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USA - Rumeurs, controverses, polémiques & criailleries


Messages recommandés

il y a 14 minutes, Boule75 a dit :

Tant qu'il re-retourne sa veste sur le traité de Paris et plein d'autre trucs, il faut prendre. Je crains que ce ne soit illusoire.

On a un emplacement pour un Trump Tower quelque part, de préférence loin du centre historique ? Des volontaires ?

J'ai une piste.

C'est pas exactement loin du centre historique, mais ce n'est pas l'île de la Cité non plus.

Evidemment, ça ferait un peu mal quand même :unsure: ... Faut-il faire ce sacrifice ?

Voici une interview de The Donald par Paris Match en 1989, et à lire le titre vous devinerez tout de suite l'angle d'attaque...

Donald-Trump-Je-ne-pourrais-jamais-m-off

Et un petit extrait pour le plaisir... :happy:

Citation

Vous arrive-t-il d’envisager la vie comme un jeu?

- Ma vie est un jeu de Monopoly grandeur réelle et c’est excitant.

(...)

Et la présidence des Etats Unis... ?

- Je pense avoir un bon contact avec les Américains, Un jour, peut-être je me déciderai mais pas pour le moment.

(...) Vous vous imaginez un jour vieux comme Howard Hughes, enfermé au sommet de l’une de vos tours d’ivoire ?

- Je crois savoir pourquoi Howard Hughes s’est isolé du monde. Il ne pouvait plus faire un pas sans qu’on lui intente un procès pour pouvoir lui prendre un peu de son argent. Il y a trop d’avocats dans cette ville. Je ne crois pas que cela m’arrivera mais tout est possible...

La présidence, les avocats aux fesses en permanence, le Monopoly grandeur nature y compris en politique étrangère

... tout cela est prémonitoire :laugh: ! 

Modifié par Alexis
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1 hour ago, Boule75 said:

Tant qu'il re-retourne sa veste sur le traité de Paris et plein d'autre trucs, il faut prendre. Je crains que ce ne soit illusoire.

On a un emplacement pour un Trump Tower quelque part, de préférence loin du centre historique ? Des volontaires ?

Je propose d'offrir publiquement de le loger au château de St Cloud :happy:.... Et d'avoir quelqu'un sur place pour prendre la photo de sa tronche à l'arrivée. 

Sinon.... Le château d'If?

Ou, allez, soyons bonnes pâtes: on le fait pioncer à Souzy-la-briche. Le château est en partie fait pour, et tout le monde a l'air de se le refiler comme une patate chaude pour ne pas y aller (et ils se ruent à la Lanterne). 

 

Modifié par Tancrède
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il y a 3 minutes, Tancrède a dit :

Je propose d'offrir publiquement de l loger au château de St Cloud :happy:.... Et d'avoir quelqu'un sur place pour prendre la photo de sa tronche à l'arrivée.

Attend... Je tiens l'Idée. L'idéal, c'est de mouiller Pence aussi en passant, sinon ça risque de pas durer, ils vont sortir du deal. Je rappelle les contraintes : une tour, bien visible pour qu'on puisse la dorer, entourée d'une zone déjà moche, pas loin d'un aéroport, a great deal mais avec un côté chrétien et évangélisation ; quelques armes par ci par là seraient un plus.Et là vous me dites "mais c'est bien sûr !"...

Révélation

Tour_pleyel.jpg

La tour Pleyel, à Saint Denis, nécropole des rois, tout ça ! ça en jette ! :cool:

Avec un gros TRUMP qui tourne en haut !

Et s'il nous les brise trop, paf la tuile : désamiantage...

Je creuse pour le golf. L'usine PSA à St Ouen, peut être, sur le toît...

 

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il y a 35 minutes, FATac a dit :

Dites-moi : je me trompe (!) ou cet hélicoptère n'est pas très "America first" ?

Bien vu. :smile:

C'est dans l'interview, la légende de la photo

Citation

Donald Trump en 1989 devant son Puma, son jouet favori: "C'est le plus bel hélicoptère du monde. J'adore le regarder. Il vient de France."

 

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J'ai comprit pourquoi on l'invite le 14 juillet !:bloblaugh: On va lui proposé une flottille d' EC225 Super Puma en lieu et place du Sikorsky S-92 pour ''Marine One'' ! On pourra le faire fabriqué dans l'usine Airbus aux USA, comme cela il sera''made in USA'' :)

Modifié par collectionneur
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Le 27/06/2017 à 10:55, rogue0 a dit :

Le fameux ambassadeur russe aux USA devrait bientôt être remplacé.

Manquera-t-il aux membres de l'équipe Trump, sachant qu'ils ne se souviennent jamais de lui ? :rolleyes:

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http://www.politico.com/story/2017/06/28/tillerson-blows-up-at-white-house-aide-240075 (28 juin 2017)

Tillerson a pété les plombs dans le bureau de Priebus, parce qu'on [Johnny DeStefano, directeur du personnel du président] ne le laisse pas embaucher qui il veut dans son ministère.

L'ancien PDG d'Exxon Mobile, accoutumé à avoir le dernier mot sur les embauches et sur la politique dans sa vie en entreprise, répugne à recevoir des ordres de la part de collaborateurs politiques plus jeunes et moins expérimentés que lui.

 

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il y a 7 minutes, Wallaby a dit :

http://www.politico.com/story/2017/06/28/tillerson-blows-up-at-white-house-aide-240075 (28 juin 2017)

Tillerson a pété les plombs dans le bureau de Priebus, parce qu'on [Johnny DeStefano, directeur du personnel du président] ne le laisse pas embaucher qui il veut dans son ministère.

L'ancien PDG d'Exxon Mobile, accoutumé à avoir le dernier mot sur les embauches et sur la politique dans sa vie en entreprise, répugne à recevoir des ordres de la part de collaborateurs politiques plus jeunes et moins expérimentés que lui.

Le résumé est un peu réducteur : lire l'article.

Les reproches semblent réciproques, et on les retrouve dans pleins de sources.
Comme ils ne sont pas dénoncés comme Fake News, je suppose qu'ils ont été fuités volontairement par Kushner/Bannon et Tillerson?...

Par exemple, dans cet article, la Maison Blanche lui reproche de tarder à proposer des candidats ... tâche pas facile vu la radioactivité de cette administration.
Et on avait vu un article sur le fil Qatar (source American Conservative), où Tillerson était excédé de se faire court-circuiter et désavouer par la diplomatie parallèle d'un jeunot nommé Kushner.

Après, selon les bruits qui courent, Tillerson avait déjà proposé sa démission il y a 1-2 mois ( et cela lui avait déjà donné un peu d'air pour respirer).
Je ne suis pas sûr que la même technique donne les mêmes résultats

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il y a 3 minutes, rogue0 a dit :

Comme ils ne sont pas dénoncés comme Fake News, je suppose qu'ils ont été fuités volontairement par Kushner/Bannon et Tillerson?..

A priori étaient présents Tillerson, DeStefano, Priebus, Kushner et Peterlin.

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2 hours ago, rogue0 said:

Le résumé est un peu réducteur : lire l'article.

Les reproches semblent réciproques, et on les retrouve dans pleins de sources.
Comme ils ne sont pas dénoncés comme Fake News, je suppose qu'ils ont été fuités volontairement par Kushner/Bannon et Tillerson?...

Par exemple, dans cet article, la Maison Blanche lui reproche de tarder à proposer des candidats ... tâche pas facile vu la radioactivité de cette administration.
Et on avait vu un article sur le fil Qatar (source American Conservative), où Tillerson était excédé de se faire court-circuiter et désavouer par la diplomatie parallèle d'un jeunot nommé Kushner.

Après, selon les bruits qui courent, Tillerson avait déjà proposé sa démission il y a 1-2 mois ( et cela lui avait déjà donné un peu d'air pour respirer).
Je ne suis pas sûr que la même technique donne les mêmes résultats

C'est tout le trip: en l'occurrence, les fuites ne viennent pas de la famille présidentielle ou de la bande à Banon, mais d'autres coin de la MB: un journaliste disait ce matin qu'au moins 4 hauts fonctionnaires sur place lui avaient dit depuis 3 mois que Tillerson était là pour servir de façade et voyager de par le monde pour aller taper le carton avec les chefs d'Etat, mais que c'était Kushner le vrai Secrétaire d'Etat, selon la volonté de Trump, ce que Tillerson -tout sauf exempt de fautes dans sa fonction par ailleurs- n'apprécie pas du tout. Soit par fierté, soit par frustration d'avoir quitté un job puissant et bien payé pour ça, soit par frustration d'une ambition particulière qu'il aurait pu avoir (pour son ex-groupe, pour sa fin de carrière....). 

 

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Il y a 13 heures, Tancrède a dit :

C'est tout le trip: en l'occurrence, les fuites ne viennent pas de la famille présidentielle ou de la bande à Banon, mais d'autres coin de la MB: un journaliste disait ce matin qu'au moins 4 hauts fonctionnaires sur place lui avaient dit depuis 3 mois que Tillerson était là pour servir de façade et voyager de par le monde pour aller taper le carton avec les chefs d'Etat, mais que c'était Kushner le vrai Secrétaire d'Etat, selon la volonté de Trump, ce que Tillerson -tout sauf exempt de fautes dans sa fonction par ailleurs- n'apprécie pas du tout. Soit par fierté, soit par frustration d'avoir quitté un job puissant et bien payé pour ça, soit par frustration d'une ambition particulière qu'il aurait pu avoir (pour son ex-groupe, pour sa fin de carrière....). 

Pour ceux qui ne souviennent pas des années Bush, le ministre des affaires étrangères aux USA est un job bien rentable si tu sais bien l'exploiter rigoureusement sans aucun scrupule.

Cheney, le VP avait aussi la fonction de ministre des affaires étrangères au noir. Il profitait de ses relations industrielles riches et nombreuses (Enron, Halliburton, ...). La cour suprême a du lui imposer de garder des notes. Cheney voulait travailler complètement anonymement. Il y avait un vrai ministre des affaires étrangères qui s’occupait des fonctions que Cheney ne jugeait pas assez rentables.

Tillerson probablement rêve de devenir le nouveau Cheney. Ses relations avec Exxon lui facilitent pour rendre cette tache très rentable.

Tancrède suppose que le vrai ministre des affaires étrangères, c’est Kushner.

Il est probable que ni Trump, ni Kushner ne veulent laisser un job bien rentable à des étrangers. Je ne dis pas que ces deux vont arriver à tirer autant d’argent que Cheney. Mais ils vont essayer...

 

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http://www.globaltimes.cn/content/1054231.shtml (29 juin 2017)

Peu de temps après les démissions de trois journalistes à cause d'une information qu'ils avaient présentée sur de prétendus liens avec la Russie d'un collaborateur de Trump, un producteur de CNN a été enregistré à son insu dans une vidéo où il est en train de dire "nous n'avons pas de grandes preuves géantes". Lorsqu'on lui demande pourquoi CNN a malgré tout publié l'information, il répond "à cause de l'audience".

https://www.usatoday.com/story/money/2017/06/27/cnn-shrugs-off-veritas-video-trump-lashes-out-network/432423001/ (27 juin 2017)

"Je crois qu'il y a énormément de téléspectateurs de gauche de CNN qui veulent que Trump fasse l'objet d'enquêtes vraiment très serrées", dit Bonifield dans une vidéo en conduisant. "Et je pense que si nous nous étions comportés de cette façon avec le président Obama et avions examiné tout ce qu'il faisait de façon aussi minutieuse que nous nous y appliquons avec Trump, je pense que nos téléspectateurs auraient été dégoutés".

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50 minutes ago, Wallaby said:

http://www.globaltimes.cn/content/1054231.shtml (29 juin 2017)

Peu de temps après les démissions de trois journalistes à cause d'une information qu'ils avaient présentée sur de prétendus liens avec la Russie d'un collaborateur de Trump, un producteur de CNN a été enregistré à son insu dans une vidéo où il est en train de dire "nous n'avons pas de grandes preuves géantes". Lorsqu'on lui demande pourquoi CNN a malgré tout publié l'information, il répond "à cause de l'audience".

https://www.usatoday.com/story/money/2017/06/27/cnn-shrugs-off-veritas-video-trump-lashes-out-network/432423001/ (27 juin 2017)

"Je crois qu'il y a énormément de téléspectateurs de gauche de CNN qui veulent que Trump fasse l'objet d'enquêtes vraiment très serrées", dit Bonifield dans une vidéo en conduisant. "Et je pense que si nous nous étions comportés de cette façon avec le président Obama et avions examiné tout ce qu'il faisait de façon aussi minutieuse que nous nous y appliquons avec Trump, je pense que nos téléspectateurs auraient été dégoutés".

Notons bien que la fameuse vidéo vient du réseau Veritas, bien connu pour son activisme et sa malhonnêteté "journalistique" intentionnelle: c'est une organisation d'agit prop, menée par James O'Keefe, un émule et pote de Roger Stone, le "trickster" en chef de la droite dure depuis Richard "Dirty Tricks" Nixon (dont il a le visage tatoué sur le dos) et actif soutien de Donald Trump, qui crée de tels "reportages" vidéos dans le cadre d'opérations d'intox, d'infiltrations et de manipulations de témoins, et les édite très lourdement. Ils se sont fait choper cette année, au moment de l'inauguration de Trump (et c'était loin d'être la première fois), dans une opération foireuse où ils essayaient de convaincre (y compris en payant) des groupes de gauche de lancer des manifestations violentes à Washington. J'avais fait un post sur la chose (topic USA) d'ailleurs. Donc ce qui vient de Veritas est à prendre avec des.... Non, en fait, c'est à ne pas prendre. Ces groupes de tous horizons, désormais financés à l'année via la manne de fric qui se déverse en permanence sur la politique américaine, sont à repérer et à fuir comme la peste. 

 

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Le 28/06/2017 à 14:43, Tancrède a dit :

, mais parce qu'à ce stade, (...prudence) conflits d'intérêts, collusions financières et relations de business entre le clan Trump et diverses entités (dont, directement et indirectement, la Russie),

(...)Le nom de la Deutsche Bank revient beaucoup ces jours-ci, de même que celui de la pseudo-banque russe VEB, ce qui met non seulement Trump, mais aussi son gendre, Jared Kushner, en première ligne, notamment parce qu'au mois d'octobre dernier, moins de 30 jours avant le résultat de l'élection, il a reçu un prêt massif (285 millions de dollars) de Deutsche Bank, et qu'il a fortement interagi avec VEB (qui sert plus de "slush fund" et d'outil d'action extérieure au pouvoir russe qu'autre chose) lors de plusieurs deal (...)

Deutsche Bank, plus important créditeur de Trump, opérait une vaste opération de blanchiment d'argent russe,pour laquelle la banque s'est faite épingler aux USA et est actuellement dans une longue procédure judiciaire

(Tancrede sourcing ON)

* Pour les curieux, voici l'article source : 

https://www.washingtonpost.com/amphtml/national/kushner-firms-285-million-deutsche-bank-loan-came-just-before-election-day/2017/06/25/984f3acc-4f88-11e7-b064-828ba60fbb98_story.html

Je l'avais vu mais je ne l'avais pas retransmis  :  j'avais jugé le lien avec la présidence Trump trop ténu.

S'il n'y avait pas le nom de famille et Deutsche bank, ça serait juste un joli coup financier (a la buffett + 56 %  en immobilier en quelques années).

Si je vois des casseroles avérées sur Trump (et qui font du mal au peuple américain), je tire.

Mais quand on vise un président, vaut mieux relever le standard de preuve (sinon on se retrouve avec des articles  trop orientés style Air Cocaine tentant de tremper Sarko pour un rien...).

(Sotto voce) en plus, Trump a tellement de casseroles qu'on peut se permettre d'être selectif:tongue:

* Autre exemple de prudence : l'article suivant un titre putaclick sur l'argent sale russe et Trump.

http://amp.miamiherald.com/news/local/community/miami-dade/article157640179.html

Après lecture, la seule chose qu'on peut prononcer, c'est que de gros flux d'argent sont injectés en Floride dans l'immobilier (y compris dans un programme immo Trump) :  dont la Mafia russe (présumé sale).

L'article ne mentionne pas  les fonds  chinois et petromonarchies, mais il doit y en avoir. (Le titre a été changé).

* les réserves étant dites, je suis d'accord avec @Tancrède, @hadriel et @Rob1.

 L'hypothèse la plus probable pour moi sur les liens Trump Russie, c'est qu'il est tenu par l'argent sale. (Et peut être plus pour son entourage).

Cela expliquerait en grande partie ses actions et sa "déférence" poutinienne (il essaie encore de donner des gages a la russie avant le g20 tient...), et les conversations interceptées des agents russes parlant de leur "leverage" sur son entourage.

Et ce sans aller jusqu'au kompromat "hard" de lui ou son entourage (sextape, trahison/ chantage/agent direct). A ce stade de l'enquête, si on n'a pas trouvé de smoking gun sur un téléguidage direct de son entourage par Moscou, je considère que ça ne sera pas prouvable (pas assez pour convaincre  des électeurs républicains en tout cas).

C'est soit ça ou la bromance xxx avec vlad :biggrin:.

Bref, la proba de survie de trump jusqu'à 2019 a fortement remonté... Ce qui amène a la question existentielle : 

Faut il shorter la bourse US ? :blush::chirolp_iei:

 

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Il y a 2 heures, Tancrède a dit :

Donc ce qui vient de Veritas est à prendre avec des.... Non, en fait, c'est à ne pas prendre.

Si Veritas était une source unique non-corroborée, une telle prudence serait de rigueur, mais en l'espèce, ce que dit Veritas est confirmé par CNN qui reconnaît la véracité de la vidéo.

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17 minutes ago, Wallaby said:

Si Veritas était une source unique non-corroborée, une telle prudence serait de rigueur, mais en l'espèce, ce que dit Veritas est confirmé par CNN qui reconnaît la véracité de la vidéo.

Oui, mais décontextualisée: l'interview de Van Jones sur le sujet, si on ne s'en tient qu'à ce qu'il dit dans leur vidéo et le contexte dans lequel elle place l'entretien, dément un truc qu'il a dit sur le sujet quelques jours avant, et lui-même confirme le fait. Il ne s'est pas contredit, il a été utilisé. 

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Un effet kiss kool des sanctions Obama contre le FSB, révélé seulement maintenant:

Dans leur forme initiale, cela aurait bloqué tous les exports de produit US contenant de la crypto (téléphone portable, ordinateur, voiture ...)
En effet, le FSB sert de régulateur en russie pour ce domaine.

Les grandes compagnies US ont donc discrètement fait du lobbying pour alléger les sanctions sur ce point (cad ne pas faire du business avec du FSB OK, mais vendre en russie, c'était des gros sous :rolleyes:).
Aucune compagnie n'a voulu admettre faire partie de cet effort.

http://www.reuters.com/article/us-usa-russia-tech-insight-idUSKBN19L10I

 

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Le 29/06/2017 à 18:43, Wallaby a dit :

Attention, quand le père Trump déclenche une controverse, c'est peut-être qu'il veut détourner l'attention d'autre chose.

Par exemple de cet article d'hier du WSJ, qui reparle des efforts d'un agent républicain (Peter W Smith) pour récupérer les emails "perdus" des Clintons... 
Y compris en contactant plusieurs groupes de hackers qui pourraient les avoir "récupéré" (tombés du camion).
Il est aussi allé frapper à la porte de ... 2 groupes de hackers russes.
Ledit agent se présentait comme un proche de Flynn, l'ex-NSA de Trump.

EDIT: citation précise

Citation

The operation Mr. Smith described is consistent with information that has been examined by U.S. investigators probing Russian interference in the elections.

Those investigators have examined reports from intelligence agencies that describe Russian hackers discussing how to obtain emails from Mrs. Clinton’s server and then transmit them to Mr. Flynn via an intermediary, according to U.S. officials with knowledge of the intelligence.

EDIT : je serais curieux d'avoir plus de détails sur ces interceptions tiens... :tongue: Quelqu'un a vu des choses sourcées passer dessus?

C'est la première chose qui aurait pu ressembler à une connexion / collusion entre l'équipe Trump et les piratages présumés russes.
Assez pour mériter une tweetstorm de distraction massive ?

https://www.wsj.com/amp/articles/gop-operative-sought-clinton-emails-from-hackers-implied-a-connection-to-flynn-1498770851

(Version résumé court: http://uk.businessinsider.com/russian-hackers-michael-flynn-hillary-clinton-emails-2017-6?r=UK&IR=T)


Attention, la connexion est pour moi trop ténue être utilisable (c'est pour ça qu'on est dans le fil controverses).

Ce n'est pas étonnant pour un parti de tenter de pêcher des infos juteuses sur ses adversaires (cf rapport Steele commandé par un concurrent Républicain de Trump).
Et rien ne garantit que ce Peter W Smith connaisse vraiment le Général Flynn.
Et cet agent ne pourra pas éclaircir la situation, car il est décédé 10 jours après avoir parlé au Wall Street Journal (*).
(Et ces emails manquant n'ont finalement pas été publiés, même par Wikileaks (à confirmer)).


EDIT Personnellement, je me répète, mais je ne crois pas trop à la collusion active (cad l'équipe Trump demande une intervention russe) :
Vu le niveau de compétence en sécurité / espionnage de l'entourage Trump, ça serait trop risqué de leur confier le moindre secret. Mieux vaut les manipuler via des coupe-circuit / cut-out "étanches" (cad les russes leur refile un dossier anonyme à utiliser sans savoir la source).

(* : dernière chose : concernant le hack du DNC, les Fox News et les réseaux alt-right se sont jeté comme des vautours :fachec: sur la mort de Seth Rich (un staffer du DNC) pour hurler :

  1. que c'était la source Wikileaks / Guccifer,
  2. que sa mort était en fait un meurtre / conspiration / coverup des démocrates pour "faire taire la vérité"
  3. accessoirement dédouaner/distraire la connexion russe pour les fuites de wikileaks

<sarcasme ON>
Avec la mort de cet agent républicain (moche pour ses proches  même s'il avait 81 ans), c'est étrange que ces mêmes Fox et alt right ne hurlent pas non plus à une conspiration républicaine pour "faire taire la vérité" sur Trump ? :angry:
On croirait presque qu'ils ont 2 poids, 2 mesures suivant l'alignement politique...
Bon, je suis handicapé par rapport à ces vautours : j'essaie d'être intellectuellement honnête. :ph34r:
Mais quand je vois de la mauvaise foi à ce niveau, ça me démange de leur rentrer dans le lard...

 

Extrait de l'article en cas de paywall...

Révélation

NATIONAL SECURITY

GOP Operative Sought Clinton Emails From Hackers, Implied a Connection to Flynn

Peter W. Smith portrayed the former general as an ally in an effort, independent of the Trump campaign, to find personal emails deleted by Hillary Clinton

Retired Gen. Michael Flynn, right, at the White House shortly before his dismissal as national security adviserPHOTO: CHIP SOMODEVILLA/EUROPEAN PRESSPHOTO AGENCY

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By

 

Shane Harris

June 29, 2017 5:14 p.m. ET

WASHINGTON—Before the 2016 presidential election, a longtime Republican opposition researcher mounted an independent campaign to obtain emails he believed were stolen from Hillary Clinton’s private server, likely by Russian hackers.

In conversations with members of his circle and with others he tried to recruit to help him, the GOP operative, Peter W. Smith, implied he was working with retired Lt. Gen. Mike Flynn, at the time a senior adviser to then-candidate Donald Trump.

(...)

“He said, ‘I’m talking to Michael Flynn about this—if you find anything, can you let me know?’” said Eric York, a computer-security expert from Atlanta who searched hacker forums on Mr. Smith’s behalf for people who might have access to the emails.

Emails written by Mr. Smith and one of his associates show that his small group considered Mr. Flynn and his consulting company, Flynn Intel Group, to be allies in their quest.

What role, if any, Mr. Flynn may have played in Mr. Smith’s project is unclear. In an interview with The Wall Street Journal, Mr. Smith said he knew Mr. Flynn, but he never stated that Mr. Flynn was involved.

Mr. Flynn didn’t respond to requests for comment.

 

A Trump campaign official said that Mr. Smith didn’t work for the campaign, and that if Mr. Flynn coordinated with him in any way, it would have been in his capacity as a private individual. The White House declined to comment.

Special Counsel Robert Mueller is investigating Russian attempts to sway the U.S. election and whether there was collusion between Russians and the Trump campaign. President Trump has denied any collusion and called the investigation a “witch hunt.” The Russian government has denied it interfered in the election.

Peter W. Smith

Mr. Smith died at age 81 on May 14, which was about 10 days after the Journal interviewed him. His account of the email search is believed to be his only public comment on it.

The operation Mr. Smith described is consistent with information that has been examined by U.S. investigators probing Russian interference in the elections.

Those investigators have examined reports from intelligence agencies that describe Russian hackers discussing how to obtain emails from Mrs. Clinton’s server and then transmit them to Mr. Flynn via an intermediary, according to U.S. officials with knowledge of the intelligence.

It isn’t clear who that intermediary might have been or whether Mr. Smith’s operation was the one allegedly under discussion by the Russian hackers. The reports were compiled during the same period when Mr. Smith’s group was operating, according to the officials.

Mr. Smith said he worked independently and wasn’t part of the Trump campaign.

His project began over Labor Day weekend 2016 when Mr. Smith, a private-equity executive from Chicago active in Republican politics, said he assembled a group of technology experts, lawyers and a Russian-speaking investigator based in Europe to acquire emails the group theorized might have been stolen from the private server Mrs. Clinton used as secretary of state.

Mr. Smith’s focus was some 33,000 emails Mrs. Clinton said were deleted because they were deemed personal. Mr. Smith said he believed that the emails might have been obtained by hackers and that they actually concerned official matters Mrs. Clinton wanted to conceal—two notions for which he offered no evidence. Mrs. Clinton gave the State Department tens of thousands of emails related to official business.

Former Federal Bureau of Investigation Director James Comey said in July 2016 there was no evidence the private server had been hacked but held out the possibility it could have been.

In the interview with the Journal, Mr. Smith said he and his colleagues found five groups of hackers who claimed to possess Mrs. Clinton’s deleted emails, including two groups he determined were Russians.

“We knew the people who had these were probably around the Russian government,” Mr. Smith said.

U.S. intelligence agencies have accused the Russians of stealing emails from the Democratic National Committee and Mrs. Clinton’s campaign chairman, John Podesta, and providing them to WikiLeaks last summer as part of a multifaceted operation to interfere with the election and help Mr. Trump’s campaign. Mr. Trump on July 27 publicly encouraged Russia to go further and find the Clinton “emails that are missing.” Asked about that on Monday, White House press secretary Sean Spicer said Mr. Trump was joking.

Hillary Clinton checking her phone in March 2012, when she was secretary of state.PHOTO: RICHARD DREW/ASSOCIATED PRESS

Mr. Smith said after vetting batches of emails offered to him by hacker groups last fall, he couldn’t be sure enough of their authenticity to leak them himself. “We told all the groups to give them to WikiLeaks,” he said. WikiLeaks has never published those emails or claimed to have them.

Mr. Smith and one of his associates said they had a line of communication with Mr. Flynn and his consulting company.

In one Smith email reviewed by the Journal, intended to entice outside experts to join his work, he offered to make introductions to Mr. Flynn’s son, Michael G. Flynn, who worked as chief of staff in his father’s company. Mr. Smith’s email mentioned the son among a small number of other people he said were helping.

Michael G. Flynn didn’t respond to a request for comment.

In another recruiting email seen by the Journal, Jonathan Safron, a law student Mr. Smith described as a close colleague, included links to the websites and LinkedIn profiles of people purportedly working with the Smith team. At the top of the list was the name and website of Flynn Intel, which Mr. Flynn set up after his 2014 firing as director of the Defense Intelligence Agency.

Mr. Safron declined to comment on his email or Mr. Smith’s project.

In phone conversations, Mr. Smith told a computer expert he was in direct contact with Mr. Flynn and his son, according to this expert. The person said an anti-Clinton research document prepared by Mr. Smith’s group identified the younger Mr. Flynn as someone associated with the effort. The expert said that based on his conversations with Mr. Smith, he understood the elder Mr. Flynn to be coordinating with Mr. Smith’s group in his capacity as a Trump campaign adviser.

The senior Mr. Flynn was fired as national-security adviser in February after misleading administration officials about his conversations with the Russian ambassador concerning sanctions. Those conversations put Mr. Flynn under scrutiny by the FBI and then the special counsel, according to U.S. officials.

Mr. Smith said in the interview he supported Mr. Flynn’s efforts during the presidential transition to establish relations with Russian officials.

Mr. Smith said he never intended to pay for any emails found by hackers.

He said he understood the risk in publishing the emails himself. If, under public scrutiny, they proved not to be genuine, “people would say we made them up,” he said, and the whole project would be dismissed as a Republican hit job on the Clinton campaign. In the early 1990s, Mr. Smith helped publicize Arkansas state troopers’ claims that then-Gov. Bill Clinton had enlisted them to arrange trysts with women, an unproven allegation denied by the Clinton White House.

Mr. Smith’s views on Russian hacking were complex. While he said he believed Russians were likely among those who tried to steal Mrs. Clinton’s emails, he dismissed intelligence agencies’ conclusion that the Russia’s government meddled in the election to discredit Mrs. Clinton and to help Mr. Trump.

Mr. Smith was himself once a hacking victim. Emails he wrote about the 2015 contest to fill former House Speaker John Boehner’s seat were stolen from the Illinois Republican Party and then made public, in a campaign U.S. intelligence officials attributed to Russian actors. Mr. Smith didn’t dispute that Russia might have been to blame. He said he was unconcerned about his messages being exposed.

Write to Shane Harris at shane.harris@wsj.com

 

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