Royaume-Uni

[Wallaby]

https://www.theguardian.com/society/2022/sep/01/cold-homes-will-cost-childrens-lives-and-cause-long-term-damage-warn-experts

M. Sinha a déclaré qu'il n'avait "aucun doute" sur le fait que les maisons froides coûteraient la vie à des enfants cet hiver, bien qu'il ne puisse pas en prédire le nombre, les dommages causés aux jeunes poumons entraînant des maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC), de l'emphysème et des bronchites pour d'autres à l'âge adulte.

Ce rapport est publié alors que le groupe de réflexion de la Resolution Foundation prévoit que la Grande-Bretagne est confrontée à la plus forte compression du niveau de vie depuis un siècle, avec un ménage type perdant 3 000 £ de revenu en termes réels sur deux ans, une inflation atteignant 15 % pour les ménages les plus pauvres, et une crise du coût de la vie qui durera jusqu'en 2024.

Le rapport prévoit que 3 millions de personnes supplémentaires vivront dans la pauvreté absolue et que la pauvreté relative des enfants atteindra son niveau le plus élevé depuis les pics des années 1990, dans une perspective "franchement terrifiante" pour le niveau de vie.

De très nombreux ménages à court d'argent se préparent à baisser ou à éteindre leurs systèmes de chauffage lorsque le plafond du prix de l'énergie passera à 3 549 £ à partir du 1er octobre. Le président de la British Paediatric Respiratory Society a également déclaré au Guardian que des décès d'enfants étaient probables.

"Il y aura une surmortalité chez certains enfants lorsque les familles seront contraintes de ne pas pouvoir chauffer leur maison", a déclaré le Dr Simon Langton-Hewer. "Ce sera dangereux, j'en ai peur".

Au Royaume-Uni, 45 millions de personnes devraient être confrontées à la précarité énergétique d'ici janvier 2023.

Clare Bambra, professeur de santé publique à l'université de Newcastle, a déclaré que la crise du coût de la vie était en passe de devenir une crise de santé publique "dépassant potentiellement la pandémie".

[U235]

From Foreign Policy

 

Original:

Quote

Britain’s Hard-Power Ambitions Face Soft-Power Headwinds

SEPTEMBER 29, 2022 | 3:31 PM

Europe’s Naval Superpower Faces Choppy Waters Ahead

ABOARD THE HMS QUEEN ELIZABETH IN NEW YORK—A British tugboat ferrying a gaggle of suited-up defense officials and contractors was making its way from Battery Park toward the Statue of Liberty. SitRep was in tow. We were headed down the Hudson River straight toward the HMS Queen Elizabeth, the 932-foot-long flagship of the British Royal Navy—noticeably trimmer than her American counterparts—which has taken a break from launching fighter jets this week to drop anchor in the Big Apple for a few days to host Britain’s biggest annual defense conference.

Most of the British and European defense officials in attendance were more used to pre-pandemic think tank conference rooms, a far cry from the rough life of a sailor aboard a ship. As our tugboat made its way toward the diesel-electric carrier, it caught a sizable wave, sending the passengers rocking up and down. “This wasn’t in the brochure,” said one conference-goer.

The backdrop felt like a metaphor of what’s to come for Britain’s military in the 21st century: the slight Queen Elizabeth—named for the 16th-century monarch—trying to punch its weight under the shadow of some of America’s largest skyscrapers. Crewmembers aboard the ship thought of it almost as a reassurance mission.

“You know, at one end, my strategic effect is launching a full ship of F-35s, but on the other end, the soft-power end, hosting an event such as this has no less, necessarily, a strategic effect,” Capt. Ian Feasey, commander of the Queen Elizabeth, told Foreign Policy in an interview. “With the 900 ship’s company I’ve got, they really understand the ability to professionalize delivery of soft power is equally applicable to the professional, First World navy delivery of hard power.”

And it might be a good time for a reassurance mission. The United Kingdom, embroiled in political turmoil at home, is still trying to showcase itself as a hard-power leader in Europe, particularly as London and its allies face down the gravest threat to Europe’s security since World War II with Russia’s invasion of Ukraine. The Queen Elizabeth’s port call in New York came amid a backdrop of more grim news out of Russia, including a mass mobilization of conscripts and Russian President Vladimir Putin’s veiled threats about deploying his country’s nuclear weapons.

The rough landing, with the tugboat knocking against the dock, followed by the din of dress shoes clopping up the wet gangway also felt like a metaphor for the present, even though the carrier’s massive metal frame served almost as a Faraday cage cutting off conference-goers from Wi-Fi—and the news.

On Monday, the British pound fell to historic lows against the U.S. dollar after Britain’s new prime minister—Liz Truss, who has been in office for only three weeks—announced massive tax cuts and new borrowing that sent bond markets cratering.

Reporters who tried to dig into officials over a lunch of haddock and beans doled out by British sailors came up short, but the country’s economic hemorrhaging loomed over the affair, including over British Trade Minister Kemi Badenoch’s keynote speech at the conference, which trumpeted the role of Britain as a trade power. (Whether anyone was buying it remains to be seen.)

Truss, if she can survive the economic headwinds (a big if), hopes to embark on a more muscular defense agenda that will please hawks in Whitehall more than her predecessor, Boris Johnson. Truss hopes to double Britain’s annual military spending by 2030, as Britain looks to a future of launching sixth-generation fighters, souped-up drones, and hypersonic missiles off the Queen Elizabeth’s flight deck, possibly with the help of technology-sharing deals like the so-called AUKUS alliance Britain has with the United States and Australia.

But amid the waves and economic headwinds and as officials and guests speculated whether Russia was responsible for explosions on the NordStream pipelines, military officials tried to make the case that they remained a reliable U.S. partner. “It’s this profusion of systems and technology and the ability to fuse them that I think is becoming quite stark,” Adm. Tony Radakin, chief of the British defense staff, told reporters.

 

En français:

Quote

Les ambitions de puissance dure de la Grande-Bretagne face aux vents contraires de puissance douce

 

29 SEPTEMBRE 2022 | 3:31 PM

 

La superpuissance navale de l'Europe fait face à des eaux troubles à venir

 

À BORD DU HMS QUEEN ELIZABETH À NEW YORK - Un remorqueur britannique transportant un groupe d'officiels et d'entrepreneurs de la défense en costume faisait route de Battery Park vers la Statue de la Liberté. SitRep était à la remorque. Nous descendons le fleuve Hudson en direction du HMS Queen Elizabeth, le vaisseau amiral de la Royal Navy britannique, long de 932 pieds - visiblement plus mince que ses homologues américains - qui a fait une pause dans le lancement des avions de chasse cette semaine pour jeter l'ancre dans la Grosse Pomme pendant quelques jours afin d'accueillir la plus grande conférence annuelle de défense de Grande-Bretagne.

 

La plupart des responsables de la défense britanniques et européens présents étaient plus habitués aux salles de conférence des groupes de réflexion d'avant la pandémie, bien loin de la vie rude d'un marin à bord d'un navire. Alors que notre remorqueur se dirigeait vers le porte-avions diesel-électrique, il a pris une vague assez importante, faisant se balancer les passagers de haut en bas. "Ce n'était pas dans la brochure", a déclaré un participant à la conférence.

 

La toile de fond ressemblait à une métaphore de ce qui attend les militaires britanniques au XXIe siècle : le léger Queen Elizabeth - nommé en l'honneur du monarque du XVIe siècle - tentant de se faire valoir à l'ombre de certains des plus grands gratte-ciel américains. Les membres de l'équipage à bord du navire l'ont considéré comme une mission de réassurance.

 

"Vous savez, d'un côté, mon effet stratégique est de lancer un navire complet de F-35, mais de l'autre, du côté de la puissance douce, accueillir un événement comme celui-ci n'a pas moins, nécessairement, un effet stratégique", a déclaré le capitaine Ian Feasey, commandant du Queen Elizabeth, dans une interview à Foreign Policy. "L'équipage du 900e navire que j'ai, comprend vraiment que la capacité de professionnaliser la transmission de la puissance douce est également applicable à la transmission professionnelle de la puissance dure par la marine du premier monde."

 

Et c'est peut-être le bon moment pour une mission de réassurance. Le Royaume-Uni, en proie à des troubles politiques dans son pays, tente toujours de se présenter comme un leader de la puissance dure en Europe, en particulier alors que Londres et ses alliés font face à la plus grave menace pour la sécurité de l'Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, à savoir l'invasion de l'Ukraine par la Russie. L'escale du Queen Elizabeth à New York s'est déroulée sur fond de nouvelles sinistres en provenance de Russie, notamment une mobilisation massive des conscrits et les menaces voilées du président russe Vladimir Poutine concernant le déploiement des armes nucléaires de son pays.

 

L'atterrissage brutal, avec le remorqueur heurtant le quai, suivi du vacarme des chaussures de ville remontant la passerelle humide, a également ressemblé à une métaphore du présent, même si l'imposante structure métallique du porte-avions servait presque de cage de Faraday, coupant les participants à la conférence du Wi-fi et des informations.

 

Lundi, la livre sterling est tombée à un niveau historiquement bas par rapport au dollar américain après que la nouvelle première ministre britannique, Liz Truss, qui n'est en poste que depuis trois semaines, a annoncé des réductions d'impôts massives et de nouveaux emprunts qui ont fait plonger les marchés obligataires.

 

Les journalistes qui ont tenté d'interroger les officiels autour d'un déjeuner composé de haddock et de haricots distribués par des marins britanniques n'ont rien trouvé, mais l'hémorragie économique du pays a plané sur la conférence, y compris sur le discours principal de la ministre britannique du commerce, Kemi Badenoch, qui a vanté le rôle de la Grande-Bretagne en tant que puissance commerciale. (Reste à savoir si quelqu'un y a cru).

 

Mme Truss, si elle peut survivre aux vents contraires de l'économie (un grand si), espère se lancer dans un programme de défense plus musclé qui plaira davantage aux faucons de Whitehall que son prédécesseur, Boris Johnson. Mme Truss espère doubler les dépenses militaires annuelles de la Grande-Bretagne d'ici 2030, alors que le pays envisage de lancer des chasseurs de sixième génération, des drones gonflés et des missiles hypersoniques depuis le pont d'envol du Queen Elizabeth, éventuellement avec l'aide d'accords de partage de technologies comme l'alliance dite AUKUS que la Grande-Bretagne a conclue avec les États-Unis et l'Australie.

 

Mais au milieu des vagues et des vents contraires économiques et alors que les officiels et les invités spéculaient sur la responsabilité de la Russie dans les explosions des pipelines NordStream, les responsables militaires ont tenté de faire valoir qu'ils restaient un partenaire fiable des États-Unis. "C'est cette profusion de systèmes et de technologies et la capacité de les fusionner qui, à mon avis, devient assez frappante", a déclaré à la presse l'amiral Tony Radakin, chef d'état-major de la défense britannique.

 

[rendbo]

Le 29/09/2022 à 19:01, Alberas a dit :

Que le Monde, plutôt classé à gauche, critique une politique à la Ronald Reagan, n'est pas surprenant. Mais l'UK n'a pas les ressources des USA et le Sterling n'est pas le Dollar. Si ça se passe mal chez eux, ils auront vite fait de nous en accuser 

Vu l'animosité que peuvent parfois susciter nos voisins Britanniques, je suis quasi sûr que certains se réjouiront d'avoir mis à genoux la perfide Albion sans que cela ne nous ait coûté un sous...

Modifié le 1 octobre 2022 par collectionneur
S oublié

[Wallaby]

https://www.theguardian.com/business/2022/oct/02/pro-growth-government-uk-recession-likely-truss-kwarteng

Liz Truss est devenue Première ministre en promettant de secouer les choses et c'est certainement ce qu'elle a fait. En moins d'un mois, le nouveau gouvernement a fait grimper en flèche les taux d'intérêt, fait s'effondrer la livre, torpillé le marché immobilier, rendu la récession inévitable et laissé son parti sur la voie d'une défaite aux proportions épiques lors des prochaines élections. Pas mal pour un début.

[herciv]

Il y a 7 heures, Wallaby a dit :

https://www.theguardian.com/business/2022/oct/02/pro-growth-government-uk-recession-likely-truss-kwarteng

Liz Truss est devenue Première ministre en promettant de secouer les choses et c'est certainement ce qu'elle a fait. En moins d'un mois, le nouveau gouvernement a fait grimper en flèche les taux d'intérêt, fait s'effondrer la livre, torpillé le marché immobilier, rendu la récession inévitable et laissé son parti sur la voie d'une défaite aux proportions épiques lors des prochaines élections. Pas mal pour un début.

Ce gouvernement hérite d'une situation explosive. Les UK ne peuvent plus profiter de la solidarité européenne pour gommer leurs erreurs. 

Et là ils rajoutent de la poudre explosive ...

Le résultat devrait être douloureux.

[Paschi]

Il semble que Liz Truss se soit rendue compte que la baisse d'impôt prévue sur les revenus des plus riches n'était pas des plus pertinentes.

Londres a annoncé, lundi, faire marche arrière sur la baisse d'impôt sur le revenu pour les plus riches, dévoilée il y a une dizaine de jours et qui a plongé les marchés financiers dans la tourmente.

https://www.france24.com/fr/europe/20221003-royaume-uni-l-exécutif-revient-sur-sa-baisse-d-impôt-sur-le-revenu-pour-les-plus-riches

 

[Obelix38]

Le 30/09/2022 à 21:57, rendbo a dit :

Vu l'animosité que peuvent parfois susciter nos voisins Britanniques, je suis quasi sûr que certains se réjouiront d'avoir mis à genoux la perfide Albion sans que cela ne nous ait coûté un sous...

"N'interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur." N. Bonaparte
 

[Hirondelle]

Hmmm… RU et Allemagne (et tant d’autres) mal en point en même temps, pas sûr qu’on se réjouisse longtemps.

[Wallaby]

https://www.theguardian.com/politics/live/2022/oct/03/truss-expected-to-abandon-plan-to-abolish-45-top-rate-of-income-tax-live

Kwarteng confie avoir commis une erreur en participant à une réception au champagne pour des donateurs conservateurs le jour du mini-budget.

[Ciders]

Bon là c'est sûr. Liz Truss et son gouvernement sont vraiment aux abois pour déclarer ce genre de flammes :

https://www.lefigaro.fr/international/apres-la-polemique-liz-truss-estime-desormais-qu-emmanuel-macron-est-un-ami-20221006

[Bocket]

Avec le retour des Anglais sur la scène Européenne, la grille d'interprétation de leur propos est indispensable (Ici dans la version publiée par D Rochebin). Je confirme que pour ma part, ces misunderstandings  étaient relativement courants avec mes collègues anglais. Ah le very interesting et le few minor comments et autres I almost agree. 

[Wallaby]

https://www.independent.co.uk/news/uk/politics/liz-truss-energy-saving-campaign-blocked-ideological-b2197566.html (7 octobre 2021)

Liz Truss a bloqué les plans pour une campagne d'information publique demandant aux gens d'économiser l'énergie pendant l'hiver, apparemment parce qu'elle est "idéologiquement opposée" à l'idée.

Vendredi matin, des ministres ont déclaré que cette idée relevait d'un "État-nounou" et ont confirmé qu'ils n'inciteraient pas les gens à surveiller leur consommation, malgré les avertissements de National Grid concernant la possibilité de pannes d'électricité.

Le secrétaire d'État au commerce, Jacob Rees-Mogg, aurait été enthousiaste à l'idée d'une campagne de 15 millions de livres sterling comme moyen relativement rentable de réduire la consommation d'énergie du Royaume-Uni à une époque de flambée des prix et de pénurie.

Le plan "léger" aurait recommandé des mesures conçues pour aider les gens à économiser jusqu'à 300 £ par an, notamment en réduisant la température des chaudières et en baissant les radiateurs dans les pièces vides.

Mais il a été bloqué par Downing Street, le journal The Times citant une source gouvernementale qui a déclaré que la Première ministre était "idéologiquement opposée" à une telle approche.

[clem200]

Bof, en triplant le prix de l'énergie les anglais devraient vite devenir inventif sur les moyens d'économiser 

Elle baisse de plus en plus dans mon estime en tout cas ...

[pascal]

Il y a 2 heures, Wallaby a dit :

Liz Truss a bloqué les plans pour une campagne d'information publique demandant aux gens d'économiser l'énergie pendant l'hiver, apparemment parce qu'elle est "idéologiquement opposée" à l'idée.

Vendredi matin, des ministres ont déclaré que cette idée relevait d'un "État-nounou" et ont confirmé qu'ils n'inciteraient pas les gens à surveiller leur consommation, malgré les avertissements de National Grid concernant la possibilité de pannes d'électricité.

énorme !!! Ou quand l'idéologie rend aveugle

L'expérience du Brexit n'a pas suffit ?

Ces gens sont complètement coupés du pays réel et de ses multiples situations

il y a 15 minutes, clem200 a dit :

Elle baisse de plus en plus dans mon estime en tout cas ..

ah bon ? elle en a eu ?

[Nec temere]

il y a 3 minutes, pascal a dit :

ah bon ? elle en a eu ?

J'allais faire la même remarque.

Ayant eu vent de son existence avec ça saillie sur la relation entre le RU et la France je dois dire que pour ma part elle partait déjà loin loin en négatif 

[Yankev]

Certains, quand ils atteignent le fond, rebondissent. D'autre, se mettent à creuser.

 

Elle, elle creuse.

Modifié le 7 octobre 2022 par Yankev

[Alexis]

il y a une heure, clem200 a dit :

Elle baisse de plus en plus dans mon estime en tout cas ...

Elle fore avec ardeur. Elle va finir par trouver du pétrole.

 

il y a une heure, Nec temere a dit :

Ayant eu vent de son existence avec ça saillie sur la relation entre le RU et la France je dois dire que pour ma part elle partait déjà loin loin en négatif 

Perso, j'ai pris conscience de l'existence de cette responsable politicienne lorsqu'elle a étalé son ignorance de si belle manière... alors qu'elle était ministre des affaires étrangères, pas moins !

Menaçant la Russie de "conséquences" si elle envahissait l'Ukraine, elle a déclaré que "nous fournissons et offrons un soutien supplémentaire à nos alliés baltes de l'autre côté de la mer Noire". Ces "alliés" sont l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie.

Ca fait un moment que le lion britannique est gouverné par des ânes. Celle-là pourrait battre des records 

[Skw]

Il y a 1 heure, pascal a dit :

L'expérience du Brexit n'a pas suffi ?

Ou peut-être en avait-il besoin pour mener leur expérience sociale dans leur coin... Vu sous cet angle, la démarche du Brexit était plutôt louable.

[Alberas]

Il y a 1 heure, Alexis a dit :

Ca fait un moment que le lion britannique est gouverné par des ânes. Celle-là pourrait battre des records 

Honnêtement, Mme Truss m'indiffère. Mais l'accabler de tous les maux, en oubliant que notre PR a commencé son 1er mandat en diminuant les APL et en augmentant le prix du gazole, le tout agrémenté des 80km/h ... Bof Bof

En plus notre classe politique  est entièrement responsable de la situation catastrophique de EDF, elle s'est fait entuber en acceptant ce système absurde de valorisation des kw/h produits, ...

Et pour cloturer le tout, elle nous abreuve de conseils =de grand mères pour se dédouaner de son incompétence et invente des usines à gaz ( ) pour distribuer des chèques . Moi j'appelle ça du mouvement brownien 

[MIC_A]

Après bojo, lisa, !

Sur un air de Cat Stevens ça passe mieux :

Révélation

https://www.youtube.com/watch?v=E6982_c8fps

J'adore cette chanson !

[Hirondelle]

Tu t’égares @Alberas, mais je veux bien un petit cours sur cette valorisation des Kw produits (suis très en retard )

[John92]

Petite remarque:

k (kilo = * 1000) différent de K (Kelvin = échelle de température)

w différent de W (Watt = unité de puissance)

Relation énergie puissance temps: puissance = énergie / temps donc énergie = puissance * temps

Donc kw/h doit s'écrire kW/h et n'a pas de sens (kW/h = puissance/temps ce qui ne signifie rien)

il faut donc écrire kWh ou mieux kW.h

Rien contre vous, en plus on est dredi, mais ça fait depuis la rentrée que j'essaye de faire rentrer ça dans la tête de mes étudiants.

 

[Heorl]

C'est dingue, à chaque fois que je lis quelque chose sur Truss, j'ai cette chanson qui me revient en tête

"We dig dig dig dig dig..."

 

[Boule75]

J'en étais plutôt là, moi, mais ça pourrait sonner doucement sexiste si on pensait à mal :

Qu'on se rassure : le sexe n'a rien à y voir, elle poursuit l’œuvre entamée par ses prédécesseurs, BoJo en tête.

[Kelkin]

Moi je persiste à penser que l'objectif de Liz Truss est la réhabilitation de Boris Johnson. Grâce à elle, on va en venir à dire qu'il n'était pas si mal que ça tous comptes faits !