kotai Posté(e) le 8 décembre 2018 Share Posté(e) le 8 décembre 2018 Non, 3 tourelle de 155/52 devrait suffire Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 10 décembre 2018 Share Posté(e) le 10 décembre 2018 A priori on dirait que les 2 ou 3 dernières des 5 FTI que la MN va recevoir seront davantage équipées que les 2 ou 3 premières ; mais n'étant pas abonné à Mer & Marine je peux pas en lire plus...> https://www.meretmarine.com/fr/content/les-premieres-fti-moins-equipees-que-les-dernieres L'un d'entre vous est-il abonné pour nous faire un copier-coller du texte, ou sinon un résumé (si jamais ils ont bloqué la fonction copier-coller...) ?? Merci d'avance ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 10 décembre 2018 Share Posté(e) le 10 décembre 2018 Après demain on rase gratis :lol: 22 minutes ago, Bruno said: A priori on dirait que les 2 ou 3 dernières des 5 FTI que la MN va recevoir seront davantage équipées que les 2 ou 3 premières ; mais n'étant pas abonné à Mer & Marine je peux pas en lire plus...> https://www.meretmarine.com/fr/content/les-premieres-fti-moins-equipees-que-les-dernieres L'un d'entre vous est-il abonné pour nous faire un copier-coller du texte, ou sinon un résumé (si jamais ils ont bloqué la fonction copier-coller...) ?? Merci d'avance ! Quote Les premières FTI moins équipées que les dernières C’est l’année prochaine que débutera la construction de la tête de série des cinq nouvelles frégates de taille intermédiaire (FTI) de la Marine nationale. Réalisés par le site Naval Group de Lorient, ces bâtiments de 121 mètres de long et 4300 tonnes de déplacement en charge remplaceront les cinq unités du type La Fayette. La première FTI sera livrée en 2023 et la dernière doit être mise en service en 2029. Les FTI sont conçus comme des plateformes très innovantes. Il s’agira des premières frégates digitalisées construites en Europe, avec une toute nouvelle architecture basée sur deux datas centers qui concentreront la puissance informatique au profit du système de combat et de nouveaux senseurs numériques. Ce sera notamment le cas du radar quatre antennes planes Sea Fire et des moyens de guerre électronique intégrés dans un mât unique (voir notre article détaillé). « Jamais une frégate de cette taille n’a été équipée d’autant se senseurs et d’effecteurs aussi puissants », souligne-t-on chez Naval Group. Pas de brouilleurs ni de lance-leurres Pour autant, les premières unités de la série ne disposeront pas, du moins dans un premier temps, de tous les équipements prévus. Elles seront notamment, et de manière étonnante, dépourvues d’importants moyens de contre-mesures antimissiles. « Sur le premier standard, il n’y aura pas de guerre électronique active, ni brouilleurs, ni lance-leurres », confirme-t-on à la Direction Générale de l’Armement, où l’on explique qu’à l’instar d’autres grands programmes militaires, comme le Rafale, les FTI font l’objet d’une démarche incrémentale. En clair, certains systèmes seront ajoutés ultérieurement en fonction des évolutions technologiques, des besoins opérationnels et aussi, c’est un facteur important, des ressources budgétaires. « En matière d’équipements, la priorité a dans un premier temps été donnée au développement du Sea Fire, du système de guerre électronique passive de nouvelle génération et du système d’armes Aster. On pourra ensuite ajouter d’autres équipements qui ne sont pas présents sur les premiers bateaux ». Des ajouts qui sont prévus pour le moment après l’actuelle loi de programmation militaire, qui s’étend jusqu’en 2025 et prévoit, d’ici là, la livraison à la flotte française de deux premières FTI. Les équipements du standard 1 Celles-ci, qui constitueront le standard 1, seront notamment dotées d’un nouvel intercepteur radar numérique, de 16 missiles Aster (15 et 30), une tourelle de 76mm et deux canons télé-opérés de 20mm. Pour la lutte anti-sous-marine, les FTI disposeront d’un sonar de coque KingKlip Mk2, un sonar remorqué Captas 4 et quatre tubes lance-torpilles (MU90). S’y ajouteront les capacités ASM de leur hélicoptère embarqué. Les FTI auront aussi des moyens d’autodéfense non létaux, comme des projecteurs stroboscopiques et des systèmes sonores LRAD, sachant que les FTI seront les premiers bâtiments de combat français à disposer d’un Asymetric Warfare Center (AWC). Ce local dédié à l’autodéfense rapprochée rassemblera l’ensemble des informations sur l’environnement de la frégate fournies par différents senseurs, dont un réseau panoramique de caméras TV/IR et deux systèmes optroniques Paseo XLR. Les opérateurs, qui disposeront d’écrans diffusant en temps réel les images vidéo qui en proviendront, pourront gérer la réponse en fonction de la menace en commandant les systèmes non létaux ou les canons de 20mm. La question de l’ultime barrière Malgré l’absence initiale de brouilleurs et de lance-leurres (si ce n’est sans doute des leurres anti-torpille), les ingénieurs de la DGA se montrent très confiants quant aux capacités d’autodéfense des FTI, en particulier contre des missiles antinavire. On met en avant les performances « exceptionnelles » des Aster et du Sea Fire, qui doivent permettre de détecter très tôt, poursuivre et neutraliser tout type de menace, y compris des armes supersoniques. Reste que la dotation en Aster, soit 16 seulement, peut paraitre limitée si les bâtiments sont engagés dans des combats de haute intensité impliquant des attaques saturantes, forcément très consommatrices en munitions quand bien même l’Aster est conçu pour frapper sa cible à l’impact. Par ailleurs, les marins ne jugent jamais inutile de disposer d’ultimes « barrières » défensives avec des brouilleurs et leurres, capables de déjouer les autodirecteurs de missiles assaillants. C’est bien pour cette raison que les frégates des types Horizon et FREMM disposent de tels systèmes. Ceux-ci feront probablement leur arrivée sur les dernières FTI et ensuite par retrofit sur les premières. C’est en tous cas ce qui est prévu aujourd’hui, en espérant évidemment qu’à l’instar de ce qui a pu se produire par le passé, certaines options ne soient pas abandonnées en cours de route faute de budget. On notera par ailleurs qu’il sera également possible, si le besoin s’en fait sentir, d’ajouter deux lanceurs verticaux supplémentaires pour accroître la dotation en Aster (jusqu’à 32) ou permettre aux FTI de mettre en œuvre des missiles de croisière MdCN. Forces spéciales et moyens aériens accrus En dehors des armements et équipements déjà évoqués, on rappellera que les futures frégates françaises pourront embarquer deux semi-rigides ECUME des commandos marine, un hélicoptère Caïman (NH90) ou HIL (H160) ainsi qu’un drone aérien VSR 700 (programme SDAM) qui permettra notamment d’accroître les capacités de surveillance autour du bâtiment. Une soute située au niveau du hangar est prévue pour des torpilles MU90 et missiles antinavire légers (ANL) destinés à l’hélicoptère embarqué (ou éventuellement pour les MU90 à la recharge des tubes de la frégate). Propulsion très classique et retour des ailerons stabilisateurs Armées par un équipage de 125 marins, dont une quinzaine pour le détachement aérien, les FTI pourront accueillir une vingtaine de personnels supplémentaires, par exemple des forces spéciales ou un petit état-major. Capable d’atteindre 27 nœuds et de franchir 5000 milles à 15 nœuds, elles auront une propulsion très classique du type CODAD basée sur quatre moteurs diesels MTU 16V 8000 M91L, d’une puissance unitaire de 8000 kW. En matière de stabilisation, on notera que les FTI reviennent à une configuration traditionnelle comprenant deux ailerons latéraux. Cette décision découle du fait que le nouveau système qui avait été retenu pour les FREMM n’a pas donné satisfaction. A l’usage, il s’est avéré que le dispositif, qui joue sur les safrans des bâtiments pour éviter le roulis, provoquait dans certaines conditions des mouvements de plateforme aléatoires. Cela ne remet aucunement en cause la stabilité des frégates mais engendre certaines contraintes, par exemple pour les manœuvres hélicoptère. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 10 décembre 2018 Share Posté(e) le 10 décembre 2018 (modifié) Merci @g4lly . Euh, l'absence d'antinavires Exocet MM40 Block-3 est un oubli des rédacteurs, ou c'est que les FTI n'en auront finalement pas ? (Pourtant, sur les vidéos en images de synthèse on les voit parfois en tirer, donc je pencherais plutôt pour l'oubli...) Modifié le 10 décembre 2018 par Bruno Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 10 décembre 2018 Share Posté(e) le 10 décembre 2018 FTI et ECUME pas compatibles d'après @Scarabé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 10 décembre 2018 Share Posté(e) le 10 décembre 2018 10 hours ago, Philippe Top-Force said: FTI et ECUME pas compatibles d'après @Scarabé Le client est roi ... si la MN demande des bossoir pour RHIB de 10m elle les aura ... Sur la vidéo de présentation de la zone centrale ont voit même 4 RHIB - 2 grands 2 petits - ... sur 6 zones dédiés ... ca laisse la place pour mettre plus ou moins n'importe quoi. Si la MN ne demande pas de bossoir pouvant charger les Ecumes ... c'est quelle ne le veut pas ... probablement parce que c'est plus cher ... parce que l'Ecume est plus lourd qu'un RHIB de 7m ... D'ailleurs c'est écrit en gros sur le document de la DGA 1 Ecume + 1 EDO ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 (modifié) Il y a 10 heures, g4lly a dit : Le client est roi ... si la MN demande des bossoir pour RHIB de 10m elle les aura ... Sur la vidéo de présentation de la zone centrale ont voit même 4 RHIB - 2 grands 2 petits - ... sur 6 zones dédiés ... ca laisse la place pour mettre plus ou moins n'importe quoi. Si la MN ne demande pas de bossoir pouvant charger les Ecumes ... c'est quelle ne le veut pas ... probablement parce que c'est plus cher ... parce que l'Ecume est plus lourd qu'un RHIB de 7m ... D'ailleurs c'est écrit en gros sur le document de la DGA 1 Ecume + 1 EDO ... Avec des si on met Paris dans une bouteille Plus sérieusement cette histoire ECUME sur les FTI prend le même chemin que l'histoire des PLFS La DGA demande l’agrandissement de la zone des bossoirs (plus longue) mais pour l'industriel c'est pas possible parce que sur l'avant il y a des câbles et des canalisations et sur l’arrière la zone torpilles. Et pour un ECUME la procédure de mise à l'eau n'est pas la même qu'un EDO et c'est la ou est le problème il faut installer des bossoirs compatible ECUME dans une niche trop petite. Modifié le 11 décembre 2018 par Scarabé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 Ah bah au bout d'un moment, si la Marine veut payer la "petite" FTI mais qu'elle se plaint de pas avoir les capacités de la version agrandit proposée par l'industriel, bien fait pour sa gueule. L'ironie serait que ses demandes finissent par coûter aussi cher que si elle avait choisi dès le départ un navire 2m plus grand. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 (modifié) Il y a 2 heures, Scarabé a dit : La DGA demande l’agrandissement de la zone des bossoirs (plus longue) mais pour l'industriel c'est pas possible parce que sur l'avant il y a des câbles et des canalisations et sur l’arrière la zone torpilles. Je ne comprends pas ... Sur une maquette numérique on agrandit bien ce que l'ont veut nan ? Modifié le 11 décembre 2018 par clem200 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 En l’occurrence la Marine aurait bien fait du tout FREMM je pense... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 Selon mes données de 2012 pour programme BSAH ( PPP) , le dossier d’intégration ECUME évoquait une longueur de 9.5 m et d’un poids de 5.5 tonnes . Si ces chiffres ne posent pas de soucis particulier pour pose du canote sur pont de travail et mise à l’eau et récup par grue , il doit en être tout autrement pour une intégration en niche . C’est plus compliqué que du « papa dans maman » et pas que la longueur ( faudrait 12 m et qq et on reste sérieux ) , voir aussi l’empreinte en largeur ( au moins 6 m, AH ! ) et proximité tambour cheminée , et la hauteur conditionnée ( itou 6 m à l’estime ) par limite du pont sup et point haut du bras de bossoir mono point et donc tous les volumes mous nécessaires. Mais aussi du mal à comprendre ce recul de faisabilité alors qu’affichage FTI /ECUME à Euro naval 2016 ( image logo DCNC/NG) laisse supposer le contraire . Equipementiers bossoirs et barcasses associées pour info https://norsafe.com/lifesaving-systems/davits/ http://maritime-partner.com/davits-other-products/davits-for-mp-craft https://www.fassmer.de/en/boats-and-davits/products/ http://www.amisales.com.au/brands/noreq-lifesaving-equipment/rescue-boat-davit-hyd-pivot-type-npd3500.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 il y a 29 minutes, ARMEN56 a dit : Mais aussi du mal à comprendre ce recul de faisabilité alors qu’affichage FTI /ECUME à Euro naval 2016 ( image logo DCNC/NG) laisse supposer le contraire Peut-être que ça passe sur la version "longue" et pas sur la version "courte" choisie... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 il y a 31 minutes, Fusilier a dit : Peut-être que ça passe sur la version "longue" et pas sur la version "courte" choisie.. Possible, j’avais compris un affichage programme national vu longueur et puissance en jeu de 32 Mw , tu noteras qu’à l’export on propose du plus long et plus puissant , 40 Mw il me semble , m'enfin ...... Plus long plus gros c’est évidemment mieux , on peut même concevoir de la niche traversante cf conf des T26 https://www.thinkdefence.co.uk/the-type-26-frigate/type-26-global-combat-ship-gcs-capabilities/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 Au final, FTI va se définir par Frégate Très Indécise. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 Il y a 4 heures, PolluxDeltaSeven a dit : Ah bah au bout d'un moment, si la Marine veut payer la "petite" FTI mais qu'elle se plaint de pas avoir les capacités de la version agrandit proposée par l'industriel, bien fait pour sa gueule. L'ironie serait que ses demandes finissent par coûter aussi cher que si elle avait choisi dès le départ un navire 2m plus grand. La Marine n'a jamais voulu de FTI. FTI est une volonté politique et industrielle. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 Ah bah j'ai pas dis le contraire hein! Mais on peut pas s'attendre à avoir une FREMM quand on paye pour la version minimale de la FTI. Indépendamment de qui force à quoi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 (modifié) il y a 41 minutes, PolluxDeltaSeven a dit : Ah bah j'ai pas dis le contraire hein! Mais on peut pas s'attendre à avoir une FREMM quand on paye pour la version minimale de la FTI. Indépendamment de qui force à quoi Toujours la même histoire de c... qui se répète de programme en programme : on choisit les options minimalistes (se rappeler qu'à la base il devait y avoir des FREMM avec canon de 127mm, et que les silos A70 des MDCN devaient pouvoir tirer des Aster-30...), puis après il est expliqué que faire des modifications pour installer ce qui était prévu au tout début du programme coûterait trop cher ; mais que le programme suivant de frégates va y remédier, car elles seront mieux dotées, et puis...finalement on y met encore le "minimum syndical" du moment. Le radar à antennes planes conformes faisant maintenant partie des "minimums incontournables", quand on veut pouvoir dire qu'on est dans les "first class navies", c'est seulement pour ça que les FTI auront le SF-500, plutôt que la version boostée de l'Héraklès. Mais à côté de ça, c'est la bonne excuse de com' pour justifier la sous-dotation en silos Aster, ou le fait qu'il n'y ait toujours pas d'affûts Mistral, ni de canon de 127mm... Modifié le 11 décembre 2018 par Bruno 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 11 décembre 2018 Share Posté(e) le 11 décembre 2018 9 hours ago, PolluxDeltaSeven said: Ah bah au bout d'un moment, si la Marine veut payer la "petite" FTI mais qu'elle se plaint de pas avoir les capacités de la version agrandit proposée par l'industriel, bien fait pour sa gueule. L'ironie serait que ses demandes finissent par coûter aussi cher que si elle avait choisi dès le départ un navire 2m plus grand. La vraie ironie serait de payer la FTI plus chere que la FREMM.... on en est pas loin du tout.... (surtout si l'on compte l'augmentation de personnel associée au passage sur FTI...) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 12 décembre 2018 Share Posté(e) le 12 décembre 2018 Il y a 9 heures, Asgard a dit : La vraie ironie serait de payer la FTI plus chere que la FREMM.... on en est pas loin du tout.... certes mais faudra alors tenir compte de l'inflation (quand même !) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 12 décembre 2018 Share Posté(e) le 12 décembre 2018 il y a une heure, pascal a dit : certes mais faudra alors tenir compte de l'inflation (quand même !) Pas que... Sur le programme global ( HRZ, FREMM, FTI) faut ajouter les coûts de développement... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 12 décembre 2018 Auteur Share Posté(e) le 12 décembre 2018 (modifié) Il y a 23 heures, Scarabé a dit : Avec des si on met Paris dans une bouteille Plus sérieusement cette histoire ECUME sur les FTI prend le même chemin que l'histoire des PLFS La DGA demande l’agrandissement de la zone des bossoirs (plus longue) mais pour l'industriel c'est pas possible parce que sur l'avant il y a des câbles et des canalisations et sur l’arrière la zone torpilles. Et pour un ECUME la procédure de mise à l'eau n'est pas la même qu'un EDO et c'est la ou est le problème il faut installer des bossoirs compatible ECUME dans une niche trop petite. Il y a 21 heures, PolluxDeltaSeven a dit : Ah bah au bout d'un moment, si la Marine veut payer la "petite" FTI mais qu'elle se plaint de pas avoir les capacités de la version agrandit proposée par l'industriel, bien fait pour sa gueule. L'ironie serait que ses demandes finissent par coûter aussi cher que si elle avait choisi dès le départ un navire 2m plus grand. Cela aurait été tellement plus simple de prendre la FTI de 130 m de long avec la tranche de coque de 9 m qui faisait une réserve de place ... Et qui permettait en plus une évolutivité, comme de développer des scenarii d'AVT couplant les futures roquettes du Système d'artillerie futur d' @Rescator avec une résurgence de drones suicides FireShadow, stockés à cet endroit... et montés via un monte charge au niveau du pont des MM40 Avec tout cela on avait une brique cohérente d'AVT à 300 km Modifié le 12 décembre 2018 par BPCs 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 13 décembre 2018 Share Posté(e) le 13 décembre 2018 Les grecs en veulent 4, gréer de missiles de croisière. Pour acheter des frégates françaises, la Grèce fait appel aux dons https://www.lepoint.fr/monde/pour-acheter-des-fregates-francaises-la-grece-fait-appel-aux-dons-13-12-2018-2279006_24.php#xtor=CS2-239 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 17 décembre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 17 décembre 2018 "Pourquoi considérer des étraves inversées sur des navires militaires? ou pas? La forme des étraves des navires a connu de nombreuses évolutions au cours de l’histoire de la construction navale. Ces évolutions suivent en général l’avènement de nouveaux besoins ou de nouvelles connaissances. L’industrie navale est cependant très conservatrice, ce qui tend à ralentir des évolutions significatives. Ceci s’applique en particulier au cas des étraves discutées dans ce papier. Dans les dernières 50 -70 ans, ce qui est assez court dans l’échelle de l’histoire, les étraves des navires ont évolué pour intégrer un dévers assez important afin de mieux surmonter les vagues lors d’opérations sur mer forte. L’action de ces étraves tend à disperser les embruns sur les côtés et produire des forces de rappel afin d’éviter l’enfournement de l’avant sous la vague. Cela a marqué une amélioration par rapport aux étraves assez droites des navires avant cette période. On assiste cependant depuis le début des années 90 à une recrudescence des designs de navires avec des étraves droites ou inversées. Il est légitime de se demander ce que cela apporte et quel risque prend on le cas échéant en adoptant ce changement. Naval Group s’est lancé depuis une dizaine d’année dans un programme complet d’études et d’essais afin de déterminer l’intérêt et les conditions de succès d’un design avec une étrave inversée. Les principaux résultats de ces études sont rapportés dans ce papier, incluant leur application au design des nouvelles frégates Belh@rra®." https://www.atma.asso.fr/dyn/memoires/memoire_42.pdf 3 5 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 18 décembre 2018 Share Posté(e) le 18 décembre 2018 Il y a 15 heures, ARMEN56 a dit : Pourquoi considérer des étraves inversées sur des navires militaires? ou pas? Et ton avis après lecture? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 18 décembre 2018 Share Posté(e) le 18 décembre 2018 Il y a 7 heures, Fusilier a dit : Et ton avis après lecture? Bah , ce profil est étudié par des architectes « rodés » et cautionné par un ancien cdt de P400 et de F67 (Arnaud Lacoin) , bref du seaproven en qualité technique et opérationnelle . Si je trouve les lignes FTI particulièrement réussies , me pose malgré tout des questions sur les aspects stabilités après avarie des tranches avant ; il est reconnu qu’en stab de forme , un profil avec devers est meilleur qu’un profil frégaté ( tumblehome-hull) ……pour le seakeeping on en a déjà parlé , c'est lié à la longueur . Serait intéressant d'avoir les premiers ressentis des cdt du Zumwalt et encore mieux s'ils ont pratiqué les DDG 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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