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Rob1

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Tout ce qui a été posté par Rob1

  1. Umpf, ca va être dur pour les actions des Rangers et des forces classiques où je n'ai pas trop de détails, mais je peux essayer. Il va falloir patienter jusqu'à demain.
  2. A la Grenade, à peu près tout ce qui a pu rater a raté. Le bouquin "No room for error" de Carney & Schemmer a un chapitre entier dessus. Une critique disait d'ailleurs que ca devrait être une lecture obligatoire pour les officiers. - les plans pour une évacuation des citoyens américains ont été commencés le 14 octobre pour une exécution prévue le 25. C'était trop court, donc forcément ca a été brouillon. Une des premières décisions a été, pour des raisons de compartimentation (garder le secret) et simplifier la coordination, de ne pas mettre au courant des préparatifs divers organisations dont la NSA, la Defense Mapping Agency et le service des affaires politico-militaires des JCS (l'état-major interarmées) (une histoire de la NSA cite également SAC, Defense Management Agency + au JCS, le J4 Logistics, J5 Strategic Plans and Policy, Public Affairs Office. L'exclusion de la NSA et du PAO sont rapportés comme des échec majeurs). - il n'y avait aucun renseignement précis disponible, la CIA ayant fermé son antenne la plus proche dans les années 70. Au JSOC les gars utilisaient une photo satellite diffusée lors d'un discours TV de Reagan bien plus tôt. Il n'y avait apparemment aucune imagerie en stock et à partir du début de la crise, les photos satellites prises montraient surtout des nuages. La DIA a donné plusieurs estimations, variables pour les Grenadins, faibles pour les Cubains, et dit que les positions de défense anti-aériennes n'étaient pas maniées. Les Barbadiens ont réussi à assembler quelques renseignements mais ceux-ci n'ont jamais été connus des unités engagées. - Une grosse critique également a été l'absence de cartes, dans les sept mois suivant le discours de Reagan sur la crainte de "cubanisation" de l'île, l'armée n'en avait pas commandées. Les gars de la Delta Force y sont allés avec des cartes Michelin achetées à la Barbade qui avaient un encart sur la Grenade. - le 14 octobre l'Atlantic Command (LANTCOM) reçoit la mission. Tard le 20, le Joint Special Operations Command (JSOC) reçoit la même mission, en étant censé être le leader et sans aucune mention du LANTCOM. Cinq heures plus tard on les appelle pour leur dire que le LANTCOM est leader. Ce n'est donc que le 21 que les deux commandements commencent à planifier un truc ensemble. Le 23, tous les plans sont à recommencer : le JSOC s'occupe du sud et les Marines du nord (il semble que ce choix soit dû au lobbying des Marines d'avoir une part du gâteau dans l'opé après l'attentat de Beyrouth ce même jour). Il n'y a pas de commandant commun pour les forces terrestres. Le 23, le général Schwarzkopf, commandant la 24e division d'infanterie, est affecté comme conseiller à la JTF-120 (formée autour de la 2e flotte) responsable de l'opé de la Grenade, vu que celle-ci est surtout constituée de marins. Le 24, le JSOC apprend qu'il est second sur l'opération, et on lui change à nouveau ses objectifs sur la base d'un plan approuvé par la Maison-Blanche trois semaines et demi plus tôt. - A moins de 24h de l'opé, le JSOC a enfin ses objectifs définitifs : Delta doit prendre d'assaut la prison de Richmond Hill et délivrer les prisonniers politiques qui s'y trouvent (le but était sans doute de délivrer Maurice Bishop, leader renversé le 12 octobre, sauf que le plan a été prévu avant qu'il ne soit exécuté le 19 octobre...). Les SEAL de la Team 6 restants doivent récupérer le gouverneur-général Paul Scoon et capturer la principale station de radio. En fait, seul le 1st Rangers n'a pas vu son objectif changé depuis le début. - le LANTCOM ignorait que les pilotes de la 22nd Marine Amphibious Unit (MAU) étaient qualifiés nocturne et a spécialement décidé le début de l'opération à l'aube en fonction d'eux. Tous les participants les remercieront... - Les Marines de la 22nd MAU apprennent que leur mission n'est pas une simple évacuation de civils 9 heures avant le début de l'opération. On ne les met pas au courant que l'Army s'occupera simultanément du sud de l'île. - le "tarponage" tragique parachutage des SEAL... le but était de déployer rapidement un groupe de seize SEAL Team 6 et deux embarcations près de l'USS Sprague, où ils devaient prendre des CCT de l'Air Force et faire une reconnaissance de l'aéroport de Salines, histoire d'évaluer son état et guider des frappes au besoin avant le parachutage des Rangers. Ca devait avoir lieu au crépuscule pour avoir toute la nuit pour la reco elle-même. Sauf que les horaires ont été calculés sur le fuseau horaire Est (des USA) au lieu de l'heure Zoulou, et que le 24 octobre on passe à l'heure d'hiver, l'heure du parachutage "recule" d'une heure et comme la nuit tombe vite sous les tropiques, la saut au crépuscule est devenu un saut en nuit noire. Le ST-6 n'avait apparemment jamais fait de saut de nuit. Quatre SEAL ont immédiatement disparu, n'ayant probablement pas pu se détacher de leurs parachutes avant de toucher l'eau. Une de leurs embarcations a également disparu. Les survivants démarrent la reconnaissance, mais à 30 miles de l'île le passage d'un patrouilleur grenadin les oblige à annuler. - le principal responsable du transport aérien s'aperçoit que rien n'a été prévu après l'heure h, pas d'appareils pour les évacuations médicales, le ravitaillement en munitions etc. Il basera de sa propre autorité huit C-130 à la Barbade pour ca, bien qu'on lui a dit qu'il ne pouvait utiliser cette île. - après parachutage d'une nouvelle embarcation rigide (leur 2e, prise en remorque par le Sprague pendant la journée, a chavirée), les SEAL font leur 2e tentative de reco. La météo et la mer étant toujours mauvaises, ils se font remorquer par le Sprague jusqu'à 4 milles de l'île. Ils se lancent à fond mais à 1 mille, l'apparition d'un patrouilleur les oblige à stopper. Lors du stop brutal, les vagues passent par-dessus le tableau arrière et inondent les moteurs. Ils n’arrivent pas à redémarrer avant que l’aube se pointe, de toute façon leur radio satellite est également morte donc même s'ils observaient quelque-chose, ils ne pourrait transmettre l’info. Ils finissent par rejoindre un navire à la rame, d’où ils peuvent quand même rapporter qu’ils ont vu plein d’activité sur l’aéroport. - pendant ce temps-là, c’est le grand déploiement à la Barbade d’où les MC-130 et hélicos partiront. Ca embouteille partout et les forces spéciales, qui ne sont déjà pas contentes d’attaquer à 5h de matin, auront plus d’une heure de retard sur leurs objectifs.
  3. Rob1

    Opération Rainbow Warrior

    Le besoin de repérage n'a pas été un facteur, car le mode opératoire pour les charges explo a été décidé à l'avance. Je pense que les raisons étaient les suivantes : - habitude du SA à mener des opérations sans soutien externe - à supposer qu'ils l'aient envisagé, complexité à avoir un SNA disponible, surtout que l'opération a été montée très rapidement + risques de mettre des dizaines de marins au courant.
  4. Entre la fin de la guerre du Viêt Nam et le 11 septembre (et même jusqu'en 2003 ont dit certains esprits chagrin), l'armée américaine était très frileuse quant à se lancer dans des opérations à l'étranger (le Congrès aussi). Du coup, c'était un peu tout ou rien, l'invasion totale d'un pays ou assistance à des gouvernements alliés avec impliction minimale des USA. Du "light footprint" avant l'heure. Dans les années 80 il y a surtout eu l'assistance au Salvador contre la guérilla de gauche, idem dans une moindre mesure au Honduras : (repiqué de Wikipédia) En fait, la réalité est assez éloignée de la mentalité associée à l'ère Reagan de phrases décomplexées. La Grenade a été un électrochoc pour l'armée US pour l'immense bazar que ca a été. C'est d'ailleurs en partie à cause de cette opé que le Congrès s'en est mêlé et a imposé les réformes Goldwater-Nichols (placement des commandements géographiques sous les ordres directs du président et du secrétaire de la défense, chefs d'état-majors limités à fournir des forces et conseiller l'autorité civile) et Nunn-Cohen (création de l'USSOCOM et notamment des commandements d'opérations spéciales organiques aux commandements géographiques). Panama a en un sens été le premier test réel de cette nouvelle structure avant la guerre du Golfe. En revanche, il me semble que très peu de membres de Desert Storm étaient des vétérans du Panama.
  5. A noter dans le DSI HS n°43 "La France face au terrorisme", Yves Trotignon qui dit un truc du genre "la DGSE est devenue un service de renseignement technique, avec accessoirement une capacité d'analyse". Loin de l'image officielle du "service toutes compétences intégrées". (Il n'élabore pas plus.)
  6. Rob1

    Technologie SUTER

    J'ai l'impression que airforce technology mélange un peu tout. Dans les descriptions que j'ai pu trouver sur des sites comme GlobalSecurity.org, NCCT et Suter semblent plutôt être des systèmes d'analyse/fusion des données pour le commandement. Par exemple : http://www.globalsecurity.org/military/library/news/2008/03/mil-080321-afpn03.htm http://www.globalsecurity.org/military/library/budget/fy2015/usaf-peds/0305221f_7_pb_2015.pdf
  7. C'était un autre épisode, le tout premier en fait. Je me souviens qu'un des participants était Robert E. Clare, ex-parajumper puis opérateur Delta.
  8. Sur le breaching, le premier épisode d'une émission US intitulée "One Man Army" avait une épreuve impressionnante avec ouverture de portes au bélier, au pied de biche, démolition de murs (!) et ouverture finale au pied. Ca n'avait pas l'air d'être du chiqué et c'était intéressant à voir. Maintenant que j'y pense, c'est un gars carure "chat maigre" qui avait gagné et le plus musclé qui était arrivé dernier (il n'avait pas eu de bol à la destruction de mur). J'ai fait une recherche google vidéo mais je n'ai pas retrouvé le passage.
  9. Bonne chance... De mon côté j'ai regardé le site du BEA-D, rien trouvé qui se rapporte aux HM.
  10. En fait l'affaire du 17 juillet 2013 parle d'un appareil qui "a dû se poser", ca ne colle pas vraiment avec le retournement d'un appareil sur sa piste.
  11. Il faut cliquer sur le rond ou l'étoile qui se trouve devant le titre du fil. Et cela, ca marche qu'on soit dans le "nouveau contenu" ou dans les fils du forums.
  12. Voici ce que j'ai compilé comme accidents de Caracal : - Un Caracal perdu au Mali au printemps 2013 ? (4e RHFS) (http://lemamouth.blogspot.fr/2013/07/le-cos-perd-un-deuxieme-caracal-au-mali.html) - Un Caracal perdu vers le 17 juillet 2013 (4e RHFS) (http://lemamouth.blogspot.fr/2013/07/le-cos-perd-un-deuxieme-caracal-au-mali.html). Peut-être est-ce celui retourné par le coup de vent le 11 juillet ? - Crash d'un Caracal au Burkina Faso en novembre 2014 (4e RHFS) (http://lemamouth.blogspot.fr/2014/11/crash-dun-hm-de-lalat-au-mali.html) - "Poser dur" d'un Caracal dans les Alpes en 2014 (GAM 56) (http://lemamouth.blogspot.de/2015/06/la-plus-connue-pour-la-moins-connue.html) Ce n'est pas très précis, si vous avez des détails je suis preneur.
  13. +1, il faudrait une couleur pour distinguer le fond des posts du fond de la page.
  14. Les principaux évènements de la guerre sont réels (l'opposition du ministre de la Justice Lara Bonilla à Escobar suivi de son assassinat, la prise d'otages du palais de Justice, l'assassinat de Galan, la délirante prison La Catedral), je ne sais pas trop pour l'ascencion d'Escobar. Par contre, sur la mise en scène des personnages de Murphy, Pena et Carrillo je pense que c'est largement inventé. Attention spoiler saison 1 : Pour la bombe dans l'Avianca, j'ai lu plusieurs hypothèses : tentative d'assassinat le candidat à la présidentielle Gaviria (c'est celle donnée dans Killing Pablo et la Narcos), tentative de tuer deux informateurs, ou tentative de tuer la petite amie d'un des parrains du cartel de Cali en riposte à l'attentat à la bombe contre la famille Escobar en 1988. /fin spoiler Je remarque aussi que Carrillo est présenté dès le début comme un personnage de terrain sur-compétent alors que son alter ego réel était plutôt un homme de bureau et que son bloc de recherche a mis un peu de temps à monter en puissance.
  15. Narcos temporada uno finito. J'ai bien aimé et je ne me suis pas ennuyé, ce qui déjà est pas mal (j'ai déjà lu pas mal de trucs sur la traque de Pablo point de vue US : la série d'articles Killing Pablo de Mark Bowden, son bouquin en édition française, un reportage TV de 2002 basé dessus, sans parler des repompes faites dans Killer Elite ou la mini-série Special Forces Untold Stories). Pas de super-héros mais les héros US jouent parfois aux cow-boys quand même. Et j'ai trouvé Pacho Herrera assez magnétique, mais c'est plus facile sur quelques apparitions. Sinon, suis-je le seul à avoir l'impression que cette série mise pas mal sur la violence graphique et les boobs à l'écran ? Dans Game of Thrones ca ne me gène pas trop, mais sur un thème historique, un peu plus.
  16. Je ne me souviens pas de cas où les chalutiers soviétiques se soient plaints de gêne à la navigation devant les ports militaires US... c'est vrai qu'eux appartenaient officiellement à des services comme l'académie des sciences de l'URSS et pas la flotte militaire. Pour cette histoire de non-échange d'information sur les sous-marins, je doute qu'il y ait des obligations "légales" entre Etats. S'il y a des domaines où on fait très gaffe à ce qu'on échange, c'est bien les forces de frappes nucléaires et les moyens de renseignement. Je doute qu'on entende parler beaucoup des balades du USS Jimmy Carter.
  17. Non, j'ai déjà pas mal de lectures en attente. Les trois permiers chapitres jusqu'à Just Cause sont en préview sur le site de Barnes & Noble : http://www.barnesandnoble.com/w/relentless-strike-sean-naylor/1120964154?ean=9781250014542
  18. L'interviewé semble globalement pas mal informé mais il y a plusieurs détails qui m'ont fait me demander s'il appartenait vraiment aux SR... je suis rassuré de voir que je ne suis pas le seul.
  19. Le Washington Post présente six petites histoires du livre à venir de Sean Naylor : 1) des détails sur un raid au Pakistan en septembre 2008 qui avait engendré beaucoup de critiques de la part des Pakistanais. Selon Naylor, le raid aurait été lancé pour "désensibiliser" les Pakistanais à ce genre d'opération et la personne-cible n'était pas très importante. L'article ne dit pas si la "désensibilisation" a été jugée comme une réussite ou un échec. 2) le JSOC envisagea des plans pour assassiner Saddam Hussein après l'invasion du Koweit en août 1990, mais rien ne fut fait à cause du manque de renseignement. 3) des soldats ont travaillé régulièrement sous couverture en Syrie, notamment contre les réseaux djihadistes introduisant des combattants en Irak (cf message précédent) 4) des détails sur une poursuite de baassistes qui déborda en Syrie en juin 2003. 5) des détails sur le ratage de la tentative de libération de Linda Norgrove en 2010. 6) l'amiral McRaven força l'utilisation des Black Hawk furtifs pour l'opération contre Ben Laden alors que ses subordonnés voulaient utiliser des Chinooks classiques, les furtifs s'étant révélés instables en entraînement. Il n'y avait que deux exemplaires existants lors de l'opération, mais depuis d'autres ont été mis en service. Six little-known stories about secretive Joint Special Operations Command, as told in a new book Il n'y a que le point 6 qui ajoute des détails vraiment utiles et nouveaux, à ma connaissance.
  20. Rob1

    menaces intérieures

    Je me propose de monter un groupe de soutien moral aux Rangers... Par contre pour l'unité 777... seems legit.
  21. Il y a pas mal d'éléments à tirer des papiers de Dunlop. Dans le premier, l'élément qu'il met en avance est la malchance : Eltsine qui s'échappe du village d'Arkhangelskoïé le premier jour, l'annulation de l'assaut sur la maison blanche la première nuit à cause de l'unité de l'armée sur place qui se montre favorable à Eltsine, la mauvaise météo la seconde nuit qui empêche l'utilisation d'hélicoptères, et un groupe d'assaut en civil qui se fait repérer à la dernière minute vers 3h du matin le 21. A regarder de plus près, je pense que ces coups de malchance n'en sont pas tellement. J'y vois pas mal de causes communes : - le personnel KGB/police/armée au plus bas niveau qui craint de servir de bouc émissaire en cas de bavure, et qui donc évite de prendre le moindre risque. Beaucoup avaient à l'esprit, consciemment ou non, le syndrome de Vilnius, en référence à l'assaut de janvier 1991 (14 morts, les autorités moscovites blanchies par l'enquête officielle). Donc zéro initiative, procrastination quand ce n'est pas du directement du sabotage - les putschistes qui semblent incapables de prendre des décisions radicales alors que c'est l'essence d'un coup d'état, et qui visiblement ne contrôlent pas ce que font leurs troupes. Alors même que parmi eux, il y a le président du KGB et les ministres de la défense et de l'intérieur ! - à l'inverse, du côté Eltsine, on agit très vite et très bien (rassemblement des députés de Russie à la maison blanche, utilisation des médias, dialogue avec presque tous les acteurs, promesse d'amnistie pour tous les réfractaires du putsch...) - Gorbatchev qui ne se mouille pas au côté des putschistes, ce qu'Eltsine va parfaitement exploiter pour décrédibiliser les putschistes. Reconnaissons cela à Gorby même si son comportement pendant le putsch fut loin d'être clair et fort. Dans son article ultérieur, Dunlop met en avant comme facteur l'habileté du camp Eltsine. En fait, les putschistes avaient un programme typiquement retour au soviétisme passé de Brejnev ou Andropov : désir de ramener "l'ordre" en réaction au bazar ambiant, et c'est à peu près tout. Et les seuls qui s'y sont ralliés, ce sont les apparatchik communistes : le comité central et environ les deux tiers des comités locaux du parti ont soutenu ouvertement le comité pour l'état d'urgence. Visiblement les putschistes n'avaient pas compris le gouffre qui s'était créé entre les autorités soviétiques et la majorité de la population (on trouve de tout parmi les défenseurs de la maison blanche : de l'ouvrier quinquagénaire au jeune journaliste démocrate) à la faveur de la démocratisation et la décentralisation depuis 1989. En 1991, le phénomène du séparatisme me semble irréversible. C'est un coup à partir en guerre civile.
  22. Rob1

    Armée de l'air Russe

    Il y a de petites différences entre le proto du Su-27IB et les Su-32 / Su-34 postérieurs, les derniers ont un train à roues en tandem et des surfaces plus grandes que le proto qui était un Su-27 modifié. Donc en gros on a : - un Su-27IB prototype - les Su-34 + un exemplaire "naval" basé à terre appelé Su-32FN / Su-32MF (sans que je sache si cet exemplaire a la moindre différence technique avec un Su-34). - le Su-33UB embarqué qui se distingue par un nez conique au lieu du "bec de canard". Il y a aussi eu des noms pour des variantes de reco (Su-27KRT) et guerre électronique (Su-27KPP) qui n'ont jamais dépassé le stade de plaquette marketing.
  23. Un extrait du livre de Sean Naylor à paraître prochainement sur le JSOC : Killing Abu Ghadiya sur le raid en Syrie en 2008.
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