gérant d'une "entreprise de conseil", utilisant ses relations dans la police et l'administration fiscale pour des clients. Parmi ses "contacts", figuraient trois policiers en service. Deux ont été mis en retraite anticipée, le troisième a été muté. Parat était aussi un informateur rémunéré de la direction nationale d'enquêtes fiscales (DNEF), de 1998 à 2001. Aux enquêteurs, l'ancien commissaire prétexta des "échanges de bons procédés" : pour les "3 000 à 3 500 dossiers" qu'il a remis à la DNEF, il a perçu 46 000 euros plus 31 000 euros de remise de TVA. L'affaire sera jugée le 8 juillet. Les liaisons dangereuses sont malgré tout entretenues, voire encouragées. Le secteur privé, en pleine expansion, représente un débouché très attractif pour des fonctionnaires de police. Le 30 janvier, au dernier étage de l'Institut du monde arabe, le groupe Geos fêtait ses dix ans d'existence. Dans la foule, d'anciens policiers en côtoyaient d'autres, toujours en exercice - dont le conseiller d'un ministre. L'entreprise, experte dans le "management du risque", s'est spécialisée dans le recrutement d'anciens fonctionnaires, ex-DGSE, ex-DST, ex-RAID, ex-Quai d'Orsay... Même sa filiale de renseignement est dirigée par un ancien policier de l'office central pour la répression de la grande délinquance financière. Le président de Geos, Stéphane Gerardin, est lui-même un ancien de la DGSE. En 1988, il a participé à l'assaut de la grotte d'Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie, avant de faire ses premiers pas dans le privé avec l'ex-gendarme Philippe Legorjus. "Ce que l'on recherche, c'est l'expérience, pas le carnet d'adresses qui devient vite obsolète", assure ce dernier, en exhibant un code de déontologie et un comité d'éthique en gage de bonne conduite. Le Snarp aussi a sa bible déontologique. Qui précise, article 7 : "Dans les limites fixées par la loi, l'agent de recherche privé est libre de la conduite de ses enquêtes (...). Il lui appartient de tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes méthodes d'enquête possible." A chacun de se débrouiller avec. "On a le droit d'enquêter, de ne pas faire état de notre profession, mais nous n'avons pas la boîte à outils qu'il nous faudrait", déplore Samuel Mathis, président du Snarp. Face aux dérives, les pouvoirs publics ont tenté d'ériger des digues dans une loi de 1983, renforcée en 2003, et qui instaure, en plus de l'agrément, la nécessité d'une formation qualifiante pour tout nouvel entrant sur le marché. Le ministère de l'intérieur réfléchit aujourd'hui à de nouvelles dispositions législatives, en relation avec la Fédération des professionnels de l'intelligence économique (Fepie), qui voudrait bien obtenir un statut distinct des privés. De son côté, pour mettre fin à "l'hypocrisie du système", le CNSP-ARP cherche à tirer parti de la situation. Dans un Livre blanc remis le 20 mai au ministère, le syndicat plaide pour la création d'un nouveau statut d'enquêteur privé afin "d'écarter le doute quant aux moyens mis en oeuvre" pour ses missions. Il ne réclame pas seulement une "habilitation au recueil de renseignement" qui permettrait de sortir du "cadre traditionnel du système D" ; il revendique également la mutation des privés vers un statut "d'auxiliaire des forces de l'ordre". Les agents de la DST, eux, font actuellement le tour des privés, en leur donnant, comme à leur habitude, rendez-vous dans de grands hôtels parisiens. Pour "sentir" le terrain.
  18. Des drones ont été retrouvé dans une cache d'arme en Irak ... des drones US ... soit volés soit perdus. Cela inquiete un peu l'armée US, vu que les drone ca se demonte et se transporte tres facilement dans un petit camion et que ca pourrait embarquer une petite payload offensive moyen de menue modification.
  19. g4lly

    [Russie] Mil Mi-26

    Le Mi26 bien sur ... il s'en sont fait abattre un en Tchetchenie. Pour le BMP3 aussi ... [me=g4lly]a du raté un truc[/me]
  20. Forcement quand tu es bac+5 riche bien portant etc. c'est plus facile d'etre pour ce traité et cette europe ... :lol: Quand tu est OS que t'as du mal a nourrir ta famille une fois que tu as payé toutes tes facture loyer et le plein de la bagnole ... tu es tout de suite plus dubitatif quand a la pertinence d'untel traité et l'evolution de tes condition de vie. Manque de bol y a plus de pauvre que de riche - la richesse evoluant souvent avec le niveau d'instruction cause ou conséquence peu importe -. Le fond du probleme est la ... "on" construit une europe par et pour les élites ... le petit peuple fini par dire merde. Je pense souvent que les francais sont des anes et qu'il passent leur vie a se tirer une balle dans le pieds ... mais je leur reproches pas de voter non. Ils votent dans leurs interet et on bien raison meme si bien souvent ce qu'ils supposent leur interet ne l'est pas vraiment, tout cela prouvent que ce qu'on leur propose n'est pas assez fédérateur pour attirerun accord massif. On a fait l'erreur deux fois, ce coup ci nos elite on decidé de passer outre leur population en ne les laissant pas voter. Tant pis pour l'Europe ca se paiera la prochaine fois. Ils nous ont deja fais le coup avec l'extension de l'union ... peu d'européen etaient d'accord ca s'est fait contre les peuple par impératif pseudo stratégique... ca va prendre du temps a la digéré politiquement. Y a plus qu'a revenir au petit cercle, faire l'europe par theme/projet avec ceux qui veulent ... donnant donnant.
  21. g4lly

    L'AdT achète des Buffalos

    Il semble qu'ils s'agissent de Buffalo Cat 3 en fait avec le bras mécanique, la commande devenant bien plus logique vu qu'on a pas d'engin du génie a roue pour ce genre de boulot... des commandes ont été passé pour des systeme de leurrage aussi - remorque a pousser devant les vehicule -, et des systeme electronique de "brouillage", ainsi que des kit de blindage additionnel etc. en gros la panoplie classique.
  22. C'est celle d'avant qui m'interesse en fait ... habillé en noir. ;)
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