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Le successeur du CdG


P4

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Bonjour à Tous, pour revenir sur le sujet des porte aéronefs STOBAR et leurs incompatibilité avec un avion de veille aérienne type E2C/E2D j'ai une idée à proposer

Le V22 Osprey

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Et pour ceux qui me réponde qu'il s'agit d'un équipement US, nous rendant donc une nouvelle fois dépendant au pays de l'oncle SAM, je répond :

Léonardo AW609 :

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L'AW609 et un avion convertible développer par l'italien Léonardo depuis le début des année 2000. Par ailleurs il a déjà subi une série tests à l'appontage sur le ITS Cavour italien, créer une version AWACS de cet aéronef ne meut parais pas impossible, de plus, cela pourrait accroitre notre interopérabilité avec la marine italienne.

L'appareil étant un tilt rotor façon V22, il décolle à la verticale donc pas besoin de catapulte ou de tremplin. 

Après il faudrait également trouver le moyen de lui replier ses ailes et rotors, une nouvelle fois à la manière du V22 Osprey Américain.

 

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@RSI_Prime  il y a déjà un sujet la dessus... va voir COD 

Ici ce n est pas le bon endroit ! 
 

Et le Cmv-22 + le AW-609 ne plaisent pas aux français car trop dangereux et trop compliqués 

Modifié par Bechar06
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@johnsteed

« Un catapulte EMALS que nous pourrions en plus des 3 du Pang et un prototype à terre, proposer aux indiens pour leur PA actuel et futur. Ainsi l'INS Vikrant pourrait une fois transformé catapulter les Rafale qui sont déjà prêts pour ça. Ca en ferait au moins 6 à fabriquer. Sans compter d'autres futurs PA »

On imaginerait bien  ce sujet sur la table de la DGA:rolleyes:

À lire cependant :unsure:

https://nationalinterest.org/blog/buzz/5-reasons-us-aircraft-carriers-are-more-vulnerable-ever-210201/

 

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Dans d’autres menaces , celles de la piqures de moustique handicapante ; style un drone larguant grenades sur les catapultes ….. 

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Le facteur essentiel qui a mis en place la suprématie du porte-avions réside dans l'ensemble des capacités des avions de son groupe aérien: allonge (< à l'artillerie), puissance de feu (emports d'armement), possibilité de submerger les défenses.

Pour décrocher le rôle que jouèrent les avions à l'encontre des cuirassés, les drones et les systèmes hypersoniques (on parle bien des systèmes et non des seuls missiles) vont devoir relever le gant de la discrétion, de l'allonge, de la puissance de feu et de l'invulnérabilité ...

Pour ne prendre que l'exemple Houthi on s'aperçoit que dans ce domaine le low cost ne paie pas.

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@RSI_Prime, je t'invite à:

  Le 18/04/2025 à 06:54, ARMEN56 a dit :

« Un catapulte EMALS que nous pourrions en plus des 3 du Pang et un prototype à terre, proposer aux indiens pour leur PA actuel et futur. Ainsi l'INS Vikrant pourrait une fois transformé catapulter les Rafale qui sont déjà prêts pour ça. Ca en ferait au moins 6 à fabriquer. Sans compter d'autres futurs PA »

On imaginerait bien  ce sujet sur la table de la DGA:rolleyes:

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Il y a quelques années, quand nous avons évoqué l'idée de créer une filière de catapultes françaises, nous avions conclu que mettre en place toute une filière pour opérer deux catapultes était hors de propos, car les USA pouvaient nous en fournir facilement et à "prix d'ami".

Aujourd'hui, le contexte me semble avoir changé:

  • l'alliance indéfectible des européens avec les USA s'effrite; cela s'accentue avec Trump, mais la tendance est plus profonde
  • le coût des EMALS est bien plus significatif que le coût des catapultes vapeurs (1,3 milliards $ contre 0,4 milliards $, en tenant compte de l'inflation) 

La question est: a t'on le budget pour développer des catapultes EMALS?

De mon point de vue, je ne pense pas. Nous voyons bien que les USA on eu des difficultés pour concevoir ce type de catapultes et que le coût de conception a été explosif; les chinois galèrent en ce moment.

Je remets donc sur la table l'idée de concevoir une filière de catapultes vapeur française. C'est moins techno que les EMALS et ça fait moins rêvé, mais le système a fait ses preuves et le coût de développement ne devrait pas excéder celui des deux EMALS que les USA pourraient nous vendre.

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  Le 18/04/2025 à 07:57, Salverius a dit :

catapultes vapeur

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Utiliser les catapultes à vapeur nécessite de revoir toute l'architecture énergie, alimentation du bâtiment. Car l'utilisation d'EMALS n'est qu'une conséquence d'un choix global sur le passage au "tout électriquee" (ou presque) sur le nouveau p-a ...

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  Le 18/04/2025 à 09:53, pascal a dit :

Utiliser les catapultes à vapeur nécessite de revoir toute l'architecture énergie, alimentation du bâtiment. Car l'utilisation d'EMALS n'est qu'une conséquence d'un choix global sur le passage au "tout électriquee" (ou presque) sur le nouveau p-a ...

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A moins qu'on se mette dès maintenant à creuser cette piste, si la fourniture des EMALS devait effectivement capoter, je pense bien plus probable qu'on se retrouve avec du STOBAR. Auquel cas, il faudrait profiter des économies induites pour en construire deux pour essayer tant bien que mal de compenser la perte de performance du GAé.

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  Le 18/04/2025 à 07:27, pascal a dit :

Le facteur essentiel qui a mis en place la suprématie du porte-avions réside dans l'ensemble des capacités des avions de son groupe aérien: allonge (< à l'artillerie), puissance de feu (emports d'armement), possibilité de submerger les défenses.

Pour décrocher le rôle que jouèrent les avions à l'encontre des cuirassés, les drones et les systèmes hypersoniques (on parle bien des systèmes et non des seuls missiles) vont devoir relever le gant de la discrétion, de l'allonge, de la puissance de feu et de l'invulnérabilité ...

Pour ne prendre que l'exemple Houthi on s'aperçoit que dans ce domaine le low cost ne paie pas.

Expand  

On a beaucoup échangé sur le forum sur cette problématique dans les fils sur le Frappeur de René Loire et sur celui sur la létalité distribuée.

Les discussions ont toujours achoppé sur le coût des solutions alternatives, leur portée, la problématique de la désignation des cibles et enfin sur celle de la défense aérienne d'une solution non protégée par une permanence aérienne.

Notons que des solutions concrètes sont en train d'être adoptées permettant d'adresser tous ces obstacles :

L'équipement des Zumwalt en missiles hypersoniques ou l'existence de missiles anti-navires à très longue portée (Tom ou LRASM)  pour ce qui est de la portée, l'apparition de MTO à très longue portée, la possibilité de drones furtifs servant de relais et enfin le fait qu'on ne parle plus de défense anti-aerienne mais bien anti-missile (voire anti-drone).

Les Houthis ne sont qu'un exemple low cost.

A mon sens, je préférerais nettement développer cette capacité là à partir de plus frégates avec davantage d'espaces de stockages (voire à partir des PHA) et prolonger le CDG après 2038 le temps de voir ce qu'il en est plutôt que de se lancer actuellement dans le programme du PANG alors qu'il y a tout le reste à financer (et 40 milliards d'économies à trouver, qui rendent le passage à 3% du PIB pour le budget de la défense un peu hardos). :dry:

konceptualnoe-izobrazhenie-proekta-persp

 

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  • 3 weeks later...

rien de neuf , si ? 

m7aqni.png

La France pourrait officiellement commander le plus grand porte-avions nucléaire d'Europe d'ici la fin de 2025.

Dans son rapport annuel 2024 récemment publié, le constructeur naval français Naval Group a réaffirmé que la France pourrait passer une commande pour le porte-avions PA-NG (Porte-Avions de Nouvelle Génération, ou « Porte-avions de nouvelle génération ») d'ici la fin de 2025. Le PA-NG, un programme conçu pour livrer le plus grand navire de guerre jamais construit en Europe d'ici 2038, est destiné à remplacer le porte-avions à propulsion nucléaire Charles de Gaulle, actuellement le seul porte-avions de la marine française, qui est en service depuis 2001.

 

Avec un déplacement de 78 000 tonnes, une longueur de 310 mètres et une largeur’pint d’envol de 85 mètres, le futur porte-avions PA-NG deviendra le plus grand navire de guerre jamais construit en Europe. (Source de l'image : Groupe naval)

 

Les études de conception préliminaires détaillées (études d'avant-projet détaillé ou APD), notifiées en avril 2023, sont en cours et fourniront les données techniques nécessaires pour construire l'offre de lancement de production. Le 26 avril 2024, Naval Group et TechnicAtome ont reçu une notification de la Direction générale de l'Armement (DGA) et du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) pour l'attribution du premier contrat de pré-décision de lancement (pré-DLR), axé sur l'approvisionnement à long terme pour les chaufferies nucléaires. Ce contrat initie les premières étapes des travaux de construction réels sur les réacteurs nucléaires K22 qui alimenteront le navire, avec une activité de production prévue entre 2024 et 2029.

 

Le PA-NG sera un porte-avions à propulsion nucléaire conçu pour maintenir la capacité de la France à mener des missions rapides impliquant la dissuasion, la coercition ou l'intervention. Avec un déplacement de 78 000 tonnes, une longueur de 310 mètres et une largeur avia de 85 mètres, le navire sera plus grand et plus performant que son prédécesseur. Il sera équipé de deux réacteurs nucléaires K22 générant 220 MW chacun, permettant un système de propulsion entièrement électrique qui alimente les systèmes de propulsion et embarqués du navire. La conception de la propulsion comprend trois  MEP

électriques alimentés par des turbines via des alternateurs, intégrés dans une section nucléaire renforcée d'environ 100 mètres de long. Le PA-NG est conçu pour une vitesse maximale de 27 nœuds et un système de propulsion offrant une portée illimitée. Les deux chaufferies fonctionneront de manière indépendante et alimenteront de la vapeur aux turbines qui, à leur tour, produiront de l'électricité pour les moteurs et les systèmes du navire, y compris trois systèmes de lancement d'avions électromagnétiques (EMALS) et trois systèmes d'engins d'arrêt avancés (AAG).

 

Ces systèmes de lancement et de récupération, fabriqués par la société américaine General Atomics, sont livrés dans le cadre d'un contrat de vente militaire étrangère (FMS) de 41,6 millions de dollars, entièrement financé par le gouvernement français. Le contrat couvre la conception EMALS et AAG pour les spécifications françaises et courra jusqu'en janvier 2026. La production est principalement située à San Diego, avec certains éléments traités à Lakehurst, dans le New Jersey, et à Tupelo, dans le Mississippi. Ces systèmes remplaceront les catapultes à vapeur et l'engin d'arrêt hydraulique utilisés à bord de Charles de Gaulle. Par rapport aux systèmes plus anciens, l'EMALS offre une accélération plus douce, des taux de sortie plus élevés et la flexibilité de lancer des avions de différentes masses, des jets lourds NGF (Next Generation Fighter) aux véhicules aériens légers sans pilote (UAV). De même, l'AAG réduit la contrainte mécanique sur les aéronefs et simplifie la maintenance. Les rendus embarqués montrent deux catapultes EMALS vers l'avant et une sur le poste de pilotage incliné, offrant la possibilité d'effectuer des décollages et des atterrissages simultanés, une capacité qui manque à Charles de Gaulle. Bien que le ministère des Forces armées n'ait pas encore finalisé la décision d'installer ou non deux ou trois systèmes EMALS, le système d'alimentation du navire est dimensionné pour en supporter trois. L’intégration  d'une troisième catapulte augmenterait considérablement la capacité de lancement et fournirait une redondance en cas de défaillance du système.

 

L'intégration du commandement et du contrôle de nouvelle génération, de l'EMALS, des drones et des avions positionnera le PA-NG comme un nœud central dans un futur réseau de combat multi-domaines, comparable aux États-Unis. Initiative conjointe de commandement et de contrôle tous domaines (JADC2). (Source de l'image : Groupe naval)

 

Les installations aéronautiques du PA-NG sont conçues pour soutenir une escadre aérienne de plus de 40 avions, avec la même capacité que le Charles de Gaulle. Cela inclura le Rafale M jusqu'à environ 2040-2050, suivi du NGF développé dans le cadre du programme Franco-Allemand-Espagnol Future Combat Air System (FCAS/SCAF). Le NGF devrait peser plus de 35 tonnes, beaucoup plus que le Rafale, et comportera des baies d'armes internes, une configuration de la queue en V et des caractéristiques furtives. Les avions supplémentaires comprendront trois avions d'alerte précoce aéroportés E-2D Advanced Hawkeye, les hélicoptères NH90 Caïman Marine et Airbus H160M "Guépard", AS365F Dauphin "Pedro" pour les missions de sauvetage et divers drones, y compris les drones de surveillance et les UCAV (véhicules aériens de combat sans pilote) susceptibles d'émerger sous FCAS. Les systèmes d'aviation seront soutenus par deux ascenseurs de bord de pont capables de gérer deux Rafales simultanément, et un pont de vol de 17 000 m² (5 000 de plus que son prédécesseur) avec un hangar de deux ponts à hauteur s'étendant sur les deux tiers de la longueur du navire.

 

Les systèmes de combat embarqués comprendront des capteurs, des radars et des armes défensives. L'île redessinée du PA-NG, maintenant déplacée plus loin en avant par rapport à Charles de Gaulle, accueillera le radar à balayage électronique actif (AESA) de Thales Sea Fire avec quatre panneaux fixes. L'imagerie synthétique révèle une mise à jour de l'armement défensif à bord, y compris trois modules de système de lancement vertical (VLS) abritant 24 missiles Aster MBDA, une évolution des deux lanceurs doubles sur Charles de Gaulle. On peut également voir quatre canons de 40 mm, maintenant présentés sous la forme de tourelles Bofors au lieu des systèmes Thales/Nexter RAPIDFire initialement envisagés. Pour la défense aérienne à courte portée, le navire sera équipé de lanceurs Simbad-RC tirant des missiles Mistral 3. Une capacité et une puissance supplémentaires devraient soutenir l'intégration des armes énergétiques dirigées à l'avenir. La conception finale peut encore évoluer avant le début de la construction.

 

D'un point de vue industriel, le PA-NG sera construit à Saint-Nazaire par MO Porte-Avions, la coentreprise de Naval Group et de Chantiers de l'Atlantique. TechnicAtome est responsable du développement des réacteurs, sous la supervision de la DGA et du CEA. Malgré la taille de ce navire de guerre, Saint-Nazaire est le seul chantier naval français avec une cale sèche assez grande pour la tâche. Le chantier naval, cependant, est déjà fortement engagé dans la construction de paquebots de croisière avec des contrats d'une valeur de plus de 1,5 milliard d'euros chacun, ce qui limite la flexibilité du calendrier de production. L'unité Nantes-Indret de Naval Group fabriquera et intégrera les réacteurs K22. La construction de la coque devrait commencer vers 2031-2032, après quoi le navire se rendra sous énergie diesel temporaire à Toulon en 2035 pour le ravitaillement du réacteur et les essais en mer à partir de 2036.

 

 

Le pont de pilotage du PA-NG couvrira 17 000 mètres carrés, soit 5 000 de plus que son prédécesseur, et soutiendra jusqu'à 40 avions, y compris des chasseurs, des avions d'alerte précoce aéroportés, des hélicoptères et une variété de drones. (Source de l'image : Groupe naval)

 

Les estimations budgétaires pour le projet PA-NG varient, mais devraient dépasser 10 milliards d'euros. Alors que la planification initiale du gouvernement envisageait la possibilité de deux porte-avions pour assurer la permanence de l'aile aérienne navale, les contraintes budgétaires rendent une deuxième unité improbable à court terme. Néanmoins, la valeur stratégique de l'exploitation de deux transporteurs a longtemps été reconnue, en particulier compte tenu de l'indisponibilité périodique de Charles de Gaulle pendant les périodes de maintenance prolongée (ATM). Entre 2027 et 2028, le Charles de Gaulle subira son troisième et dernier ATM, au cours duquel ses capteurs seront améliorés, y compris le remplacement des radars rotatifs DRBV-26D, DRBV-15C et Arabel par le Sea Fire. Le radar SMART-S restera pour la redondance. Les missiles Aster 15 EC, avec une portée doublée de 60 km, seront également intégrés. Cette mise à niveau est conçue pour maintenir la pertinence opérationnelle jusqu'en 2038.

 

Une étude est actuellement en cours pour évaluer l'état des réacteurs K15 de Charles de Gaulle, qui ont été activés pour la première fois en 1998. L'objectif est de déterminer si le vieillissement du réacteur et les conditions des navires permettraient une extension sûre au-delà de 2038. Si cela était jugé possible, cela fournirait une marge en cas de retards du programme PA-NG, ou potentiellement prendre en charge une configuration à double transporteur. L'extension du service de Charles de Gaulle nécessiterait cependant un quatrième ATM, y compris le rechargement du noyau nucléaire, la révision des composants et la modernisation de systèmes obsolètes, une entreprise extrêmement coûteuse. Les réacteurs fourniraient autrement une fenêtre opérationnelle de dix ans, ce qui rendrait la conservation du combustible entre 2028 et 2038 essentielle pour éviter l'épuisement prématuré.

 

Historiquement, la France a cherché un deuxième transporteur depuis la retraite du Foch et la disponibilité limitée imposée par le calendrier de maintenance de Charles de Gaulle. Le programme PA2 précédent, basé sur la classe britannique de la reine Elizabeth et poursuivi entre 2003 et 2009, a été abandonné en 2013. Le programme actuel PA-NG a été officiellement lancé par le président Emmanuel Macron en décembre 2020, avec une propulsion nucléaire choisie par rapport aux systèmes conventionnels. Le profil de mission plus large de l'AP-NG, y compris la dissuasion nucléaire via la Force Aéronevale Nucléaire (FANu), s'aligne sur les priorités stratégiques de l'Indo-Pacifique et de la Méditerranée. L'intégration par la France du commandement et du contrôle de nouvelle génération, de l'EMALS, des drones et des avions NGF positionnera le transporteur PA-NG comme un nœud central dans un futur réseau de combat multi-domaines, comparable à celui des États-Unis. Initiative conjointe de commandement et de contrôle tous domaines (JADC2).

https://armyrecognition.com/news/navy-news/2025/france-could-officially-order-europes-largest-nuclear-aircraft-carrier-by-the-end-of-2025

 

 

 

 

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