Patrick Posté(e) le 30 janvier Share Posté(e) le 30 janvier Il y a 22 heures, Claudio Lopez a dit : Je ne comprends pas cette annonce... Pourquoi présenter le 1 er Rafale Emirati alors qu'il ne sera pas livré avant.... 2 ans! Deplus, il y a les 30 Rafale à l'Égypte à livrer d'abord.. À moins que la livraison ait déjà commencé et que l'Égypte ait exigé le silence radio au sujet de cette livraison Le premier Rafale livré à l'Inde a bien été le dernier à arriver en Inde parce qu'il a servi de banc de test aux ISE en France, ISE qui depuis ont été rétrofittées sur les autres Rafale Indiens livrés entretemps. Il y a 20 heures, Ronfly a dit : On voit clairement l'antenne massive du satcom au niveau de l'avant du pied de dérive. Elle est plus saillante que sur les Raf indiens. Est un satcom de Thalès..? C'est effectivement probablement Antarès autrefois connue sous le nom de Sakhar. Mais apparemment avec une antenne plane cette-fois et non plus directionnelle en roulis. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 30 janvier Share Posté(e) le 30 janvier Ce 1er Rafale F4 pour les EAU, produit conformément au calendrier du contrat, restera au Centre d'Essais en Vol de Dassault Aviation pour effectuer des essais en vol en vue des 1ères livraisons à l'Armée de l'Air et à la Défense Aérienne des Émirats Arabes Unis prévues à fin 2026 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 30 janvier Share Posté(e) le 30 janvier Il y a 8 heures, Alberas a dit : Je trouve que Trappier a l'air particulièrement détendu et satisfait! Et livrer en 2025 un avion "compatible F5" est un signal fort pour les futurs clients. Est ce que l'info est arrivée à Riyadh? J'ai pas vu si cela a déjà été posté, mais là il fait encore plus fort : "le chêne au milieu des fougères" ... https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/avenir-du-rafale-ukraine-europe-de-la-defense-le-pdg-de-dassault-aviation-se-livre-ae0e606d8efebf045eb581e677a779fd 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier « Ce n'est pas comme cela que l'on va réindustrialiser le pays », s'alarme le patron de Dassault Aviation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : « Ce n'est pas comme cela que l'on va réindustrialiser le pays », s'alarme le patron de Dassault Aviation Article payant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier il y a 30 minutes, Claudio Lopez a dit : Article payant Je le met pour le cas où quelqu'un y aurait accès. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier Je résume : gnagnagna trop de charges et trop d'impôts.... (il est dans son rôle) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deltafan Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier il y a 4 minutes, bubzy a dit : Je résume : gnagnagna trop de charges et trop d'impôts.... (il est dans son rôle) Dans le rôle du mec dont l'avion a vu ses industriels devoir payer 25% de son développement et devoir se rembourser sur les exportations quand il n'y avait pas encore eu d'exportations et qu'on ne savait pas s'il y en aurait. Sans parler du président qui a gelé les crédits de l'avion pendant presque deux ans pour que son constructeur fusionne avec un autre... Ca a dû bien faire rigoler les constructeurs des F-35, Super Hornet, Eurofighter, Gripen NG, Su-35 et 57, J-10 et 20, KF-21 ou encore Ching Kuo, voire Kaan, ainsi que leurs gouvernants, et ce pendant quelques décennies... Je pense d'ailleurs qu'ils font confiance aux pouvoirs publics français pour susciter des gnagnagnas des industriels français pendant encore longtemps... 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 31 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 janvier Il y a 18 heures, Alberas a dit : J'ai pas vu si cela a déjà été posté, mais là il fait encore plus fort : "le chêne au milieu des fougères" ... https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/avenir-du-rafale-ukraine-europe-de-la-defense-le-pdg-de-dassault-aviation-se-livre-ae0e606d8efebf045eb581e677a779fd Avenir du Rafale, Ukraine, Europe de la Défense : le PDG de Dassault Aviation se livre •30/01/2025 à 18:11 Dans un long entretien accordé au quotidien Les Echos , Eric Trappier dresse les perspectives de son groupe dont il salue la robustesse malgré sa taille modeste face aux géants étrangers de l'aéronautique. "Une forêt de fougères est moins résistante qu'un chêne tout seul". Interrogé sur la place de Dassault Aviation parmi les poids-lourds de l'aéronautique, Eric Trappier a loué le savoir-faire de son groupe, faisant l'éloge des capacités du pays en matière de défense. "La France maîtrise toutes les technologies. Nous savons faire des avions de combat et les armes qu'ils portent. Nous savons faire des sous-marins, des porte-avions, des armes nucléaires", énumère t-il ainsi dans une interview au journal Les Echos , publiée jeudi 30 janvier. Mentionnant l'engagement du général de Gaulle dans les années 50 pour tourner le pays vers la souveraineté, Eric Trappier juge que la question de la défense est aujourd'hui toujours politique "mais pas technologique, car notre pays a appris à faire avec des moyens financiers plus limités" , avec des "partenaires stratégiques" comme Thales ou Safran qui permettent de rivaliser avec les mastodontes américains. "Nous sommes 10 fois plus petits qu'un Lockheed Martin mais nous faisons voler 3.000 avions dans 90 pays", fait-il valoir. Dans son viseur à long terme : le développement du Scaf, le chasseur européen du futur. Face à ce projet, Eric Trappier estime que Dassault ne doit pas se perdre dans ce défi mené entre acteurs européens. "L'important c'est d'avoir des compétences, un savoir-faire, une colonne vertébrale. On peut ensuite s'ouvrir à des partenariats mais il ne faut pas renoncer à sa colonne vertébrale. Si nous ne travaillons pas seuls sur le SCAF, le chasseur européen du futur, ce n'est pas parce que nous n'aurions pas su le faire seul mais c'est parce que les Etats nous ont demandé d'essayer de travailler à plusieurs", commente t-il. Standard F5 : le Rafale "nouvelle génération" arrive D'ici là, le Rafale poursuit lui ses évolutions avec de nouvelles perspectives commerciales. Avec la commande des 12 avions par la Serbie, Dassault comptabilise désormais 507 Rafale commandés, dont 273 à l'export. "Nous sommes à plus de 500 commandes et cela va continuer parce que le Rafale est un avion polyvalent qui n'a cessé d'évoluer et de se moderniser et cela va continuer", anticipe ainsi Eric Trappier. Le fleuron de Dassault va passer au standard F5, une version modernisée du chasseur qui comportera nouveau radar et système de guerre électronique, nouveaux capteurs optroniques et intégration du missile nucléaire ASN4G. Le Rafale F5 pourra aussi et surtout être appuyé par un drône furtif de combat aérien, amené à accompagner le chasseur dans ses opérations à l'horizon 2030. Ce développement est conforté selon lui par les observations du théatre ukrainien. "Aujourd'hui, les drones s'imposent mais ils ne vont pas remplacer les avions de chasse pilotés par des humains qui seront encore là dans 10, 20, 30, 40, 50 ans. La machine peut aider l'homme à calculer mais rien ne remplace la perception de l'homme au coeur d'une zone de combat", juge t-il. Entre les opérations de modernisation du Rafale et le développement du chasseur européen du futur, "on est sur du long terme", rappelle ainsi Eric Trappier. "D'ici là, la carrière du Rafale va donc se poursuivre". "On ferait mieux de bannir le mot même de taxonomie" Pendant qu'un autre poids-lourd du paysage entrepreneurial français, Bernard Arnault s'est fait remarquer par son coup de gueule sur la fiscalité et la surtaxe aux entreprises en vue pour le budget 2025 , Eric Trappier a pour sa part affiché ses réserves face à ce qu'il voit comme un retour en arrière. "Aujourd'hui, parce que le contexte budgétaire est tendu, on veut revenir en arrière en réaugmentant la fiscalité des entreprises et en baissant les allégements de charges. Ce n'est pas comme cela que l'on va réindustrialiser le pays", note t-il. A l'échelle continentale, le PDG de Dassault Aviation se montre sévère sur la volonté réelle des instances européennes pour l'industrie. Dans son viseur : les "boulets aux pieds" de la CSRD, C3D, et la "taxonomie" de Bruxelles, "censée dire quels sont les mauvais secteurs qu'il faut punir". En creux : le financement des industries de la défense, et des banques qui restent encore frileuses. Début janvier, le directeur général de la Caisse des dépots avait invité les établissements bancaires à revoir leurs doctrines de financement de l'industrie de défense pour y flécher davantage de capitaux. Les établissements bancaires sont "parfois (...) restés à mon avis sur des schémas anciens où il y a une doctrine ESG (sur les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernement d'entreprise, ndlr)" qui bannit les entreprises du secteur de la défense, avait ainsi estimé Olivier Sichel. Eric Trappier abonde en ce sens : "On ferait mieux de bannir le mot même de taxonomie qui au nom d'une finance dite durable incite surtout les fonds à ne pas soutenir certains fabricants européens. On nous parle d'une prise de conscience à la Commission et d'un projet de directive dite Omnibus ayant pour vocation de renforcer notre compétitivité en simplifiant certaines choses. J'espère que ce sera plus un TGV qu'un Omnibus car il faut aller vite", ironise t-il. Fonctions élargies depuis le début de l'année Outre son poste de PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier a pris début janvier la présidence du groupe industriel Marcel Dassault (GIMD), en remplacement de Charles Edelstenne, pilier historique de l'empire familial. Agé de 64 ans, Eric Trappier a effectué toute sa carrière au sein de Dassault Aviation, dont il est devenu patron en 2013. Ayant tout au long de sa carrière promu les ventes de Mirage à l'étranger, son principal fait d'armes à la tête de l'avionneur est d'avoir fait du Rafale un succès à l'export, une condition pour l'équilibre économique de l'entreprise. En service depuis 2004, l'avion de combat a attendu jusqu'en 2015 avant de trouver preneur à l'étranger. Eric Trappier est par ailleurs président de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), la puissante fédération patronale du secteur. C'est pas moi qui l'ait dit! 3 6 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
elannion Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier On parlait de chute de niveau sur un autre fil mais lui il est à la hauteur de ses prédécesseurs ! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alberas Posté(e) le 31 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 janvier il y a 8 minutes, elannion a dit : On parlait de chute de niveau sur un autre fil mais lui il est à la hauteur de ses prédécesseurs ! Vous en voulez encore ? https://www.aerocontact.com/actualite-aeronautique-spatiale/95165-eric-trappier-pdg-de-dassault-aviation-elu-stratege-de-l-annee-2024-par-les-echos Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation, élu Stratège de l’année 2024 par les « Echos » Par Sabine Ortega, publié le Ven 31 Jan 2025 Temps fort de la vie des affaires depuis 30 ans, le Prix du Stratège 2024 est remis à un chef d'entreprise de l'industrie ou de la finance qui, durant l'année écoulée, a pris une initiative notable ou fait preuve d'une réussite remarquable. Créé en 1989 par Ambroise Roux, président-fondateur de l’AFEP, et Marie-Hélène Sergent, présidente et fondatrice de Shan, ce prix distingue un chef d’entreprise sélectionné par le journal Les Echos et par un jury de personnalités industrielles et économiques françaises. Ainsi, le 30 janvier dernier, Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, a reçu la récompense des mains du premier ministre François Bayrou. Celui-ci réunit les caractéristiques d'un stratège : avoir une vision claire de ses objectifs et savoir mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour les atteindre, tout en sachant saisir les opportunités. Éric Trappier est ingénieur diplômé de Télécom Sud Paris. Il a servi comme Officier dans la Marine Nationale durant son service militaire. Celui-ci entre dans le groupe Dassault Aviation à l’âge de 24 ans. Après une carrière essentiellement dédiée à l’export militaire, Éric Trappier est nommé PDG en janvier 2013. En janvier 2025, il devient également PDG du Groupe Industriel Marcel Dassault. Parallèlement, Éric Trappier a été président de l’Association Européenne des Industries Aérospatiale et Défense (ASD), président du Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales (GIFAS), président du Conseil des Industries de Défense Françaises (CIDEF). Il est actuellement administrateur de THALES et président de l’Union des Industries et Métiers de la Métallurgie (UIMM) Avec plus de 10 000 avions militaires et civils livrés dans plus de 90 pays depuis un siècle (dont 2700 Falcon), Dassault Aviation dispose d’un savoir-faire et d’une expérience reconnus dans la conception, la production, la vente et le support de tous les types d’avion, depuis l’appareil de combat Rafale jusqu’à la famille de business jets haut de gamme Falcon en passant par les drones militaires et les systèmes spatiaux. En 2023, le chiffre d’affaires de Dassault Aviation s’est élevé à 4,8milliards d’euros. Le Groupe compte 14 500 collaborateurs. 1 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier il y a 6 minutes, Alberas a dit : Le Groupe compte 14 500 collaborateurs. Quand j'ai intégré Dassault, le groupe comptait 16000 collaborateurs, Trappier aussi d'ailleurs, puis les dividendes de la paix sont passés par là. Nous avons connu le groupe à 11000 collaborateurs il n'y a pas si longtemps, je pense qu'on le reverra à 16000 après personne ne le sais. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit : Quand j'ai intégré Dassault, le groupe comptait 16000 collaborateurs, Trappier aussi d'ailleurs, puis les dividendes de la paix sont passés par là. Nous avons connu le groupe à 11000 collaborateurs il n'y a pas si longtemps, je pense qu'on le reverra à 16000 après personne ne le sais. Ce n'est pas dit. La tendance lourde pour les groupes à marche fixe et à technologie avancée est de maigrir. La productivité n'est pas la même, et les assistants (dont le dernier est chatgpt et ses copains) permettent de concentrer la valeur ajoutée des collabs. Et les collabs "en trop" ça coûte fort cher et fort longtemps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier il y a 55 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Quand j'ai intégré Dassault, le groupe comptait 16000 collaborateurs, Trappier aussi d'ailleurs, puis les dividendes de la paix sont passés par là. Nous avons connu le groupe à 11000 collaborateurs il n'y a pas si longtemps, je pense qu'on le reverra à 16000 après personne ne le sais. Et l'apport de l'informatique et de l'IA vont encore augmenter certaines capacités. Même si les Grands Anciens qui avaient fait toute l'aventure Dassault depuis la fin de la 2nde GM ne sont plus là et qu'on peut légitimement se poser la question de la transmission des compétences avec le "mur" des départs en retraite dont parlait Trappier il fut un temps, je pense que les capacités à mener plusieurs projets en parallèle vont augmenter. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 1 février Share Posté(e) le 1 février 19 hours ago, Patrick said: Et l'apport de l'informatique et de l'IA vont encore augmenter certaines capacités. Même si les Grands Anciens qui avaient fait toute l'aventure Dassault depuis la fin de la 2nde GM ne sont plus là et qu'on peut légitimement se poser la question de la transmission des compétences avec le "mur" des départs en retraite dont parlait Trappier il fut un temps, je pense que les capacités à mener plusieurs projets en parallèle vont augmenter. tout ce tuilage est parfaitement connu, étudié et mis en place chez DA. il y a tt une formation, apprentissage et partage en place. Cf. slides envers le sénat Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Deltafan Posté(e) le 2 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 février (modifié) Just for fun : Modifié le 2 février par Deltafan 1 9 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février (modifié) Oooh, ca va. En plus ils s'équipent auprès de leur grand frère et voisin Américain qui ne leur veut que du bien.... ;););) Et puis 70 Mds $ US dont 52 Mds pour sa mise en œuvre sur 40 ans, c'est un bon prix... Ça fait quoi en coût annuel, 15 millions/F35/an... A quand même!?... C'est combien déjà les contrat pour des Rafale, 4,5 millions/Rafale/an. C'est juste 3 fois moins, ça passe Et en plus leur super voisin rajoute 25% de droit de douane en retour sur leurs exportations. C'est vraiment une bonne affaire et des bons potes ces US. Modifié le 3 février par Ronfly 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février il y a 52 minutes, Ronfly a dit : voisin Américain qui ne leur veut que du bien (qui ne veut que leur(s) bien(s)) 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tipi Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février il y a une heure, Ronfly a dit : Et puis 70 Mds $ US dont 52 Mds pour sa mise en œuvre sur 40 ans, c'est un bon prix... Ça fait quoi en coût annuel, 15 millions/F35/an... A quand même!?... C'est combien déjà les contrat pour des Rafale, 4,5 millions/Rafale/an. C'est juste 3 fois moins, ça passe Les 70 Md$ c’est certain que c’est des $ US, pas des canadiens ? L’écart est important (0,68) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février il y a 4 minutes, tipi a dit : Les 70 Md$ c’est certain que c’est des $ US, pas des canadiens ? L’écart est important (0,68) https://www.airandspaceforces.com/canada-officially-signs-deal-for-88-new-f-35-fighters/#:~:text=The cost of buying the,nearing 40 years in age. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février Le Canada paye le pizzo c’est tout… avec l’arrivée de Trump au pouvoir ça marche le business. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février il y a 9 minutes, Conan le Barbare a dit : Le Canada paye le pizzo c’est tout… "Le pizzo est une forme de racket pratiqué par les mafias italiennes envers les commerçants locaux, appelé « protection » dans le jargon." Canada avachi ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février A votre place je ne rigolerais pas avant de savoir à quelle sauce Trump va nous préparer et comment on réagira. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février C'est pas faux, mais on n'a pas besoin de lui pour être au fond du seau... On y arrive tellement bien nous-même. ;) 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 3 février Share Posté(e) le 3 février il y a 14 minutes, herciv a dit : A votre place je ne rigolerais pas avant de savoir à quelle sauce Trump va nous préparer et comment on réagira. Oh ce n'est pas très compliqué. 25 % de taxes sur tout, plus éventuellement un bonus sur des produits phares comme la pharmaceutique, le cosmétique et le luxe. Et bien sûr, la saillie bimensuelle de "NATO 5 PER CENTS OR WE WILL PLAY MEDIEVAL WITH YOURS CARS". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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