pascal

Les chasseurs embarqués modernes sont des avions lourds puissants et couteux qui semblent bien mal adaptés à l'ex Foch Les SEM seront usés jusqu'à la corde quand la Marine va s'en séparer... Rafale F18 sont trop lourd sauf à être sous utilisés. C'est un peu la quadrature du cercle pour la Marinha do Brasil

Environ 10/15 ans...

Le San Paolo navigue peu. Les Rafale sur ce vieux navire semble bien peu réaliste

J'ai plutôt l'impression qu'il n'y a pas chez nous une réelle culture de l'amphibie. Notre réflexion ne crée pas de nouveaux axes on construit sur de l'acquis. On ne se pose pas vraiment de grosse questions sur la batellerie, son rôle les tactiques. On est à minima sans plus En matière d'aéromobilté depuis les guerres coloniaes en revanche nous créons une doctrine et la réévaluons régulièrement...

Sauf que le BPC 250 de DCNS semble avoir le même radier que le Mistral Il semblerait que les marins soient de toute façon plus demandeurs de capacités d'accueil de troupes - passagers - matériel et d'Etat Major que de batellerie

L'OSF est un module de 87 kgs. Les F2 F3 sont câblés pour le recevoir. Comme c'est un élément mobile il peut être gréé sur l'avion en fonction des missions et des exigences opérationnelles. On avait parlé de 59 OSF ...

Je suis d'accord avec toi Gally mais la notion même de première vague "de choc" n'a selon moi plus cours aujourd'hui. Ce genre d'opération de vive force à grande échelle est potentiellement bcp trop couteuse en homme et en matériel... Alors que le 1er Spahis va perdre sa capacité amphibie avec son départ de la 6ème BLB, j'ai le sentiment que les EM aujourd'hui ne font plus trop le pari de ce genre d'opération massive (et puis d'ailleurs avec qui et contre qui...) Les TCD servent de docks flottants mobiles en Outre Mer c'est pour çà qu'ils disposent de plates formes mobiles sur rails surmontant l'arrière du Radier. On peut y rentrer un P400 les Orage avaient çà avant eux. La batellerie (EDIC ou CDIC je ne sais jamais non fufu pas sur la tête) dipose de superstructures mobiles pour entrer dans le radier couvert.

Celà change-t-il bcp de choses dans le fond??? Pas vraiment, les Vanguard tirent du Trident D américain et les têtes nucléaires du programmes anglais "Chevaline" ont été testée avec l'aide US... alors !

Bon DCNS servie au Brésil... Alors maintenant Dassault servi en Grèce ? (sachant que les grecs prendront du Rafale ou des FREMM-voir rien- mais certainement pas les deux)

A noter là encore que General Dynamics Corp. Argue de risques de dégraissages au sein de son effectif pour faire passer la pillule d'une commande groupée dont la facture est en augmentation. D'un continent à l'autre les pb budgétaires et financiers produisent les mêmes effets...

@Tom aucune. Peut-être (je dis bien peut-être) qq différences quand aux manipulations du système par le pilote... Mais autrement rien ne différenciera les deux versions d'après un récent Air Fan.

C'est sûr que si on commence à nettoyer une arme au Paic en la rinçant à l'eau clair çà va finir par se corroder c'est certain faut pas être sortir de Saint-Cyr pour s'en douter...

Je viens de finir de le lire. C'est plein de références techniques, d'explications (je vous recommande le chapitre sur les moteurs) Du très beau travail et pas cher....

Fil à propos de la dispo déjà posté par Philou et moi gally ;)

Une des améliorations souhaitée sur le Falcon 50 c'est un asservissement de la tourelle au radar de bord pour se placer directement en automatique sur le plot radar choisi par l'opérateur

Divers dépôts, points de corrosion, auréoles... Une arme çà se dégraisse, çà se décalamine puis çà s'essuie... Ensuite çà se lubrifie si on en a l'usage ou çà se graisse (avec un produit plus gras) pour le stockage puis à nouveau çà s'essuie. Laver une arme à l'eau et au liquide vaisselle c'est pas terrible car l'acier même le meilleur inox n'apprécie pas trop. De plus il restera toujours de l'eau par capillarité entre des petites pièces (sauf à tout démonter et encore). Pour nettoyer l'arme il faut la dégraisser pour retirer la calamine, les résidus gras amalgamés, les traces de poudre corrosives, la poussière. Il y a d'excellents produits liquides ou aérosols pour çà. Ensuite faut essuyer et huiler avec là encore d'excellents aérosols qui déposent une fine pellicule lubrifiante sur l'arme et surtout ses parties mobiles. Cà évite la corrosion mais surtout les gros dépôts de graisse amalgamée ou de calamine qui peuvent parfois provoquer des incidents de tir (pour les amateurs d'armes trop bien ajustées telles les Korth). LUBRIFIER et ESSUYER ou ECOUVILLONER pour le canon Quand on a rien il y a un produit miracle: le gazole çà nettoie et lubrifie en même temps. Cà sèche vite c'est volatil... Il faut savoir que la Sécurité Civile nettoie ses hélicos au kérozène et c'est nickel d'après un pilote. Le seul problème de cette solution çà pue.

VIVIANE pèse (très) lourd l'ensemble fait de mémoire 180 kgs... la Gazelle en a plein les dents et on a dût remplacer les pales du rotor ppl d'origine (métalliques) par celles en composite de l'Ecureuil. Sur le Caracal le poids de Chlio lui permet un porte à faux intéressant sur le nez de l'appareil Avec Chlio on a l'avantage d'avoir un produit standard qui apporte quand même un plus en vision nocturne. Sur les ATL2 et les Falcon et en son temps l'Alizé la caméra IR pour détecter les navires a une portée qui s'exprime en dizaines de nautiques et pas en centaines de mètres ...

faut quand même être con... une arme çà se nettoie au dégraissant (alcool pur) ou au WD 40 puis graisse d'arme C'est le genre de personne qui met son chat au micro onde quand il a pris la pluie

J'avais posté l'info dans le fil "doctrine de l'armée de l'air" C'est en effet problématique et çà illustre les soucis financiers de nos armées

Schumpeter le retour !!! Mais il est vrai qu'aujourd'hui et a fortiori demain on raisonnera en terme d'économies d'énergie et de recyclage.

Aucun compte tenu de la logistique engendrée par le monstre et du fait que c'est la batellerie qui se charge de déposer les engins lourds et leurs passagers. N'oublions pas que le BPC n'est PAS formaté pour accueillir à demeure des hélicos lourds. Il est simplement prévu pour en recevoir à l'appontage ce qui est RADICALEMENT différent.

Relis ce que j'ai dit... on équipe en fonction de ce pourquoi l'hélico est fait... On va au minimum Mieux c'est plus cher

Si je me souviens bien le FLIR du Caracal c'est la boulle Chlio déjà présente sur les Falcon 50 Surmar les Alizées dans leur ultime rétrofit ainsi que sur l'Alouette III qui il y a une dizaine d'années traquait le "baron noir" au dessus de Paris... En clair ce n'est pas un matériel de dernière génération. Ce n'est pas un outil de reco mais de navigation ce qui est fort différent. Viviane est effectivement un viseur que l'on exploite à toutes les sauces mais dans la limite de ses capacités. Il ne faut pas s'étonner on a souvent tendance à exiger de matériels des choses pour lesquelles ils ne sont pas conçus au départ. Un Caracal n'est pas un AH 66 Comanche ou un Kiowa. N'oublions jamais que c'est un hélico de manoeuvre !

POUR L'INSTANT L'ADLA A D'AUTRES SOUCIS... Vu au bordel (pardon chez Merchet) Un aéronef militaire sur deux n'est pas disponible Aircosmos "La disponibilité des aéronefs militaires (français) atteint en 2008 son plus faible niveau historique : 55 % !" révèle Bernard Bombeau dans le dernier numéro d'Air et Cosmos. "C'est vingt points de moins que les 75% prévus à l'origine de la loi de programmation militaire 2003-2008" constate le journaliste qui donne les chiffres pour chaque type d'avions et d'hélicopètres en service dans les trois armées (terre, air, mer) sur les 11 premiers mois de l'année. Les avions de combat et les hélicoptères sont les plus touchés par cette "indisponiblité" due à des pannes ou des travaux de révision non effectués. Ainsi le Mirage 2000D - fer de lance des frappes au sol - a un taux de disponibilité de 43,5%, le Mirage F1 de 50,5% et le Super-Etendard de la Marine d'à peine 40,8%. Le Rafale s'en sort un peu mieux : 61,9% dans l'Armée de l'air et 54,6% dans la Marine. Le parc d'hélicoptères est cloué au sol pour plus de la moitié. Le "record" est détenu par les vieux Super-Frelon avec une disponibilité de 32,4% - ce qui signifie deux appareils en état de vol sur les sept restants. Mais les EC 725 Caracal, tout neufs, s'en sortent également très mal: 36,1% dans l'Armée de terre et 53,6% dans l'Armée de l'air. Au vu de ses chiffres, le Maintien en condition opérationnelle (MCO) reste manifestement un chantier non abouti... Les vieux appareils coûtent cher à faire voler, mais les plus récents également à cause de leur plus grande sophistication ! Bref, le paysage est sombre. Tous les efforts sont faits pour que les aéronefs engagés sur les théâtres d'opérations extérieures soient disponibles, ce qui est en général le cas. Mais cela se fait au détriment des appareils restant en métropole - ce qui risque de peser lourdement sur la capacité des équipages à s'entraîner.

Voici un article pompé chez Corlobé ... sans commentaires ...