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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques


Messages recommandés

il y a 18 minutes, g4lly a dit :

Dans un conflit il n'y a pas 50 positions possibles. Soit tu es dans un camp, soit dans l'autre camp ... soit tu es loin du truc.

Déjà cette proposition est fausse car il y a de nombreux exemples de pays ayant vendu des armes à tous les belligérants d'un conflit. Où les mets-tu ? Ils font la guerre aux deux tout en leur vendant des armes ?

Ton argumentation ne tient pas.

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6 minutes ago, Pierre_F said:

Je rappelle que les Russes ne se sont pas privés de livrer des armes à l’Algérie contre nous pendant leur guerre d’indépendance.  

Et donc c'était nos adversaire ... et on a essayé de l’empêcher ... et si on ne leur a pas mis sur la gueule directement c'est qu'on en avait pas les moyens.

11 minutes ago, DMZ said:

Déjà cette proposition est fausse car il y a de nombreux exemples de pays ayant vendu des armes à tous les belligérants d'un conflit. Où les mets-tu ? Ils font la guerre aux deux tout en leur vendant des armes ?

C'est comme si tu disais que le dealer n'est pour rien dans la toxicomanie ...

---

... pour les pays qui fournissent les deux camps plus ou moins équitablement ... on peut partir du principe qu'ils sont content que la guerre dure ... et donc qu'ils sont ennemi des deux camps ...

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il y a 4 minutes, Pierre_F a dit :

Je rappelle que les Russes ne se sont pas privés de livrer des armes à l’Algérie contre nous pendant leur guerre d’indépendance.  

Je ne crois pas qu'ils faisaient des conférence de presse donc c'était le seul sujet comme Biden en ce moment.

C'était quand même fait dans la discrétion je crois.

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Il y a 6 heures, Deres a dit :

Je ne crois pas qu'ils faisaient des conférence de presse donc c'était le seul sujet comme Biden en ce moment.

C'était quand même fait dans la discrétion je crois.

Ils reconnu le GPRA en 1960 (la Chine deux ans avant) S'il y a prudence de l'URSS vis-à-vis de la France c'est surtout par ce qu'ils voient dans la position française (gaulliste) un facteur d’affaiblissement du bloc occidental. Le PCF d'ailleurs ne soutenait pas le FLN, au nom de la lutte contre l'impérialisme américain...

Cela ne les empêche pas d'envoyer des armes, ni de proclamer leur soutien à l'autodétermination des peuples colonisés, l'anti impérialisme etc... 

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Je ne parle pas de justifications des actions des japonais et des allemands ou de russes, ce n'est pas le sujet. Les occidentaux restent les "good guys" des démocraties et j'en fait parti de tout coeur. Ce que je veux dire c'est qu'il faut réaliser que nous jouons un jeu très dangereux avec ces sanctions économiques fortes et ces livraisons d'armes officielles. On fait les marioles bien assis au chaud dans nos fauteuils en croyant que nous maitrisons la situation et que nous sommes maitre du jeu. Mais nous sommes peut être en train de tout faire pour la faire dégénérer encore plus en réalité. La réalité est que nous commettons des "casus belli" quotidiens aux russes. Des pays ont déclaré des guerres pour moins que cela dans le passé. Nos dirigeants en sont ils vraiment conscient ou pensent ils que cela est impossible de toute façon ? J'ai parfois l'impression que nous n'avons pas le droit de déclarer des guerres donc que quand on veut les faire on fait tout pour que nos adversaire le fasse à notre place ...On a déjà vu que l'attitude des russes avec les iraniens avait largement changé car ils ne voit plus de raison de se restreindre par exemple.

Modifié par Deres
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il y a 43 minutes, Pierre_F a dit :

Je rappelle que les Russes ne se sont pas privés de livrer des armes à l’Algérie contre nous pendant leur guerre d’indépendance.  

Les américains aussi d'ailleurs ..........Ou en tout cas, ils ont fermé les yeux sur des chargements qu'ils savaient être des armes .Donc ?

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il y a une heure, Deres a dit :

Je ne parle pas de justifications des actions des japonais et des allemands ou de russes, ce n'est pas le sujet. Les occidentaux restent les "good guys" des démocraties et j'en fait parti de tout coeur. Ce que je veux dire c'est qu'il faut réaliser que nous jouons un jeu très dangereux avec ces sanctions économiques fortes et ces livraisons d'armes officielles. On fait les marioles bien assis au chaud dans nos fauteuils en croyant que nous maitrisons la situation et que nous sommes maitre du jeu. Mais nous sommes peut être en train de tout faire pour la faire dégénérer encore plus en réalité. La réalité est que nous commettons des "casus belli" quotidiens aux russes. Des pays ont déclaré des guerres pour moins que cela dans le passé. Nos dirigeants en sont ils vraiment conscient ou pensent ils que cela est impossible de toute façon ? J'ai parfois l'impression que nous n'avons pas le droit de déclarer des guerres donc que quand on veut les faire on fait tout pour que nos adversaire le fasse à notre place ...On a déjà vu que l'attitude des russes avec les iraniens avait largement changé car ils ne voit plus de raison de se restreindre par exemple.

Il existe des exemples en sens inverse où des livraisons d'armes à des belligérants n'ont pas entraîné de dommages pour le fournisseur d'armes : les États-Unis ont fourni des armes à l'Angleterre et à l'URSS (en prenant soin que les Anglais viennent les chercher eux-mêmes) de 1939 à 1941 sans que l'Allemagne n'attaque les États-Unis.

Donc ce jeu de fournir des armes à un belligérant, c'est un peu la roulette russe.

Cela dit, je suis d'accord sur le fait que sanctionner un pays au-delà d'un certain point peut être une façon de l'acculer à une réaction imprévisible du type "Pearl Harbor" en réactions à l'embargo américain sur le pétrole.

Le 13/03/2022 à 02:41, Wallaby a dit :

https://nationalinterest.org/feature/raging-toward-abyss-russia-201144 (11 mars 2022)

George Beebe :

Nous sommes dans une spirale d'escalade qui s'intensifie avec une puissance nucléaire amèrement lésée qui, sous la pression d'une campagne militaire qui piétine et de sanctions économiques asphyxiantes, pourrait bientôt être confrontée à un choix entre accepter une humiliation nationale et faire quelque chose que nous avons longtemps considéré comme inimaginable : attaquer directement un membre de l'OTAN ou même les États-Unis.

Les dirigeants soviétiques n'ont jamais été confrontés à un tel dilemme. Contrairement au mythe populaire, Kennedy n'a pas simplement forcé Khrouchtchev à faire marche arrière en 1962 en le menaçant de la perspective d'attaques militaires américaines contre les installations de missiles soviétiques à Cuba. Il a associé cette menace à la volonté de conclure un accord pour sauver la face. Les deux dirigeants ont mis fin à la crise en échangeant le retrait de ces missiles soviétiques contre le retrait des missiles américains à moyenne portée en Turquie et en Italie, assorti de l'engagement des États-Unis de ne jamais envahir Cuba.

Nous n'avons pas de tels accords aujourd'hui. Presque tous les accords de contrôle des armements et de gestion des crises de l'époque de la guerre froide ont disparu, et aucun nouvel accord adapté aux nouvelles conditions actuelles n'a vu le jour. Farida Rustamova, correspondante de la BBC à Moscou, a rapporté que Vladimir Poutine pense que l'Occident a détruit toutes les anciennes règles du jeu et que la Russie est désormais engagée dans un combat qui n'est circonscrit par aucune frontière convenue. La récente directive de Poutine plaçant les forces nucléaires stratégiques de la Russie sous un "régime spécial de service de combat" suggère qu'elle a raison.

Le centre de gravité des médias et de l'opinion publique occidentaux s'est considérablement déplacé depuis la guerre froide. Depuis au moins une décennie, il n'existe pas de groupe d'intérêt américain significatif en faveur d'une quelconque détente avec Moscou. Peu de gens considèrent la guerre nucléaire avec la Russie comme une possibilité sérieuse, et presque tous semblent supposer que les États-Unis ne peuvent pas être entraînés dans une guerre directe avec la Russie contre son gré. Indignés à juste titre par l'attaque de Poutine contre l'Ukraine, nos commentateurs médiatiques et nos guerriers sur Twitter se concentrent sur la manière de garantir la défaite de la Russie et l'éviction de Poutine.

Mais l'avènement de l'ère cybernétique a rendu les risques d'escalade vers un conflit direct Est-Ouest beaucoup plus grands que pendant la guerre froide, tout en ne faisant pas grand-chose pour réduire son potentiel de destruction. Notre dépendance à l'égard d'une infrastructure numérique pratiquement sans défense rend les États-Unis beaucoup plus vulnérables aux attaques étrangères qu'il y a seulement quelques décennies. Poutine a publiquement averti que les sanctions économiques occidentales constituaient une guerre contre la Russie. Comment pourrions-nous réagir si les cybercombattants russes ripostaient en désactivant les centrales électriques américaines ou en perturbant les transactions à Wall Street ? Une fois que les deux parties auront commencé à attaquer les infrastructures critiques, pourraient-elles être tentées de cibler les satellites militaires et de renseignement dont dépend la capacité de chaque partie à détecter les frappes nucléaires et à y répondre ?

Nous ne pouvons pas savoir comment ces facteurs disparates peuvent se combiner pour façonner les événements des prochaines semaines. Mais il est juste de dire que nous nous aventurons sur terra incognita, et non dans une sorte de relecture étrangement rassurante d'une compétition réglementée de la guerre froide qui s'est terminée de manière heureuse, du moins pour les États-Unis et leurs alliés. Les dangers auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui ne sont pas ingérables, mais ils sont certainement sans précédent.

Au moins un dicton de la guerre froide conserve sa pertinence dans ces nouvelles circonstances : les dirigeants des superpuissances ne doivent pas se mettre mutuellement dans des situations où ils doivent choisir entre perdre la face et déclencher une guerre nucléaire, ce qui, selon Kennedy, était la principale leçon de la crise des missiles de Cuba. Que pouvons-nous faire - et que devons-nous éviter de faire - pour ne pas nous acculer, nous ou le Kremlin, dans une telle situation ?

La récente décision de Washington d'activer les canaux de déconfliction militaire avec la Russie était judicieuse, tout comme le choix de l'OTAN de ne pas instaurer une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine, qui aurait nécessité un engagement direct avec les avions et les défenses aériennes russes. Nous devons toutefois veiller à ne pas laisser notre objectif glisser de la dissuasion et de la punition de la Russie vers un changement de régime, ce qui serait plus susceptible de provoquer des représailles de la part de Poutine que sa destitution.

Les États-Unis doivent également résister à la tentation de couper les contacts diplomatiques avec Moscou. Nous pouvons et devons veiller à ce que la Russie ne gagne pas cette guerre. Mais nous devons reconnaître que Poutine peut faire souffrir tous les autres de manière horrible si la Russie doit perdre. La diplomatie est notre seul moyen de sortir de cette impasse. Pour encourager les Russes à mettre fin aux combats, nous devons faire face à la douloureuse réalité : ils ont besoin d'une voie viable vers un avenir dans lequel les sanctions sont allégées et l'OTAN n'est pas en Ukraine, tout en préservant la sécurité de l'Ukraine.  

Dans notre indignation face à l'assaut sanglant de la Russie, très peu d'Occidentaux pensent que nous devrions chercher des moyens de mettre fin au conflit sans la capitulation du Kremlin. Mais si nous ne le faisons pas, il est peu probable que nous nous retrouvions dans une nouvelle guerre froide. Nous pourrions au contraire nous retrouver dans une guerre très chaude.

 

Modifié par Wallaby
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C'est sûr, en plus ça permettra d'en rajouter à la diabolisation des russes quand on montrera des camions pleins de ravitaillement civils pris pour cibles dans l'ouest de l'Ukraine... en s'abstenant soigneusement de montrer ceux qui, tout autant d'apparence civile, transportaient les armes occidentales vers le front.

J'entends déjà les familles des malheureux camionneurs polonais ou slovaques éparpillés façon puzzle réclamer vengeance !

Tout le monde souffle sur les braises, franchement je commence à me dire que ça va mal finir cette affaire...

 

 

Modifié par Yorys
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il y a 29 minutes, DAR a dit :

Dans la réalité non alternative, la Russie commet des "casus belli" quotidiens envers le monde occidental démocratique.

Le post WTF de la journée

Ukraine = Monde

                 Occidental

                 Démocratique

??

 

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il y a 51 minutes, Pierre_F a dit :

Donc fournir des armes n’est pas un casus belli ... il faut bien faire tourner le petit commerce :smile:

Bien sur que si, fournir des armes est un casus belli

En fonction de qui les fournit, contre qui et qui les réçoit

Might is Right

A un moment donné, il faudra intégrer ce fait dans les discussions

(L'autre option c'est Pas vu, pas pris....

La dernière option c'est Pris; pendu ou plus connu sous le nom de "tiens ton bateau viens de couler à quai, ton camion vient de sauter opportunément sur une route de campagne, tes SA7 sont tous en train de péter dans leur tubes ou ton train vient de dérailler"

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Un "casus belli" n'est pas une déclaration de guerre justement.

C'est une raison suffisante pour l'autre de la déclarer si il le désire. Il ne le fait pas si il pense que ce n'est pas dans son intérêt. Les russes ne le font pas par exemple car ils pensent pour le moment que mieux vaut des livraisons d'armes qu'une vraie intervention occidentale. Mais si on soutient trop les ukrainiens en menant à leur défaite, ils peuvent peut être changer d'avis.

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à l’instant, Deres a dit :

Un "casus belli" n'est pas une déclaration de guerre justement.

C'est une raison suffisante pour l'autre de la déclarer si il le désire. Il ne le fait pas si il pense que ce n'est pas dans son intérêt. Les russes ne le font pas par exemple car ils pensent pour le moment que mieux vaut des livraisons d'armes qu'une vraie intervention occidentale. Mais si on soutient trop les ukrainiens en menant à leur défaite, ils peuvent peut être changer d'avis.

Rien n'oblige a ce que les rétorsions se fassent ouvertement. Ce ne sont pas les exemples historiques qui manquent. Du coup, tant que ca reste clandestin, on limite le risque de guerre ouverte (même si la guerre de l'ombre n'est jamais sans victimes)

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"Pour encourager les Russes à mettre fin aux combats, nous devons faire face à la douloureuse réalité : ils ont besoin d'une voie viable vers un avenir dans lequel les sanctions sont allégées et l'OTAN n'est pas en Ukraine, tout en préservant la sécurité de l'Ukraine.  "

C'est ce que je n'arrête pas de dire. Depuis 8 ans, nous ne négocions jamais avec les russes car on ne leur offre aucune alternative acceptable sauf de nous laisser agir à notre gré en Ukraine et ailleurs, de rendre la Crimée, de renforcer l'Ukraine jusqu'à ce qu'elle puisse se débarrasser des séparatistes par la force. On n'aboutit à aucun accord quand on s'acharne à proposer un échange gagnant-perdant à ses interlocuteurs. Et en ce moment même, en fait, on n'offre toujours strictement aucune porte de sortie au conflit. En fait on fait même tout pour qu'il se prolonge un maximum en aidant juste assez les ukrainiens pour que cela se tasse. Si il pouvait durer dix ou 20 ans, cela nous arrangerait vraiment. Comme offre de paix, on demande juste aux Russes de baisser leur culotte et de repartir les fesses à l'air, les mains sur la tête. Après on réfléchira pour les sanctions si on est gentil et si on a le temps, vous savez on est très occupé. A ben non, elle resteront toutes car il faut aussi rendre la Crimée et les républiques séparatistes suis-je bête ...

  • Merci (+1) 1
  • Confus 1
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Je ne sais pas si cela a été abordé dans les autres pages du sujet :

J'avais lu dans un article je ne sais plus ou qu'il y avait une possibilité que Poutine soit mis "hors jeu" dans une révolution de palais, bref un putch militaro-financier .   

Un putch qui serait initié par tout un groupe d'oligarche très riche et assez influent au sein du KREMELIN pouvant payer ce qu'il faut aux pontes militaire/politiques du KREMELIN pour l'éviction du TSAR Poutine.

En effet, toute les grandes fortune Russes voient leur fortune fondre comme neige au soleil avec toute les sanctions occidentales et le blocus économique mondiales contre la Russie.

Sauf que Poutine est aussi très très riche et qu'il a su probablement s'entourer d'un réseau d'informateur pour prévenir tout les complots de palais possible et imaginable...

Je sais que cette théorie pourrait provenir d'une théorie du bistrot mais dans le fond, elle pourrait tenir la route

Modifié par Claudio Lopez
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Il y a 4 heures, Deres a dit :

Oui, quand les nazis déclarent la guerre aux USA en 1941, ce n'est pas tant par soutien des japonais après Pearl Harbor qu'à cause de la loi prêt-bail où les USA étaient de fait des co-belligérants des britanniques

 

il y a 24 minutes, Akhilleus a dit :

Bien sur que si, fournir des armes est un casus belli

 

il y a 23 minutes, Deres a dit :

Un "casus belli" n'est pas une déclaration de guerre justement.

C'est une raison suffisante pour l'autre de la déclarer si il le désire. Il ne le fait pas si il pense que ce n'est pas dans son intérêt. Les russes ne le font pas par exemple car ils pensent pour le moment que mieux vaut des livraisons d'armes qu'une vraie intervention occidentale. Mais si on soutient trop les ukrainiens en menant à leur défaite, ils peuvent peut être changer d'avis.

 

Pardon de déranger mais avez-vous lu mon post à ce sujet ? Quelles remarques pouvez-vous faire aux auteurs des articles cités qui disent tous que livrer des armes ne constitue pas un casus belli ?

 

 

 

Modifié par DMZ
mauvais lien...
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