et il explique qu'à la fin 2 (ou 3?) guérilleros passent pas loin, puis qu'il se rend assez vite parce qu'il a peur d'être pris pour un militaire caché dans son buisson. Donc en tout, on n'aura pas vu beaucoup de combattants. Aucun ennemi. Pas de corps-à-corps, pas de mêlée, pas d'explosions de napalm, pas d'Hollywood. Comme quoi, on peut mourir dans l'herbe verte, au soleil. Les images rappellent quand on est petits à jouer à la guerre dans les jardins. D'ailleurs, si on coupe le son, le seul truc qui fait comprendre que ça se bat, c'est le mec qui reste par terre. Pas de sang, pas de fumée ! La violence n'est pas seulement comme Hollywood la décrit.