Billion85 Posté(e) samedi à 18:38 Share Posté(e) samedi à 18:38 (modifié) Le 04/12/2025 à 17:22, Alek a dit : https://www.opex360.com/2025/12/04/selon-rome-berlin-pourrait-rejoindre-le-projet-davion-de-combat-concurrent-du-scaf/ A ce sujet, en regardant le passage de l'audition où le ministre de la défense italien en parle (1:16:13), j'ai l'impression qu'il y a une phrase qui est passée inaperçue : "le SCAF est un échec, [il rigole] en privé je pourrais vous dire pourquoi ils échoueront ainsi que d'autres programmes européens, mais pas maintenant.", dit-il juste avant de parler de l'intégration de l'Allemagne (et d'autres) au GCAP. C'est une traduction avec Google donc pas parfait mais ça montre à quel point les britanniques et italiens ne nous prennent pas au sérieux donc le jour où il faudra négocier pour un cloud européen interopérable, ils nous prendront certainement de haut. Après peut-on les blâmer ? Le GCAP ça avance au moins.... https://youtu.be/ZrGveAvcpqs?si=kimRcYnAaFNJAimu&t=4573 Modifié samedi à 18:41 par Billion85 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) samedi à 18:54 Share Posté(e) samedi à 18:54 J'ai lu et écoute. Le gars est a fond derrière le principe de la coopération= moins de coût = plus de clients= plus de retombées eco. Ma foi. Rira bien qui rira le dernier..... 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) samedi à 19:29 Share Posté(e) samedi à 19:29 "Il se passe ça dans [domaine A] donc il va se passer la même chose dans [domaine B qui n'a absolument rien à voir]". Super. Si c'est le niveau d'analyse qu'on trouve en face alors ça explique tout... Il y a 4 heures, herciv a dit : Non çà n'est pas l'objectif d'autant qu'il n'est pas mesurable. L'objectif est d'avoir une solution efficace sur le champ de bataille et pérenne si possible. Dans les deux cas compte tenu de l'évolutivité du champ de bataille çà veut dire une solution versatile en temps de paix, et éventuellement plusieurs en temps de menace élevé ou de guerre. Le côté pérenne implique aussi une interopérabilité avec les alliés puisqu'il faut savoir fournir des solutions au niveau politique. La question de l'interopérabilité ne se pose pas pour les pays équipés de F-35. Les standards développés par les Français doivent être ouverts et accessibles parce qu'on ne peut pas faire autrement au risque d'être marginalisés. Mais ceux des autres? Regardez simplement le fait que LM rend impossible l'intégration des roquettes étrangères sur Himars et des roquettes LM sur d'autres systèmes lance-roquette. En France on ne pourra pas se permettre ce genre de manoeuvres vis-à-vis de nos clients. Il y a 4 heures, herciv a dit : Je constate que les suédois ont à peu prêt la même approche. Bref le temps des coopérations industrielles est derrière nous. Le temps des interopérabilité va continuer par contre. Mais par contre la versatilité des systèmes d'armes est maintenant fondamentale si ils veulent durer sur le champ de bataille. Je crois qu'on met la charrue avant les boeufs. Il n'y a pas besoin de systèmes d'information communs pour échanger sereinement des informations. il y a 25 minutes, Billion85 a dit : A ce sujet, en regardant le passage de l'audition où le ministre de la défense italien en parle (1:16:13), j'ai l'impression qu'il y a une phrase qui est passée inaperçue : "le SCAF est un échec, [il rigole] en privé je pourrais vous dire pourquoi ils échoueront ainsi que d'autres programmes européens, mais pas maintenant.", dit-il juste avant de parler de l'intégration de l'Allemagne (et d'autres) au GCAP. C'est une traduction avec Google donc pas parfait mais ça montre à quel point les britanniques et italiens ne nous prennent pas au sérieux donc le jour où il faudra négocier pour un cloud européen interopérable, ils nous prendront certainement de haut. Après peut-on les blâmer ? Le GCAP ça avance au moins.... https://youtu.be/ZrGveAvcpqs?si=kimRcYnAaFNJAimu&t=4573 Oui et bien évidemment ça ne fera réagir personne chez nous alors que ça devrait. Enfin d'autre part, le GCAP qui avance, il avancera bien moins vite avec de plus en plus de gens dedans, justement... Surtout avec les Allemands. Non franchement c'est à crever de rire. Un MINDEF qui explique que les programmes à plusieurs ça coûte "moins cher"... Et qu'il va accueillir l'Allemagne (on notera que la Grande Bretagne n'est pas questionnée). Et qui explique en sous-texte que le FCAS ne marche pas à cause de... bah de pas les Allemands a priori, hein? Bref. La France a payé moins chère son Rafale fait toute seule que chaque pays du consortium pour leurs Eurofighter, en coûts de développement, d'achat, et d'utilisation. Mais ça a pas l'air de percuter chez tout le monde. On ne vit pas dans le même univers. Mais dans le notre les équations de Delpêche fonctionnent... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) samedi à 20:09 C’est un message populaire. Share Posté(e) samedi à 20:09 Eh bien, comme l'écrivait Lovecraft : « Ce qui peut dormir éternellement n'est pas mort. » https://www.n-tv.de/politik/20-37-Bericht-Kiews-Geheimdienst-gruesst-nach-Cyberangriff-ukrainische-Armee-auf-russischer-Website-id4501588.html +++ 19h57 Insider : Merz et Macron discutent du projet d'avion de combat FCAS +++ Selon une source interne, le chancelier allemand Friedrich Merz et le président français Emmanuel Macron souhaitent discuter, dans la semaine du 15 décembre, du projet européen d'avion de combat FCAS, menacé d'échec. Un porte-parole du gouvernement allemand a refusé de commenter cette information, tandis que le gouvernement français n'était pas joignable dans l'immédiat. Reuters avait annoncé qu'une réunion des ministres de la Défense des pays participants, à savoir l'Allemagne, la France et l'Espagne, était déjà prévue le 11 décembre. --- Mais aussi (un journal économique allemand) :https://www.wiwo.de/politik/deutschland/fcas-deutschland-erhoeht-beim-kampfjetprojekt-den-druck/100180963.html L'Allemagne augmente la pression dans le cadre du projet d'avion de combat Une décision concernant le projet d'armement commun le plus important et le plus controversé entre l'Allemagne et la France doit être prise en décembre. Y a-t-il du mouvement ? L'Allemagne augmente la pression sur ses partenaires à Paris dans le cadre du projet franco-allemand d'avion de combat FCAS. « Ce qui nous manque clairement, c'est le temps », déclare Thomas Röwekamp (CDU) au magazine WirtschaftsWoche. Le président de la commission de la défense du Bundestag estime qu'au vu du retrait imminent des États-Unis de l'OTAN, de la nouvelle stratégie de sécurité anti-européenne de la Maison Blanche et des agressions russes sur le flanc est de l'OTAN, il n'y a plus de marge de manœuvre pour continuer à « bloquer le développement d'un nouvel avion de combat européen par des intérêts industriels unilatéraux ». Il fait référence au constructeur aéronautique français Dassault, qui revendique 80 % du volume du projet, estimé à 100 milliards d'euros. Et ce, alors que les partenaires avaient initialement convenu qu'Airbus (Allemagne), Indra (Espagne) et Dassault contribueraient à parts égales à la création de valeur. L'Allemagne et l'Espagne financent les deux tiers du programme. Dans une lettre adressée au Bundestag, l'association allemande de l'aéronautique et de l'espace BDLI met même en garde contre la « fin de la construction d'avions de combat allemands » si Berlin cédait à la demande de Dassault. Dans les milieux gouvernementaux, on considère depuis longtemps que le projet pourrait échouer si les Français ne se montrent pas rapidement et clairement prêts à faire des compromis. Paris fait pression pour parvenir à un accord d'ici la mi-décembre, tandis que Berlin estime que des discussions supplémentaires sont nécessaires. « Contrairement à ce qu'affirment certains rapports français, tout est encore ouvert », déclare-t-on. Le ministre de la Défense Boris Pistorius souhaite toutefois également aboutir à un résultat d'ici la fin de l'année. Selon les milieux industriels, une solution minimale pourrait débloquer cette situation complexe. L'option envisagée serait de réduire à l'avenir le programme à un « Combat Cloud » commun, équipé de capteurs adaptés. L'Allemagne et la France pourraient alors produire l'élément le plus controversé, à savoir l'avion de combat lui-même, dans des variantes nationales distinctes. Cela permettrait d'éviter, au moins en partie, l'échec du projet. Un double matériel, un double logiciel en quelque sorte. Cette idée suscite une certaine sympathie dans les milieux de la coalition. « Il ne s'agit pas ici d'abandonner le projet, mais de l'adapter, en continuant à développer ensemble des piliers essentiels tels que la guerre électronique, le Combat Cloud ou les systèmes aériens sans pilote », explique-t-on dans les milieux de la coalition. La fin du projet commun d'avion de combat n'est-elle pas un signal fatal compte tenu de l'attitude incertaine des États-Unis envers l'Europe ? Le gouvernement fédéral semble voir les choses différemment. « Sur le plan politique, nous pouvons sauver un projet dont les partenaires privés ne semblent plus vouloir collaborer », peut-on lire dans des entretiens avec le magazine WirtschaftsWoche. C'est peut-être aussi pour cette raison que l'ouverture du FCAS à d'autres partenaires est envisagée. La Suède, par exemple, pourrait participer par l'intermédiaire de l'entreprise d'armement Saab. Depuis quelque temps, Saab mène un lobbying particulièrement intense en Allemagne en faveur de son propre avion de combat de nouvelle génération, le « Gripen E », et est clairement intéressée par un rôle dans ce projet. Il suivra de près la décision concernant le FCAS, a récemment déclaré le PDG de Saab, Micael Johansson, au portail Table.Briefing. Son entreprise pourrait « bien sûr être un partenaire compétent » pour l'Allemagne, « non seulement dans le domaine des avions de combat pilotés, mais aussi potentiellement dans celui des capacités avancées sans pilote ». L'Allemagne et la Suède se trouvent dans la même région et sont toutes deux membres de l'OTAN depuis l'adhésion de la Suède en 2024, a poursuivi M. Johansson : « Ce sont de bonnes conditions pour faire davantage ensemble à l'avenir ». 6 3 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Myrtil Posté(e) samedi à 20:18 Share Posté(e) samedi à 20:18 1 hour ago, Billion85 said: C'est une traduction avec Google donc pas parfait mais ça montre à quel point les britanniques et italiens ne nous prennent pas au sérieux donc le jour où il faudra négocier pour un cloud européen interopérable, ils nous prendront certainement de haut. Après peut-on les blâmer ? Le GCAP ça avance au moins.... Pas convaincu du tout que les Britanniques voient d'un bon oeil le groupe des partenaires grossir pour finir en cour des miracles aéronautiques. Avoir son principal partenaire qui d'une part y voit une constitution d'avancées technologiques utilisables ci et là et, d'autre part, y voit l'occasion d'accroître la liste des contributeurs, suscite une interrogation. Le scénario où c'est viable, c'est quand le partenaire n'a pas l'intention de beaucoup acheter le produit mais à l'objectif de le fabriquer, pour partie, pour les autres. Comme le RU ne va pas non plus en commander des centaines, ils auront bien besoin d'un acheteur comme les Allemands pour tenter de rendre le truc viable. Dans cette fiction, je vois bien les Allemands exiger une Galiléo bis aux italiens et il y aura moins matière à rire du côté transalpin. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) samedi à 20:42 Share Posté(e) samedi à 20:42 (modifié) Il y a 1 heure, mgtstrategy a dit : J'ai lu et écoute. Le gars est a fond derrière le principe de la coopération= moins de coût = plus de clients= plus de retombées eco. Ma foi. Rira bien qui rira le dernier..... Les leçons du programme Eurofighter ne semblent pas avoir "imprimé" dans l'esprit de tout le monde Bon vent à tous. Sérieusement : ce serait bien que tout le monde s'en sorte, la rancune n'est pas une jolie émotion Mais il est assez évident qu'après le SCAF, c'est la France qui se trouvera en bien meilleure position que les autres pays européens sur l'avion de combat du futur il y a 38 minutes, Manuel77 a dit : Eh bien, comme l'écrivait Lovecraft : « Ce qui peut dormir éternellement n'est pas mort. » Tu n'as pas précisé que cette formule se rapporte à Ctulhu. L'une des plus puissantes histoires d'horreur jamais écrites ! Je ne sais plus quel Allemand disait au sujet du SCAF "Une fin horrible vaut mieux qu'une horreur sans fin". Je suis d'accord avec lui il y a 29 minutes, Myrtil a dit : Pas convaincu du tout que les Britanniques voient d'un bon oeil le groupe des partenaires grossir pour finir en cour des miracles aéronautiques Je me pose aussi la question du point de vue de Tokyo. Si j'ai bien compris, c'est le Japon qui a dit いいえ à l'inclusion de l'Arabie saoudite dans le GCAP Je note aussi que l'Italie a exprimé en 2024 son mécontentement de la répartition 4:4:2 des responsabilités sur le GCAP entre Londres, Tokyo et Rome. L'entrée du Japon dans le programme de chasseurs GCAP de 6e génération limite le rôle de l'Italie ; Leonardo mécontent d'être considéré comme un « partenaire junior » Dans la course au développement d'un avion de combat de sixième génération dans le cadre du programme Global Combat Air Programme (GCAP), l'Italie semble se préparer à jouer un rôle de partenaire secondaire, le Japon et le Royaume-Uni se partageant la part du lion dans cet ambitieux projet. Il n'est pas forcément surprenant que Rome invite Berlin à entrer lui aussi dans le jeu. Ce pourrait être pour l'Italie un levier pour s'assurer un rôle plus "égal", ou "moins inégal" Il n'est pas assuré que Tokyo fasse preuve du même enthousiasme Modifié samedi à 20:52 par Alexis 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. hadriel Posté(e) samedi à 20:54 C’est un message populaire. Share Posté(e) samedi à 20:54 il y a 44 minutes, Manuel77 a dit : Il fait référence au constructeur aéronautique français Dassault, qui revendique 80 % du volume du projet, estimé à 100 milliards d'euros. Et ce, alors que les partenaires avaient initialement convenu qu'Airbus (Allemagne), Indra (Espagne) et Dassault contribueraient à parts égales à la création de valeur. L'Allemagne et l'Espagne financent les deux tiers du programme. La désinformation continue dans la presse allemande... 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) samedi à 20:55 Share Posté(e) samedi à 20:55 (modifié) Il y a 10 heures, Manuel77 a dit : Il fait référence au constructeur aéronautique français Dassault, qui revendique 80 % du volume du projet, estimé à 100 milliards d'euros. Et ce, alors que les partenaires avaient initialement convenu qu'Airbus (Allemagne), Indra (Espagne) et Dassault contribueraient à parts égales à la création de valeur. L'Allemagne et l'Espagne financent les deux tiers du programme. Ben voyons : Toujours la même rengaine ! Comme si le FRIC pouvait acheter la Propriété Industrielle du seul / premier constructeur européen d'avion de combat Seul le Diable / Le Grand diviseur fait ce genre d'équivalence, de marchandage => Voler "l'âme de DA": voilà le rêve allemand, voilà le rêve de Airbus D&S ! Tout le reste est pécadilles Merci Manuel de nous faire accéder à ce texte Modifié il y a 18 heures par Bechar06 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) samedi à 20:58 Share Posté(e) samedi à 20:58 (modifié) il y a 4 minutes, hadriel a dit : La désinformation continue dans la presse allemande... Citation Il fait référence au constructeur aéronautique français Dassault, qui revendique 80 % du volume du projet, estimé à 100 milliards d'euros. Et ce, alors que les partenaires avaient initialement convenu qu'Airbus (Allemagne), Indra (Espagne) et Dassault contribueraient à parts égales à la création de valeur. L'Allemagne et l'Espagne financent les deux tiers du programme. Oui ... la phrase sous-entend encore une fois que la Dassault (la France) demande 80% "du volume des 100 Milliards" alors qu'elle ne va payer que 33% ... soit un "vol" de 47% Modifié samedi à 20:59 par Titus K 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) samedi à 21:21 Share Posté(e) samedi à 21:21 il y a 19 minutes, Titus K a dit : Oui ... la phrase sous-entend encore une fois que la Dassault (la France) demande 80% "du volume des 100 Milliards" alors qu'elle ne va payer que 33% ... soit un "vol" de 47% C'est par ce genre de confusion entre le pilier NGF et le programme complet qu'on comprend que les allemands se foutent complètement du cloud et des loyal wingman. Seul le NGF les intéresse avec ce qu'il apporte comme compétence et savoir faire. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) samedi à 21:26 C’est un message populaire. Share Posté(e) samedi à 21:26 il y a 4 minutes, Alberas a dit : C'est par ce genre de confusion entre le pilier NGF et le programme complet qu'on comprend que les allemands se foutent complètement du cloud et des loyal wingman. Seul le NGF les intéresse avec ce qu'il apporte comme compétence et savoir faire. Je pense que ce sont simplement des journalistes qui font des recherches ou écrivent de manière négligée. Il ne faut pas trop interpréter. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chimera Posté(e) samedi à 21:59 Share Posté(e) samedi à 21:59 (modifié) Citation « Ce qui nous manque clairement, c'est le temps », déclare Thomas Röwekamp (CDU) au magazine WirtschaftsWoche. Le président de la commission de la défense du Bundestag estime qu'au vu du retrait imminent des États-Unis de l'OTAN, de la nouvelle stratégie de sécurité anti-européenne de la Maison Blanche et des agressions russes sur le flanc est de l'OTAN, il n'y a plus de marge de manœuvre pour continuer à « bloquer le développement d'un nouvel avion de combat européen par des intérêts industriels unilatéraux ». Et vlà que j'te balance les arguments bidons pour te pousser à la signature et te "mettre la pression" : "On a plus le temps! La Russie arrive. Dassault, lâchez les brevets!", "Les USA quittent l'Europe, Trappier joue pas au con... file-nous ton logiciel de commandes de vol!". Quel talent pour faire cracher le gouvernement français quand même: Areva/Siemens 2001, Ariane, fusion EADS 2000, quasiment Alstom dans Siemens en 2017. Ca a marché tellement de fois, pourquoi ne pas tenter sur l'aviation de combat ? Vous pouvez être surs que les arguments sont bien rodés pour la réunion de la semaine prochaine histoire de tétaniser nos diplomates européistes à la tête de notre gouvernement: -"Si vous signez pas, c'est la fin de l'Europe de la Défense" -"Dassault ne joue pas la carte de l'Europe, alors que l'Europe c'est la PAIX" -"Si on signe pas, c'est une victoire pour Poutine" -"Si on signe pas, c'est une victoire pour Trump" -"Sans signature, la relation entre nos deux pays serait durablement affectée, ça pourrait même être la GUERRE" (special dédicace à Jacques Attali) -"Est-ce que vous voulez vraiment etre responsable de cet échec dans le contexte sécuritaire TENDU que nous connaissons ?" Qu'est ce qu'ils feraient pas pour sauver les 12 emplois du BE de Manching... Modifié samedi à 22:02 par Chimera 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Billion85 Posté(e) samedi à 22:32 Share Posté(e) samedi à 22:32 Il y a 2 heures, Manuel77 a dit : Et ce, alors que les partenaires avaient initialement convenu qu'Airbus (Allemagne), Indra (Espagne) et Dassault contribueraient à parts égales à la création de valeur. L'Allemagne et l'Espagne financent les deux tiers du programme Ils le sortent d'où ça ? Ça m'étonnerait fortement que l'Espagne contribue financièrement autant que la France et l'Allemagne... C'est fou comment des suppositions de comptoir de bar finissent dans des articles de presse. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) samedi à 22:46 C’est un message populaire. Share Posté(e) samedi à 22:46 il y a 22 minutes, Manuel77 a dit : L'Allemagne augmente la pression sur ses partenaires à Paris dans le cadre du projet franco-allemand d'avion de combat FCAS. « Ce qui nous manque clairement, c'est le temps », déclare Thomas Röwekamp (CDU) au magazine WirtschaftsWoche. Dit-il après nous avoir fait perdre 7 ans depuis 2018. il y a 22 minutes, Manuel77 a dit : Le président de la commission de la défense du Bundestag estime qu'au vu du retrait imminent des États-Unis de l'OTAN, Ah bon? il y a 22 minutes, Manuel77 a dit : de la nouvelle stratégie de sécurité anti-européenne de la Maison Blanche et des agressions russes sur le flanc est de l'OTAN, il n'y a plus de marge de manœuvre pour continuer à « bloquer le développement d'un nouvel avion de combat européen par des intérêts industriels unilatéraux ». Bien. Quand est-ce que les allemands arrêtent de bloquer dans ce cas et rendent à Dassault sa majorité dans le développement de la cellule et son rôle de maître d'oeuvre capable d'imposer ses décisions? il y a 22 minutes, Manuel77 a dit : Il fait référence au constructeur aéronautique français Dassault, qui revendique 80 % du volume du projet, estimé à 100 milliards d'euros. ENCORE cette fake news. C'est 51%, pas 80. Et c'est déjà généreux en considérant qu'originellement Dassault étaient supposés être "PRIME" sur le pilier NGF, et que désormais Airbus (qui prétend pourtant "respecter les accords" ) devait avoir beaucoup plus afin de compenser ce qu'il n'a pas ailleurs. Sauf qu'en plus de ça depuis on a aussi découvert qu'Airbus n'étaient pas foutu de fournir les livrables demandés en temps voulu. Et qu'Airbus restent sur leur position où ils veulent faire un certain pourcentage de tout, plutôt que 100% du travail qui leur est attribué. Ce qui là encore n'est absolument pas ce qui est écrit dans les contrats... il y a 22 minutes, Manuel77 a dit : Et ce, alors que les partenaires avaient initialement convenu qu'Airbus (Allemagne), Indra (Espagne) et Dassault contribueraient à parts égales à la création de valeur. L'Allemagne et l'Espagne financent les deux tiers du programme. Il n'a JAMAIS été question pour Dassault de partager son "background" (sa propriété intellectuelle passée). Ils sont en revanche d'accord pour partager le "foreground" (ce qui est développé en commun). Et le mec qui mélange tout au passage, FCAS, NGF, la cellule de l'avion et ses capteurs, ses moteurs, etc etc etc etc. Et ça vient d'un journal allemand réputé sérieux! ...Imaginez ce qui se dit dans la presse allemande pas sérieuse! il y a 33 minutes, Manuel77 a dit : Paris fait pression pour parvenir à un accord d'ici la mi-décembre, tandis que Berlin estime que des discussions supplémentaires sont nécessaires. Heu la "pression" est plutôt allemande ou alors choisie d'un commun accord entre les deux parties. Mais sinon je croyais qu'on venait de lire qu'il n'y avait "plus le temps"? Il faudrait savoir! Qu'est-il advenu du consensus allemand? il y a 33 minutes, Manuel77 a dit : « Contrairement à ce qu'affirment certains rapports français, tout est encore ouvert », déclare-t-on. Le ministre de la Défense Boris Pistorius souhaite toutefois également aboutir à un résultat d'ici la fin de l'année. Ce ne sont pas les médias ni les politiques Français qui les premiers ont fait état d'une volonté de "se passer de la France" "d'arrêter le projet" "d'aller voir la Suède" etc. TOUT cet article repose sur des inversions accusatoires. C'est fort quand même. il y a 36 minutes, Manuel77 a dit : Selon les milieux industriels, une solution minimale pourrait débloquer cette situation complexe. L'option envisagée serait de réduire à l'avenir le programme à un « Combat Cloud » commun, équipé de capteurs adaptés. L'Allemagne et la France pourraient alors produire l'élément le plus controversé, à savoir l'avion de combat lui-même, dans des variantes nationales distinctes. Cela permettrait d'éviter, au moins en partie, l'échec du projet. Un double matériel, un double logiciel en quelque sorte. Oui oui on veut voir la "variante nationale distincte allemande" du NGF. Enfin qui sera Suédo-Allemande j'imagine. Et donc du coup bi-nationale. il y a 38 minutes, Manuel77 a dit : C'est peut-être aussi pour cette raison que l'ouverture du FCAS à d'autres partenaires est envisagée. La Suède, par exemple, pourrait participer par l'intermédiaire de l'entreprise d'armement Saab. Depuis quelque temps, Saab mène un lobbying particulièrement intense en Allemagne en faveur de son propre avion de combat de nouvelle génération, le « Gripen E », et est clairement intéressée par un rôle dans ce projet. Il suivra de près la décision concernant le FCAS, a récemment déclaré le PDG de Saab, Micael Johansson, au portail Table.Briefing. Son entreprise pourrait « bien sûr être un partenaire compétent » pour l'Allemagne, « non seulement dans le domaine des avions de combat pilotés, mais aussi potentiellement dans celui des capacités avancées sans pilote ». L'Allemagne et la Suède se trouvent dans la même région et sont toutes deux membres de l'OTAN depuis l'adhésion de la Suède en 2024, a poursuivi M. Johansson : « Ce sont de bonnes conditions pour faire davantage ensemble à l'avenir ». ...Et le mec nous sort ça alors que le patron de SAAB vient justement d'expliquer qu'il va conserver la capacité Original Equipment Manufacturer (OEM) c'est-à-dire l'autorité de design sur cet éventuel projet. CE QUI SIGNIFIE QUE SAAB ADOPTE EXACTEMENT LA MÊME POSITION QUE... DASSAULT. ...Non sérieux j'ai jamais vu ça franchement, les mecs essaient de nous bluffer qu'ils ont une quinte flush alors qu'ils ont une paire de 2! Je commence à me dire que le gouvernement allemand et Airbus D&S sont en réalité des agents de la russie. Ce serait une explication très convaincante à la situation actuelle. il y a 12 minutes, Alexis a dit : Je me pose aussi la question du point de vue de Tokyo. Si j'ai bien compris, c'est le Japon qui a dit いいえ à l'inclusion de l'Arabie saoudite dans le GCAP Je note aussi que l'Italie a exprimé en 2024 son mécontentement de la répartition 4:4:2 des responsabilités sur le GCAP entre Londres, Tokyo et Rome. L'entrée du Japon dans le programme de chasseurs GCAP de 6e génération limite le rôle de l'Italie ; Leonardo mécontent d'être considéré comme un « partenaire junior » Dans la course au développement d'un avion de combat de sixième génération dans le cadre du programme Global Combat Air Programme (GCAP), l'Italie semble se préparer à jouer un rôle de partenaire secondaire, le Japon et le Royaume-Uni se partageant la part du lion dans cet ambitieux projet. Il n'est pas forcément surprenant que Rome invite Berlin à entrer lui aussi dans le jeu. Ce pourrait être pour l'Italie un levier pour s'assurer un rôle plus "égal", ou "moins inégal" Il n'est pas assuré que Tokyo fasse preuve du même enthousiasme il y a 1 minute, Titus K a dit : Oui ... la phrase sous entend encore une fois que la Dassault (la France) demande 80% "des 100 Milliards" alors qu'elle ne va payer que 33% ... soit un "vol" de 47% ...Avec au passage un mélange des genres entre le programme FCAS au complet, et la cellule de l'avion en lui-même. Il est écrit dans les contrats que Dassault est maître d'oeuvre du NGF, ils veulent pas que Dassault soit maître d'oeuvre. Il est écrit dans les contrats que la France est leader du FCAS, ils nient le fait que la France soit leader du FCAS. Il est écrit dans les contrats que Dassault est "prime" sur le NGF, ils veulent imposer un 1/3 2/3 entre Dassault et Airbus. Et puis d'où ils sortent les "100 milliards"? Que recouvrent-ils? Sur combien d'années? Etc etc. Bref y'a rien qui va. Il est urgent d'annuler ce truc. De toutes façons le budget n'est pas voté et il faut qu'on trouve des économies à faire. 10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) il y a 18 heures Share Posté(e) il y a 18 heures (modifié) Il y a 10 heures, Manuel77 a dit : Je pense que ce sont simplement des journalistes qui font des recherches ou écrivent de manière négligée. Il ne faut pas trop interpréter. Certes, mais ce genre de maladresse ça se provoque, c'est à ça que sert le lobbying et les stratégies d'influences. Ici, on est clairement face à une idée qui a percolé. Selon le principe de Brandolini, répéter une fausseté ne la rend pas vraie, mais coûte plus à réfuter qu'à énoncer. C'est le but. Il y a 10 heures, Chimera a dit : Et vlà que j'te balance les arguments bidons pour te pousser à la signature et te "mettre la pression" : "On a plus le temps! La Russie arrive. Dassault, lâchez les brevets!", "Les USA quittent l'Europe, Trappier joue pas au con... file-nous ton logiciel de commandes de vol!". Quel talent pour faire cracher le gouvernement français quand même: Areva/Siemens 2001, Ariane, fusion EADS 2000, quasiment Alstom dans Siemens en 2017. Ca a marché tellement de fois, pourquoi ne pas tenter sur l'aviation de combat ? Vous pouvez être surs que les arguments sont bien rodés pour la réunion de la semaine prochaine histoire de tétaniser nos diplomates européistes à la tête de notre gouvernement: -"Si vous signez pas, c'est la fin de l'Europe de la Défense" -"Dassault ne joue pas la carte de l'Europe, alors que l'Europe c'est la PAIX" -"Si on signe pas, c'est une victoire pour Poutine" -"Si on signe pas, c'est une victoire pour Trump" -"Sans signature, la relation entre nos deux pays serait durablement affectée, ça pourrait même être la GUERRE" (special dédicace à Jacques Attali) -"Est-ce que vous voulez vraiment etre responsable de cet échec dans le contexte sécuritaire TENDU que nous connaissons ?" Qu'est ce qu'ils feraient pas pour sauver les 12 emplois du BE de Manching... Après on peut promettre (d'après VP les promesses verbales en tête à tête ça compte) que si le moindre para russe passe la Sprée, on accepte de doubler la chaine de montage de Rafale de bout en bout, en recueillant les usines Airbus délocalisés. Modifié il y a 17 heures par Polybe 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures (modifié) Il y a 13 heures, Manuel77 a dit : Eh bien, comme l'écrivait Lovecraft : « Ce qui peut dormir éternellement n'est pas mort. » https://www.n-tv.de/politik/20-37-Bericht-Kiews-Geheimdienst-gruesst-nach-Cyberangriff-ukrainische-Armee-auf-russischer-Website-id4501588.html +++ 19h57 Insider : Merz et Macron discutent du projet d'avion de combat FCAS +++ Selon une source interne, le chancelier allemand Friedrich Merz et le président français Emmanuel Macron souhaitent discuter, dans la semaine du 15 décembre, du projet européen d'avion de combat FCAS, menacé d'échec. Un porte-parole du gouvernement allemand a refusé de commenter cette information, tandis que le gouvernement français n'était pas joignable dans l'immédiat. Reuters avait annoncé qu'une réunion des ministres de la Défense des pays participants, à savoir l'Allemagne, la France et l'Espagne, était déjà prévue le 11 décembre. --- Mais aussi (un journal économique allemand) :https://www.wiwo.de/politik/deutschland/fcas-deutschland-erhoeht-beim-kampfjetprojekt-den-druck/100180963.html L'Allemagne augmente la pression dans le cadre du projet d'avion de combat Une décision concernant le projet d'armement commun le plus important et le plus controversé entre l'Allemagne et la France doit être prise en décembre. Y a-t-il du mouvement ? L'Allemagne augmente la pression sur ses partenaires à Paris dans le cadre du projet franco-allemand d'avion de combat FCAS. « Ce qui nous manque clairement, c'est le temps », déclare Thomas Röwekamp (CDU) au magazine WirtschaftsWoche. Le président de la commission de la défense du Bundestag estime qu'au vu du retrait imminent des États-Unis de l'OTAN, de la nouvelle stratégie de sécurité anti-européenne de la Maison Blanche et des agressions russes sur le flanc est de l'OTAN, il n'y a plus de marge de manœuvre pour continuer à « bloquer le développement d'un nouvel avion de combat européen par des intérêts industriels unilatéraux ». Il fait référence au constructeur aéronautique français Dassault, qui revendique 80 % du volume du projet, estimé à 100 milliards d'euros. Et ce, alors que les partenaires avaient initialement convenu qu'Airbus (Allemagne), Indra (Espagne) et Dassault contribueraient à parts égales à la création de valeur. L'Allemagne et l'Espagne financent les deux tiers du programme. Dans une lettre adressée au Bundestag, l'association allemande de l'aéronautique et de l'espace BDLI met même en garde contre la « fin de la construction d'avions de combat allemands » si Berlin cédait à la demande de Dassault. Dans les milieux gouvernementaux, on considère depuis longtemps que le projet pourrait échouer si les Français ne se montrent pas rapidement et clairement prêts à faire des compromis. Paris fait pression pour parvenir à un accord d'ici la mi-décembre, tandis que Berlin estime que des discussions supplémentaires sont nécessaires. « Contrairement à ce qu'affirment certains rapports français, tout est encore ouvert », déclare-t-on. Le ministre de la Défense Boris Pistorius souhaite toutefois également aboutir à un résultat d'ici la fin de l'année. Selon les milieux industriels, une solution minimale pourrait débloquer cette situation complexe. L'option envisagée serait de réduire à l'avenir le programme à un « Combat Cloud » commun, équipé de capteurs adaptés. L'Allemagne et la France pourraient alors produire l'élément le plus controversé, à savoir l'avion de combat lui-même, dans des variantes nationales distinctes. Cela permettrait d'éviter, au moins en partie, l'échec du projet. Un double matériel, un double logiciel en quelque sorte. Cette idée suscite une certaine sympathie dans les milieux de la coalition. « Il ne s'agit pas ici d'abandonner le projet, mais de l'adapter, en continuant à développer ensemble des piliers essentiels tels que la guerre électronique, le Combat Cloud ou les systèmes aériens sans pilote », explique-t-on dans les milieux de la coalition. La fin du projet commun d'avion de combat n'est-elle pas un signal fatal compte tenu de l'attitude incertaine des États-Unis envers l'Europe ? Le gouvernement fédéral semble voir les choses différemment. « Sur le plan politique, nous pouvons sauver un projet dont les partenaires privés ne semblent plus vouloir collaborer », peut-on lire dans des entretiens avec le magazine WirtschaftsWoche. C'est peut-être aussi pour cette raison que l'ouverture du FCAS à d'autres partenaires est envisagée. La Suède, par exemple, pourrait participer par l'intermédiaire de l'entreprise d'armement Saab. Depuis quelque temps, Saab mène un lobbying particulièrement intense en Allemagne en faveur de son propre avion de combat de nouvelle génération, le « Gripen E », et est clairement intéressée par un rôle dans ce projet. Il suivra de près la décision concernant le FCAS, a récemment déclaré le PDG de Saab, Micael Johansson, au portail Table.Briefing. Son entreprise pourrait « bien sûr être un partenaire compétent » pour l'Allemagne, « non seulement dans le domaine des avions de combat pilotés, mais aussi potentiellement dans celui des capacités avancées sans pilote ». L'Allemagne et la Suède se trouvent dans la même région et sont toutes deux membres de l'OTAN depuis l'adhésion de la Suède en 2024, a poursuivi M. Johansson : « Ce sont de bonnes conditions pour faire davantage ensemble à l'avenir ». AU delà du cas industriel du SCAF c'est le premier article que je vois positionner cette affaire dans un cadre aussi large et géostratégique qu'est le départ imminent des US de l'OTAN. Les sujets sont quasiment traité simultanément. Clairement ce départ brouille les cartes allemandes parce qu'enfin l'Allemagne se rend compte que les US ne peuvent plus être un levier agissant comme plan B par exemple en allant chercher des F-35 ou 47. Airbus de facto se trouve aussi au pied du mur parce qu'il va falloir être en mesure de produire une solution très très rapidement et çà ils ne savent absolument pas faire. Je crois que la solution d'un cloud de combat commun et d'avions / drones de combat abonné mais non unique est de très loin la meilleur solution. C'est celle qui aurait dû être favorisée dès le départ. Parce qu'elle laisse la place à la concurrence et même à des nouveaux entrants. SI cette concurrence est bonne pour nos armée et pour nos finances mais même pour la logistique puisque des chaines multiples seront nécessaires. Modifié il y a 15 heures par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Chimera Posté(e) il y a 11 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 11 heures Il y a 4 heures, herciv a dit : Je crois que la solution d'un cloud de combat commun et d'avions / drones de combat abonné mais non unique est de très loin la meilleur solution. Nous n'avons pas besoin d'un cloud en commun mais de standards et protocoles d'échange de données communs. Il n'y a rien à sauver dans ce SCAF parce que rien n'est indispensable à faire avec les allemands. La meilleure solution c'est de faire table raze de TOUT. 2 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures (modifié) un nième article ou on n'apprend rien, des oui dires et autres supputations que l'on connait déjà et puis soudain on se surprend, les allemands auraient un appétit pour le développement? puis qq lignes plus loin "oui mais avec Saab pour l'avion et pour que le cloud soit compatible avec le GCAP" deux parties aux même niveau qu'eux en R&D, 30 ans de retard, à part des présentations pptx et beaucoup de vaporware. c'est avec ça qu'ils veulent mettre la pression? la BITD française est impressionnée ou plutôt intriguée par autant d'amateurisme industriel et surtout politique, gesticulation irrationnelle, et se concentre sur leur développement en interne des composants de demain, sans attendre grand chose de ce pudding indigeste, car elle est confrontée à la concurrence mondiale. Souveraine, chaque jour elle se bat pour sa survie, sachant au fond d'elle même qu'il faudra pas perdre de temps le jour on il faudra être prêt à livrer les solutions à son pays, qui lui devra combattre, et pas se cacher derrière les autres le jour J, habitude récurrente de pseudos partenaires. Se rendent compte une fois de plus elle n'a pas de plan B, et pense déjà aux bases de la 7e génération, contrairement aux laquais ventriloques qu'on lui impose, et avec lesquels en fin de compte, elle n'a pas grand chose à partager. Modifié il y a 10 heures par MatOpex38 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Billion85 Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures Il y a 18 heures, Patrick a dit : Et puis d'où ils sortent les "100 milliards"? Que recouvrent-ils? Sur combien d'années? Etc etc. Rien d'autre qu'un chiffre random choisi car ça sonnait gros et impressionnant. C'est du marketing, j'y apporte aucun crédit perso. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titoo78 Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures On devrait passer à l'offensive et faire une contre-proposition de SCAF/NGF 100% conçu par DA / Thalès / Safran à produire sous license en Allemagne et en Espagne, à prix d'ami Même qu'on pourrait y mettre quelques bons fournisseurs espagnols et allemands dedans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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