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legionnaire

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Tout ce qui a été posté par legionnaire

  1. /www.cridem.org/C_Info.php?article=632045 et www.afriquinfos.com/articles/2012/7/20/mali-al-qaida-coordonne-differents-groupes-islamistes-nord-206792.asp
  2. Urgent:le régime Assad a déplacé son arsenal chimique www.cridem.org 16:54 La Syrie déplace son arsenal chimique, selon un général rebelle. Un général syrien qui a fait défection affirme que les forces du président Bachar al-Assad déplacent des armes chimiques à travers le pays. Quant à l'armée syrienne libre, elle contrôlerait un seul poste-frontière avec l'Irak, sur les trois existants, selon l'Irak. "Le régime a commencé à déplacer son arsenal chimique et à le redistribuer", a déclaré le général Moustafa Cheikh, citant des renseignements obtenus ces derniers jours par les rebelles. "Ils les déplacent des entrepôts vers de nouveaux sites", a-t-il déclaré à Reuters depuis le sud de la Turquie, près de la frontière syrienne. "Ils veulent brûler le pays. Le régime ne peut pas tomber sans commettre un bain de sang", selon lui. www.cridem.org/C_Info.php?article=632067
  3. Confirmé:Belmokhtar et Abou Zeid bien vivants,présents à Tombouctou
  4. *** nord-Mali:Al Qaida est entrain de coordonner les groupes terroristes,Belmokhatar et Abou Zaid toujours vivants www.cridem.org 10:00 Mali : Al-Qaida coordonne les différents groupes islamistes du nord. Les groupes islamistes armés qui occupent et se partagent le nord du Mali depuis fin mars agissent en parfaite coordination sous la houlette d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), maître du jeu dans la région, selon des informations concordantes recueillies par l'AFP. Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et Aqmi occupent et contrôlent les trois grandes villes et régions administratives du nord du Mali, Gao, Tombouctou et Kidal. Dans chacune d'elles, la branche maghrébine d'Al-Qaïda est omniprésente. "Aqmi a un côté caméléon, prend toujours la couleur locale pour ne pas brusquer, sous-traite avec des jihadistes locaux tout en restant très vigilante", explique un responsable de la sécurité de la région. "Tout est organisé chez eux. Le ravitaillement, la formation militaire, le renseignement, la formation idéologique", selon une autre source sécuritaire, qui ajoute: "Ne nous y trompons pas. Les centaines de jeunes qui sont recrutés au nom du Mujao ou d'Ansar Dine, sont en réalité des combattants d'Aqmi". La force d'Aqmi, issue du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) algérien, réside dans sa parfaite connaissance du nord du Mali où elle est implantée depuis au moins cinq ans, l'excellente formation de ses combattants et l'argent, provenant de rançons obtenues en échange de la libération des otages qu'elle enlève et de divers trafics dans les pays du Sahel. A Gao, principale ville du nord du Mali, c'est officiellement le Mujao, en majorité composé d'Arabes de la région et de Sarhaouis, qui a pignon sur rue. C'est avec la complicité des Sarhaouis que trois otages européens - deux Espagnols, dont une femme, et une Italienne - ont été enlevés en octobre 2011 à Tindouf (ouest de l'Algérie), fief du Polisario, mouvement qui combat pour l'indépendance du Sahara occidental (sud du Maroc), avec le soutien d'Alger. Les trois otages ont été libérés mercredi dans la région de Gao en échange d'une rançon de 15 millions d'euros et de la libération d'un islamiste qui était détenu en Mauritanie, selon le Mujao. "Le Borgne" à Gao. Un journaliste de l'AFP a vu à Gao des jihadistes algériens circuler dans de puissants véhicules et plusieurs témoins ont affirmé y avoir régulièrement vu un des principaux dirigeants d'Aqmi, Mokhtar Belmokhtar, un Algérien surnommé "Le Borgne". Gao "est désormais sa base", affirme l'un de ces témoins. "Il vit ici avec son fils Oussama, fruit d'un mariage avec une Malienne", dit-il. Fin juin, lors des combats entre le Mujao et la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) qui a totalement été évincée de la ville, "Le Borgne" était présent et ses hommes ont prêté main forte au Mujao, selon des sources concordantes. A Tombouctou, ville mythique du Sahara où les islamistes ont choqué le monde en détruisant la majorité des mausolées de saints musulmans vénérés par les populations locales, c'est un autre chef d'Aqmi, l'un des plus radicaux, qui règne en maître, même si, officiellement, la ville est tenue par Ansar Dine. Abou Zéïd a en partie pris ses quartiers dans le palais que s'était fait construire à Tombouctou l'ex-leader libyen Mouammar Kadhafi, tué en 2011. Son second, également membre de la direction d'Ansar Dine, est Oumar Ould Hamaha, Malien originaire de la région de Tombouctou. Il est l'une des pièces maîtresses du dispositif des islamistes dans le Nord où il coordonne les activités des différents groupes. Idéologue et chef de guerre, l'homme est craint. Il a récemment menacé d'attentats suicides les pays d'Afrique de l'Ouest qui envisagent d'intervenir dans le nord du Mali pour combattre les islamistes, ainsi que ceux qui soutiennent ces pays, dont la France. A Kidal, un ancien rebelle touareg, Iyad Ag Ghaly, fondateur et leader d'Ansar Dine, autre homme fort du nord du Mali, est le chef incontesté. Dès 2003, il avait commencé par jouer les médiateurs pour la libération d'otages occidentaux et il connaît parfaitement les islamistes dont il a fini par épouser la cause, en particulier vouloir imposer la charia (loi islamique) dans tout le Mali. Un de ses cousins, Abdelkrim Taleb, touareg de la tribu des Iforas comme lui, dirige une katiba (unité combattante) d'Aqmi dans la région de Kidal.
  5. Détails à www.cridem.org/C_Info.php?article=632029
  6. Urgent:montant de la rançon payée pour la libération des otages www.cridem.org 19-07-2012 22:45 Rançon de 15 millions d'euros payée pour libérer 3 otages européens au Mali Bamako - Une rançon de 15 millions d'euros a été payéee au groupe islamiste Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) pour la libération mercredi au Mali de trois otages européens qu'il détenait depuis octobre 2011, a affirmé jeudi à l'AFP un porte-parole de ce groupe. Nous avons eu 15 millions d'euros pour la libération des trois otages et nous avons également obtenu la libération d'un moujahidine (combattant) emprisonné par la Mauritanie, a déclaré Walid Abu Sarhaoui, porte-parole du Mujao qui a reconnu qu'il s'agissait d'une rançon considérable. Il a mis en garde les Occidentaux qui vont se hasarder dans les camps du Polisario (mouvement pour la libération du Sahara occidental soutenu par Alger) dans la région de Tindouf (ouest de l'Algérie) où ces trois Européens - deux Espagnols, dont une femme, et une Italienne - avaient été enlevés le 23 octobre. Nous avons des moujahidine qui les attendent sur place, a-t-il dit. La médiation burkinabè qui a oeuvré à la libération des otages a affirmé jeudi qu'ils avaient été relâchés après un accord portant sur la libération de deux islamistes détenus en Mauritanie, déjà élargis, et d'un autre détenu au Niger, sur le point de l'être, ce qu'a démenti le gouvernement nigérien. Début mai, le Mujao avait réclamé le versement de 30 millions d'euros en échange de la libération de deux des trois otages européens - les deux femmes - et la libération de prisonniers détenus en Mauritanie. Walid Abu Sarhaoui a en outre mis en garde Alger concernant les quatre otages algériens que le Mujao détient encore, enlevés le 5 avril à Gao (nord-est du Mali). Nous avons fixé des conditions, l'Algérie le sait, a-t-il affirmé. Le Mujao avait annoncé le 12 juillet avoir libéré trois des sept otages algériens kidnappés au consulat d'Algérie de Gao, ce qu'a confirmé dimanche le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci. Pour libérer les sept Algériens, le Mujao avait exigé en mai la libération de nos frères prisonniers en Algérie, plus une rançon de 15 millions d'euros. Le Mujao et un autre groupe islamiste armé, Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), alliés d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), occupent depuis fin mars tout le nord du Mali, soit plus de la moitié de ce vaste pays sahélien. Après la libération des trois otages européens mercredi, le Mujao et Aqmi retiennent encore treize otages dans le Sahel, dont six Français.
  7. Merci et c'est pour ça qu'ils faut que les alliés et partenaires bougent
  8. *** journal mauritanien:6000 combattants d'Aqmi massés à la frontière avec la Mauritanie Le journal arabophone mauritanien El Emel El Jedid,très lu dans le pays,révèle qu'Aqmi a massé 6000 combattants aux portes de la frontière mauritanienne,précisément en face de l'est mauritanien.Ici,les autorités prennent l'information au sérieux et ont déclenché le code rouge et multiplient les patrouilles dans la région et dans la capitale
  9. Urgent:portrait du chef du MUJAO www.fr.saharamedias.net Portrait : Hamada Ould Mohamed El Khaîry : Des « conquêtes » de Dar Naïm à la direction du mouvement de « l’Unicité et du Djihad » Lundi, 09 Janvier 2012 23:39 Analyse Dans un récent enregistrement de l’organisation « Unicité et Djihad », Hamada Ould Mohamed Khaïry apparaît arborant un turban et des lunettes noirs, et prononçant un discours sur un ton menaçant envers la France, promettant d’exporter le djihad (guerre sainte) vers les pays de l’Afrique de l’ouest. Comment le destin a pu amener ce jeune mauritanien à quitter les prêches des mosquées de Dar Naïm pour fonder un nouveau mouvement dénommé « Organisation pour l’unicité et le djihad » ? Hamada Ould Mohamed Lemine Ould Mohamed Khaïry alias “Abou Ghoumghoum”, quand il était encore l’un des mauritaniens les plus en vue dans l’organisation Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) est né en 1970, à Nouakchott, sans que l’on sache grand chose sur son adolescence. Ses sorties répétées dans les enregistrements d’AQMI laissent penser qu’il a reçu sa formation dans une mahadra classique (école coranique), et ce en se basant sur sa connaissance du Coran et sa culture islamique, en plus de celle d’une poésie arabe pure ainsi que de la poésie populaire qui lui a valu, de la part de ses amis dans l’Organisation, le surnom du « poète ». Comme certaines informations laissent supposer qu’il était actif au sein des mouvements de prêche (dawa) qui sillonnent les mosquées de la capitale Nouakchott et prononcent des « khoutba » (prêches) courts après chaque prière, insistant en cela sur la foi et ce qu’ils considèrent comme insuffisances chez les croyants. Sauf que la situation a dépassé le simple prêche chez certains jeunes pour atteindre une sorte de « provocation » de certains vieux cheikhs en ce au vu et au su de tout le monde. Peut être que la pire des actions menées par ces jeunes a été ce qui a été connu à l’époque sous l’appellation de la « gouzwa (conquête) de Dar Naïm au cours de laquelle Hamada Ould Ahmed Khaïry a conduit un groupe composé de trois jeunes qui ont envahi une mosquée et se sont mis à la « purifier » de ce qu’ils considèrent comme des « innovateurs », avant qu’ils ne soient arrêtés, eux-mêmes, par la police sous le chef d’accusation d’actes de violence au sein d’un lieu de prière et d’atteinte à la quiétude des maisons d’Allah ». Ce fut la première fois pour Ould Mohamed Khaïry d’être l’hôte des cellules des commissariats de police pour ses idées extrémistes, idées qui n’ont pas tardé à l’amener en prison, lors des vagues d’arrestations menées par le pouvoir de Taya dans les rangs de la mouvance islamique, en 2005. Ould Mohamed Khaïry était détenu dans la prison civile de Nouakchott, en compagnie de Sidi Ould Habott, Khadim Ould Semane, chef de l’organisation « Ansar el Islam les Mourabitoun » (les partisans de l’Islam), détenu actuellement en Mauritanie. Ce trio avait planifié, après la chute de Taya, pour la plus étrange des tentatives d’évasion que la Mauritanie n’ait jamais connue. Quand ils ont réussi, le 27 février 2006, à quitter la prison en revêtant des habits de femmes, introduits dans les geôles grâce, justement, à Hamada Ould Mohamed Khaïry. Ils ont réussi, en plein jour, à quitter la prison civile de Nouakchott, laissant circuler toutes les rumeurs sur la direction prise par Ould Mohamed Khaïry. Certaines informations laissent penser qu’il avait quitté la Mauritanie pour le Sénégal voisin, en compagnie de ces deux compères, où ils seraient restés quelque temps. Information qu’El Khadim a nié lui-même dans les procès-verbaux de police, indiquant que le contact entre lui et ses deux amis s’est interrompu de façon subite quand ils ont quitté la prison, mais confirmant en même temps qu’ils projetaient bien de voyager ensemble. Dans un jugement par contumace rendu en juin 2007, Ould Mohamed Khaïry sera cependant acquitté de toutes les accusations portées contre lui, et ce au cours du procès d’islamistes extrémistes ! Au même moment, des informations laissaient penser qu’il avait rejoint les rangs d’Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) dans le nord Mali, et plus précisément la « qatiba » (bataillon) des « enturbannés » dirigée par l’Algérien Khaled Abou el Abbass, alias « Belaouar ». Ould Mohamed Khaïry a commencé son travail au sein de la « qatiba des enturbannés » en la ravitaillant en armes, avant qu’il ne se spécialise dans la fabrication des explosifs et les bombes artisanales. Il était secondé dans ce travail par Tiyib Ould Sidi Ali et faisait d’une cachette dans la ville de « Jawo », nord Mali, un atelier de fabrication d’explosifs avant leur acheminement vers les camps d’AQMI. Ould Mohamed Khaïry fut arrêté par les services de sécurité maliens en compagnie de son ami Tiyib Ould Sidi Ali, et ce suite à une explosion dans l’atelier où ils travaillaient et où des quantités importantes d’armes et de munitions ont été trouvées, en plus de produits entrant dans la fabrication d’explosifs et des téléphones portables de marque Thuraya. Mais dans le cadre de l’accord ayant conduit à la libération de l’otage français Pierre Camatte, en février 2010, AQMI a réussi à forcer les autorités de Bamako à libérer Ould Mohamed Khaïry en compagnie d’autres éléments de l’Organisation après un procès que d’aucuns avaient jugé alors de mise en scène. La Mauritanie avait, à l’époque, exprimé sa désapprobation d’un tel acte faisant comprendre à Bamako que Ould Mohamed Khaïry constitue une menace pour sa sécurité et que le Mali venait de mettre un terme aux accords judiciaires qui liaient les deux pays. En août 2010, peu après sa libération Ould Mohamed Khaïry est apparu dans un enregistrement vidéo où il animait une conférence sous le thème « leur destin est de combattre » et au cours de laquelle l’Organisation s’est enorgueillie de l’avoir libéré dans « l’accord d’échange avec la France ». Il fut alors qualifié de plusieurs surnoms dont « le poète combattant » et « Hamada Echinguitt ». Ould Mohamed Khaïry avait le visage découvert lors de cette apparition, parlant en Hassaniya parce que, disait-il, c’est une langue comprise dans l’ensemble des pays du Grand Sahara, malgré son recours, à plusieurs reprises, à des mots et expressions pures, dénotant de sa culture authentiquement mauritanienne. Ould Mohamed Khaïry était clair dans la présentation de l’idéologie suivie par Al Qaeda, à tel point que l’on peut considérer que dans ses poèmes, il glorifie le terrorisme et la révolte contre les lois terrestres. Il défend avec force sa conviction qu’Allah a fait descendre l’islam avec « un livre qui oriente et un glaive qui protège » et que si ‘c’est une épée seule sans livre, elle devient mafia, tout comme un livre sans glaive est une religion de derviche qui souffre de manque d’immunité ». Tout comme ses poèmes mettent beaucoup l’accent sur la critique de « ceux qui reculent face au djihad » parmi les imams et les ulémas, considérant qu’Antar Ibn Cheddad « le brigand » « a une meilleure foi qu’eux », quand il refuse le déshonneur. Dans le même ordre d’idée, il s’en prend avec force à l’organisation « El Bir wa sava » (la soumission et la transparence) et regrette le temps qu’il a passé avec ses responsables, les accusant de « courir uniquement derrière le profit au lieu de chercher le martyre ». Ould Mohamed Khaïry s’est également rendu célèbre par l’hommage qu’il a rendu à certains tués de l’Organisation, dont Ahmed Ould Isselmou Ould Abdallahi Ould Oubeid, Mohamed Ould Magham alias « Abou Heïthem », Ahmed Bamba alias « Khadim », surnommé Abou Mohamed, et Limam Ould Aha alias « Oumeir » et surnommé Abou Esma. fr.saharamedias.net/index.php?option=com_content&view=article&id=2988%3Aportrait-hamada-ould-m
  10. Urgent:détail complet des tractations menées pour obtenir la libération des otages www.cridem.org 10:35 Exclusif : Sahara médias dévoile de nouveaux détails dans le marchandage pour la libération ... ...des otages occidentaux jusque-là détenus par le MUJAO. Dans ce qui est considéré comme un nouveau marchandage pour la libération d’otages occidentaux (deux Espagnols et une Italienne), jusque-là détenus par le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO), depuis le 23 octobre 2011, Sahara média est entré en possession d’informations d’importance qui indique qu’un avion espagnol spécial est arrivé à l’aéroport de Nouakchott, mercredi soir, pour prendre à son bord un prisonnier demandé par le MUJAO contre la libération des otages européens. Ce prisonnier, qui n’est autre que Mamine Ould Fqhir, 30 ans, Sahraouie originaire du camp de Rabouni, où se trouve la direction du Polisario, est considéré comme le cerveau de la prise des otages occidentaux dans ce camp, près de Tindouf, sud de l’Algérie. L’homme aurait alors été amené à Madrid et remis, aussitôt au MUJAO, selon ce que des sources sécuritaires ont déclaré à Sahara média. Des informations avaient circulé mardi comme quoi les autorités mauritaniennes avaient transféré Mamine Ould Fqhir de la prison centrale de Nouakchott, où se trouve un certain nombre de prisonniers salafistes mauritaniens et étrangers, vers une destination inconnue. Mamine Ould Fqhir avait été arrêté, avec un autre Sahraoui, à Nouadhibou, nord de la Mauritanie, le 05 décembre 2011, et ce plus d’un mois après l’enlèvement des 3 occidentaux (les deux Espagnols, Ainhoa Fernández Rincón et litalienne Rossella Urru). A l’époque, une source sécuritaire avait indiqué à Sahara média que les deux personnes arrêtées étaient entrées en Mauritanie en novembre 2011, venant des camps du Polisario, alors que les services de sécurités mauritaniens les avaient à l’œil les soupçonnant d’être derrière l’enlèvement. La source sécuritaire, qui a requis l’anonymat, a ajouté que les deux individus étaient entrés illégalement en Mauritanie, à travers un point de passage de la wilaya duTiris Zemmour et en prenant soin de changer de physionomie en rasant leurs barbes. Elle ajoute qu’ils sont arrivés à Nouadhibou deux semaines avant leur arrestation et avaient loué un appartement meublé dans le quartier de Baghdad, au robinet 4, quartier des « Numrouat » où ils ont été appréhendés. La source a indiqué qu’à l’époque, leurs comportements avaient paru suspects, ajoutant que les services de sécurité avaient relevé des échanges téléphoniques qu’ils avaient eu avec les enleveurs des trois otages. Les services de sécurité mauritaniens considèrent que les deux hommes étaient entrés en Mauritanie pour investir à Nouadhibou, après avoir accompli leur mission en remettant les otages aux éléments du MUJAO, qui leur a remis un montant important en échange de cet enlèvement. Exactement, comme l’avait fait Oumar Essahraoui pour le compte d’AQMI (Al Qaeda au Maghreb Islamique) en 2009. L’arrestation des ravisseurs avaient suscité les craintes de la famille de l’otage italienne Rossela Urru quant au sort de leur fille, pensant qu’elle peut être, avec les deux Espagnols, sujets à une vengeance de la part du MUJAO. Ce à quoi a fait allusion, à l’époque, le maire de la commune où habitait l’otage italienne, quand il déclarait dans un journal local : je ne sais pas si l’arrestation des terroristes est un point positif pour la vie de notre compatriote », ajoutant « nous saluons le fait mais attendrons jusqu’à la libération de Rossella ». Au même moment, certains observateurs pensaient que le cas Oumar Sahraoui, qui a donné la preuve que les groupes salafistes accordaient leur protection aux ravisseurs qui travaillent avec eux, ouvraient la voie aux négociations avec le nouveau mouvement, à la recherche de financement, pour la libération des trois otages, d’autant que les gouvernements espagnol et italien avaient un précédent en la matière avec AQMI. Les négociations entre le MUJAO et les deux gouvernements espagnol et italien ont alors débuté mais sont restées quasi secrètes avant que le mouvement annonce, début mai dernier, qu’il réclame 30 millions d’euros et la libération de prisonniers dans certains pays, dont la Mauritanie, contre l’élargissement de ces trois otages. La date du 18 juillet 2012 avait été retenue pour que le MUJAO annonce avoir libéré les trois otages, quand une source du mouvement avait déclaré à Sahara média que les trois occidentaux « sont maintenant en dehors des mains du MUJAO », se refusant tout de même à donner des détails sur l’échange. Mais précisant tout de même que cette libération est intervenue « après satisfaction de leur demande », précisant que « trois prisonniers avaient été libérés dans un pays musulman », sans citer le nom de ce pays ni donner le montant de la rançon, promettant que c’est une « dette » qui sera dévoilée incessamment. Dans le même ordre d’idée, un responsable du ministère espagnol des Affaires étrangères avait annoncé que « l’opération de libération des otages était sur le point de prendre fin » et qu’elle avait été retardée par « une tempête de sable », ajoutant que Madrid avait envoyé un avion pour « ramener les deux otages espagnols ». De son côté, le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Garcia‑Margallo avait déclaré que les otages se trouvaient « dans une situation excellente », précisant qu’ils vont être acheminés vers Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, et qu’un avion spécial a été pris pour cela. Il a pourtant refusé de donner des détails sur l’opération qui a permis la libération des trois otages, déclarant que le gouvernement espagnol « a fait, dans ces circonstances, ce qu’il fallait ». Le gouvernement italien a, de son côté, refusé de donner des détails sur le marchandage, le ministre italien des Affaires étrangères, Julio Torsi, se suffisant à dire que la libération de Rossela « est une excellente nouvelle », et précisant que le président italien avait suivi lui-même, avec quelques membres du gouvernement, les évolutions du dossier de Rossela Urru. www.cridem.org/C_Info.php?article=631989 et fr.saharamedias.net/index.php?option=com_content&view=article&id=3396%3Aexclusif-sahara-medias-devoile-de-nouveaux-details-dans-le-marchandage-pour-la-liberation-des-otages-occidentaux-jusque-la-detenus-par-le-mujao&catid=1%3Aactu&Itemid=2&lang=fr
  11. Urgent:l'Armée Syrienne Libre contrôle la totalité de la frontière avec l'Irak www.cridem.org 18:22 ALERTE - Les rebelles syriens contrôlent la frontière avec l'Irak Bagdad (AFP) - Les rebelles syriens ont pris le controle jeudi de la totalité des postes-frontière avec l'Irak voisin, a annoncé à l'AFP le vice-ministre de l'Intérieur irakien. La totalité des postes-frontière entre l'Irak et la Syrie est désormais sous le contrôle de l'Armée syrienne libre, l'ASL, composée essentiellement de déserteurs et de civils armés, a déclaré Adnan al-Assadi. www.cridem.org/C_Info.php?article=632021
  12. La Russie néo-soviétique et son boy Annan ne peuvent plus rien pour leur allié Assad,il aurait même fui la capitale 08:58 Syrie : Bachar el-Assad aurait quitté Damas / Asma Al-Assad a-t-elle fui la Syrie ? Le président Bachar Al-Assad aurait quitté Damas pour Lattaquié, une ville côtière de Syrie, selon l'agence Reuters qui cite des sources de l'opposition. Le président Bachar el-Assad est à la cité côtière de Latakia, pilotant une réponse à l'assassinat d'au moins trois de ses principaux lieutenants, affirment des sources de l'opposition et un diplomate. Mais selon Ziad Nadjed, un spécialiste de la Syrie inerrogé par L'Express.fr, "si el-Assad quitte Damas, cela ne signifie pas qu'il se rend. C'est qu'il se replie pour mieux rassembler ses forces." Asma Al-Assad a-t-elle fui la Syrie ? Se trouve-t-elle en Russie ? Ou plutôt dans les villes littorales syriennes de Lattaquié et Tartus ? Suite à l'attentat qui a tué trois hauts responsables du gouvernement syrien mercredi 18 juillet, les rumeurs se sont propagées sur l'endroit où se trouverait la femme et les trois enfants du dirigeant syrien Bachar Al-Assad. Le correspondant de la BBC Frank Gardner a évoqué sur Twitter la rumeur selon laquelle la première dame se serait enfuie à Moscou. Une information qui n'a pas été confirmée. Mais selon le journal espagnol El Pais (lien en espagnol), la cachette de la famille Al-Assad se situerait plutôt dans les villes littorales de Lattaquié et Tartus, en Syrie. "La confirmation de cette information reste, pour le moment, impossible", nuance un journaliste syrien. C'est là que le clan a pour habitude de se rendre tous les étés et, précise le quotidien, la rumeur est d'autant plus forte qu'il s'agit du fief des alaouïtes, une communauté issue du chiisme à laquelle appartient la famille dirigeante syrienne. Le début de la défaite pour Bachar Al-Assad Selon El Pais, ce serait pour protéger sa famille que Bachar Al-Assad aurait décidé de la renvoyer de Damas. Surtout, ce serait le signe du début de la défaite, car "les rebelles vont l'interpréter comme un repliement". cridem.org/C_Info.php?article=631983
  13. Urgent:un chef d'Aqmi menace les pays voisins du Mali www.cridem.org 07:51 Mali - Un dirigeant islamiste du Nord menace plusieurs pays, dont la France Un des principaux dirigeants des groupes islamistes qui occupent le nord du Mali, Oumar Ould Hamaha, a menacé mercredi de représailles les pays qui envisagent d'intervenir dans cette région pour les combattre, ainsi que ceux qui soutiennent ces pays, dont la France. "Nous informons tout le monde que nous sommes prêts à affronter n'importe quelle armée. Nous prévenons d'avance que tous les Etats qui enverront des troupes auront droit à une riposte impitoyable", a déclaré Oumar Ould Hamaha à l'AFP. "Nous avons des centaines de fedayin (combattants) pour des opérations martyrs qui n'attendent que l'ordre" de commettre des attentats suicide, a poursuivi le numéro deux d'Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), un des groupes islamistes armés qui occupent totalement le Nord-Mali depuis fin mars. Ould Hamaha est également considéré comme un proche de Mokhtar Belmokhtar, un des chefs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), présent dans le nord du Mali. A propos de la France, il a estimé que ce pays "est incapable d'intervenir sur le terrain. Elle se contente d'utiliser d'autres pays". Il a en revanche salué la position de l'Algérie, réticente à intervenir militairement au Mali, ce qui est "une position de sagesse". "
  14. www.cridem.org/C_Info.php?article=631953 Précision importante sur le MUJAO:ce mouvement n'est pas une dissenssion-certainement une erreur de frappe- mais plutôt une émanation d'Aqmi,avec laquelle il continue il a instauré et maintient la terreur au nord-Mali et aux côtés de laquelle il continue à combattre
  15. Urgent:le Mujao libère les otages qu'il avait enlevé à Tindouf 12:45 Libération d’otages occidentaux qui avaient été enlevés dans les camps de Tindouf. Le Mouvement pour l’Unicité et le Jihad (MUJAO), présente au nord Mali, a libéré trois otages occidentaux qu’il avait enlevés, il y a dix mois, dans le camp Rabouni du Front Polisario, au sud de l’Algérie, selon les informations parvenues à Sahara média. La source qui a livré cette information n’a pas donné plus de détail sur les conditions de libération de ces otages (deux Espagnols et un Italien) sauf qu’ils sont maintenant « sortis des mains du MUJAO ». Le MUJAO qui avait annoncé sa dissension des rangs d’AQMI s’était fait connaître dans un enregistrement lors de la première opération d’enlèvement d’otages qu’il avait mené.
  16. *** Syrie:la chute d'Assad imminente selon des analystes israéliens www.cridem.org 16:09 Assad redéploie des troupes du Golan vers les zones de combat en Syrie Jérusalem - Le président syrien Bachar al-Assad a redéployé une partie de ses forces basées dans la région disputée du Golan vers Damas et d'autres zones de la Syrie touchées par des combats, a affirmé mardi le chef du renseignement militaire israélien, le général Aviv Kochavi. Assad a retiré beaucoup de ses forces du plateau du Golan (pour les redéployer) vers les zones de conflits dans le pays, a déclaré à des députés israéliens le général Kochavi, cité par un porte-parole du Parlement. Le président syrien n'a pas peur d'Israël en ce moment, il veut surtout augmenter ses forces autour de Damas, a-t-il affirmé, estimant très faible la probabilité que Bachar Al-Assad attaque Israël pour faire diversion. Depuis dimanche, des combats opposent pour la première fois dans la capitale syrienne des insurgés et les forces du régime syrien. L'Armée syrienne libre (ASL) a affirmé mardi à l'AFP que la bataille pour la libération de Damas avait commencé et ne prendrait fin qu'après la chute de la ville. Le général israélien a estimé que la situation en Syrie évoluait vers une irakisation alors que le pays se divise de plus en plus selon lui en secteurs contrôlés par différents groupes militaires ou tribaux et que des militants d'Al-Qaïda et du jihad mondial affluent vers la Syrie. Israël surveille attentivement l'éventualité que des armes de pointe et non conventionnelles parviennent à des groupes terroristes, a-t-il souligné. Le régime ne survivra pas à ce soulèvement, a estimé le général Kochavi, ajoutant que les alliés de Damas, le (parti chiite libanais) Hezbollah et l'Iran, se préparaient à la chute d'Assad. En juin, le chef d'état-major adjoint israélien, le général Yaïr Naveh, avait déclaré que la Syrie disposait du plus important arsenal d'armes chimiques du monde, soulignant le risque de leur dissémination. Israël est officiellement en état de guerre avec la Syrie. Malgré l'occupation et l'annexion par Israël d'une partie du Golan syrien, ce que la communauté internationale n'a jamais reconnu, les deux pays n'y ont pas connu d'affrontement notable depuis la fin de la guerre israélo-arabe d'octobre 1973. Dans la foulée du Printemps arabe, des violences avaient toutefois éclaté l'an dernier dans le Golan alors que l'armée israélienne avait ouvert le feu sur des réfugiés palestiniens et des manifestants syriens qui tentaient de franchir la ligne de cessez-le-feu. Selon la chef de l'ONU pour les droits de l'Homme, Navi Pillay, 30 à 40 manifestants ont alors trouvé la mort.
  17. Urgent:des terroristes fuyant la Mauritanie arrêtés au Sénégal www.cridem.org 17-07-2012 09:01 Des terroristes présumés arrêtés le long de la frontière mauritanienne . Les combattants d'AQMI tentent de tirer parti de l'instabilité régionale causée par le conflit malien pour développer l'étendue de leurs activités. Les services de sécurité sénégalais ont récemment déjoué la première tentative rapportée d'infiltration de la part de membres présumés d'al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Dix militants ont été arrêtés dans la journée du 5 juillet à Dana, une ville située à la frontière avec la Mauritanie. Cette opération survient moins d'un mois après les menaces proférées par al-Qaida de prendre pour cible le Sénégal, alors que le pays avait fait savoir qu'il pourrait envoyer une force militaire dans le nord du Mali. Parmi les personnes appréhendées se trouvent sept Mauritaniens, dont des étudiants en arabe et études religieuses inscrits dans des facultés sénégalaises. "Le groupe a été transféré vers la capitale, Dakar, par une unité des forces spéciales venue spécifiquement appuyer la sécurité dans la région lors de cette arrestation", a rapporté City Info le 6 juillet. Selon le quotidien du Sénégal, ces terroristes présumés avaient prévu d'entrer en Mauritanie. De plus, les forces de sécurité ont placé en détention dix imams et étudiants soupçonnés de planifier des attentats terroristes dans la ville nord-orientale de Matam, a rapporté, le 6 juillet, le site sénégalais Xamle.net. "Cet incident a semé la panique parmi les habitants de cette ville qui n'avaient jamais vécu d'évènement de cette sorte," raconte Belal Ould Sheikhna, un habitant de la municipalité, à Magharebia. "Les gens ici ont plutôt tendance à regarder les étudiants des écoles religieuses avec beaucoup de respect et de révérence". Le Sénégal avait été dans l'ensemble épargné par les menaces terroristes au cours des dix dernières années, contrairement à ses voisins du nord. Selon Yacoub Ould Bahdah, rédacteur de l'édition sénégalaise du journal mauritanien al-Akhbar, cette relative quiétude a pu s'expliquer par la "présence de l'Islam soufi et de la faible implantation des Frères musulmans". "De plus, le Sénégal n'a pas fait l'expérience de tensions politiques ou de régimes dictatoriaux qui mènent les jeunes à l'extrémisme et aux relations violentes", poursuit-il. Le fait qu'al-Qaida s'infiltre au Sénégal montre que "le terrorisme n'a plus de visée cachée", selon le journaliste. "On peut dire que le Sénégal a toujours évité l'option de la confrontation avec les groupes terroristes", conclut-il. "Son rôle s'est restreint à contrôler les mouvements des personnes recherchées sur son sol jusqu'à ce que ces dernières soient expulsées, comme cela a été le cas de Khadim Ould Semane et du groupe de jeunes qui a tué des touristes français en 2007. Concernant la participation possible d'une force militaire sénégalaise au nord du Mali, ce n'est là qu'un engagement politique". Le pays a commencé à mettre en oeuvre une série de mesures de précaution, en coordination avec les pays ouest-africains et la France. Dakar a accueilli le 6 juillet une réunion régionale des pays de l'Afrique de l'Ouest, qui avait pour objectif de déterminer les moyens de contrer les menaces terroristes pesant sur l'aviation civile. Les participants ont lancé à cette occasion le projet d’Appui à la sûreté de l’aviation civile en Afrique (ASACA) en coordination avec le ministère français des Affaires étrangères. "Les Etats ouest-africains ont esquissé un plan commun afin de contrer la menace terroriste croissante dans la région, en tant que phénomène frappant des cibles invisibles", aurait déclaré, selon Panapress, Aubin Sagna, directeur de bureau du ministre sénégalais des Infrastructures et des Transports. "La situation aujourd'hui en Afrique résulte de l'augmentation des groupes terroristes, qu'ils soient connus ou inconnus", a-t-il ajouté. "C'est également le résultat de la croissance de la haine et de l'intolérance. Et tout cela exige que les pays régionaux établissent un plan venant fermement contrer le terrorisme, et cela réclame également la coordination des efforts et le renforcement de l'efficacité du personnel chargé de protéger l'industrie de l'aviation". "De plus, il est nécessaire de partager des informations technologiques sur la sécurité aérienne dans le but de se conformer aux systèmes internationaux", a conclu Sagna.
  18. C'est les qataris qui ont financé Al Qaida en Irak et qui la financent en Afghanistan et au Pakistan et qui l'ont introduite au Sahel,ce pays est un fléau qu'il faut enfin penser à contenir et contenir
  19. Il faut suivre Al Jazeera pour mesurer le degré de fanatisme qatari
  20. Le Qatar se fait un devoir religieux de soutenir tous les mouvements extrémistes de la planète et est lui-même piloté par un clergé fanatique,dont le mufti est le jihadiste égyptien Youssouf Al Qardawi,célèbre pour son discours enflammé et son antisémitisme forcené
  21. *** nord-Mali:le MNLA dément la presse mais confirme que la porte reste ouverte à la communauté internationale16-07-201221:17 Mali : Le MNLA dément avoir renoncé à l’indépendance de l’Azawad Bamako (Xinhua) - Le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) dément avoir renoncé à l’ indépendance de l’Azawad contrairement à une information largement reprise par la presse nationale hier, dimanche 15 juillet 2012. Le démenti est contenu dans un communiqué qui date du 15 juillet, mais publié seulement ce matin sur le cite du mouvement. « Tout d’abord, nous apportons un démenti catégorique aux propos disant que le MNLA renonce à l’indépendance de l’Azawad. C’est une désinformation malveillante qui vise à nous discréditer. Nous n’avons demandé à personne de parler à notre nom ni à Bamako ni ailleurs. Nous poursuivons, contre vents et marées, la révolution pour la liberté, la dignité et la justice du peuple de l’AZAWAD dans toute sa diversité », indique le MNLA dans ce communiqué signé Moussa Ag Assarid, son porte-parole. « La philosophie du Mouvement est résolument fondée sur la démocratie, la liberté, la justice et la dignité humaine sur la base d’un système politique séparant nettement l’Etat et la religion que nous considérons comme une affaire privée », ajoute le communiqué. Toutefois, le MNLA assure la communauté internationale de sa « disponibilité à négocier pour le règlement définitif du conflit qui nous oppose au Mali depuis plus de cinquante ans ». Il s’ engage aussi à contribuer, « dès que notre légitimité est reconnue », à la lutte contre les narcos terroristes qui menacent toute la région saharo-sahélienne en tenant compte des préoccupations de la communauté internationale. www.cridem.org
  22. Non,il s'agit de soutien islamiste jihadiste,ce jihadisme qui décime le monde arabe
  23. *** nord-Mali:des spécialistes et experts de la région et des habitants confirment un soutien qatari aux terroristes www.cridem.org 15-07-201221:28 Selon des experts occidentaux, le Qatar finance les terroristes au Mali. Selon Sadou Diallo, maire de Gao au Mali, qui lançait un appel à l’aide à la France sur Rtl, c’est le Qatar qui aide les extrémistes religieux sévissant au nord du Mali, pays en passe de devenir l’Afghanistan de l’Afrique du Nord. «Le gouvernement français sait qui soutient les terroristes. Il y a le Qatar par exemple qui envoie soi-disant des aides, des vivres tous les jours sur les aéroports de Gao, Tombouctou etc», a ainsi déclaré M. Diallo. Selon le ministère français des Affaires étrangères, la population à Gao est prise en otage. Dans un contexte de guerre et de crise alimentaire ce sont désormais des mines anti-personnel qui auraient été installées tout autour de la cité par le Mouvement pour l’unicité et le Jihad en Afrique de l’ouest (Mujao), les Taibans du Mali, empêchant la population de se déplacer. La polémique sur le rôle tenu par l’émirat du Qatar dans cette montée en puissance des groupes islamistes radicaux a commencé en juin. Sur la base d’informations de la Direction du renseignement militaire français, le Canard Enchainé affirmait que l’émir du Qatar avait livré une aide financière aux mouvements armés qui ont pris le contrôle du nord du Mali. Parmi ces bénéficiaires, le Mujao qui retient en otage sept diplomates algériens depuis le 5 avril dernier. Selon les rapports des renseignements, le Qatar aurait surtout des visées sur les richesses des sous-sols du Sahel. C’est pour cette raison qu’il «subventionne» les mouvements djihadistes au Sahara, s’il ne les arme pas directement. Récemment, quatre membres de l’organisation humanitaire du Croissant rouge du Qatar arrivés à Gao ont déclaré à l’Afp: « Nous sommes venus à Gao (nord-est) pour évaluer les besoins des populations en matière de santé et de fourniture en eau et en électricité. Nous allons repartir très bientôt pour revenir avec le nécessaire». Ces humanitaires qataris seraient arrivés par voie terrestre en provenance du Niger et leur sécurité est assurée par le Mujao. «De la même façon que le Qatar a fourni des forces spéciales pour entraîner une opposition à Kadhafi, on pense qu’un certain nombre d’élément des forces spéciales qataries sont aujourd’hui dans le Nord Mali pour assurer l’entraînement des recrues qui occupent le terrain, surtout Ansar dine», affirme Roland Marchal, chercheur au Centre d'études et de recherches internationales de sciences-politiques à Paris (Ceri). Pour Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité à la Dgse française «le Qatar finance partout et généreusement tous les acteurs politico-militaires salafistes (c’est le cas du groupe Ansar Dine), dont la branche la plus enragée des Frères Musulmans, hostiles à la famille Saoud (et bien sûr au chiisme) mais aussi aux régimes ‘‘laïcs’’ et nationalistes arabes susceptibles de porter ombrage aux pétromonarchies».
  24. Peut-être 600 combattants,d'après des sources régionales
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