Oxcart Posté(e) le 14 décembre 2024 Share Posté(e) le 14 décembre 2024 (modifié) Il y a 1 heure, Bechar06 a dit : Beurk la Renault Rafale ... Un honte d'avoir pris ce nom de modèle pour une marque si banale Ne pas oublier que le premier avion nommé "Rafale" a été construit par Renault (par Caudron-Renault pour être exact). On pourrait donc dire que c'est Dassault qui a repris ce nom déjà utilisé par Renault depuis 1934..... Modifié le 14 décembre 2024 par Oxcart 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 14 décembre 2024 Share Posté(e) le 14 décembre 2024 Il y a 4 heures, Bechar06 a dit : Beurk la Renault Rafale ... Un honte d'avoir pris ce nom de modèle pour une marque si banale Ma Renault a de la longévité, elle accomplit toutes les missions avec un taux de disponibilité hors normes, elle ne coûte pas tellement cher à l'entretien, et elle réserve quelques mauvaises surprises à des bouses sur-motorisée qui passent plus de temps au garage qu'elle. Bref, je repars. Faites pas attention. 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) le 14 décembre 2024 Share Posté(e) le 14 décembre 2024 Il y a 6 heures, ARPA a dit : Mirage 2000 : dernière livraison novembre 2007 Rafale : 1er livraison mai 2001. F2 mis en service en 2005 et F3 en 2009. À long terme (10 ans sur une carrière de 30...) tous les mirage 2000 livrés depuis 2001 se sont révélés nettement moins performant que les premier Rafale qui ont pu être modernisés. Je comprends pas trop cette comparaison. C'est évident que le Rafale est supérieur au 2000. Mais il fallait bien lancer la prod, ce qui prend du temps et cela s'est vérifié. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alberas Posté(e) le 16 décembre 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 décembre 2024 Allez, pour se faire plaisir. Et c'est pas du ChatGPT https://aeromorning.com/lundis-de-lihedn-lepopee-du-rafale-lavion-de-combat-supreme/ Lundis de l’IHEDN – L’épopée du Rafale, l’avion de combat suprême En 1983, la France lançait le programme d’un aéronef révolutionnaire, utilisé par ses armées depuis 2002 avant de connaître le succès à l’export. Focus sur l’histoire et les caractéristiques de ce fleuron évolutif avec les éclairages d’un pilote, d’un ancien ingénieur de Dassault Aviation et du général Philippe Lavigne, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace de 2018 à 2021. En 2024, le Rafale met tout le monde d’accord. Cet avion peut tout faire – il est « omnirôle » selon le terme de son concepteur, Dassault Aviation. Ses pilotes et mécaniciens dans la Marine nationale et l’armée de l’Air et de l’Espace l’adorent, comme ceux de cinq armées étrangères, et bientôt trois autres. Les aviateurs des autres forces aériennes l’admirent. Pourtant, quand sa conception a débuté en 1983, les alliés européens de la France, sceptiques ou pas intéressés par les ambitions affichées, l’avaient laissée seule, partant développer en commun un autre aéronef. Il faut dire que le Rafale a été pensé pour assurer les missions remplies jusque-là par… sept avions différents. Tel était le « brief » des généraux, des ingénieurs de l’armement et du gouvernement français à l’industriel Marcel Dassault : concevoir un avion supersonique bimoteur devant servir dans l’armée de l’Air mais aussi dans l’aéronavale de la Marine, capable à la fois d’assurer la défense aérienne, la supériorité aérienne et la police du ciel ; la reconnaissance ; la dissuasion nucléaire ; des frappes air-sol de précision et des missions d’interdiction ; un appui-feu rapproché ; la lutte antinavires ; le ravitaillement en vol de chasseur à chasseur. Tout en pouvant décoller de et atterrir sur un porte-avions, bien évidemment. AVANT LE RAFALE, SEPT AVIONS REMPLISSAIENT LES MÊMES MISSIONS Au début des années 80, toutes ces missions étaient confiées par les armées françaises à plusieurs appareils : Jaguar, F-8 Crusader, Mirage F1, Mirage 2000, Mirage IV, Étendard IV et Super-Étendard. « Les autres pays n’étaient pas intéressés par les dimensions porte-avions et ASMP », relate l’ingénieur mécanique François Lemainque, entré au bureau d’étude avant-projets de Dassault Aviation début 1983. En mars de cette année, le programme ACX (futur Rafale) débutait, et l’ASMP (« air-sol moyenne portée ») en constituait un aspect central, ce missile de croisière étant l’un des vecteurs de l’arme nucléaire, et donc de la politique française de dissuasion. D’où ce « schisme » avec le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Espagne et l’Italie qui développeront ensemble l’Eurofighter Typhoon. Au regard du profane, ce dernier ressemble beaucoup au Rafale, avec ses ailes delta et ses plans canard (les ailerons mobiles sous le cockpit). « Ils sont en fait très différents », explique François Lemainque, retraité depuis 2020 après une carrière entière chez Dassault. « Le Typhoon est très bon pour l’interception, le combat aérien et la supériorité aérienne. » Mais cet avion n’est pas performant en reconnaissance et ne peut tirer de missile de croisière, par exemple. Véritablement « multirôle », le Rafale excelle « dans toutes ses missions », résume l’ingénieur ayant œuvré à sa conception : « Air-air, air-terre, reconnaissance, attaque au sol, tir de missile de croisière, tir ASMP… » Plus important, « il est capable de changer de rôle pendant un même vol », ajoute François Lemainque, qui a précisément travaillé sur la « cellule » (géométrie, masse, carburant, train d’atterrissage, aérodynamique, emport). LES TROIS VERSIONS PARTAGENT JUSQU’À 85% DE LEURS PIÈCES Autre atout du Rafale, sa compacité. « À l’époque, à la Direction générale de l’armement et chez Dassault, nous avions ce dicton : un avion se vend au poids », se souvient l’ingénieur. Avant sa mort en 1986, Marcel Dassault exige donc de ses équipes un amaigrissement de l’avion, qui passe de 10 tonnes pour le Rafale A à 9 tonnes (à vide), et perd 80 centimètres. Depuis l’origine, les trois versions du Rafale (monoplace, biplace et Marine) partagent les mêmes proportions. Avec là encore de nombreux avantages, qu’énumère François Lemainque : « Mêmes centre de gravité, aérodynamique, commandes de vol, et donc mêmes évolutions de standards au fil des années. » Les trois versions partagent ainsi 80 à 85% de leurs pièces, contre 60 à 65% pour les appareils concurrents. « La mise en œuvre de l’ensemble logistique est beaucoup plus simple et légère », résume l’ingénieur. Un seul gros porteur A400M suffit à transporter le matériel, quand trois ou quatre sont nécessaires pour d’autres avions. Les mécanos apprécient le changement très rapide des moteurs, et ceux du porte-avions Charles-de-Gaulle que cette opération se fasse à la verticale, ce qui économise 5 à 6 mètres d’espace derrière l’appareil. Trois ans et demi seulement après le début du programme, le premier vol d’essai a lieu en juillet 1986. « Notre bureau d’étude « Proto » était conçu pour sortir un avion tous les 1 an, 1 an ½ », se souvient François Lemainque : « Nous étions 150, dont quelques surdoués qui avaient tout connu depuis le Mirage III », un avion des années 1950, le premier européen à avoir dépassé la vitesse de Mach 2. « Ils venaient de finir le Mirage 4000, ils sont restés sur leur cadence. Ces gens étaient capables de concevoir un avion en dormant. » Les premiers Rafale opérationnels entrent en service en 2002 dans la Marine nationale puis en 2006 dans l’armée de l’Air. Mais à l’époque, le fleuron tricolore ne se vend pas à l’étranger. Plusieurs raisons à cela, selon François Lemainque, à la fois commerciales et géopolitiques : « Nous fabriquions au même moment pour la France et pour l’export des Mirage 2000, un avion déjà bien éprouvé. » « COMME SI JE RÉCUPÉRAIS D’UN COUP LA TÉLÉ EN COULEUR », DIT UN PILOTE La concurrence du F-35 du constructeur américain Lockheed Martin, financé par une dizaine de pays de l’OTAN, joue déjà, même s’il ne sera en partie opérationnel qu’en 2007. Et depuis 1989, la chute du mur de Berlin a ouvert la période des « dividendes de la paix », provoquant une dégringolade des budgets de défense dans le monde entier. Tout va progressivement changer avec les engagements du Rafale à l’étranger, sous le regard des alliés de la France, et parfois en interopérabilité avec eux. En Afghanistan à partir de 2007, les seules missions air-sol ne permettent pas encore de montrer la complétude de l’avion. Le 19 mars 2011, les Rafale sont les premiers avions à survoler le territoire libyen dans le cadre de l’intervention militaire internationale décidée par les Nations unies, avec des Mirage 2000. « On a bien mesuré le bond technologique et capacitaire engendré par le Rafale », se souvient le capitaine Grégory. Breveté pilote en 2006, cet officier de la base aérienne 113 de Saint-Dizier-Robinson (Haute-Marne) a d’abord volé sur Mirage 2000N avant de passer au Rafale depuis 2011 (sauf quatre ans au sein de la Patrouille de France, sur AlphaJet donc) : « C’était comme si je récupérais d’un coup la télé en couleur ! Ce sont vraiment deux prismes opérationnels différents, celui du XXe siècle et celui du XXIe siècle. Le Mirage 2000, on l’exploitait à 110, 120% de ses capacités, on le connaissait par cœur. Le Rafale, on l’exploite très bien, mais il est plus fort que l’Homme, il est trop puissant. » Le 13 janvier 2013, dans le cadre de l’opération Serval menée par la France contre des djihadistes sahéliens à la demande du gouvernement malien, quatre Rafale décollent de Saint-Dizier, survolent l’Espagne, le Maroc et le Sénégal, bombardent des infrastructures d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) au Mali avant de se poser à N’Djamena, au Tchad. Soit près de 6000 kilomètres parcourus en 9h35 de vol (avec 5 ravitaillements), la plus longue mission de l’armée de l’Air française en opération. « En Rafale, ce n’est pas parce que je décolle pour une mission d’attaque au sol que je ne peux pas faire du combat aérien ensuite », relate le capitaine. « En Mirage, il me faudrait plusieurs avions différents. » GÉNÉRAL LAVIGNE : « CE QUI EST INCROYABLE, C’EST QU’IL EST NATIVEMENT MULTIRÔLE » Chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace de 2018 à 2021, le général d’armée aérienne Philippe Lavigne était aux premières loges d’un exercice trilatéral avec les États-Unis et le Royaume-Uni, Atlantic-Trident, au printemps 2021 à Mont-de-Marsan (Landes) puis à Langley (Virginie). Les deux autres armées volaient sur Lockheed Martin F-35 et Eurofighter Typhoon. « Nos alliés sont bluffés par cet avion complet et agile, par ses capacités multirôle, ses commandes de vol exceptionnelles », raconte le général, qui s’amuse d’une vérité connue des pilotes : « Quand un avion est beau, il est bon. Le Rafale, avec sa forme, son équilibre, sa taille, son allure générale, les gens le ressentent. Ce qui est incroyable, c’est qu’il est nativement mutlirôle. » 7 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ronfly Posté(e) le 16 décembre 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 décembre 2024 12 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 16 décembre 2024 Share Posté(e) le 16 décembre 2024 Après Aérobuzz et l'émission Jumpseat, notre Lemainque national prêche la bonne parole chez Aeromorning ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 Audition du DGA au sénat: https://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20241111/etran.html#toc5 Citation Quelques éléments de réponse à vos questions, Monsieur le Président. Le « T Rex », c'est-à-dire la version améliorée du moteur M 88 de Safran pour lui donner une poussée de 9 tonnes au lieu 7,5 tonnes, pose un problème de consommation et de coût. Un gain de puissance permet une configuration de portage plus lourde, c'est donc évidemment un avantage qui vaut que l'on regarde cette évolution de près. Il y a la possibilité d'avancer avec Safran dès l'an prochain, avec un volet spécifique pour le Rafale. Nous avons financé des briques technologiques pour passer de 7,5 à 9 tonnes, c'est une capacité que seuls les motoristes américains maitrisent, elle rend très problématique la tenue des aubes des turbines... M. Emmanuel Chiva. - Vous le dites bien, avec une incidence directe sur le type de missile emporté, c'est évidemment dans l'équation. M. Emmanuel Chiva. - C'est vrai que le « T Rex » n'était pas prévu initialement. C'est notre travail, à la DGA, de négocier pour avancer. Le Scaf fait l'objet d'un lobbying intense d'une entreprise qui veut tout faire, alors que, selon l'adage, « seul plus on va plus vite, en groupe on va plus loin », même si la coopération demande des concessions. Il y aura un successeur au Rafale, le projet qui se déroule en coopération fera l'objet d'une information au Parlement l'an prochain, un rendez-vous entre la France, l'Espagne et l'Allemagne doit être pris avant la fin de l'année pour le lancement de la phase 2, lequel est subordonné aux échéances électorales allemandes. La dissuasion n'est pas en risque, nous ne cèderons rien sur le sujet ; le nouvel avion sera capable de porter le missile nucléaire, il n'y a pas de question sur le sujet. Soit nos partenaires le comprennent, soit nous ferons autrement, nous avons des plans alternatifs. En tout état de cause, l'absence de restriction à l'export est une condition sine qua non que nous posons pour aller plus loin sur le projet. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 (modifié) il y a 9 minutes, hadriel a dit : En tout état de cause, l'absence de restriction à l'export est une condition sine qua non que nous posons pour aller plus loin sur le projet. Cette condition est aussi importante que la question du nucléaire. J'en déduit que le double sourcing pour le scaf est une voie que les négociateurs tentent d'emprunter. Modifié le 18 décembre 2024 par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 Franchement niveau calendrier ça parait très mal barré, vu les remarques du DGA il y a plein de question en suspens alors que le gouvernement allemand vient de se faire censurer et sera remplacé en février et le gouvernement français n'existe même pas et sera de toute façon complètement instable. Arriver à un accord engageant sur l'export (avec traité signé par le bundestag, pas juste une accord de gouvernement facile à renier) dans ces conditions va relever de l'exploit. Le nucléaire c'est plus simple, il suffit de se mettre d'accord sur la spec d'emporter l'ASN4G plein calibre. Idem pour la navalisation. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 il y a 1 minute, hadriel a dit : Le nucléaire c'est plus simple, il suffit de se mettre d'accord sur la spec d'emporter l'ASN4G plein calibre. Idem pour la navalisation. Non c'est au moins aussi contraignant. Cette spec implique de facto de l'ITAR/CATSAA free donc l'impossibilité de se fournir ailleurs qu'en France pour bon nombre de composants ainsi qu'une doctrine largement inspirée par la France. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 Il y a 4 heures, hadriel a dit : Audition du DGA au sénat: https://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20241111/etran.html#toc5 Il parle de qui Chiva en parlant du lobbying d'une entreprise. Dassault ou Airbus ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 4 hours ago, hadriel said: Le Scaf fait l'objet d'un lobbying intense d'une entreprise qui veut tout faire, alors que, selon l'adage, « seul plus on va plus vite, en groupe on va plus loin », même si la coopération demande des concessions. lu comme ça, on sent que ça concerne Dassault. Bien nébuleux tout ça en tt cas... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 (modifié) Il y a 6 heures, hadriel a dit : Audition du DGA au sénat: https://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20241111/etran.html#toc5 Tout et son contraire en somme. Du pur "en même temps". C'est fascinant. Ah, au passage, sur le "ensemble on va plus loin"... la chose très amusante avec cette expression, c'est que, que ce soit sur plein interne uniquement ou avec bidons, le rayon d'action au combat et l'autonomie en vol du Rafale sont infiniment supérieurs à ceux de l'Eurofighter... Je précise que ça marcherait aussi avec "on va plus haut" vu que le plafond des deux avions est le même. Et j'ose espérer qu'il n'aurait pas osé "on vole mieux" parce que là, heu... pffff... edit: Ah si ah si j'avais oublié il reste une formule: "ensemble, on vole pour moins cher"... Heu... Caramba! Encore raté! Enfin, il n'y a aucune "concession" à faire à des gens qui non seulement n'en font aucune envers nous, mais exigent qu'on leur en fasse sans réussir à le justifier d'aucune manière, alors qu'ils se taillent déjà la part du lion. Bref, déçu de Lecornu il y a quelques jours, déçu de Chiva désormais. Qu'ils se méfient. Dassault n'est pas l'entreprise préférée des Français pour rien. Les traiter de la sorte, ça ne va pas faire remonter certaines cotes de popularité... au contraire. D'autres ont essayé de casser du sucre sur le dos de Dassault, même dans d'autres pays du monde... Ils ont tous très mal fini. Modifié le 18 décembre 2024 par Patrick 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ziggy Stardust Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 il y a 7 minutes, Patrick a dit : Qu'ils se méfient. Dassault n'est pas l'entreprise préférée des Français pour rien. Les traiter de la sorte, ça ne va pas faire remonter certaines cotes de popularité... au contraire. D'autres ont essayé de casser du sucre sur le dos de Dassault, même dans d'autres pays du monde... Ils ont tous très mal fini. De lobbyistes on passe à mafieux maintenant, ça a le mérite d'être clair. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. clem200 Posté(e) le 18 décembre 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 18 décembre 2024 (modifié) il y a 15 minutes, Patrick a dit : Qu'ils se méfient. Dassault n'est pas l'entreprise préférée des Français pour rien. Dassault est 40eme loiiiiiiiin dernière Decathlon Peugeot ou Leroy Merlin Ne pas confondre Français et Patrick. Moyen mnémotechnique : si tu es tout seul c'est que c'est juste toi Modifié le 18 décembre 2024 par clem200 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 il y a une heure, mgtstrategy a dit : lu comme ça, on sent que ça concerne Dassault. Bien nébuleux tout ça en tt cas... C'est ce que j'avais cru comprendre aussi. Inhabituel coup de semonce je trouve. Est-ce que c'est l'avancée du Tempest qui énerve la DGA ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 Pour compléter, franchement, vu la situation, j'espère plus que tout voir le lancement d'un démonstrateur par Dassault sur fonds propre, sans aucune possibilité pour l'état de mettre la main dessus d'une quelconque manière puisqu'ils n'auront pas déboursé un kopeck dans l'affaire. Avec un réel "lobbying" cette fois bien plus qu'intensif de Dassault, pour démontrer que leur solution est la meilleure, la moins chère, la plus adaptable, la plus performante, la plus transférable. Au profit des clients traditionnels de la France. Charge ensuite à l'état de perdre définitivement la face. Dassault peuvent procéder en allant chercher leurs partenaires étrangers industriels directement chez les pays clients du Rafale. Marginalisant par la même occasion tous les politicards qui auront voulu les instrumentaliser au profit de ce qu'il convient d'appeler des intérêts étrangers hostiles. En effet, si la CIEEMG statue sur les exportation de matériels de guerre, un prototype non armé n'est par définition pas un matériel de guerre... Charge à l'exécutif actuel ensuite d'envoyer Airbus D&S faire de leur côté leur propre démonstrateur sans rien pour la France dedans (Guillaume Faury avait rappelé lors d'une audition qu'Airbus France n'avait que 1% du SCAF). Il faut à ce propos se rappeler qu'en Allemagne, le syndicat IG Metall étaient pour un démonstrateur Allemand spécifique et l'avaient même réclamé! Tout le monde serait ainsi très content. J'ajoute que cette solution permettrait également de remettre au centre du jeu la notion de "meilleur athlète". il y a 5 minutes, Ziggy Stardust a dit : De lobbyistes on passe à mafieux maintenant, ça a le mérite d'être clair. Et oui! Que veux-tu, il faut s'adapter aux méthodes modernes de la "coopération": campagnes de diffamation par voie de presse, agitateurs politiques, accusations mensongères, propos dénigrants, attaques sur le cours de bourse, menaces voilées, blocage politique... liste non exhaustive. Autant de choses que Dassault a subies par le passé et subit encore actuellement. Mais là c'est ok. On en est pas encore aux tentatives de meurtres mais sait-on jamais... Mais, oui, pour être clair, je t'invite ainsi à te souvenir du devenir politique d'un certain Rahul Gandhi qui avait axé toute une campagne politique sur son opposition au Rafale et à Dassault. Mal lui en a pris. Ou plus proche de chez nous, ce qu'il est advenu d'un certain Lionel qui avait vendu à Airbus les 46% du capital que l'état Français possédait dans Dassault... il y a 4 minutes, Brian a dit : C'est ce que j'avais cru comprendre aussi. Inhabituel coup de semonce je trouve. Est-ce que c'est l'avancée du Tempest qui énerve la DGA ? Ce serait le pompon si c'était le cas, alors que c'est la partie Allemande qui a bloqué à coups de palabres l'avancement du FCAS depuis 2018. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 il y a une heure, Patrick a dit : Pour compléter, franchement, vu la situation, j'espère plus que tout voir le lancement d'un démonstrateur par Dassault sur fonds propre, sans aucune possibilité pour l'état de mettre la main dessus d'une quelconque manière puisqu'ils n'auront pas déboursé un kopeck dans l'affaire. Avec un réel "lobbying" cette fois bien plus qu'intensif de Dassault, pour démontrer que leur solution est la meilleure, la moins chère, la plus adaptable, la plus performante, la plus transférable. Au profit des clients traditionnels de la France. Charge ensuite à l'état de perdre définitivement la face. Comme pour le Mirage 4000 ? L'état a perdu la face, son super chasseur bombardier qui aurait été idéal pour les besoins français, mais en l'absence d'une petite série en France, il n'a pas été exporté. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 18 décembre 2024 Share Posté(e) le 18 décembre 2024 Il y a 3 heures, ARPA a dit : Comme pour le Mirage 4000 ? L'état a perdu la face, son super chasseur bombardier qui aurait été idéal pour les besoins français, mais en l'absence d'une petite série en France, il n'a pas été exporté. Oui. Sauf qu'en ce moment il y a des partenaires étrangers, acheteurs de Rafale, qui cherchent des avions modernes dont ils pourraient s'équiper, et dont l'état Français s'est rapproché pour financer le F5... Le "moment Rafale" est donc plus un "moment avion de combat" qu'autre chose. À supposer que l'état Français dise "non" à un futur chasseur 100% Dassault que ces clients semblent pourtant appeler de leurs vœux, il resterait à Dassault à mettre sur pied des Joint Ventures avec leurs partenaires locaux publics et privés, en tablant sur un non-achat par la France et en mettant en place une architecture permettant de totalement découpler l'état Français de ce programme. Ces joint-ventures ne seraient pas Françaises, mais la mobilité interne à l'entreprise permettrait à des ingénieurs de DA d'aller y travailler. Ce serait idéal pour pouvoir se passer d'une licence d'exportation, qui est ce qui a coincé le Mirage 4000 en plus du refus d'achat Français. Imagine la tête de l'état si un "Dassault India", ou "Dassault Arabia" produit sur place un avion entièrement conçu par Dassault Aviation avec la coopération des locaux, mais dont l'état Français, par Européisme, n'aurait pas voulu, et que l'appareil est exceptionnellement bon... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OysterCultist Posté(e) le 19 décembre 2024 Share Posté(e) le 19 décembre 2024 (modifié) 11 hours ago, Patrick said: Qu'ils se méfient. Dassault n'est pas l'entreprise préférée des Français pour rien. Les traiter de la sorte, ça ne va pas faire remonter certaines cotes de popularité... au contraire. D'autres ont essayé de casser du sucre sur le dos de Dassault, même dans d'autres pays du monde... Ils ont tous très mal fini. Airbus est 8eme, Dassault 40. Si on demande aux Francais, au hasard dans la rue, qui fabrique le Rafale je suis persuadé que la majorité des sondés répondrait "Airbus". Modifié le 19 décembre 2024 par OysterCultist Plus pertinent de poster ca dans le thread SCAF. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 19 décembre 2024 Share Posté(e) le 19 décembre 2024 Il y a 4 heures, OysterCultist a dit : Airbus est 8eme, Dassault 40. Si on demande aux Francais, au hasard dans la rue, qui fabrique le Rafale je suis persuadé que la majorité des sondés répondrait "Airbus". Et certains nous reprendront et diront "la Rafale" de Renault. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 19 décembre 2024 Share Posté(e) le 19 décembre 2024 Il y a 5 heures, OysterCultist a dit : Airbus est 8eme, Dassault 40. Si on demande aux Francais, au hasard dans la rue, qui fabrique le Rafale je suis persuadé que la majorité des sondés répondrait "Airbus". Ok maintenant concentrons-nous sur ceux qui comptent? https://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/actualites/dassault-aviation-fait-partie-du-top-3-des-entreprises-preferees-du-segment-industrie-aupres-des-etudiants-et-jeunes-diplomes-selon-le-palmares-epoka-2024/ https://www.capital.fr/votre-carriere/dassault-airbus-voici-les-15-entreprises-preferees-des-salaries-dans-l-aeronautique-le-ferroviaire-et-le-naval-1492925 L'avis de monsieur ou madame tout-le-monde changera en fonction de ce qu'en disent les pros du secteur. Il changera en fonction de ce qu'en dit une certaine presse. Ou de la manière dont sont présentées les enjeux afférents. J'ajoute qu'au vu de la masse salariale de Dassault et en considérant que les matériels militaires ne sont pas destinés au public, qu'ils soient même simplement dans ce genre de tops devrait relever en soi du miracle. Au passage, que PEUGEOT se trouve en seconde place dans ce sondage IFOP prouve qu'il y a un grave biais chez les interrogés, parce que Peugeot à l'heure actuelle c'est échecs sur échecs. C'est bien simple, RIEN ne va, ni dans le thermique (Puretech) ni dans l'électrique. Bref. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 19 décembre 2024 Share Posté(e) le 19 décembre 2024 (modifié) il y a 19 minutes, Patrick a dit : Ok maintenant concentrons-nous sur ceux qui comptent? Non mais arrête tu t'enfonce Dassault est aussi numéro 1 selon son propre PDG tu sais ... Je n'ai jamais vu quelqu'un avec une mauvaise foi aussi colossale de toute ma vie La majorité des Français ne connaissent pas cette entreprise, en tout cas très mal, et surtout ils s'en fichent ! Et de toute façon ta corrélation entre les constats de la DGA et un soi-disant amour des Français pour elle est totalement inapte ! Tu nous fais du Trump la ! Menace et fake news il y a 19 minutes, Patrick a dit : Au passage, que PEUGEOT se trouve en seconde place dans ce sondage IFOP prouve qu'il y a un grave biais chez les interrogés, parce que Peugeot à l'heure actuelle c'est échecs sur échecs. C'est bien simple, RIEN ne va, ni dans le thermique (Puretech) ni dans l'électrique. Bref. Alors que chez Dassault tout va bien. Rappelle-moi, ils n'ont pas raté le lancement d'un avion civile il y a peu de temps ? Ils ne viennent pas de perdre une compétition de patrouilleur maritime ? Tu es sidérant Je sais que tu ne me lis pas mais qu'est-ce que ça fait du bien Modifié le 19 décembre 2024 par clem200 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 19 décembre 2024 Share Posté(e) le 19 décembre 2024 il y a 14 minutes, clem200 a dit : Alors que chez Dassault tout va bien. Rappelle-moi, ils n'ont pas raté le lancement d'un avion civile il y a peu de temps ? A la decharge de Dassault contrairement à Peugeot qui a développé son puretech, Dassault était dépendant de Safran pour le moteur du 5X qui s'est avéré foireux. Ils l'ont annulé et ont été payé car Safran était vraiment à la ramasse sur ce dossier. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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