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Shorr kan

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Tout ce qui a été posté par Shorr kan

  1. Puisque il en est question, qu’est-ce qui s’oppose à l’utilisation à 100% et uniquement du TVC pour manœuvrer un appareil, qu’est-ce qui s’oppose à la suppression, peut-être pas des canards, mes des dérives et nombres de surfaces de control ? Avis aux experts.
  2. Pour moi c’est clair ! S’il n’a pas assiégé Rome, c’est qu’il n’en avait pas les moyens et basta ! Si il avait pu en finir rapidement il les aurait achevé, il comprenait bien ce qu’il avait en face et qu’il fallait frapper pour anéantir. Quant à convaincre les socii de se retourner contre les grands méchants romains, ça manouvre a bien failli réussir ! D’ailleurs on se concentre souvent sur l’aspect purement militaire du conflit, des grandes batailles, mais j’ai été bluffé en me penchant sur les aspects diplomatiques qui ont une envergure épique :O ; rien que l’épisode des luttes d’influence pour obtenir le soutient des cités grecs…de Grèce, valent le détour, et montre bien l’ampleur « mondial du conflit ». D’ailleurs, et contrairement aux champs de batailles, les romains se défendent bien, même si la solidité de leur système sociopolitique est à leur avantage et qu’ils jouent à domicile. De là, une question subsiste :S’attendait-il à une telle résistance, un tell acharnement des romains ? Il est probable qu’il s’attendait à une tache difficile (si il a fait ses devoirs, il sait qu’une campagne rapide est rarement la norme…), et même si il à du étudier en détail ses adversaires, se renseigner sur leurs mentalités, il a peut-être été obligé d’improviser un plan de rechange, même si c'est typiquement le genre de mec à avoir plusieurs plans de rechanges, surtout quant on connait les contraintes qui pesaient sur lui. Mais le brio avec lequel il arrive à retourner nombres d’anciens clients de Rome laisse à penser qu’il a étudié la carte ethnico-politique de la région. Je fais même une hypothèse, qui est peut paraitre téléphoné, mais c’est peut être dans ce sens qu’il faut comprendre la position de Pyrrhus dans son top 3 : il a tout fait pour ne pas se retrouver en slip comme son prédécesseur qui ne se reposait que sur ses victoires. Ou plus simplement, c’est l’expérience apporté par la pacification de l’Ibérie qu’il a mené en personne, qui à du le rendre expert en négociations avec des tribus autour d’un bon calumet de la paix. Justement, quand on y songe un moment, à tête reposé (ce qu’il ne pouvait pas se permettre il est vrai…), et qu’on voit son écrasante supériorité face aux légions, on ne peut que ce dire que son vaste mouvement de contournement était superflus, que les hommes perdues durant la traversé et ressources consacré à la logistique convertie en plus de moyens plus directements militaires, auraient été plus utile dans une confrontation direct, et qui sait, il les aurait eu ses deux armés… A moins que la marine romaine lui est bloqué le passage (ce n’est pas la Home Fleet, mais la capacité en la matière est à déterminer ?), voir sont propres camps, ne l’autorisant pas à passer par l’Afrique, protéger ses bases en Espagne, sont seul point fort fiable ou une quelconque obligation/contrainte ; il faut dire que malgré l’habilité du mouvement, c’est pas le genre du type à faire ça pour la beauté du geste : d’une manière ou d’une autre il y a été contraint, mais je n’arrive pas en discerner la raison exact ? Autre chose : ça nous permet aussi- peut être- d’entrevoir les méandres de son intellect. Il pense en grand, il aime les manouvres complexes. Cela l’aide grandement à compenser le différentiel de moyens avec ses ennemies, et leur tient la dragée haute : mais c’est peut être ce qu’il la perdu… Une succession de guerres victorieuses dans de multiple campagnes (qui au final auraient formé une grande guerre) dans des affrontements plus direct, sans forcement détruire Rome, auraient probablement, et irrémédiablement, dégradé la position de cette dernière . Comme quoi le bourinage peut avoir du bon :P Vraiment passionnant le bonhomme ! Je suis ce Génie ! Le Grand, le Vrai, l’Authentique. Et oui j’ai une sorte de préscience :oops: Plus sérieusement, je pense qu’il y a des régularités dans l’histoire, et surtout qu’une sorte de « principe de réalité » finit le plus souvent par reprendre ses droits ; même si il n’y a aucun déterminisme dans mon propos et qu’on insistera jamais assez sur l’originalité de tel ou tel culture/système/civilisation…par contre j’avoue être un peu « hégélien » avec ses grandes visions holistes…Nooooon, pas le fouet mon maitre !!!! :'( Ma position repose sur trois éléments : La premières est, comme je l’ai dit plus haut, la superstructure qui se met en place et qui s’impose pour gérer leurs nouveaux domaines en Afrique du nord et Ibérie, et par un phénomène de rétroaction –que je n’expliciterais pas…en plus c’est pas dans mes cordes :lol:- aurait finie par influer sur les habitudes de gouvernement, les mentalités. La « terres » change tout (dans sont acceptation large), c’est même ce qui fait que c’est le jour et la nuit entre Carthage et Rome, au-delà de la rivalité strictement géopolitique, il y quelque chose d’irréconciliable, un irrédentisme insurmontable. Mais, on constate que Rome la terrienne à une force de frappe plus pléthorique et durable dans le temps ; donc je ne pense pas que les marchands carthaginois soient devenus du jour au lendemain des gentlemans farmers, je pense par contre, que non seulement le « shoping » aurait influencé sur leurs manières d’être, de gouverner, mais que cela a été pensé ! L’hypothèse est hardie, mais il faut se souvenir que les carthaginois on accouché de longue ligné de stratège, c’est des intellectuels cosmopolites, très souple et adaptable, ils ont certainement du analyser leur premier échecs, analyser aussi leurs faiblesse et compris qu’ils leur manquaient une base plus solide ; dans se cadre on peu supposer qu’Hannibal et les siens ont du faire partie de ce courant de pensé/politique qui poussaient dans ce sens… Hannibal est à la fois un visionnaire dans la mesure où il cherche à précipiter un affrontement, et un extraordinaire technicien dans l’exécution de ses plans ; mais, il n’est certainement pas le seul à penser qu’il faut zigouiller les romains, même si ce parti n’était pas majoritaire, ou plus, probablement assez puissant. Aussi, toujours lié à la territorialité, les conflits d’intérêt entre anciennes aristocratie marchandent « libre échangiste », qui s’accommoderait bien d’une trêve (sans comprendre que les gars d’en face veulent leurs peau, ou alors vaguement, et sont donc prêt à « vendre la corde avec laquelle ils seront pendue » dixit Lénine), et la monté de l’aristocratie militaires, plus sensible à cet aspect, dont la famille Barca est l’archétype. Deuxième point qui me permet de conjecturer un changement de régime, c’est la magistrature exercé par Hannibal lui-même, en tant que suffète, ou il fait merveille en mettant fin à la corruption, rétablissant Carthage dans ses finance et la puissance de sa marine (tout ce que touche ce mec ce transforme en or :O). Le partie démocratique, dont il est le champion, se renforce et transforme l’agora carthaginoise, qui devient plus authentiquement grecque ; bref, quelque chose se joue, et il est raisonnable de penser qu’un cap majeur eu été franchi si « Hanni » (qui avait alors perdu ses balles :lol: :lol:) n’avait pas été exilé, ou plus précocement, vaincu les romains. Enfin, je reviens à la culture punique, qui comme je l’ai dit, est le fait d’esprit souple et adaptable : on ne monopolise pas le commerce à l’échelle continental par hasard. C’est vrai qu’il y a beaucoup de « si » dans mes écrits, des conjectures, et des extrapolations d’autant plus difficile à vérifier qu’il n’y à pas beaucoup de matériaux historiques, surtout avec l’habitude des romains à tout cramer des qu’ils ne peuvent pas blairer quelqu’un (Halala ! c’est Ritals, qu’ils sont susceptibles :-X) ; mais il y quelques bribes, des traces archéologiques, des écrits romain même, ou si on se sert de la connaissance qu’on a d’eux, ils nous permettent d’approcher, par petites touches, ce que pouvait être leurs adversaires carthaginois, et Hannibal surtout, le milieu dans lequel il a baigné, et faire quelques suppositions ; et la mienne est que Carthage ne serait pas resté indifférente au conséquence de cette guerre, qui l’aurait fait muté d’une façon ou d’une autre (au-delà c’est de la pure spéculation), comme Rome; d’autant plus, qu’elle et sont époque étaient gros de bouleversement. Le Génie a parlé, fermez le banc :lol: ;)
  3. Euh, le pétrole c’est de l’autre coté, en Tripolitaine, et là, j’ai des doutes quant à la capacité logistique de l’armée égyptienne à se projeter à plus de 2000 km de ses bases.
  4. C'est le syndrome « mais que fait la police » pour refermer ses volets des qu’un truc ce produit en bas de l’immeuble… Atavisme bassement humain
  5. Disons que je pense qu’en propre il n’en avait pas les moyens, mais que les politiciens de Carthage en ayant quelque chose de plus concret sous la dent, et avec la proximité du théâtre, aurait fourni sont soutient, qui serait resté en deçà des moyens romains, mais le différentiel n’étant pas si dramatique, Hannibal ayant montré que « rien, c’est plus que suffisant » pour castagner du romain… Une fois établi en Sicile, son opération d’isolement aurait été plus crédible pour ses alliés hésitant dans la péninsule à se retourner contre Rome, car pouvant compter sur des appuis plus proche, donc avec des garanties plus tangible. Le point noir reste la marine romaine qui demanderait un investissement massif, ou au minimum la prise de ses bases. Et une attaque de revers aurait été plus problématique pour les romains, avec la possibilité d’une contre attaque précoce tout en menaçant le cœur de la « botte » ; ce que seul permet la position central de la Sicile en méditerrané (mais vu la précision des cartes de l’époque il est possible que ça leur a échappé :lol:). A y réfléchir, c’est à ce demander pourquoi il c’est cassé les bonbons à faire le tour au lieu de leur foncer dans le lard vu ce qu’il avait en face … On est d’accord, Carthage ne se serait pas substitué à Rome, mais sa position aurait été bien affirmée, et avec personne d’assez puissant pour le contester de son coté de la méditerrané pour un bout de temps. Même les cités très mécontentes de l’emprise punique, n’auraient pas pu se soulever contre leurs oppresseur sans un soutient extérieur…suffit de voir l’accueil donné au romain, pourtant pas connue pour faire dans le social :lol:. Et en parlant de punique, je pense que la culture phénicienne, qui même après la domination romaine, a continué à être vivace et persistante (par exemple Septime Severe et Caracalla sont très « Phénicien » dans le genre), aurait encore plus marqué la région. Quand à l’éventualité d’une réforme, socialement, politiquement, économiquement, il y avait en germe de nombreux changement, notamment après la défaite de la 1er guerre punique qui avait mené à une orientation plus terrienne des autorités à la fois par défaut et ne seraient-ce que par volonté de s’autosuffire pour ne pas se laisser étrangler par la désormais puissante marine romaine. Et la compensations des pertes qu’a induit à rechercher cette même guerre a donné des territoires a pacifier et administrer, et dans la mesure ou « la fonction crée l’organe » je pense que cela aurait eu un impact profond dans leur mentalité de marchand habitué a ne jamais se préoccuper que plus d’un comptoir commercial. Et c’est une société de plus en plus Hellénisé aussi, ça travaille ses élites en profondeur, en particulier sa démocratie (entendue dans sa forme antique). Hannibal en est un remarquable prototype, n’a-t-il pas été élevé à la dignité de « souverain grec » ! Pour moi il est difficile d’imaginer, qu’à la fois la victoire, ses gains, mais aussi les obligations induites, le bouleversement culturel et social, et surtout l’action de stratèges du calibre d’Hannibal et des Barcas, et comme semble en donner souvent Carthage, n’est pas débouché sur un changement de statut et de fonctionnement de sont empire. Rome à l’issue de cette guerre a pratiquement forgé dans cette guerre l’outil de ses futures conquêtes, testé ses limites,…etc. Avec Carthage, le changement aurait été d’une autre nature, avec une définition de la citoyenneté plus étriqué, plus aristocratique probablement, mais laissant une marque de même envergure dans l’histoire universel.
  6. Tout ce qu’il veut C’est pas du pétrole qu’il propose en échange, mais du p’tit lait, tellement la teneur en souffre de son produit est faible. Un vrai régal pour les raffineries… Et au surplus un pied en méditerrané.
  7. Je ne suis pas expert, mais on peut raisonnablement penser que si ses dimensions sont réduite, il est moins repérable ou le sera plus tard. D’autant plus que les drones actuelles vienne après le saut techno des furtifs et sont donc optimisé pour, et si ils se cantonne à de l’observation sans porter d’armes/nacelles/réservoirs leurs configurations lisse doit aider Mais l’intérêt principal d’un drone hors sa discrétion, la rapidité de sa disponibilité, et sa persistance sur zone, c’est sont coup réduit aussi bien financier qu’humain en cas de perte, un pion sacrifiable quoi.
  8. A ce moment Carthage se tourne de plus en plus vers les terres au détriments des numides, et certaines élites poussent dans cette direction dont les Barcas (après tout, l’un des plus ancien document traitant d’agronomie a été écrit par un général carthaginois), sans parler de l’Ibérie, certainement pour ce donner plus de profondeur stratégique et une masse critique plus conséquente. Plus largement, on peut penser que Carthage, sans abandonner sa vocation commerciale (qui se serait encore renforcé avec l’accaparement des parts de marchés romaines imposés par traités) aurait eu un encrage plus terrestre, et les liens avec les cités clientes renforcés/durcies ; d’ailleurs, je serais étonné qu’Hannibal n’est pas eu une vision géopolitique dans ce sens, des projets d’avenir, ou sa cité devenait un Empire puissant et péren. De toutes façon la mutation était inévitable, qu’imposait la monté en puissance, et déjà amplement entamé. Pour la Sicile, je pense que ça devait être dans ses cordes quand on connaît son génie manoeuvrier (on parle souvent de ses réussites militaires, mais on passent trop souvent à coté de sont talent diplomatique presque aussi brillant…) ; d’ailleurs, je me demanderais toujours, après son échec devant Rome, pourquoi il n’a pas retraité vers la Sicile, profitant de la mise hors circuit de ses ennemies ! Je suppose qu’il l’a envisagé, mais lui a préféré l’encerclement diplomatico-stratégique à l’aide d’une coalition anti-romaine. Le choix ce défend, et il à bien faillie réussir son coup, mais très complexe à mettre en œuvre ; là ou la prise de la Sicile aurait été plus facile. D’accord ! Le coup aurait été moins décisif, mais aurait laissé ouvert la voie à un match retour pour plus tard, ce n’était pas du tout ou rien, et le retour dans le girons de la mer patrie d’une province qui devait manquer à beaucoup d’aristocrate serait allé dans le sens de sont partie à Carthage en offrant quelque chose de bien tangible comme gage (et clouer le bec à Manon et ses potes ! pour moi même si il ce battait une main dans le dos, ça a été une vrai faute de sa part de négliger de neutraliser sur le long terme, et pas que ponctuellement, ses adversaires politique, sans parler de l’avantage de priver Rome des ressources fiscales des bonnes terres à blé sicilienne (quoique hors circuit un temps pour cause de guerre, donc inutilisable pour soi) qui aurait donné à son camps un bel atout si il n’avait pas pu continuer lui-même la lutte ou lancer une nouvelle campagne, et enfin la possibilité de menacer Rome directement en enjambant facilement la rivière méditerranéenne (et maintenant qu’on sait que c’est possible…). A condition de neutraliser sa terrible marine, et donc, un effort pour renforce la sienne. Pour en revenir au waht-if de départ j’opte pour une domination sans partage en méditerrané occidental et une importante influence à l’Est par le truchement des cités phéniciennes sous la protection du « grand frère ».
  9. Shorr kan

    Identité nationale

    Faut pas se leurrer sur l’éventuelle profondeur d’un débat sur l’identité, notion importante, mais au combien fuyante et difficile à « identifier » Rien que le mode négatif dans laquelle il est lancé en dit long sur le but réelle de ces promoteurs : polariser la société. On peut le regretter. Un chef d’états –puisque c’est lui qui est derrière- devrait être un rassembleur, en même temps qu’il réaffirme les valeurs d’une nation, rien d’incompatible là dedans ; mais ça reste politiquement cohérent, brillant même ! Après tout, on ne tient pas les électeurs par leurs raisons, pas même par le cœur, mais bien par leurs tripes ! Dans cette perspective, NS, pour ne pas le nommer, fait tout comme il faut et suit le manuel. On doit reconnaître qu’il y quelque chose de « Napoléonien » dans cette homme ; mais cette habilité ne semble servir aucun mobile. C’est en tout cas comme ça que je le sens… De la politique bassement politicienne, la ruse du prédateur en action, mais il n’y a pas pour moi de raison de s’en offusquer : en a-t-il un jour été autrement. Rien de neuf sous les tropiques, triste tropiques…
  10. Qu’est-ce que tu est mal élevé ! :-X :-\ La bien séance exige de ne pas trop insister si on ne te répond pas :lol: ;) Pour ce qui est de savoir pourquoi Don Camerone s’agite lui aussi : Ou bien il soufre du même trouble que Sarkozy, c’est contagieux… Ou plus probablement, c’est inhérent au statut de la France et de la GB, qui reste les deux seules puissances d’Europe occidental à avoir une ambition - donc des obligations qui vont avec - mondial. Malgré leur maigre moyen… Et en effet, comme je l’ai dit plus haut –péché d’orgueil…- ce serait inédit depuis Suez et peut être le début de quelque chose… Mais ce serait cocasse qu’un atlantiste et une quasi-colonie américaine impulsent ce qui serait le premier coup de pelle qui enterrera l’alliance atlantique. :oops: « La vie est un drame, mais c’est l’ironie qui vous achève » dixit, un inconnu…
  11. Le tour de monde en 80 jours quoi :P Ça me semble très grave, et je ne sais pas vous, c’est peut être trop tôt pour en tirer des conclusions, mais pour moi ça annonce très certainement la fin du nucléaire comme alternative aux fossiles. On ne coupera pas du jour au lendemain les centrales actuelles, mais adieu aux constructions de nouvelle. En même temps, quand on assiste à ce genre de catastrophe, on se dit que ce n’est peut être pas un mal…
  12. Pfff. T'est vraiment à la masse Kiriyama ! :P C’est des zombies cannibales trafiqués par un savant fou nazi rescapé. C’est le seul moyen d’avoir une garde fiable, même si le tire sur cible n’est visiblement pas une de leur qualité. T’a pas vu le film ? :O Il se fait tard et je débloque grave…je croie que je vais me coucher… Il doit y avoir autant, voir plus, de mecs content de le voir dans le caca
  13. Les soviétiques avaient envisagé cette option, il me semble, avant d’être écarté par Gorby. Je ne pense pas que passer de 200 à 210 ou 20 % d’endettement du PIB, change grand-chose à l’état catastrophique de leurs finances ; en plus, on émet un grand emprunt national – avec une dette déjà très fortement détenu en interne-, on fait appelle au patriotisme des braves gens qui drainera leurs épargne, et c’est joué.
  14. Ces institutions fonctionnent encore en France ? :O :lol: De toute façon c’est le combat du bien contre le mal, ça passera comme une lettre à la poste aux chambres d’enregistrement…heu, je veux dire les deux vénérable chambres Le Dictateur Président propose…et dispose, le pouvoir législatif paraphe le document…
  15. Mais les deux mon capitaine ! Avec ce genre de personnalité à la limite du dysfonctionnelle, c’est presque inévitable : impulsivité mal contenu et cynisme manœuvrier doivent se fondre en un chez lui. Quant à connaitre les méandres que ça prend dans son esprit, c’est une autre histoire O0…
  16. La bonne question serait : avec quelle taux de disponibilité et quelle efficacité des servants/personnels? Dans l’ensemble, s’il est bien en train de ce produire ce que je pensais, c’est probablement finis pour la résistance qui va finir par se faire ratatiner tôt ou tard si une intervention étrangère ne viens pas à leur secours, que se soit directement avec les occidentaux ou les égyptiens/coalition arabe-magrébine, ou moins directement, en leur livrant des armes, zone d’exclusion aérienne voir d’appuis au sol… Hors ce genre de solution c’est râpé : il a démontré au siens qu’il pouvait tenir et maintenant que la reconquête est possible. Fallait le déboulonner au moment du flottement, au-delà-là c’était trop risqué, mais temps diplomatique, temps de l’administration quand tu nous tiens… Ça camarade c’est inhérent à la guerre –civil qui plus est…-, ce n’est qu’après dissipation de son brouillard et la fin de la partie qu’on comptera les forces en présence/ cadavres, ici bas, sans parler du le tri fait par Saint Pierre aux cieux –qui doivent être vachement embouteillé pour le coup-. En même temps, a-t-il besoin de contrôler autre chose que les champs pétrolier de l’ouest (ou plutôt ses potes des tribus alliés…) et l’axe routier qui longe la cote… Bah ! Si ils y avaient mis les moyens - mais je veux dire vraiment !- ils l’auraient dégommé. Ça doit pas être bien compliqué d’infiltrer un faux journaliste avec une arme, une bombe, ou mieux une balise/marqueur pour l’aviation. Ça fera surtout chier le tonton d’Amérique si les français ne lui demandent pas son avis. Après tout ce serait inédit depuis Suez et présagerais, à l’avenir, d’une politique européenne autonome de Washington, qui fait et à tout fait pour faire de l’UE un vaste supermarché. Je doute, donc, qu’ils laissent saloper la belle ouvrage. Autrement, c’est la porte ouverte à un Continent plus soucieux de ses intérêts et de s’occuper des affaires, au minimum de son environnement immédiat, pas forcement en opposition avec les States, mais assez divergent pour leur poser problème, et qui sait d’une longue et longue et belle aventure militaire à l’ancienne mode :lol:. Dans le fond, il est là l’enjeu de long, voir, de très long terme. Quant à savoir l’intérêt d’une intervention sur le court-moyen terme il me semble évident : au minimum éviter aux puissances de nord de la méditerranée de voir l’éruption de challengers étrangers à la région que ne manquera pas d’inviter Kadhafi, si il survit. Autre chose : Contrairement à Gbagbo par exemple, ce cas présente l’immense avantage que la cible est doublement à porté ! D’une part, physiquement, de par la proximité de l’éventuelle théâtre d’opération, d’autre par, il est grillé hors de sa clientèles immédiates, contrairement à son homologue ivoirien qui a une vrai popularité. Rappelez-vous, l’occasion fait le larron… Je suis d’ailleurs, très étonne qu’aucun pays riverain ou proche, d’un chef d’étas entouré d’hostile, ne lève le petit doigt, là ou une demi-division suffirait à le gicler…ça fait très « lapin » pris dans les phares d’une voiture… Qu’on se comprenne bien ! Je ne suis pas un adepte du « Bisounours Power » dans les relations international –même si je suis pas contre, si ça rentre dans le domaine du possible…-, mais il me semble qu’après c’être – la « communauté international »- mouillé de la sorte, sans compter les déclarations intempestive de NS, laisser ce mec en place est une grosse erreur de jugement tant il est une gène, et a les moyens de pourrir la vie de son prochain.
  17. Shorr kan

    Assaut sur un trésor libyen

    Le problème fondamental du scénario et que la force nécessaire en hommes et matérielles (surtout niveau logistique) est telle que ce serait suffisant pour dégager le vilain de sa capital, ou au minimum s’en prendre à lui directement… Le seul truc vraiment faisable pour moi c’est de démolir le tout et bastât ! Une frappe aérienne, des force au sol infiltré pour les guider et c’est joué… Une possibilité pourtant serait d’amener les forces « loyaliste » autres part : par exemple une attaques d’envergure des « rebelles » qui les amènerais à se déplacer en masse et laisser le trésor avec une garde plus légère ; y a certainement moyen de coordonner quelques chose. Une variante : obliger d’une façon ou d’une autre Kadhafi à déplacer le magot (ex : attaque des insurgés toujours, fuiter des rumeurs de frappes imminente) et intercepter le convoi.
  18. C’est tout le drame de ce pays : pour faire court, un sommet super capable, formé et tout et tout, très conscients des problèmes ; avec des régions qui font peu ou prou ce qu’elles veulent. J’ai été très étonné en prenant connaissance de cette configuration, alors que je pensais le pays hypercentralisé. Remarque, avec 1300 millions de p’tits bons hommes y’a pas vraiment d’autre alternative. Je pense que les chiffres sont a pondéré (vers le haut) par : . Les dépenses imputé dans d’autres budgets, d’autres secteurs/ministères, de différentes manips comptables/statistiques voir peut-être carrément dissimulé. . Les parités de pouvoirs d’achat différentes entre pays qui augmente la valeur réel du budget de la défense. . Les chinois n’ont pas, comme les américains, l’obligation de se projeter à l’autre bout d’un océan et donc des couts qu’induit cette capacité. Par la suite, des qu’ils en auront les moyens, ils chercheront certainement, comme le laisse présager leur doctrine de « collier de perle », à sécuriser leur approvisionnement en provenance du MO et d’Afrique en installant des bases (en attendant d’y mettre des navires :lol:) sur le parcours des flux. Là, l’augmentation des dépenses sera géométrique. J’irais même plus loin : Ils n’ont pas intérêt à trop la ramener ! S’il ils menacent trop ostensiblement de se servir de leurs réserves, les américains pourrons toujours les leurs confisquer ou frapper leur titre de nullités ; d’ailleurs, le Congrée se prépare à voter (si se n’est déjà fait) une loi qui enjoint aux chinois de réévaluer leur monnaie au nom de la réciprocité... Ils ont donc pas de si gros atouts que ça, ou en tout cas, ils doivent se montrer très discret (ou au contraire bluffer à mort…) ; et surtout éviter les manouvres trop brusque au risque de tout prendre sur la figure. Je suppose aussi, que c’est pour ça qu’ils rachètent à tour de bras des actifs hors des States, mais aussi des autres pays développés, presque tous alliés de Washington. C’est d’ailleurs, intéressant de voir l’étrange relation qui ce noue entre les deux coté de Pacific quant on sait que le partenaire économique principal des USA, et pour la première fois depuis la WWII, non un vassal, un concurrent même ! Comme je le dit souvent, ce XXI ème siècle promet d’être haut en couleur… :oops: Je ne te comprends pas ? Les villes nouvelles ont été voulues et planifiés par le pouvoir central. C’est donc bien un élément structurant du territoire, en accueillant/gérant l’exode rural et plus largement réorienter le flux de migrants à l’échelle d’une nation, sans compter sur l’effet provoqué par le rayonnement d’un chef lieu sur une région. Je suppose que dans « aménagement du territoire » on ne doit pas y mettre la même chose.
  19. Construire de nouvelles villes relève d’une stratégie d’aménagement du territoire, donc d’un acte éminemment politique et de la plus haute importance pour l’équilibre socio-économique d’un pays et des rapports de forces entre régions, et tout simplement le control des coins reculé/ sous peuplés du pays. Mais, je me demande si avec ce genre de projet on ne touche pas du doigt la limite du BTP pour résoudre tout les problèmes à coup d’investissement publique, en priant que le privé et la consommation interne prennent le relais ; c’est vrai que la Chine manque d’infrastructure, mais il ont sous les yeux le cas japonais – qu’ils ont attentivement étudié- ou tout a été bétonné du nord au sud… Faut pas sous estimer le traumatisme de Tienanmen :lol: ;) aussi bien dans la population qu’au sein même (et même surtout…) de la nomenklatura. C’est, pour ainsi dire, pratiquement « leur gosse » qui ce sont fait flingué… Et les grosses légumes du PC vivent dans la hantise d’un nouveau soulèvement de ce type. C’est l’alpha et l’oméga de toute leur entreprise de prévention, d’étouffement et de répression. Mais, pour moi, c’est vain : il arrivera bien un moment, ou plusieurs mouvements transversaux à la société, feront connexion jusqu'à atteindre la masse critique nécessaire à un renversement de situation. Reste à savoir comment ça ce propagera, ce qui sera récupéré de l’ancien régime, ci celui-ci survivra d’une façon ou d’une autre ; enfin, les thèmes qui se grefferont sur la contestation en plus des demandes social et de nouvelles liberté publique, comme d’éventuelles demandes autonomistes ou sécessionnistes…un beau bordel en perspective ! J’ai d’ailleurs entendu dire que des « laboratoires » du PC travaillaient assidument à élaborer les scénarii de crise les plus dingues :O. Je sais que c’est très dans la veine d’un partie unique qui emmaillote aussi bien sa société qu’il est paranoïaque ; ça me parait crédible, même si c’est un ouï-dire :-X… Des échos dans ce sens ? Des avis surtout sur la vraisemblance et/ou la futilité (après tout qui peut dire l’avenir…) de ce genre d’activités ? Je balance ça au risque d’apparaitre comme un troll – mineur certe et inoffensif…mais un troll quand même :-X!-, mais c’est bon de se faire plaisir parfois :oops:
  20. Shorr kan

    L'Empire Ottoman

    Faudrait peut être leur demander la recette ? :-X :lol: Main bon ! Avec la monté en puissance la Turquie, il arrivera bien un jour ou ils aideront la région à trouver la paix, et ce, de façon « bénévole ». D’une manière ou d’une autre ils vont mettre tout le monde d’accord… :oops: Pour en revenir aux Ottomans, Bien sur on ne tient pas ensemble un tel bordel sans être un minimum expert ès matraque. Quand aux statuts différents des provinces et de la différence de traitement qui en découle pour des raisons militaires, fiscales ou tout bêtement géographique ; c’est quand même l’essence d’un empire par opposition à une république qui implique une stricte égalité (au moins sur la forme, au mieux juridiquement…) Un peu HS, mais ça nous ramène au problème des Etats-Unis, « république impérial » par excellence, ou d’empire qui ne s’assume pas , et les contradiction qui tiraille cette nation. Pour ce qui est de la « surréaction » du centre contre la périphérie et de la désintégration qu’a amené l’émergence des nationalités ; il y le cas emblématique de la perte de la Finlande par l’empire russe en réaction à la « russisassions » de plus en plus envahissante et forcé pour les finlandais. C’est bien une époque qui ce terminait, un peu comme aujourd’hui dans le sud de la méditerranée (avec toutes les précautions d’usage : « comparaison n’est pas raison »)…
  21. Shorr kan

    L'Empire Ottoman

    L’Empire Ottoman c’est un peu « la continuité dans le changement » :lol: de l’Empires Byzantin, notamment ces aspects les plus « dure » (quand on parle de systèmes de valeurs de ces époques, faut relativiser grave, et surtout éviter les anachronismes …), en particulier ça lourde fiscalité (très lourde même…) et des pratiques comme celles des Janissaires, facsimilé des pratiques d’enlèvements d’enfants musulmans par Byzance pour en faire des unités de garde ; ou plus « exotique » comme le Harem… En général, face à un problème donné, il est intéressant de constater que de tout temps, les solutions sont souvent les mêmes, et répondes aux mêmes contraintes/exigences. Néanmoins, c’est vrai que cette empire, en tant que civilisation en général, et structure politique en particulier, est un cas d’école très intéressant, qui vaut le détour quant à sont fonctionnement et qu’on voit le résultat : réussir à pacifier une aire géographique colossal est quelque chose qui n’est pas possible sans un certain doigté. Notamment, le maniement avec discernement de la carotte et du bâton.
  22. Pour ce que j’en sais, ils sont plutôt bien intégré quand ils ne sont pas discriminé (ex Golfe et Liban), mais résigné quant à un éventuelle retour. Hors pour quelques milliers de personnes, âgées essentiellement, les responsables palestiniens savent bien qu’un retour intégral n’est pas, plus possible. Pour comprendre l’insistance d’Arafat sur le sort des réfugiés, il faut se rappeler des circonstances dans lesquelles ont été menées les dernières négociations de Camps David qui ont eu lieu dans la précipitation et dans des conditions, avec des procédés (par exemple Barak, hors négociation, ne voulais pas le rencontrer…), qui ont déstabilisé le leader palestinien, ce qui était inacceptable pour lui ; il a donc sortie ça de sont chapeau (avec le problème, par la suite, de la souveraineté de Jérusalem, et en particulier le statut des lieux saints ; alors qu’il était convenu de ne pas traiter du sujet), probablement dans l’idée de mettre en défaut le rouleau compresseur Clinton-Barak, eux même contraint par des nécessités électorales, les deux confronté à la fin de leurs mandats, et le second à l’impératif de se faire réélire. On peu penser qu’il aurait été sage qu’Arafat accepte ce qu’il lui était offert, un « tien tu là » vaux mieux qu’un « deux tu l’aura » (entre autre 98% de la Cisjordanie, si je ne dit pas de bêtise) ; en même temps on peut opposer le fait qu’il n’avait pas vocation à faire la campagne électoral des Travaillistes, qui s’y sont pris bien trop tard pour engager des pourparlers… C’est donc la faute à « pas de chance » et surtout une disharmonie des agendas. Et encore ! L’échec de CD ne signifie pas la fin : des contacts entre « chérpas » avaient eu lieux juste après, à Jérusalem même, ou les deux camps avait sensiblement réduit leurs prétentions et décidé de repousser les questions les plus sensibles pour ce concentrer sur le plus accessible. Mais, à suivie l’épisode de l’Esplanade des mosquées et le début de la seconde Intifada… On se rend difficilement compte à quelle point on n’est pas passé loin d’un « Happy end » pour la région qui aurait magnifiquement conclue l’ère Clinton.
  23. Ils n’ont jamais entendu parler du Wifi ou de la fibre optique
  24. Et ça ne va pas s’arranger vu le mal qu’ont les pilotes Biélorusso-libyens :lol: à viser juste les stocks d’armes… Ça me rappelle ce contrat signé il y a quelques années avec les chinois, et qui portait sur l’acquisition de dizaines ou centaines de milliers de Kalachnikovs toutes neuve Ça va être noël+pâque+nouvelle an chinois tout les jours pour les trafiquants en tout genre et multinationales du crime. :| :-[
  25. simonov.jpgL'ingénieur russe Mikhaïl Simonov, inventeur des avions de chasse Soukhoï qui ont rapporté des milliards de dollars à l'industrie russe, est décédé à Moscou à l'âge de 81 ans. Selon l'agence Interfax, il aurait succombé à une "maladie grave". C’est très « soviétique » cette façon de dire les choses. Comme quoi les vielles habitudes ont la vie dure… RIP au grand homme
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