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USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques


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Vous avez conscience que vous êtes juste en train de débattre sur le sens d’un mot utilisé comme insulte, et qu’à ce type comme n’importe quel terme courant ou d’argot, il a plusieurs significations ?

 

« Bitch » veut dire chienne (littéralement), ou chienne/pétasse dans le cas d’une insulte.

Quant à « se comporter comme un chien », ça n’a pas non plus le même sens que « se comporter comme une chienne », même en français.

Ici, Trump écrit son insulte exactement comme il le pense : il ne la traite pas de pétasse ni de chienne, mais de chien. Ça n’est pas la première ni la dernière fois qu’il utilise cette expression, inutile donc d’essayer d’être plus royaliste que le roi en voulant y rajouter un sens qu’il n’y a pas mis.

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L'ancien commandant des forces spéciales US, l'amiral William McRaven, demande à ce que l'on lui retire son habilitation secret défense en solidarité avec l'ancien directeur de la CIA  John Brennan :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/08/16/97001-20180816FILWWW00300-un-ex-amiral-americain-demande-a-perdre-lui-aussi-son-habilitation-secret-defense.php

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Il y a 15 heures, collectionneur a dit :

L'ancien commandant des forces spéciales US, l'amiral William McRaven, demande à ce que l'on lui retire son habilitation secret défense en solidarité avec l'ancien directeur de la CIA  John Brennan :

Par contre Michael Flynn, l'ex conseiller à la sécurité nationale de Trump qui a plaidé coupable de parjure devant des enquêteurs, semble toujours avoir une habilitation en règle : http://theweek.com/speedreads/790815/some-reason-michael-flynn-apparently-still-security-clearance

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Quote

Trump dénonce la "censure" des voix conservatrices sur les réseaux sociaux

Washington - Le président américain Donald Trump a dénoncé avec véhémence samedi la suspension par les géants d'internet des activités de personnalités de la droite américaine sur les réseaux sociaux, parlant de "discrimination" et qualifiant de "malade" le comportement de deux chaînes de télévision.

Si le président américain ne mentionne à aucun moment son nom, cette salve de tweets matinaux intervient après l'offensive lancée la semaine dernière par des géants d'internet contre le conspirationniste américain Alex Jones, privé d'accès aux plateformes Facebook et Spotify notamment. Twitter a également restreint mardi, pour une semaine, le compte de ce commentateur d'extrême droite.

"Les réseaux sociaux discriminent absolument les voix Républicaines/Conservatrices", a écrit Donald Trump sur Twitter, promettant que son gouvernement ne laisserait pas ça arriver, sans apporter davantage de précisions.

"Ils font taire les opinions de beaucoup de personnes de DROITE alors qu'en même temps ils ne font rien pour les autres", a-t-il dénoncé.

"La censure est quelque chose de très dangereux et absolument impossible à surveiller", ajoute-t-il dans un deuxième tweet, avant de s'en prendre, une nouvelle fois aux médias.

"Il n'y a rien d'aussi bidon que CNN et MSNBC et pourtant je ne demande pas à supprimer leur comportement malade", a tempêté M. Trump contre deux chaînes qu'il critique régulièrement.

"Laissons tout le monde participer, bon et mauvais", lance-t-il dans un troisième message posté sur le réseau social.

Fondateur du site InfoWars, Alex Jones est une personnalité médiatique affiliée à l'extrême droite, devenue une célébrité à la faveur de propos et théories conspirationnistes sur la fusillade de Sandy Hook, en 2012.

Facebook, qui a suspendu les quatre principales pages de l'Américain, a accusé celles-ci de "glorifier la violence" et "d'utiliser un langage déshumanisant pour décrire des personnes transgenres, musulmanes et immigrées", en infraction avec le règlement interne du réseau social.

Twitter, qui dans un premier temps ne s'était pas joint à l'initiative des autres géants d'internet au nom du "débat public" selon son fondateur, Jack Dorsey, a finalement restreint mardi le compte du conspirationniste. S'il est toujours consultable par les internautes, M. Jones ne sera plus capable d'y poster de message pendant une semaine.

M. Dorsey a cependant affirmé que Twitter ne faisait aucune discrimination sur la base d'opinions politiques.

"Nous ne le faisons pas, point final", a-t-il assuré au cours d'une interview sur CNN dont des extraits ont été diffusés samedi. "Nous ne considérons pas les contenus sur la base des opinions politiques ou des idéologies. Nous considérons les comportements".

Chez Twitter, "nous devons être exempte de tout préjugé, que ce soit dans nos pratiques, nos règlements, la façon dont nous les appliquons et les outils que nous utilisons", a-t-il ajouté.

(©AFP / 18 août 2018 18h30)

 

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Quel dommage parfois que les journalistes ne soient lus aus par ceux qui sont déjà convaincus, parce que parfois il y a des pépites.

Citation

Trump est passé maître dans l’art de l’extorsion de fonds, et il ne connaît pas d’autre manière de faire des affaires. Il s’agit de faire des affaires et des profits sans tenir compte de la morale, ni des valeurs, ni du droit international, ni d’aucunes considérations politiques, ni des droits humains.  Il faut se soumettre aux diktats [...]

Cet article du début de l'année (janvier, à propos de couper l'aide à l'Autorité Palestinienne) annonçait déjà parfaitement ce qui se sera passé ensuite (Israel, Iran, UE, Chine, Russie, ALENA,...) dans l'agenda politique et économique US.

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Le 23/08/2018 à 15:50, rogue0 a dit :

Après une mauvaise journée (condamnation ou retournement de 2 proches : Manafort et Cohen : cf le fil USA), POTUS a répondu à la question taboue  de la destitution (Impeachment) dans une interview.

Son dernier argument ?

"Si vous me destituez, les bourses vont s'effondrer" (EDIT : et tout le monde deviendra plus pauvre) :rolleyes:

https://www.20minutes.fr/monde/2324575-20180823-etats-unis-donald-trump-assure-marches-vont-effondrer-destitue

https://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-45285585

Ce n'est pas faux, mais ce n'est pas une défense très solide:

  • De toute façon, quel que soit le président élu en 2016, un krach boursier est attendu au tournant.
    Il peut être retardé avec des mesures pro business (par exemple, baisse des impôts des entreprises, baisse des protections de consommateur, baisse des salaires, etc), mais pas indéfiniment.
    Et on le sent la volatilité de la bourse à la moindre crise ou rebondissement dans les guerres commerciales en cours .
     
  • Je ne me souviens pas de la réaction de la bourse aux enquêtes sur les frasques de Bill Clinton (un peu négative ? neutre ?):
    mais le GOP de l'époque aurait certainement proclamé : "peu importe le coût économique , destituer Bill est une affaire de principe et de défense de la démocratie" :tongue:.
    EDIT Voire de la morale puritaine et de la protection des femmes contre le harcèlement sexuel :tongue:
    Je n'ose pas imaginer qu'ils aient changé d'avis simplement parce qu'ils sont au pouvoir :biggrin:.

 

La question de la destitution est un doux rêve : il faudrait d’abord que les Démocrates obtiennent la majorité au Congrès, ce qui n’est pas gagné. Il faudrait ensuite que le Sénat approuve, ce qui n’est jamais arrivé dans toutes les procédures d’Empeachment lancées. Il faudrait enfin que la démarche aboutisse avant la fin du mandat de Trump, ce qui là encore n’est pas près d’arriver.

 

Et puis à un moment, il faut être réaliste : quand un tel personnage est élu (déjà, ça commence par ça...), et qu’avec toutes ses frasques, tous ces mensonges, toutes ses déclarations polémiques, toutes ses attaques contre les Institutions de l’Etat Fédéral (FBI, Justice, Climat, collusions avec la Russie, magouilles et extortions etc), il est toujours là 2 ans plus tard sans une égratignure ni la moindre procédure démarrée, c’est que la Démocratie est déjà bien malade et que les valeurs et la morale qui sous-tendent la vie politique aux USA ne sont plus là que pour le décorum.

 

Bref, puisque cette jeune démocratie qui n’a jamais pris une vraie grosse baffe dans la tronche - ce qui lui aurait été bien bénéfique -  en est à ce point touchée par ce type de cancer métastasé, qu’elle en subisse toutes les conséquences : ça les fera grandir ou ça les achèvera, mais qu’ils boivent le calice jusqu’à la lie.

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Connexion de quelques points

Voici à quoi ça ressemble quand toutes les pièces sont cousues ensemble. Ça sent la conspiration et la trahison. Tout le monde doit lire ceci. Lentement, et patiemment, parce que c'est très important.............

De 2001 à 2005, une enquête était en cours sur la Fondation Clinton.

Un grand jury avait été mis en place.  Des gouvernements du monde entier avaient fait un don à la "Charité". Pourtant, de 2001 à 2003, aucune de ces "donations" à la Fondation Clinton n'a été déclarée. Maintenant, on pourrait penser qu'un enquêteur honnête serait capable de comprendre cela.

Regardez qui a repris cette enquête en 2005 : Nul autre que James Comey ; Coïncidence ? Devinez qui a été transféré à l'Internal Revenue Service pour gérer la Direction des exonérations fiscales de l'IRS ? Nul autre que Lois "Be on The Look Out" (BOLO) Lerner. N'est-ce pas intéressant ? Mais tout cela n'est qu'une série de coïncidences étranges, n'est-ce pas ?

Devinez qui a dirigé la Division des Impôts au sein du Département de l'Injustice de 2001 à 2005 ?

Nul autre que le procureur général adjoint des États-Unis, Rod Rosenstein.

Devinez qui était le directeur du Federal Bureau of Investigation pendant cette période ?

Une autre coïncidence (juste une anomalie dans les statistiques et les chances), mais c'était Robert Mueller.

Qu'est-ce que les quatre personnages de casting ont en commun ? Ils ont tous été informés et/ou ont été des enquêteurs de première ligne dans le cadre de l'enquête de la Fondation Clinton. Une autre coïncidence, n'est-ce pas ?

Avance rapide jusqu'en 2009.........

James Comey quitte le ministère de la Justice pour aller encaisser chez Lockheed Martin.

Hillary Clinton dirige le département d'État, affaire officielle du gouvernement, sur son propre serveur de courrier électronique personnel. La "question" d'Uranium One est portée à l'attention de l'Hillary. Comme tous les bons fonctionnaires, censés veiller aux meilleurs intérêts de l'Amérique, elle décide d'appuyer la décision et d'approuver la vente de 20 % de l'uranium américain à nul autre que les Russes.

Maintenant, on pourrait penser qu'il s'agit d'une affaire assez directe, sauf que ce n'était pas le cas, l'Amérique n'en a absolument rien tiré. Toutefois, avant l'approbation des ventes, nul autre que Bill Clinton se rend à Moscou est payé 500K pour un discours d'une heure, puis rencontre Vladimir Poutine à son domicile pendant quelques heures.

Ok, pas de problème, n'est-ce pas ? Eh bien, pas si vite, le FBI avait une taupe à l'intérieur du système de blanchiment d'argent et de corruption.

Robert Mueller était le directeur du FBI pendant cette période ? Oui, il a même livré un échantillon d'uranium à Moscou en 2009.

Qui s'occupait de cette affaire au sein du ministère de la Justice en dehors du bureau du procureur du Maryland ? Nul autre que Rod Rosenstein. Et qu'est-il arrivé à l'informateur ?

Le ministère de la Justice lui a donné un ordre du GAG et l'a menacé de l'enfermer s'il en parlait.

Comment 20 % de l'actif le plus stratégique des États-Unis d'Amérique se retrouve-t-il entre les mains des Russes alors que le FBI a un informateur, une taupe qui fournit des informations privilégiées au FBI sur l'entreprise criminelle ? Très peu de temps après, la vente a été approuvé 145 millions de dollars en "dons" ont fait leur chemin dans la Fondation Clinton à partir d'entités directement liées à l'affaire Uranium One.

Devinez qui travaillait encore à l'Internal Revenue Service au sein de la Charitable Division ? Nul autre que, - Lois Lerner. Ok, c'est juste une autre série de coïncidences, rien à voir ici, n'est-ce pas ?

Avançons rapidement jusqu'en 2015.

En raison d'une série d'événements tragiques à Benghazi et après les 9 "enquêtes" de la Chambre, du Sénat et du Département d'État, Trey Gowdy, qui dirigeait la 10e enquête en tant que président de la Commission spéciale sur Benghazi, découvre que Hillary dirigeait le Département d'État sur un serveur de courrier électronique personnel non classifié, non autorisé et hors-la-loi. Il a également découvert qu'aucun de ces courriels n'avait été retourné lorsqu'elle a quitté son "service public" en tant que secrétaire d'État, ce qui était exigé par la loi. Il a également découvert qu'elle contenait des renseignements très secrets dans son courriel archivé.

Vous épargnant les départements d'État, les nez qu'ils ont fait flotter, les tactiques de retard qui ont été employées et les mensonges directs qui ont été crachés par les cous du département d'État de Kerry, nous en resterons là.... ils ont fait tout ce qui était humainement possible pour couvrir Hillary.

Maintenant, c'est incroyable, devinez qui est devenu directeur du FBI en 2013 ? Nul autre que James Comey ; qui a obtenu 17 contrats sans appel d'offres pour son employeur (Lockheed Martin) avec le Département d'Etat et a été récompensé par un remerciement de six millions de dollars présent lorsqu'il a quitté son employeur ? C'est incroyable comme toutes ces offres sans appel d'offres sont passées par l'État, hein ?

https://www.zerohedge.com/comment/12245706#comment-12245706

Maintenant il est le directeur du FBI en charge de l'enquête "Clinton Email Investigation" après bien sûr que son FBI enquête sur la "Matter" de Lois Lerner à l'Internal Revenue Service et qu'il l'exonère. Non....... je n'ai trouvé aucun crime là-bas.

En avril 2016, James Comey rédige une lettre d'exonération de Hillary Rodham Clinton, pendant que le DOJ distribue des accords d'immunité comme des bonbons. Ils n'ont même pas convoqué un grand jury !

Comme un éclair d'impossibilité statistique, comme un miracle de Dieu lui-même, comme le vrai "Gangsta" Comey, James s'avance dans les caméras d'une conférence de presse en attente le 8 juillet 2016, et exonère l'Hillary de tout acte répréhensible. Voyez-vous le modèle ?

Rosenstein devient procureur général adjoint, Comey est congédié sur la base d'une lettre de Rosenstein, Comey divulgue des informations gouvernementales à la presse, Mueller est assigné à l'imposture d'enquête russe par Rosenstein pour couvrir des décennies de malversations au sein du FBI et du DOJ et l'histoire continue.

Abus de la FISA, espionnage politique........ choisissez un crime, n'importe quel crime, les chances sont........ ce groupe et quelques autres l'ont fait :

  • Tous les mêmes joueurs.
  • Toutes compromises et conflictuelles.
  • Tous ceux qui travaillent avec ferveur pour NE PAS aller en prison eux-mêmes.
  • Tous liés d'une manière ou d'une autre aux Clinton.

Ils sont comme de l'acide de batterie ; ils corrompent et corrompent tout ce qu'ils touchent. Combien de vies ces deux-là ont-ils détruites ?

Au moment d'écrire ces lignes, la Fondation Clinton, qui, depuis plus de 20 ans, est la plus grande fraude caritative internationale de l'histoire de l'humanité, n'a jamais fait l'objet d'un audit par l'Internal Revenue Service.  N'oublions pas que le frère de Comey travaille pour DLA Piper, le cabinet d'avocats qui s'occupe des impôts de la Fondation Clinton.

La personne qui est le dénominateur commun à tous les crimes ci-dessus et qui fait encore son mal échapper à des manœuvres juridiques au sommet des 3 agences Letter USA ? Oui, ce serait Hillary R. Clinton.

Qui est LISA BARSOOMIAN ? Voyons un peu les antécédents de Mme Lisa H. Barsoomian.

Lisa H. Barsoomian, avocate diplômée de Georgetown Law, est une protégée de James Comey et Robert Mueller. Barsoomian, avec son patron R. Craig Lawrence, a représenté Bill Clinton en 1998. Lawrence a également représenté :

  • Robert Mueller trois fois ;
  • James Comey cinq fois ;
  • Barack Obama 45 fois ;
  • Kathleen Sebelius 56 fois ;
  • Bill Clinton 40 fois ; et
  • Hillary Clinton 17 fois.

Entre 1998 et 2017, Barsoomian elle-même a représenté le FBI au moins cinq fois.

Vous vous dites peut-être, OK, qui s'en soucie ? Qui se soucie de l'histoire professionnelle de cette femme barsoomienne ?

Apparemment, quelqu'un le fait, parce que quelqu'un se soucie tellement qu'il a "purgé" tous les documents de Barsoomiancourt pour sa représentation Clinton à Hambourg contre Clinton en 1998 et son appel en 1999 du "DC District and Appeals Court dockets (?)". Quelqu'un se soucie tellement que même l'Internet a été "purgé" de toute information concernant Barsoomian.

Historiquement, cela indique que l'individu est un agent protégé de la CIA. De plus, Lisa Barsoomian s'est spécialisée dans l'opposition aux demandes de la Freedom of Information Act au nom de la communauté du renseignement. Bien que Barsoomian ait été impliquée dans des centaines d'affaires représentant le bureau du procureur américain à Washington, son adresse électronique est Lisa Barsoomian au NIH, qui est un.gov. Le NIH signifie National Institutes of Health. Il s'agit d'une tactique couramment utilisée par la CIA pour protéger un agent en utilisant une autre organisation gouvernementale pour protéger ses activités. Barsoomian est-il un possible agent de la CIA ?

C'est une couverture, pas grand chose, n'est-ce pas ? Qu'est-ce qu'un avocat de plus ayant des liens avec la communauté du renseignement américain importe vraiment ?  Il traite de Trump et de ses récents tarifs sur les importations d'acier et d'aluminium chinois, du mur frontalier, du DACA, de tout ce qui vient de Californie, de l'opposition implacable de l'Uni-party au président Trump, des fuites de Clapper, des fuites de Comey, de la récusation du procureur général Jeff Sessions et de la sieste de 14 mois subséquente avec des incursions occasionnelles dans le mélange de légalisation de la marijuana.... et de l'enquête interminable de Mueller sur la collusion entre l'équipe Trump et les Russes. Clapper et Comey ont admis qu'ils espionnaient même Trump pendant les élections.

Pourquoi Barsoomian, possible agent de la CIA, mérite-t-il d'être mentionné ?

PARCE QUE........

Elle est la FEMME du procureur général adjoint Rod Rosenstein !

RedMile
Traduit avec www.DeepL.com/Translator

https://www.zerohedge.com/comment/12245706#comment-12245706

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Il manque une boîte à meuh : « Ça alors ! ». (Pour ceux qui connaissent Unodieuxconnard.com)

Bref, le gars vient de découvrir que quand un nouveau gouvernement se met en place, la première action du Président (ou du Premier Ministre) consiste à positionner des gens qui lui sont favorables à la tête des institutions importantes voire sensibles.

Son article démontre simplement l’utilité et l’efficacité de ce genre de réseautage, et combien il est nécessaire à tout gouvernement quel qu’en soit la couleur, étant donné le monceau de casseroles qu’il traîne forcément.

Bien évidemment, pour Trump qui tient particulièrement à se présenter en blanche colombe et dénonçant ouvertement une chasse au sorcière façon « Plus Belle Ma Vie sous le Maccarthysme », ce genre de collusion est du pain béni. Sans plus de conséquences judiciaires côté Démocrates que côté Républicains au final, d'ailleurs.

Juste un grand cirque.

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Justifier les incartades et des collusions 1000 fois pires que celles de Trump parce que Trump est méchant et vilain, ça aussi c'est un grand classique...

Les animaux malades de la peste, tout ça...

Qui sait, peut-être que si ces gens n'avaient pas infligé ça à leur pays, Trump ne serait même pas devenu une hypothèse dans l'océan des possibilités... Mais il faut croire que les "déplorables" sont un peu moins impotents qu'on veut le croire.

En attendant leur crédibilité aux Mueller et compagnie, est égale à zéro.

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il y a 35 minutes, Patrick a dit :

 1000 fois pires

:rolleyes: Je veux bien voir la démonstration de cette évaluation. Si si, ça m’intrigue et ça m’intéresse.

 

il y a 35 minutes, Patrick a dit :

.Qui sait, peut-être que si ces gens n'avaient pas infligé ça à leur pays, Trump ne serait même pas devenu une hypothèse dans l'océan des possibilités... Mais il faut croire que les "déplorables" sont un peu moins impotents qu'on veut le croire.

« Ces gens » en question ayant été précédés des mêmes de l’autre bord - les Bush père et fils, c’étaient certainement des Saints de la 1ère couvée, pas du tout dans le réseautage ni les affaires - , sans oublier de part et d’autre les Nixon, Johnson, Kennedy... en fait, je me demande jusqu’où tu souhaites remonter pour justifier l’avènement d’un pauvre petit Trump, qui en plus se voit persécuté pour des frasques de rien du tout par de vilains méchants Démocrates tous plus pourris les uns que les autres.

 

Bref, en prenant simplement un peu de recul et en évitant de tomber dans le fanboyisme primaire, ils utilisent tous les mêmes techniques pour pousser sous le tapis leurs forfaits et tenter de planter des couteaux dans le dos de leurs adversaires. Et bien sûr toujours au détriment des électeurs, puisque le pouvoir ne sert qu’à favoriser les gens de son réseau.

C’est ça qui est vraiment déplorable, peu importe de quel côté penche la balance.

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3 minutes ago, collectionneur said:

Encore une casserole ? Trump aurait comme Mitterrand un enfant caché :)

 

Ca, on le savait déjà: c'est Tiffany. Depuis l'annonce de la candidature de Trump à la présidentielle, on ne la voit jamais.... Et on la voyait jamais déjà avant :rolleyes:

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55 minutes ago, Boule75 said:

On aligne quelques faits, quelques demi-vérités, quelques petits mensonges, on crée un récit, on sous-entend beaucoup sans surtout fournir d'assertions précises, vérifiables. Ici il n'y a même pas d'accusations, juste des insinuations.

Ce qui, aussi, à l'ère du clickbait, est appelé "journalisme". C'est juste un peu (à peine) moins subtil que dans des médias, qui désormais vivent plus sur une réputation acquise en d'autres temps que sur leur production. Le nombre de conneries et de mensonges, et la quantité de mauvaise foi, maladresse et pure manipulation plus ou moins hyper-partisane/idéologique que je peux lire ou voir dans les médias censés être "sérieux" (et encore, je ne vois ça bien que sur les sujets où j'y connais quelque chose) me scie le cul au quotidien.Depuis quelques années, ça n'y met même plus les formes: l'impression actuelle que j'ai des médias, en termes de professionalisme et de crédibilité, me donne l'impression qu'ils couvrent un registre qui va d'Alex Jones et consorts (pour la partie la plus tarée) à la Pravda (pour les "respectables"). 

Et on a même plus Pif Gadget pour relever le niveau. 

 

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Il y a 5 heures, Tancrède a dit :

Ce qui, aussi, à l'ère du clickbait, est appelé "journalisme". C'est juste un peu (à peine) moins subtil que dans des médias, qui désormais vivent plus sur une réputation acquise en d'autres temps que sur leur production. Le nombre de conneries et de mensonges, et la quantité de mauvaise foi, maladresse et pure manipulation plus ou moins hyper-partisane/idéologique que je peux lire ou voir dans les médias censés être "sérieux" (et encore, je ne vois ça bien que sur les sujets où j'y connais quelque chose) me scie le cul au quotidien.Depuis quelques années, ça n'y met même plus les formes: l'impression actuelle que j'ai des médias, en termes de professionalisme et de crédibilité, me donne l'impression qu'ils couvrent un registre qui va d'Alex Jones et consorts (pour la partie la plus tarée) à la Pravda (pour les "respectables"). 

Et on a même plus Pif Gadget pour relever le niveau.

Hum... Tu y vas fort quand même sur les médias : indépendamment du thème, un rant de cet acabit (fumeux, plusieurs mensonges francs, limite raciste-mysogine) ne passerait pas dans la "grande presse" écrite et en ligne (je n'inclue quasi-aucune télé dans cette catégorie). Là c'est vraiment conçu pour tromper le lecteur, comme la totalité de la purée des birthers et autres affaires pédophilie+pizza.

Tu ne trouves ça ni dans le NyTimes, ni même dans le WaPo, pas dans le Guardian, ni Le Monde ni Libé, ni le Figaro, ni Les Echos, ni La Croix, ni la beeb, etc... The Independent ne s'abaissera pas à ce niveau non plus, et pourtant ils aiment bien le sensationnalisme, pas plus pour le Spiegel ou plein d'autres titre, La Libre pas plus, etc, etc....

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Il y a 9 heures, Tancrède a dit :

La question n'est pas d'exempter Trump de ses fautes, mais de pointer du doigt que si son élection, et même sa candidature, ont pu être rendues possibles, c'est en bonne partie PARCE QUE l'establishment en place, de gauche, de droite ou autre, était arrivé (et l'est encore) à un point de décrépitude jugé insupportable par une part significative de l'électorat, dont le ras-le-bol s'est accumulé, tant face au fonctionnement du "système" que face à l'absence de changement (positif) qu'il a procuré dans la mémoire récente. L'engouement, dans les années 90, pour un candidat comme Ross Perrot, avait déjà démontré que l'attente pour une "3ème option" a au moins un électorat, tout comme les poussées, à droite et à gauche, telles que celles pour Ron Paul ou Bernie Sanders. Trump s'est avéré, comme c'était prévisible, n'être côté gouvernance, que du vent, se convertissant vite de fait en un "swamp monster" de plus. Mais la rage qui l'a fait élire est toujours là, et elle n'est pas injustifiée. S'il y a bien un domaine où il est un disrupteur, par sa seule présence, c'est bien celui du débat public: la scène américaine est à cet égard complètement tarée depuis 2016, se surimposant à la crise économico-culturelle des médias pour produire le pitoyable spectacles de mauvaises fois très militantes qui se hurlent dessus et mentent et déforment à tour de bras. Vu l'extrême domination des médias par des gens de gauche, voire très à gauche, leur voix porte plus si on se focalise sur les médias nationaux, et oui, elles tendent à minimiser, cacher ou ignorer les pourritures de leurs bords, tout comme ce serait le cas pour la pourriture de droite si FoxNews donnait le ton du débat national. Il n'y a plus de place pour aucune modération, écoute ou tentative de déterminer un espace de compromis où une "vérité nationale" pourrait être plus ou moins circonscrite: il n'y a que des tribus en concurrence sauvage qui s'envoient des attaques pour forcer leurs rangs à se resserrer. 

Possibilité de voir en temps réel une société se déliter? 

 

Du coup ça tombe bien, c’est exactement ce que je disais 3 posts plus haut quand je parlais de jeune démocratie malade, mais pas ce que dit le post de Patrick. A la différence du post de son post qui explique que les Démocrates ont fait 1000 fois pire, je considère simplement que c’est le système dans sa totalité qui est malade, pas simplement un bord plus qu’un autre.

Et pour moi, il n’a pas commencé à dériver en 2016, toute cette hystérie a commencé bien avant.

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Il y a 9 heures, Tancrède a dit :

L'engouement, dans les années 90, pour un candidat comme Ross Perrot, avait déjà démontré que l'attente pour une "3ème option" a au moins un électorat, tout comme les poussées, à droite et à gauche, telles que celles pour Ron Paul ou Bernie Sanders. Trump s'est avéré, comme c'était prévisible, n'être côté gouvernance, que du vent, se convertissant vite de fait en un "swamp monster" de plus. Mais la rage qui l'a fait élire est toujours là, et elle n'est pas injustifiée.

C'est pareil en Europe. Marre des deux grands qui trustent ? voter une troisième voie... troisième voie qui se trouve trop souvent être l'extrême droite. Nous on a eu de la chance l'année dernière avec notre Jupiter parce que le vote d'un paquet de déçus a été pour lui (en plus de ceux qui y croyaient). Ca a été pareil avec le Brexit où tout une partie de la population des bassins industriels avaient déjà tellement morflé qu'elle se disait que ça ne pouvait pas être pire et que si ça le devenait ce serait pour ceux qui avait tout gagné en les appauvrissant. 

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