Les Britanniques sont cependant assez seuls dans le dossier. L'UE ne se mouillera pas pour Port-Stanley, et l'Amérique du Sud soutiendra, au moins en paroles, l'Argentine. S'il y a vraiment du pétrole sur zone, ça va aiguiser les appétits, et on va avoir des compagnies de pays tiers sur le coup : les Chinois par exemple. Après, on raille les forces armées argentines pour leur faiblesse. Mais n'oubliez pas que côté britannique, ce n'est pas fendard non plus ! Les Argentins jouent quasiment à domicile, envoyer de temps en temps un avion ou un patrouilleur ça reste faisable. A l'inverse, Londres n'a pas les moyens de déployer à l'année de gros moyens sur site, sauf à tailler ailleurs.