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Tout ce qui a été posté par pascal
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Non ce sont deux choses différentes même si les deux types de bâtiments utilisaient des camouflages -les Q-ship étaient des bateaux pièges armés utilisés par les alliés pour leurrer et détruire les U-Boote durant la WWI à cette période la plupart des attaques de U-Boote se faisaient en surface - anecdote le Commandant Charcot fut capitaine de Q-Ship -les raiders comme l'Atlantis étaient d'ex navires civils armés et camouflés mais donc la mission était de couler et désorganiser le shipping adverse
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Bon çà y est c'est fini les ronds de jambes ... put... c'est pas vrai on se croirait dans un thé dansant ! On vous colle une souris (ou supposée telle) dans les pattes et plaf ! c'est un concours de sucreries ! Messieurs revenez aux affaires, on vous demande à la coupée
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Australie
pascal a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
après 20 ans de service (pour le Collins) j'oserais dire qu'il était grand temps -
... coulé par le Devonshire
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Vision superficielle donc fausse ... voir infantile
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L'un des gros facteur de doutes concernant le F-35 n'est pas l'aptitude des forces armées américaines à le mettre en oeuvre à 100% de ses capacités; ils y arriveront parce que cet objectif peut-être rempli quand on dispose des moyens nécessaires: hommes, soutien, pièces détachées en clair quand les crédits suivent. Non la question sera de savoir comment vont s'en tirer les clients étrangers, quand on dispose de 48 ou 34 appareils et que depuis 20 ans on réduit le nombre des personnels et qu'on rogne sur tous les postes budgétaires comment pourra-t-on espérer disposer d'un nombre d'heures de vol par appareil permettant une forte activité opérationnelle à l'image de celle des forces américaines c'est là toute la question. Question qui en amène une autre, quel sera le degré d'autonomie des clients étrangers par rapport à l'allié américain ? Beaucoup ici peuvent en témoigner je suis parmi ceux qui ont toujours écrit que le F-35 ne pouvait pas être un mauvais avion et certainement pas la daube qu'on se plaît trop souvent ici à railler ... Mais car il y a un quand même un "mais" ceci est envisageable avant tout pour les forces US qui mettraient l'argent et les hommes qu'il faut pour le faire voler et combattre. Ben encore heureux ... 2015/2060 çà ne fait que 45 ans pas de quoi crier au miracle surtout que l'avion est quand même assez loin d'avoir atteint sa pleine maturité.
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Oui mais non en fait, et cela fut confirmé par la suite les F-117 étaient demeurés en dehors de l'enveloppe de détection des dits radars car justement les Américains avaient de sérieux doutes quant à leur capacités à détecter les F-117. En fait on s'est toujours demandé pourquoi la TF Normandy avait pris la peine de détruire des radars d'ancienne génération alors que l'essentiel des la première vague était couverte par des appareils de guerre électronique en mesure de les brouiller. En fait il apparaît que ces matériels auraient été capable de détecter les Nighthawk; la question a ressurgi il y a peu (et c'est pour çà que j'ai repensé à cela) dans le débat sur la furtivité des appareils de nouvelle génération face aux nouveaux moyens de détection radar utilisant soit des technologies innovantes, soit justement des technologies plus anciennes (grandes longueur d'ondes) mais qui s'avère capables ous certaines conditions et avec certaines contraintes de détecter les avions furtifs ou réputés tels. Ainsi les émission en bande FM ou télévision ... En 1991 Thomson avait largement communiqué sur le fait quand radar de batterie Shahine avait lui aussi détecté un F-117 (quand celui-ci avait ouvert ses trappes de soute ...)
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BEN VOYONS ... "At 2:38 a.m. on Jan. 17, 1991, U.S. Army 1st Lt. Tom Drew launched Operation Desert Storm by speaking into his radio microphone: “Party in ten.” The pilot of an AH-64 Apache attack helicopter, Drew was part of a joint Army-Air Force strike team making a secret, nocturnal attack on Iraqi radar stations. Drew’s radio call told others in the force that AGM-114 Hellfire air-to-ground missiles unleashed by Apaches would detonate on their targets in ten seconds. It was called Task Force Normandy. The strike team consisted of a dozen helicopters – eight missile-firing Apaches with a ninth as a backup, a UH-60A Black Hawk for combat rescue if needed, and two Air Force MH-53J Enhanced Pave Low IIIs. The Pave Lows were equipped with a terrain-following and global positioning navigation system to bring the attackers to their destination. The target was a pair of Iraqi air defense radar installations. On the first night of a conflict, destroying these stations would open a path to Baghdad for warplanes of the coalition arrayed against Saddam Hussein. The timing of Task Force Normandy’s attack was determined by the projected time when Iraqi radar would detect Air Force EF-111A Raven aircraft preceding F-117A Nighthawk stealth fighters in attacks on downtown Baghdad. Destroying the radars would open a pathway for the bombers to proceed. Army Lt. Col. (later, Gen.) Richard A. “Dick” Cody – a future vice chief of staff – led the strike. Then-Lt. Col. Richard L. “Rich” Comer led the Air Force contingent. The Hellfire warheads must have created a horrendous mess of concrete and metal churning inside the orange fireball associated with the missile. The attack was devised after U. S. Central Command, under Gen. Norman Schwarzkopf, decided against inserting Special Forces troops to destroy the sites. Apaches could bring firepower to bear on the targets and confirm that they had been destroyed. After months of training, on Jan. 14, 1991, Cody’s force positioned itself under radio silence at Al Jouf, near Saudi Arabia’s border with Iraq. Cody divided the force into two teams. After an ultimatum to Iraq’s Saddam Hussein went unheeded and the order for war came, Cody led the White team out of Al Jouf. The Red team, led by Capt. Newman Shufflebarger, followed 12 minutes later. The radar installations were close to the border but were separated by 70 miles. About 30 miles south of the target, the MH-53Js delivered their last position update and then peeled off to loiter nearby. The two Apache teams approached their respective radar sites. Each team split into two two-ship groups positioned half a mile apart. The Hellfire warheads must have created a horrendous mess of concrete and metal churning inside the orange fireball associated with the missile. But the American helicopter crews never witnessed this. They turned home seconds before blowing up the radar sites and opening a 20-mile wide strip for coalition warplanes to travel into Iraq with impunity. Cody transmitted a radio signal indicating the strike had succeeded and led his helicopters back to safety. Minutes later, above a command center in Baghdad, an F-117A dropped the first bomb of the war. Thereafter, air operations faced little danger from what had been Saddam Hussein’s vaunted air defense network. Operation Desert Storm achieved its goal of liberating occupied Kuwait from Iraq six weeks later. By Robert F. Dorr Robert F. Dorr is an author, U.S. Air Force veteran, " At ten seconds before 2:38 in a moonless sky over Iraq, eight US AH-64 Apache helicopters zeroed in on their targets. On their forward-looking infrared screens appeared the images of two Iraqi radar sites just north of Saudi Arabia, placed there to detect intruding fighters. They were linked to four Iraqi fighter bases and to the Intelligence Operations Center in Baghdad. The unseen Apaches hovered low, four miles south of the radars. At the controls of Number 976, 1st Lt. Tom Drew broke radio silence. “Party in ten,” he said. On cue, ten seconds later, the helicopters unleashed a salvo of laser-guided Hellfire missiles. “This one’s for you, Saddam ,” muttered CW03 Dave Jones, the pilot of another Apache. The shots, fired in the predawn hours of January 17, 1991, marked the start of Operation Desert Storm and were among the most critical of the war, blinding Iraq’s early warning net at a key moment. US Central Command relied entirely on the Apaches and USAF special operations helicopters to do the job. “If something had happened and we didn’t do 100 percent [destruction],” said one gunner, CW04 Lou Hall, “a lot of people were going to get hurt.” The Apaches did achieve 100 percent destruction, or close to it. Eyewitnesses report that, when the Hellfires hit the targets, the radar bases evaporated in clouds of smoke and flame. In the four and a half minutes it took to complete the task, the Apaches had, in the words of Gen. H. Norman Schwarzkopf, “plucked out the eyes” of Iraq’s Soviet-supplied air defenses. Nearly 100 allied planes, arriving twenty-two minutes after the raid, roared through the gaping hole in Iraq’s network and raced north to strike critical, first-night targets. Air Force F-117s, relying on their stealthiness, already had penetrated Iraqi airspace and were nearing Baghdad by the time the Apaches fired, but destruction of the early warning sites greatly eased the task of nonstealthy allied planes sent into action that night. Exactement 22 minutes après l'action des hélicoptères ... Bon maintenant je vais mettre ma casquette de modérateur: Tu vas arrêter de nous prendre pour ce que nous ne sommes pas à savoir des idiots; comme je suis un garçon suspicieux (c'est dans ma nature) et que je ne sais pas si c'est volontaire (tu nous prends vraiment pour des cons) ou si c'est involontaire (la barrière de la langue) je vais regarder donc cela de près ... Si cela te convient tant mieux et tu peux me faire confiance tes propos ne seront pas dénaturés s'il s'agit uniquement d'une question de compréhension et de langage. Si cela ne te convient pas c'est pareil. Je note quand même que tu fais partie d'une génération spontanée de contributeurs qui comme par hasard depuis les dossiers suisse et australien consacre beaucoup de temps à AD Net à nous enseigner la bonne parole, je jurerai que ce n'est pas par hasard - je dois être parano. Je n'ai aucun état d'âme à virer toutes les couilles de loups qui n'ont pas l'étoffe de contribuer sereinement au forum.
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N'oublions JAMAIS que ces débats sulfureux se basent sur des informations partielles: -partielles parce que les données essentielles sont classifiées et non disponibles ici -partielles parce que certaines informations sont bien mal assimilées par ceux qui les diffusent et donnent lieu à des erreurs d'interprétation ... Allez le show continue
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Les premiers aéronefs à avoir franchi la frontière irakienne dans la nuit du 16 au 17 janvier 1991 étaient des hélicoptères Apache soutenus par des un UH 60 et deux Pave Low III. Leur mission était de détruire (de mémoire) 2 radars de veille aérienne irakiens dont la caractéristique était d'être des modèles relativement anciens (techno années 60) mais dont les Américains s'étaient rendus compte que leur longueur d'onde et leur fréquence de fonctionnement leur permettaient dans certaines conditions de détecter les F-117. Le F-117 abattu par les Serbes l'a été par une batterie de SA-3 Goa ... il a été aussi victime de la routine.
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le terme exact est "bilobé"
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Comme me l'expliquait un Monsieur qui a suivi de très près l'intégration du dit pod sous le dit appareil le comportement d'un pod canon est facteur de nombreuses incertitudes initiales: -comportement des emports et de la cellule face aux ondes de chocs*, -échauffement du pod lors du tir (remember "l'affaire" du pod de 25 mm du F-35 ...). Les essais à Djibouti devaient permettre de vérifier entre autres choses le comportement du canon aux fortes températures ambiantes ... *On a jamais vu de mémoire d'ingé un -5F faire du tir canon avec ses Mica en emport ventraux
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
pascal a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est un choix assumé qui date du Redoutable et qui n'a jamais été remis en cause -
Dans un premier temps Israël avait prévu de commander des F-35 B dans cette hypothèse effectivement avant de se raviser et de prendre des A ... il semble bien que le B sera dans une large mesure cantonné aux opérations à partir de porte-aéronefs (exemple le Japon ou Grande-Bretagne après réduction de la commande par la RAF).
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Ukraine 3
pascal a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Politique etrangère / Relations internationales
y a pas le roi de Jordanie c'est normal ? -
sans son écosystème
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- rafale
- f-18 hornet
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(et 3 en plus)
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çà devient compliqué de discuter avec l'ami américain ... je passe mon tour ... Il le fait exprès ou quoi ?
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Au moins ils ont de la place pour jouer ...
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Effectivement l'alignement n'est pas indigne en soit, c'est aussi une marque de pragmatisme car, l'indépendance se paye parfois très très cher ... La puissance est une question de masse critique. C'est pour çà que le serpent de mer de l'Europe de la Défense revient si souvent sur le tapis.
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Le F-35 se décline en trois versions le B est le seul à faire du STOL pour les autres ils se contentent de décoller et d'atterrir comme tout le monde Reste à savoir laquelle des trois versions ... Normal c'est le meilleur (on connait en France car le Rafale - l'avion qui fait la guerre depuis 14 ans- est obligé de faire pareil chez les anglo-saxons) ... Et puis c'est la rançon de la communication de son constructeur LM Avec l'amical soutien du grand frère ... Ce qui au demeurant n'est pas idiot. Dans la cour de récréation quand on est petit et maigrelet on a toujours intérêt à avoir un ami costaud çà peut servir, sauf que des fois le grand costaud il a autre chose à faire que de défendre le petit maigrelet dans ce cas là mieux vaut pour le petiot se faire oublier
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La question centrale étant de savoir si le F-35 B est capable à l'image de ce que firent les Harrier du Corps en Irak de réaliser de telles missions dans la durée à partir de bases peu préparées et sans bénéficier de la totalité du soutien offert par un porte-avions ou un porte-aéronefs. Je rappelle que la Navy vient de découvrir que le système d'arme de ses LPD San Antonio de conception plus récente que celle des America semblait plus adapté pour la préparation des missions des F-35 B qu'en serait-il pour des appareils si de surcroît ils étaient positionnés sur une aire d'autoroute ou un parking de centre commercial ?
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Vous savez soit dit en passant dans cette configuration décollage court (je ne parle même pas de vertical) l'emport interne est limité à 2 x 1000 lbs et 2 AMRAAM et l'autonomie < 30%
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Le débat sur le F-35 couvre trois domaines essentiels -la souveraineté des pays acquéreurs -le domaine financier: coût d'acquisition, coût de possession sur la durée de vie opérationnelle etc ... -le domaine opérationnel: quel est le panel de missions qu'il est capable de remplir et surtout que vaut l'avion face à la concurrence et quelle est cette concurrence ... Autant je crois qu'on a fait le tour de la question du volet financier: en clair c'est cher et de la souveraineté: c'est un facteur d’alignement voir de vassalisation ... Autant le domaine opérationnel demeure à mon avis sujet à débats pour au moins deux raisons: on ne sait pas vraiment ce que sont capables de faire les Fitrons des l'USAF de la Navy et des Marines avec leurs zincs les Américains communiquent peu et je dirais qu'il ont raison, d'un autre côté on ne sait pas ce dont sont capables les forces aériennes russes et chinoises face à la dinde, on est dans l'expectative et le doigt mouillé dans ce domaine. Je ne parle pas des avions export ... çà ne compte pas vraiment sauf en ce qui concerne les Brits et les Japonais pour le moment.
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Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
pascal a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
çà devient du grand n'importe quoi ... -
On remarque qu'il ne dispose plus à l'instar d'autres Flight II A de la sortie sur le tableau arrière pour la flute passive présente par exemple sur le Mc Cain http://www.air-defense.net/forum/topic/23892-les-ffg-62-classe-constellation/