Stark_Contrast Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février 8 hours ago, Wallaby said: Will re-elected Trump continue to finance and supply military supplies to the war in Ukraine? On the surface the answer seems to be no. That is, if we ask the question: will Trump continue to campaign on the theme of stopping spending money in Ukraine? The answer is yes. https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-02-10/trump-says-ukraine-war-must-end-as-senate-advances-aid-package Donald Trump said the war sparked by Russia's 2022 invasion of Ukraine must end and reiterated his disapproval of sending more aid abroad, as the Senate tries to advance a package of measures to provide emergency funding to Ukraine and Israel. “We have to settle this war and I will settle it,” Mr. Trump, the Republican candidate for the 2024 presidential nomination, said at a campaign rally Saturday in Conway, South Carolina. But electoral promises only bind those who believe in them. Consider President Wilson : https://en.wikipedia.org/wiki/1916_United_States_presidential_election Despite their sympathy for the Allied forces, most American voters wanted to avoid involvement in the war and preferred to pursue a policy of neutrality. Wilson's campaign used the popular slogans "He kept us out of war" and "America First" to appeal to voters who wanted to avoid a war in Europe or with Mexico. Does “America First” remind you of anyone? And I think that it would cause much less qualms for Trump, to betray his electoral promises, than for Wilson, all brimming with Protestant religious zeal. So I do not exclude that Trump confirms American involvement in the Ukrainian war. But all in all, I see him attacking Iran. No need to betray an election promise. The American public, especially Republicans, are fully committed to the pro-Israeli cause. And John Bolton is for : https://thehill.com/policy/defense/4435396-john-bolton-calls-for-disproportionate-strikes-inside-iran-after-us-deaths/ (January 29, 2024) Former national security adviser John Bolton called for "disproportionate" strikes inside Iran after a drone attack killed three US service members in Jordan over the weekend. Biden souhaite également des négociations de paix en Ukraine. Je pense que la grande crainte est que Trump, pour obtenir la paix et bien sûr faire ses preuves, vende essentiellement l'Ukraine. Je suppose que Trump = Russie (n'oubliez pas que je parle de sa réputation, pas de la réalité). Il ne faut pas oublier que dans toute négociation de paix, les deux parties finiront par être mécontentes. Il ne fait aucun doute que si Trump parvient à conclure un accord de paix (je pense que c'est tiré par les cheveux) les gens accuseront Trump d'avoir vendu l'Ukraine parce qu'il a négocié une petite paix et n'a pas fait reculer la Russie jusqu'aux frontières de 1991 et payé à l'Ukraine 9 billions de dollars de réparations. Je dirais que Trump est dans une situation sans issue, mais je ne pense pas que les négociations auront vraiment lieu avec lui de toute façon. Il faut d'abord que l'Ukraine et la Russie veuillent se rencontrer, ce que Trump ne peut pas contrôler. En fin de compte, les deux parties devront être prêtes à faire des compromis et, au bout du compte, personne n'est satisfait. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février (modifié) Il y a 8 heures, g4lly a dit : matériels voir ... nucléaires. J'ai deja indique sur d'autre fil que la protection nucleaire ne pouvait etre que l'extension du parapluie francais. Je n'ai jamais parlé de muntions. De toute facon aucun autre pays en Europe que la france ne sait gerer leur emploi. Meme pas les anglais qui ont montré dernierement qu'ils avaient quelques problèmes techniques non seulement sur le vecteur ( maishttps://www.lesechos.fr/monde/europe/lallemagne-abaisse-drastiquement-sa-prevision-de-croissance-pour-2024-2077841) mais aussi sur la protection de ces vecteurs (atlantique 2 et sna francais). Pourquoi donner une munition, pourquoi pas faire le boulot soit-meme ? La question des munitions n'a donc pas de sens. Ma phrase est clair elle parle de securiser les ukrainiens sur le plan nucleaire et distingue un autre plan qui est celui des munitions et un troisieme, celui du materiel. Grammaticalement il n'y a pas de doute. Modifié le 22 février par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 22 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 février Un petit rappel pas inutile que si l'Ukraine passe des commandes mais n'a pas d'argent, la Russie nous a joyeusement dépouillé de ce qu'on avait investi chez elle. Et à la fin, qui est-ce qu'on a enrichi ? " Grâce à la vente au rabais de leurs actifs, de nouveaux empires russes se sont formés, avec à leur tête des oligarques proches du Kremlin." https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/02/22/guerre-en-ukraine-le-fiasco-du-depart-des-entreprises-francaises-de-russie_6217867_3234.html Citation Guerre en Ukraine : le fiasco du départ des entreprises françaises de Russie Des multinationales spoliées après leur retrait précipité, d’autres qui font semblant d’être parties, et toutes celles qui tentent de justifier leur présence… le destin russe des sociétés tricolores depuis l’attaque de février 2022 n’est pas très glorieux. Par Marc Angrand, Julien Bouissou, Emeline Cazi, Sophie Fay, Juliette Garnier, Laurence Girard, Adrien Pécout, Cécile Prudhomme et Benoît Vitkine (Moscou, correspondant) Publié aujourd’hui à 06h00, modifié à 07h52 La retraite de Russie s’est transformée en débâcle pour les entreprises françaises, qui s’enorgueillissaient, avant l’invasion de l’Ukraine, le 24 février 2022, d’être les premiers employeurs étrangers du pays. Un nom résume ce traumatisme : celui de Danone. Fin juillet 2023, quatre jours seulement après la signature d’un décret présidentiel entérinant la prise de contrôle des douze usines du groupe agroalimentaire, les dirigeants locaux ont vu débarquer dans leurs bureaux Yakoub Zakriev, nouveau repreneur de fait et ancien ministre de l’agriculture tchétchène, neveu du dirigeant de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov. Selon le Financial Times, Danone aurait entamé des discussions pour céder les actifs à Murtimer Mingazov, un proche de ce neveu de M. Kadyrov. Cette « mise sous tutelle » provisoire gérée par Rosimouchtchestvo, l’agence fédérale des participations de l’Etat, a été vue par les dirigeants d’entreprises occidentales comme une manœuvre d’expropriation pure et simple, résultat à la fois d’un départ mal négocié par le groupe français, de considérations politiques difficiles à déchiffrer et des appétits voraces d’acteurs locaux qui savent sentir les vulnérabilités. En clair, l’épisode a montré qu’il n’existe aucune garantie de départ réussi, même en jouant selon les règles. Danone a déprécié ses activités russes à hauteur de 500 millions d’euros dès 2022 et de 200 millions d’euros supplémentaires en 2023. Expérience douloureuse L’expérience vécue par Renault, qui a échappé à l’expropriation, est tout aussi douloureuse. Le groupe français avait racheté à la fin du XXe siècle, à Moscou, l’usine Moskvitch, alors abandonnée, avant de la réaménager et de l’équiper pour y assembler plus de 100 000 modèles par an à partir de 2010. En 2008, il avait fait une deuxième acquisition, pour 1 milliard d’euros, d’une partie du capital d’AvtoVAZ, le fabricant de la Lada, propriétaire d’une immense usine au cœur de la « vallée de l’automobile » dans la région de Samara, dans le sud-ouest de la Russie. Renault éponge les dettes, trouve de nouveaux fournisseurs, licencie, réembauche, forme. Il employait sur place 45 000 personnes au moment de l’invasion russe en Ukraine. Le 16 mai 2022, le groupe prend la décision de céder, sans oser en dévoiler le montant, sa première usine à la ville de Moscou et sa participation dans la seconde à l’Institut central de recherche et de développement des automobiles et des moteurs, un organisme public. Il fait une croix sur son deuxième plus grand marché, en volume, après la France, avec une perte de 2,3 milliards d’euros sur son résultat 2023. Ultime camouflet : le ministre russe de l’industrie et du commerce, Denis Manturov, révèle plus tard que les deux entités de Renault ont été cédées pour… 1 rouble (1 centime d’euro) chacune. Sortie « coûteuse » En 2006, Daniel Bouton, alors patron de la Société générale, voyait dans la Russie « l’un des marchés les plus prometteurs », avant d’entamer toute une série d’acquisitions, dont celle de Rosbank. Le 11 avril 2023, la banque française annonce l’arrêt total de ses activités, évoquant une « décision difficile et douloureuse ». Le désengagement du capital de Rosbank est vite bouclé, puisque Société générale brade ses parts à l’oligarque Vladimir Potanine, celui-là même à qui il les avait achetées quelques années plus tôt pour 4 milliards d’euros. La transaction a le mérite de permettre à la banque française une sortie « ordonnée » du marché russe. Ordonnée mais coûteuse : elle se soldera par une perte nette de 3,2 milliards d’euros dans les comptes du groupe. Certains départs ressemblent à des faux départs. L’Oréal, par exemple, rappelle avoir cessé la vente directe aux consommateurs, arrêté de « commercialiser la grande majorité de ses marques » et « suspendu ses investissements industriels », mais il a maintenu sa production en Russie. Tout en affirmant sa « condamnation la plus ferme de l’agression militaire de la Russie contre l’Ukraine », TotalEnergies a conservé ses principaux actifs dans le pays. Il détient toujours des parts (à 19,4 %) de la société privée Novatek, et se retrouve ainsi actionnaire minoritaire de deux grands sites de production de gaz naturel liquéfié, Yamal LNG et Arctic LNG 2. Sur ce dernier site, TotalEnergies ne prévoit cependant « aucun enlèvement de gaz naturel liquéfié » en 2024. La situation incertaine a conduit le géant pétrogazier français à déprécier ses actifs en Russie, avec des provisions exceptionnelles de l’ordre de 14,8 milliards de dollars (13,7 milliards d’euros) pour 2022. Le groupe a d’abord annoncé, en juillet 2022, la cession de ses participations (20 %) dans le champ pétrolier de Kharyaga, dans le nord de la Russie ; puis dans la société Terneftegaz, en août 2022, deux jours après les révélations par Le Monde de la vente de condensats de gaz servant à fabriquer du kérosène, utilisé par les avions de combat russes en Ukraine. Des informations démenties par TotalEnergies. « Leroy Kremlin » La famille Mulliez a fait de ces « faux départs » une spécialité. Elle détient Leroy Merlin, première entreprise étrangère de Russie avec ses 115 magasins, ses 45 000 salariés et un chiffre d’affaires de 5 milliards d’euros en 2021. Vilipendée et qualifiée de « Leroy Kremlin » sur les réseaux sociaux, l’enseigne de bricolage décide de céder, en mars 2023, le « contrôle opérationnel » de sa filiale au « management local ». En fait, selon une enquête de L’Express parue mardi 20 février, la quasi-totalité du capital est contrôlée par une société domiciliée aux Emirats arabes unis et dirigée par Laurent Desfassiaux, le patron de la filiale russe de Leroy Merlin, elle-même contrôlée par une mystérieuse holding financière enregistrée elle aussi aux Emirats. Des « allégations contestées avec la plus grande fermeté » par l’enseigne. En revanche, la famille a fermé les 60 magasins Decathlon, même si elle continuait à approvisionner l’enseigne russe Desport avec ses marques Kalenji ou Wedze, comme l’a révélé l’enquête du média Disclose en décembre 2023. Une enquête du Monde, en février 2023, a révélé qu’Auchan, l’autre enseigne détenue dans le pays par la famille Mulliez, aurait participé à l’effort de guerre russe. Une information qu’elle a démentie. « Valait-il mieux en faire cadeau aux Russes ? » Parmi les entreprises toujours présentes en Russie, Vinci laisse entendre qu’elle n’a pas le choix, car tous les acquéreurs intéressés par la reprise de ses parts minoritaires (40 %) dans trois concessions de l’autoroute Moscou - Saint-Pétersbourg étaient sur la liste des sanctions. « Il était impossible de nous en débarrasser légalement, donc valait-il mieux en faire cadeau aux Russes ? », fait-on valoir chez le géant de la construction. L’entreprise minimise sa présence sur place : elle n’y emploie aucun expatrié, et le chiffre d’affaires dans ce pays est si faible qu’il n’est pas consolidé dans les résultats annuels. Yves Rocher poursuit aussi ses activités sur le marché russe, qui représentait 15 % de son chiffre d’affaires voilà deux ans. « Par devoir » et pour « prendre soin » de ses collaborateurs, avait précisé au Monde le groupe en mai 2022. Alexeï Navalny n’a pas eu droit à ce traitement de faveur. L’enseigne a porté plainte, en 2012, pour « escroquerie » contre une société qu’il codétenait. Le principal opposant à Vladimir Poutine est décédé en prison, vendredi 16 février. « Il n’y a aucun lien entre ce drame et la procédure », assure au Monde une porte-parole du groupe. Les entreprises qui poursuivent leurs activités sont accusées de contribuer à la machine de guerre russe, par le biais de leurs impôts, la mobilisation de leur personnel ou des réquisitions. D’autres sont contraintes au départ par les sanctions, notamment celles qui visent les marchandises à double usage, civil et militaire, ou par les difficultés d’approvisionnement qui perturbent leurs activités. Un rabais imposé sur la valeur de l’actif Au sein de l’Association Of European businesses, qui représente les intérêts des entreprises européennes en Russie, environ 20 % des membres ont cessé de payer leur cotisation et auraient donc quitté la Russie. « Plusieurs dizaines de sociétés françaises se sont engagées dans des opérations de retrait », explique Bercy. Elles ne représentent que 3,9 % des départs d’entreprises occidentales depuis l’invasion russe en Ukraine, loin derrière les Etats-Unis (32 %), le Royaume-Uni (10,6 %), l’Allemagne (7,8 %) ou même la Finlande (4,8 %), selon la dernière liste mise à jour par l’université américaine Yale. Certains secteurs, comme l’aéronautique, directement soumis aux sanctions occidentales, sont plus touchés que d’autres par les départs, notamment celui de la distribution. Le Kremlin cherche à freiner ces retraits. Toute cession doit recevoir le feu vert de plusieurs ministères. La vente aux équipes dirigeantes de l’entreprise est désormais interdite, car elle est considérée comme une forme de contrôle déguisée, tout comme les options de rachat ultérieur. Il y a ensuite le coût de l’opération, particulièrement dissuasif. Un rabais est imposé sur la valeur de l’actif, qui est passé de 20 % à plus de 50 %, auquel il faut ajouter une « taxe de sortie » de 15 % sur le montant de la vente. « A la fin, vous vous en sortez souvent en slip, résume un connaisseur de ces procédures, et c’est encore plus dur et coûteux si les activités de la société touchent à la banque, ou de près ou de loin à l’énergie. » Entre 300 et 500 dossiers français – des demandes de rapatriement de dividendes ou de cession d’entreprises, en passant par des ventes de biens immobiliers − attendraient l’agrément de Moscou, selon une source du Monde. Grâce à la vente au rabais de leurs actifs, de nouveaux empires russes se sont formés, avec à leur tête des oligarques proches du Kremlin. 6 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Il y a 6 heures, Stark_Contrast a dit : En fin de compte, les deux parties devront être prêtes à faire des compromis et, au bout du compte, personne n'est satisfait. C'est le scénario le plus positif - ou disons le moins négatif. Franchement, à ce stade, je n'y crois guère. Ou alors il faudrait d'abord un énorme effort en soutien matériel de la part de l'Europe et de l'Amérique ainsi qu'un énorme effort humain de la part de l'Ukraine, un effort poursuivi pendant assez d'années pour finalement forcer la Russie à un compromis. Je n'ai pas l'impression que ce soit la direction la plus probable. De l'autre côté, les objectifs de Moscou sont maintenus - et comment ! Rien de moins qu'une victoire complète. Je sais que Medvedev s'est souvent laissé aller à des déclarations délirantes, mais dans l'extrait ci-dessous il ne fait qu'exprimer les objectifs déjà confirmés et répétés plusieurs fois y compris par Poutine. Il le fait simplement de façon ouverte (je ne suis pas forcément totalement d'accord avec le commentaire, mais la vidéo en elle-même vaut d'être écoutée) 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a 12 minutes, Alexis a dit : C'est le scénario le plus positif - ou disons le moins négatif. Franchement, à ce stade, je n'y crois guère. Ou alors il faudrait d'abord un énorme effort en soutien matériel de la part de l'Europe et de l'Amérique ainsi qu'un énorme effort humain de la part de l'Ukraine, un effort poursuivi pendant assez d'années pour finalement forcer la Russie à un compromis. Je n'ai pas l'impression que ce soit la direction la plus probable. De l'autre côté, les objectifs de Moscou sont maintenus - et comment ! Rien de moins qu'une victoire complète. Je sais que Medvedev s'est souvent laissé aller à des déclarations délirantes, mais dans l'extrait ci-dessous il ne fait qu'exprimer les objectifs déjà confirmés et répétés plusieurs fois y compris par Poutine. Il le fait simplement de façon ouverte (je ne suis pas forcément totalement d'accord avec le commentaire, mais la vidéo en elle-même vaut d'être écoutée) En fait Medvedev confirme ici ce qu'a dit poutine tout récemment, je cite : "L'Ukraine est une question de vie ou de mort pour la Russie". Question de vie ou de mort pour lui, son régime et toute sa clique bien sûr. Il semble que pour çà il soit prêts a suicider la Russie et son peuple avec lui, si nécessaire. Cela me rappelle un peu le cas du pilote allemand qui jeta son A320 dans une falaise des Hautes-Alpes avec tous ses passagers et équipage. Et je pense que nous avons une grande part de responsabilité quant à ses funestes desseins, en lui avant donné le "feu vert" à tout ça dès 2014 et en le laissant passer le point de non retour ensuite par manque de réactions rapides et réellement significatives sur le terrain autre que les déclarations, condamnations et promesses diverses. Le fameux "trop peu trop tard" prend ici toute sa signification. On devrait s'en mordre les doigts, j'espère pas de trop ... 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Sur les stratagèmes du contournent des sanctions russes par des entreprises européennes ... (article payant !) https://www.lexpress.fr/economie/politique-economique/sanctions-contre-la-russie-le-grand-contournement-les-magouilles-secretes-de-societes-europeennes-LYQNTJB26BELFMTLB4JXVLVCCI/ Sur la désinformation : https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4077146-20240220-guerre-ukraine-barometre-ipsos-soutien-francais-kiev-cible-desinformation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a 3 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit : Sur les stratagèmes du contournent des sanctions russes par des entreprises européennes ... (article payant !) https://www.lexpress.fr/economie/politique-economique/sanctions-contre-la-russie-le-grand-contournement-les-magouilles-secretes-de-societes-europeennes-LYQNTJB26BELFMTLB4JXVLVCCI/ L'article est en accès libre sur ce lien (tombé du camion et toute cette sorte de choses ...) 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 22 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 février Ne le répétez surtout pas mais... voici un endroit où beaucoup de camions se rassemblent. Et où des choses en tombent, par exemple des articles en accès libre 1. Aller ici https://archive.is/ 2. Copier l'URL de l'article, sans les éventuels rallonges suivant le ".html" 3. Si un archivage est disponible, il s'affiche. Le plus souvent, c'est l'article complet qui est archivé 5 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. olivier lsb Posté(e) le 22 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 février Mais c'est pas grave, le Nuke nous protège et nous avons absolument pas besoin d'une dissuasion conventionnelle forte en France. 6 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février (modifié) il y a 3 minutes, olivier lsb a dit : Mais c'est pas grave, le Nuke nous protège et nous avons absolument pas besoin d'une dissuasion conventionnelle forte en France. Et Poutine envoi tous les signes de quelqu'un qui veut rester en paix avec le reste de l'Europe ... Bref pas besoin de se préparer ni de jouer contre la montre. Modifié le 22 février par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février La Russie qui n'est pas une menace, surtout pour les pays membres de l'OTAN, nous le rappelons. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a 2 minutes, Ciders a dit : La Russie qui n'est pas une menace, surtout pour les pays membres de l'OTAN, nous le rappelons. Elle montre les dents de plus en plus souvent. Le mieux est de lui montrer qu'on l'accueillera avec tous les égards qu'on attend dans de telle circonstances en cas de besoin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Stoltenberg : L'Ukraine doit avoir le droit de mener des frappes avec des F-16 sur des cibles militaires russes en dehors de l'Ukraine https://en.interfax.com.ua/news/general/968908.html Stoltenberg : L'Ukraine aura le droit de mener des frappes avec des F-16 sur des cibles militaires russes en dehors de l'Ukraine Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré que lorsque l'Ukraine recevra des avions de combat F-16 de ses alliés, elle aura le droit de se défendre, y compris en frappant des cibles militaires russes légitimes à l'extérieur de l'Ukraine. Il a fait cette déclaration lors d'un entretien avec Radio Liberty, dont la vidéo a été publiée sur le site web de cette organisation. Interrogé sur la date à laquelle l'Ukraine pourra déployer des chasseurs F-16, M. Stoltenberg a répondu qu'il était impossible de le dire. Il a réaffirmé que tous les alliés de l'Ukraine souhaitaient qu'ils soient déployés le plus tôt possible, mais il a fait remarquer que l'impact des F-16 serait plus important si les pilotes étaient bien formés, de même que les équipes de maintenance et les autres personnels de soutien. "Je pense donc que nous devons écouter les experts militaires pour savoir exactement quand nous serons prêts ou quand les alliés seront prêts à commencer à envoyer et à livrer les F-16. Le plus tôt sera le mieux", a-t-il déclaré. Comme le souligne Radio Liberty, "l'Ukraine a activement cherché à obtenir des avions de combat F-16 de fabrication américaine pour l'aider à contrer la supériorité aérienne de la Russie. En août, les États-Unis ont approuvé l'envoi à l'Ukraine de F-16 en provenance du Danemark et des Pays-Bas, dès que la formation des pilotes sera achevée". Selon M. Stoltenberg, chaque allié décidera lui-même de fournir ou non des F-16 à l'Ukraine, et les alliés ont des politiques différentes en la matière. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a 27 minutes, olivier lsb a dit : Mais c'est pas grave, le Nuke nous protège et nous avons absolument pas besoin d'une dissuasion conventionnelle forte en France. Intéressant l'histoire du navire russe en baie de Seine. Les marins, une idée de la distance dont il est question? Je m'y perds entre eaux territoriales, ligne des 12 milles, des 24 milles, ZEE, plateau, etc. Je crois comprendre qu'il était en bordure de la Limite extérieure de la mer territoriale (12M) (la zone rose) et pas en bordure de la Limite extérieure de la zone contiguë (24M) (la zone hachée de mauve) La carte faisant force de référence légale, pour donner une idée de ce dont on parle: https://limitesmaritimes.gouv.fr/thematiques/circulation-et-navigation Vos opinions? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il dit que le navire a mouillé à la limite, donc à la limite de ce qu'il pouvait faire sans que ce reprochable sur le fond ( aprés on peut discuter de la forme, comme la forme des avions "en limites" vers le conflit Ukr / Ru ) Donc, circulez y'a rien à voir sur ce plan là. Aprés, pour l'épisode aérien, on aimerait l'histoire complète. Mais on ne l'aura pas. Donc bon.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 22 février C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 février il y a 24 minutes, Ciders a dit : La Russie qui n'est pas une menace, surtout pour les pays membres de l'OTAN, nous le rappelons. Absolument pas. Surtout que la protection américaine maintenue depuis des décennies continuera sans changement aucun pendant les décennies à venir. Le sénateur républicain J.D. Vance, présent à la grand-messe la conférence de sécurité de Munich et proche de Donald Trump, l'expliquait clairement "Trump est en train de réveiller l'Europe" (...) Pour en venir à la sécurité européenne, je pense qu’il y a une question fondamentale à laquelle l’Europe doit vraiment s’attaquer. Je vais vous le dire dans un esprit d’amitié, pas de critique — car non, je ne pense pas que nous devrions nous retirer de l’OTAN, et non, je ne pense pas que nous devrions abandonner l’Europe. En revanche, oui, je pense que nous devons pivoter : les États-Unis doivent se concentrer davantage sur l’Asie orientale. C’est là qu’est l’avenir de la politique étrangère américaine pour les quarante prochaines années. L’Europe doit s’en rendre compte. (...) Mais il ne s’agit pas uniquement de dépenser de l’argent. Combien de brigades mécanisées l’Allemagne pourrait-elle aligner demain ? Peut-être une seule. Le problème de l’Europe, c’est qu’elle n’est pas suffisamment dissuasive à elle seule parce qu’elle n’a pas pris l’initiative d’assurer sa propre sécurité. L’existence d’une garantie de sécurité américaine a laissé la sécurité européenne s’atrophier. Il ne s’agit donc pas d’abandonner l’Europe. Mais le fait est que nous devons nous concentrer sur l’Asie orientale. Nous avons besoin que nos alliés européens s’impliquent en Europe. (...) Il existe une difficulté intrinsèque dans la juxtaposition de l’idée que Poutine représenterait une menace existentielle pour l’Europe et le fait que nous essayons de convaincre nos alliés de dépenser 2 % de leur PIB pour la défense. Ces deux idées sont très contradictoires : je ne pense pas que Vladimir Poutine soit une menace existentielle pour l’Europe mais s’il l’était, cela indiquerait encore plus clairement que l’Europe doit jouer un rôle plus agressif dans sa propre sécurité. (...) Je n’ai jamais prétendu que Poutine était une personne gentille et amicale. (...) Il y a beaucoup de gens méchants partout dans le monde, mais les problèmes qu’ils posent en Asie orientale m’intéressent plus que ceux qui se posent à l’Europe. (...) Nous devons prendre conscience que nous vivons dans un monde de pénuries. Lorsque j’écoute les questions posées à la Conférence de Munich et que je repense aux nombreuses conversations privées que j’ai eues ici, l’un des présupposés dominants est l’idée que la superpuissance américaine pourrait tout faire en même temps. Or je dis que nous vivons dans un monde de pénurie — un monde de pénurie de fabrication d’armes et de capacité de l’Amérique à en fabriquer. C’est de la nouvelle réalité de ce monde que j’essaie de nous faire prendre conscience. Dans ce monde de pénurie, nous ne pouvons pas soutenir l’Ukraine, nous engager au Moyen-Orient et faire face aux perturbations en Asie oriental. Cela n’a aucun sens (...) J’entends beaucoup d’autosatisfaction — à la fois ici et dans certaines conversations que j’ai pu avoir aux États-Unis — fondée sur le fait que notre PIB est plus important que celui de la Russie. (...) Mais ce n’est pas avec le PIB, les euros ou les dollars que l’on gagne les guerres. On gagne les guerres avec des armes. Et l’Occident n’en fabrique pas assez. (...) L’Allemagne est peut-être le seul membre de l’OTAN qui n’a pas suivi le stupide consensus de Washington et laissé son pays se désindustrialiser au cours des années 1970, 1980 et 1990. Mais alors Poutine devient de plus en plus puissant et que l’armée russe envahit en masse un pays européen, c’est ce moment-là que l’Allemagne choisit pour se désindustrialiser ? (...) Cessons de nous désindustrialiser. Nous voulons que l’Europe réussisse, mais elle doit jouer un rôle plus important dans sa propre sécurité — cela ne pourra se faire sans l’industrie. Vance représente une tendance de la politique américaine qui n'est pas au pouvoir aujourd'hui, et qui n'englobe même pas l'ensemble du parti républicain. Cependant, il est possible (50% de chance ? 60% ?) qu'elle parvienne au pouvoir en janvier 2025, cette fois nettement mieux armée intellectuellement et avec davantage de personnel prêt à exercer le pouvoir, au-delà de Trump lui-même, à l'évidence incapable de faire appliquer sa politique lors de son premier mandat du fait de sa solitude à l'époque et de ses limites personnelles. Ce que Obama demandait poliment sans rien obtenir, Trump I hurlait en n'obtenant pas grand-chose et Poutine a commencé à obtenir dans une certaine mesure... il est possible que Trump II l'exige, et dans une très grande mesure, et plus vite que ça, et l'alternative c'est qu'on se barre tout de suite ! (Rôle classique du "méchant flic", des gens comme Vance ou comme Maitra jouant le rôle du "gentil flic" expliquant aux Européens que voici ce qu'ils doivent faire, oui c'est à prendre ou à laisser, et dépêchez-vous nous arrivons à retenir notre patron pour l'instant mais ça ne va pas durer. ==>Il serait judicieux que les dirigeants européens commencent dès maintenant à réfléchir à la manière d'assurer leur sécurité dans ce scénario. Et à agir. Un an d'avance, ce n'est pas de trop, c'est même très peu 3 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
papsou Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a une heure, Patrick a dit : Intéressant l'histoire du navire russe en baie de Seine. Les marins, une idée de la distance dont il est question? Je m'y perds entre eaux territoriales, ligne des 12 milles, des 24 milles, ZEE, plateau, etc. Je crois comprendre qu'il était en bordure de la Limite extérieure de la mer territoriale (12M) (la zone rose) et pas en bordure de la Limite extérieure de la zone contiguë (24M) (la zone hachée de mauve) La carte faisant force de référence légale, pour donner une idée de ce dont on parle: https://limitesmaritimes.gouv.fr/thematiques/circulation-et-navigation Vos opinions? Un canadair rempli de lisier (la bretagne est pas loin) et hop, désolé j'ai glissé chef... []-----> Je suis loin! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Il y a 3 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : En fait Medvedev confirme ici ce qu'a dit poutine tout récemment, je cite : "L'Ukraine est une question de vie ou de mort pour la Russie". Question de vie ou de mort pour lui, son régime et toute sa clique bien sûr. Il semble que pour çà il soit prêts a suicider la Russie et son peuple avec lui, si nécessaire. Cela me rappelle un peu le cas du pilote allemand qui jeta son A320 dans une falaise des Hautes-Alpes avec tous ses passagers et équipage. Et je pense que nous avons une grande part de responsabilité quant à ses funestes desseins, en lui avant donné le "feu vert" à tout ça dès 2014 et en le laissant passer le point de non retour ensuite par manque de réactions rapides et réellement significatives sur le terrain autre que les déclarations, condamnations et promesses diverses. Le fameux "trop peu trop tard" prend ici toute sa signification. On devrait s'en mordre les doigts, j'espère pas de trop ... Donc a fortiori, l'Ukraine n'est pas une question de vie et de mort pour la France. Ni pour l'Allemagne. Ni pour les États-Unis d'Amérique. Ni pour le Canada. C'est ce que les sondages de moins en moins favorables au soutien à la guerre indiquent. Les dirigeants occidentaux ne semblent pas prêts à suicider la France, l'Allemagne, l'Amérique, etc... "pour Dantzig". Encore que l'Allemagne soit bel et bien en train de suicider son industrie. Donc Barack Obama avait raison : Le 06/12/2023 à 11:14, Wallaby a dit : https://foreignpolicy.com/2023/07/11/obama-russia-ukraine-war-putin-2014-crimea-georgia-biden/ S'adressant à Jeffrey Goldberg de The Atlantic après l'annexion de la Crimée par la Russie et l'agression dans le Donbass, M. Obama a souligné les limites de son engagement envers l'Ukraine. Comme l'écrit Goldberg : "La théorie d'Obama est simple : L'Ukraine est au cœur des intérêts russes, mais pas des intérêts américains, de sorte que la Russie sera toujours en mesure d'y maintenir sa domination de l'escalade (escalation dominance)". M. Goldberg cite ensuite les propos d'Obama : "Le fait est que l'Ukraine, qui n'est pas un pays membre de l'OTAN, sera vulnérable à la domination militaire de la Russie, quoi que nous fassions". 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Il y a 2 heures, Ciders a dit : La Russie qui n'est pas une menace, surtout pour les pays membres de l'OTAN, nous le rappelons. On pourrait aussi citer que le ministre rappelle que la cause de ce comportement agressif "comme durant la guerre froide" est dû aux "difficultés" de la Russie. Donc tout dépend de ce que l'on entend par "menace" mais on est loin de l'annonce d'une tempête rouge prochaine. En revanche que les relations internationales se crispent, y compris militairement, sans aucun doute, mais ce n'est ni nouveau ni exclusif à la Russie. On pourrait ainsi évoquer ce qui s'est produit en MEDOR il y a déjà quelques années. J'ajouterai, mais ce n'est que mon avis, que nous avons joué ce jeu durant 40 ans sans guère de conséquence militaire directe. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février Il y a 13 heures, g4lly a dit : Pas obligé, mais il pourrait être amusant de déclarer des zones faillies et d'envoyer des contingents y assurer un minimum d'ordre et de dignité au population locale Typiquement des "zones tampons" humanitaires et sévèrement protégé contre d'éventuelle actions tierces. Les polonais y sont déjà préparé à mon sens. Ça permettrait de déclarer des no fly zone ... d'avancer des moyen de guet ... de mettre de la chasse en l'air ... et de taper les éléments menaçant ... par pure autodéfense. Ça permettrait aussi de déclarer le conflit non local ... et donc de rappeler à la Russie qu'on ne joue plus dans son arrière cours, mais dans la cour des grands d'un coup. Depuis quand peut-on déclarer unilatéralement des zones faillies et en tirer légitimité pour y déployer des forces? Cela s'appelle s'engager dans le conflit en fait, que ce soit en l'air ou au sol... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a une heure, Alexis a dit : Dans ce monde de pénurie, nous ne pouvons pas soutenir l’Ukraine, nous engager au Moyen-Orient et faire face aux perturbations en Asie oriental. Cela n’a aucun sens Alleluia. Au moins ce n'est plus moi qui le dit. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a une heure, Alexis a dit : Mais ce n’est pas avec le PIB, les euros ou les dollars que l’on gagne les guerres. On gagne les guerres avec des armes. Et l’Occident n’en fabrique pas assez. Marqué au coin du bon sens Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février (modifié) Il y a 1 heure, Alexis a dit : ==>Il serait judicieux que les dirigeants européens commencent dès maintenant à réfléchir à la manière d'assurer leur sécurité dans ce scénario. Et à agir. Un an d'avance, ce n'est pas de trop, c'est même très peu Je suis totalement d'accord avec toi. Trump peut maintenant s'appuyer sur plein gens très largement acquis à son discours et de talents capable de prendre en main des administrations réticentes par le jeu des chaises musicales et du "droit d'inventaire" comme on dit chez nous. Quand les administrations seront dirigées par les gens de TRUMP il y aura beaucoup moins de GI en Europe. Dans ces conditions on ne pourra pas dire que nous n'avons pas été prévenu. VANCE ne fait que dire que la puissance US n'est pas infini il que les USA ont fait le choix de l'ASIE. Je ne disais pas autre chose. Inutile de regarder en arrière. Il faut avancer et assumer une transformation auquel les républicains US nous préparent. Modifié le 22 février par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février (modifié) il y a 26 minutes, gustave a dit : On pourrait aussi citer que le ministre rappelle que la cause de ce comportement agressif "comme durant la guerre froide" est dû aux "difficultés" de la Russie. Donc tout dépend de ce que l'on entend par "menace" mais on est loin de l'annonce d'une tempête rouge prochaine. Il y a deux points de vue : la Russie est une menace pour l'Europe, la Russie n'est pas une menace pour l'Europe. Ils sont justes tous les deux ! Ça dépend seulement de quel point de vue on se place - Vu depuis Washington Ce qui est indispensable à l'intérêt bien compris des Etats-Unis, c'est de ne pas permettre à une puissance hégémonique de contrôler l'Europe. La Russie pourrait-elle y arriver ? Non, ce n'est pas sérieux, l'armée russe ne va pas conquérir Berlin. Donc la Russie n'est pas une menace pour l'Europe - c'est ce que disait le sénateur américain J.D. Vance dans l'entretien que je citais plus haut, et il a raison - Vu depuis les capitales européennes Ce qui est indispensable, c'est qu'aucun membre européen de l'OTAN / de l'UE ne soit attaqué par la Russie. Est-il pensable que la Russie s'y risque ? Oui, c'est pensable au moins pour les trois pays Baltes, voire de manière plus "limite" pour Finlande et Pologne. Donc la Russie est une menace pour l'Europe, les Européens qui le disent ont raison il y a 23 minutes, gustave a dit : Depuis quand peut-on déclarer unilatéralement des zones faillies et en tirer légitimité pour y déployer des forces? Cela s'appelle s'engager dans le conflit en fait, que ce soit en l'air ou au sol... Cela s'appelle s'engager dans le conflit en effet. Et depuis quand peut-on faire ce genre de choses ? Mais... depuis toujours Modifié le 22 février par Alexis 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février il y a 40 minutes, gustave a dit : Depuis quand peut-on déclarer unilatéralement des zones faillies et en tirer légitimité pour y déployer des forces? Cela s'appelle s'engager dans le conflit en fait, que ce soit en l'air ou au sol... Tu déploies seulement des forces permettant protéger ton obligation humanitaire voyons ... ainsi que les camps de réfugiés. https://en.wikipedia.org/wiki/Humanitarian_intervention#Legal_grounds Et ici surtout https://en.wikipedia.org/wiki/Responsibility_to_protect Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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