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Raoul

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Tout ce qui a été posté par Raoul

  1. Raoul

    Le successeur du CdG

    Nous sommes d'accord. Je pense (même si je ne le souhaite pas), que le CDG sera conservé, et que celà s'explique surtout par des questions de "prestige" (à 2 niveaux : prestige des marins par rapport aux autres armées, prestige de la France par rapport aux autres nations).
  2. Raoul

    Le successeur du CdG

    et, accessoirement, que ce contrat opérationnel soit en phase avec la réalité du monde d'aujourd'hui. Edit : grillé par Bruno.
  3. Raoul

    Le successeur du CdG

    Ha ? Au temps pour moi, je croyais que c'était officiellement acté. Oui, comme je l'ai dit plus haut, cette perspective poserait de sérieux problèmes politiques. Justement, une doctrine se doit de s'adapter à la réalité contemporaine. Tu ne m'expliques pas en quoi le PA (surtout lorsqu'on n'en a qu'un) serait indispensable pour garantir notre souveraineté... Si c'est pour faire de la présence et de la simple police des mers, il y a des équipements plus adaptés. Inversement, si c'est pour lutter contre une grande puissance envahissante, il pourrait ne pas être utilisé (même si disponible) car les risques de le perdre seraient réels et probablement pas pris. Ha non ! Là tu uses d'un procédé peu glorieux =( je n'ai jamais milité pour la destruction de notre marine. Au contraire, je me demande s'il ne serait pas possible de la rendre plus efficiente (à iso-budget) en remplaçant un matos peu adapté (le PA1) par 2-3 sna supplémentaires et/ou une refonte des BPC pour en faire des bases de lancement de vagues de MDC (les BPC étant au nombre de 3, contrairement au CDG, on n'aurait moins de scrupules à les utiliser, mêmes si le risque de les perdre est réel). Sinon, je te rejoins à propos des perspectives industrielles et de coopération.
  4. Raoul

    Le successeur du CdG

    Certes... Mais indépendament du problême dedisponibilité, il est à craindre que, du fait de sa rareté et de son caractère symbollique, il ne serait pas employé dans des situation à risques, même quand il est dispo. On aboutirait à une absurdité où le navire le plus puissant de notre flotte ne serait pas utilisé dans les situations les plus chaudes car sa perte serait intolérable ("too big to fail sink"). @ Ben : bon argument que celui du maintien des compétences, bien qu'une montée en puissance (en cas de besoin) avec la construction d'un ou plusieurs PA supplémentaires nécessiterait un temps probablement trop long en cas de crise aigüe.
  5. Raoul

    [Rafale]

    Il n'est effectivement pas conseillé de ne jamais pratiquer de sport si on veut rester en bonne santé ;)
  6. Raoul

    [Rafale]

    ça m'étonnera toujours que des gens puissent sérieusement penser que sarko avait les média ligués contre lui, alors même qu'il était trés proche de plusieurs propriétaires des grands médias privés et qu'il avait nommé plusieurs dirigeants des grands médias publiques :P
  7. Raoul

    Le successeur du CdG

    S'il est (enfin) acté qu'il n'y aura pas de PA2, et qu'il est communément admis qu'un seul PA est une solution bancale, il est peut-être temps de se poser sérieusement la question du devenir du PA1, non ? Perso, dans ce contexte, je suis pour qu'on aille au bout de la logique et qu'on vende (ou troc) le CDG. Je vois 4 clients possibles. Par ordre décroissant de facilité politique de la transaction, je note : le Brésil, l'Inde, la Russie et la Chine. Je suis conscient que cette position risque de heurter la susceptibilité de certains amis forumeurs :-X ; mais on est là pour discuter, hein ! Alors tapez pas trop fort les gars (et surtout, argumentez).
  8. Plutôt d'accord avec Alpacks... et plutôt HS aussi, non ?
  9. Je me demande si les rebelles ont les compétences pour réutiliser ce genre d'engins...
  10. Tiens, je ne savais pas que ce systême utilisait plusieurs types de missiles. Est-ce-que les plus petits (probablement les plus véloce) seraient efficaces contre des avions de chasse (pas uniquement des "gros-cul") ?
  11. Est-ce que ce genre d'escale ne risque pas de dévoiler trés (trop) précisément la signature acoustique du Triomphant ?
  12. :lol: :lol: (ceci dit, tu es plus "pessimiste" que moi)
  13. Pas forcément. Le MDC, surtout lorsqu'il est tiré en vague de saturation, peut se permettre d'avoir un trajectoire rectiligne. De plus, il n'a pas à conserver un peu de carbu pour "au cas où". Il a une vitesse quasi fixe contrairement à l'avion qui peut faire de la supercroisière, de l'économique, de la postcombustion...
  14. Deux Armstrong qui font l'actualité dans la même semaine... Manquerait plus que le trompétiste s'en aille, lui aussi :-X
  15. Tu aurais pû répondre comme dans la blague de Fernand Reynaud ("un certain temps" ou plutôt "une certaine distance" =)) Oui, je sais bien que ni toi, ni moi, ne saurons le chiffre exact. Mais tu utilises quelle valeur pour tes simulations ? A moins que tu n'aimes pas vraiment ce genre d'exercices (qui peuvent apparaître, je te l'accorde, comme de la masturbation intellectuelle ou des jeux de guerre un peu puérils). L'essentiel, c'est que tu sois d'accord avec moi sur le point suivant : le RA opérationnel maxi du Rafale, est comparable à la portée d'un scalp naval !
  16. Ne pas oublier le Tirpitz allemand (probablement le navire le plus puissant) qui refusa le combat en restant planqué dans les fjords.
  17. Il y a une différence fondamentale entre se battre chez soi et se battre à x milliers de km.
  18. OKAYE ! Ta position est à saluer. En d'autres termes, puisque le doute ne doit pas empêcher pas la formation d'une opinion perso, à combien estimes-tu le RA opérationnel de combat du Rafale ?
  19. @Fatac Celà signifie-t-il que tu prends "pour argent comptant" les données constructeurs concernant les RA ou, du moins, que tu estimes que ces valeurs sont atteignables au combat ?? Etant donné notre flotte plétorique d'avions de combat, je suis trés sceptique sur la réalité de missions où on tenterait le "tout pout le tout", cad sans laisser des réserves pour au cas où... Je suis également sceptique sur le fait qu'une mission de bombardement se déroule en ligne droite Donc, si on part des 1850km annoncés, on retranche (je prends volontairement des valeurs minimales pour aller dans ton sens) : - 10% parceque les données constructeurs sont basées sur des conditions trés (trop) optimales (notamment, une croisière à vitesse strictement économique) - 10% parcequ'on laisse un peu de carbu pour "au cas où" (en sachant que 10% c'est vraiment peu car en cas de mauvaise rencontre, quelques coups de postcombustion et on se retrouve à sec avant de rejoindre la base) - 10% parceque le vol ne sera pas rectiligne On obtient 1850 - 30% = 1295 km, soit 1000km plus "une légère augmentation pour les bireacteurs modernes". Indépendament des exemples cités, l'idée à retenir du lien que j'ai mis, c'est que les rayons d'actions opérationnels ont souvent tendance à être surestimés (réalité historique). @ Ben C'est gentil de me relancer sur les frappes de saturation :oops: (tant pis pour toi ;)) Dans le scenar opposant le Varyag à un gros navire français, mon idée est qu'un BPC avec une trentaine de TEL double sur le pont sera plus efficace que le CDG lançant à peine 15 Rafale (toutes considérations de détection/localisation n'étant pas prises en compte). Le croiseur russe devra lutter contre 4 fois plus (2 fois dans les cas peu probables où le rafale emporterait 2 antinav) de missiles. Et oui, la portée du scalp naval (et donc d'une version antinav développé sur la même base) est comparable au RA du Rafale.
  20. Voilà, j'ai remarqué que, parfois, je pose des questions alors que les réponses existent déjà sur le forum (exemples "combien de Rafales prévus/commandés/livrés ?"). Je pense que la création de fiches thématiques (mises à jour régulièrement) s'apparentant à des bases de données serait une bonne idée. Exemples de fiches : Equipement de l'armée française, avancement des défences ABM... Ces fiches permettraient un acces à l'information beaucoup plus aisé et efficace que la fonction "recherche" qui aboutit souvent à une masse de messages qu'il faut ensuite traiter. Toutefois, je suis conscient des inconvénients de ces éventuelles fiches thématiques, comme, par exemple, la masse de travail que celà demande (je suis prêt à y participer en fonction des mes modestes connaissances) et aussi le risque de transformer certains forumeurs en simples consommateurs d'infos.
  21. Il ne faut pas croire tout ce que raconte une plaquette publicitaire (que ce soit pour un frigo, une bagnole ou un avion de chasse) au risque de s'exposer à de sérieuse déconvenue. ;) "Il y a là, peut-être, une confusion, malheureusement très courante, entre le rayon d’action théorique d’un appareil et ses possibilités de pénétration dans les lignes ennemies. La puissance de pénétration dans les lignes ennemies est la distance à laquelle les appareils d’un type donné peuvent y pénétrer sans subir des pertes exagérées du fait de la défense adverse. Elle est très sensiblement différente du rayon d’action théorique et même du rayon d’action pratique, surtout de jour, dès l’instant que cette défense est organisée et que, par cela même, les pertes deviennent sensibles (...) Le Bréguet XIV de 1918 avait un rayon d’action théorique de 250 km environ ; et pourtant l’aviation de bombardement, qui en était armée, ne pénétrait de jour dans les lignes ennemies qu’en vol groupé et à une distance n’excédant guère 25 km. http://www.stratisc.org/strat_059_Mendigal.html Ainsi, dans son bouquin sur la stratégie aérienne, le général (ou colonel ?) Forget cite des exemples récents de projection (Solenzara-Beyrouth ou encore MaliCentre Afrique-OuadiDoum) où le nombre de ravitaillement en vol requis est "contradictoire" avec les rayon d'action annoncés par les constructeurs. Certes, il s'agissait d'appareils anciens (f1cr et jaguar), mais il n'y a pas de raison pour que cette différence entre le RA réel en opération et le RA théorique du constructeur ait cessée d'exister aujourd'hui. Je maintiens donc mes chiffres (allez, j'accepte une légère augmentation pour les bireacteurs modernes ;))
  22. Surestimé (beaucoup) !!
  23. Difficile de donner un chiffre précis. Il me semble que le raoyon d'action opérationnel des avions de chasse est souvent sur-estimé car trop calqué sur les données des constructeurs. Dans mes propres simulations, j'ai pris pour habitude de définir les rayons d'action de combat (c'est à dire en intégrant le fait que les avions ne se déplacent pas en lignes droites, qu'ils doivent conserver un peu de kérozène "au cas où"...) des avions de chasse de la façon suivante (sans rav/vol) : - profil lo-lo-lo = 500 km - profil hi-hi-hi = 1 000 km - profil hi-lo-hi (le plus fréquent) = 750 km A celà, il convient d'ajouter la portée des armes tirées.
  24. De plus, 25km, c'est probablement à la portée de l'autodirecteur des missiles antinavires (celui de l'exocet ne doit pas en être trés éloigné). Même sans tête nuke, donc, une salve de missiles antinav de ce calibre peut être fatale pour le CDG (si tant est que le Varyag ait réussi à localiser notre PA).
  25. Des cas comme la Suisse ou le Canada contredisent cette affirmation... gratuite.
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