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Tout ce qui a été posté par g4lly
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Solution 1 ... pour commencer + formation accelérer basé sur une selection drastique. un pilote de char doit pouvoir etre formé a partir d'un conducteur d'engin de chantier par exemple etc. La réserve serait d'une grande richesse si elle etait bien valorisé, les civils regorge de ressource et de compétence qui peuvent etre presque immédiatement utile aux militaires, pour peu qu'on les expose pas directement au feu et qu'on les encadre correctement par des militaire qui assure la liaison professionnel/réserviste *Urgentiste *Secouriste *Pilote/Conducteur de tout type *Technicien/Ingénieur genie civile *Technicien/Ingénieur informatique/electronique *Mecanicien/dieseliste *Logisticien ... tout ce dont a besoin l'armée mais qui n'est pas strictement militaire peu etre renforcé facilement par la réserve. Pour les unité de soutien et meme celle d'artillerie pareil ... la reserve peu apporter un renfort rapide et efficace pour peu d'une formation correcte en aval et d'un encadrement de qualité.
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En cas de besoin on est capable de produire a grande cadence ... la cadence faible sont lié essentiellement au cout qu'on veut étaler. Quand au remplacement des personnels très qualifié tel opérateur sonar ou pilote de chasse, a part aller piocher dans les anciens et accélérer les formation en cours, je vois pas trop. Convertir un pilote d'aviation civile en pilote transport c'est envisageable rapidement, mais en pilote de chasse je vois pas trop. Pour l'opérateur sonar non plus ... le meme probleme se pose avec le personnel des transmissions, les opérateur radar et ASM ... atomicien militaire etc. apres je suppose qu'apres un an de mobilisation la situation puissent se normaliser et les formation rapide porter leurs fruits, on doit pouvoir piloter un jet après un an de formation intensive en partant d'un bonne base de pilote civile. etc. reste a voir le niveau des nouveau formé ...
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[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Rejeter la faute sur les autres ... bof ... quand les tactique US nous convenaient pas on a bien su retirer nos FS. On a su renvoyer des OMLT pour encadrer la formation des troupe Afghane etc. Se faire capturer des troupes serait difficilement gérable politiquement et médiatiquement, probablement bien plus que d'en perdre sur des mines. Et je comprends la maniere dont c'est géré. Néammoins il est évident que parti comme c'est on est pas pret de voir un régime "fiable" en Afghanistan et que l'usure politique est déjà bien avancée. Sarkozy annonçant en campagne qu'il ne souhaitait plus voir de troupe française ne Afghanistan... Les dissension sur pour relever les troupes éprouvé dans le sud... Une bonne partie du dispositif n'est la que pour faire bonne figure vis a vis du pouvoir politique US ni plus ni moins. Après changer de tactique plus risqué ambiance commando de chasse, chèvre de monsieur Seguin et autres c'est plus payant coté bodycount mais tant que taliban express formera des troupe en 15j et pourra réapprovisionner tranquillement au Pakistan, le jeu en vaut il la chandelle? La vrai solution c'est une vrai armée afghane qui occupe son territoire, controle ses frontieres, a la confiance de sa population ... et ça on en est loin loin loin! -
[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Le convoi franco-afghan a parcouru par la route les 500 kilomètres qui séparent Kaboul de Kandahar. Les difficultés rencontrées indiquent l'impunité avec laquelle les insurgés afghans opèrent dans les provinces méridionales du pays. À moins d'une centaine de kilomètres au sud de la capitale, dans la province du Wardak, un engin explosif d'environ 250 kg a mis hors de combat un véhicule blindé français (VAB). Plus au sud, deux embuscades ont encore ralenti la progression. Les troupes afghanes et françaises ont mis près de 22 heures à rejoindre Kandahar. 250kg ?! si c'est le meme VAB avec seulement 2 blessé et une porte arraché c'est un miracle. -
L'intérêt c'est surtout d'être manipulable a l'intérieur... modèle 14" permet de se retourner dans un couloir etroit contrairement au shotgun classique. Par contre pas de semi-auto.
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[Le monde des opérateurs du H225M/EC 725 Caracal]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
ALors je vais faire la promo de soft francais freeware pour une fois :) Donc Xnview un visulalisteur d'image rapide et Francais En téléchargement ici http://pagesperso-orange.fr/pierre.g/xnview/frdownloadwin32.html prendre la version complete en bas de la page pour windows les autres version se trouve sur le site autre OS etc. Pour ceux qui connaisse pas ca génere tres vite des planche contact et vignette des phtotheque et permet de naviguer dedans et donne acces a toute les métadonnée incluse dans les photos et mille autre chose. Autrs gros plus le Xnview shell extension qui affiche une vignette dans le menu contestuel du navigateur windows et plein d'option Dans le meme genre je conseil 7zip qui de la meme maniere gere gratuitement les archive type zip et tout le reste. http://www.7-zip.org/fr/ Pendant que j'y suis coté utilitaire, crypter vos donné ou votre disque dur complet avec Truecrypt http://www.truecrypt.org/downloads.php gratuit open source tout ca et tres tres simple d'utilisation. Un schredder pour vraiment effacer vos donner et les rendre irrécupérable sur vos disque dur http://www.heidi.ie/node/14 Eh bien les militaire belge sont sacrement bien équipé en matos photo j'en suis jaloux :) -
La gendarmerie l'aura peut etre sans le tourelleau nan?
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Le MP5 fut dispo en .40 ... les UMP le sont.
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Clermont Auvergne ... l'ASM c'était avant ;) J4aime bien qd le stade francais perd ... j'aime bien qd l'ASM gagne ...
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[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Probablement parce que le but n'est pas de gagner ... mais de ne pas perdre de soldats. -
monospace rapide ? des classe R ?!!!! http://www.vroom.be/fr/actualite-auto/3045,mercedes-r-amg.html http://www.rsportscars.com/mercedes-benz/2007-mercedes-benz-r63-amg/ Prix de base version courte US 90.000$ ca va changer des XM sv24 :lol: Personnellement je me serait plutot tourné vers ce genre de truc :) http://www.rsportscars.com/audi/2008-audi-rs-6-avant/
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[Le monde des opérateurs du H225M/EC 725 Caracal]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
C'est comme le port-salut c'est marqué dessus [tt]Fabricant : Canon Modèle : Canon EOS-1Ds Mark II Logiciel : Adobe Photoshop CS3 Macintosh Date de modification : 2008:05:17 16:15:10 Temps d'exposition (s) : 1/800 Nombre-F : 7.1 Programme d'exposition : Priorité à l'obturateur (4) Sensibilité équivalente ISO : 100 Date¦heure d'origine : 2008:05:17 12:04:35 Date¦heure numérisées : 2008:05:17 12:04:35 Vitesse d'obturation (s) : 1/800 Indice d'ouverture : F7.1 Valeur compensation exposition : -1/3 Ouverture maxi. : F2.8 Mode calcul exposition : Multi-segment (5) Flash : Pas de flash Longueur de focale [mm] : 200 Mode de couleur (BPP) : Pas calibré Mode exposition : Auto (0) Équilibrage des blancs : Auto (0) [/tt] Quand a l'auteur de la photo ... il est plutot bien équipé. Alors je suppute que c'est un photographe et pas un soldat. EOS1DMk2 + 200mm F2.8 ca va cherché au dela de 10 000€ 5000€ -
Tu melange tout et tu prends mes message pour des attaque personnel ... c'est mal. A bon ? alors pourquoi élire un président qui paye pour libérer les otages ?! Les francais non rien a foutre de l'intérêt général ni même de leur gamin sinon il ne roulerait pas au diesel, ne se paierai pas des maison individuelle a petaouchnok, ne passerai pas tout leur revenu dans du matos hitec made in china et ne voteraient pas UMP, n'irait pas faire leur course a carrefour, ne regarderai pas TF1... j'en passe des meilleurs. La résilience face a une attaque, ou plutot ses conséquence, c'est la capacité de continuer a fonctionner et a se reconstituer malgré un dommage important. Une des base de la résilience au niveau d'une population est la capacité a conserver localament otue capacité d'action essentielle a l'état et de préserver autant que possible la vie courante de la population. Les services publique - quelques que soit la maniere dont ont les concoivent - sont essentielle dans cette construction. Les pompier volontaires de nos compagnes sont t ils les parasites que tu cites ? les medecins libéraux de cambrousses qui assure l'urgence SAMU en plus des pompier et de leur heures de boulot sont ils les parasites que tu cites ? les services municipaux/départementaux qui assurent les approvisionnement d'urgence et la mobilité sont ils les parasites que tu cites? La police qui passe 10 semaines sous les cailloux ... sans entrainer de mort sont ils les parasites que tu cites? Qui assurerait c'est service en cas de crises grave ?! Sodexho! BlackWater? Connex? certainement pas ... t es pas assez riche pour ca. Quant aux attaques récurente envers l'EN, c'est juste ridicule... les porfesseur ne sont pas des garde chiourme, ce sont des enseignant il donne des cours, ils non pas la compétence ni le pouvoir pour éduquer des momes mal éduqué ... juste que comme pour la Police les pompiers et l'hopital publique, l'EN récupere toute la misere du monde ... et doit faire avec meme si ce n'est pas de leur ressort ou dans leur compétence.
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[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
J'étais persuadé d'avoir posté cette article mais je le retrouve plus alors je reposte. Edit: en fait j'ai posté le lien plus bas... mais pas l'article je vais résumer en bas en francais. http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/asia/afghanistan/2165953/Afghanistan-British-troops-shooting-themselves-in-the-foot-over-Taliban-fight.html Afghanistan: British troops shooting themselves in the foot over Taliban fight Outdated tactics and severe equipment shortages are our worst enemies in Afghanistan, not the Taliban, argues Thomas Harding. It's been a good fortnight for the Taliban. Nine British soldiers dead in 10 days, hundreds of imprisoned fighters set free in a daring jailbreak and the floundering Afghan government struggling to convince the population that the security they long for is close at hand. They will be happy, too, that they have probably made the British commander regret telling me three weeks ago that the insurgency was on the verge of defeat. Power in Afghanistan is all about posture and perception. The Taliban swept through the country in 1996, barely firing a shot, because local warlords saw that the future was with the black turban and did not want to be left behind. What will be the perception now? First a suicide bomber killed three Paras, and then a well-planned ambush accounted for another two. Tuesday's bomb attack left a further four soldiers dead – including, in an invaluable publicity coup for the insurgents, Corporal Sarah Bryant, 26, the first female British soldier to die in Afghanistan. From the safety of their hideouts in Pakistan, the Taliban's leaders and their al-Qa'eda cronies will be counting the dollars from the opium harvest haul, ready to purchase more men, bombs and bullets as the fighting season begins. After spending a week on the ground with our commanders in Lashkar Gah, and then a fortnight marching, eating and sleeping alongside the Parachute Regiment, I have heard first-hand the worries of our troops – and their diagnosis of the problem. They fear that the "war of our generation" is turning into a slog that will suck in more troops, who will require increasing logistical support, which will in turn give the enemy many more targets. This is because the Taliban's tactics are changing. For the first two years, we fought pitched battles against an insurgency determined to over-run our undermanned outposts, which often came close to running out of food and ammunition. The Taliban's losses were very heavy – in the thousands. But the last fortnight could signal the start of a new approach. Why waste a score of fighters when a suicide bomber or well-placed mine will do? With more than 8,000 British troops in Helmand, supported by 2,400 Americans, there are plenty of targets to go round. The Taliban knows the value of public opinion – so important in a counter-insurgency battle – but you sometimes suspect that Whitehall does not. In the opening rounds of the battle for Helmand in 2006, there was no serious public debate about what the mission was. When it became clear that a very serious battle was unfolding, Downing Street banned the press from covering it, in case the public got a whiff that another bloody campaign was unravelling while the insurgency in Iraq was in full cry. The senior members of the military cannot complain. They were the ones who assured ministers that fighting a war on two fronts was feasible, so long as troop numbers came down in Basra. They also agreed with the politicians that 3,000 men was a suitable number to contain Helmand. Two years on, we are approaching three times that number, but the increase has gone largely unnoticed, with increments of a few hundred here and there. Many of our best and brightest military minds – such as Brigadier Ed Butler of the SAS – have called it a day, fed up with poor pay, uncaring civil servants and having to spend too much time away from their families. But there are some very sharp men left, and many of them believe that our greatest enemy is not the Taliban, but our own doctrines and regulations. The enemy has been forced to adapt to survive. A full-frontal assault on allied positions will fail: indeed, firing anything more than a couple of mortar rounds will attract a vicious hail of retaliatory fire. So when he hears an Apache attack helicopter approaching, or sees a jet overhead, he no longer stands and fights, but drops his weapon and melts away, no longer a legitimate target. He knows the rules: if you are not carrying a weapon, you cannot be killed. And time is on your side. Yes, the British might enter a district for a few weeks, but when they leave, the Taliban return, meting out brutal punishment to anyone who has co-operated with the foreigners. And the amount of force needed to take these towns and overwhelm the Taliban makes our own troops less nimble, thereby absorbing manpower, supplies and precious helicopter hours. "The problem," says one officer, "is that we are focusing on protective mobility. We are definitely going down the road the Russians went in the Eighties, with over-reliance on massive armoured vehicles." The debate is starting on the ground because soldiers are frustrated that they can march their hearts out all day to track the enemy, only to be blown up by a mine. They query how a lumbering convoy of 100 armoured vehicles can ever surprise an enemy who knows every rock and cave in his own back yard. The time has come, suggest some, to fight the way the enemy fights – but smarter. In the Rhodesian insurgency, tiny units called fire forces, working in groups of four or eight, would drop into enemy territory by parachute or helicopter, unheard and unseen. With the aid of local trackers, they remained concealed for days, watching the enemy's movements and waiting patiently for the optimum time to strike. Again and again the guerrillas were horrified as their safety cordon unravelled, with colleagues falling dead around them. By contrast, our strategy is static, based on bases in fixed locations. Troops leave them to go on patrol in full view of the enemy – which had fatal consequences this month. "It's bloody hard to deceive the enemy with a column of ground movement that can be picked up 500 metres beyond the base," says one veteran. "The effect of four helicopters disgorging 100 soldiers from an unexpected direction would have a huge impact, and would lead to a reduction in the opportunities to blow us up with mines." Partly, the problem is the same risk-averse culture that enveloped our campaign in Basra, where the highest priority, to which everything else was subordinated, was avoiding British deaths. At the moment, regular troops are only allowed to move around in numbers considerably larger than the small groups of the Rhodesian campaign. Even snipers, whose pricey new long-range rifles could be a massive asset, are not allowed to go out with just a spotter, but have to be part of more unwieldy units. For some soldiers, the excuses about excessive danger wear thin, given the huge support available from air and artillery if things go sour. "At times," one told me wearily, "I am waiting for someone to mention the Health and Safety Executive." However, the single greatest symbol of what is going wrong with our campaign is the lack of helicopters. At some point a senior commander is going to have to find the courage to mortgage his career and say in public what so many have said to me in private – that we are losing lives needlessly because there are not enough. The eight RAF Chinooks are being flown relentlessly, and fatigue must be setting in. The Ministry of Defence says that the answer is to fly them for even more hours per month, but that's a stupid argument: we need more airframes, more spare parts and more pilots. This is a refrain that occurs again and again in conversations with senior officers and seasoned NCOs. "Helicopters would put you in places where vehicles cannot," says one. Another says wistfully: "If I could get my hands on four Chinooks for two whole days…" The reason why the US Marines were so successful in southern Helmand this spring was because they were able to land 600 troops in one lift in one night. In the two weeks I was with them, the Paras could only muster one air assault of two helicopters that had to go in three lifts, hugely increasing the risk of the enemy assembling an anti-aircraft team to attack them. Then, as we pushed further into Taliban territory, we were forced to travel on foot alongside vehicles, because there were no helicopters available. The Taliban probably just laughed and walked off into the next valley. Even when we detained a suspected roadside bomber – after slogging through the desert for hours – we almost had to release him because there was no helicopter to take him back to a legal holding facility for three days – the maximum detention time is four days. The MoD knows that what we have is not enough, and has done for years. But the bean counters have never listened. "If the Government really cared about troops, they would pull their fingers out and get the resources out here," says one soldier. We can win in Afghanistan, but to do so we will have to find the courage and resourcefulness shown by the enemy – not to mention a few of those long-prayed-for Chinooks. Tactique dépassés et manque d'équipement sont nos pires ennemis en Afghanistans, pires que les Talibans. 9 soldats anglais sont morts en 10 jours, des centaines de prisonnier talibans ont été libéré, et le gouvernement Afghan essaye de convaicre la population que la sécurité qu'ils attendent est a portée de main. ... Depuis lers caches au Pakistan les leader Taliban et leur complice d'AlQuaeda comptent leur dollar issu de l'opium et s'apprete a acheter plus d'homme, d'arme et de munition alors que la saison des comabt commence. ... Les soldats UK craignent que la "guerre de leur génération" devienne une guerre qui nécessite plus de moyen et de troupe donc plus de logistique donc plus de cible. La tactique talibane a changé ils s'en prennent désormais a nos avant poste les plus faible qui sont parfois presque a cours de munitions ou de nourriture. Les pertes Talibane sont tres lourdes, par milliers, mais la tactique change. Pourquoi perdre plein de soldat quand un attentat suicide ou une mine peu en faire autant. Avec 8000 soldat UK et 2400 US, il y a moult cible... ... Au debut de la bataille d'Helmand en 2006 il n'y a pas eu de debat sur la mission. Quand il est devenu evident que c'eatit une vrai guerre Downing Street a interdit a la presse de la couvrir au cas ou le public y verrait une campgane sanglante alors que l'IRaq s'apaisait. Les chef militaire ne peuvent pas se plaindre, ce sont eux ui ont garanti que l'angleterre pouvait combattre sur deux fronts tant que les troupe se retirait progressivement de Bassorah. Il ont aussi garantie que 3000 etait suffisant pour controler Helmand. 2 ans plus tard nous sommes au triple mais cette augmentation n'a presque pas été remarqué, car augmenté d'une centaine par ci par la. ... L'ennemi a été contraint de s'adpater pour survivre. Les assaut frontaux contre les position OTAN ont echoués, et tirer quelques coup de mortier sur une FOB implique une grele de feu "vengeresse" en retour. Ainsi qd ils entendent les Apache ou voient un Jet ils rompent le combat abandonne leurs armes et se fondent dans l'environnement, ne devenant plus des cible légitime. Ils connaissent la regle, si vous ne portez pas une armes vous ne pouvez pas etre tué ... et le temps est de leur coté. Aussitot que les troupes quittent un district les taliban reviennent, punissant brutallement les "collaborateurs". Et le volume de troupes necessaire a reprendre les villages et a chasser les taliban rend nos troupe bien moins preste, consommant beaucoup de main d'oeuvre et de precise heure d'helico. Le probleme c'est que nous nous focalisont sur la mobilité protégé, nous reprenons n'impasse des Soviets dans les année 80, avec une sur-confiance sur les vehicule lourdement blindé. Le debat a commencé a la base, les soldats etant frustrés de marcher toute la journée derriere l'ennemi seulement pour peter sur une mine. Ils demandent comment un convoi de 100 blindé peu surprendre l'ennemi qui connait chaque recoin du paysage. Le temps est venu de combattre a la maniere de l'ennmi mais plus intelligement. Lors de l'insurrection en Rhodesie, des petite unité appelé "fire forces", travaillaient en groupe de 4 ou 8, parachté en territoire ennemi, ni vu ni connu. Avec l'aide de pisteur locaux, il restait caché des jours, observant l'ennemi et attendnat patiemment le meilleur moment pour frapper. Encore et encore la guerilla etait horifié de voir son cordon de sécurité detricoté et les guerilleros mort autour d'eux. En crontraste notre strategie est statique, basé sur des point fixe. Les troupes les quittent pour patrouiller aux vues de l'ennemis, ce qui a eu des conséquence fatale cette semaine. C'est difficile de tromper l'ennmi avec une colonne terrestre qui peut etre vu a 500 de la base. L'effet de 4 helicos débarquant 100 soldats depuis n'importe quelle direction a un impact fort et réduit les opportunité d'exploser sur des mines. Une part du probleme et notre culture d'aversion aux risques, qui a enveloppé la campagne a Bossrah, ou la priorité été d'évité des morts anglais. Les troupes sont alors obligé de circuler en nombres beaucoup plus gros que les unité de la campagne de Rhodésie. Meme les sniper qui avec les nouveau fusil longue distance pourrait etre un atout majeur ne sont pas authorisé a opéré en en binome, mais doivent se déplacer avec de grosses unités. Pour les sldat les excuses a propos des danger excessif ne sont pas recevable etant donné l'ppui feu disponible aero ou artillerie, en cas de probleme. Cependant le meilleur symbole de ce qui ne va pas dans cette campagne c'est le manque d'helicoptere... Les 8 RAF chinook vol sans relache et la fatigue se ressent. La reponse du ministre et que les helo vont volé plus d'heure par mois, mais c'est stupid, il faut plus de cellule plus de pilote et plus de piece. Les helico vous emmene la ou les camions ne peuvent pas, si seulement je pouvait mettre la main sur 4 chinook seulement 2 jours ... La raisons pour laquel les US Marines on eu de nombreux succes dans le sud Helmand et du au fait qu'ils etait capable de déplacer 600 hommes en une seule rotation d'helico dans la nuit. J'ai passé 2 semaines avec les para UK nos avions seulement 2 helico et il fallait trois rotation pour déposer la troupe, augmentant massivement les risques de tir anti aerien. Plus nous nous enfoncons en territoire taliban plus nous devons progresser a pieds a coté des vehicules a cause du manque d'helico. Les taliban doivent bien se marrer et marcher tranquille vers la vallée d'a coté. Meme si nous arretons un suspect poseur de bombe, nous somme presque obligé de le relacher parce que nous b'avons pas de moyen de l'envoyer dans un centre de detention au bou de trois jour - la detention maximum est de 4 jours en "garde a vue" -. ... Nous pouvons vaincre en Afghanistant mais nous devront trouver le courage et les ressource dont font preuves nos ennemis. -
On aurait plus besoin d'une pollinisation de l'armée :lol:
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C'est intéressant d'ailleurs le truc est assez moche de prime abord ... mais l'aspect étant directement lié a la fonction dans le cas du GEFAS finalement sans être beau ... il a l'air bon de qualité etc. et très valorisant pour l'acquéreur et l'utilisateur. Le plus interessant c'est la face avant ... on dirait que le plus grand soin a été attaché a la conception de chacun des element mode "stealth" et al a fois blidange incliné. Le capot recouvrant l'entrée d'air radiateur tre coudé fait tres aero. Les montant de calandre genre caisson autoporteur avec arrete saillant style blindage incliné. L'indépendance des gare boue ajouré ... visiblement pour évacuer la boue ... Le V du pare choc - qui semble etre lui meme modulaire en 5 parties - au niveau des roue pour pas accrocher les talus L'inclinaison tres marqué du haut de la caisse pour dévier les projectile mais aussi le souffle... Le pare brise protegé derriere un fort dépord de caisse ... c'est moche mais ca évite le coupe cable.
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C'est un engin de reco. Il est modulaire moteur chassis en plus sieurs partie cellule vie ... cellule mission etc. S'il est long c'est pour eloigner la roue potentiellement declencheuse de mine de la cellule vie. Les module peuvent s'arracher du reste ... comme le lezard perd sa queue. en cas de mine sous l'avant tout le bloc va s'arracher limitant les contrainte sur le reste. On retrouve le meme pricipe au niveau des train roulant garde boue etc. la coque vie et moteur est bien en fort V, juste que le vide est aménagé en coffre de rangement/bindage-espacé qui s'arracheront en cas de mine... Pour la longueur c'est modulable selon les element qu'on ajoute a la construction ... y a des modele 6x6 d'autre avec un plateau des tracteur de remorque radar ... etc. Enfin si le truc est grand c'est qu'il doit permet l'autonomie complete de l'équipage pendant une durée et une distance assez longue ...
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Sympa le bon timing avec Nexter et RTD :lol:
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[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
La rapidité d'adaptation aussi bien tactique que technique est une arme plus sûre que la plupart des nouveauté hi-tech des industriels :) Comme qui dirait on est jamais mieux servi que par soit même. -
Les film et autres serie policiere/militaire ou d'anticipation on deja joué avec ces scenario y en a deja tout plein les librairie :) Un petit dernier pour la route... l'avion de tourisme pour bien faire péter la bombe a la bonne altitude, version "24". Pour ce qui est de la résilience je suis assez étonné ... toute la logique de concentration/réduction du service publique va a l'encontre du principe. Sans foisonnement et large autonomie des moyen locaux ... je vois mal la résilience possible.
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Franchement si qqun veux faire péter une bombe atomique ou autre sur le sol francais pas besoin de missile intercontinetale ... un peux de patience et un organisation correcte suffise... Le seul interet du missile c'est la faible latence en decision et feu ... mais il y a mille autre vecteur plus sur que le missile intercontinentale. Un bon vieux cargo tout pourri avec une bombe a bord rentre au havre et qui pete ... meme effet. Pareil a marseille Brest etc. Si tu veux taper Paris il suffit de la mettre la bombe dans une fourgonnette ... Quand tu arrive a faire rentrer des tonne de drogue dans un pays ni vu ni connu je vois pas comment tu ne pourrait pas y faire rentrer une bombe, pour peu qu'il y ai des moyen du niveau de l'Iran derrière. C'était la grosse angoisse US pendant la guerre froide ... que les Soviet construise une bombe dans l'ambassade ... pour rentre obsolete tout leur système d'alerte protection anti sous marin anti missile anti bombardier super chere :) Alors il y a bien des système de detection de produit radioactif ça et la dans les aéroport port etc. mais s'il faut juste rentrer quelques kilo de plutonium... c'est vraiment pas sorcier sans passé par les contrôle ... n'importe quel plaisancier peu le faire. L'intérêt anti missile est plus un intérêt de théâtre d'opération qu'autre chose ... savoir 20 minute avant que la france va se prendre un missile ne va pas changer grand chose pour les français, au mieux ça permettra a l'exécutif d'envoyer un ordre de riposte dans de bonne condition. APres si le projet c'est un bouclier anti missile ou la participation a un bouclier anti missile - genre j'achète ma place avec des systeme de detection - pourquoi pas ...
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Test d’un nouveau matériel de déminage
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Vidéos et Photos
Les herses de déminage sont prévu pour encaisser les charge antichar "classique" sans dommage, le souffle a peu de prise sur le systeme qui na pas de surface horizontale. Le probleme c'est que c'est lent. Les systeme carpet ouvre un passage de char de 100m de long en moins d'une minute. http://www.defense-update.com/news/6702carpet.htm#france -
[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.iht.com/articles/2008/06/20/asia/afghan.php Grim reminders of battle in Arghandab valley near Kandahar MANARA, Afghanistan: Corpses lay stinking in the shade of mulberry trees and in the ruins of a collapsed storehouse. Villagers rushed home to see whether their livestock had died in the heat. Afghan soldiers placed red signs warning of bombs planted alongside the road. With the fighting in the leafy Arghandab valley apparently over, grim signs remained Friday of the battle that government and NATO troops had waged against Taliban militants who had crept within range of Afghanistan's second city, Kandahar. Meanwhile, the grinding violence that has plagued the country for much of the past three decades continued elsewhere. A suicide bomber attacked a military convoy Friday as it drove through Gereshk, a town in neighboring Helmand Province, killing five civilians and one member of the U.S.-led coalition, officials said. Lieutenant Colonel Paul Fanning, a coalition spokesman, declined to release the nationality of the dead soldier. To the northeast, officials said, a suicide car bomber apparently attacking a military convoy in Khost Province killed only himself, while two Afghan troops were wounded when a bomb hit their Humvee on the Kabul-Kandahar highway. The advance of as many as 400 militants on Arghandab early in the past week raised particular alarm because the area is considered a potential springboard for attacks on Kandahar, the Taliban's capital until U.S. bombs drove the fundamentalist militia from power in 2001. Hundreds of government and NATO troops struck back Wednesday, and two days later the provincial governor escorted reporters through army checkpoints on the 16-kilometer, or 10-mile, route from Kandahar to witness the aftermath. In the village of Manara, a reporter counted 19 corpses, some of them missing limbs. Some were piled up in the mud-brick storehouse, which was missing its roof. Others lay prone in an alleyway beside a tree-shaded stream. Afghan and French soldiers pointed out a crater in a nearby field and broken and scorched trees that they said were the results of an airstrike. There was no sign of a gun battle, though residents of other villages had reported hearing heavy fire. A NATO spokesman, Brigadier General Carlos Branco, said the fighting was over by early Thursday. He said there had been only small ground skirmishes, though an alliance helicopter had returned fire against gunmen in one incident and warplanes had carried out "very limited" airstrikes. The Defense Ministry says that 56 militants were killed. Two Afghan troops also died. Governor Asadullah Khalid said Friday, however, that militants had been killed in about 10 locations and that their death toll had been more than 100. He said villagers had reported that some militants had spoken the Pashto dialect of tribes across the border in Pakistan. The tribes are suspected of harboring Afghan rebels and leaders of Al Qaeda, as well as sending volunteers of their own to fight in Afghanistan. -
Le cheval noir de la Famine
g4lly a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2008/06/21/il-est-urgent-de-sauver-les-sols_1061230_3238.html?xtor=RSS-3208 Il est urgent de sauver les sols Daniel Nahon est professeur de géochimie à l'université Paul-Cézanne d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Grand connaisseur des fragilités de la Terre, il tire la sonnette d'alarme. "Les sols n'en peuvent plus. Nous sommes au bord de l'abîme et, si cela continue, il y aura des famines", s'emporte-t-il. A force de pollution industrielle, de pesticides à hautes doses, d'urbanisation forcenée, d'érosion, de déforestation et d'irrigation mal contrôlée, près d'un quart des terres utilisables dans le monde, en effet, sont déjà dégradées. Et leur proportion par habitant se réduit comme peau de chagrin, quand il faudrait doubler la production agricole, d'ici à 2050, pour nourrir 9 milliards de Terriens. "Il règne à ce sujet un véritable illettrisme, une méconnaissance de la structure et du fonctionnement des sols, tant chez les politiques que dans les médias, et même chez de nombreux scientifiques, poursuit le géochimiste. Alors qu'il faudrait fournir un véritable effort de guerre pour affronter le défi à venir !" Lassé de l'indifférence quasi générale sur cette question cruciale, Daniel Nahon a publié L'Epuisement de la terre, l'enjeu du XXIe siècle (Odile Jacob). Il y rappelle que le sol cultivable, qui a permis à l'homme de passer du stade de chasseur-cueilleur à l'agriculture, a mis des milliers d'années pour se constituer. Il a fallu pour cela que la roche mère se décompose, puis qu'elle soit fertilisée par le lent travail des plantes et des bactéries. Non renouvelable, ce patrimoine devrait être considéré comme un bien mondial à protéger. D'autant plus précieux qu'en l'état actuel de nos connaissances techniques, on ne peut se passer des sols pour les cultures. Pays riches, pays pauvres, pays émergents : la détérioration des sols touche toutes les régions du globe. Certaines parties de la Chine et de l'Inde connaissent d'importants problèmes d'érosion et de pollution. Au Brésil, les sols gagnés sur la forêt amazonienne s'appauvrissent. Christian Valentin, directeur d'une unité de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD), précise que cette dégradation touche plus particulièrement deux régions : les sols sableux du Sahel, très peu fertiles et sensibles à l'érosion éolienne, et les sols de montagne des pays d'Asie du Sud-Est. Dans les deux cas, l'extension des aires cultivées s'est faite aux dépens des jachères, des forêts ou des zones de parcours, éléments protecteurs des sols. Enrayer ce déclin ? Ici ou là, quelques initiatives vont dans ce sens. Au Burkina Faso, par exemple, une poignée de paysans remettent au goût du jour les techniques agricoles traditionnelles (Le Monde du 18 juin). Mais il en faudrait beaucoup plus pour que les sols se stabilisent. D'autant que, dans ce domaine, l'Europe occidentale, et notamment la France, a aussi du souci à se faire. Rien que dans l'Hexagone, "l'urbanisation - routes et villes - provoque à elle seule la disparition de 60 000 hectares de bonnes terres arables par an", explique Dominique Arrouays, directeur de l'unité Infosol à l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) d'Orléans (Loiret). "Cela représente en dix ans l'équivalent d'un département français !", dit-il. A cela s'ajoute l'érosion, que va inévitablement amplifier la montée en puissance des phénomènes météorologiques extrêmes. Une seule pluie très forte, si elle survient sur une zone en pente, suffit en effet à faire disparaître 50 tonnes de terre... Avec, à terme, un réel danger de désertification. Face à ce danger croissant, une prise de conscience se fait jour. Mais elle reste bien timide. En novembre 2007, le Parlement européen a adopté une proposition de directive sur la protection des sols, dont la portée a toutefois été amoindrie par une série d'amendements. Les choses sont un peu plus avancées en France, où a été créé, en 2001, le groupement d'intérêt scientifique Sol. Destiné à surveiller la qualité des terres, il a pour but de réaliser un inventaire des sols tous les dix ans pour observer leur évolution, à l'aide d'un maillage systématique du territoire français : 2 000 sites sont déjà en place, et 200 de plus sont prévus d'ici à la fin de l'année. En parallèle sera réalisée une cartographie de la qualité des sols qui devrait être terminée en 2012. Mais les chercheurs voient déjà plus loin et imaginent d'autres fonctions pour les terres arables. "Jusqu'à présent, celles-ci servaient uniquement de support pour les cultures. Demain, elles devront fournir des services supplémentaires en relation avec la sauvegarde de l'environnement", affirme Guy Richard, directeur de l'unité science du sol à l'INRA d'Orléans. On leur demandera peut-être de lutter contre le réchauffement climatique en piégeant le carbone, de mieux filtrer l'eau, de recycler les déchets urbains ; ou encore de participer au maintien de la biodiversité. Autant de fonctions nouvelles qui pourraient contribuer à un cercle vertueux, puisqu'elles assureraient du même coup la pérennité des sols qui s'y consacreraient. Pour piéger le carbone, il faudra éviter les labours profonds qui fragmentent le sol, accélèrent la décomposition des matières organiques et libèrent du gaz carbonique. Cela nécessitera de réduire le travail de la terre, qui sera réalisé sur une profondeur plus faible : on se contentera par exemple de semis directs, qui ne nécessitent qu'un grattage en surface pour introduire la graine. "Plutôt que le laisser tout nu entre deux récoltes, on cherchera également à maintenir une couverture permanente du sol", ajoute Guy Richard. Ce qui lui permettra de lutter contre certaines maladies et contre la pollution - à l'instar de ce que l'on observe avec les plantations de moutarde qui, organisées entre les périodes de culture du blé et du maïs, permettent de piéger les nitrates provenant de la décomposition végétale après récolte. Apprendra-t-on également, dans un avenir proche, à orienter l'activité microbienne des sols afin d'améliorer la filtration de l'eau ? A analyser les terres pour repérer les plus propices au recyclage des déchets ? Dans tous ces domaines, les recherches doivent encore être poursuivies. Mais il est aussi des solutions plus classiques pour préserver les sols. Diminuer les pesticides, laisser sur place les débris végétaux, étudier le paysage pour limiter l'érosion en fonction du relief... Des solutions qui ne demandent pas d'efforts gigantesques, mais simplement un peu plus d'égards vis-à-vis de ce manteau d'arlequin qui nous fait vivre. Même si, pensent les plus alarmistes, les meilleures mesures de protection ne suffiront pas à nourrir l'humanité d'ici à 2050. Pour relever ce défi, "plusieurs sauts technologiques majeurs seront nécessaires", estime Daniel Nahon. Et l'on ne pourra éviter, selon lui, l'utilisation des plantes transgéniques. Les seules à permettre les cultures sur les sols arides et salés, malheureusement de plus en plus nombreux. -
ça chauffe à Djibouti
g4lly a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
La trêve au front http://www.lanation.dj/news/2008/ln81/national6.htm Les tirs d'armes légères ou d'artillerie lourde se sont tus au niveau de la zone frontalière de Ras Doumeira depuis mercredi dernier. N'empêche que la crise n'a pas encore connu un dénouement par voie diplomatique. Les autorités nationales avaient déjà sollicité l'arbitrage des organisations internationales en vue d'un règlement pacifique du différend frontalier qui oppose Djibouti et l'Erythrée depuis l'incursion des soldats érythréens en territoire djiboutien qui remonte à la mi avril dernier. C'est loin d'être le cas du régime d'Asmara aux aguets car coupé des réalités vécues par ses voisins qui partagent l'ambition commune de réaliser une intégration économique régionale. Afeworki a tout du pyromane seulement obsédé par sa survie politique même si cela doit se faire au détriment du développement de son peuple. Sinon comment expliquer que le maître d'Asmara soit en totale rupture de ban avec les dirigeants des pays limitrophes. Il suffit de faire un bref retour en arrière pour mesurer sa versatilité à l'origine de conflits ouverts entre l'Erythrée et le Soudan, puis le Yémen et l'Ethiopie et maintenant Djibouti selon un ordre chronologique. Rappelons que c’est une série de désertions répétées parmi ses troupes qui lui a servi de prétexte pour provoquer un conflit ouvert avec notre pays. Difficile de saisir la logique du tyran d'Asmara qui, d'abord, a nié toute hostilité envers Djibouti et continue de rester sourd aux injonctions et condamnations de la communauté internationale. Or, le gouvernement djiboutien a vu dans l'accrochage, d'il y'a huit jours, une volonté délibérée de déstabiliser toute la Corne de l'Afrique de la part du despote d'Asmara. Notre pays a toujours tenté de rester à l'écart des conflits qui minent la Somalie, l'Erythrée et Ethiopie dont la quasi totalité des importations transite par le port de Djibouti. Djibouti ne minimise point l'option militaire en cas de nouvelle agression érythréenne. Peut-il y avoir un risque d'embrasement régional dans ces conditions ? Peut-être. Toujours est-il que nos unités combattantes et celles de notre allié français demeurent en état d'alerte maximum malgré la trêve observée au front de Ras Doumeira.