clem200 Posté(e) le 10 décembre 2023 Share Posté(e) le 10 décembre 2023 Il y a 13 heures, MIC_A a dit : Diplomatie sportive ou corruption avérée ? Le Qatar dispose de finances qui lui permet beaucoup de choses de façons directe ou très indirecte. Malheureusement acheter un homme c'est de la corruption, acheter un gouvernement c'est de la diplomatie 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 10 décembre 2023 Share Posté(e) le 10 décembre 2023 Il y a 17 heures, MIC_A a dit : Diplomatie sportive ou corruption avérée ? N'est ce pas synonyme de manière générale ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fraisedesbois Posté(e) le 30 juin 2024 Share Posté(e) le 30 juin 2024 (modifié) En ce moment au Qatar: les rencontres « Doha III », sous égide de l’onu. Le discours du chef de la délégation Aghane//Talibane, M. Zabihullah Mujahid (porte parole de l’Émirat) lors de la séance d'ouverture de la réunion de Doha, 30.06.24, 19h00 (Paris) Résumé: Dans son discours d'ouverture de la troisième réunion de Doha au Qatar, le porte-parole des talibans, Zabihullah Mujahid, a exhorté la communauté internationale à aider leur régime et l'Afghanistan dans trois domaines clés : 1. Levée des restrictions et sanctions : Supprimer toutes les restrictions, sanctions et résolutions précédentes qui entravent le secteur privé afghan. 2. Libération des réserves monétaires gelées : Dégeler les réserves monétaires de l'Afghanistan, qui appartiennent aux citoyens afghans, et les transférer à la Banque centrale d'Afghanistan. 3. Soutenir des moyens de subsistance alternatifs : reconnaître les efforts de l'Afghanistan dans la lutte contre la culture, la production, la transformation et la contrebande de drogues. Il a souligné la nécessité d'un soutien international pour fournir des moyens de subsistance alternatifs aux agriculteurs afghans, soulignant que l'Afghanistan ne devrait pas être laissé seul à relever ce défi. Le texte intégral du discours de Zabihullah Mujahid peut être trouvé là : t.co/pM1wagBd7F (en pashtô) nb: les observateurs que j’observe n’attendent aucun engagement Taliban sur les questions de genre ou d’inclusivité, ces derniers ayant prévenu par avance qu’ils refuseraient d’aborder ces questions (qui relèvent de la souveraineté toussa) Modifié le 30 juin 2024 par fraisedesbois 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 22 avril Share Posté(e) le 22 avril https://www.france24.com/fr/émissions/info-éco/20250401-l-affaire-du-qatargate-l-autre-scandale-qui-menace-netanyahu-et-ses-proches Les révélations de la presse israélienne se succèdent dans cette affaire dite du "Qatargate", qui menace Benyamin Netanyahu et ses proches. Deux de ses conseillers ont été placés lundi en garde à vue. Ils sont interrogés sur leurs liens avec le Qatar. Selon plusieurs médias israéliens, les deux hommes auraient été payés à des moments différents par Doha pour promouvoir l’image de l’Emirat. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 28 mai Share Posté(e) le 28 mai https://www.thefp.com/p/how-qatar-bought-america (14 mai 2025) Comment le Qatar a acheté l'Amérique Le petit pays du Golfe a dépensé près de 100 milliards de dollars pour asseoir son influence au Congrès, dans les universités, les salles de presse, les groupes de réflexion et les entreprises. L'accord sur l'avion a été signé par la procureure générale Pam Bondi. Elle travaillait auparavant pour un cabinet de lobbying de Washington, D.C., qui recevait 115 000 dollars par mois du Qatar pour lutter contre le trafic d'êtres humains, selon un contrat de 2019 examiné par The Free Press. Elle n'est pas la seule dans l'administration à avoir des liens avec l'État du golfe Persique. La chef de cabinet du président Trump, Susie Wiles, a dirigé le cabinet de lobbying Mercury Public Affairs lorsqu'il représentait l'ambassade du Qatar à Washington. Le directeur du FBI, Kash Patel, a travaillé comme consultant pour le Qatar, bien qu'il ne se soit pas enregistré en tant qu'agent étranger. Enfin, Steve Witkoff, ami de longue date et conseiller principal du président Trump, l'accompagne dans son voyage cette semaine. Depuis des mois, M. Witkoff est l'envoyé spécial de M. Trump au Moyen-Orient et son nom a été évoqué comme futur conseiller à la sécurité nationale. M. Witkoff est également un bénéficiaire des largesses du Qatar : en 2023, le fonds souverain du Qatar a racheté son investissement chancelant dans l'hôtel Park Lane de New York pour 623 millions de dollars. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) mercredi à 15:00 Share Posté(e) mercredi à 15:00 https://www.lemonde.fr/international/article/2025/09/10/frappes-israeliennes-sur-le-hamas-au-qatar-doha-confronte-au-lachage-de-son-protecteur-americain_6640274_3210.html Frappes israéliennes sur le Hamas au Qatar : Doha confronté au lâchage de son protecteur américain Le fait que la Maison blanche ne se soit pas opposée aux plans de l’Etat hébreu et n’ait pas formellement condamné l’opération constitue une rupture majeure du pacte liant depuis des décennies la monarchie du Golfe aux Etats-Unis. Les frappes israéliennes contre Doha, mardi 9 septembre, ont plongé la population du minuscule émirat du Golfe dans un état de stupeur généralisé. Des ouvriers asiatiques aux cols blancs occidentaux en passant par les Qataris eux-mêmes, qui représentent environ 10 % des 2,5 millions d’habitants de la péninsule, tous ont été choqués par les explosions, qui ont visé des responsables du Hamas palestinien, rompant brutalement la luxueuse routine à laquelle la monarchie est habituée. « J’ai compté jusqu’à sept déflagrations, mon corps entier s’est mis à trembler, l’espace de quelques secondes, je me suis cru à Gaza », raconte le journaliste palestinien Montaser Marai, cadre de la chaîne de télévision Al-Jazira, qui prenait un café non loin du lieu touché. La villa détruite par les tirs israéliens se situe dans le district culturel de Katara, haut lieu de loisir, à proximité du quartier diplomatique et du lycée français Voltaire. De nombreux enfants d’expatriés, ainsi qu’une partie de la progéniture du cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani, le souverain du Qatar, sont scolarisés dans cet établissement. « Ma fille, qui était en cours au moment de l’attaque, a eu le sentiment que le plafond de sa classe allait s’écrouler », témoigne Laurent Lambert, un universitaire français qui enseigne à Doha. Manquement au pacte Doha-Washington A la fin du mois de juin, des missiles avaient déjà zébré le ciel de Doha. Il s’agissait de projectiles tirés par Téhéran en direction de l’immense base d’Al-Udeid, quartier général des opérations américaines au Moyen-Orient, implantée dans le désert qatari. Mais l’opération, menée en représailles aux bombardements des sites nucléaires iraniens ordonnés par Donald Trump, avait été soigneusement chorégraphiée. La république islamique avait prévenu son voisin du Golfe plusieurs heures en amont, lui permettant d’intercepter en vol la quasi-totalité des missiles. Rien de tel dans le cas israélien. A supposer, comme la Maison blanche le soutient, que Doha ait été informé à l’avance du raid anti-Hamas – ce que l’émirat dément, le coup de téléphone de Washington est arrivé trop tard pour que le Qatar prépare sa défense. Dans tous les cas, le fait que l’administration américaine n’ait pas cru bon de s’opposer au plan israélien et qu’elle n’ait pas explicitement condamné l’attaque constitue un manquement majeur au pacte Doha-Washington. Les efforts du président Trump, dans les heures qui ont suivi, pour signifier son mécontentement à son allié israélien, sont peu susceptibles de rassurer les Golfiens. « Ce qui s’est passé est un désastre pour les relations entre le Qatar et les Etats-Unis, estime le politologue Andreas Krieg, familier des coulisses de la cité-Etat de la péninsule Arabique. Il n’y a peut-être pas eu de feu vert américain, mais il y a eu au moins un feu orange. » Les Qataris peaufinent pourtant, depuis des décennies, leur posture d’allié sans faille de la première puissance mondiale. Non contents d’avoir ouvert aux entreprises américaines comme ExxonMobil ses prolifiques champs de gaz offshore, ils ont rempli sans rechigner les missions de bons offices que leur a assignées le département d’Etat. C’est à sa demande expresse que Doha a ouvert des canaux de communication avec de nombreux moutons noirs, comme le Hamas palestinien et les talibans afghans. Tout en entretenant un dialogue à peine secret avec Israël et en parlant ouvertement avec l’Iran, autre paria international. Rôle de médiateur Cette diplomatie du grand écart permanent a causé à l’émirat de nombreux soucis. Entre 2017 et 2021, furieux que celui-ci refuse de s’aligner sur leur ligne anti-Iran et anti-islamiste, Riyad et Abou Dhabi l’ont placé sous embargo. Mais le Qatar n’a jamais dévié de son tropisme de médiateur, persuadé que rendre service aux grandes capitales constitue, pour le micro-Etat qu’il est, la meilleure des polices d’assurance. Ce positionnement a longtemps payé. En 2022, sous la présidence de Joe Biden, les Etats-Unis ont reconnu à Doha le statut d’« allié majeur non-membre de l’OTAN », un cran de plus dans la coopération stratégique entre les deux pays. Après l’attaque terroriste contre Israël par le Hamas, le 7 octobre 2023, la présence de responsables du mouvement islamiste sur le sol qatari a exposé le pays à un regain de critiques, principalement de la part de l’Etat hébreu et des conservateurs américains. Sommée d’expulser les islamistes palestiniens, la monarchie a su déjouer ces pressions et conserver son rôle d’intermédiaire incontournable dans la guerre de Gaza. La lecture de ce contenu est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. Malgré un antagonisme croissant avec le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, les dirigeants de l’émirat semblaient persuadés que le soutien de Washington, entretenu par des centaines de millions de dollars d’investissements qataris, les prémunissait contre toute mauvaise surprise. En avril, en Grèce, le Qatar n’avait-il pas participé, pour la première fois de son histoire, à des exercices militaires aériens aux côtés de l’Etat hébreu ? Les frappes israéliennes de mardi ont asséné à ce complexe échafaudage un coup très violent. « C’est un brutal retour à la réalité, un peu semblable à ce qui est arrivé au Koweït, en 1990, avec l’invasion irakienne, confie sous le couvert de l’anonymat un chercheur installé à Doha. Les Qataris réalisent que l’argent ne suffit pas à assurer leur protection, qu’avoir une base américaine sur son sol ne constitue pas une assurance-vie, et qu’à la fin leur sort ne dépend que d’eux-mêmes. » En conférence de presse, le premier ministre de l’émirat, Mohammed Ben Abderrahmane Al Thani, rasséréné par les messages de soutien des capitales arabes et européennes, a assuré que le Qatar poursuivrait ses efforts de médiation concernant Gaza. Mais, pour de nombreux experts, l’émirat ne pourra pas faire l’économie d’une introspection. « On assiste à l’effondrement du vieil ordre mondial, fondé sur le multilatéralisme, argumente M. Krieg. Le Qatar, qui a toujours joué cette carte, risque de pâtir de la recomposition en cours. » 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mercredi à 15:02 Share Posté(e) mercredi à 15:02 il y a 1 minute, g4lly a dit : Le fait que la Maison blanche ne se soit pas opposée aux plans de l’Etat hébreu et n’ait pas formellement condamné l’opération constitue une rupture majeure du pacte liant depuis des décennies la monarchie du Golfe aux Etats-Unis. A mon avis il n'y a pas qu'à DOHA que la rupture est ressentie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures Bon il semble que la trahison US est mal ressentie dans la péninsule arabe et pas uniquement à DOHA : « Le double jeu de l’Amérique est devenu clair » : après la frappe israélienne au Qatar, le Golfe se sent trahi par Donald Trump https://www.lefigaro.fr/international/le-double-jeu-de-l-amerique-est-devenu-clair-apres-la-frappe-israelienne-au-qatar-le-golfe-se-sent-trahi-par-donald-trump-20250911 Par Georges Malbrunot Mohammed Ben Salman, le prince héritier d’Arabie saoudite, était attendu jeudi au Qatar. Saudi Press Agency / via REUTERS DÉCRYPTAGE - Un sommet arabe extraordinaire se tiendra dimanche et lundi à Doha pour « répondre » au bombardement israélien contre la direction du Hamas, abritée au Qatar. Les uns après les autres, les dirigeants arabes défilent au Qatar pour manifester leur solidarité avec l’émirat, victime mardi d’une attaque israélienne inédite en violation de sa « souveraineté nationale ». Mais au-delà de cette démonstration d’unité, ces pays se réuniront lors d’un sommet extraordinaire dimanche et lundi à Doha pour apporter « une réponse régionale » au défi que la frappe israélienne leur pose collectivement, alors qu’ils ont des accords de sécurité avec leur allié américain. Jeudi, le prince héritier et homme fort de l’Arabie saoudite, Mohammed Ben Salman (MBS) était attendu chez son voisin. La veille, le président des Émirats arabes unis, Cheikh Mohammed Ben Zayed avait été le premier à venir s’entretenir avec l’émir Tamim al-Thani. Une rare visite d’autant plus remarquée qu’Abu Dhabi est tout à la fois le pays arabe le plus critique du Qatar pour ses liens avec les Frères musulmans, et le plus proche d’Israël, après avoir signé en 2020 les accords d’Abraham… 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Mouais alors Georges malbrunot raconte bcp de salades.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure Il y a 7 heures, mgtstrategy a dit : Mouais alors Georges malbrunot raconte bcp de salades.... Les visites de MBS et MBZ sont réelles. Le Qatar est bien soutenue par d'autres capitales arabes. Il faut aussi avoir en tête que l'affrontement israël/ iran a rabattu les cartes et modifié les esprits. Israël et les US ont une image de faiseur de guerre. Malbruno ne doit pas être très loin de la vérité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Veuillez vous connecter pour commenter
Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.
Connectez-vous maintenant