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Coronavirus - Covid 19


Messages recommandés

Il y a 10 heures, Cool Hand a dit :

Intéressant ce que dit Cohen sur la Bretagne et les variants :

 

Par ailleurs, la campagne de vaccination va débuter la semaine prochaine pour la tranche d'âge 50-64 ans avec comorbidité, proposée par les médecins généralistes avec le vaccin AZ. Et les modalités ne sont pas simples : flacon de 10 doses devant être injectées dans les 6 heures à T° ambiante après ouverture, ou dans les 48h si chaîne du froid respectée (remise au frigo à +2 +8°). Ça me parait très chaud à gérer pour des généralistes.

 

J'adore la question de la journaliste vers la fin après le topo de Cohen: "le gouv a-t-il eu tord de s'alarmer ?"

Alors que justement le gouv a pas voulu reconfiner... 

bref. 

 

 

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Il y a 12 heures, Delbareth a dit :

Mouais, Einstein aurait dit qu'un des gros problème du monde est que les gens ne comprennent pas la notion d'exponentielle (mais Abraham Lincoln nous a prévenu de nous méfier des citations d'internet).

EYTiICkXgAQSos8?format=jpg&name=small

https://twitter.com/ComplotsFaciles

 

 

Modifié par LBP
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https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/16/malgre-le-couvre-feu-la-baisse-des-deplacements-des-francais-est-moins-importante-qu-espere_6070089_3244.html

Quote

Malgré le couvre-feu, la baisse des déplacements des Français est moins importante qu’espéré

Selon des données analysées par l’Inserm en partenariat avec Orange, le niveau de mobilité des Français est stable depuis décembre, en dépit des différentes restrictions de circulation imposées.

Quelle pourrait être l’efficacité d’un troisième confinement dans une France au bord du « ras-le-bol » ? Cette question est dans tous les esprits alors qu’une nouvelle vague épidémique se dessine et que l’horizon d’une immunité collective acquise grâce au vaccin ne cesse de reculer. Difficile à anticiper, le respect des mesures prises pour freiner la diffusion du virus peut en revanche être apprécié après coup grâce à l’analyse des données de mobilité.

C’est ce qu’ont fait au début de l’épidémie les chercheurs de l’Inserm (EPIcx-Lab) en partenariat avec l’opérateur téléphonique Orange. Et leurs derniers résultats, inédits, montrent que le niveau de mobilité des Français était, début février, 20 % inférieur à ce qu’il était avant la pandémie. Ce chiffre apparaît relativement stable depuis le début du mois de décembre 2020, malgré des restrictions de circulation différentes : confinement puis couvre-feu national à 20 heures depuis le 15 décembre 2020, et 18 heures depuis le 16 janvier.

Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques ont découpé la France en un peu moins de 1 500 zones et estimé – grâce aux données issues du réseau mobile d’Orange – le nombre de trajet quotidien entre ces zones. Pour qu’un trajet soit comptabilisé, la personne doit avoir passé au moins une heure dans la zone de départ, et au moins une heure dans la zone d’arrivée.

« Le respect des mesures de restriction s’érode avec le temps »

Depuis la rentrée du 4 janvier, les Français se déplacent de plus en plus, et le couvre-feu national à 18 heures n’a eu que peu d’effet sur cette tendance. « Il est possible que les Français aient réorganisé leur journée tout en respectant les mesures », indique l’épidémiologiste Eugenio Valdano en précisant que d’autres sources de données comme les rapports de Google Mobility confirment que la fréquentation de nombreux lieux – bureaux, transports en commun – reste inférieure à ce qu’elle était avant l’épidémie.

Lors du premier confinement, à partir du 17 mars 2020, la mobilité à l’échelle nationale avait chuté de 65 % par rapport à la période prépandémique (la mobilité en février 2020, hors vacances scolaires, a été prise comme période de référence). Lors du second confinement, à compter du 30 octobre, elle n’a diminué que de 35 %. La mobilité est aussi repartie à la hausse plus vite : après seulement deux semaines de confinement à l’automne, contre cinq semaines au printemps.

...

 

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Crise sanitaire : le risque d’un choc intergénérationnel

Une enquête d’Odoxa révèle que 56 % des Français craignent un conflit de générations entre les personnes âgées et la jeunesse.

Faut-il que l’on « sacrifie » les jeunes pour sauver les plus âgés ? Un an après le début de la pandémie, la question hystérise les plateaux télé, inspire les chroniqueurs, excite les réseaux sociaux. Elle est aussi posée de façon passionnée par les lycéens et les étudiants. Le Covid-19 est devenu un virus clivant : selon une enquête d’opinion dont Le Monde révèle les résultats, 56 % des Français craignent un conflit de générations. Ils sont même 60 % à le redouter parmi les 18-34 ans.

Réalisé par l’institut Odoxa (auprès de 1 005 personnes du 3 au 4 février), le sondage a été commandé par le Cercle Vulnérabilités et Société, un groupe de réflexion sur les fragilités sociales et dans le domaine de la santé. « On voit nettement qu’il y a un risque de délitement du lien intergénérationnel avec un risque de rupture si la crise dure », observe Edouard de Hennezel, président fondateur de ce think tank.

« On a l’impression d’être punis »

Le conflit latent qui existait avant la crise est en train de se transformer en « choc générationnel », analyse le pédopsychiatre Bruno Falissard. Directeur de recherche à l’Inserm qui enseigne à la Maison des adolescents de Cochin (AP-HP), le professeur Falissard dresse le « tableau clinique » d’un ressentiment croissant des jeunes envers les plus âgés. Avant la pandémie, ils récriminaient contre le coût du logement, la crise économique, la planète « dézinguée » que leur laissait la génération des « boomeurs », celle de Mai 68. Mais les confinements et le couvre-feu ont entraîné l’interdiction de sortir, d’avoir une vie amoureuse, supprimés les petits boulots. Les jeunes peuvent juger « cartes sur table » que des décisions ont été prises pour sauver les plus vieux à leur détriment. Il y a, du coup, une « détestation » envers les plus anciens qui s’exprime.

« La tentation chez les jeunes de faire grief aux vieux correspond à une envie de provoquer », observe le psychiatre Jérôme Pellerin, « mais révèle aussi une réelle souffrance », ajoute ce directeur médical au centre René-Capitant, hôpital de jour à Paris pour jeunes adultes. De fait, l’enquête d’Odoxa confirme que les 18-34 ans sont les premières victimes collatérales de la pandémie : 81 % des sondés estiment que « les jeunes et les étudiants sont les plus mal pris en compte dans les décisions gouvernementales ». Parmi les 18-34 ans, 66 % d’entre eux estiment avoir subi une détérioration de leurs relations sociales avec leur famille, leurs amis, leurs collègues, contre 55 % pour les Français. Ils sont aussi 56 % à avoir connu un état dépressif. Un sur deux (51 %) a subi une baisse de pouvoir d’achat. « On a l’impression d’être punis, comme dans une classe quand tous les élèves sont collés à cause d’un seul qui a fait une bêtise, témoigne ainsi Charlotte, 24 ans (qui n’a pas souhaité donner son nom). On cherche des responsables à notre situation et comme on n’a personne à blâmer, on cible spontanément les vieux. Même si, nuance-t-elle, on est ambivalents parce qu’on ne veut pour rien au monde que nos grands-parents attrapent le virus. »

...

https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/02/16/crise-sanitaire-le-risque-d-un-choc-intergenerationnel_6070113_3224.html

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il y a 20 minutes, LBP a dit :

https://fr.euronews.com/2021/02/16/covid-19-la-coree-du-nord-aurait-tente-de-pirater-pfizer

Covid-19 : la Corée du Nord aurait tenté de pirater Pfizer

 

Logique, ils veulent distribuer le vaccin gratuitement au monde entier. Ils sont là nos véritables sauveurs.

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Citation

Les variantes britannique et californienne du coronavirus semblent s'être combinées en un hybride fortement muté, ce qui fait craindre que nous entrions dans une nouvelle phase de la pandémie de covid-19.

Par Graham Lawton

Deux variantes du coronavirus SRAS-CoV-2 qui cause le covid-19 ont combiné leurs génomes pour former une version hybride fortement mutée du virus. L'événement de "recombinaison" a été découvert dans un échantillon de virus en Californie, provoquant des avertissements selon lesquels nous pourrions être sur le point d'entrer dans une nouvelle phase de la pandémie.

Le virus hybride est le résultat de la recombinaison du variant B.1.1.7 hautement transmissible découvert au Royaume-Uni et du variant B.1.429 originaire de Californie et qui pourrait être responsable d'une récente vague de cas à Los Angeles car il est porteur d'une mutation le rendant résistant à certains anticorps.

Le recombinant a été découvert par Bette Korber au Laboratoire national de Los Alamos au Nouveau Mexique, qui a déclaré lors d'une réunion organisée par l'Académie des sciences de New York le 2 février qu'elle en avait vu des preuves "assez claires" dans sa base de données sur les génomes viraux américains.

S'il est confirmé, le recombinant serait le premier à être détecté dans cette pandémie. En décembre et janvier, deux groupes de recherche ont indépendamment rapporté qu'ils n'avaient vu aucune preuve de recombinaison, même si elle était attendue depuis longtemps car elle est courante dans les coronavirus.

Contrairement à la mutation régulière, où les changements s'accumulent un à la fois, ce qui est à l'origine de variantes telles que B.1.1.7, la recombinaison peut rassembler plusieurs mutations en une seule fois. La plupart du temps, celles-ci ne confèrent aucun avantage au virus, mais il arrive qu'elles le fassent.

La recombinaison peut être d'une importance majeure pour l'évolution, selon François Balloux de l'University College London. Beaucoup considèrent que c'est ainsi que le SRAS-CoV-2 a vu le jour.

La recombinaison pourrait conduire à l'émergence de nouvelles variantes encore plus dangereuses, bien que l'on ne sache pas encore très bien quelle menace ce premier événement de recombinaison pourrait représenter.

Korber n'a vu qu'un seul génome recombiné parmi des milliers de séquences et on ne sait pas encore si le virus se transmet d'une personne à l'autre ou s'il s'agit d'un cas isolé.

La recombinaison est courante chez les coronavirus parce que l'enzyme qui réplique leur génome a tendance à glisser du brin d'ARN qu'elle copie et à se réintégrer là où elle s'est arrêtée. Si une cellule hôte contient deux génomes de coronavirus différents, l'enzyme peut sauter de façon répétée de l'un à l'autre, en combinant différents éléments de chaque génome pour créer un virus hybride.

L'émergence récente de multiples variantes du nouveau coronavirus pourrait avoir créé la matière première pour la recombinaison, car les gens peuvent être infectés par deux variantes différentes à la fois.

"Nous en arrivons peut-être au point où cela se produit à un rythme appréciable", déclare Sergei Pond, de l'université Temple en Pennsylvanie, qui surveille les recombinants en comparant des milliers de séquences de génomes téléchargées dans des bases de données. Il affirme qu'il n'y a toujours pas de preuve d'une recombinaison généralisée, mais que "les coronavirus se recombinent tous, donc la question est de savoir quand, et non pas si".

Les implications de cette découverte ne sont pas encore claires car on sait très peu de choses sur la biologie du recombinant. Cependant, il porte une mutation de B.1.1.7, appelée Δ69/70, qui rend le virus britannique plus transmissible, et une autre de B.1.429, appelée L452R, qui peut conférer une résistance aux anticorps.

"Ce genre d'événement pourrait permettre au virus d'avoir couplé un virus plus infectieux avec un virus plus résistant", a déclaré M. Korber lors de la réunion de New York.

Lucy van Dorp, de l'University College London, déclare qu'elle n'avait pas encore entendu parler du recombinant, mais "ne serait pas trop surprise si certains cas commençaient à être détectés".

https://www.newscientist.com/article/2268014-exclusive-two-variants-have-merged-into-heavily-mutated-coronavirus/

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Le 13/02/2021 à 16:18, Wallaby a dit :

https://www.nytimes.com/2021/02/12/world/asia/china-world-health-organization-coronavirus.html

Les scientifiques chinois ont également reconnu qu'ils avaient découvert que 92 personnes avaient été hospitalisées à Wuhan dès octobre 2019 avec des symptômes tels que la fièvre et la toux. Les experts chinois ont déclaré qu'ils n'avaient trouvé aucune trace de Covid-19 chez ces personnes, mais les tests étaient incomplets. Les membres de l'équipe de l'Organisation mondiale de la santé ont déclaré que des recherches supplémentaires étaient nécessaires.

L'équipe de l'OMS, qui devrait publier un rapport complet sur ses conclusions dans les semaines à venir, continue de faire pression sur les autorités chinoises pour qu'elles procèdent à des contrôles exhaustifs des échantillons de sang afin de détecter des signes indiquant que le virus aurait pu circuler plus tôt. Les experts demandent également à la Chine d'enquêter plus en profondeur sur le commerce des animaux sauvages à Wuhan et dans les environs pour trouver des indices sur la façon dont le virus a pu passer des animaux aux humains.

On ignore dans quelle mesure le gouvernement chinois - qui continue de contrôler fermement la recherche sur les origines du virus - coopérera.

Suite et complément à cet article du NY Times

https://edition.cnn.com/2021/02/14/health/who-mission-china-intl/index.html

Selon une interview de CNN de Peter Ben Embarek, le chef de la mission de recherche de l'OMS à Wuhan, ils auraient isolé au moins une douzaine de variants différents dans la province du Hubei dès décembre 2019.
(souvent sans aucun rapport avec le fameux marché de Wuhan)
A confirmer (les médias ayant une fâcheuse tendance à déformer les papiers scientifiques ... même les médias qui essayent d'être impartiaux... ).

Quelques remarques en vrac :

  • Si c'est vrai, alors de mes souvenirs de biologie, ça voudrait dire que l'épidémie de covid se propageait à bas bruit depuis longtemps à Wuhan (>> plusieurs mois pour avoir autant de variants différents).
    Ce n'est pas une surprise : on était arrivé à la même conclusion en France et en Italie, avec des antigènes du spike covid détectés à postériori vers septembre (avec ou sans symptôme).
    Les variants devraient être séquencés si possible pour comparaison.
     
  • Si c'est vrai, alors les chinois auraient peut-être dû laisser venir la mission de l'OMS plus tôt...
    ça les aurait en grande partie dédouané du point de vue scientifique (enfin, pas aux yeux de Pompéo / Trump en recherche de bouc émissaire)
     
  • A posteriori, ça recoupe une partie des informations à l'origine des accusations US :
    Plusieurs papiers / journaux US avaient noté à posteriori une épidémie de syndrome de type grippal inhabituellement forte et anticipée au Hubei (beaucoup plus de cas cet automne 2019).

    Par contre, les accusations de censure délibérée de l'épidémie dès l'automne 2019 (voire d'une fuite de labo) sonnent creux maintenant :
    la France et l'Italie avaient été touchés à peu près au même moment selon les tests sanguins ... mais n'avaient rien signalé non plus).
     
  • De mémoire, les tests antigéniques pratiqués à Wuhan cet hiver 2020 ont montré que ~4% de la population avaient des antigènes (signe d'infection par le covid).
    Je ne pense pas que le covid s'était propagé là-bas bas massivement avant 2019 (sinon y aurait bien plus de personnes avec des antigènes)
     
  • Grosse spéculation personnelle d'un amateur.
    Si je devais parier, je dirais que à Wuhan, le covid serait arrivé à sa forme actuelle* (contagieuse et dangereuse pour l'homme) pendant l'année 2019 (printemps-été-automne).
    Il se serait propagé à bas bruit pendant l'été-automne (analogie avec la France l'été 2020 après le déconfinement) , avant d'exploser cet hiver 2019.

    Il est possible qu'il était déjà arrivé dans les campagnes environnantes du Hubei avant, mais n'avait pas explosé (environnement défavorable ou variant moins transmissible)
    (comme la 1ère vague de covid ne semble pas avoir explosé au Japon, malgré le manque de précaution sanitaire).
     
Le 10/02/2021 à 21:55, Boule75 a dit :

On a une visibilité crédible sur les efforts faits en Chine pour rechercher des patients atteints plus tôt, à l'image de ce qui avait été fait en France à Avicene et qui est poursuivi en ce moment par l'INSERM et autres (communiqué cité plus haut) ? (...)

Y avait des infos dans l'article du NYT (dont le titre est d'ailleurs est assez à charge).

Bien sûr, les données brutes restent aux mains des autorités chinoises...

S'il y a une autre visite de l'OMS, ils s'intéresseront aux prélèvements sanguins conservés de 2019 et avant :
les autorités chinoises n'avaient pas encore donné la permission d'y accéder (et on ne sait pas s'ils sont exploitables).
 

Citation

Chinese scientists, after a review of 76,000 records at 233 medical institutions in Wuhan, told the W.H.O. team that they had found 92 individuals who fit that description. The government performed antibody tests on two-thirds of those people and reported that they were not positive for Covid-19. (The other third either died or declined to be tested, the Chinese scientists said.)

The W.H.O. scientists were frustrated by the Chinese government’s reluctance to explain how they had gathered the data, according to interviews with team members.

Dr. Fischer said she would have expected to find many more cases of individuals who were hospitalized with such symptoms in a city the size of Wuhan.

In heated discussions, Dr. Fischer recounted, the W.H.O. experts urged the Chinese scientists to conduct a more thorough search. The team also expressed concerns about the reliability of antibody tests administered so long after the infections. Testing any original nose or throat swabs would be useful, but Dr. Dwyer said there were none.

Chinese officials agreed to look more broadly at samples in Wuhan blood banks in 2019, though they said that they had not yet obtained permission to do so.

 

Modifié par rogue0
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Et ce qui devait arriver arriva

 

https://www.newscientist.com/article/2268014-exclusive-two-variants-have-merged-into-heavily-mutated-coronavirus/

Recombinaison entre le variant Californien (porteur de mutations de moindre sensibilité aux anticorps dirigés contre les souches initiales "sauvages") et le variant Britannique (porteur de mutations facilitatrices de transmission)

variant B 1.429 x B 1.1.7

Enjoy the result ...

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Il y a 1 heure, Akhilleus a dit :

Enjoy the result ...

Pour bien profiter, je commence par :

https://music.youtube.com/watch?v=ojvldIzbaMo&list=RDAMVMojvldIzbaMo

Mais vite, j'enchaine avec :

https://music.youtube.com/watch?v=r3ld80_p8bc&list=RDAMVMr3ld80_p8bc

 

Sinon, une info juste pour ceux qui pourraient se poser la question : les coûts d'exploitation d'un centre de vaccination "moyen" (5 médecins, 6 infirmiers, un vigile, une escouade de secouristes et deux secrétaires médicales), c'est 5000 €/jour. Il y en a 1200 en France, plus ou moins important, mais la moyenne est là. A l'échelle du pays, la vaccination, c'est donc un budget de 6 000 000 €/jour.

Faudrait quand même pas que ça dure, cette plaisanterie, hein ... dans moins de 5 mois ça aura déjà couté un milliard. :biggrin:

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il y a 9 minutes, FATac a dit :

Faudrait quand même pas que ça dure, cette plaisanterie

Il serait surtout souhaitable de ne plus prêter le flanc aux anti-vaccin, anti-terre ronde et anti-tout et de commencer à envisager ce vaccin comme celui de la grippe ou de n'importe quelle maladie tropicale de base et s'affranchir de tout ce cérémonial uniquement destiné à ouvrir le parapluie face aux tenants de l'obscurantisme le plus crasse

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il y a 26 minutes, pascal a dit :

Il serait surtout souhaitable de ne plus prêter le flanc aux anti-vaccin, anti-terre ronde et anti-tout et de commencer à envisager ce vaccin comme celui de la grippe ou de n'importe quelle maladie tropicale de base et s'affranchir de tout ce cérémonial uniquement destiné à ouvrir le parapluie face aux tenants de l'obscurantisme le plus crasse

A ce titre, et puisqu'on parle du vaccin contre la grippe, j'ai entendu plusieurs fois de très fortes critiques à l'encontre du vaccin pour lequel Johnson & Johnson a demandé une autorisation de mise sur le marché européen.

Pourtant, pour en avoir discuté avec le médecin que je connais, ce serait probablement un des meilleurs candidats pour la massification de la vaccination de la population générale :

  • Il est mono-injection
  • Il ne nécessite pas de logistique significative (conservation au frigo "normal")
  • Il est donc parfaitement adapté à la vaccination en ville
  • Son efficacité est évaluée à 60%, ce qui nourri l'essentiel de la critique
  • Mais son efficacité de 60% est en fait voisine de celle du vaccin contre la grippe sur le virus de la grippe et c'est déjà suffisant pour casser les chaines de transmission
  • Son "lit" naturel serait donc la population active, en bonne santé, sans difficulté ni comorbidité. Les gens les plus susceptibles de ne pas faire les formes graves du CoVid pourraient donc le recevoir, et ce à un rythme double de celui des populations fragiles (personnes agées et/ou malades) ou sensibles (personnels soignants) pour lesquels les vaccins à la plus haute efficacité pourraient être réservés.
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https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-l-ue-conclut-un-contrat-avec-moderna-pour-acquerir-300-millions-de-doses-supplementaires_4300523.html (17 février 2021)

L'accord porte sur l'achat de 150 millions de doses, destinées à être livrées aux 3e et 4e trimestres 2021, avec une option de 150 millions de doses supplémentaires en 2022, a précisé l'entreprise dans un communiqué. Au total, l'UE devrait disposer cette année de 310 millions de doses du vaccin Moderna. 

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il y a 46 minutes, FATac a dit :

Sinon, une info juste pour ceux qui pourraient se poser la question : les coûts d'exploitation d'un centre de vaccination "moyen" (5 médecins, 6 infirmiers, un vigile, une escouade de secouristes et deux secrétaires médicales), c'est 5000 €/jour. Il y en a 1200 en France, plus ou moins important, mais la moyenne est là. A l'échelle du pays, la vaccination, c'est donc un budget de 6 000 000 €/jour.

Tenant compte du rythme récent des vaccinations soit 140 000 injections par jour (sur cinq jours), vacciner une personne coûte donc 2 * 6 M / 140 k = 80 à 90 € par tête

 

il y a 46 minutes, FATac a dit :

Faudrait quand même pas que ça dure, cette plaisanterie, hein ... dans moins de 5 mois ça aura déjà couté un milliard. :biggrin:

“A billion here, a billion there, and pretty soon you're talking real money" (Un milliard par-ci, un milliard par-là, et très vite ça fait des sous)

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45 minutes ago, Alexis said:

Tenant compte du rythme récent des vaccinations soit 140 000 injections par jour (sur cinq jours), vacciner une personne coûte donc 2 * 6 M / 140 k = 80 à 90 € par tête

Il faut compter au moins deux injection par personnes ... pour être vacciné.

Pour les vaccination c'est 7 jours sur 7 ... et c'est plutôt autour de 110 000 par jours sur la dernière semaine glissante. Il y a de grosse variations entre la semaine et le WE ... on a eu des pointe à 180 000 en semaine mais le WE ca retombe entre 20 et 40 000.

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L'auteur est un physicien, donc prudence, mais c'est intéressant de connaître ces documents sur la sécurité des études de gain de fonction ("gain-of-function studies") qui sont au coeur de la polémique et ont fait l'objet de moratoires apparemment aux Etats-Unis, le temps d'en évaluer les risques.

https://www.ndr.de/nachrichten/hamburg/Hamburger-Forscher-Coronavirus-stammt-wohl-aus-China-Labor,corona6764.html (18 février 2021)

Après tout, le coronavirus pourrait bien provenir d'un laboratoire en Chine. Selon une étude de l'université de Hambourg, il y a beaucoup d'indices en faveur d'un accident de laboratoire survenu dans un institut virologique de Wuhan.

C'est la conclusion à laquelle est parvenu le célèbre physicien Roland Wiesendanger dans une étude qu'il a menée l'année dernière. Selon cette étude ( https://www.researchgate.net/publication/349302406_Studie_zum_Ursprung_der_Coronavirus-Pandemie ), tant le nombre que la qualité des indices parlent en faveur d'un accident de laboratoire à Wuhan comme cause de la pandémie actuelle.

Jusqu'à présent, on n'a trouvé aucun animal hôte intermédiaire qui ait transmis l'agent pathogène du SRAS-CoV-2 des chauves-souris aux humains. En outre, les virus du SRAS-CoV-2 pourraient "étonnamment bien" se coupler aux récepteurs des cellules humaines et pénétrer dans les cellules humaines - selon Wiesendanger, une indication que l'origine du virus n'est pas naturelle. La théorie selon laquelle le virus provient des chauves-souris du marché aux poissons de Wuhan est également contredite par le fait qu'aucune chauve-souris n'y est en vente. En même temps, cependant, l'institut de virologie de la ville possède l'une des plus grandes collections au monde d'agents pathogènes pour les chauves-souris. En outre, il existe des lacunes documentées en matière de sécurité dans le laboratoire.

Pour son étude, Wiesendanger dit avoir évalué la littérature scientifique, les articles dans les médias imprimés et en ligne, et la communication personnelle avec des collègues internationaux. Selon M. Wiesendanger, un examen scientifique critique de la question de l'origine de la pandémie actuelle contribue à "maintenir aussi faible que possible la probabilité que des pandémies similaires se produisent à l'avenir".

Cela rejoint un peu cet article, cette allégation de recherche interdite par moratoire aux Etats-Unis et qui aurait-été sous-traitée à Wuhan pour contourner le moratoire :

https://www.eurotopics.net/fr/239948/que-penser-de-la-polemique-sur-l-origine-du-virus

Les Etats-Unis ont eux-mêmes participé à la recherche sur les coronavirus en Chine, rappellent la sinologue Susanne Weigelin-Schwiedrzik et le médecin Hans Peter Schwarz dans le quotidien Die Presse (Autriche, 5 mai 2020) :

«L'institut de Wuhan est un institut associé à la recherche internationale qui avait la visite régulière de l'ambassade américaine, selon des informations du Washington Post. La recherche américaine sur les coronavirus a certes été interrompue par le moratoire [de 2014], mais les investissements en Chine n'en ont pas moins redoublé en dépit du constat de l'insécurité manifeste de cette recherche dans le laboratoire de Wuhan. ... De toute évidence, nous nous débarrassons de nos ordures en les envoyant vers la Chine pour préserver notre environnement, mais ce n'est pas tout : les Etats-Unis préfèrent délocaliser vers la Chine une recherche sur les virus extrêmement dangereuse plutôt que de prendre ce risque sur leur propre territoire.»

 

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Il y a 1 heure, FATac a dit :

 

 

Sinon, une info juste pour ceux qui pourraient se poser la question : les coûts d'exploitation d'un centre de vaccination "moyen" (5 médecins, 6 infirmiers, un vigile, une escouade de secouristes et deux secrétaires médicales), c'est 5000 €/jour. Il y en a 1200 en France, plus ou moins important, mais la moyenne est là. A l'échelle du pays, la vaccination, c'est donc un budget de 6 000 000 €/jour.

Faudrait quand même pas que ça dure, cette plaisanterie, hein ... dans moins de 5 mois ça aura déjà couté un milliard. :biggrin:

5 médécins, c'est pas beaucoup pour ce genre d'opération?, normalement les injections vont être faite par les infirmiers.

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4 minutes ago, metkow said:

5 médécins, c'est pas beaucoup pour ce genre d'opération?, normalement les injections vont être faite par les infirmiers.

Mais pas l’examen pré vaccinal. En gros il faut une prescription pour une vaccination ... et ça c'est la compétence exclusive d'un médecin.

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il y a 1 minute, metkow a dit :

5 médécins, c'est pas beaucoup pour ce genre d'opération?, normalement les injections vont être faite par les infirmiers.

Justement, ce "cirque" illustre ce que disait @pascal

La vaccination en elle-même pourrait être faite par d'autres professionnels de santé (pharmaciens, infirmiers, etc.) à la limite comme la vaccination contre la grippe. En pratique, d'ailleurs, ce sont ces professionnels de santé qui font l'injection dans les centres de vaccination, pas les médecins.

Par contre, les médecins sont là pour apporter leur caution et la "garantie" que les éventuelles contre-indications et autres difficultés prévisibles sont bien prises en compte. C'est parce qu'il y a une défiance vis-à-vis du concept de vaccin, mais qu'il y a une appétance vis-à-vis de la possible solution pharmaceutique à la crise que l'on est obligé de mettre en place un mécanisme de ceinture+bretelles avec un grand parapluie ... plus on mouille de monde, plus ça diluera les responsabilités en cas de plainte, chacun en prenant sa petite part sans qu'aucune ne devienne plus significative qu'un accident statistique.

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11 minutes ago, FATac said:

La vaccination en elle-même pourrait être faite par d'autres professionnels de santé (pharmaciens, infirmiers, etc.) à la limite comme la vaccination contre la grippe.

Il faut une prescription médicale faite par un médecin ... c'est la loi. Sinon tu vas te faire épingler pour usage illégal de la médecine ...

Le cas de la grippe c'est un essai dans quelques département ... c'est pour cela qu'il y a eu des exceptions.

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il y a 21 minutes, metkow a dit :

5 médécins, c'est pas beaucoup pour ce genre d'opération?, normalement les injections vont être faite par les infirmiers.

Ben les patients ont deux bras et deux jambes donc il faut bien 4 médecins pour les tenir, et 1 pour tenir la seringue. Je vois pas le problème :huh: ?

 

=====> [     ] (vite, mais alors très vite)

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https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-question-de-lorigine-du-sars-cov-2-se-pose-serieusement (27 octobre 2020)

Le virologue Étienne Decroly fait le point sur les différentes hypothèses, dont celle de l’échappement accidentel d’un laboratoire.

Cette dernière hypothèse ne risque-t-elle pas de conforter les discours complotistes sur la pandémie de Covid-19 ?

É. D. Étudier l’origine de SARS-CoV-2 est une démarche scientifique qui ne peut être assimilée à une thèse complotiste. De plus, j’insiste sur le fait que, tant qu’on n’aura pas trouvé l’hôte intermédiaire, cette hypothèse d’un échappement accidentel ne peut être écartée par la communauté scientifique.

À ce jour, les études scientifiques n’ont apporté aucun élément définitif qui démontrerait cette hypothèse ; il n’en demeure pas moins que des analyses plus approfondies sont nécessaires pour trancher. La question de l’origine naturelle ou synthétique du SARS-CoV-2 ne doit pas dépendre d’un agenda politique ou de logiques de communication. Elle mérite d’être examinée à la lumière des données scientifiques à notre disposition. 

L’étude des mécanismes d’évolution impliqués dans l’émergence de ce virus est essentielle pour élaborer des stratégies thérapeutiques et vaccinales.

Nos hypothèses doivent également tenir compte de ce qu’il est actuellement possible de réaliser dans les laboratoires de virologie ; et du fait que dans certains laboratoires, la manipulation du génome de virus potentiellement pathogènes est une pratique courante, notamment pour étudier les mécanismes de franchissement de la barrière d’espèces.

(...)

Quoi qu’il en soit, que ce virus soit ou non d’origine naturelle, le fait même que la question puisse désormais être sérieusement posée nous contraint à une réflexion critique sur les outils et les méthodes de reconstruction de virus actuellement à l’œuvre dans les laboratoires de recherche, et sur leur usage potentiel dans des expériences de « gain de fonction ».

Mais ces outils ne sont-ils pas justement les seuls capables de nous permettre de comprendre et combattre les virus et les épidémies qu’ils entraînent ?

É. D. Certes, mais il faut bien comprendre qu’en quelques années, les paradigmes de la recherche sur les virus ont radicalement changé. Aujourd’hui, obtenir ou faire synthétiser une séquence génétique est à la portée de n’importe quel laboratoire : on peut en moins d’un mois construire de toutes pièces un virus fonctionnel à partir des séquences disponibles dans les bases de données. De plus, des outils de manipulation du génome rapides, bon marché et faciles à utiliser ont été développés. Ces outils permettent de faire des avancées spectaculaires, mais ils démultiplient aussi les risques et la gravité potentielle d’un éventuel accident, notamment lors d’expériences de « gain de fonction » sur des virus à potentiel pandémique.

Même s’il s’avère que la pandémie de Covid-19 est finalement le résultat d’une zoonose « classique », plusieurs incidents ayant conduit à des sorties accidentelles de virus depuis des laboratoires ont été documentés ces dernières années. Un des cas les plus connus concerne le virus Marburg, issu d’une contamination par des singes sauvages. La pandémie grippale de 1977 en est un autre exemple. Des études génétiques récentes suggèrent qu’elle aurait résulté de la sortie de laboratoire d’une souche virale collectée dans les années 1950. Et plus récemment, plusieurs sorties accidentelles de SARS-CoV étudiés dans des laboratoires ont été rapportées dans la littérature, même si elles n’ont heureusement donné lieu à aucune épidémie importante.

Prônez-vous un moratoire ou une interdiction de ces recherches ?

É. D. Je ne prône pas une interdiction pure et simple ; il ne s’agit pas de stériliser la recherche, mais de questionner plus strictement le rapport bénéfice/risque. Une conférence devrait peut-être être organisée pour évaluer la nécessité d’un moratoire ou d’une réglementation internationale plus adapté ? 

Tant qu’on n’aura pas trouvé l’hôte intermédiaire, l'hypothèse d’un échappement accidentel ne pourra être écartée par la communauté scientifique.

Au vu des risques infectieux que les techniques d’étude des virus nous font aujourd’hui courir, la société civile et la communauté scientifique doivent au plus vite s’interroger sur la pratique d’expériences de gain de fonction et d'adaptation artificielle de souches virales dans des hôtes animaux intermédiaires. En 2015, conscientes de ce problème, les agences fédérales américaines avaient gelé le financement de toute nouvelle étude impliquant ce type d’expériences. Ce moratoire a pris fin en 2017. Ces pratiques à haut risque devraient, à mon sens, être repensées et encadrées au niveau international par des comités d’éthiques.

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