Titus K Posté(e) le 15 juin Share Posté(e) le 15 juin F35 Néerlandais lors du Nato Tiger Meet 2024 ... 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 15 juin Share Posté(e) le 15 juin 15 minutes ago, Titus K said: F35 Néerlandais lors du Nato Tiger Meet 2024 ... Les pauvres peintres n'ont pas du savoir quoi faire pour essayer de le rendre sexy le macareux moine... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 15 juin Share Posté(e) le 15 juin (modifié) Il y a 5 heures, prof.566 a dit : Les pauvres peintres n'ont pas du savoir quoi faire pour essayer de le rendre sexy le macareux moine... Malheureusement si un batave pose un doigt sur le fuselage c'est retour chez LM avec une facture de 12 millions d'euros, c'est fragile un macareux. Modifié le 15 juin par emixam 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 15 juin Share Posté(e) le 15 juin Le seul endroit où les décorations soient à la fois possibles et visibles (même si quelques secondes toutes les 10 minutes), c'est l'intérieur des soutes à munition ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 5 septembre Share Posté(e) le 5 septembre --> Ca parle de 6 F35 supplémentaires pour monter a un total de 58 https://www.rtl.nl/nieuws/politiek/artikel/5469290/extra-f35s-en-extra-helikopters-defensie-kan-komende-jaren-24 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre La fin d'une époque : https://www.scramble.nl/military-news/farewell-klu-f-16 Retrait officiel des F-16 néerlandais le 27 septembre dernier. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre Et un changement dans la continuité. Les Néerlandais vont remplacer leurs Pilatus PC-7 par des... Pilatus PC-7 Mk. X. https://www.scramble.nl/military-news/dutch-ministry-of-defence-selects-the-pc-7-mkx-as-successor-of-the-pc-7m Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FAFA Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre il y a 8 minutes, Ciders a dit : Et un changement dans la continuité. Les Néerlandais vont remplacer leurs Pilatus PC-7 par des... Pilatus PC-7 Mk. X. https://www.scramble.nl/military-news/dutch-ministry-of-defence-selects-the-pc-7-mkx-as-successor-of-the-pc-7m C'est logique, ils souhaitent remplacer le meilleur par le meilleur Blague à part, comme écrit dans l'article, il faut encore attendre un peu avant que l'achat ne soit validé car le concurrent de Pilatus a intenté une action en justice contre le ministère de la Défense néerlandaise. Décidément, le fait que les perdants d'une mise au concours fassent appel à la justice devient de plus en plus fréquent. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre à l’instant, FAFA a dit : C'est logique, ils souhaitent remplacer le meilleur par le meilleur Blague à part, comme écrit dans l'article, il faut encore attendre un peu avant que l'achat ne soit validé car le concurrent de Pilatus a intenté une action en justice contre le ministère de la Défense néerlandaise. Décidément, le fait que les perdants d'une mise au concours fassent appel à la justice devient de plus en plus fréquent. Ils auraient pu choisir le PC-21. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FAFA Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre (modifié) il y a 15 minutes, Ciders a dit : Ils auraient pu choisir le PC-21. Si j'ai bien compris, les Pays-bas souhaitent un avion pour effectuer la formation de base de leur pilotes sur sol européen (donc probablement que le PC-21 était dans la catégorie supérieure). Je suppose aussi qu'à ce moment ils font une première sélection. Par la suite, le reste du cursus des pilotes se déroulent aux USA. Si @Titus K dispose d'informations sur le sujet, je suis preneur. Je sais que certains n'apprécient pas trop ce site, mais il y a une description intéressante de la version PC-7 MKX dans cet article. https://www.avianews.ch/post/les-pays-bas-choisissent-le-pilatus-pc-7mkx Modifié le 15 octobre par FAFA 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre il y a 5 minutes, FAFA a dit : Si j'ai bien compris, les Pays-bas souhaitent un avion pour effectuer la formation de base de leur pilotes sur sol européen (donc probablement que le PC-21 était dans la catégorie supérieure). Je suppose aussi qu'à ce moment ils font une première sélection. Par la suite, le reste du cursus des pilotes se déroulent aux USA. Si @Titus dispose d'informations sur le sujet, je suis preneur. Je me demande aussi pourquoi pas de PC-21 ... Enfin bon Sinon pour le besoin exprimé, il y a la lettre D parlementaire publiée hier : Besoin Pour remplir ses principales missions, la défense a besoin d'une force aérienne qui contribue à l'efficacité opérationnelle et à la flexibilité stratégique des forces armées néerlandaises. La capacité de formation des pilotes contribue directement à l'aptitude à fournir des pilotes déployables sur le plan opérationnel pour divers systèmes de vol militaires et tâches d'aviation. Il s'agit notamment de chasseurs, d'hélicoptères, de systèmes de vol sans pilote et d'avions de transport dont les tâches vont de la défense aérienne et du soutien des troupes au sol aux missions de transport et de reconnaissance. Besoin qualitatif Pour préparer au mieux les pilotes à leurs tâches, la défense a besoin d'une formation élémentaire des pilotes militaires (EMVO) à l'épreuve du temps, durable, intégrée et évolutive, avec une flexibilité en termes de capacité et de fonctionnalité. À cette fin, la défense s'est engagée à établir une relation tournée vers l'avenir entre le déploiement d'avions d'entraînement, de simulateurs de haute qualité et de technologies virtuelles. Dans l'avion d'entraînement, les élèves-pilotes acquièrent des compétences indispensables concernant les forces G, la complexité et les défis du pilotage d'un aéronef. L'avion d'entraînement doit donc répondre à un certain nombre de caractéristiques qualitatives : il doit être relativement facile et prévisible à piloter. En outre, l'avion d'entraînement doit posséder des caractéristiques de vol qui lui permettent d'opérer en toute sécurité dans des conditions qui exigent le maximum de l'avion. De cette manière, les pilotes apprennent à garder le contrôle dans des situations d'urgence ou lors de l'exécution de manœuvres complexes, et sont préparés de manière optimale pour la suite de leur formation. Outre les avions d'enseignement, la défense acquiert également des supports d'enseignement au sol.Il s'agit notamment d'outils d'apprentissage numériques tels que des simulateurs de vol, des entraîneurs aux procédures et des formations assistées par ordinateur. Besoins quantitatifs Dans la phase B, la Défense a déterminé que l'avion-école devrait permettre de voler 2150 heures par an et d'avoir un maximum de 60 élèves entrant dans l'EMVO chaque année.Ce nombre est égal à l'effectif actuel. Cela nécessite un nombre de huit avions.La défense suppose six appareils déployables sur le plan opérationnel, une réserve logistique et un appareil en maintenance. Comme indiqué dans la lettre B, en plus des avions d'enseignement, la Défense a besoin d'équipements d'enseignement au sol.La Défense effectue ainsi 2650 heures de simulation dans le cadre de l'EMVO. À cette fin, la Défense a besoin de deux simulateurs de dispositifs d'entraînement au vol de niveau 2 (FTD) pour réaliser des opérations réalistes, plus efficaces et durables.En outre, la Défense prévoit d'acquérir un ensemble d'outils d'apprentissage au sol, y compris : des simulateurs de procédure de navigation de vol à réalité étendue (XR-FNPT) et des dispositifs de réalité étendue (XR-devices). Il s'agit de systèmes de formation et de matériel supplémentaire qui utilisent la technologie de la réalité étendue pour former les pilotes aux procédures de navigation, à la gestion du cockpit et à la communication. Formation assistée par ordinateur sous la forme d'un environnement d'apprentissage en ligne contenant des leçons pour l'élève-pilote. L'instructeur peut créer, gérer, délivrer, surveiller et contrôler ces leçons en arrière-plan. Un système intégré de gestion de l'apprentissage et de la formation des élèves (LMS & TMS), des plateformes logicielles que la Défense utilise pour organiser, gérer et suivre le processus d'apprentissage et de formation des pilotes. Ces systèmes intégrés forment un système complet qui optimise le processus de formation théorique et pratique. Un instructeur virtuel intégré. Il s'agit d'un outil logiciel avancé basé sur l'intelligence artificielle (IA) qui peut partiellement ou totalement remplacer un instructeur humain dans des situations d'apprentissage spécifiques. Systèmes de planification et de compte rendu de mission (MPDS). Un MPDS permet aux instructeurs et aux élèves de planifier tous les aspects d'un vol d'entraînement, y compris la route, les points de navigation, la consommation de carburant, le profil de vol, les conditions météorologiques et les objectifs spécifiques de l'entraînement. Le MPDS est utilisé après un vol d'entraînement ou une simulation pour analyser et évaluer les performances de l'élève. Ce système recueille les données du vol et permet de revoir la mission et d'analyser les moments critiques. Un réseau de matériel, de logiciels, de serveurs et de connexions de données qui assure la connectivité et la fonctionnalité des différents composants informatiques. Résultats de la préparation à la passation de marchés La Défense a élaboré et complété les grandes lignes du projet établies lors de la phase B dans la phase D. Comme indiqué à votre Chambre en réponse aux questions parlementaires suivant la lettre B (document parlementaire 27 830, no 388 du 14 mars 2023), la Défense a examiné différentes options au cours de la phase de recherche : l'acquisition, la location et l'externalisation. Il s'est avéré que la location et l'externalisation entraînent des coûts nettement plus élevés et sortent donc du cadre financier du projet. Les avions d'entraînement et les équipements connexes seront achetés, dans la mesure du possible, sur étagère commerciale/militaire (COTS/MOTS). Au cours de la phase de préparation des achats, il a été constaté que les produits de Pilatus répondaient le mieux aux exigences de la Défense. À cette fin, le principe du meilleur rapport qualité-prix a été utilisé, la Défense sélectionnant un fournisseur sur la base du meilleur équilibre entre le prix et la satisfaction des besoins qualitatifs. Élaboration Le personnel Après le remplacement de la capacité initiale de formation des pilotes, la capacité d'instruction et de gestion requise pour l'EMVO est presque égale à la capacité actuelle. La défense dispose également de la capacité de maintenance nécessaire pour les futurs avions d'entraînement. Pour la reconversion du personnel de maintenance de l'ancien au nouvel avion d'entraînement, la Défense a recours à des capacités louées. La Défense confie également l'intégralité de la maintenance des simulateurs au fournisseur. Ainsi, l'organisation actuelle est suffisamment étoffée pour répondre à la future EMVO et les besoins en personnel ne changent pas. L'ensemble de la capacité de formation restera stationnée sur la base aérienne de Woensdrecht. Coopération internationale Cela nécessite un nombre de huit avions.La défense suppose six appareils déployables sur le plan opérationnel, une réserve logistique et un appareil en maintenance. Comme indiqué dans la lettre B, en plus des avions d'enseignement, la Défense a besoin d'équipements d'enseignement au sol.La Défense effectue ainsi 2650 heures de simulation dans le cadre de l'EMVO. À cette fin, la Défense a besoin de deux simulateurs de dispositifs d'entraînement au vol de niveau 2 (FTD) pour réaliser des opérations réalistes, plus efficaces et durables.En outre, la Défense prévoit d'acquérir un ensemble d'outils d'apprentissage au sol, y compris la possibilité de le faire demeure. L'EMVO prépare les futurs pilotes de chasse et d'hélicoptère à une formation internationale avancée. Dans le cadre de ces cours de formation avancée, les pilotes néerlandais sont formés avec des partenaires internationaux. Toutefois, l'échange de pilotes au sein de l'EMVO n'est pas encore opportun compte tenu de la transition et de la planification de cette formation. En raison de la souplesse et de l'évolutivité de la formation, la Défense peut toujours envisager une coopération avec des pays partenaires à l'avenir. Les Pays-Bas participent à l'initiative NFTE (NATO Flight Training Europe). Cette initiative est un partenariat au sein de l'OTAN visant à améliorer la formation des pilotes militaires en Europe. L'objectif du programme NFTE est de développer des installations et des programmes de formation conjoints. Les Pays-Bas étudient la manière dont l'EMVO révisé s'inscrit dans l'initiative NFTE. Interopérabilité et normalisation Pour garantir la normalisation, la défense veillera à ce que l'EMVO, mais aussi les avions d'entraînement et les simulateurs nouvellement achetés, soient conformes aux normes internationales en matière d'aviation militaire. Cela concerne, par exemple, les exigences en matière de communication, de navigation, de systèmes et de spécifications techniques. Ainsi, les pilotes s'entraînent selon les mêmes méthodes et procédures que celles des alliés et partenaires. La défense assure ainsi une reconnaissance mondiale des capacités de formation. L'EMVO préparant à la formation avancée internationale, l'interopérabilité est également garantie. Participation industrielle Lorsque la défense acquiert des équipements, le ministère des affaires économiques (EZ), en consultation avec la défense, évalue au cas par cas si la politique de participation industrielle (PI) s'applique. Pour cette acquisition, il a conclu qu'il n'y avait pas suffisamment d'indices pour déclarer la PI applicable. Toutefois, l'entreprise à laquelle le contrat doit être attribué fait appel à un sous-traitant néerlandais. Ce sous-traitant assurera la maintenance des simulateurs sur le site de Woensdrecht. L'innovation La nature innovante de ce projet est visible dans la conception remaniée de l'EMVO. Dans l'EMVO, la défense introduit de nouvelles technologies, notamment le XR-FNPT, les appareils XR, l'oculométrie, l'IA et l'instructeur virtuel, en plus des outils d'apprentissage déjà utilisés. Ces différents éléments, mais surtout l'intégration de l'ensemble en tant qu'environnement d'apprentissage, permettent une formation à l'épreuve du temps. Durabilité Avec le remplacement de la formation initiale des pilotes, un changement s'opère entre le vol réel et le vol simulé. Dans le nouveau modèle EMVO, la défense effectue environ 60 % de la formation en simulation. Dans la formation actuelle, cette proportion était d'environ 15 %. En utilisant une simulation de haute qualité, la Défense réduit le nombre d'heures de vol nécessaires dans l'avion d'entraînement. Dans le cadre de l'EMVO, ce changement réduit le nombre d'heures de vol par élève. En conséquence, la Défense réduit le nombre d'avions de 13 à 8, et donc le nombre de mouvements de vol au sein de l'EMVO. Cela permet de réduire le bruit et les émissions. La Défense a pour objectif d'utiliser en moyenne 30 % de biocarburants en 2030 pour ses équipements. Les avions d'entraînement répondent à cette exigence. La Défense suit de près les développements technologiques susceptibles de maximiser le pourcentage de biocarburants à l'avenir. Projets connexes Ce projet est lié au projet de revitalisation de la base aérienne de Woensdrecht. Au cours de la phase de recherche, la Défense a examiné en détail les possibilités de coopération militaire internationale.Cela s'est avéré impossible en raison de la planification du projet qui, calibrée sur l'expiration de la durée de vie technique des avions d'entraînement actuels, ne peut être combinée avec la planification des pays partenaires potentiels. Pour assurer la continuité de l'afflux de pilotes, la défense a décidé de donner la priorité à la mise à disposition de ses propres capacités en temps voulu. Dans le contrat avec le fournisseur pour l'achat des nouveaux avions d'entraînement, la Défense inclura un paragraphe permettant aux pays partenaires de se joindre au contrat.Jusqu'à présent, aucun pays n'a indiqué qu'il souhaitait faire usage de cette possibilité.La possibilité de le faire demeure. Il est également question d'une nouvelle construction pour le bâtiment du personnel et de l'enseignement de l'EMVO. Votre Assemblée sera informée de l'évolution du portefeuille immobilier de la Défense par le biais de l'État de la Défense et des lettres d'assemblée relatives à l'immobilier. Efficacité et efficience Avec la mise en œuvre de ce projet, la Défense, en référence à l'article 3.1 de la Comptabiliteitswet 2016, donne corps à l'efficacité et à l'efficience. Efficacité : avec l'achat de l'avion d'entraînement et de l'équipement connexe, la Défense garantit une formation de haute qualité aux futurs pilotes afin qu'ils soient préparés de manière optimale à la formation continue et à leur future carrière. L'interprétation renouvelée et innovante de la capacité de formation des pilotes correspond étroitement aux exigences opérationnelles de la défense et offre une marge de manœuvre pour intégrer d'éventuelles capacités futures. Efficience : en utilisant une combinaison d'avions d'entraînement et d'outils d'apprentissage au sol, y compris des solutions innovantes telles que la technologie XR, la Défense optimise le déploiement opérationnel et donc les coûts opérationnels. Risques Le projet a fait l'objet d'une évaluation des risques et des mesures de contrôle ont été prises. Une réserve de risque fait partie du budget du projet. Il existe un risque que la Défense ne soit pas en mesure de stocker les nouveaux avions d'enseignement et l'équipement d'enseignement à l'emplacement prévu en raison de l'impossibilité de réaliser l'infrastructure à temps. Ce risque est atténué par le fait que la Défense a prévu la possibilité d'utiliser des installations provisoires. Finances Le budget du projet « Remplacement de la capacité de formation initiale des pilotes » s'inscrit dans la fourchette de 100 à 250 millions d'euros du DMP (niveau de prix 2024) et ne nécessite pas d'investissement supplémentaire. Ce budget sera imputé au budget de la défense. L'annexe ci-jointe, confidentielle sur le plan commercial, contient des informations financières supplémentaires. Planification Les avions d'entraînement PC-7 actuels atteindront la fin de leur durée de vie technique en 2027. Après la signature du contrat avec le fournisseur, la Défense prévoit la livraison du nouvel avion d'entraînement et de l'équipement connexe au cours du premier semestre 2027, remplaçant ainsi l'avion actuel en temps voulu. Ce calendrier diffère de celui de la lettre B. En effet, le délai de production de l'avion d'entraînement est plus long que celui de la lettre B. En effet, le délai de production de l'avion d'entraînement est plus long qu'initialement prévu. Perspectives Avec l'attribution envisagée du contrat pour les avions d'entraînement, les outils d'apprentissage au sol et la maintenance, la Défense achève la phase de préparation de l'acquisition. L'appel d'offres expire au début de l'année 2025. Afin d'éviter d'éventuelles augmentations de prix et des retards dans le calendrier de livraison, la Défense s'est engagée à signer le contrat avec le fournisseur dans les délais, au plus tard le 16 décembre prochain. Pour que cette intention soit réalisable, je demande à votre Chambre d'examiner la lettre D avant cette date. La Chambre sera informée de l'avancement de ce projet par le biais de la vue d'ensemble des projets de défense et du budget du Fonds budgétaire pour le matériel de défense. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FAFA Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre il y a une heure, Titus K a dit : Je me demande aussi pourquoi pas de PC-21 ... Enfin bon La réponse est dans ton poste: il y a une heure, Titus K a dit : Le budget du projet « Remplacement de la capacité de formation initiale des pilotes » s'inscrit dans la fourchette de 100 à 250 millions d'euros du DMP (niveau de prix 2024) et ne nécessite pas d'investissement supplémentaire. Ce budget sera imputé au budget de la défense. Les informations fournies par Pilatus permettent de mieux comprendre les différences entre le PC-7 MKX et le PC-21. Pilatus affirme que le PC-7 MKX est un "Smart Basic Trainer" et pas un avion d'entraînement avancé. Si nous faisons une rapide comparaison: PC-7 MKX PC-21 Vitesse maximale: 555 km/h 685 km/h Vitesse ascensionnelle max: 815 m/min 1247 m/min Puissance: 700 chevaux 1600 chevaux Facteur de charge: + 7 g / - 3.5 g + 8 g / - 4 g Bien que Pilatus affirme que le PC-21 est également capable de faire la formation de base, les avions ne sont pas dans la même catégorie. Le prix est probablement aussi très différent. Certains pays ont remplacés leurs avions d'entraînement à réaction par des PC-21, mais ils me semble qu'aucune force aérienne utilise le PC-21 pour la formation de base (par exemple en Suisse, le cursus est PC-7, PC-21, puis F-18). 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 23 octobre Share Posté(e) le 23 octobre D-Brief sur l'achat de 6 F-35 supplémentaires + Munitions https://www.tweedekamer.nl/debat_en_vergadering/commissievergaderingen/details?id=2024A06089 Avions de combat supplémentaires Le projet F-35 est un projet existant auquel l'industrie néerlandaise participe depuis le début du développement de cet avion. L'achat d'avions de combat supplémentaires s'inscrit dans cette lignée. L'estimation du chiffre d'affaires total potentiel de la production néerlandaise de F-35 jusqu'à la fin de la période de production, vers 2045, est de plus de 9 milliards de dollars (voir le rapport annuel sur l'état d'avancement du F-35 en 2023 (document parlementaire 26 488, n° 476, daté du 24 avril 2024)). Il n'y a actuellement aucune raison d'ajuster cette estimation. Au fur et à mesure de l'avancement du programme et de l'augmentation des ventes, les volumes de production existants et les chiffres d'affaires associés augmentent également. Finances Capacité du projet Anti-A2/AD Le volume d'investissement total du projet Anti-A2/AD se situe dans la fourchette du DMP de 250 millions à 1 milliard d'euros (niveau de prix 2024). L'investissement total sera imputé au budget d'investissement de la défense. L'annexe ci-jointe, confidentielle sur le plan commercial, contient des informations financières sur le montant pour lequel la Défense a l'intention de signer la LOA et comprend une estimation des coûts supplémentaires liés à l'exploitation et à l'intégration de l'arme dans le F-35. Avions de combat supplémentaires Le volume d'investissement des avions de combat supplémentaires se situe dans la fourchette de la DMP, entre 250 millions et 1 milliard d'euros (niveau de prix 2024). L'investissement total sera imputé au budget d'investissement de la défense. L'annexe ci-jointe, confidentielle sur le plan commercial, contient des informations financières sur le montant pour lequel la Défense a l'intention de passer un contrat. Ce budget comprend des investissements dans des avions de combat supplémentaires, des pièces détachées et des équipements spécifiques pour les avions et les pilotes de chasse. Le financement des coûts d'exploitation, des munitions, du personnel, etc. est réservé dans le budget mais ne fait pas encore partie du budget de ce projet. Les estimations les plus récentes du JPO concernant le coût du système aérien F-35 ainsi que les taux de change et les niveaux de prix actuels ont été utilisés pour préparer l'estimation. Planification Capacité anti-A2/AD La défense prévoit ces munitions anti-A2/AD en 2029. Pour ce faire, la LOA doit être signée avant la fin de l'année 2024 et le contrat avec le fabricant du gouvernement américain doit être conclu au début de l'année 2025. Ce n'est qu'à ce moment-là que les Pays-Bas seront assurés de recevoir des armes provenant des créneaux de production ciblés au cours de la période 2029-2033. Avions de combat supplémentaires Si la Défense accepte l'offre du JEA d'accélérer l'acquisition d'avions F-35 supplémentaires dans la série de production du lot 19, la livraison est prévue à partir de 2027. Cela permettra également d'explorer les possibilités d'un système sans équipage. Je demande donc à votre Assemblée de discuter de cette lettre combinée lors de la consultation législative sur le personnel et le matériel du 21 octobre prochain. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 23 octobre Share Posté(e) le 23 octobre D-Brief sur l'achat de 12 H225M pour les forces spéciales https://www.tweedekamer.nl/debat_en_vergadering/commissievergaderingen/details?id=2024A06089 Un hélicoptère utilitaire moyen (MUH) est un hélicoptère capable de mener des opérations des forces d'opérationsspéciales (SOF) sur terre et en mer. Les HUM sont essentiels au succès de ces types d'opérations en raison de leur capacité à déplacer des troupes et du matériel avec rapidité et souplesse, dans des conditions difficiles et de plus en plus complexes. Besoin qualitatif La phase de recherche a montré que seul l'hélicoptère H225M Caracal d'Airbus Helicopters répond aux exigences fixées par la Défense. La défense achète l'hélicoptère Caracal en tant que nouveau MUH pour répondre aux exigences de plus en plus complexes des opérations SOF, pour lesquelles une capacité aérienne spécialisée est cruciale. En effet, la défense déploie la nouvelle capacité MUH principalement pour ces types d'opérations. L'hélicoptère devrait permettre aux Pays-Bas de contribuer rapidement et de manière indépendante à des situations de conflit, en particulier dans un contexte international. Cela permettra aux Pays-Bas de fournir cette capacité rare et spécialisée d'hélicoptère SOF dans le cadre de collaborations avec des partenaires internationaux. En optant pour un hélicoptère éprouvé (« combat proven ») dans des conditions de déploiement, la défense s'assure d'une capacité d'aviation fiable adaptée aux défis uniques des opérations des forces d'opérations spéciales. Pour répondre à ce besoin, le MUH doit disposer d'un équipement de mission spécifique aux FOS. Outre la mission des forces d'opérations spéciales, la défense souhaite également pouvoir déployer le MUH dans le cadre d'opérations conventionnelles dans les domaines terrestre et maritime. Cela inclut, par exemple, l'aide humanitaire. Le projet comprend également une capacité de simulation temporaire nécessaire à la formation initiale, au recyclage et à l'entraînement du personnel navigant pendant la transition vers le nouvel hélicoptère. La défense prévoit en outre d'acquérir des simulateurs pour la formation dès qu'elle disposera de la nouvelle capacité MUH. L'acquisition de cette capacité de simulation permanente fait partie du projet « Simulation SOF Air Rotary Wing », pour lequel votre Parlement devrait recevoir une lettre A en 2025. Collectivement, ces capacités permettent à la défense de s'adapter à la nature changeante des missions militaires modernes. Besoin quantitatif Pour répondre à ses besoins, la Défense acquiert 12 hélicoptères Caracal, y compris l'équipement de mission nécessaire pour mener des opérations SOF. La défense acquiert suffisamment d'équipements de mission pour équiper neuf appareils. Cet équipement peut être intégré ou retiré, ce qui permet à la Défense de disposer en permanence de neuf appareils déployables dans la bonne configuration. En outre, la Défense acquiert une capacité de simulation pour la formation, le recyclage et l'entraînement pendant la période de transition opérationnelle (2029-2032). Dans la lettre A/B, la Défense a annoncé son intention d'acquérir 14 hélicoptères, ce qui lui permettra de soutenir simultanément deux missions des forces d'opérations spéciales pendant une période de six mois. Lors de la phase D, il est apparu que le budget prévu à cet effet n'était pas suffisant en raison des coûts supplémentaires liés à l'adaptation de l'hélicoptère Caracal aux exigences de la défense pour les opérations des forces d'opérations spéciales. Du point de vue de la confidentialité commerciale, les informations financières sont incluses dans l'annexe confidentielle commerciale ci-jointe. La réduction à 12 hélicoptères signifie qu'une mission SOF peut être soutenue à long terme et éventuellement une deuxième mission SOF à court terme. Grâce à cet équilibre entre la configuration minimale requise et le nombre d'appareils à acquérir, la mission des forces d'opérations spéciales peut être remplie efficacement, mais avec une limitation de la capacité de poursuite souhaitée. Dans l'évaluation des besoins, la défense a formulé un certain nombre d'exigences de nature innovante. Le ravitaillement en vol des hélicoptères (HAAR) en est un exemple. Cette capacité permet de ravitailler les hélicoptères en vol. Cette capacité est nouvelle pour les Pays-Bas et augmente les capacités d'opérations avec l'hélicoptère Caracal, car elle offre davantage d'options d'action dans la planification et l'exécution des opérations des forces spéciales. Comme l'hélicoptère Caracal sera acheté dans le commerce et non par le biais de ventes militaires à l'étranger (FMS), la forme du contrat et la plateforme offrent la possibilité de mettre rapidement en œuvre des solutions innovantes. L'Embraer C-390M peut être techniquement adapté au soutien de cette capacité HAAR. Le Caracal est une version perfectionnée du Cougar, dotée de moteurs similaires et d'un système de rotor à cinq pales au lieu de quatre. Son niveau de bruit est presque identique à celui du Cougar. L'utilisation d'une simulation de haute qualité dans le cadre de ce projet permet d'augmenter considérablement le nombre d'heures de formation, tout en conservant les mêmes niveaux d'émissions et de bruit. Le nombre d'heures de formation prévues sur le simulateur passera de 700 heures pour le Cougar à 2000 ou 3000 heures pour le Caracal. Une grande partie du déploiement de ces hélicoptères pour l'entraînement et les opérations des forces spéciales devrait avoir lieu à l'étranger. La Défense adaptera l'impact sonore total à l'espace sonore disponible. La Défense tiendra la région autour de la base aérienne de Gilze-Rijen informée du remplacement du Cougar. Aspects financiers Le budget d'investissement total du projet vMUH se situe dans la fourchette du DMP de 1 à 2,5 milliards d'euros, y compris la réserve de risque (niveau de prix 2024). Ce budget est imputé au budget d'investissement de la Défense. La différence dans les coûts d'exploitation est limitée et sera imputée au budget du projet. L'annexe ci-jointe, confidentielle sur le plan commercial, contient des informations financières supplémentaires. Planification Les premiers hélicoptères H225M Caracal devraient être livrés au début de l'année 2030. Les 12 hélicoptères seront livrés au début de l'année 2032. Ce calendrier diffère de celui qui figure dans la lettre A/B. Les principales raisons en sont la complexité technique du projet et la nécessité d'améliorer la qualité du service. Les principales raisons sont la complexité technique de l'intégration de la grande quantité d'équipements de mission et la forte pression sur les lignes de production du Caracal en raison des commandes internationales. Une fois livrés, les hélicoptères doivent rester opérationnels pendant une période de 30 ans. Pour ce faire, la défense prévoit de procéder à des mises à niveau par blocs et à une mise à jour à mi-parcours (MLU). Le contenu de ces mises à jour dépendra des développements technologiques et de l'évolution de la menace. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 31 octobre Share Posté(e) le 31 octobre (modifié) Commande de 2 simulateurs de C-390 pour accompagner les 5 avions --> 1 simulateur cockpit + 1 simulateur salle de fret (apparement ca existe). Livraison fin 2026 : https://www.defensie.nl/actueel/nieuws/2024/10/31/6e-vliegtuig-besteld-om-effectiever-te-vliegen « En outre », explique le chef de projet Thijs van het Material and IT Command, « l'intention est que les deux simulateurs puissent travailler avec d'autres simulateurs de la Défense à long terme. Comme ceux du F-35 et du MQ-9. » Modifié le 31 octobre par Titus K 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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