MoX Posté(e) le 25 juillet 2022 Share Posté(e) le 25 juillet 2022 Il y a 13 heures, herciv a dit : Quand le senat lève des restrictions d'armes russes sur l'Inde le signal me semble très convaincant quand même. Ça, c'est une mesure qui a perdu beaucoup de son sens de toutes façons - l'attractivité au sens large de l'armement russe a souffert dernièrement. Donc "passer l'éponge" sur ça, c'est pas trop difficile. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 25 juillet 2022 Share Posté(e) le 25 juillet 2022 Il y a 15 heures, herciv a dit : Quand le senat lève des restrictions d'armes russes sur l'Inde le signal me semble très convaincant quand même. Moi j'aimerais que Dassault montre les mêmes images : Je ne sais pas comment voir ces diffusions... Est-ce parce que Boeing désespère tout comme quand jadis à Singapour, le clan Eurofighter faisait fuiter une info comme quoi leur coucou aurait été le seul à avoir su affronter 3 F-16 tout seul ? Est-ce une façon de faire comme la fuite du rapport suisse parce qu'ils n'ont pas la confiance ? En tout cas je n'y vois rien de bien convainquant... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 25 juillet 2022 Share Posté(e) le 25 juillet 2022 Moi non plus. C'est de la comm. C'est pr mettre la pression sur les dirigeants... Rien de nouveau, LM le fait bien à fond sur ts leurs marchés. Après, les arcanes indiennes sont telles que bon, tout est possible sur ce dossier et de toutes manières, ça sera tranché au plus haut niveau Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 25 juillet 2022 Share Posté(e) le 25 juillet 2022 Il y a 23 heures, rendbo a dit : Si on part du principe que le super hornet est obsolète, les US pourraient ils donner "documents de conception + outils de production + assemblage" ? Les indiens auraient l'impression de faire une bonne affaire en se mettant au top de l'art des années 2000. Aucun risque. Ça voudrait dire ne pas louper le coche de la fermeture de la chaîne/competences pour tout rapatrier en Inde. Comme pour le 2000, ça se terminera par l'achat du successeur du super Hornet (ou du Rafale) et d'une discussion pour la production locale du NGAD lorsqu'il arrivera en fin de vie... Dans 60 ans. Mais alors le futur avion embarqué indien arrivera en dotation dans sa version MK1a, avec un four à micro ondes à la place de l'écran radar car faut bien que le trou serve à quelque chose. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 25 juillet 2022 Share Posté(e) le 25 juillet 2022 Il y a 4 heures, bubzy a dit : Aucun risque. Ça voudrait dire ne pas louper le coche de la fermeture de la chaîne/competences pour tout rapatrier en Inde. Comme pour le 2000, ça se terminera par l'achat du successeur du super Hornet (ou du Rafale) et d'une discussion pour la production locale du NGAD lorsqu'il arrivera en fin de vie... Dans 60 ans. Mais alors le futur avion embarqué indien arrivera en dotation dans sa version MK1a, avec un four à micro ondes à la place de l'écran radar car faut bien que le trou serve à quelque chose. il me semble que l'Inde voulait racheter la chaine du 2000 et que la France a dit non... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 25 juillet 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 juillet 2022 il y a une heure, rendbo a dit : il me semble que l'Inde voulait racheter la chaine du 2000 et que la France a dit non... Dans mon souvenir, la France avait proposé à l'Inde de céder la ligne de production du 2000. Mais quand l'Inde a finalement donné son accord, cette ligne avait été démantelée depuis plusieurs années, il n'y avait plus rien à céder. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 26 juillet 2022 Share Posté(e) le 26 juillet 2022 (modifié) Il y a 2 heures, FATac a dit : Dans mon souvenir, la France avait proposé à l'Inde de céder la ligne de production du 2000. Mais quand l'Inde a finalement donné son accord, cette ligne avait été démantelée depuis plusieurs années, il n'y avait plus rien à céder. merci de me corriger. En plus ta version est bien plus raccord avec l'Inde telle qu'on la voit sur ces sujets de défense. Modifié le 26 juillet 2022 par rendbo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 26 juillet 2022 Share Posté(e) le 26 juillet 2022 Il y a 7 heures, FATac a dit : Dans mon souvenir, la France avait proposé à l'Inde de céder la ligne de production du 2000. Mais quand l'Inde a finalement donné son accord, cette ligne avait été démantelée depuis plusieurs années, il n'y avait plus rien à céder. De ce dont je me souviens, une partie des équipements, dont les batis d'assemblage, étaient partis à la ferraille car il fallait faire de la place pour le rafale. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 26 juillet 2022 Share Posté(e) le 26 juillet 2022 Le 25/07/2022 à 23:22, FATac a dit : Dans mon souvenir, la France avait proposé à l'Inde de céder la ligne de production du 2000. Mais quand l'Inde a finalement donné son accord, cette ligne avait été démantelée depuis plusieurs années, il n'y avait plus rien à céder. Tu aurais un document qui en parle? Je fais confiance aux souvenirs des anciens, mais si c'est avéré c'est donc encore pire que ce que croyais... Parce que ça voudrait dire qu'en 2007 les décideurs indiens en charge du MRCA (donc pas l'IAF) faisaient donc la gueule à Dassault, avec à la clé un certain nombre de brimades (Rafale mis à l'écart lors d'Aero India 2007) non pas parce que Dassault avait voulu imposer le Rafale dans cette compétition, mais parce que les français avaient eu l'indécence de ne pas conserver des trucs inutiles au cas où les indiens pourraient en avoir besoin, après que la chaîne du 2000 se soit arrêtée faute de clients, clients qui auraient pu être les indiens eux-mêmes, auquel cas le MRCA n'aurait même pas eu lieu! Le niveau de forfaiture intellectuelle ahurissant que laisserait supposer de telles réactions, si c'est bien comme ça que les choses se sont passées, dépasse tout simplement l'entendement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 27 juillet 2022 Share Posté(e) le 27 juillet 2022 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 27 juillet 2022 Share Posté(e) le 27 juillet 2022 Il y a 11 heures, Patrick a dit : Tu aurais un document qui en parle? Je fais confiance aux souvenirs des anciens, mais si c'est avéré c'est donc encore pire que ce que croyais... C'est pire que ce que tu croyais, donc. Parce que si tu avais encore des doutes, j'ai (rapidement) retrouvé ça et il y a sûrement d'autres sources sur le sujet. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 27 juillet 2022 Share Posté(e) le 27 juillet 2022 4 hours ago, Picdelamirand-oil said: Il vote F18. Ca peut se comprendre... notamment formation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TarpTent Posté(e) le 27 juillet 2022 Share Posté(e) le 27 juillet 2022 Il y a 2 heures, DEFA550 a dit : C'est pire que ce que tu croyais, donc. Parce que si tu avais encore des doutes, j'ai (rapidement) retrouvé ça et il y a sûrement d'autres sources sur le sujet. L’article date de 2006, et Edelstenne déclarait à l’époque lors de la même interview : «R: Avec Neuron, le gouvernement français a voulu éviter le mode de collaboration actuel qui veut que chaque pays cherche à apprendre ce qu'il ne sait pas faire. Au contraire, le partage se fait en fonction des expertises de chaque industriel. […] Q: Dassault sera donc le maître d'oeuvre de la prochaine génération d'avions de combat européen... R: C'est bien dans cette perspective que les industriels travaillent avec nous. De toutes façons, la France n'acceptera pas de participer à un programme sans leadership. ? » 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 27 juillet 2022 Share Posté(e) le 27 juillet 2022 Il y a 3 heures, DEFA550 a dit : Parce que si tu avais encore des doutes, j'ai (rapidement) retrouvé ça Désolé paywall, pas d'accès. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 27 juillet 2022 Share Posté(e) le 27 juillet 2022 Il y a 6 heures, TarpTent a dit : L’article date de 2006, et Edelstenne déclarait à l’époque lors de la même interview : «R: Avec Neuron, le gouvernement français a voulu éviter le mode de collaboration actuel qui veut que chaque pays cherche à apprendre ce qu'il ne sait pas faire. Au contraire, le partage se fait en fonction des expertises de chaque industriel. […] C'est la base du travail en groupe. Si un membre n'a rien à apporter, il ne sert à rien. Point de 1+1=3. Déjà si 1+1 >1 c'est bien. TMor, prof d'élèves en groupes. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Teenytoon Posté(e) le 28 juillet 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 28 juillet 2022 Il y a 21 heures, Patrick a dit : Désolé paywall, pas d'accès. Interview Charles Edelstenne : Construire une Europe industrielle intelligente Allemagne Dassault Par Alain Ruello Publié le 20 févr. 2006 à 01:01 On a assisté l'an dernier à une reprise des commandes dans l'aéronautique civile, mais pas dans le domaine militaire. Comment expliquez-vous ce phénomène ? L'aéronautique civile répond à une logique de cycles. Nous sortons de deux années catastrophiques avec un trou assez important en matière de commandes. Il est donc normal, car le besoin existe, que la reprise se fasse. De plus, il y a un effet de rattrapage, une économie qui dans l'ensemble n'est pas mauvaise, et une croissance du trafic aérien. C'est ce qui s'est produit pour Airbus. Les avions d'affaires ont bénéficié de la même conjoncture, mais aussi du fait que le marché est devenu mature. Aujourd'hui, plus personne ne les considère comme un gadget pour chef d'entreprise ou pour milliardaire, comme il y a vingt-cinq ans, mais comme un outil de la globalisation. Une part significative de notre clientèle provient d'ailleurs de ce que l'on appelle les « small and medium businesses », des firmes un peu plus grosses que les PME françaises, qui ne possédaient pas jusque-là d'avions d'affaires. Les grands groupes ne sont plus nos seuls débouchés. Les Etats-Unis représentent-ils toujours votre principale source de clientèle ? On assiste à un phénomène conjoncturel. Les deux tiers de notre marché se trouvaient en Amérique du Nord. Là, il y a un rééquilibrage qui se fait au profit de l'Europe à la faveur des parités entre le dollar et l'euro. Nos appareils commercialisés en dollars, la monnaie de référence du secteur, sont devenus moins chers pour les Européens. L'Amérique du Sud devient aussi un marché intéressant, le Moyen-Orient se maintient, l'Asie démarre plus lentement, car il y a un problème de pistes, d'aéroports et d'espace aérien. Mais ce marché va se développer aussi car l'économie de toute cette région est en expansion. La Chine ou l'Inde vous font-elles rêver ? Nous avons signé cette année la première commande chinoise et vendu quelques avions en Inde. Envisagez-vous d'y délocaliser des productions ? Les délocalisations ne se font pas, généralement, au niveau des maîtres d'oeuvre, mais des sous-traitants ou des fournisseurs d'équipements. Nous avons une usine importante aux Etats-Unis qui fait l'aménagement commercial des avions parce que l'essentiel du marché est américain, le reste de nos débouchés étant très éclaté. L'Inde devrait lancer un appel d'offres pour remplacer ses 126 chasseurs russes Mig. Allez-vous y répondre ? Il y a quatre ans, nous étions partis sur un marché de gré à gré concernant le Mirage 2000. Nous sommes allés très loin dans les discussions avec l'industrie locale sur les modalités, les estimations de prix, un transfert de la licence. Puis, il y a eu un changement politique indien qui a souhaité lancer un appel d'offres. Depuis, il s'est écoulé un an, et l'appel d'offres n'a toujours pas été lancé. Le temps qu'il le soit effectivement, que les postulants répondent et que les offres soient dépouillées, il y en a au minimum pour quatre à cinq ans. Lors de la dernière expérience avec le gouvernement indien dans ce type de processus, pour un avion d'entraînement, il s'est écoulé vingt-deux ans entre l'appel d'offres et la signature du contrat. J'ai donc pris la décision de ne pas répondre. D'autant que la chaîne de production du Mirage 2000 qui semblait les intéresser est arrêtée depuis 2002, date du dernier lancement en production. Vous ne répondrez pas avec le Mirage 2000, mais le ferez-vous avec le Rafale ? On verra en fonction du contenu de l'appel d'offres. Vous accompagnez le président de la République pour sa visite en Inde qui s'achèvera demain, mais aussi en Arabie saoudite début mars. Or il semble que ce pays ait préféré le Typhoon au Rafale... Nous ne savons pas quelle est la teneur exacte de cet accord concernant le Typhoon. Il y a eu une déclaration britannique annonçant un accord, mais est-ce que cela couvre tous les besoins saoudiens ? Est-ce qu'il est définitif ? Nous verrons dans les mois qui viennent. Comment analysez-vous votre échec à Singapour ? Tout d'abord, nous avons été handicapés par la parité euro-dollar. Ajoutez à cela qu'une certaine composante de notre offre n'était pas totalement compétitive... Nous avions un avantage, qui était l'ouverture technologique que les Américains ont certainement contournée. Votre communiqué d'alors, où vous indiquiez que « le bambou penche toujours du côté de celui qui pousse le plus fort », laissait aussi entendre que le gouvernement français n'avait pas fait le maximum... Ce n'est pas le cas. Nous avons bénéficié de tout le support politique possible. Mais le poids américain est ce qu'il est. A combien d'unités chiffrez-vous le potentiel d'exportation du Rafale ? Nous entamons une phase de renouvellement des flottes d'avions de combat dans le monde, au profit d'une nouvelle génération. Sur les 8.000 avions concernés, environ 5.000 arrivent en fin de vie, qui seront renouvelés, compte tenu des problèmes géostratégiques, de l'évolution des technologies, à raison d'un pour deux. Or, ces dernières années, notre part de marché a été de 13 à 15 %. Nous pensons donc que les espoirs du Rafale à l'exportation se situent autour d'un avion renouvelé sur sept, soit environ 350 appareils. Or, avec les commandes françaises, la chaîne de production est assurée de fonctionner quinze ans. Que répondez-vous à ceux qui soulignent ces échecs à l'export ? En Corée, nous avions gagné sur tous les plans, mais le gouvernement a changé les critères de décision au dernier moment. Aux Pays-Bas, le Rafale est arrivé deuxième, avec une note très proche du premier, le JSF, dans un pays qui a toujours acheté américain. En fait, il donne l'impression qu'il ne s'exporte pas, car il a souffert de dix ans de retard pour des raisons budgétaires. Le premier escadron devait entrer en service en 1996 dans l'armée française, ce ne sera le cas que cette année. En France, certains doutent que le programme atteigne comme prévu les 294 livraisons une fois les élections présidentielles passées. Le lot actuel de 59 appareils va d'ailleurs être amputé de huit unités... En ce qui concerne ce point, la décision n'est pas encore prise, même si elle devrait l'être dans les prochaines semaines. Mais c'est un élément positif qui montre que le gouvernement croit aux chances du Rafale à l'export. Si j'ai accepté moins de chiffre d'affaires, c'est bien pour avancer le financement de certaines fonctions nécessaires pour couvrir les besoins de certains marchés étrangers. Quant au volume global de 294 avions, il demeure pour l'instant. En tant que président du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales, vous avez interpellé le gouvernement l'an dernier sur la faiblesse des crédits de recherche. Avez-vous été entendu depuis ? Les budgets de recherche et technologie permettent de préparer les programmes futurs. Les industriels de l'aéronautique et de l'espace considèrent que les sommes sont insuffisantes. Nos succès actuels sont le fruit des investissements engagés il y a quinze ans. Si on ne poursuit pas les efforts, on en payera le prix dans quinze ans. Aujourd'hui, entre l'Agence nationale de la recherche, les pôles de compétitivité et les autres mécanismes, on ne sait pas très bien de combien l'industrie aéronautique va disposer. Au niveau européen, le 7e PCRD (Programme cadre de recherche et de développement, NDLR) est encore en discussions. Quant à l'Agence européenne de défense, son budget est limité. Le programme Neuron de démonstrateur d'avion de combat sans pilote préfigure-t-il une consolidation dans l'aéronautique de défense européenne ? Pour qu'il y ait consolidation, encore faudrait-il savoir entre qui et qui. Le programme de drone Neuron, pour lequel nous avons fédéré six pays européens en un temps record (« Les Echos » du 10 février) a deux buts : le maintien des compétences en Europe et la préparation des équipes pour la future génération d'avions de combat qui sera faite en coopération, car c'en est fini des programmes nationaux. Avec Neuron, le gouvernement français a voulu éviter le mode de collaboration actuel qui veut que chaque pays cherche à apprendre ce qu'il ne sait pas faire. Au contraire, le partage se fait en fonction des expertises de chaque industriel. D'ailleurs, nous commençons à mettre en place le plateau de travail entre tous les ingénieurs appelés à collaborer sur le projet. Dassault sera donc le maître d'oeuvre de la prochaine génération d'avions de combat européen... C'est bien dans cette perspective que les industriels travaillent avec nous. De toutes façons, la France n'acceptera pas de participer à un programme sans leadership. De plus, qui reste encore capable en Europe d'assurer la maîtrise d'oeuvre d'un avion de chasse de 5e génération ? Le suédois Saab a placé son futur en coopération avec nous. N'y a-t-il pas intérêt à s'élargir aux industriels russes ? Il est probable que c'est un pays auquel il faudra songer. Dassault est-il intéressé à remplacer Lagardère au capital de EADS ? Certainement pas. Du fait de sa structure, EADS est une société difficile à gérer. Chez nous, il y a un seul chef et cela correspond à notre vision du monde industriel. D'une manière générale, les grandes fusions ne fonctionnent pas souvent. Elles s'accompagnent d'une perte de compétences. Je le constate sur notre dernier programme pour lequel des partenaires sont incapables de me livrer ce qu'ils savaient livrer il y a trente ans. Et si EADS vend ses 46 % dans Dassault ? Alors je regarderai très sérieusement, mais je précise qu'il n'y a aucune discussion. En septembre, vous avez indiqué que la vente des 5,7 % de Dassault dans Thales était proche. Depuis, rien ne s'est passé... Nous sommes toujours vendeur, mais nous attendons que le capital de Thales bouge. Nous pouvons également vendre sur le marché. L'Apat (l'Association du personnel actionnaire de Thales, NDLR) nous a aussi approchés, ce qui peut être une bonne solution. Les ambitions d'EADS sur Thales vous inquiètent-elles ? Cela ne me dérange a priori pas. En ce qui concerne le Rafale, les briques technologiques fournies par Thales sont sécurisées. Et pour la future génération d'avions de combat, je l'ai déjà dit, elle se fera en coopération entre plusieurs pays. N'est-ce pas un peu paradoxal que Dassault, qui a longtemps défendu une image de champion national, se fasse le chantre de la coopération européenne ? Pas du tout. Malheureusement, on nous a affublés de tout un tas de clichés qui sont faux. Par exemple, Dassault aurait fait sortir la France du programme Eurofighter. Je rappelle que le débat portait sur la maîtrise d'oeuvre industrielle, mais aussi sur des questions militaires et politiques. Lorsque la France s'est retirée du programme, nos confrères avaient accepté notre maîtrise d'oeuvre. Autre cliché accolé par l'ex-Aérospatiale, les surcoûts du Rafale vont handicaper l'équipement des armées françaises. Si la France était restée dans le programme Eurofighter, le coût budgétaire par avion aurait été 50 % plus élevé que celui du Rafale. Enfin, le programme Neuron, je le rappelle, s'est fait dans un temps record. Nous sommes pour une Europe industrielle intelligente. Et notre objectif est d'être compétitif face aux Américains. En tant que chef d'entreprise, que vous inspire la notion de patriotisme économique ? Une grande incohérence, surtout du côté du grand public, ce qui est normal quand on ne sait pas ce qu'on cherche. Quant au gouvernement, il est sous pression politique. Dans un monde ouvert, il faut se battre avec les avantages et les inconvénients du système. Dans les pays occidentaux, les étudiants boudent de plus en plus les filières scientifiques. Le ressentez-vous dans vos recrutements ? Pas encore, car Dassault bénéficie toujours d'un pouvoir d'attraction. Mais il est vrai que cette désaffection pour ces filières peut poser un problème à terme. Face à cela, le recours à l'offshore peut être une solution pour des profils informatiques, mais pas pour des disciplines purement aéronautiques. Le déficit de la balance commerciale française fait débat. Qu'est-ce qui, selon vous, pèse sur nos exportations ? Les parités actuelles entre le dollar et l'euro introduisent une destruction de compétitivité, notamment pour notre industrie, dont le principal concurrent est américain. Par ailleurs, la France s'impose de respecter des règles OCDE (anti-corruption, NDLR). PROPOS RECUEILLIS PAR GILLES SENGÈS ET ALAIN RUELLO 7 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) le 28 juillet 2022 Share Posté(e) le 28 juillet 2022 R.I.P 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 29 juillet 2022 Share Posté(e) le 29 juillet 2022 En Inde: Deux pilotes de chasse tués dans le crash de leur MiG-21 - L'essentiel (lessentiel.lu) https://www.lessentiel.lu/fr/story/deux-pilotes-de-chasse-tues-dans-le-crash-de-leur-mig-21-496071831485? Encore une perte de MiG-21 mais cette fois-ci, les pilotes ont été perdu . RIP 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) le 29 juillet 2022 Share Posté(e) le 29 juillet 2022 Ce cerceuil volant... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 30 juillet 2022 Share Posté(e) le 30 juillet 2022 @Benji10 Il reste 4 escadrons avec dans les 70 MiG-21. On annonce leur mise en sommeil entre septembre 2022 et 2025 : https://m.timesofindia.com/india/iaf-to-finally-retire-four-existing-mig-21-squadrons-by-2025/articleshow/93220311.cms 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Blackbird Posté(e) le 1 août 2022 Share Posté(e) le 1 août 2022 https://sofrep.com/news/india-will-move-away-from-russian-weapons-grounds-all-their-mig-21s-following-fatal-crash/ India Will Move Away From Russian Weapons, Grounds All Their MiG-21s Following Fatal Crash by Sean Spoonts The times of India reports that India has grounded its remaining fleet of Russian-made MiG-21s after another fatal crash that claimed the lives of two pilots on a training mission. Last week in the Barmer district of Rajasthan, Wing Commander M Rana and Flight Lieutenant Advitiya Bal were killed when their MiG-21 Type 69 trainer crashed during a night training flight. This marks the 6th MiG-21 crash in 18 months, killing six pilots. India adopted the MiG-21 in the 1960s from the Soviet Union and has either bought or manufactured under license some 872 of the jets fighters over the years. More than 400 have been lost in mishaps and in brief conflicts with Pakistan. These mishaps have killed some 200 pilots and at least 60 civilians. Citing issues with the aircraft that include corrosion, shoddy maintenance, poor training, and the lack of quality spare parts, India will phase out its remaining four active MiG-21 squadrons in September. In 2000, India undertook a major modernization program of the aircraft to include new sensors and weapons, but that upgrade is now more than 20 years in the past. While the MiG-21 is relatively inexpensive to produce and maintain compared to modern fighter jets, they are still relics with a design almost 70 years old. In spite of their low cost, India has been unable to fit out more than 32 squadrons of aircraft which is well short of the 42 squadrons the Indian Defence Ministry believes are needed to defend the country from threats posed by Pakistan. India has worked for decades to develop its own jet fighter known as the HAL Tejas, a single-seat, delta wing fighter for air superiority and light attack roles. This aircraft would be used by both the Indian airforce and their navy. Since being approved for service in 2011, India has only equipped two squadrons with the Tejas but plans to buy as many as 450 of these aircraft in the coming years. The bulk of the front-line fighters in the Indian air force is comprised of 272, Sukhoi SU-30s. The Indian air force operates seven different types of fighter aircraft including the French Dassault Rafale and Mirage 2000, the UK’s Sepecat Jaguar, MiG-29s, MiG-21s, and the previously mentioned SU-30. Any air force operating so many different fighters requires different pipelines for training, supplying, and maintaining each aircraft, greatly adding to the expense of keeping them in the air. This is one of the most attractive features of the F-35 Lightening II program for the US military. The three F-35 variants will serve in all branches of the US military with a streamlined system of pilot training, maintenance, and supply for all services. India is the world’s largest buyer of weapons from Russia, importing some $5.5 billion in arms from Moscow since 2018. The war in Ukraine and sanctions against Russia have disrupted this supply chain India has for Russian arms. No doubt, open contracts for Russian arms are on hold as Moscow diverts small arms, ammunition, air-to-air missiles, and other equipment to supply its own troops in Ukraine. Among the contracts on hold are finished parts for 600,000 Kalashnikov AK-203 assault rifles for a new assembly factory in northern India and the S-400 anti-aircraft missile system. In response, India is seeking to expand domestic production of arms to 60% in the next three years. The US, the UK, Israel, along with other Eastern European countries have all offered to step into the void and supply India with weapons and equipment they can no longer get from Russia. The military staff in India has also had the chance to observe the combat capabilities of Russian military equipment in action and can’t have come away very impressed with what they have seen. Supposedly state-of-the-art Russian tanks, fighting vehicles, artillery, helicopters, and aircraft are being easily destroyed by US weapons like the Javelin and Stinger missiles which are not state-of-the-art examples of US anti-tank and anti-aircraft missile systems. There is a considerable opportunity here for the US and Western nations to use arms sales to create a strategic shift with regard to Russia, the world’s second-largest arms exporter. Annual arms export revenue to Russia between 2016 and 2020 was approximately $28 billion in sales to 45 countries. About $14 billion was sales of aircraft of all types, $3.7 Billion in engines, $3.6 billion in missiles, $2.8 billion in armored vehicles, $2 billion in air defense systems, $1.5 billion in ships, and about $300 million in electronic sensors. The US is the largest arms exporter in the world by revenue but not by volume given the much higher cost(and quality) of US-made weaponry and systems. The US reported $45 billion in exported arms sales in 2021, about half of it are exports of aircraft, parts, and engines. Australia – AH-64E Apache Helicopters ($3.5 billion), Israel – CH-53K Helicopters ($3.4 billion), India – P-8I Aircraft ($2.42 billion); Philippines – F-16 Block 70/72 Aircraft ($2.43 billion), Germany – P-8A Aircraft ($1.77 billion), Canada – Aegis Combat System ($1.3 billion), Australia – Heavy Armored Combat Systems ($1.685 billion), Australia – MQ-9B UAS ($1.65 billion) Australia, Canada, the Netherlands, the UK, Belgium, Denmark, Israel, Italy, Japan, Norway, Poland, and the Republic of Korea – F-135 aircraft engines ($5.05 billion); Japan – F-15J Super Interceptor aircraft ($4.5 billion); Republic of Korea – F100 aircraft engines ($2 billion); Israel – JDAM and SDB munitions ($735 million); Spain – Aegis Weapon System for the F110 program ($610 million). The war in Ukraine had shown pretty decisively that even older US weapons are superior to what the Russians are selling as state-of-the-art. For example, Russia has sold the S-400 air defense system aboard claiming that it could shoot down missiles like the US-made HIMARS missile. Ukraine has shown the ability of HIMARS to hit any target within its range without any apparent interference by the S-400 system. US arms manufacturers could make quite a business for themselves by selling previous generation weapons to friendly countries that cannot buy our best weapons because of export controls and national security. Strangling Russian and Chinese arms sales would have a significant impact on the economies of both countries while increasing the costs of their own weapons procurements without strong export sales to offset the volume costs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BP2 Posté(e) le 3 août 2022 Share Posté(e) le 3 août 2022 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 août 2022 Share Posté(e) le 26 août 2022 (modifié) Rafale or Super Hornets are ‘interim arrangement’ only, says Navy on mega fighter deal Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le Rafale ou les Super Hornets ne sont que des "arrangements provisoires", déclare la marine à propos du contrat de méga avion de combat. Le vice-amiral Ghormade a déclaré que le chasseur indigène bimoteur basé sur le pont est l'avenir de la marine indienne et que la force travaille en étroite collaboration avec le DRDO pour faire de ce projet un succès. SNEHESH ALEX PHILIP 25 août, 2022 05:49 pm IST New Delhi : Alors que l'entreprise américaine Boeing est en concurrence avec l'entreprise française Dassault Aviation pour le marché des méga chasseurs de la marine indienne, le vice-amiral en chef S.N. Ghormade a déclaré jeudi que le nouvel avion ne sera qu'un "arrangement provisoire" jusqu'à ce que le chasseur indigène Twin Engine Deck Based Fighter (TEDBF) soit prêt. La marine a clairement indiqué que la force n'allait acheter que 26 nouveaux chasseurs et qu'une décision serait bientôt prise quant à l'acquisition du F/A -18 Super Hornet de Boeing ou du Rafale M de Dassault Aviation. Cette évolution intervient alors que la marine indienne s'apprête à mettre en service son premier porte-avions indigène le 2 septembre, les essais de chasseurs ne devant commencer à bord qu'en novembre de cette année. Alors que l'Inde exploitera bientôt deux porte-avions - l'INS Vikramaditya et l'INS Vikrant qui sera bientôt mis en service - les chasseurs qui leur sont destinés ne sont pas suffisants. L'Inde exploite actuellement 42 MiG 29K d'origine russe, mais ces appareils sont en proie à des problèmes de fonctionnement, et il semblerait que le taux de disponibilité de ces appareils soit inférieur à 45 %. Si le calendrier le plus prometteur pour le début des essais de la TEDBF indigène est de cinq à sept ans, la marine aurait besoin de chasseurs supplémentaires pour exploiter pleinement deux porte-avions dans leur véritable potentiel. "Il existe un calendrier pour la TEDBF. Il faudra environ 5 à 7 ans pour son premier vol et nous avons besoin d'un avion provisoire. C'est pourquoi les essais ont été effectués et un rapport est en cours de préparation", a déclaré le vice-amiral Ghormade en répondant à une question posée par ThePrint sur le porte-avions lors d'une conférence de presse précédant la mise en service du Vikrant. Il faisait référence aux essais effectués par le Hornet et le Rafale pour démontrer leur capacité à décoller du porte-avions indien. Le chasseur bimoteur basé sur le pont est l'avenir de la marine. Le vice-amiral Ghormade a clairement indiqué que le TEDBF était l'avenir de la marine et que la force travaillait en étroite collaboration avec l'Organisation de recherche et de développement de la défense (DRDO) pour faire de ce projet un succès. Interrogé sur la disponibilité des MiG 29K pour opérer depuis les deux porte-avions, il a répondu : "Nous en avons un nombre limité. Nous les utiliserons pour les déployer opérationnellement sur le Vikrant. Normalement, nous sommes en mesure de déployer 12 avions et nous le ferons". Il a ajouté que le personnel de la marine assure la maintenance des appareils et que toutes les pièces nécessaires sont achetées en Russie, malgré la guerre en cours avec l'Ukraine. S'exprimant en marge de la conférence, des officiers de la marine ont également confirmé que la force envisageait d'acheter seulement 26 nouveaux chasseurs, soit le Super Hornet, soit le Rafale M, et qu'il n'y aurait pas d'ajouts. Alors que le plan initial prévoyait l'achat de 57 nouveaux avions de combat, la marine a maintenant décidé d'en acheter 26. Toutefois, des sources ont souligné que tout projet d'achat d'avions supplémentaires dépendra du respect du calendrier du TEDBF, car certains des MiG 29 K seront mis hors service au cours de la prochaine décennie. Comme l'a rapporté ThePrint précédemment, la marine envisageait d'acquérir des chasseurs seule plutôt qu'avec l'Indian Air Force. En 2020, l'amiral Karambir Singh, alors chef de la marine, avait déclaré que la force essayait de travailler avec l'IAF pour un éventuel achat conjoint Modifié le 26 août 2022 par Picdelamirand-oil 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 26 août 2022 Share Posté(e) le 26 août 2022 il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit : "Il existe un calendrier pour la TEDBF. Il faudra environ 5 à 7 ans pour son premier vol et nous avons besoin d'un avion provisoire. 5-7 ans en temps indien... cela va faire du provisoire qui dure en temps normal... Z'ont intérêt à prévoir des achats en option dans le contrat... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fraisedesbois Posté(e) le 26 août 2022 Share Posté(e) le 26 août 2022 Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit : Rafale or Super Hornets are ‘interim arrangement’ only, says Navy on mega fighter deal Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le Rafale ou les Super Hornets ne sont que des "arrangements provisoires", déclare la marine à propos du contrat de méga avion de combat. Le vice-amiral Ghormade a déclaré que le chasseur indigène bimoteur basé sur le pont est l'avenir de la marine indienne et que la force travaille en étroite collaboration avec le DRDO pour faire de ce projet un succès. SNEHESH ALEX PHILIP 25 août, 2022 05:49 pm IST New Delhi : Alors que l'entreprise américaine Boeing est en concurrence avec l'entreprise française Dassault Aviation pour le marché des méga chasseurs de la marine indienne, le vice-amiral en chef S.N. Ghormade a déclaré jeudi que le nouvel avion ne sera qu'un "arrangement provisoire" jusqu'à ce que le chasseur indigène Twin Engine Deck Based Fighter (TEDBF) soit prêt. La marine a clairement indiqué que la force n'allait acheter que 26 nouveaux chasseurs et qu'une décision serait bientôt prise quant à l'acquisition du F/A -18 Super Hornet de Boeing ou du Rafale M de Dassault Aviation. Cette évolution intervient alors que la marine indienne s'apprête à mettre en service son premier porte-avions indigène le 2 septembre, les essais de chasseurs ne devant commencer à bord qu'en novembre de cette année. Alors que l'Inde exploitera bientôt deux porte-avions - l'INS Vikramaditya et l'INS Vikrant qui sera bientôt mis en service - les chasseurs qui leur sont destinés ne sont pas suffisants. L'Inde exploite actuellement 42 MiG 29K d'origine russe, mais ces appareils sont en proie à des problèmes de fonctionnement, et il semblerait que le taux de disponibilité de ces appareils soit inférieur à 45 %. Si le calendrier le plus prometteur pour le début des essais de la TEDBF indigène est de cinq à sept ans, la marine aurait besoin de chasseurs supplémentaires pour exploiter pleinement deux porte-avions dans leur véritable potentiel. "Il existe un calendrier pour la TEDBF. Il faudra environ 5 à 7 ans pour son premier vol et nous avons besoin d'un avion provisoire. C'est pourquoi les essais ont été effectués et un rapport est en cours de préparation", a déclaré le vice-amiral Ghormade en répondant à une question posée par ThePrint sur le porte-avions lors d'une conférence de presse précédant la mise en service du Vikrant. Il faisait référence aux essais effectués par le Hornet et le Rafale pour démontrer leur capacité à décoller du porte-avions indien. Le chasseur bimoteur basé sur le pont est l'avenir de la marine. Le vice-amiral Ghormade a clairement indiqué que le TEDBF était l'avenir de la marine et que la force travaillait en étroite collaboration avec l'Organisation de recherche et de développement de la défense (DRDO) pour faire de ce projet un succès. Interrogé sur la disponibilité des MiG 29K pour opérer depuis les deux porte-avions, il a répondu : "Nous en avons un nombre limité. Nous les utiliserons pour les déployer opérationnellement sur le Vikrant. Normalement, nous sommes en mesure de déployer 12 avions et nous le ferons". Il a ajouté que le personnel de la marine assure la maintenance des appareils et que toutes les pièces nécessaires sont achetées en Russie, malgré la guerre en cours avec l'Ukraine. S'exprimant en marge de la conférence, des officiers de la marine ont également confirmé que la force envisageait d'acheter seulement 26 nouveaux chasseurs, soit le Super Hornet, soit le Rafale M, et qu'il n'y aurait pas d'ajouts. Alors que le plan initial prévoyait l'achat de 57 nouveaux avions de combat, la marine a maintenant décidé d'en acheter 26. Toutefois, des sources ont souligné que tout projet d'achat d'avions supplémentaires dépendra du respect du calendrier du TEDBF, car certains des MiG 29 K seront mis hors service au cours de la prochaine décennie. Comme l'a rapporté ThePrint précédemment, la marine envisageait d'acquérir des chasseurs seule plutôt qu'avec l'Indian Air Force. En 2020, l'amiral Karambir Singh, alors chef de la marine, avait déclaré que la force essayait de travailler avec l'IAF pour un éventuel achat conjoint Il me semble que c’est un (en fait, deux) bon argument en faveur du RafaleM, ça non? 1/ à terme (à l’arrivée du tedbf), que deviendrait la micro-flotte de SH? A contrario, les RafaleM pourraient être reversés à l’IAF. 2/ un argument Indien en faveur du SH est la “communalité” avec l’USN. Ok, mais ce ne serait alors qu’une communalité “stop gap”, le temps que le tedbf n’arrive. Donc cet argument de la communalité heu tombe à l’eau. non? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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