Gallium Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet (modifié) Il y a 2 heures, Neuron a dit : Les bibliothèques de signatures constituées au fil des décennies permettent de savoir très exactement ce qu’on recherche. En parallèle un silencieux s’il annule l’onde de Mach dans le cas d’une arme supersonique (la 1ère onde) n’annulera jamais l’onde de bouche du canon (la 2nde onde), arme supersonique (5,56 et >) ou subsonique (9 mm) peu importe. L'onde de bouche est atténué par le suppresseur mais pas l'onde de choc du projectile Et onde de choc du projectile subsonique donc bien moins forte (cf lien ci-dessous), je suppose alors que la difficulté est de discriminer l'onde de bouche de pression acoustique bien plus faible dans le cas d'une munition subsonique du bruit, et sans trop m'avancer, il y a alors également une diminution de la distance de détection efficace. Sur certaines armes de poing de faible calibre avec silencieux et subso, on n'entend guère que le bruit du mécanisme, c'est assez impressionnant, https://www.researchgate.net/publication/4249791_Acoustical_Characterization_of_Gunshots Modifié le 24 juillet par Gallium 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neuron Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet il y a une heure, Gallium a dit : L'onde de bouche est atténué par le suppresseur mais pas l'onde de choc du projectile Et onde de choc du projectile subsonique donc bien moins forte (cf lien ci-dessous), je suppose alors que la difficulté est de discriminer l'onde de bouche de pression acoustique bien plus faible dans le cas d'une munition subsonique du bruit, et sans trop m'avancer, il y a alors également une diminution de la distance de détection efficace. Sur certaines armes de poing de faible calibre avec silencieux et subso, on n'entend guère que le bruit du mécanisme, c'est assez impressionnant, https://www.researchgate.net/publication/4249791_Acoustical_Characterization_of_Gunshots Pardon effectivement j’ai écris trop vite ce matin et interverti onde de choc et onde de bouche. En gros pour simplifier une munition subsonique (avec ou sans silencieux) sera traitée un peu comme un RPG qui n’a pas d’onde de choc (car pas supersonique). 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet (modifié) Il y a 3 heures, Gallium a dit : https://www.researchgate.net/publication/4249791_Acoustical_Characterization_of_Gunshots c'est intéressant ( juste l en trés vite et en diagonale ). Juste lu la méthodo et regardé les graphiques. En première lecture, on peut déjà affirmer qu'entre une signature mesurée en labo et le monde réel, il y aura un goufre. Dés que la paire de micro s'éloigne de la source d'impact, la signature devient plus délicate ( moins nette ). Et en outre, la mesure variera considérablement selon l'angle des micros avec la trajectoire de la balle. L'idéal étant une position transversale au trajet balistique. Autrement dit il "faudrait" dans le meilleur des mondes des micro trés proches de la target supposé ( le POTUS ), mais aussi en perpendiculaire au trajet supposé. Donc en fait à ce stade on sait déj)à d'ou ça peut venir, le plus sage d'aller y jeter un oeil avant l'entrée en scène plutot que d'attendre un tir et ausculter les résultats acoustiques, non ? En plus, des micros proche de la cible, c'est sans doute une zone maximale de bruit ambiant. Avec la distance et un silencieux, le bruit à la bouche est sans doute noyé dans le bruit de la foule. Reste le bruit d'impact mais en subsonique ce n'est plus mesurable. Et à la fin il ne reste que le bruit de l'onde, mais fortement influencé par son orientation versus l'enregistrement. Reste aussi le milieu qui est complexe. Encore une fois, c'est une chambre de labo. De la foule au sol ( c'est absorbant ), plus les parois bâtiment ( diffusion, absorption, réflexion, etc....). Donc un sacré bordel. Pour toutes ces raisons, ça parait délicat d'en tirer ( c'est le cas de dire ) quoi que ce soit en pratique dans l'immense majorité des cas. EDIT: je précise que je ne suis pas ingé son, encore moins ingé "arme". Simplement je me suis intéressé depuis longtemps à la chose acoustique et au sujet phonique par l'isolement ( en contexte audio multi canal ). Je n'ai que des bases en physique de premier cycle ( aprés je n'ai faisais plus ) , et je me suis intéressé surtout à la bonne mise en application. Le phonique et l'acoustique sont passionnants en un sens ou il existe une qté phénoménale de calculs et formules ( comme dans toutes disciplines ) mais chacune est propre à un domaine bien défini et souvent limité. En gros, on a trés vite fait de faire des calculs justes mais qui donne un faux résultat dans le contexte pratique. Et là, cette divergence s'applique bien plus que dans bcp de discipline physiques. Modifié le 24 juillet par ksimodo 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neuron Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet Il y a 2 heures, ksimodo a dit : Dés que la paire de micro s'éloigne de la source d'impact, la signature devient plus délicate ( moins nette ). Et en outre, la mesure variera considérablement selon l'angle des micros avec la trajectoire de la balle. L'idéal étant une position transversale au trajet balistique. Autrement dit il "faudrait" dans le meilleur des mondes des micro trés proches de la target supposé ( le POTUS ), mais aussi en perpendiculaire au trajet supposé. Donc en fait à ce stade on sait déj)à d'ou ça peut venir, le plus sage d'aller y jeter un oeil avant l'entrée en scène plutot que d'attendre un tir et ausculter les résultats acoustiques, non ? En plus, des micros proche de la cible, c'est sans doute une zone maximale de bruit ambiant. Avec la distance et un silencieux, le bruit à la bouche est sans doute noyé dans le bruit de la foule. Reste le bruit d'impact mais en subsonique ce n'est plus mesurable. Et à la fin il ne reste que le bruit de l'onde, mais fortement influencé par son orientation versus l'enregistrement. C’est bien pour cela que tous les systèmes de détection acoustique de tirs se focalisent sur les tirs agressifs (tu es la cible). Un tir passant dans un bulle de plusieurs dizaines de mètres des senseurs sera immédiatement détecté et localisé, et ce quelque soit l’angle du tireur par rapport aux senseurs. Tous les fabricants du marché ont trois micros (ou plus) en partie basse de leurs senseurs pour d’une part avoir la triangulation et d’autre part que le système fonctionne quelque soit l’angle. Fonctionner en environnement bruyant et avec de nombreux bruits parasites n’est pas un problème. Cela est géré par le traitement du signal + algorithmes (évidemment ce n’est pas à la portée du premier venu). Ce n’est pas pour rien que les gendarmes ont un détecteur acoustique de tir sur leurs Centaure. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet Toujours est-il qu'en l'espèce l'erreur est clairement la non prise en compte du toit, qui ne nécessitait aucun gadget... 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet il y a 23 minutes, Neuron a dit : Fonctionner en environnement bruyant et avec de nombreux bruits parasites n’est pas un problème. Cela est géré par le traitement du signal + algorithmes (évidemment ce n’est pas à la portée du premier venu). je dois me situer qq part entre le premier venu ( un noob pur et dur ) et un créateur d'algo en sonore. Ce dont je peux t'assurer, c'est que celà n'a rien de trivial. Et ce n'est pas parce que des équipements existent que c'est performant in situ, on a bien acheté des avions renifleurs. Je vais te donner une image, tu es sans doute plus familier du tir. Je pourrai te dire qu'avec le bon algo, et un anémomètre proche de toi ( et senseur humidité, T°, etc...), il n'y a aucun problème à toucher une pièce de 2 euros à 3000 mètres avec un fusil de précision ( cheytac ou autre selon ton souhait ). si tu loupes, ce sera juste à la faute à l'algo, hein. Il y a la théorie, il y a la pratique et tous les paramètres défavorables. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet (modifié) 39 minutes ago, gustave said: Toujours est-il qu'en l'espèce l'erreur est clairement la non prise en compte du toit, qui ne nécessitait aucun gadget... oui une echelle quoique le tireur en avait une mais s'en est passe ... mais bon des fonctionnaires, donc echelle + baudrier, cordage et casque sans oublier une ambulance a cote Modifié le 24 juillet par Lordtemplar 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Neuron Posté(e) le 24 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 juillet il y a 23 minutes, ksimodo a dit : je dois me situer qq part entre le premier venu ( un noob pur et dur ) et un créateur d'algo en sonore. Ce dont je peux t'assurer, c'est que celà n'a rien de trivial. Et ce n'est pas parce que des équipements existent que c'est performant in situ, on a bien acheté des avions renifleurs. Je vais te donner une image, tu es sans doute plus familier du tir. Je pourrai te dire qu'avec le bon algo, et un anémomètre proche de toi ( et senseur humidité, T°, etc...), il n'y a aucun problème à toucher une pièce de 2 euros à 3000 mètres avec un fusil de précision ( cheytac ou autre selon ton souhait ). si tu loupes, ce sera juste à la faute à l'algo, hein. Il y a la théorie, il y a la pratique et tous les paramètres défavorables. J’ai un devoir de réserve sur ce sujet mais pour résumer cette techno fonctionne très bien sur tous les calibres jusqu’au 120 mm en passant par les RPGs, les mortiers, certains missiles anti-chars,etc. Ce n’est certainement pas notre Armée de Terre qui dira le contraire. Les algorithmes utilisés actuellement sont le fruit du RETEX de plusieurs décennies d’opérations, non seulement de nos armées mais aussi d’armées étrangères au sein de l’OTAN et hors OTAN ainsi que de nombreuses forces de l’ordre. Ces retex sur les algorithmes se cumulent à un nombre considérable de signatures acoustiques accumulées au fil du temps. Il n’y a donc rien de magique derrière, juste de la science et des gens en R&D qui sont de vrais cerveaux et excellent dans leur domaine de niche de la détection acoustique. Pour le premier venu je ne parlais de personne en particulier, je parlais pour les industriels, même si effectivement je n’avais pas précisé mon propos. 1 2 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet il y a 35 minutes, Neuron a dit : J’ai un devoir de réserve sur ce sujet mais pour résumer cette techno fonctionne très bien sur tous les calibres jusqu’au 120 mm en passant par les RPGs, les mortiers, certains missiles anti-chars,etc. Ce n’est certainement pas notre Armée de Terre qui dira le contraire. Pour avoir connu un gars qui connaissait très bien un gars qui a participé à la conception du P-V chez Mv je confirme que ce sont les retours qu'ils ont eu, et pas que de chez les Français d'ailleurs parce qu'il y a eu un système vendu par conteneurs entiers aux Américains dès l'époque de la guerre en Irak. Comme quoi hein... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Neuron Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet il y a 30 minutes, Patrick a dit : Pour avoir connu un gars qui connaissait très bien un gars qui a participé à la conception du P-V chez Mv je confirme que ce sont les retours qu'ils ont eu, et pas que de chez les Français d'ailleurs parce qu'il y a eu un système vendu par conteneurs entiers aux Américains dès l'époque de la guerre en Irak. Comme quoi hein... L’USSOCOM fut le premier utilisateur en parallèle de nos armées. Les Britanniques l’ont également utilisé en Irak, en Afghanistan,etc. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet https://www.wsj.com/politics/elections/joe-biden-age-condition-before-election-drop-out-c9fc46ef (21 juillet 2024) Comment le pari sur un Joe Biden de 81 ans s'est transformé en erreur de calcul monumentale Les électeurs ont jugé le président chancelant trop vieux, mais les alliés ont détourné le regard, les conseillers ont défendu ses capacités et le parti démocrate a écarté d'autres candidats. Le président Biden venait tout juste de tenter de persuader un groupe de démocrates du Congrès d'adopter un projet de loi sur les infrastructures d'un montant de 1 000 milliards de dollars lorsque Nancy Pelosi, alors présidente de la Chambre des représentants, a pris le micro. En 30 minutes de discours au Capitole, M. Biden avait parlé de manière décousue et n'avait pas réussi à faire une demande concrète aux législateurs, selon les démocrates présents dans la salle. Après son départ, Mme Pelosi, visiblement frustrée, a déclaré au groupe qu'elle formulerait ce que M. Biden avait essayé de dire, selon un législateur. « C'était la première fois que je me souviens que les gens étaient choqués par ce qu'ils avaient vu », se souvient le député Dean Phillips (D., Minn.), qui allait ensuite se lancer sans succès dans une course aux primaires contre le président. C'était en octobre 2021. Ce mois-là, M. Biden a rencontré pour la dernière fois le groupe démocrate de la Chambre des représentants au sujet d'un projet de loi. De nombreux parlementaires démocrates ont déclaré qu'ils avaient été stupéfaits par l'état de Biden lors du débat [avec Trump le 27 juin 2024], en partie parce que leurs contacts avec lui ont été très limités au cours des trois dernières années. « Nous le voyions à la télévision ou lors d'une cérémonie de signature, ou même lors d'un pique-nique à la Maison-Blanche cette année, et nous commencions à nous dire qu'il était peut-être un peu mal en point, mais pas suffisamment pour y prêter attention », a déclaré M. Doggett. S'il n'est pas inhabituel que les membres du cabinet souhaitent avoir plus d'accès au président qu'ils n'en obtiennent, certains fonctionnaires ont décrit M. Biden comme étant inhabituellement éloigné du reste de son administration - ou, comme l'a dit un ancien fonctionnaire, comme n'étant pas engagé dans les « affaires pratiques de la gouvernance ». Certains secrétaires d'État ne voient le président qu'une fois par mois. Un donateur de longue date s'est souvenu que les trois dernières fois qu'il avait vu le président, Joe Biden avait à plusieurs reprises perdu le fil de sa pensée et interrompu sa phrase en disant « peu importe ». Le donateur n'y a pas prêté attention à l'époque. « J'étais probablement en train de rationaliser », a-t-il déclaré. Inconsciemment, on se dit : « OK, je ne pense pas pouvoir faire face à cette réalité. Quel choix ai-je ? Personne d'autre ne se présente ». Au début, les trébuchements de Joe Biden semblaient être des incidents isolés, comme lorsque le président a parlé du mauvais pays, qu'il a semblé confus ou qu'il est tombé trois fois en montant les marches d'Air Force One. Après tout, Biden s'est décrit comme une « machine à gaffes ». Les personnes qui le connaissent disent qu'il n'a jamais été un orateur aussi efficace qu'Obama ou d'autres. Lors du sommet du Groupe des Sept qui s'est tenu en Angleterre en juin 2021, le premier de la présidence de M. Biden, il a confondu à plusieurs reprises la Syrie et la Libye lors d'une conférence de presse. Ces erreurs n'ont guère attiré l'attention, les dirigeants du monde entier se concentrant sur la célébration de l'arrivée de M. Biden. « C'est formidable d'avoir un président américain qui fait partie du club », a déclaré le président français Emmanuel Macron après avoir rencontré M. Biden. Au printemps 2022, certains fonctionnaires européens ont commencé à remarquer que quelque chose ne tournait pas rond. M. Biden présidait un appel vidéo en ligne sur l'Ukraine avec les dirigeants du G7, une discussion au programme serré où M. Biden appelait un dirigeant à la fois à faire une déclaration. Assis dans le Bureau ovale, M. Biden a oublié à un moment donné de couper le son de son micro, puis a perdu le fil de ses pensées et s'est mis à marmonner, selon un fonctionnaire qui participait à l'appel. Il a semblé perdre l'ordre dans lequel les dirigeants devaient s'exprimer, puis a tenté de mettre fin à l'appel sans appeler M. Macron. Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est intervenu pour le lui rappeler, et M. Macron a pu prendre la parole à son tour. Au cours de l'été 2022, certains à Washington ont commencé à commenter l'état de santé du président, en privé et, à de rares occasions, en public. Certains responsables de l'administration ont remarqué que Joe Biden avait du mal à insuffler de l'énergie lors des événements organisés à la Maison-Blanche, en particulier ceux qui se déroulaient plus tard dans la journée, et qu'il semblait souvent avoir des difficultés à lire le téléprompteur. En septembre 2022, lors d'un événement public, M. Biden a appelé à la rescousse une députée décédée, en demandant : « Où est Jackie ? » La députée, Jackie Walorski (R., Ind.), était décédée le mois précédent dans un accident de voiture. Cet automne-là, un ancien haut fonctionnaire du cabinet a commencé à dire à ses associés que Joe Biden ne devrait pas se représenter, car il ne serait pas un candidat efficace. À ce moment-là, certains législateurs et donateurs proches du président s'attendaient à ce qu'il annonce qu'il ne briguerait pas un second mandat. Pendant la campagne de 2020, il avait indiqué qu'il serait un candidat de transition, jetant un pont vers une nouvelle ère. Mais le succès des élections de mi-mandat a renforcé le désir de M. Biden de se représenter, selon ses conseillers. De nombreux donateurs de longue date ont été surpris lorsqu'il est devenu évident qu'il le ferait. Le 25 avril 2023, Joe Biden a annoncé qu'il se présenterait à la réélection, déclarant : « Finissons le travail ». Quelques jours plus tôt, un sondage réalisé par NBC News avait révélé que 70 % des électeurs - dont plus de la moitié des démocrates - ne souhaitaient pas une nouvelle candidature de M. Biden, la moitié d'entre eux citant son âge comme raison principale. [Durant les primaires démocrates, où Joe Biden affrontait entre autres Dean Phillips et Marianne Williamson] En Floride, le parti de l'État a voté pour ne soumettre que le nom de M. Biden aux autorités électorales. Dans le Wisconsin, le parti de l'État n'a également proposé que le nom de M. Biden avant que la Cour suprême de l'État n'intervienne. En juillet 2023, la gestion de l'emploi du temps de Joe Biden par la Maison-Blanche a attiré l'attention des responsables européens lors d'un déplacement de cinq jours comprenant un sommet de l'OTAN en Lituanie et un sommet nordique en Finlande. Selon deux diplomates européens, certaines réunions privées de M. Biden et d'autres éléments de son emploi du temps ont été supprimés ou leur durée a été réduite, ce qui a incité les diplomates de l'OTAN à discuter entre eux de la manière dont l'équipe de M. Biden gérait étroitement son emploi du temps. L'équipe de M. Biden a dit aux responsables et diplomates nordiques qu'il s'agissait d'un voyage transatlantique fatigant et que le président était âgé, a déclaré l'un des diplomates européens. À la fin de l'année 2023, des murmures parmi les démocrates concernant l'état de santé de M. Biden ont commencé à se développer. Les donateurs qui avaient rencontré Biden dans l'Ouest au cours de l'été ont déclaré que le président semblait parfois confus et désorienté. Lors d'une collecte de fonds à l'automne, Joe Biden a raconté deux fois la même anecdote. Lors d'une fête de Noël à la Maison-Blanche, un certain nombre de législateurs présents sont repartis inquiets de ce qu'ils considéraient comme une détérioration de l'état de santé de M. Biden. Cet hiver-là, John Morgan, un éminent donateur démocrate, interrogea le frère du président, Frank Biden, au sujet de la démarche raide de Joe Biden, qui était devenue de plus en plus évidente pour ceux qui l'observaient. Frank Biden assure à Morgan, un avocat de Floride, que sa démarche chaloupée est le résultat d'une lésion nerveuse au niveau des pieds et suggère qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter.. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet En 2024, les problèmes semblent s'accélérer. Moins de trois semaines après le début de l'année, des parlementaires démocrates et républicains ont rencontré M. Biden à la Maison Blanche pour discuter de la manière de faire passer une nouvelle tranche d'aide à l'Ukraine au Congrès. M. Biden parlait si doucement que certains avaient du mal à l'entendre ; il lisait des notes pour souligner des points évidents ; il faisait des pauses prolongées et fermait parfois les yeux si longtemps que certains dans la salle se demandaient s'il ne s'était pas déconnecté de la réalité. « J'ai remarqué qu'il y avait un déclin cognitif », a déclaré le représentant Michael McCaul (Texas), qui préside la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants et qui a assisté à la réunion du 17 janvier. « Je me suis rendu compte qu'il parlait très bas et qu'il était difficile de le comprendre. Il a dû utiliser ses notes assez souvent ». Une semaine de février a porté un coup majeur aux efforts de la Maison-Blanche pour mettre un terme aux discussions sur la santé du président. Lors d'un meeting de campagne le 4 février, M. Biden a fait référence à M. Macron, le président français, comme à François Mitterrand, un ancien dirigeant décédé en 1996. Lors d'une collecte de fonds le 7 février, il a confondu l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel avec l'ancien chancelier Helmut Kohl, décédé en 2017. Le 8 février, l'avocat spécial Robert Hur a publié un rapport sur la manipulation de documents classifiés par Biden, dans lequel il décrit le président comme un « homme âgé à la mémoire défaillante », dont les « facultés diminuent avec l'âge ». Hur disposait d'un point de vue unique. En dehors du personnel et de la famille de M. Biden, il était la seule personne, à la connaissance du public, à avoir passé une période aussi longue à interroger le président, passant cinq heures sur deux jours en octobre à poser des questions détaillées à M. Biden. M. Biden s'est souvenu avec précision d'événements passés, notamment le fait d'avoir atteint une cible en Mongolie avec un arc et une flèche. À d'autres moments, le conseiller de la Maison-Blanche Ed Siskel a dû intervenir pour le relancer, notamment lorsqu'il n'a pas trouvé le mot « télécopieur ». Une quinzaine de minutes plus tard, le président s'est efforcé de trouver le même mot. « Vous voyez là où il y a une imprimante et là où il y a un... » a dit Biden. « Comment l'appelle-t-on ? La machine qui... » « Le télécopieur », a encore rappelé Siskel au président. Dans des remarques enflammées prononcées à la Maison Blanche après la publication du rapport, M. Biden s'est opposé à la caractérisation de M. Hur. « Ma mémoire est bonne. Regardez ce que j'ai fait depuis que je suis président », a-t-il déclaré. Mais au cours de son discours, il a commis une nouvelle erreur : Il a qualifié le président égyptien Abdel Fattah Al Sisi de « président du Mexique ». [En mars], des fonctionnaires européens ont rencontré M. Biden à la Maison Blanche pour une discussion en fin d'après-midi sur les préoccupations de sécurité de l'OTAN et la guerre en Ukraine. Le président a semblé raisonnablement vif pendant la première moitié de la réunion, selon une personne présente. Mais au fur et à mesure que la conversation avançait, le président a commencé à faiblir sensiblement, parlant lentement et parfois d'une manière difficile à entendre. Les fonctionnaires qui l'avaient rencontré les années précédentes ont constaté une nette détérioration. Les fonctionnaires ont quitté la réunion attristés, estimant que le président rappelait à certains leurs propres parents vieillissants, a déclaré cette personne. Lorsque les donateurs potentiels disaient à l'ancien chef de studio hollywoodien [Katzenberg] qu'ils ne pouvaient pas soutenir un candidat aussi impopulaire et fragile, ils disaient que le magnat répondait souvent en disant qu'il ne voulait pas expliquer à ses petits-enfants qu'il était resté les bras croisés pendant que Trump reprenait le pouvoir. Au début du mois de juin, M. Biden s'est rendu en France pour commémorer le 80e anniversaire du jour J, où il a parfois eu des difficultés. C'est à ce moment-là que le Wall Street Journal a rapporté que le comportement de M. Biden lors de réunions privées avait alarmé d'autres participants, tant démocrates que républicains, qui ont déclaré qu'il montrait des signes de dérapage. La Maison-Blanche a attaqué le reportage du Wall Street Journal, qualifiant ces affirmations de fausses et de politiquement motivées. Les fonctionnaires de l'administration ont travaillé en coulisses pendant des semaines pour s'assurer que les démocrates donnent au Wall Street Journal des descriptions favorables du président, et ont fait pression pour empêcher le Wall Street Journal de publier des informations montrant que l'acuité du président avait baissé. Plusieurs démocrates du Congrès, dont Mme Pelosi, ont fermement défendu l'acuité de M. Biden. M. Bates, le porte-parole de la Maison-Blanche, a utilisé son compte X officiel pour attaquer le reportage, le publiant environ 80 fois et contactant en privé des journalistes d'autres organes de presse pour le critiquer. Plus tard dans le mois, lors du sommet du G-7 en Italie, de hauts diplomates ont déclaré en privé que l'état du président s'était sensiblement détérioré depuis l'été précédent. Un diplomate européen de haut rang a déclaré que des fonctionnaires de l'administration américaine niaient l'existence d'un problème lors de discussions privées. [Après le débat avec Trump du 27 juin 2024] les alliés de Joe Biden ont été rendus furieux par la mutinerie naissante. L'ancienne présidente du parti démocrate du New Hampshire, Kathy Sullivan, a déclaré : « Prends ton mal en patience, bouton d'or ». « Soit vous êtes avec nous, soit vous êtes avec Trump ». Le 10 juillet, le mur de soutien au président a commencé à s'effondrer. Alors que les dirigeants de l'OTAN arrivaient à Washington pour un sommet, les inquiétudes concernant l'âge de Joe Biden ont dominé les discussions dans les couloirs et les heures de cocktail, éclipsant même les guerres en Ukraine et à Gaza, selon les fonctionnaires présents. Tout au long de la première journée du sommet, le président a semblé tenir son rang, apaisant d'emblée les inquiétudes. Lors du sommet, M. Biden a serré la main de tous les dirigeants et les a salués pendant plus d'une heure. Il s'est montré énergique pendant les trois heures qu'a duré la réunion, a semblé confiant et s'est bien exprimé. Selon les conclusions d'un fonctionnaire, M. Biden semblait pouvoir sortir indemne de cette épreuve de haute voltige. Mais dans les dernières minutes de la dernière journée, lorsque M. Biden a qualifié le président ukrainien Volodymyr Zelensky de « président Poutine », un souffle audible a parcouru la foule. Les dirigeants mondiaux et les hauts fonctionnaires des proches alliés de l'Amérique sont sortis dans le couloir, dépités que plusieurs journées longuement chorégraphiées destinées à démontrer la détermination de l'OTAN face à la Russie aient été éclipsées, à la toute fin, par une gaffe, qui semblait confirmer les inquiétudes de l'époque que les partisans du président espéraient voir dissipées par l'événement. Lors de la conférence de presse de clôture du sommet, il a appelé son vice-président « le vice-président Trump ». M. Sullivan, le conseiller à la sécurité nationale, s'est passé la main sur le visage. Le secrétaire d'État Antony Blinken a sursauté 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet Il y a 6 heures, gustave a dit : Toujours est-il qu'en l'espèce l'erreur est clairement la non prise en compte du toit, qui ne nécessitait aucun gadget... tout à fait, soit en interdisant matériellement l'acces, soit en occupant le site soit en controlant via un drone ... la police locale est sacrement limitée intellectuellement (incapable de se mettre dans la peau d'un Tango pour imaginer ce qui pourrait se passer) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet Il y a 5 heures, Neuron a dit : J’ai un devoir de réserve sur ce sujet mais pour résumer cette techno fonctionne très bien sur tous les calibres jusqu’au 120 mm en passant par les RPGs, les mortiers, certains missiles anti-chars,etc. Ce n’est certainement pas notre Armée de Terre qui dira le contraire. Nous voilà bien éloigné du terrain US, je m'en excuse et je ferai bref. Il ne faudrait pas aller trop vite en besogne en assimilant un théatre opératif en nature ( au mortier, au RPG ou autre ) donc en champ relativement libre, avec une balle bien inférieure à la doucette en environnement plus ou moins urbain. D'ailleurs en milieu trés urbain genre un carrefour, tu peux avoir du mal à localiser une source sonore à cause de tous les phénomènes acoustiques ( d'autant plus que la fréquence sera basse d'ailleurs ). Les conditions sont tellement différentes.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet (modifié) Modifié le 24 juillet par Patrick Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet On 7/23/2024 at 10:42 AM, Lordtemplar said: Everything seemed fine on the surface, and no one in the Democrats had foreseen the wreckage of the debate against Trump or the consequences. Je ne suis pas d'accord avec l'évaluation selon laquelle "tout semblait aller bien en apparence" L'absence du président était notable, surtout si on la compare à celle d'Obama ou de Trump. Des rumeurs ont circulé et ont persisté. Les opérations de relations publiques liées à ces rumeurs ont souvent frisé le ridicule et sont devenues une sorte de propagande. Il ne s'agit pas d'une folle théorie du complot selon laquelle nous ralentissons avec l'âge. Avant même le débat, on nous assurait que le président n'avait jamais eu autant d'esprit. L'échec n'en a été que plus prononcé et, comme vous le soulignez, il soulève d'autres questions susceptibles d'influer sur l'élection. Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir de bonnes choses ? Parce que lorsque l'autre "équipe" dit quelque chose qui est en fait vrai, nous devons alors redoubler de mensonge. C'est ainsi que nous avons eu droit à de longs discours sur le fait qu'un homme de 81 ans, que nous pouvions tous voir en train de se battre, allait de mieux en mieux. Cela soulève des questions non seulement sur le tribalisme, mais aussi sur la presse et les médias, qui sont censés être des chiens de garde, qui étaient soit aveugles, soit endormis, soit qui participaient à un noble mensonge au nom du Bureau ovale. On espérait que Biden tiendrait jusqu'en novembre 2024, mais il fallait être d'une naïveté sans pareille pour ne pas se rendre compte que l'avion ne pouvait plus maintenir son altitude et que la question était de savoir s'il s'écraserait dans le désert ou sur la piste d'atterrissage. On 7/23/2024 at 9:59 AM, Arland said: The Democrats still had 4 years to find a decent replacement to finish off Trump, with Biden already being an emergency and temporary solution in 2020. oui Même en 2024, il n'y avait toujours pas de candidat de premier plan pour remplacer Biden, y compris le vice-président en exercice. Il s'agissait donc d'une solution d'urgence et temporaire, aggravée par un plan B médiocre. Si Harris gagne, beaucoup de gens seront très surpris, moi y compris. L'objectif est maintenant de limiter les dégâts pour le reste du parti politique en aval du scrutin. Je serai le premier à dire qu'indépendamment de l'état de santé de Biden, il n'était pas évident que Harris fasse mieux. Certes, il y aura une nouvelle phase, et nous aurons de nouveaux sondages, mais à aucun moment Harris n'a dépassé les chiffres de Biden dans les sondages. Elle a été complètement détruite dans sa candidature en 2020, et n'a été sauvée que par le président Biden. Il s'agit en grande partie d'un territoire inconnu, y compris de diverses situations délicates et de "zones grises" constantes Traduit avec DeepL.com (version gratuite) 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 24 juillet Share Posté(e) le 24 juillet Tentative d’assassinat de Donald Trump : un drone piloté par le tireur a survolé le site deux heures avant, selon le FBI L’engin et la manette de guidage ont été retrouvés dans le véhicule du tireur, avec des engins explosifs « plutôt basiques », activables à distance, a précisé le service de police fédéral. Le jeune tireur qui a tenté d’assassiner l’ex-président américain Donald Trump à l’occasion d’un meeting de campagne en Pennsylvanie a survolé les lieux par le biais d’un drone deux heures avant le début de l’événement, a affirmé mercredi 24 juillet le directeur du FBI (une branche de la police fédérale), Christopher Wray, devant une commission d’élus américains. Installé sur un toit d’un bâtiment surplombant le meeting à Butler, Thomas Matthew Crooks, 20 ans, avait ouvert le feu samedi 13 juillet, peu après 18 heures, sur le candidat républicain, le blessant légèrement à l’oreille, entraînant aussi la mort d’un participant d’une cinquantaine d’années et blessant deux autres personnes, avant d’être abattu. « De nombreuses recherches effectuées » Le drone et la manette de guidage ont été retrouvés dans le véhicule du tireur, avec des engins explosifs « plutôt basiques », activables à distance. L’enquête n’a en revanche pour l’heure pas permis de préciser les motivations du tireur, a par ailleurs reconnu le patron du FBI, « mais nous continuons à chercher ». Il a en revanche précisé que huit douilles ont été retrouvées sur le toit. Le tireur a « réalisé de nombreuses recherches sur diverses personnalités », sans qu’un objectif précis soit identifié, mais « à partir du 6 juillet il s’est concentré plus spécifiquement sur l’ancien président Trump et son meeting », a ajouté M. Wray. Parmi ses recherches, le tireur a interrogé le moteur de recherche de Google « sur quelle était la distance à laquelle [Lee Harvey] Oswald était de [John F.] Kennedy », en référence à l’auteur présumé de l’assassinat du président américain en 1963. La réaction du Secret Service, chargé de la protection des personnalités politiques américaines les plus importantes, a été vivement critiquée alors que des spectateurs avaient signalé aux autorités, peu avant les tirs, la présence d’un homme armé lors du meeting. La directrice du Secret Service, Kimberly Cheatle, a annoncé mardi sa démission, après avoir reconnu devant une commission d’enquête du Congrès la faillite de son agence pour empêcher la tentative d’assassinat. Le Monde avec AFP 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) le 25 juillet Share Posté(e) le 25 juillet (modifié) On 17/07/2024 at 11:05, Ciders said: For Musk, it seems obvious. Let's also not forget that California is Democrat (yuck) Je suis démocrate et je regarde la Californie avec dégoût. L'État n'a plus rien à voir avec ce qu'il était autrefois et de nombreuses personnes l'ont quitté pour cette raison. On 18/07/2024 at 09:22, herciv said: In any case, everything shows that we are moving towards American isolationism. https://www.theguardian.com/us-news/2023/nov/30/americas-undying-empire-why-the-decline-of-us-power-has-been-greatly-exaggerated Modifié le 25 juillet par Stark_Contrast Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arland Posté(e) le 25 juillet Share Posté(e) le 25 juillet Il y a 3 heures, g4lly a dit : Tentative d’assassinat de Donald Trump : un drone piloté par le tireur a survolé le site deux heures avant, selon le FBI L’engin et la manette de guidage ont été retrouvés dans le véhicule du tireur, avec des engins explosifs « plutôt basiques », activables à distance, a précisé le service de police fédéral. C'est assez stupéfiant, chaque nouvelle information qui sort sur cette affaire semble charger la barque quant la défaillance des services de sécurité lors de ce meeting au point qu'on se demande si ils avaient réellement envie de protéger le site ou simplement prendre des notes voire être de simples spectateurs. - Un drone inconnu se balade sur le site 2h avant (à priori non détecté!). - Un type inconnu se balade du coté des détecteurs de métaux avec un télémètre et est remarqué mais pas intercepté, juste un simple suivit qui se solde par une perte de visu. - Le gars se retrouve à se balader comme si rien n'était autour des bâtiments jouxtant le meeting et supposés être identifié comme point critique et donc étroitement surveillés par des membres des forces locales et le secret service. - Il grimpe sur le toit, se fait repérer par des spectateurs qui donnent l'alerte et menace de son arme des policiers qui tentaient de le rejoindre. - Pendant ce temps là, Trump est autorisé à se rendre sur l'estrade alors qu'il y a un grave problème de sécurité identifié et non réglé depuis 20 minutes. - Le gars a le temps de loger 8 coups avant que, 26 sec après le premier, les équipes de sniper se décident à le descendre. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 25 juillet Share Posté(e) le 25 juillet Il y a 3 heures, Stark_Contrast a dit : https://www.theguardian.com/us-news/2023/nov/30/americas-undying-empire-why-the-decline-of-us-power-has-been-greatly-exaggerated Comme quoi il n'y a pas que moi qui qualifie les USA et ses suzerains ou vassaux, d'empire... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stark_Contrast Posté(e) le 25 juillet Share Posté(e) le 25 juillet 52 minutes ago, g4lly said: Which shows that I'm not the only one who calls the USA and its overlords or vassals an empire... C'est apparemment une question d'opinion ou même de nomenclature. Certains parleraient de "superpuissance", d'autres d'"arsenal de la démocratie" ou de "leader du monde libre", etc. L'empire est moins flatteur, mais d'une certaine manière, l'empire nuit à l'idée que certains essaient de défendre. Le fait est que même à travers les messages précédents d'Herciv, l'hégémon n'est pas en train de disparaître. Il reste à voir si Trump est élu, s'il change quoi que ce soit et si ces changements restent permanents. L'administration Biden a annulé l'ordre de Trump de retirer les troupes d'Allemagne et les a maintenues en place. En fin de compte, il y a eu beaucoup de fumée et de bruit, mais fondamentalement aucun changement. C'est une pratique courante aux États-Unis. Rappelez-vous lorsque le président Obama a reçu le prix de la paix et qu'il a ensuite poursuivi la politique américaine au Moyen-Orient. Si l'on s'en tient aux critiques de droite d'Obama, c'est une colombe qui n'a fait qu'inviter nos ennemis à penser que nous étions faibles ! Si l'on s'adresse aux critiques de gauche d'Obama, le prix de la paix n'était qu'une couverture pour s'engager dans encore plus de guerres ! mais voici un aperçu amusant et la plus grande question en termes de politique américaine. si vous pouvez comprendre cela, vous pourriez comprendre beaucoup de choses : Si vous n'aimiez pas ces politiques sous Bush, pourquoi êtes-vous satisfaits d'Obama ? Si vous avez aimé qu'Obama adopte la politique de Bush, pourquoi n'êtes-vous pas plus heureux avec Obama ? C'est très curieux. On me dit souvent qu'Obama a déporté plus de personnes que Donald Trump. C'est un "check mate" rhétorique jusqu'à ce que je rétorque "alors peut-être qu'Obama devrait avoir un troisième mandat ?" et alors le sourire MAGA disparaît. Le but était de montrer l'hypocrisie, pas qu'Obama faisait mieux ce que je veux ! Je n'ai pas compris le jeu, je suppose ? Dans mes heures sombres, je me demande souvent ce qu'il faudrait faire pour que ces choses changent et à quoi cela ressemblerait. Je ne pense pas que ce sera Trump avec 4 ans de mandat, dont 2 ans de paralysie après les élections de mi-mandat. Même l'effectif des troupes peut fluctuer en fonction des besoins. Nous pouvons retirer 10 000 soldats d'Europe et en envoyer 10 000 de plus pour les remplacer. En fait, la rotation des unités est une procédure assez courante. Les États-Unis peuvent faire preuve de souplesse et envoyer 100 000 hommes s'ils le souhaitent. En fin de compte, les États-Unis sont les États-Unis, et beaucoup de gens en Europe leur feraient confiance jusqu'au bout. Je sais que l'Ukraine a incité certains Européens à vouloir plus d'autonomie, mais je sais aussi que l'Ukraine a rendu certains Européens beaucoup plus dépendants des États-Unis. Je pense donc qu'il n'y a pas grand-chose à attendre de ce que certains espèrent. L'un des principes de base du "deal making" est que quelqu'un doit proposer un meilleur accord avec un nouveau client pour que l'abandon de l'ancien client en vaille la peine. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Neuron Posté(e) le 25 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 juillet Il y a 9 heures, ksimodo a dit : Nous voilà bien éloigné du terrain US, je m'en excuse et je ferai bref. Il ne faudrait pas aller trop vite en besogne en assimilant un théatre opératif en nature ( au mortier, au RPG ou autre ) donc en champ relativement libre, avec une balle bien inférieure à la doucette en environnement plus ou moins urbain. D'ailleurs en milieu trés urbain genre un carrefour, tu peux avoir du mal à localiser une source sonore à cause de tous les phénomènes acoustiques ( d'autant plus que la fréquence sera basse d'ailleurs ). Les conditions sont tellement différentes.... Les systèmes français ont été développé au départ pour contrer la menace de snipers serbes à Sarajevo qui tiraient sur les casques bleus Français en ville. Sarajevo est plein d’immeubles, de carrefours, de ponts et de rues. Dès le départ les contraintes ont été le milieu urbain, les mouvements de foule, les tirs de snipers embusqués (avec silencieux notamment) dans des immeubles et tous les bruits parasites qui peuvent être rencontrés en ville (et ils sont très nombreux). Ces problématiques ont été les données de base pour développer les premières solutions de détection de tirs. La techno française de détection acoustique de tirs a démarré au milieu des années 90 (elle même n’étant pas sortie du chapeau mais je ne développerai pas) et a évolué du pur urban warfare sniper détection (années 90) à un spectre bien plus large au vu des capacités futures qui étaient prometteuses dès le départ. 1 5 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 25 juillet Share Posté(e) le 25 juillet Il y a 1 heure, Neuron a dit : La techno française de détection acoustique de tirs a démarré au milieu des années 90 (elle même n’étant pas sortie du chapeau mais je ne développerai pas) et a évolué du pur urban warfare sniper détection (années 90) à un spectre bien plus large au vu des capacités futures qui étaient prometteuses dès le départ. Il faudrait que je les retrouve dans ma bibliothèque, mais des articles de Science & Vie du milieu des années 1990 vulgarisaient bien le principe et expliquait le déploiement avec succès des premières solutions (expérimentales) en protection de nos troupes en Bosnie. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 25 juillet Share Posté(e) le 25 juillet Il y a 3 heures, Arland a dit : C'est assez stupéfiant, chaque nouvelle information qui sort sur cette affaire semble charger la barque quant la défaillance des services de sécurité lors de ce meeting au point qu'on se demande si ils avaient réellement envie de protéger le site ou simplement prendre des notes voire être de simples spectateurs. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 25 juillet Share Posté(e) le 25 juillet Il y a 4 heures, Arland a dit : C'est assez stupéfiant, chaque nouvelle information qui sort sur cette affaire semble charger la barque quant la défaillance des services de sécurité lors de ce meeting au point qu'on se demande si ils avaient réellement envie de protéger le site ou simplement prendre des notes voire être de simples spectateurs. Autant de défaillances, moi je dis qu'il y a COMPLOT : pour assurer sa victoire, il fallait que Trump soit encore plus grand, désigné par la providence ! Si l'on regarde du coté de Trump plutôt que de celui du tireur : il ne se baisse pas à cause des coups de feu, mais parce qu'il sent quelque chose à l'oreille après qu'il ait tourné la tête, et quand il se relève il a du sang à l'oreille. Coïncidence ? non, il s'est baissé et a éclaté une poche de sang préparée à l'avance pour faire croire qu'il a été blessé. Je sais pas pour vous mais si je sens une piqure, je ne me baisse pas, je porte d'abord la main à la piqure, puis ensuite je réagis en me baissant (et encore, si j'ai compris le pkoi du comment). Et ensuite le SS lui laisse le temps de reprendre la parole, et surtout que la photo de l'année soit prise (magnifique, soyons honnête). Pour le SS, toute la chaine de malfonctions afin que l'on puisse identifier le tireur qui est en fait un gars super aguerri déguisé, un des leurs. Le cadavre est déjà en place et habillé pareil (ce que retiendrons les spectateurs). Vient le show, ça tire ça canarde après que le tireur ait plombé la scène et le pupitre, les contre snipers font leur show eux aussi, puis le copain retourne sa veste et on monte au résultat. Moi je dis qu'il faut regarder du côté du premier arrivé sur place pour retrouver le vrai tireur, ou dans l'équipe qui était pas loin (moins y'a de gens dans la combine, moins y'a de chance que la vérité éclate à temps). CQFD !!! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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