herciv Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai il y a 1 minute, MIC_A a dit : Il va y avoir haro sur le baudet EDF Ca reste le seul à pouvoir fournir un peu de stabilité au système. SI le baudet est mise à mort l'Europe entière sera bien en peine de résister à des coupures régulières. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai (modifié) Comme j'aimerais rester aussi optimiste, c'est vrais qu'au niveau Européen ils n'ont pas déjà essayé en 2002 via la privatisation et de voir EDF s'endetter à plus de 65 milliards d'euros, presque prête au "dépeçage" pour revenir en 2022 (conflit Russe/Ukraine) à une re nationalisation à 84% qui est passé (il me semble) à 100% en 2023, quel revirement ! Je peux me tromper mais je ne pense pas qu'au niveau Européen ils vont laisser faire toujours au nom de la "concurrence", tout au plus, durer tant que certains en bénéficieront directement, le temps de mettre en place d'autres solutions pour contrebalancer cet état de fait d'une énergie décarbonée et pilotable. Modifié le 10 mai par MIC_A 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Albatas Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai il y a une heure, herciv a dit : Pour info les export de EdF pêtent record sur record : https://www.rte-france.com/eco2mix/synthese-des-donnees# Sur le même site : https://www.rte-france.com/eco2mix/les-donnees-de-marche# On peut voir en temps réel (et l'historique) des prix dans les différents pays. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ksimodo Posté(e) le 10 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 10 mai il y a 37 minutes, Titus K a dit : Le prix va forcement monter avec la fin de l'ARENH, Pas forcément. Et pourtant je suis plutot libéral, et pourtant je connais "bien" un marché en oligopole mondial ( hors énergie ) avec ses points forts et ses limites. Sous ARENH tu pouvais à titre d'exemple, assez extrême, monter une boite particulièrement légère en cout, qui achète à 42, et qui vendait à 52 ou 62 dans le top 20 top 50 des plus gros consommateurs français. Avec juste qq bureau, sans trop rien faire d'autre ( du commerce sans stock, donc "juste" du quasi courtage ( sauf que là tu assures le risque client sur les paiements mais bon...) Ainsi, tu aurai vendu moins cher que ton fournisseur, et toi tu aurais gagner du pognon pour un service assez inexistant. Et c'est exactement ce qui s'est passé, les gros consommateurs n'étaient plus / ne sont plus chez EDF. Pour ce qui sera du prix post ARENH, il dépendra de toute façon de plusieurs critères. Dont les taxes, et aussi la nécessité des consommateurs de mettre la main au pot pour financer les infras futures. L'ARENH a permis à des clients ( les plus gros ) de ne pas / plus participer à l'effort des infras, en passant au milieu par des parasites inutiles pour du pognon qui s'évapore vers nulle part ( en dehors d'un pouvoir d'achat en France pour ses salariés ). Tout était reporté sur les "petits" clients qui supportaient tout. Quand à tous ceux qui ont financé les parasites en s'abonnant chez eux, ils ont indirectement payé 42- le MWh à la structure qui produit, qui achemine, et qui répare quand y'a une tempête qui passe. 42, donc presque rien; et pas assez. A minima, on va se rapprocher d'une situation ou les utilisateurs sont les payeurs ( en considérant qu'il y a plusieurs groupes bien entendu ), ce qui parait être la moindre des choses dans un monde normal. 1 4 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai il y a 18 minutes, Albatas a dit : Sur le même site : https://www.rte-france.com/eco2mix/les-donnees-de-marche# On peut voir en temps réel (et l'historique) des prix dans les différents pays. Moi je regarde la carte dans ce graphique. C'est drôle de voir la france rester en blanc quand tous les autres passent au rouge. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai Ce que j'aimerais savoir, c'est si ces différences se retrouvent au niveau du consommateur final (nous) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Albatas Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai il y a 8 minutes, ksimodo a dit : Pour ce qui sera du prix post ARENH, il dépendra de toute façon de plusieurs critères. Dans, https://alliancedesenergies.fr/fin-arenh-prix-de-vente-electricite-70-euros-2026/ posté par @Titus K, Je ne suis pas sur de bien comprendre l'idée de "reverser aux clients les marges aux dessus de 70 euros". Ça me donne l'impression d'un prix presque fixe à 70 euros, mais comme on fait semblant qu'il y a un marché, edf peut vendre plus cher mais il reverse le surplus aux clients. Les clients finaux ? Les intermédiaires ? Si le marché est moins cher que 70 euros il se passe quoi ? Et si le prix est fixe, c'est quoi l'histoire des prix plus hauts ? J'avoue que je ne comprend pas complètement ce futur mécanisme... (L'ancien me semblait inique pour edf, mais clair) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 10 mai Share Posté(e) le 10 mai il y a 11 minutes, prof.566 a dit : Ce que j'aimerais savoir, c'est si ces différences se retrouvent au niveau du consommateur final (nous) Non. Nous nous sommes la garantie que EdF arrivera toujours à avoir des revenus. On paye cette garantie mais d'un autre côté on a des tarifs qui ne s'envolent pas trop. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ksimodo Posté(e) le 10 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 10 mai Il y a 1 heure, Albatas a dit : Dans, https://alliancedesenergies.fr/fin-arenh-prix-de-vente-electricite-70-euros-2026/ posté par @Titus K, Je ne suis pas sur de bien comprendre l'idée de "reverser aux clients les marges aux dessus de 70 euros". On est un peu HS allemagne, celà aurait plus sa place sur le sujet dédié énergie. Le sujet à fait l'objet de pas mal de questions, et de longues minutes sur l'audition d'Agnès PR en assemblée ( ou Sénat je sais plus ). Ce devait probablement être Sénat, quand y'a vraiment des questions de qualité c'est là bas, pour la guignolerie faut regarder les questions en assemblée. Le contraste sur la qualité des participants est assez édifiante. J'en profite pour signaler que le lien que tu as mis est presque neutre en apparence, mais la neutralité n'existe pas. Le site et le lien défendent le beefsteak de leur client, donc du client indus, pas le particulier. En ce sens, le paragraphe introductif est sujet à caution: les prix annoncés anciennement "plus compétitifs" ne valaient que pour cette clientèle. Pendant l'ARENH, c'est le particulier et le petit artisan qui a tout pris dans la gueule ( chez EDF ou chez les alternatifs ), pendant que les moyens et les gros ont pour ainsi dire cessé de payer en contributif au réseau et à l'investissement prod, ils ont a peine payé les charges courantes. Certains petits et moyens se sont fait plumer pendant qq mois chez les alternatifs, mais c'est le jeux ma pov" lucette quand tu vas jouer en bourse, tant pis pour eux. Je ne suis pas salarié EDF, mais clairement cette situation n'était pas équilibrée. Pour les remboursement, par pallier, ce que j'ai compris c'est que le client final est remboursé, que ce soit par le fournisseur historique ou par l'alternatif, peu importe. Remboursement à venir, pour faire un // classique et historique, comme si tu as une facture avancée sans relevé conso sur une estimation, et qu'à la suivante ça se corrige sur le réel. Pour compléter, des avis perso et des points factuels: - depuis qq mois seulement ( c'est trés neuf ), le nuk' est bas carbone vu par l'UE, donc on a changé de prisme, et en ce sens NOUS bénéficions d'un progrès absolument immense qu'il faut souligner. Pour le dire de manière cinglante, sans le conflit Ru / Ukr, nous ne l'aurions sans doute pas obtenu. Et en ce sens, il faut aussi souligner l'implication collective de Agnès PR et sa team, de EDF, etc.....et de tout un tas de personnes ( moins chez les alternatifs, évidemment ). - ce qui se fait actuellement et qui a été fait dépend aussi et surtout et grandement de ...Bruxelles ( oui toujours le même méchant quand il en faut un ). La commission UE sur le sujet du CFD semble être au max acceptable sur ce qui est construit en Fr en ce moment, sur le prix plafond MAIS aussi le prix plancher ( on en parle moins ). Lien suivant qui explique trés bien le CFD: https://www.enoptea.fr/articles/comment-les-contrats-pour-difference-cfd-garantissent-des-prix-stables-pour-les-producteurs-denergie/#:~:text=1.,soit le prix du marché. 2 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) le 10 mai Auteur C’est un message populaire. Share Posté(e) le 10 mai Nouveau programme de la CDU : https://www.osw.waw.pl/en/publikacje/analyses/2024-05-08/a-return-to-conservatism-cdus-new-platform Dans son discours d'ouverture, M. Merz a fait référence à plusieurs reprises aux slogans clés du document adopté : liberté et sécurité (le manifeste s'intitule "Vivre en liberté. Conduire l'Allemagne vers son avenir en toute sécurité). Par exemple, il a souligné l'intention de renforcer la capacité de défense de l'Allemagne et de protéger le pays contre la Russie, ainsi que la nécessité de continuer à soutenir l'Ukraine. Il a souligné que l'Allemagne devait améliorer ses relations avec la France ("elles sont les pires depuis de nombreuses années") et renforcer sa coopération avec la Pologne. Outre les questions de sécurité, il a mis l'accent sur les problèmes sociaux et économiques (par exemple, il a proposé de réduire les impôts et d'annuler l'allocation citoyenne de base [Bürgergeld], qui est l'une des initiatives phares de la coalition SPD-Verts-FDP). En ce qui concerne le problème de l'intégration des immigrés, il a souligné la nécessité de maintenir la Leitkultur (culture directrice) de l'Allemagne comme une question d'une importance capitale. Un autre élément important du discours consistait à désigner clairement l'AfD comme le principal rival de la CDU dans la lutte électorale, en particulier lors des élections aux Landtags de Saxe, de Thuringe et de Brandebourg prévues en septembre. Dans ces trois États fédéraux, l'AfD est en tête des sondages et son taux de soutien avoisine les 30 % (la CDU arrive en deuxième position). La plate-forme a délibérément mis l'accent sur un retour au profil conservateur de la CDU. Le document propose ouvertement de limiter l'immigration et souligne la nécessité d'intégrer les nouveaux immigrants dans la société allemande. Il fait également référence à plusieurs reprises à la culture et à la langue allemandes, ainsi qu'au christianisme. Il souligne l'importance de la politique de sécurité et le rôle de la Bundeswehr : il propose par exemple d'introduire une période de service obligatoire d'un an au profit de la société dans son ensemble, que les individus pourraient effectuer dans le cadre du service militaire obligatoire dans la Bundeswehr ou travailler dans des organisations non gouvernementales (en 2011, le gouvernement Merkel a suspendu la conscription). Lors de l'élaboration du document, les points qui ont suscité le plus de controverses portaient sur des questions sociales et morales, y compris un différend sur l'approche des musulmans. Dans la version finale, la formulation a été adoucie et l'accent a été mis sur la déclaration selon laquelle les adeptes de l'islam qui partagent les valeurs allemandes constituent un élément de la communauté allemande. Le différend sur cette question continue de diviser le parti depuis des années, et la formulation actuelle est inacceptable tant pour les partisans les plus libéraux de l'immigration que pour les groupes conservateurs au sein de la CDU. Le partage (nukleare Teilhabe) des armes nucléaires est "un élément important de la dissuasion nucléaire, qui devrait être discuté avec nos partenaires européens tels que la France et le Royaume-Uni, et transformé par la suite en un bouclier de défense nucléaire commun". 1 4 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai Et qu'en pense Scholz qui lui est du SPD ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai Il y a 11 heures, Wallaby a dit : Le partage (nukleare Teilhabe) des armes nucléaires est "un élément important de la dissuasion nucléaire, qui devrait être discuté avec nos partenaires européens tels que la France et le Royaume-Uni, et transformé par la suite en un bouclier de défense nucléaire commun". Pas de partage sans autorité supra nationale. Double clef probable. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai 45 minutes ago, herciv said: Pas de partage sans autorité supra nationale. Double clef probable. Bien sûr, et seulement un escadron... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Desty-N Posté(e) le 11 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 mai il y a 41 minutes, prof.566 a dit : il y a une heure, herciv a dit : Pas de partage sans autorité supra nationale. Double clef probable. Bien sûr, et seulement un escadron... Je suis tout à fait pour … si la RFA nous achète en préalable un escadron de Rafales (et bien évidemment un achat avec les mêmes conditions de transfert technologique ou de contreparties industrielles que pour l’acquisition du F-35 ) 2 7 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 11 mai Share Posté(e) le 11 mai je mets l'article ici. Ca peut faire sourire de prime abord, mais derrière il y a une réalité ( que même en France beaucoup de gens ne perçoivent pas ). Quand on paye un kebab, on paye 90% d'énergie. En soi le pain la viande les légumes sont minoritaires, et de toute façon c'est essentiellement de l'énergie aussi. Et on paye des charges fixes, et un revenu sur lequel le vendeur voudra vivre. Et ce qui est vrai pour le kébab est vrai pour TOUS les produits de consommation. Il y a qq mois, en France, une copine m'explique que dans la semaine elle est allée un soir au kébab du coin de la rue avec son fils, donc 2 kebabs et 2 boissons. Et elle s'est sentie toute couillonne quand elle a tendue - asurée - son billet de 20 euros et que le kébabiste lui a répondu....heu...il en manque. https://www.20minutes.fr/monde/allemagne/4090565-20240511-allemagne-prix-kebab-bientot-plafonne-table-parlement 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 11 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 mai (modifié) Je cherche la source "étude stanford" de ces chiffres donnés par les Grünen sur leur site officiel https://www.gruene-bundestag.de/themen/atomausstieg/fragen-und-antworten-zur-atomkraft Malheureusement il n'y a pas de lien vers l'étude sur le site, ce doit a être un oubli malencontreux a n'en pas douter Citation Émissions de CO2 (selon la chaîne d'approvisionnement, d'où les fourchettes) AKW (--> c'est nucleaire) 78-178g CO2/kWh Photovoltaïque 0,8-26,9g CO2/kWh Énergie éolienne 4,8-14,8g CO2/kWh Gaz 230-481g CO2/kWh Lignite 730-1.000g CO2/kWh (Source : Étude Stanford, 2019) Deux pépites en + pour les gourmands (attention a la crise de foie par contre) : - L'année 2022 a montré de manière impressionnante que c'est précisément l'énergie nucléaire imprévisible qui peut mettre en danger de manière imprévisible la sécurité d'approvisionnement d'un pays comme la France. - En raison de perturbations et de maintenances prolongées, l'énergie nucléaire n'est pas disponible en moyenne plus d'un cinquième du temps, un record par rapport à d'autres sources d'électricité. L'Institut allemand d'économie (DIW) a fait des recherches à ce sujet. La France 2022 a montré que cela pouvait être encore pire : jusqu'à 32 réacteurs sur 56 n'étaient pas sur le réseau et le pays dépendait d'importations massives d'électricité. Cela est dû, d'une part, aux dommages à la corrosion dans plusieurs anciens réacteurs, mais aussi à une vague de chaleur persistante en été. En effet, les centrales nucléaires ne s'adaptent pas bien aux effets de la crise climatique, de la chaleur et du manque d'eau : pour fonctionner sans être dérangées, elles ont généralement besoin de températures douces et de beaucoup d'eau de refroidissement provenant des rivières. Et l'approvisionnement en eau devient de plus en plus imprévisible en raison de la crise climatique, et pas seulement en France. On apprend au passage que 24/56 c'est PIRE que 1/5 ...... (article publié deux semaines après la légalisation du cannabis récréatif) Modifié le 11 mai par Titus K 9 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 12 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 mai Il y a 17 heures, Desty-N a dit : Je suis tout à fait pour … si la RFA nous achète en préalable un escadron de Rafales (et bien évidemment un achat avec les mêmes conditions de transfert technologique ou de contreparties industrielles que pour l’acquisition du F-35 ) Et mis en oeuvre par des pilotes et mécaniciens Français, il faut le préciser. Mais payés par la Bundeswehr avec un salaire allemand et une BMW ou Mercedes de fonction à partir du grade de Sergent. Et AMG pour les pilotes afin de stimuler leur conduite sportive. Il y a 9 heures, Titus K a dit : Je cherche la source "étude stanford" de ces chiffres donnés par les Grünen sur leur site officiel https://www.gruene-bundestag.de/themen/atomausstieg/fragen-und-antworten-zur-atomkraft Malheureusement il n'y a pas de lien vers l'étude sur le site, ce doit a être un oubli malencontreux a n'en pas douter Deux pépites en + pour les gourmands (attention a la crise de foie par contre) : - L'année 2022 a montré de manière impressionnante que c'est précisément l'énergie nucléaire imprévisible qui peut mettre en danger de manière imprévisible la sécurité d'approvisionnement d'un pays comme la France. - En raison de perturbations et de maintenances prolongées, l'énergie nucléaire n'est pas disponible en moyenne plus d'un cinquième du temps, un record par rapport à d'autres sources d'électricité. L'Institut allemand d'économie (DIW) a fait des recherches à ce sujet. La France 2022 a montré que cela pouvait être encore pire : jusqu'à 32 réacteurs sur 56 n'étaient pas sur le réseau et le pays dépendait d'importations massives d'électricité. Cela est dû, d'une part, aux dommages à la corrosion dans plusieurs anciens réacteurs, mais aussi à une vague de chaleur persistante en été. En effet, les centrales nucléaires ne s'adaptent pas bien aux effets de la crise climatique, de la chaleur et du manque d'eau : pour fonctionner sans être dérangées, elles ont généralement besoin de températures douces et de beaucoup d'eau de refroidissement provenant des rivières. Et l'approvisionnement en eau devient de plus en plus imprévisible en raison de la crise climatique, et pas seulement en France. On apprend au passage que 24/56 c'est PIRE que 1/5 ...... (article publié deux semaines après la légalisation du cannabis récréatif) Cannabis, LSD bio-équitable, gaz hilarant, plutonium de qualité militaire des B61-12... On ne sait visiblement plus quelle drogue prendre pour continuer à ressentir son "kick" chez les verts (de gris)! 1 2 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 12 mai Share Posté(e) le 12 mai (modifié) Quelle fumisterie ce rapport, tout est à charge contre le nucléaire et coté dépendances c'est le pompon! Eux se rendent moins dépendant de quoi ? Des Russes pour le combustible de leurs centrales nucléaire qui ne représentait déjà pas grand chose (5%), du gaz, alors que c'était leur volonté, des conditions climatiques tant rabâchées qui affecteraient plus les centrales nucléaire que les parcs éolien ou photovoltaïques alors que dans le même temps ils pensent "remplacer" à 80% notre équivalent nucléaire tributaire de ces mêmes aléas climatique tout en relativisant sur la pollution générée par les centrales thermique à charbon ou gaz pour y palier ? Se servir de notre parc nucléaire selon leurs besoins tant en productions (quand ça les arrangent) ou en modèle à ne pas suivre pour des tas de raisons en occultant le contexte des années Covid, la sécurité (normes les plus sévères au monde), souligné le coût astronomique des nouvelles centrales nucléaire Française à raison pour la perte de savoir faire et des complications des systèmes de sécurités ou Siemens était impliqué avant de se retirer du secteur nucléaire ne conservant que la partie logiciels de gestions qui d'ailleurs restait sensible à un certain "vers informatique" ayant affecté pas mal de centrales équipées de part le monde. Bref, ces verts de gris mériteraient une bonne pénurie ou des coupures pour toucher du doigt la complexité/complémentarité/rentabilité suivant les pays avec les normes pondues et la limite des alternatives pour une énergie produite au plus prés de la demande à l'instant "T" pas de l'énergie en surproduction d'un coté et en tension lorsque les conditions sont les plus défavorables. Il est vrais que l'on a beaucoup importé en 2021 et 2022 pour palier à la maintenance de nos centrales nucléaire qui avait été totalement désorganisé lors de la période Covid, un effort de rationalisation a été fait et le constat est là. Depuis, les choses se sont inversées, c'est nos centrales nucléaire qui fournissent nos voisins quand les réseaux le supportent et personnes ne semblent s'en plaindre à par ces voix dissonantes d'outre Rhin. Il se dessine une "coalition" avec les US derrière afin de pourrir les accords Framatome/Siemens/Rosatom histoire de briser la filière nucléaire Française, à ce petit jeu les Allemand ne seront pas les derniers. Modifié le 12 mai par MIC_A 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 12 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 mai Finalement on a pas besoin des Russes pour avoir des ennemis menaçants 1 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 12 mai Share Posté(e) le 12 mai (modifié) Il y a 14 heures, ksimodo a dit : je mets l'article ici. Ca peut faire sourire de prime abord, mais derrière il y a une réalité ( que même en France beaucoup de gens ne perçoivent pas ). Quand on paye un kebab, on paye 90% d'énergie. En soi le pain la viande les légumes sont minoritaires, et de toute façon c'est essentiellement de l'énergie aussi. Et on paye des charges fixes, et un revenu sur lequel le vendeur voudra vivre. Et ce qui est vrai pour le kébab est vrai pour TOUS les produits de consommation. Il y a qq mois, en France, une copine m'explique que dans la semaine elle est allée un soir au kébab du coin de la rue avec son fils, donc 2 kebabs et 2 boissons. Et elle s'est sentie toute couillonne quand elle a tendue - asurée - son billet de 20 euros et que le kébabiste lui a répondu....heu...il en manque. https://www.20minutes.fr/monde/allemagne/4090565-20240511-allemagne-prix-kebab-bientot-plafonne-table-parlement Quand j’habitais à Berlin (2002/2006) tu avais des kebabs à 2,5€ voir moins dans certains coins… j’en ai tellement mangé que pendant plusieurs années après rien que l’idée du Döner me donnait la nausée. Modifié le 12 mai par Conan le Barbare 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 12 mai Share Posté(e) le 12 mai il y a 50 minutes, Conan le Barbare a dit : Quand j’habitais à Berlin (2002/2006) tu avais des kebabs à 2,5€ voir moins dans certains coins… j’en ai tellement mangé que pendant plusieurs années après rien que l’idée du Döner me donnait la nausée. Pour ma part, je suis resté très "traditionaliste" sur le jambon/beurre ou pain bagnat, lors de restaurations dites "rapides" je me suis rendu une seule fois dans un Macdo dans les années 90, seul endroit proche de mon lieu temporaire de travail et je m'en rappelle encore, tellement c'était indigeste et peu appétissant. Bref, les goûts et le couleurs ça se discutent pas mais faut avouer qu'au pays de la gastronomie fine, les papilles se sont altérées et la mal bouffe devenue un standard ! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 12 mai Share Posté(e) le 12 mai il y a 43 minutes, MIC_A a dit : Pour ma part, je suis resté très "traditionaliste" sur le jambon/beurre ou pain bagnat, lors de restaurations dites "rapides" je me suis rendu une seule fois dans un Macdo dans les années 90, seul endroit proche de mon lieu temporaire de travail et je m'en rappelle encore, tellement c'était indigeste et peu appétissant. Bref, les goûts et le couleurs ça se discutent pas mais faut avouer qu'au pays de la gastronomie fine, les papilles se sont altérées et la mal bouffe devenue un standard ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 13 mai Share Posté(e) le 13 mai Comme un lundi ... 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 14 mai Share Posté(e) le 14 mai (modifié) Scholz traine sa peine et à la "remorque", ou il semble plongé dans ses pensées et pas vraiment intéressé par la visite du hall d'exposition des suppositoires grands formats. Modifié le 14 mai par MIC_A Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) le 21 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 mai (modifié) 1/2 https://dokdoc.eu/fr/politique/23147/les-relations-franco-allemandes-meritent-mieux-que-cela/ Relations franco-allemandes Les relations franco-allemandes méritent mieux que cela ! Quiconque s’intéresse de près ou de loin aux relations franco-allemandes a certainement souvent secoué au cours des derniers mois. La manière dont on parle du voisin au plus haut niveau politique, mais aussi dans les débats publics, ne fait pas honneur à la cause européenne. Très souvent, Français et Allemands n’ont plus qu’une vision caricaturale les uns des autres. J’écoute tous les jours des émissions radio du service public français. Travaillant moi-même comme journaliste pour des chaînes de radio publiques de l’ARD, je suis très envieux de la qualité d’émissions telles que « C dans l’air », « C ce soir », « Affaires étrangères » ou « L’Esprit public ». Mon impression est que l’opinion publique française débat de questions complexes à un niveau plus élevé qu’en Allemagne – mais cela se limite peut-être aux émissions que j’ai moi-même sélectionnées. Pourtant, ces émissions ne font malheureusement pas exception quand il s’agit de porter un regard critique sur l’actualité allemande. On a pu de nouveau le constater à la suite des déclarations d’Emmanuel Macron en février dernier à propos de la guerre en Ukraine : on ne doit plus rien exclure, pas même l’envoi de troupes au sol – des propos fortement critiqués même en France, Pascal Boniface allant même jusqu’à déclarer qu’il ne voulait pas mourir pour le Donbass. Dans le même temps, certains intellectuels très en vue, le théologien et éditeur Jean-François Colosimo par exemple, ont soutenu que le véritable problème était l’Allemagne du fait, notamment, de son refus de livrer le Taurus à Kiev. L’Ukraine comme révélateur À Berlin, en revanche, politiques et journalistes n’ont de cesse de rappeler qu’avec environ 14,5 milliards d’euros, l’Allemagne est le pays qui, après les États-Unis, soutient le plus l’Ukraine. La France, elle, n’arriverait qu’en sixième position avec 3,8 milliards d’euros. C’est du moins ce que dit l’Institut d’économie mondiale de Kiel. La France ne lui fait que partiellement confiance et souligne à l’envi que l’Allemagne promet beaucoup mais qu’elle ne tient pas toujours ses engagements, contrairement à Paris. J’ai eu récemment un entretien très instructif avec le général Dominique Trinquand, un militaire aux multiples décorations et qui a travaillé pour la France aux Nations unies, à l’OTAN et à l’Union européenne. Le général Trinquand est un analyste calme et pondéré, et qui a de surcroît la capacité, si rare de nos jours, à se mettre à la place de l’autre. Lui aussi m’a dit que Kiel était en grande partie responsable des difficultés auxquelles la relation franco-allemande était aujourd’hui confrontée (« Il y est pour beaucoup »). D’autres sont allés jusqu’à s’insurger : la France a mis à la disposition de l’Ukraine une grande partie de son artillerie, ainsi que des missiles de croisière à longue portée. De plus, contrairement à la Bundeswehr, les troupes françaises sont engagées dans de vraies opérations, elles ont donc besoin de matériel. C’est là que la discussion prend un tout autre caractère. Ne pensez surtout pas qu’en tant que Français né en Allemagne, je vais m’ériger en défenseur du gouvernement fédéral : lui aussi aura droit à son lot de critiques. On a suffisamment insisté sur le fait qu’Angela Merkel n’avait pas répondu au premier discours de la Sorbonne, laissant le Président sur sa faim. L’actuel gouvernement n’a pas contribué non plus au dégel tant attendu. C’est l’incompréhension, voire même le désintérêt, qui semble aujourd’hui dominer. Tout le contraire des élites françaises, comme j’ai pu le remarquer à plusieurs reprises à Paris. Monique Dagnaud, chercheuse en sciences sociales avec qui je discutais récemment de la formation des élites françaises, me dit après notre entretien : « L’Allemagne est une énigme pour nous ». Journaliste au Monde, Sylvie Kaufmann me dit même qu’à Paris, elle observait une véritable obsession à vouloir comprendre les Allemands. Se parlent-ils encore ? Les deux parties semblent souvent s’ignorer, voire même ne plus communiquer. En avril 2023, dans l’avion qui le ramenait de Chine, Macron a déclaré que l’Europe devait devenir un troisième pôle dans le monde multipolaire, aux côtés des États-Unis et de la Chine – et qu’elle ne devait pas devenir le vassal de Washington. Nombreux furent alors ceux qui, à Berlin, en eurent le souffle coupé. Pas l’un d’entre eux n’a toutefois indiqué comment ils comptaient soutenir Taïwan en cas de blocus maritime. Ce faisant, une chose est de nouveau clairement apparue lors de la visite du chancelier Scholz à Paris en avril dernier : l’importance de la Chine pour l’industrie allemande. La guerre de Gaza donne elle aussi à voir de nombreuses incompréhensions franco-allemandes. Après l’attaque du 7 octobre, Macron a cherché à former une alliance anti-Hamas et a dû essuyer un cuisant échec. Mi-novembre, le président français s’est prononcé en faveur d’un cessez-le-feu ; la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock s’y est promptement opposée. Début décembre, Macron a demandé aux autorités israéliennes de définir leurs objectifs militaires à Gaza. Peu après, Robert Habeck, le ministre de l’Économie, a déclaré dans une émission de télévision très populaire en Allemagne (Anne Will, 2007-2023) : « Je ne sais pas où Macron voulait exactement en venir. S’il voulait dire par-là qu’Israël doit accepter les bombardements du Hamas, je ne partage pas son avis ». De deux choses l’une : soit Habeck voulait nuire à son au président français, soit il ne l’a pas compris. Ce furent ensuite les déclarations de Macron concernant l’envoi éventuel de troupes au sol en Ukraine. Une grande partie de l’opinion publique allemande y a vu une tentative du président français de plonger l’Europe dans la guerre. Là encore, rares furent ceux qui tentèrent de comprendre le point de vue français. La politologue Lova Rinel (Fondation pour la Recherche Stratégique) a comparé les propos de Macron à une scène de la deuxième partie de la série Harry Potter, « La Chambre des Secrets ». Dans cette scène, Harry parle à un serpent en Fourchelang, une langue que seuls lui et le méchant Lord Voldemort comprennent. Harry tente d’empêcher le serpent d’attaquer un élève, mais le public ne comprend pas ce qui se passe. Au lieu de cela, les camarades de classe de Harry pensent qu’il cherche à exciter le serpent. La comparaison est on ne peut plus pertinente : les puissances nucléaires parlent une langue que beaucoup, en Allemagne et dans le reste de l’Europe, ne comprennent pas. Ce que Macron a voulu faire, c’est de montrer à Poutine qu’il ne veut certes pas aller jusqu’à prendre pareille décision mais que s’il le fallait, il aurait les moyens de le faire. L’Allemagne n’a pas réussi à faire passer ce message, peut-être par que c’était moins risqué mais peut-être aussi par peur des conséquences. Il n’en reste qu’en France aussi, de nombreux citoyens s’interrogent sur la stratégie de leur président. Modifié le 21 mai par Manuel77 9 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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