herciv Posté(e) le 11 janvier Share Posté(e) le 11 janvier Les forces russes se préparent à attaquer par la direction du nord https://www.pravda.com.ua/eng/news/2024/01/11/7436811/ Yevhen Kizilov - Jeudi 11 janvier 2024, 17:50 Oleksandr Syrskyi, commandant des forces terrestres ukrainiennes, met en garde contre les préparatifs en cours pour reprendre les opérations offensives russes sur le front de Sivershchyna. Source : Syrskyi sur Telegram Détails : Selon Syrskyi, les forces russes délocalisent les unités de la tempête [unités pénales de l'armée russe - éd. et effectuent la formation de compagnies d'assaut pour cette raison. Le commandant a également déclaré que la situation opérationnelle dans l'est du pays restait difficile. Les Russes poursuivent leurs opérations offensives sur les fronts de Kupiansk, Lyman et Bakhmut. En particulier, les Russes n'abandonnent pas les tentatives d'évincer les unités ukrainiennes de la forêt de Kupiansk et de capturer Synkivka, dans le but de bloquer Kupiansk. Sur le front de Lyman, les Russes mènent des opérations offensives afin d'évincer les troupes ukrainiennes au-delà du fleuve Chornyi zibebets. Le bombardement de l'artillerie y a également été enregistré. En outre, ils déplacent d'autres compagnies d'assaut du territoire de la Fédération de Russie vers cette zone et forment de nouvelles unités d'assaut dans des camps de base. Ils essaient également de déminer des lignes de progrès potentiels. La forêt de Serebrianka continue de rester l'un des principaux domaines de concentration des principaux efforts de l'assaut russe. Sur ce front, des tentatives infructueuses sont faites pour attaquer les positions ukrainiennes avec l'appui de véhicules blindés dans les directions de Torske et Dibrova, ainsi que de Yampil. Sur le front de Bakhmut, les Russes font tout leur possible pour atteindre la ligne du canal de Siverskyi Donets-Donbas. Du nord de Bakhmut, ils mènent des attaques d'assaut contre Bohdanivka. Les Russes tentent de créer des conditions favorables à l'attaque contre Chasiv Yar et de rétablir leur position perdue dans les zones de la cascade de lacs à l'est de Klishchiivka et de Kurdiumivka, pour lesquelles ils font intervenir des troupes aéroportées et des unités de fusiliers motorisés de la flotte du Nord. Dans le même temps, Sirskyi note qu'en dépit des actions offensives à grande échelle des forces russes, les soldats ukrainiens dans toutes les directions « détiennent fermement des lignes défensives et infligent des pertes importantes à l'ennemi ». 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 janvier Share Posté(e) le 11 janvier Pendant la seconde guerre le Goliath ROV a ete largement produit https://www.standingwellback.com/historical-rovs/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Janmary Posté(e) le 11 janvier Share Posté(e) le 11 janvier (modifié) Merci g4lly pour ces informations sur ces engins filoguidés. Passionnant. Je ne me permettrais plus de poser ce type de question relatif à un doute. Bien à vous. Modifié le 11 janvier par Janmary Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Capitaineconan Posté(e) le 11 janvier Share Posté(e) le 11 janvier Pour la première guerre mondiale, le fortin « aubriot-gabet » de 1915, n’était pas un char filoguides mais un prototype de char dit « pétroléo-electrique », alimenté par câble. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vince88370 Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Présentation du kit de guidage pour les FAB 1500 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 12 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 janvier Budanov dans le Monde, toujours caustique et tranchant. Beaucoup de constats fait ici sur ce fil sont repris par le personnage. En tout cas, il ne s'embarrasse pas d'histoire de doctrines ou d'interarme. Mines et drones = gros problème. Et des constats toujours aussi intéressant et surprenant sur le niveau d'auto-intoxication des échelons militaires et renseignement Russes. https://www.lemonde.fr/international/article/2024/01/11/kyrylo-boudanov-chef-du-renseignement-militaire-ukrainien-les-prisonniers-russes-nous-disent-qu-ils-viennent-faire-la-guerre-contre-l-otan_6210277_3210.html Citation Kyrylo Boudanov, chef du renseignement militaire ukrainien : « Les prisonniers russes nous disent qu’ils viennent faire la guerre contre l’OTAN » Le général assure, dans un entretien au « Monde », que les incursions ukrainiennes en Crimée ne sont qu’un « début ». Il admet aussi une certaine lassitude de la guerre parmi la population et juge le déficit en soldats « important, mais pas alarmant ». Propos recueillis par Florence Aubenas (Kiev, envoyée spéciale) Le général Kyrylo Boudanov, chef du service de renseignement militaire ukrainien, dans son quartier général, à Kiev, le 10 janvier 2024. RAFAEL YAGHOBZADEH POUR « LE MONDE » Dans l’Ukraine en guerre, Kyrylo Boudanov, 38 ans, chef du service de renseignement militaire ukrainien (GUR), s’est imposé comme une figure majeure du conflit. Il est l’un des seuls officiels du pays à avoir prédit l’invasion russe, le 24 février 2022, précisant qu’elle aurait lieu « à 5 heures du matin ». Installé alors avec sa femme dans une base protégée, il se souvient avoir regardé tourner les aiguilles de l’horloge cette nuit-là. « Je ne voulais pas de cette guerre, mais je suis responsable de ce genre d’information. Une telle erreur n’aurait pas été acceptable », dit-il d’une voix égale, le visage immobile. Depuis, une grenouille vivante lui tient compagnie, dans son bureau, au sein de la base où il vit toujours. Le parcours de Kyrylo Boudanov parle pour lui : une vie entière transformée en opération spéciale. Sorti de l’académie militaire d’Odessa en 2007, il s’est aussitôt engagé dans les forces d’élite du GUR, une vocation. Blessé plusieurs fois au cours d’opérations secrètes dès le début de la guerre russo-ukrainienne, en 2014, cible de nombreuses tentatives d’assassinat, le jeune général de division a été nommé à la tête du GUR par le président, Volodymyr Zelensky, en 2020. Il arrive à ses homologues occidentaux de comparer le GUR de Kyrylo Boudanov au Mossad des années 1970, les renseignements extérieurs israéliens, un parallèle qu’il ne rejette pas. « L’époque est différente, mais nous sommes prêts à des actes fermes », confie-t-il. Dans la phase actuelle de la guerre, l’audace de ses opérations clandestines, lancées de plus en plus profondément hors des frontières de l’Ukraine, met parfois à vif les nerfs de ses partenaires étrangers. Le 28 novembre 2023, la femme de Kyrylo Boudanov, Marianna, a été victime d’une tentative d’empoisonnement aux métaux lourds. Des bombardements d’une ampleur inégalée viennent de frapper l’Ukraine, le 29 décembre 2023 et ce 2 janvier. La guerre est-elle entrée dans une nouvelle phase ? Cela va peut-être vous surprendre, mais la raison de ces frappes est très banale. Au ministère russe de la défense, ils ont fait le bilan de 2023 : ils voulaient afficher rapidement quelque chose pour pouvoir proclamer l’année victorieuse et passer à la suivante. Or, ils n’ont eu aucune réussite militaire réelle. Vu les énormes stocks de missiles accumulés de leur côté, l’option était évidente. Ce sont nos infrastructures militaires qui étaient visées, avec des missiles de haute précision, mais ceux-ci souffrent de nombreux défauts. Souvent, ils tombent à côté. Nous leur avons aussitôt envoyé notre réponse. Laquelle ? Des attaques sur leurs structures militaires. Bien sûr, je ne peux en dire plus. L’industrie de défense joue un rôle primordial dans une guerre de position, particulièrement exigeante en munitions et en matériel. Quelles sont les capacités de production en Russie et en Ukraine ? En ce qui concerne la quantité d’armes produites, elle a beaucoup augmenté en Russie par rapport aux années précédentes, on l’a ressenti depuis la fin de l’été 2023. Je ne parle pas de ce que leur livrent d’autres pays, mais de leur industrie nationale. Mais, pour la qualité, on constate une baisse. L’Ukraine aussi tente d’augmenter sa production. Si nous n’avons pas les mêmes volumes que la Russie – nos pays étant de taille différente –, nous affrontons en revanche les mêmes problèmes qu’eux dans ce domaine : nous possédons peu de composants de haute technologie et nous manquons de cadres qualifiés. La guerre affecte ce secteur, le personnel compétent étant mobilisé dans l’armée. Le front terrestre semble aujourd’hui s’être figé après les résultats de la contre-offensive ukrainienne cet été. Est-ce la réalité ? Des deux côtés, l’utilisation très intensive des drones d’attaque a rendu impossibles les offensives à la fois russes et ukrainiennes. Les drones ont été la nouveauté de ces dernières années. Autre élément, la densité des champs de mines, jamais atteinte depuis la seconde guerre mondiale. Cet aspect avait été oublié. Contre les drones, on connaît la solution : les contre-mesures électroniques. Quant aux mines, il faut du matériel spécialisé. On revient à la question de la capacité de production, les processus sont liés. Rien n’est insoluble, mais il faut tout prendre en compte. Dans un entretien à « The Economist », le 1er janvier, le président, Volodymyr Zelensky, a souligné que le conflit allait se recentrer sur la mer Noire. Quelle est votre analyse ? Regardons les faits : la partie nord de la mer Noire est sous contrôle ukrainien, avec les plates-formes d’extraction de gaz. Très importants pour notre économie, les corridors maritimes d’exportation de céréales sont à nouveau opérationnels, même s’il y a des risques dus à la guerre. De notre côté, nous attaquons régulièrement la flotte et les installations portuaires de notre ennemi. Les Russes ont dû tout déplacer en catastrophe au sud-est. Ils essaient d’aménager une base navale à Otchamtchira sur le territoire occupé de la Géorgie [l’Abkhazie] au bord de la mer Noire. En 2023, les premières incursions ukrainiennes ont eu lieu en Crimée temporairement occupée, alors que certains les pensaient impossibles. Et ce n’est que le début. Cela donne de l’espoir, notamment aux Ukrainiens de Crimée qui vivent depuis dix ans sous occupation russe et dont beaucoup commençaient à se décourager. Vous donnez l’impression de jauger la situation avec beaucoup d’assurance. Rien ne vous a surpris dans cette guerre ? Un certain paradoxe russe m’a étonné. Tout le monde considérait que Moscou possédait une armée forte et une économie fragile. Il s’avère que c’est l’inverse. L’armée est nulle. En revanche, l’économie est, certes, amoindrie, mais le pays ne meurt pas de faim, loin de là. Il peut même tenir assez longtemps à ce rythme. Les sanctions occidentales actuelles ne suffisent pas, ou alors à très long terme. Il faudrait toucher leurs principaux secteurs économiques jusque-là épargnés, l’énergie, la métallurgie, le système financier dans son ensemble. Qu’est-ce qui pourrait faire basculer la donne ? Parlons d’abord de livraison d’armes, et j’évoque tout simplement ici les systèmes d’artillerie. Les entrepôts des pays de l’OTAN en sont pleins, ce n’est pas un secret. Nous manquons d’obus, de systèmes antiaériens. Le débat n’est pas seulement sur les technologies hypermodernes. Tout nous intéresse, y compris les systèmes anciens ou plus en fonction. La question de la quantité aussi est importante. Ensuite, le secteur économique ukrainien a besoin de soutien pour garantir la stabilité du pays, c’est fondamental. Les autres questions concernent uniquement l’Ukraine. Quelles sont ces questions ? Nous devons améliorer le processus de recrutement dans l’armée, mieux communiquer avec la population pour accentuer la motivation. Nous connaissons malheureusement des problèmes en ce domaine, il faut l’assumer, on le voit aux polémiques actuelles sur la prochaine loi de mobilisation. La guerre a commencé il y a dix ans, l’invasion à grande échelle depuis 2022, la fatigue se manifeste tant au niveau individuel que dans la société. Je ne critique pas, le phénomène se comprend. Mais le manque de soldats devient important, même s’il n’est pas alarmant. L’essentiel est de trouver des solutions, nous nous y sommes pris à temps. Avec certains changements, peut-être, le Parlement devrait voter la loi. Ressentez-vous aussi une lassitude chez vos partenaires occidentaux ? Si la question est : ces lassitudes vont-elles affecter le front, la réponse est non. Ceux qui pensent être fatigués de l’Ukraine à l’étranger vont devoir courtiser les Russes quand ils viendront occuper leurs propres territoires. La Russie ne fait pas seulement la guerre contre l’Ukraine, elle la fait contre l’OTAN, leur propagande le répète depuis le début. Tous les jours, je lis des rapports [secrets] russes, reçus par différents biais. Chacun d’eux mentionne des frappes contre des bases de l’OTAN, précisant qu’il y avait cinquante Polonais, trente Français, etc. C’est faux, ils le savent, mais c’est l’information qu’ils font remonter. D’ailleurs, les prisonniers de guerre russes nous disent leur surprise de n’avoir rencontré aucun soldat de l’OTAN. Dans leur tête, ils viennent faire la guerre contre eux, l’Ukraine ne représente que la première étape. Certaines voix commencent à appeler aux négociations. Est-ce une option pour vous aujourd’hui ? Ce n’est pas le bon moment. Les négociations commencent quand une partie au minimum, voire les deux, y a intérêt. Tel n’est pas le cas. 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier il y a 27 minutes, olivier lsb a dit : Budanov dans le Monde, toujours caustique et tranchant. Beaucoup de constats fait ici sur ce fil sont repris par le personnage. En tout cas, il ne s'embarrasse pas d'histoire de doctrines ou d'interarme. Mines et drones = gros problème. Et des constats toujours aussi intéressant et surprenant sur le niveau d'auto-intoxication des échelons militaires et renseignement Russes. https://www.lemonde.fr/international/article/2024/01/11/kyrylo-boudanov-chef-du-renseignement-militaire-ukrainien-les-prisonniers-russes-nous-disent-qu-ils-viennent-faire-la-guerre-contre-l-otan_6210277_3210.html Je note: - "les énormes stocks de missiles accumulés de leur côté": pas forcément cohérent avec ce qui est souvent dit, ni avec le rythme des frappes constaté, ce qui implique soit que le terme énorme est exagéré soit que les Russes se préparent à une succession de frappes massives. - "Ce sont nos infrastructures militaires qui étaient visées", pour ceux qui parlent encore d'une politique de frappes de terreur russe; - "Les entrepôts des pays de l’OTAN en sont pleins": me semble assez naïf, sauf si on parle des US; - "le manque de soldats devient important, même s’il n’est pas alarmant." qui ne recoupe pas ce que j'entends de là-bas ni l'importance politique prise par ce sujet; - la forte dimension économique du discours. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier (modifié) Duel entre deux Bradley et un T-90M Modifié le 13 janvier par Banzinou Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MoX Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Il y a 3 heures, Banzinou a dit : Duel entre deux Bradley et un T-90M Pas l'habitude de poster des "tweets de combat", mais celui-là, je l'aurais posté si tu ne l'avais déjà fait ! Effectivement, c'est un "cas particulier", une "anecdote" et évidemment pas un enseignement complet sur les doctrines des uns et des autres ... mais cela en dit "long" sur la motivation des équipages, et dans les deux camps ! Les ukrainiens vont au contact en vci 25mm, il faut avoir de sacrés balloches et miser sur sa supériorité de manoeuvre/de vision. Les russes "tiennent" de longue minutes dans une situation probable d'aveuglement partiel ou complet sur la sitac ... en entendant les coups de 25mm les frapper et quelques détonations d'ERA ça et là ... ambiance ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loac Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Le bas de caisse des chars russe (et autre peu être) reste assez vulnérable au 25/30 mm. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Colstudent Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Il y a 7 heures, MoX a dit : Pas l'habitude de poster des "tweets de combat", mais celui-là, je l'aurais posté si tu ne l'avais déjà fait ! Effectivement, c'est un "cas particulier", une "anecdote" et évidemment pas un enseignement complet sur les doctrines des uns et des autres ... mais cela en dit "long" sur la motivation des équipages, et dans les deux camps ! Les ukrainiens vont au contact en vci 25mm, il faut avoir de sacrés balloches et miser sur sa supériorité de manoeuvre/de vision. Les russes "tiennent" de longue minutes dans une situation probable d'aveuglement partiel ou complet sur la sitac ... en entendant les coups de 25mm les frapper et quelques détonations d'ERA ça et là ... ambiance ! C'est conventionnel des actions solo sans aucun soutien ? il y aurait eu un autre char celui là n'aurait pas subit le piège et les bradleys seraient pas tout rentré entier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CortoMaltese Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier (modifié) il y a 7 minutes, Colstudent a dit : C'est conventionnel des actions solo sans aucun soutien ? il y aurait eu un autre char celui là n'aurait pas subit le piège et les bradleys seraient pas tout rentré entier On en voit énormément, des deux côtés. Les deux camps ont énormément de mal à faire du combat interarme efficace et on voit très régulièrement des chars perdus seuls sur la ligne de front tentant de faire on-ne-sait-quoi (soutenir une escouade dans le besoin à proximité). D'ailleurs, il est probable que le soutien le plus rapide qu'aurait pu avoir ce char aurait été une paire de drone FPV, mais il est possible que l'intégration char-drone soit encore balbutiante (sans doute pas de ligne directe entre l'équipage et les opérateurs, donc tu dois prier pour que la scène soit vue par in drone de surveillance). Edit : d'ailleurs je parles d'interarme mais ta question n'en relève pas directement, puisque tu parles d'un second char. Sur ce sujet, il y a le problème de la nécessaire dilution des forces à cause des drones. Deux chars proches c'est une cible de choix, et il en va de même pour les Bradley qui auraient très bien pu se manger une myriade de drone s'ils avaient été détectés plus tôt. Ça n'encourage clairement pas la concentration de véhicules. Modifié le 13 janvier par CortoMaltese 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Quelqu'un comprend ce que signifie cette déclaration ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier il y a 9 minutes, Teenytoon a dit : Quelqu'un comprend ce que signifie cette déclaration ? La Grande-Bretagne s'engage à fournir une assistance terrestre, maritime et aérienne à l'Ukraine en cas de nouvelles attaques de la Fédération de Russie", - Sunak 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier (modifié) Merci @Picdelamirand-oil, je suis nul en anglais mais pas a ce point Ils comptent engager des Typhoon en Ukraine ? Modifié le 13 janvier par Teenytoon 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier il y a 1 minute, Teenytoon a dit : Merci @Picdelamirand-oil, je suis nul en anglais mais pas a ce point Ils comptent engager des Typhoon en Ukraine ? c'est : La Grande-Bretagne s'engage à fournir une assistance terrestre, maritime et aérienne à l'Ukraine en cas de nouvelles attaques de la Fédération de Russie", - Sunak Après quel est la signification du message ? ??? c'est plus un message pour la Russie Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Vous arrêtez de vous donner le mot pour me faire la traduction ? Je n'ai pas dit qui peut traduire j'ai dit qui comprend ce que ça signifie ? 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier il y a 7 minutes, Teenytoon a dit : Vous arrêtez de vous donner le mot pour me faire la traduction ? Je n'ai pas dit qui peut traduire j'ai dit qui comprend ce que ça signifie ? Ben nous aussi !!! On ne comprend pas ! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. LBP Posté(e) le 13 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 janvier ça brûle en Russie 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Ca veut dire que, en attendant une nouvelle attaque si jamais elle devait arriver, il ne fournit plus d'aides 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Il y a 10 heures, MoX a dit : Pas l'habitude de poster des "tweets de combat", mais celui-là, je l'aurais posté si tu ne l'avais déjà fait ! Effectivement, c'est un "cas particulier", une "anecdote" et évidemment pas un enseignement complet sur les doctrines des uns et des autres ... mais cela en dit "long" sur la motivation des équipages, et dans les deux camps ! Les ukrainiens vont au contact en vci 25mm, il faut avoir de sacrés balloches et miser sur sa supériorité de manoeuvre/de vision. Les russes "tiennent" de longue minutes dans une situation probable d'aveuglement partiel ou complet sur la sitac ... en entendant les coups de 25mm les frapper et quelques détonations d'ERA ça et là ... ambiance ! … Sur le coup les 2 équipages des Bradley ont de la chance de ne pas être tomber sur un équipage de char bien plus aguerri (a ce qu'il me semble) … Dans l'autre cas de figure, 2 obus est s'en est fini des VCI. Manifestement, le T-90 n'est pas assez mobile … Il ne sert pas assez des différentes maisons … Il reste dans le défilé et se fait allumer comme un bleu ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier il y a 53 minutes, LBP a dit : ça brûle en Russie ça c'est un chouette flambard ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rivelo Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier 1 hour ago, Teenytoon said: Quelqu'un comprend ce que signifie cette déclaration ? Alors, en regardant les sources.. UK et Ukraine ont signé un accord de collaboration (et d'alliance ?) réciproque : https://www.president.gov.ua/en/news/ugoda-pro-spivrobitnictvo-u-sferi-bezpeki-mizh-ukrayinoyu-ta-88277 La citation semble venir du paragraphe suivant : Quote Part VIII. Cooperation in the event of future armed attack 1. Any future Russian invasion would violate the UN Charter and fundamental principles of international law, and would grievously undermine Euro-Atlantic security, including that of the UK. 2. In the event of future Russian armed attack against Ukraine, at the request of either of the Participants, the Participants will consult within 24 hours to determine measures needed to counter or deter the aggression. 3. The UK undertakes that, in those circumstances, and acting in accordance with its legal and constitutional requirements, it would: provide Ukraine with swift and sustained security assistance, modern military equipment across all domains as necessary, and economic assistance; impose economic and other costs on Russia; and consult with Ukraine on its needs as it exercises its right to self-defence enshrined in Article 51 of the UN Charter. 4. In order to ensure the widest and most effective collective response to any future armed attack, the UK and Ukraine may amend these provisions in order to align with any mechanism that Ukraine may subsequently agree with its other international partners, including the participants in the Joint Declaration of 12 July 2023. Donc on parle de la prochaine guerre avec la Russie, quand celle-ci sera finie 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Colstudent Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Maritime.......la GB n'a même plus de quoi envoyer des forces contre les houthis par manque de marins... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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