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Guerre des Malouines


hoummady

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Super Etendard, la surprise des malouines

Avant le Super Etendard, il y eut l'Etendard, produit par les usines Dassault au cours des années 1950. La marine nationale lui préféra sa version améliorée qui, de son prédécesseur, ne gardait quasiment que le nom, puisque 90 % de l'avion était de conception nouvelle. Les missions susceptibles d'être remplies par cet avion sont nombreuses : attaques en vol, raids de reconnaissance, supériorité aérienne etc ...

Est ce qu'en la matière , à partir du moment où on a décidé de ne pas commander autant de SuE que prévu et donc qu'on a maintenu les crouzes et le IV R, on n'a pas aussi squeezé un sous programme pour la supériorité aérienne comme valider les super 530 sur SuE ?

À remarquer qu'ils n'ont pas été plus validés sur le crouze  :-X

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on ne fait pas d'un petit âne courageux un étalon de course ...

Avec le 8K50 et son petit nez le SUE n'offrait que ce qu'il pouvait, on s'était peut-être un peu laissé aller à l'époque à imaginer que cet avion remplacerait le beurre et la margarine alors qu'au départ c'est un appareil d'appui

Un SUE avec super 530 çà ne vole pas très vite ni très haut ...le super 530 c'est 275 kilos sans le pylône ... c'est plus qu'une bombe de 500 livres

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Juste une question, comment se fait il que les Sea Harrier n'aient jamais intercepté les avions de ravitaillement argentins vers Port Stanley (sauf une fois je crois)? Pas détéctés à temps? Mission non prioritaire par rapport à la défense de la flotte? La défense Sol Air argentine? Dans ce cas, ils auraient pu les avoir au retour non?

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J'en profite, j'ai lu dans l'article de DSI de ce mois ci sur la guerre des Malouines que les Mirages III argentins n'avaient que leurs canons en combat aérien. Ce qui a donné un sérieux avantage aux Harrier équipés de Sidewinder. Ils n'avaient pas de missiles du tout ?

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Juste une question, comment se fait il que les Sea Harrier n'aient jamais intercepté les avions de ravitaillement argentins vers Port Stanley (sauf une fois je crois)? Pas détéctés à temps? Mission non prioritaire par rapport à la défense de la flotte? La défense Sol Air argentine? Dans ce cas, ils auraient pu les avoir au retour non?

selon moi les C-130 de ravitaillement étaient hors de portée des Sea Harrier. Pour ce qui est des Mirage III, ils n'avaient pas des MATRA 530 Fox One aussi ? Si oui, c'est quand même pas suffisant pour donner l'avantage (1 missile capricieux par avion... avec portée pas top).

c'est clair que c'est le Fox 2 all aspects qui a donné l'avantage aux Sea Harrier comme le dit Pascal

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Et en plus pour affronter les KC130, il faudra aussi s'attendre à faire face aux mirage III ou aux dagger qui à cette distance du continent pourraient se permettre de gaspiller quelques minutes en combat aérien.

Si les harrier ont eu tant de succés face aux mirage, c'est en grande partie à cause du manque d'autonomie, mais plusieurs centaines de km plus proche des côtes, ça pourrait changer la donne.

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Les Mirages III arrivaient à haute altitude au-dessus de la zone (croisière économique) avec très peu d'autonomie. Ils étaient bien incapables avec leur radar de l'époque d'engager des cibles plus basses avec un missile à guidage radar (pas de radar doppler performant) qui était donc inutile. Les Harriers se gardaient bien de monter à haute altitude. Les engagements du premier jour se sont donc fait avec des Mirage III descendant à une altitude plus basse, optimale pour l'utilisation des Harriers. Cette descente devait "pomper" le très peu d'autonomie disponible car il fallait ensuite remonter pour le vol retour. Il est probable qu'ils ne pouvaient pas non plus se permettre de larguer les réservoirs largables si ils en avaient. Les argentins n'ont fait l'erreur de descendre que le premier jour. Les Harriers qui s'étaient entraînés contre des Mirages III français connaissaient bien leurs faiblesses vis à vis de ceux-ci et les erreurs à ne pas commettre. En faisant des virages très serrées, il est possible d'empêcher l'assaillant de réaliser sa passe de tir en particulier pour les missiles infra-rouge nécessitant un tir dans le secteur arrière. Ensuite, avec un AIM-9L, il est possible de faire un tir sur le mirage qui cherche à remonter en altitude. Avec son aile delta, le Mirage freine beaucoup et il perd rapidement son avantage de vitesse si il accepte un combat tournoyant.

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Ce furent les Mirage 5F de la 13 qui servirent de plastron aux Harriers au large de la Bretagne; les premiers résultats furent préoccupants pour les Harriers face à des chasseurs plus rapides et dégagés des contraintes d'autonomie.

Les brits ont vite trouvé la solution et comme l'écrit Deres les argentins se sont fait prendre une fois ce qui permit à Paul Barton et Steve Thomas de remporter les deux premières victoires du conflit.

A noter d'ailleurs que (si ma mémoire est bonne) l'un des IIIEA fut abattu par la DCA de Puerto Argentino alors que touché par un des deux AIM 9L il essayait de s'y poser ...

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  • 10 months later...
  • 1 month later...
http://www.publicsenat.fr/emissions/documentaire/malouines,-les-laisses-pour-guerre/137707  
Malouines, les laissés pour guerre

Rediffusion le :

jeudi 15/08/2013 à 15h00
vendredi 23/08/2013 à 18h20
Durée : 52 minutes

 

 

http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/fiche/lcp/documentaire/120760344/malouines-les-laisses-pour-guerre.html

 
RÉSUMÉ

En 1982, la guerre des Malouines opposa la Grande-Bretagne de Margaret Tatcher à la dictature argentine du général Galtieri. En à peine deux mois sur une île perdue au milieu de l'Atlantique, ce conflit a fait des centaines de victimes parmi les soldats des deux camps. Le retour à la vie civile ne fut pas sans mal et encore de nos jours, des vétérans britanniques et argentins se donnent la mort chaque année. De part et d'autre, le syndrome post-traumatique du combattant a été négligé par les gouvernements. Ce documentaire revient sur ce conflit oublié et sur ses enjeux, et donne la parole aux vétérans délaissés par leurs armées respectives.

 

 

Modifié par Wallaby
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  • 2 weeks later...
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  • 2 years later...

Le roman de Rodolfo Fogwill, Los Pichiciegos, vient d'être traduit en français sous le titre « Sous Terre ».

http://escalier-des-aveugles.blogspot.fr/2011/04/la-guerre-dans-un-terrier.html (avril 2011)

Qui sont les Pichiciegos ? Des soldats qui, las d’une guerre absurde, perdue d’avance, décident de déserter et de se planquer dans l’abri souterrain qu’ils se sont eux-mêmes construis.

Cette ambiguïté entre description très proche des faits (les effrayants avions Harrier des anglais, les conditions géographiques de l'ile, etc...) et invention pure (il n'y a pas eu de Pichis aux Malouines) devient un outil idéal pour l'intention satirique, critique, provocatrice de l'auteur.

Modifié par Wallaby
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il y a une heure, aigle a dit :

Merci Wallaby

 

j ajoute une question : pourquoi les Argentins ont ils engagé des appelés ? Et pourquoi pas des soldats d'élite ? 

https://en.wikipedia.org/wiki/Argentine_ground_forces_in_the_Falklands_War

 

il y a une heure, Ciders a dit :

L'armée argentine était une armée de conscrits. Mais il y avait aussi sur place des troupes de marine, qui se sont bien battues.

Effectivement ,mais il y avait aussi des bataillons de l'armée qui ont bien combattu .

 

Sinon des infos sur les marines argentins :

https://en.wikipedia.org/wiki/5th_Naval_Infantry_Battalion_(Argentina)

 

Citation

Guerre des Malouines et de la bataille du mont Tumbledown [ modifier ]

Commandée par le commandant de Marine Carlos H. Robacio, BIM-5 a pris part à la défense de Mont Tumbledown en 1982 Guerre des Malouines . Bien que constitué par lesconscrits, le noyau de l'unité d'officiers hautement professionnels sous - officiers et officiers, ainsi que d'un système de formation et de logistique bien développé, rendu BIM-5 une unité robuste qui se sont bien battus dans la défense au cours de la bataille du mont Tumbledown . Différents argentins autorités ont décoré à plusieurs reprises les couleurs de BIM-5, avec les Français attribution Marine Admiral Robacio la française Légion d'Honneur et le gouvernement argentin lui attribuant la Nation argentine à la Vaillance en Médaille combat .

Mont Tumbledown, le mont William, et Sapeur Colline se situent à l' ouest de Stanley . Ils ont été détenus par BIM-5, un armé, le temps froid formé et équipé, bataillon marine.Lors des préparatifs de mouvement aux Malouines, le bataillon Marine a été amené à pleine puissance d'une brigade légère avec une compagnie de la compagnie du génie amphibie et une batterie du 1er Régiment d' artillerie de Marine. Les 5e Marines ont été encore renforcé par trois Tigercat SAM batteries du 1er Régiment Marine Anti-Aircraft, déployée le long de Stanley port, et une société du Siège Bataillon mitrailleuse lourde.

Les BIM-5 positions autour de Port Stanley ont été bombardés, à la fois de la mer par des tirs de la marine et de l'air par les Aviation royale Harriers . A 16h30, le 7 Juin 1982, un britannique Harrier positions de bombardement détenues par le 5e Bataillon Marine a été frappé par le feu concentré de M Company (sous Marine Sous-lieutenant Rodolfo Cionchi) sur Sapeur Colline .

12 Juin avéré être le plus difficile journée pour les argentins Marines. A partir du moment du 2e Bataillon Scots Guards avait finalement été déplacé à Goat Ridge par hélicoptère, 1500 tours d'artillerie, est descendu sur les Marines, en prévision de l'assaut d' infanterie à venir. Dans le même temps 3 PARA sur le mont Longdon est venu sous un feu nourri et précis qui a tué quatre Paras et un artisan REME et blessé sept parachutistes dans le bombardement qui a été dirigé par le sous-lieutenant Marcelo de Marco du 5e Marines sur Tumbledown Mountain.

Le 13 Juin une action de diversion a été menée au nord -est , afin de piller le carburant décharge Cortley Ridge. B Batterie du 101e Anti-Aircraft Artillery Group (B / GADA101) a été désigné pour défendre la péninsule Fresinet, une longue, étroite bande de terre allant de Moody Brook pour former le bras nord de Stanley, lorsque leurs troupes ont été attaquées à 11 h l'incursion a été effectuée par le SAS et SBS en quatre raiders rigides. Ils ont été engagés par le peloton du lieutenant Héctor Gazzolo des Marines [1] avec desarmes automatiques, résultant en trois Britanniques blessés et la perte de tous les engins de débarquement impliqués comme John Parker révèle dans SBS: The Inside Story of The Special Boat Service (Hachette 2013 ):

Une équipe de six hommes de 3 SBS ... avec D et G Squadrons, SAS, avec le but de créer une attaque de diversion de la mer ... devaient traverser la rivière Murrell par quatre power-bateaux rapides ... La raiders avaient pas d'autre choix que de se retirer. Un des CRR a été gravement endommagé et boitait retour sur pratiquement aucun pouvoir. Le barreur son piloté par le navire-hôpital pour un bouclier et le bateau est mort sur eux, tout comme ils ont atteint le bord de l'eau. Un autre Sanks juste au large, mais assez proche pour l'équipe de nager à la sécurité ... Un caporal SBS et deux soldats ont été blessés SAS ... Les CRR ont été criblé de trous et a dû être détruit.

Plus au sud, l' action a été lancée peu après 20 heures, le 2e Reconnaissance 'Scots Guards Platoon effectué une attaque de diversion, avançant avec quatre Blues and RoyalsScorpion chars légers. Comme les chars britanniques sont entrés en gamme de la 5e O Coy du Bataillon Marine (O / BIM5), l' un des réservoirs Scorpion a été frappé d'incapacité par un booby-trap. Dans un échange de tirs qui a duré deux heures, trois Marines ont été tués (Marine Conscrits Omar Iniguez, Omar Patrone, et Juan Rava). Marine First Class José Luis privée Fazio a lutté contre la force de diversion britannique:

À environ 2230 heures notre bataillon avait sa première bataille des armes à feu intense avec les entreprises britanniques qui sont apparus de nulle part. J'ai entendu Private Roberto Barboza crier «Les Anglais sont là! ... Je me souviens de notre officier des opérations a demandé l'artillerie pour aider à 23.00 avec des obus. Le combat rapproché était telle que l'artillerie Argentine n'a pas pu déposer des obus sur les attaquants britanniques. Je tournais, faire mon travail. Je ne sais pas si je tué personne. Nous avons juste tiré nos fusils, voilà tout. Le contact a été maintenu pendant plus d'une heure avant quartier général du bataillon commandé Obra Company pour retomber ... Ce que nous ne savions pas à l'époque était que au moins un marin blessé a fait son chemin à la position ingénieur de peloton amphibie et a lancé une grenade en blessant un major . Simultanément, le Major a ouvert le feu, le tuant. (Nick van der Bijl, Victoire dans les Malouines, p.199, Pen and Sword, 2007)

Les gardes ont décidé de se replier vers le sud, mais est entré un champ de mines et ont été pris dans un feu croisé du peloton de mortiers dans le sergent Elbio Cune sur le mont William et l'artillerie des Marines. BIM-5 coordonné le soutien de feu de Bravo Batterie du 1er Marine Field Artillery Battalion (B / BIAC), ainsi que des canons de la 3ème de l'armée argentine et 4e (Airborne) Groupes d'artillerie (GA3 / GAAerot.4). Les gardes soutenus douze blessés. Vers 01h30 le 14 Juin, le commandant de la 5e Marines a ordonné O Compagnie des Marines, de se retirer afin de se tenir en réserve. de repos O Coy en réserve a été de courte durée et dans les premières heures du 14 Juin les commandants de peloton ont été chargés de mettre les pelotons sur préavis d'une heure pour se déplacer.

Pendant ce temps, au nord du mont William , N Société de Marine Sous-lieutenant Eduardo Villarraza du 5e Marines (N / BIM5) occupée Mont Tumbledown. A 22h30, ils ont été attaqués de Goat Ridge par 2nd Scots Guards. Environ 300 mètres de la première position argentine, les Marines ont ouvert le feu avec MAG mitrailleuses et des fusils FAL. Les deux pelotons avant britanniques ont commencé à subir des pertes et les Scots Guards se retirèrent dans les roches occidentales et themeselves réorganisées. Coquilles argentins ont commencé à atterrir parmi les gardes , mais par 02h30, une partie de la haute terre était aux mains des Britanniques et de la situation des forces argentines sontdevenues incertaines. Au centre de la montagne, un Scots Guards peloton a réussi à obtenir un petit morceau de terrain élevé, où ils ont pu mettre en place une base de feu qui épinglé plusieurs positions marines pour les cinq heures restantes de la bataille. Commandant Robacio ordonna Marine Sous-lieutenant Eduardo Villarraza d'envoyer une patrouille de combat pour faire face à la base de feu. Marine Sous-lieutenant Hector Miño avec 5e Peloton accompagné de Second Lieutenant Augusto La Madrid (Armée Argentine) avec le 3e Peloton. Pendant ce temps, les membres de la N Marine Company (N / BIM5) ont reçu l' ordre de rester sous le couvert lors d' un bombardement par l'artillerie argentine. Cependant, en utilisant la couverture de l' artillerie britannique, les Scots Guards avancé sur les positions argentines. Marine privée Jorge Sanchez, dans le livre 5e brigade d' infanterie dans les Malouines (Leo Cooper, 2003), a rappelé:

Les combats étaient sporadiques, mais parfois féroce , comme nous avons essayé de maintenir notre position. A cette époque , nous avons eu dix ou douze morts ,dont un officier [Second Lieutenant Oscar Silva, Armée Argentine]. Je ne l' avais pas tiré directement à un soldat britannique, comme ils l' avaient été trop difficile d'obtenir une image claire à. Je me souviens couché là avec tout ce tir passe au-dessus de ma tête. Ils étaient partout. Le commandant de peloton [Marine Sous-lieutenant Carlos Daniel Vazquez] alors appelé Private Ramon Rotela tenaient le mortier de 60 millimètres et Rotela a tiré vers le haut dans l'air de sorte que les bombes ont atterri sur nous - mêmes. À ce stade , j'avais été et dans le combat réel pendant plus de six heures. Il neigeait et nous étions fatigués. Certains des gars étaient rendus, mais je ne voulais pas faire ça. J'ai eu seulement vingt tours à gauche et j'ai décidé de continuer le combat du mont William. Je surgi, tiré une grenade à fusil dans la direction de 8 à 10 soldats britanniques à garder la tête vers le bas, puis couru pour le 2e peloton. Je me souviens de dire un certain type de prière en espérant les Britanniques ne me tirer dans le dos.

Deux pelotons argentins (Second Lieutenant La Marine Madrid et le sous-lieutenant Miño) sur l'est du Tumbledown contre-attaqué, mais ont été manœuvré par les Scots Guards. Au cours de cette action Miño a été blessé, mais a refusé l'assistance médicale jusqu'à ce que tous les blessés ont reçu des soins médicaux.

La chute du Wireless Ridge et les dépenses lourdes d'artillerie, de mortier et de mitrailleuse des munitions à l'appui du 7e régiment d'infanterie (RI7) sur la ligne de crête surplombant Moody Brook rendu la situation des Marines ténus. Utilisation de l'armure d'infanterie-coopération du 2e Bataillon du régiment de parachutistes avait avancé à travers les sociétés de RI7. O Société, BIM-5 (O / BIM5) avait été envoyé à la zone Moody Brook et a déménagé dans le blocage des positions au sud et à l'est de Moody Brook.En raison de tirs bien sûr éclaté dans la direction du QG du bataillon à Moody Brook, indiquant que les Britanniques avaient débordé leur position. A 7 heures du matin, le commandant de la 5e Marines a rapporté son poste de commandement près de Moody Brook était venu sous le feu ennemi de Wireless Ridge. A l'aube, l'approche des Gurkhas, avançant pour sécuriser le mont William a été détecté.

Comme les commandants des Marines sur Tumbledown et le mont William attendaient des renforts , ils reçurent l' ordre de se retirer. Ignorer ces commandes, les Marines ontcontinué à résister. En 9 heures, les Marines avaient à nouveau reçu l' ordre de se retirer. Environ huit RI 6 personnes ont été tuées et dix - huit capturés, beaucoup d'entre eux blessés , mais N Coy du 5e Bataillon Marine (N / BIM5) sur Tumbledown et William ont effectué un retrait ordonné à Sapper Hill. B Coy du 6e régiment (B / RI6) a également retiré avec succès avec ses armes portatives pour mettre en place de nouvelles positions défensives autour de Sapper Hill. Cinq des positions de peloton Marine maintenant tombé à la Colombie . Lt.-Col. 1er Bataillon de Morgan du 7e Gurkhas a Mount William sans opposition et ses hommes étaient amèrement déçus.

Par 10.am la position du 5e Bataillon Marine était stabilisé. Le commandant argentin, Marine commandant Robacio et l'agent RI 6 impliqué, le major Jaimet était déterminé à continuer le combat. Dans le rapport de combat Marine Commandant Robacio a écrit:

J'étais convaincu que nous pourrions encore résister, et voilà pourquoi j'ai commandé le O Company - qui était prêt - pour commencer une contre-attaque avec le M Company. Je comptais pour diriger cette attaque moi personnellement. (Admiral Marine arrière Carlos Büsser , El BIM 5 en las Malvinas, Boletin del Centro Naval, pp. 318-319).

Généraux Mario Benjamin Menendez (le commandant de la garnison argentine) et Oscar Jofre (commandant de la 10e brigade, responsable de la défense de Stanley), suite àune conférence rapide, ont convenu que de continuer la résistance entraînerait la perte insensée de la vie. En 13 heures, les 5e Marines avaient entamé leur retrait, après avoir détruit leurs véhicules et d' équipement lourd. Quelques minutes plus tard Midshipman Marine (marine rang équivalent au second lieutenant) de Alejandro Koch 3e Peloton, M Coy (M / BIM5) couvrant le retrait du bataillon Marine ont été attaqués par la Compagnie C du 40 Commando (C / 40 Cdo.) Atterrissage du Sea King hélicoptères. (Hugh Bicheno "Edge Razor" p. 314)

Trois Marines argentins (Marine Conscrits Roberto Leyes, Eleodoro Monzón et Sergio Robledo) ont été tués couvrant le dernier retrait. Deux Commandos Marine royale ont été abattus dans l'action (deux autres, y compris le lieutenant Allum avaient auparavant foulé sur les mines) et une Volvo BV-202 véhicule à chenilles a été désactivé quand il a couru sur une mine plantée dans le secteur Sapeur Colline anti-char. "Nous avons couru sur une mine. Je suis allé à travers le toit et le véhicule montai et je retournai à droite par l'explosion," rappelé le major Brian Armitage. [2]

Marine commandant Robacio, commandant le bataillon de Marines, a parlé aux journalistes britanniques après la guerre et a dit:

Vers sept heures , je reçu l'ordre de se retirer avant une cession. Notre code militaire indique que pour une unité militaire argentin de se rendre , il a dû passer toutes ses munitions ou perdu au moins les deux tiers de ses hommes. Il était horrible d'avoir à demander aux unités qui combattaient encore à se retirer. [3]

 

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Entretien audio d'amiraux français sur la guerre des Malouines et ses leçons 40 ans après réaliser par le Centre d’études stratégiques de la Marine (CESM) pour son un nouveau format de podcast : « Périscope ».

Buenos Aires, bien qu'ayant l'initiative, a avancé la date de son invasion qui était prévu pour l'hiver austral, une période où il ne fait pas bon traverser l'Atlantique depuis un port lointain :

https://podcasts.google.com/feed/aHR0cHM6Ly9hbmNob3IuZm0vcy83NzJiZjZhYy9wb2RjYXN0L3Jzcw/episode/YzVhMDY0NzEtYmQxYi00MjA4LWFkZjQtNTFlZTcyMGIwNzQ1?ep=14

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