CANDIDE Posté(e) mercredi à 13:19 Share Posté(e) mercredi à 13:19 (modifié) Il y a 2 heures, Ciders a dit : Certes. C'est d'ailleurs ce qu'on disait début février 2022. Mais une fois encore... êtes-vous prêt à prendre ce risque ? Les Danois semblent l'avoir bien compris, en tout cas. Certes, en Février 2022, beaucoup ne croyait pas un projet d'invasion de l'Ukraine, mais la Russie a quand même un passif en matière d'annexions dans son étranger proche. Du coup l'invasion a été un choc, mais pas une déflagration et un coup mortel porté à l'ordre international. Cela le serait probablement si les US devait envahir et annexer un pays souverain et pacifique. Selon moi, le coût serait énorme pour eux comme pour le monde entier. Modifié mercredi à 15:40 par CANDIDE 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) mercredi à 13:19 Share Posté(e) mercredi à 13:19 il y a 8 minutes, FATac a dit : En fait, il n'a pas complètement tort. C'est faux sur la plupart des aspects, sauf celui de la citoyenneté. Si le territoire n'est pas, à proprement parler, territoire de l'Union, en revanche, ses citoyens sont, eux, pleinement citoyens de l'union - même s'ils ne votent pas pour élire le parlement européen. Tu veux dire qu'ils ont le droit de circuler sans visa dans l'UE ? Alors que de leur côté, les Groenlandais réclament un visa aux citoyens de l'UE non nordiques pour des séjours de plus de 90 jours ? Crois-tu qu'ils ont le droit de voter aux élections municipales en France ? Est-ce que la France peut accorder le bénéfice du traité de Maastricht à un territoire qui s'en est exclu, et qui lui-même va interdire aux citoyens français résident au Groenland de voter aux élections municipales groenlandaises ? Je ne comprends pas cette non-réciprocité qui attribue des privilèges à des gens qui nous méprisent. Au fond, est-ce que tout cela n'est pas en infraction avec l'ordre constitutionnel européen, je veux parler du chapitre "égalité" de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne ? C'est à dire que si une élection municipale se jouait à une voix et si l'on constatait qu'un Groenlandais avait voté, il y aurait matière à faire revoter en excluant ce Groenlandais ? De toute façon, Barrot a mis l'accent sur l'aspect territorial des choses, pas sur l'aspect "droit de l'homme et du citoyen". Donc il a tort "sur la plupart des aspects". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Glenans29 Posté(e) mercredi à 13:35 C’est un message populaire. Share Posté(e) mercredi à 13:35 (modifié) 17 hours ago, Clairon said: Putain la fortune que vont accumuler les vendeurs de pop corn, on est même pas le 20 janvier et on a déjà l'armée Danoise qui se demande si ses F35 pourront ne fut-ce que décoller .... 70 ans que tu fais amis-amis avec les USA pour finir avec une perspective d'explosage du fondement .... Clairon C'est assez savoureux quelque part, surtout que le DK est vraiment très pro US. 16 hours ago, Alexis said: Je reviens sur ce point. En 2022, 10,8% des exportations danoises étaient vers les Etats-Unis, soit environ 13 G$ Même un arrêt complet des exportations danoises vers l'Amérique ne devrait pas être suffisant pour faire plier le pays sur une question aussi essentielle que la souveraineté Il devrait d'ailleurs être possible d'organiser une "redénomination" des exportations danoises entre pays de l'UE, sur le modèle "Ces Lego-là ? Ah ça vient d'Italie voilà le papier" "Ce produit-là ? Ben c'est suédois pourquoi ?" Je ne vois guère comment Washington pourrait récupérer le Groënland autrement que par la force militaire Trump ne peut pas imposer des droits de douanes au DK sans que cela implique une réponse de toute l'UE. Entre se coucher totalement et coller des droits de douanes equivalents vis à vis des US, je ne sais pas ce que serait une telle réponse, mais ça ne resterait pas au simple niveau du Danemark. Modifié mercredi à 13:49 par Glenans29 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) mercredi à 13:44 Share Posté(e) mercredi à 13:44 Trump a pas encore proposé de racheter Maersk ? Au moins ca aurait du sens quand ont voit que la marine danoise a été incapable d'offrir quelconque protection a son armateur lors de la crise en mer rouge ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) mercredi à 13:51 Share Posté(e) mercredi à 13:51 Il y a 5 heures, herciv a dit : En agitant le drapeau de la guerre de façon totalement indiscrète menaçant la notion même d'alliance ? Il a dit clairement qu'il voulait le canada, panama et le groenland même par la force armée si il fallait. Et c'est la seconde fois en quelques semaines. Absolument personne aux US n'a élevé la voix. Même pas la présidence actuelle. Tu dois t'enlever de la tête que Trump est seul dans cette affaire. Il exprime clairement les ambitions d'une bonne partie de Washington Il avait fait la même quand il était au pouvoir avec Kim et la Corée du Nord, en mode retenez moi ou je vais tout casser, pour finalement aller lui taper dans la main et dire que c'était un bon gars. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) mercredi à 13:57 Share Posté(e) mercredi à 13:57 il y a 1 minute, Teenytoon a dit : Il avait fait la même quand il était au pouvoir avec Kim et la Corée du Nord, en mode retenez moi ou je vais tout casser, pour finalement aller lui taper dans la main et dire que c'était un bon gars. Oui il crie toujours tres fort le Donald, la position maximaliste et qui font peur avant les négos pour pouvoir tirer quelque chose à son avantage. Et puis les médias ne parlent plus du début d'incendie qu'il y avait entre les Ultras Maga et Musk&cie pour les visas des diplômés étrangers, tout bénef pour le Don... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) mercredi à 14:08 Share Posté(e) mercredi à 14:08 (modifié) Il y a 4 heures, OysterCultist a dit : Un peu ironique de voir les Danois ciblés alors qu'ils ont toujours été les plus fervents serviteurs des USA/OTAN. Ca leur apprendra a prendre du F-35. Je pense qu'il voit surtout la diplomatie mondiale sous le spectre purement économique. Les USA dépensent plus dans le militaire que tous les pays européens et la Russie réunis, ils possèdent la force militaire la plus formidable de l'histoire de l'Humanité. Et Trump a l'impression que le retour sur investissement n'est pas suffisant, sa rhétorique est "les USA paient pour tout le monde et sont le dindon de la farce", pas une volonté expansionniste. Je pense aussi qu'il baissera le ton après son investiture. Une France forte aurait pu en profiter pour s'imposer en Europe (parapluie nucléaire ou autre) mais nous ne sommes plus en position de le faire. On s'est habitués a voir ce genre de graphique, mais c'est pas une situation tenable sur le long-terme selon moi: C'est un peu trompeur parce que je ne suis pas sûr que tu achètes autant de navires de guerre avec 1 milliard de dollars aux USA qu'en Chine. Les forces armées chinoises, en valeur absolues, pas juste le budget annuel, doivent être réellement conséquentes. Et la dynamique est en leur faveur. Pour le reste, oui, il y a ce concept en géographie d'hyperpuissance. L'UE devait en être une, mais ... edit: on doit quand même noter qu'un futur président américain parle ouvertement de prendre le territoire d'un allié, sans que ce soit un scandale absolu dans son pays. Et le fait que Musk en remettre une couche en traitant Trudeau de je cite: "girl" "governor of canada". C'est rigolo les trolls, mais là ils sont au pouvoir. Modifié mercredi à 14:11 par Brian 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) mercredi à 14:14 Share Posté(e) mercredi à 14:14 @Brian ça troll dur : 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) mercredi à 14:17 Share Posté(e) mercredi à 14:17 How Much Can DOGE Really Save by Cutting Down on Improper Payments? Combien DOGE peut-elle réellement économiser en réduisant les paiements indus ? Dernière mise à jour 3 janvier 2025 Le président élu Trump a annoncé la création d'une commission consultative appelée Department of Government Efficiency (DOGE), promettant que « dans un premier temps, cette commission élaborera un plan d'action visant à éliminer totalement les fraudes et les paiements irréguliers dans un délai de six mois ». Le Government Accountability Office (GAO) a tenté de quantifier l'ampleur des paiements indus et estime qu'ils s'élèveront à 236 milliards de dollars en 2023. Les paiements irréguliers sont des paiements du gouvernement fédéral qui n'auraient pas dû être effectués ou qui ont été effectués pour un montant incorrect. Ces paiements peuvent être frauduleux mais sont souvent le résultat d'une documentation insuffisante ou d'une erreur humaine. Il est souvent compliqué pour les agences fédérales de suivre et de traiter les paiements irréguliers, mais il est néanmoins important d'éliminer ce gaspillage pour gérer de manière appropriée et efficace les fonds fédéraux, renforcer la confiance du public dans le gouvernement et éviter d'alourdir inutilement la dette nationale. Les paiements fédéraux indus annuels restent élevés Les paiements indus ont fortement augmenté au cours des dernières décennies, passant de 35 milliards de dollars (soit 1,6 % des dépenses) en 2003 à 236 milliards de dollars (soit 3,8 % des dépenses) en 2023. Le montant des paiements indus atteindra 281 milliards de dollars (4,1 % des dépenses) en 2021, au plus fort de la pandémie. Ces paiements, destinés par exemple à soutenir les revenus des entreprises et des particuliers, ont été classés comme irréguliers dans une plus large mesure parce que les agences ont alloué des fonds rapidement et n'étaient souvent pas préparées à mettre en œuvre et à suivre des mesures d'urgence de cette ampleur. Bien que le niveau des paiements indus ait diminué au cours des trois dernières années avec l'expiration progressive de nombreuses dispositions liées à la pandémie, les paiements indus restent élevés. Environ 200 milliards de dollars, soit 85 %, des paiements indus en 2023 proviennent des six programmes suivants. Chaque programme a figuré ou figure actuellement sur la liste des programmes à haut risque du GAO, ce qui signifie que la capacité de fraude et de gaspillage au sein du programme avait été identifiée avant le récent rapport. Medicare : 51 milliards de dollars Medicaid : 50 milliards de dollars Assurance chômage : 48 milliards de dollars Programme de protection des chèques de paie (PPP) : 23 milliards de dollars Crédit d'impôt sur les revenus gagnés (EITC) : 22 milliards de dollars Supplemental Security Income (SSI) : 5 milliards de dollars Moyens de réduire les paiements fédéraux indus Bien que les agences qui gèrent ces six programmes aient mis en œuvre certaines des recommandations du GAO visant à réduire les paiements indus, l'agence signale que 14 recommandations n'ont toujours pas été mises en œuvre pour l'ensemble des programmes. Ces recommandations portent notamment sur la recherche d'une autorisation législative pour les examens préalables au paiement des demandes de remboursement de Medicare, l'utilisation d'analyses inter-programmes de la Small Business Administration pour améliorer les paiements au titre du PPP et d'autres programmes, la numérisation des informations provenant des contribuables qui remplissent des déclarations papier pour examiner les paiements au titre de l'EITC, et l'identification et la correction de la cause des paiements excédentaires aux bénéficiaires du programme Ticket to Work dans le cadre du SSI. Les participants du secteur privé ont également suggéré des moyens de réduire les paiements indus. J.P. Morgan, par exemple, propose une solution en trois parties sur la manière dont le secteur public peut mieux contrôler et prévenir les paiements indus : Utiliser des solutions commerciales pour valider les comptes bancaires et l'identité avant les paiements. Utiliser l'analyse de données et l'apprentissage automatique avant les paiements pour augmenter la précision et l'échelle. Consolider la vérification de l'identité dans les agences et les programmes. De même, lors d'une audition organisée par le Comité de surveillance et de responsabilité de la Chambre des représentants des États-Unis, il a été question du récent rapport du GAO et de la manière dont le gouvernement fédéral devrait être mieux préparé à l'avenir. Le consensus était que les agences doivent incorporer des pratiques basées sur les données pour prévenir la fraude et mieux protéger l'argent des contribuables. Les paiements fédéraux indus sont un élément d'une bataille fiscale plus large La réduction des paiements indus devrait être une priorité pour les décideurs politiques afin d'accroître l'efficacité des programmes, de renforcer la confiance des Américains dans leur gouvernement et de protéger l'argent des contribuables. Bien qu'il ne s'agisse pas d'un facteur clé du déséquilibre structurel entre les dépenses et les recettes des États-Unis, les paiements irréguliers représentent une grande opportunité d'économies. Grâce à des technologies améliorées telles que l'intelligence artificielle et d'autres gains d'efficacité, il est possible de limiter les paiements indus qui peuvent s'accumuler pour les contribuables au fil du temps. Néanmoins, pour placer le gouvernement fédéral sur une trajectoire fiscalement viable, il ne suffira pas de s'attaquer à ces paiements - et il existe de nombreuses options pour réformer les dépenses et les recettes afin de placer le pays sur une meilleure trajectoire fiscale. 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) mercredi à 20:06 Share Posté(e) mercredi à 20:06 Finalement, en regardant l'histoire des États-Unis, l'attitude de Trump n'est pas non plus extravagante Les États-Unis ne sont pas à la base un pays belliciste et expansionniste mais ce sont surtout des business man et parfois, ils leur arrive de "forcer" la vente et le commerce Ils ont déjà bousculé les japonais au 18 ème siècle avec grosso modo les mêmes manières. En effet, ces les japonais étaient isolés du monde et ils n' autorisaient que les hollandais à faire venir du commerce chez eux en passant uniquement par le port de Yokohama. Et puis un jour, le président US de l'époque a imposé que les japonais s'ouvre au commerce et aux relations diplomatique avec États-Unis et il a donné carte blanche au commodore Perry, chef de l'escadrille pour atteindre ce but ! Et quand le commodore s'est pointé devant la baie de Tokyo en 1853 avec son escadrille et tout ses canons , les japonais n'ont pu que constater leur impuissance et le shogun a été obligé de céder aux exigences américaines. Du coup, qu'est ce qui empêcherait Trump de dépêcher la 5 ème flotte et de s'emparer de la zone habitable du Groenland sans tirer un seul coup de feu ? Personne ! Et l'amiral responsable de la flotte va donner la même injonction que son aïeul Perry : vous nous vendez le Groenland à un prix d'ami ou on le prend sans aucune indemnité Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) mercredi à 20:10 Share Posté(e) mercredi à 20:10 il y a 1 minute, Claudio Lopez a dit : Finalement, en regardant l'histoire des États-Unis, l'attitude de Trump n'est pas non plus extravagante Les États-Unis ne sont pas à la base un pays belliciste et expansionniste mais ce sont surtout des business man et parfois, ils leur arrive de "forcer" la vente et le commerce Ils ont déjà bousculé les japonais au 18 ème siècle avec grosso modo les mêmes manières. En effet, ces les japonais étaient isolés du monde et ils n' autorisaient que les hollandais à faire venir du commerce chez eux en passant uniquement par le port de Yokohama. Et puis un jour, le président US de l'époque a imposé que les japonais s'ouvre au commerce et aux relations diplomatique avec États-Unis et il a donné carte blanche au commodore Perry, chef de l'escadrille pour atteindre ce but ! Et quand le commodore s'est pointé devant la baie de Tokyo en 1853 avec son escadrille et tout ses canons , les japonais n'ont pu que constater leur impuissance et le shogun a été obligé de céder aux exigences américaines. Du coup, qu'est ce qui empêcherait Trump de dépêcher la 5 ème flotte et de s'emparer de la zone habitable du Groenland sans tirer un seul coup de feu ? Personne ! Et l'amiral responsable de la flotte va donner la même injonction que son aïeul Perry : vous nous vendez le Groenland à un prix d'ami ou on le prend sans aucune indemnité Sauf que les États-Unis n'ont jamais procédé de la sorte avec des alliés militaires. (entre parenthèses, l'isolement japonais est nettement relativisé par des études récentes) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) mercredi à 20:21 Share Posté(e) mercredi à 20:21 il y a 7 minutes, Ciders a dit : Sauf que les États-Unis n'ont jamais procédé de la sorte avec des alliés militaires. D'ailleurs il me semble que c'est assez rare historiquement, non ? Ligue de Délos et pacte de Varsovie... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) hier à 01:04 Share Posté(e) hier à 01:04 (modifié) Je ne suis pas sûr des conséquences ultimes des projets de Trump envers le Canada, mais d'un autre côté on peut toujours discuter des scénarios possibles En avance de phase donc, voici une projection de la carte électorale des Etats-Unis ... s'ils votaient en tant que provinces du Canada Bon, je sens un partenariat d'avenir entre Québec et Louisiane pour défendre la francophonie à l'échelle du Grand Canada Je sens aussi quelques nervosités dans le sud du Canada à l'idée de rendre hommage au roi Charles III, tiens ? Modifié hier à 01:05 par Alexis 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) hier à 02:40 Share Posté(e) hier à 02:40 https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/c-est-alle-trop-loin-pour-plaire-a-donald-trump-mark-zuckerberg-fait-table-rase-sur-la-moderation-et-le-fact-checking-sur-ses-reseaux-sociaux-20250107 À moins de deux semaines de l’investiture du président-élu, le PDG de Meta a publié une vidéo sous forme de mea culpa où il regrette « la censure » sur Facebook et Instagram et promet de rétablir la liberté d’expression. À moins de deux semaines de l’investiture de Donald Trump, c’est la dernière initiative de Meta pour montrer patte blanche à la future administration. La maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp a annoncé ce mardi mettre fin à son programme de fact-checking. https://www.lemonde.fr/pixels/article/2025/01/08/apres-les-annonces-de-mark-zuckerberg-des-medias-de-fact-checking-meduses-c-est-un-choc-pour-nous_6488631_4408996.html Le patron de Meta, maison mère de Facebook et Instagram, a affiché mardi son intention de clore les partenariats de fact-checking liant sa société à certains médias américains. Une perte de fonds parfois vitaux pour certaines rédactions. Les partenaires internationaux de Meta, eux, s’inquiètent. Le Monde, et plus particulièrement son service Les Décodeurs, en ont fait partie jusqu’en 2022. Aux Etats-Unis, selon la dernière liste des fact-checkers partenaires de Meta, ce sont dix médias ou organisations qui voient à présent leur collaboration s’arrêter sans préavis. Parmi eux, une branche américaine de l’Agence France-Presse (AFP), le quotidien américain USA Today, l’agence britannique Reuters… 1 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures https://www.linkedin.com/pulse/le-show-de-trump-super-bonimenteur-jean-eric-branaa-o9rke/ : Quelle cacophonie depuis quelques heures ! Il a suffi que Trump tweete une carte avec le drapeau US qui recouvre le territoire canadien pour que les esprits s'échauffent et que des individus habituellement posés s'égarent sur des chemins tortueux et dissertent sur un 51ᵉ État, sur une "nouvelle doctrine" trumpiste qui, d'isolationniste serait subitement devenue impérialiste, sur ses velléités à envahir et annexer le Panama ou le Groenland. Des émissions entières ont été organisées autour de ces dangers et les experts en ... (en quoi d'ailleurs ?) sont venus expliquer combien nous devions avoir peur. Quelle farce ! Depuis son entrée en politique, Donald Trump a cultivé une image d’homme d’affaires audacieux et de négociateur hors pair. Dans son livre The Art of the Deal, il expose des principes clés pour dominer ses adversaires, notamment en créant un sentiment de danger et d’imprévisibilité. Aujourd’hui, alors qu'il nourrit des ambitions pour un éventuel retour à la présidence, Trump semble appliquer ces mêmes stratégies à l’échelle géopolitique mondiale. En laissant entendre qu'il pourrait annexer le Panama, acheter le Groenland ou faire du Canada le 51ᵉ État des États-Unis, Trump déstabilise ses adversaires tout en renforçant son image d’homme fort. Il tente de créer un énorme brouillard qui va recouvrir et bousculer les équilibres géopolitiques. Mais ces stratégies sont-elles de simples coups de bluff, ou préfigurent-elles un bouleversement réel de l’ordre mondial ? Créer l’illusion d’un danger imminent L’imprévisibilité est une arme puissante dans la politique internationale, et Trump l’utilise avec une maîtrise qui rappelle les principes de son livre. En 2019, lorsqu'il évoque publiquement l’achat du Groenland à travers une série de tweets et de déclarations, il ne s’agit pas seulement d’une boutade. Cette proposition, qualifiée de farfelue par beaucoup, a perturbé les relations diplomatiques entre les États-Unis et le Danemark, tout en attirant l’attention sur l’importance stratégique de l’Arctique. Cela lui a permis aussi d'attirer l'attention du monde sur ce bout de la planète, alors qu'il développait son attaque contre la Chine et faisait grimper les droits de douanes. Une gesticulation géniale qui a brouillé les cartes de façon magistrale ! De manière similaire, les rumeurs récentes selon lesquelles Trump pourrait annexer le Panama sont un rappel de la domination historique des États-Unis sur le canal de Panama. Bien que ces affirmations soient hautement improbables, elles ravivent des souvenirs de l’impérialisme américain et suscitent des tensions en Amérique latine. En semant le doute, Trump contraint ses adversaires à réagir à des scénarios hypothétiques, distrayant l’attention de questions plus concrètes. Il invite à oublier qu'il doit régler des questions énormes dès le 20 janvier, selon ses promesses : la paix en Ukraine en 24h, le renvoi de 11 millions d'immigrants, la fin de l'inflation, l'enfer au Proche-Orient... Pendant que l'on blablate sur l'Ukraine, le Groenland ou le Canada, on ne parle plus des fondamentaux de la campagne Trump, précisément ceux pour lesquels les électeurs américains l'ont élu. Exploiter les faiblesses et semer le doute Trump réussi également à exploiter les divisions internes de ses adversaires pour les affaiblir. En multipliant les déclarations audacieuses et les provocations, il oblige les dirigeants étrangers à réagir de manière défensive, parfois au détriment de leur propre crédibilité. Lors de ses interactions avec l’Union européenne, par exemple, Trump a été habile à tirer parti des tensions entre les pays membres pour affaiblir leur unité face aux États-Unis. Dans le cas du Groenland, ses déclarations ont déstabilisé le Danemark, qui s’est retrouvé contraint de justifier sa souveraineté sur ce territoire face à un allié de l’OTAN. Ce type de stratégie permet à Trump de détourner l’attention des questions domestiques et de renforcer son image d’acteur géopolitique imprévisible et puissant. L’idée que le Canada pourrait devenir le 51ᵉ État est un autre exemple de la façon dont Trump utilise des stratégies symboliques pour susciter la controverse. Bien que cette proposition semble absurde, elle touche une corde sensible auprès de certains conservateurs américains, qui considèrent les ressources naturelles du Canada et son système de santé comme des atouts potentiels pour les États-Unis. Pour le Canada, ces déclarations, même implicites, soulèvent des questions sur sa souveraineté et sa relation avec son puissant voisin du sud. En 2018, Trump avait déjà utilisé des menaces de droits de douane pour obtenir des concessions lors de la renégociation de l’ALENA, préfigurant une stratégie visant à affaiblir la position de ses partenaires. Une stratégie réfléchie ou une escalade risquée ? Ces stratégies sont-elles le résultat d’une approche calculée, ou simplement d’un style chaotique ? On peut estimer que Trump utilise ces tactiques pour renforcer son image auprès de son électorat, en présentant les États-Unis comme une puissance dominante capable de dicter les règles du jeu mondial. Cependant, ces approches risquent de dégrader les relations diplomatiques à long terme et de provoquer des conflits inutiles. Ce qui est certain, c’est que Trump s’appuie sur des principes clés de son livre The Art of the Deal : Créer un sentiment de danger pour obtenir des concessions ; Désarmer ses adversaires par l’imprévisibilité ; Exploiter les failles et les divisions pour renforcer sa position. Ces principes, efficaces dans le monde des affaires, sont toutefois plus risqués lorsqu’ils sont appliqués à la géopolitique, où les conséquences d’une erreur de calcul peuvent être immenses. Ce qu'il faut retenir pour ne pas se perdre dans l'idiotie et les débats sans queue ni tête En insinuant qu'il pourrait annexer des territoires stratégiques ou réorganiser les relations internationales à sa guise, Donald Trump bouleverse les codes de la diplomatie traditionnelle. Cette approche, qui combine imprévisibilité, provocation et manipulation, reflète sa vision du leadership comme une série de transactions dominées par le plus audacieux. Cependant, si cette stratégie lui permet de consolider sa base électorale et de s’imposer sur la scène internationale, elle pose également des questions sur la stabilité à long terme des relations mondiales. L’imprévisibilité peut être une arme redoutable, mais elle reste un jeu dangereux dans un monde où les équilibres sont déjà fragiles. Le plus sage reste Antony Blinken qui a résumé tout mon article avec une simple phrase : Jusqu'au 20 janvier, Trump n'est pas au pouvoir et n'est qu'un simple citoyen qui, comme nous tous, n'a que le pouvoir de la parole. 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Connorfra Posté(e) il y a 17 heures Share Posté(e) il y a 17 heures Santa Ana, Malibu, Hollywood en feu. Courage aux pompiers. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. collectionneur Posté(e) il y a 17 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 17 heures @vincenzo Vous oublié que ces élucubrations n'engage pas un chef d'entreprise et sa compagnie. Mais bien la crédibilité d'une nation qui reste la première puissance de cette planète ! Les dégâts au niveau diplomatique qu'il fait lui survivront hélas ! Un pays qui choisit - librement avec le vote populaire - d'élire un tel démagogue ne peut être considérée comme un partenaire fiable à long terme. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) il y a 17 heures Share Posté(e) il y a 17 heures il y a 3 minutes, collectionneur a dit : @vincenzo Vous oublié que ces élucubrations n'engage pas un chef d'entreprise et sa compagnie. Mais bien la crédibilité d'une nation qui reste la première puissance de cette planète ! Les dégâts au niveau diplomatique qu'il fait lui survivront hélas ! Un pays qui choisit - librement avec le vote populaire - d'élire un tel démagogue ne peut être considérée comme un partenaire fiable à long terme. Il ne faut pas oublier le système de vote américain qui élit un président sans avoir forcément la majorité des voix de la population américaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akilius G. Posté(e) il y a 16 heures Share Posté(e) il y a 16 heures Il y a 14 heures, Claudio Lopez a dit : Finalement, en regardant l'histoire des États-Unis, l'attitude de Trump n'est pas non plus extravagante Les États-Unis ne sont pas à la base un pays belliciste et expansionniste mais ce sont surtout des business man et parfois, ils leur arrive de "forcer" la vente et le commerce Ils ont déjà bousculé les japonais au 18 ème siècle avec grosso modo les mêmes manières. En effet, ces les japonais étaient isolés du monde et ils n' autorisaient que les hollandais à faire venir du commerce chez eux en passant uniquement par le port de Yokohama. Et puis un jour, le président US de l'époque a imposé que les japonais s'ouvre au commerce et aux relations diplomatique avec États-Unis et il a donné carte blanche au commodore Perry, chef de l'escadrille pour atteindre ce but ! Et quand le commodore s'est pointé devant la baie de Tokyo en 1853 avec son escadrille et tout ses canons , les japonais n'ont pu que constater leur impuissance et le shogun a été obligé de céder aux exigences américaines. Du coup, qu'est ce qui empêcherait Trump de dépêcher la 5 ème flotte et de s'emparer de la zone habitable du Groenland sans tirer un seul coup de feu ? Personne ! Et l'amiral responsable de la flotte va donner la même injonction que son aïeul Perry : vous nous vendez le Groenland à un prix d'ami ou on le prend sans aucune indemnité Sur le fond, les Etats-Unis ne sont pas bellicistes, je suis relativement d'accord. L'exemple de l'expédition de Perry au Japon est quand même à double lecture. Les navires noirs de Perry ont très fortement marqué l'imaginaire japonais, bien au delà de l'incidence concrète sur le pays. On ne compte pas le nombre d'animés japonais qui évoquent l'inquiétude générée par cette intrusion étrangère. D'une certaine manière, c'est le signe que la population japonaise ressentait la nécessité d'une ouverture sur le monde pour laquelle elle n'était pas prête collectivement. La politique japonaise de la première moitié du 20ème siècle aurait-elle été moins agressive sans l'intervention de ces navires noirs? La recherche d'une revanche sur un occident barbare aurait-elle été moindre? Difficile à dire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 16 heures Share Posté(e) il y a 16 heures Il y a 9 heures, Wallaby a dit : https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/c-est-alle-trop-loin-pour-plaire-a-donald-trump-mark-zuckerberg-fait-table-rase-sur-la-moderation-et-le-fact-checking-sur-ses-reseaux-sociaux-20250107 À moins de deux semaines de l’investiture du président-élu, le PDG de Meta a publié une vidéo sous forme de mea culpa où il regrette « la censure » sur Facebook et Instagram et promet de rétablir la liberté d’expression. À moins de deux semaines de l’investiture de Donald Trump, c’est la dernière initiative de Meta pour montrer patte blanche à la future administration. La maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp a annoncé ce mardi mettre fin à son programme de fact-checking. Zuck était représenté dans les memes de l'alt-droite complotiste avec une langue de lézard, allusion aux "reptiliens". Donc un ennemi Il passe du côté des gentils (du jour). De MAGA. Il ne sera plus un ennemi. Plus de langue de lézard pour lui ! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures https://www.npr.org/2025/01/07/nx-s1-5251151/meta-fact-checking-mark-zuckerberg-trump (7 janvier 2024) Cette décision intervient alors que Meta et d'autres entreprises technologiques s'efforcent d'adoucir les relations difficiles qu'elles entretiennent avec M. Trump. Le président élu et d'autres républicains accusent depuis longtemps la Silicon Valley d'avoir des préjugés anti-conservateurs qui ont muselé leur discours en ligne. M. Trump a personnellement accusé M. Zuckerberg d'ingérence dans les élections et l'a menacé d'une peine de prison à perpétuité. Le PDG de l'Ultimate Fighting Championship, Dana White, s'exprime lors d'une soirée électorale en faveur du président élu Donald Trump à West Palm Beach, en Floride, le 6 novembre. Meta, la société mère de Facebook et d'Instagram, a nommé Dana White à son conseil d'administration. La semaine dernière, Meta a nommé Joel Kaplan, un vétéran de la direction d'entreprise et un républicain qui a déjà travaillé à la Maison Blanche de George W. Bush, à la tête de la politique mondiale, en remplacement de l'ancien vice-premier ministre britannique Nick Clegg. Lundi, la société a nommé le PDG de l'Ultimate Fighting Championship, Dana White, un partisan de longue date de M. Trump, à son conseil d'administration. Zuckerberg fait partie des titans de la technologie qui se sont rendus à Mar-a-Lago pour rencontrer Trump depuis l'élection, et Meta a fait don d'un million de dollars au fonds d'inauguration de Trump (Sam Altman, PDG d'Amazon et d'OpenAI, s'est engagé de la même manière). « Je pense qu'ils reviennent de loin », a déclaré M. Trump lors d'une conférence de presse mardi. Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait que Zuckerberg « répondait directement aux menaces que vous lui avez adressées par le passé », M. Trump a répondu : « Probablement ». « Meta admet enfin qu'il censure la parole [...] quel beau cadeau d'anniversaire au réveil et une énorme victoire pour la liberté d'expression », a posté le sénateur Rand Paul (R-KY) sur X. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures (modifié) Il y a 1 heure, collectionneur a dit : @vincenzo Vous oublié que ces élucubrations n'engage pas un chef d'entreprise et sa compagnie. Mais bien la crédibilité d'une nation qui reste la première puissance de cette planète ! Les dégâts au niveau diplomatique qu'il fait lui survivront hélas ! Un pays qui choisit - librement avec le vote populaire - d'élire un tel démagogue ne peut être considérée comme un partenaire fiable à long terme. Je suis d'accord évidemment avec ce que tu dis, c'est ce que dit Jean Eric Braana dont j'ai partagé l'article plus haut : "Cependant, si cette stratégie lui permet de consolider sa base électorale et de s’imposer sur la scène internationale, elle pose également des questions sur la stabilité à long terme des relations mondiales. L’imprévisibilité peut être une arme redoutable, mais elle reste un jeu dangereux dans un monde où les équilibres sont déjà fragiles." Apres comme déja dit, Trump il parle beaucoup mais la réalité le rattrape : pendant la campagne : je vais faire baisser les prix de vos courses comme jamais, une interview de lui il y a une dizaine de jours : ce sera plus compliqué à faire, Sur l'ukraine je vais faire la paix en 24 h, j'ai vu passer un truc ce matin l'envoyé spécial de Trump pour l’Ukraine, Keith Kellogg, a dit qu'il espérait la paix en 100jours... Modifié il y a 15 heures par vincenzo 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures Il y a 16 heures, Claudio Lopez a dit : Les États-Unis ne sont pas à la base un pays belliciste et expansionniste mais ce sont surtout des business man et parfois, ils leur arrive de "forcer" la vente et le commerce Objection votre honneur. Tu passes un peu vite sur la récupération par les États-Unis des restes de l'empire espagnol, à commencer par le Texas et la Californie (sans oublier l'Arizona, le Nevada, le Nouveau-Mexique, et l'Utah). C'est la guerre du Mexique qui sert de déclencheur poussant Henry David Thoreau à écrire son essai « de la désobéissance civile » https://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_David_Thoreau Le 25 juillet 1846, Sam Staples, agent de recouvrement des impôts locaux lui ordonne de payer six ans d'arriérés. Thoreau, qui refuse de payer ses impôts à un État qui admet l'esclavage et fait la guerre au Mexique, est arrêté alors qu'il se rend chez son cordonnier puis emprisonné durant une nuit, mais relâché le jour suivant, une de ses tantes ayant payé, contre son gré, les arriérés à sa place. Cet événement marque la pensée de Thoreau et nourrit ses réflexions qui constitueront son essai politique, La Désobéissance civile. Un des grands représentants du courant anti-impérialiste est Mark Twain : https://guides.loc.gov/world-of-1898/mark-twain Extrait du New York Herald, 15 octobre 1900 : J'ai quitté ces côtes, à Vancouver, en impérialiste convaincu. Je voulais que l'aigle américain s'élance dans le Pacifique. Il me semblait fastidieux et ennuyeux qu'il se contente des Rocheuses. Pourquoi ne pas déployer ses ailes sur les Philippines, me disais-je ? Et j'ai pensé que ce serait une très bonne chose à faire. Je me suis dit : voilà un peuple qui a souffert pendant trois siècles. Nous pouvons le rendre aussi libre que nous-mêmes, lui donner un gouvernement et un pays qui lui soient propres, mettre à flot dans le Pacifique une miniature de la constitution américaine, fonder une toute nouvelle république qui prendra sa place parmi les nations libres du monde. Il me semblait que c'était une grande tâche à laquelle nous devions nous atteler. Mais j'ai réfléchi davantage, depuis lors, et j'ai lu attentivement le traité de Paris, et j'ai vu que nous n'avons pas l'intention de libérer, mais d'assujettir le peuple des Philippines. Nous y sommes allés pour conquérir, non pour racheter. . . Il me semble que nous devrions avoir le plaisir et le devoir de rendre ces gens libres et de les laisser régler leurs propres questions intérieures à leur manière. C'est pourquoi je suis anti-impérialiste. Je m'oppose à ce que l'aigle pose ses serres sur toute autre terre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures il y a 33 minutes, Wallaby a dit : Zuckerberg fait partie des titans de la technologie qui se sont rendus à Mar-a-Lago pour rencontrer Trump depuis l'élection, et Meta a fait don d'un million de dollars au fonds d'inauguration de Trump (Sam Altman, PDG d'Amazon et d'OpenAI, s'est engagé de la même manière). « Je pense qu'ils reviennent de loin », a déclaré M. Trump lors d'une conférence de presse mardi. Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait que Zuckerberg « répondait directement aux menaces que vous lui avez adressées par le passé », M. Trump a répondu : « Probablement » La réaction de Trump peut faire penser à la célèbre formule de Louis XII à son avènement sur le trône "[Il] ne seroit pas décent et à honneur à un roy de France de venger les querelles d’un duc d’Orléans" La clémence et le pardon, donc Mais après que Zuckerberg soit venu à résipiscence. Il a même fait amende honorable en déclarant que l'ancien système de vérification centralisée avait introduit des biais, que la vérification décentralisée, "similaire" au système de notes de la communauté sur X, va corriger On peut aussi penser à la scène finale à l'église dans les Tontons Flingueurs, les frères Volfoni rentrés dans le rang après avoir plié le genou devant Fernand Naudin 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures Giorgia Meloni espère assister à l'investiture de Donald Trump et minimise ses propos sur le Groenland et le Panama https://apnews.com/article/meloni-trump-musk-greenland-panama-sala-iran-087472eb27bb16254edea2bb56c5a1e1 La première ministre italienne Giorgia Meloni a déclaré jeudi qu'elle ne croyait pas que le président élu Donald Trump ait réellement l'intention d'utiliser la force militaire pour prendre le contrôle du Groenland ou du canal de Panama, affirmant qu'elle interprétait ses commentaires plutôt comme un avertissement à la Chine et à d'autres acteurs mondiaux de ne pas toucher à ces intérêts stratégiquement importants. « Je pense que nous pouvons exclure que les États-Unis tentent, dans les années à venir, d'annexer par la force des territoires qui les intéressent », a déclaré Mme Meloni, qui a rendu visite à M. Trump le week-end dernier dans sa propriété de Mar-a-Lago et qui a l'intention d'assister à son investiture. Selon elle, les commentaires de M. Trump étaient plutôt « un message adressé à d'autres grands acteurs mondiaux qu'une quelconque revendication hostile à l'égard de ces pays ». Elle a identifié un « protagonisme chinois » accru dans le canal de Panama, commercialement important, et au Groenland, riche en ressources, comme étant à l'origine de l'avertissement de M. Trump et a déclaré qu'elle interprétait ses paroles comme faisant partie d'un « débat à distance entre les grandes puissances ». Mme Meloni s'exprimait lors d'une conférence de presse annuelle au cours de laquelle elle a été assaillie de questions sur ses relations avec M. Trump et Elon Musk. Elle a confirmé qu'elle espérait assister à l'investiture de M. Trump le 20 janvier, mais qu'elle vérifiait son agenda avant de confirmer sa présence. Mardi, M. Trump a déclaré qu'il n'excluait pas le recours à la force militaire pour prendre le contrôle du canal de Panama et du Groenland, qu'il a déclarés vitaux pour la sécurité nationale des États-Unis. Les analystes estiment qu'une telle rhétorique pourrait enhardir les ennemis de l'Amérique en suggérant que les États-Unis acceptent désormais que des pays recourent à la force pour redessiner leurs frontières, alors que la Russie poursuit son invasion de l'Ukraine et que la Chine menace Taïwan, qu'elle revendique comme son propre territoire. La conférence de presse de Mme Meloni a eu lieu un jour après que son gouvernement de droite a remporté une victoire politique majeure en accueillant une journaliste italienne qui était détenue en Iran depuis trois semaines. L'affaire de Cecilia Sala est devenue étroitement liée à celle d'un ingénieur iranien détenu en Italie en vertu d'un mandat d'arrêt américain et recherché par les États-Unis dans le cadre d'une attaque de drone en Jordanie en 2024, qui a tué trois soldats américains. Meloni, en décrivant ce qui s'est passé pour la libération de Sala, a identifié une « triangulation » avec l'Iran et les États-Unis comme étant la clé pour obtenir la libération, confirmant pour la première fois que les intérêts de Washington dans l'affaire ont été pris en compte dans les négociations. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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