mudrets Posté(e) le 19 avril Share Posté(e) le 19 avril Ni l'une, ni l'autre. Elles manquent toutes deux de grâce (je n'ai pas dit de "graisse"!) 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 22 avril Share Posté(e) le 22 avril Un seul Virginia demandé sur la FY25 US: bonne ou mauvaise nouvelle pour les australiens ? https://news.usni.org/2024/04/18/navys-single-sub-buy-plan-raises-concerns-with-congress Courtney said he was in touch with Australian officials about how the one submarine purchased in FY 2025 could affect the tripartite submarine agreement between the U.K., the U.S. and Australia. To meet the Australian demand for three to five Virginia-class attack boats and also build the Columbia-class ballistic missile submarine, Newport News and Electric Boat would have to build at a rate of 2.33 Virginias per year. “They’re still very much committed to AUKUS and they’re watching this very closely. I can tell you that they have also been talking to the Navy and at this point this has not changed their decisions to make investments in the U.S. industrial base,” Courtney said to reporters.“Which is an amazing decision on their part. But certainly, the media noise in Australia viewed [the one Virginia buy in 2025] as a potential obstacle for AUKUS.” Subcommittee chairman Rep. Trent Kelly (R-Miss.) said cutting an attack submarine will not allow the U.S. to get to the build rate it needs to support the Australians. “Sending a strong demand signal is essential for maintaining industrial capabilities and international confidence in our naval production,” Kelly said in his opening statement. “Reducing our order from two boats to one in this year’s budget does not inspire confidence, nor does it forecast stability to our industry partners and allies.” Some lawmakers, like Senate Appropriations Committee defense subcommittee chairman Sen. Jon Tester (D-Mont.), echoed Navy Secretary Carlos Del Toro’s criticisms of industry over the last few months. “Secretary Del Toro, you had a 45-day review of Navy shipbuilding and documented a three year delay in the new frigate program, a two-year delay in the latest aircraft carrier, two to three year delay in Virginia-class attack submarines, a 12 to 16 month delay in the Columbia-class submarine This is despite unprecedented support by Congress,” Tester said Tuesday during his subcommittee’s hearing. “Headlines and delays like this should constitute a full-blown emergency for the Navy and shipbuilding industry. I know there are no quick fixes, but I have yet to see what either party is prepared to do about it. And to be specific, who’s being held accountable?” 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 15 mai Share Posté(e) le 15 mai Le 22/04/2024 à 09:47, herciv a dit : Un seul Virginia demandé sur la FY25 US: bonne ou mauvaise nouvelle pour les australiens ? Finalement le HASC demande 1 Virginia de plus http://www.air-defense.net/forum/topic/2754-marine-américaine-dans-le-futur/?do=findComment&comment=1723920 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 3 juin Share Posté(e) le 3 juin D’importants problèmes de corrosion découverts sur les sous-marins australiens : https://www.corlobe.tk/article52090.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 3 juin Share Posté(e) le 3 juin L'US Navy devra faire la soudure avec ses SNA en Australie entre les Collins et les futurs bâtiments de la RAN Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 4 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 4 juin Le 03/06/2024 à 13:21, vincenzo a dit : D’importants problèmes de corrosion découverts sur les sous-marins australiens : https://www.corlobe.tk/article52090.html La coque d’un soum est soumise à différentes sollicitations : - de corrosion de l’acier de coque pleine tôle épaisse de l' HLES ou équivalent - des joints soudés , fatigue et corrosion , départ de fissures - accidentelle ; impact , coup de meule en entretien ….etc Les traversées de coque , cloison sont également très surveillées ; circuits eau de mer et autres https://www.ndt.net/article/cofrend2008/papers/070.pdf Bref tout est surveillé, contrôlé , réparé s’il y a lieu à chaque IPER Déjà vu refuser prolongation de durée de vie de soum export en regard expertise de cloison et des risques encourus 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SLT Posté(e) le 17 juin Share Posté(e) le 17 juin (modifié) Et ben, ils ne sont pas sorti des orties les marins australiens https://www.abc.net.au/news/2024-06-07/submarine-bossmulti-billion-aukus-payments/103952528 (Et, j'ai cru mal voir sur cet article, mais l'image utilisée n'est-elle pas celle des sous-marins néerlandais proposés par NG ? https://www.thedefensepost.com/2024/06/14/australia-aukus-submarine-operations-training/ Au moins ils essayent d'avancer un peu, mais je dois le lire en détail pour voir ce qu'ils disent vraiment...) Modifié le 17 juin par SLT Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 18 juin Share Posté(e) le 18 juin Il y a 21 heures, SLT a dit : (Et, j'ai cru mal voir sur cet article, mais l'image utilisée n'est-elle pas celle des sous-marins néerlandais proposés par NG ? Non. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. osuspir Posté(e) le 24 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 juin (modifié) Crise des sous-marins: révélations sur la volte-face de l’Australie https://www.lefigaro.fr/international/crise-des-sous-marins-revelations-sur-la-volte-face-de-l-australie-20240624 Révélation RÉCIT - Le livre-enquête du journaliste australien Andrew Fowler dénonce la duplicité du gouvernement australien de Scott Morrison, qui pour des motifs électoraux, a rompu le «contrat du siècle» avec Naval Group. C’est un réquisitoire très informé et sans appel. Dans un livre-enquête à paraître le 2 juillet en Australie, le journaliste Andrew Fowler revient en détail sur la rupture du plus important contrat d’armement jamais décroché par la France, la fourniture de douze sous-marins par Naval Group à la marine australienne pour un montant de 35 milliards d’euros, ainsi que sur les manœuvres, orchestrées par Canberra, Washington et Londres pour tromper les Français, avant de révéler leur alliance pour contenir la Chine, l’Aukus. Nuked rappelle une évidence qui a pu échapper à certains, en France, lorsque la trahison a éclaté au grand jour. Depuis la Seconde Guerre mondiale, l’Australie voit les États-Unis comme son plus proche allié, mais également son protecteur. L’idée de s’embarquer dans une telle collaboration avec les Français a d’emblée déplu à certains hauts gradés au sein de l’armée, tout comme à de nombreux cadres de la droite australienne, pour qui l’alliance avec Washington est indépassable. Les Australiens envisageaient de s'approprier le système de propulsion, puis de rompre le contrat avec Naval Group pour construire ensuite eux-mêmes leurs sous-marins Mais comme les États-Unis ne fabriquent pas de sous-marins conventionnels, l’Australie s’est tournée vers d’autres fournisseurs : le Japon, l’Allemagne et la France, dont l’offre était de très loin supérieure. Non seulement elle répondait à toutes les exigences australiennes, mais ses sous-marins, équipés d’un système de propulsion unique en son genre, étaient parmi les plus silencieux du monde. Une technologie chèrement protégée par Naval Group, que certains au sein du ministère australien de la Défense, auraient bien aimé nous voler… C’est ce qu’affirme David Gould, un expert britannique engagé comme consultant par le gouvernement australien, qui fut étroitement impliqué dès le début du processus de sélection des sous-marins. Selon cette source, citée dans le livre d’Andrew Fowler, les Australiens envisageaient de s’approprier le système de propulsion, puis de rompre le contrat avec Naval Group pour construire ensuite eux-mêmes leurs sous-marins. « Je n’ai pas pu recouper cette information, concède Andrew Fowler. Mais j’ai échangé en off avec plusieurs personnes du ministère de la Défense, et ils sont capables d’une telle franchise sur leurs objectifs avec les gens dont ils pensent qu’ils ne parleront pas à la presse.» Un accord est finalement trouvé mais, très peu de temps après, Scott Morrison devient premier ministre. Il est bien moins modéré que son prédécesseur Malcolm Turnbull, et surtout beaucoup plus pro-américain. Il n’aime pas ce pacte conclu avec la France, et décide de le torpiller. Les couteaux s’aiguisent Tandis que les couteaux s’aiguisent, à l’abri des regards, avec Washington et Londres, son gouvernement commence à diffuser des informations négatives sur Naval Group. Les différences culturelles sont pointées du doigt : on reproche aux Français leur manque de ponctualité, leurs déjeuners trop longs, leurs pauses cigarette… On les accuse aussi de retards (réels, mais qui ne remettaient pas en cause le calendrier global) et on dénonce une « explosion » des coûts qui n’en est pas une : elle correspond en fait à l’inflation attendue au cours de la durée d’exécution du contrat, qui court sur vingt ans. En parallèle, Scott Morrison emploie une rhétorique de plus en plus guerrière vis-à-vis de la Chine, présentée comme une menace majeure, susceptible d’envahir l’Australie ou de la cibler avec des missiles, afin de préparer l’opinion à la nécessité d’opter pour des sous-marins nucléaires, dans un pays qui y reste largement opposé. Tout cela pour ne pas perdre les prochaines élections, qui s’annoncent très mal pour Scott Morrison. « Il a voulu apparaître comme l’homme fort, qui tient tête à la Chine et attaquer les travaillistes sur la sécurité nationale, un sujet sur lequel le Parti libéral pense être plus solide », rappelle Andrew Fowler. La stratégie fut en partie payante. Si Scott Morrison a quand même perdu les élections, les travaillistes, prévenus comme Emmanuel Macron la veille de l’annonce du pacte Aukus, n’ont eu d’autre choix que de soutenir sans réserve cette alliance, bien que le parti soit traditionnellement hostile au nucléaire sous toutes ses formes, et partisan d’une prise de distance avec les États-Unis. C’est sans doute pourquoi Naval Group, entre l’annonce du pacte Aukus en septembre 2021, et la présentation de sa feuille de route détaillée, dix-huit mois plus tard, a travaillé sur une contre-offre, visant à fournir à l’Australie des sous-marins nucléaires. Une incroyable révélation d’Andrew Fowler : la France n’a en effet jamais fourni la pièce maîtresse de sa défense à un autre pays, et elle était visiblement disposée à le faire pour celui qui venait de lui planter un couteau dans le dos… Coopération ou coercition ? Cet ultime coup de poker n’a finalement pas été payant mais, pour Andrew Fowler, c’est l’Australie la grande perdante dans cette affaire. L’Aukus la condamne à financer une pièce centrale de l’architecture de défense voulue par les États-Unis dans le Pacifique. L’auteur note enfin que les Américains sont moins disposés à la coopération avec les Australiens qu’à la coercition. Les travaillistes, sans remettre en cause l’alliance, ont posé un acte fort en octobre 2022 en s’abstenant aux Nations unies lors d’un vote sur le traité d’interdiction des armes nucléaires, alors que l’Australie votait systématiquement contre depuis son adoption en 2017, suivant en cela les États-Unis. Quelques jours plus tard, l’ambassade américaine à Canberra indiquait très clairement que si l’Australie devenait signataire de ce traité, elle ne bénéficierait plus de la protection de son « parapluie nucléaire ». Pour Andrew Fowler, « c’est clairement une menace, et donc non pas la réaction attendue d’un allié, mais celle d’un tyran (“bully”) ». Un tyran qui n’a, pour l’instant, apporté aucune garantie qu’il fournira ces fameux sous-marins nucléaires… Modifié le 24 juin par osuspir 12 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 24 juin Share Posté(e) le 24 juin Et on a fait croire que les cocus étaient les Français. J'aime déjà pas les Australiens mais la qu'ils aillent se faire.un cuire le cul 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 24 juin Share Posté(e) le 24 juin (modifié) il y a 13 minutes, osuspir a dit : C’est sans doute pourquoi Naval Group, entre l’annonce du pacte Aukus en septembre 2021, et la présentation de sa feuille de route détaillée, dix-huit mois plus tard, a travaillé sur une contre-offre, visant à fournir à l’Australie des sous-marins nucléaires. Une incroyable révélation d’Andrew Fowler : la France n’a en effet jamais fourni la pièce maîtresse de sa défense à un autre pays, et elle était visiblement disposée à le faire pour celui qui venait de lui planter un couteau dans le dos… La France aurait donc peut-être pu faire une proposition similaire aux canadiens ? Si ils s'étaient décidés à considérer la propulsion nucléaire ! Surtout que le canada a déjà ue industrie nucléaire civile (certes tres differente) ... à l'inverse de l'australie. Modifié le 24 juin par Titus K 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin (modifié) Il y a 7 heures, osuspir a dit : Crise des sous-marins: révélations sur la volte-face de l’Australie https://www.lefigaro.fr/international/crise-des-sous-marins-revelations-sur-la-volte-face-de-l-australie-20240624 Masquer le contenu RÉCIT - Le livre-enquête du journaliste australien Andrew Fowler dénonce la duplicité du gouvernement australien de Scott Morrison, qui pour des motifs électoraux, a rompu le «contrat du siècle» avec Naval Group. C’est un réquisitoire très informé et sans appel. Dans un livre-enquête à paraître le 2 juillet en Australie, le journaliste Andrew Fowler revient en détail sur la rupture du plus important contrat d’armement jamais décroché par la France, la fourniture de douze sous-marins par Naval Group à la marine australienne pour un montant de 35 milliards d’euros, ainsi que sur les manœuvres, orchestrées par Canberra, Washington et Londres pour tromper les Français, avant de révéler leur alliance pour contenir la Chine, l’Aukus. Nuked rappelle une évidence qui a pu échapper à certains, en France, lorsque la trahison a éclaté au grand jour. Depuis la Seconde Guerre mondiale, l’Australie voit les États-Unis comme son plus proche allié, mais également son protecteur. L’idée de s’embarquer dans une telle collaboration avec les Français a d’emblée déplu à certains hauts gradés au sein de l’armée, tout comme à de nombreux cadres de la droite australienne, pour qui l’alliance avec Washington est indépassable. Les Australiens envisageaient de s'approprier le système de propulsion, puis de rompre le contrat avec Naval Group pour construire ensuite eux-mêmes leurs sous-marins Mais comme les États-Unis ne fabriquent pas de sous-marins conventionnels, l’Australie s’est tournée vers d’autres fournisseurs : le Japon, l’Allemagne et la France, dont l’offre était de très loin supérieure. Non seulement elle répondait à toutes les exigences australiennes, mais ses sous-marins, équipés d’un système de propulsion unique en son genre, étaient parmi les plus silencieux du monde. Une technologie chèrement protégée par Naval Group, que certains au sein du ministère australien de la Défense, auraient bien aimé nous voler… C’est ce qu’affirme David Gould, un expert britannique engagé comme consultant par le gouvernement australien, qui fut étroitement impliqué dès le début du processus de sélection des sous-marins. Selon cette source, citée dans le livre d’Andrew Fowler, les Australiens envisageaient de s’approprier le système de propulsion, puis de rompre le contrat avec Naval Group pour construire ensuite eux-mêmes leurs sous-marins. « Je n’ai pas pu recouper cette information, concède Andrew Fowler. Mais j’ai échangé en off avec plusieurs personnes du ministère de la Défense, et ils sont capables d’une telle franchise sur leurs objectifs avec les gens dont ils pensent qu’ils ne parleront pas à la presse.» Un accord est finalement trouvé mais, très peu de temps après, Scott Morrison devient premier ministre. Il est bien moins modéré que son prédécesseur Malcolm Turnbull, et surtout beaucoup plus pro-américain. Il n’aime pas ce pacte conclu avec la France, et décide de le torpiller. Les couteaux s’aiguisent Tandis que les couteaux s’aiguisent, à l’abri des regards, avec Washington et Londres, son gouvernement commence à diffuser des informations négatives sur Naval Group. Les différences culturelles sont pointées du doigt : on reproche aux Français leur manque de ponctualité, leurs déjeuners trop longs, leurs pauses cigarette… On les accuse aussi de retards (réels, mais qui ne remettaient pas en cause le calendrier global) et on dénonce une « explosion » des coûts qui n’en est pas une : elle correspond en fait à l’inflation attendue au cours de la durée d’exécution du contrat, qui court sur vingt ans. En parallèle, Scott Morrison emploie une rhétorique de plus en plus guerrière vis-à-vis de la Chine, présentée comme une menace majeure, susceptible d’envahir l’Australie ou de la cibler avec des missiles, afin de préparer l’opinion à la nécessité d’opter pour des sous-marins nucléaires, dans un pays qui y reste largement opposé. Tout cela pour ne pas perdre les prochaines élections, qui s’annoncent très mal pour Scott Morrison. « Il a voulu apparaître comme l’homme fort, qui tient tête à la Chine et attaquer les travaillistes sur la sécurité nationale, un sujet sur lequel le Parti libéral pense être plus solide », rappelle Andrew Fowler. La stratégie fut en partie payante. Si Scott Morrison a quand même perdu les élections, les travaillistes, prévenus comme Emmanuel Macron la veille de l’annonce du pacte Aukus, n’ont eu d’autre choix que de soutenir sans réserve cette alliance, bien que le parti soit traditionnellement hostile au nucléaire sous toutes ses formes, et partisan d’une prise de distance avec les États-Unis. C’est sans doute pourquoi Naval Group, entre l’annonce du pacte Aukus en septembre 2021, et la présentation de sa feuille de route détaillée, dix-huit mois plus tard, a travaillé sur une contre-offre, visant à fournir à l’Australie des sous-marins nucléaires. Une incroyable révélation d’Andrew Fowler : la France n’a en effet jamais fourni la pièce maîtresse de sa défense à un autre pays, et elle était visiblement disposée à le faire pour celui qui venait de lui planter un couteau dans le dos… Coopération ou coercition ? Cet ultime coup de poker n’a finalement pas été payant mais, pour Andrew Fowler, c’est l’Australie la grande perdante dans cette affaire. L’Aukus la condamne à financer une pièce centrale de l’architecture de défense voulue par les États-Unis dans le Pacifique. L’auteur note enfin que les Américains sont moins disposés à la coopération avec les Australiens qu’à la coercition. Les travaillistes, sans remettre en cause l’alliance, ont posé un acte fort en octobre 2022 en s’abstenant aux Nations unies lors d’un vote sur le traité d’interdiction des armes nucléaires, alors que l’Australie votait systématiquement contre depuis son adoption en 2017, suivant en cela les États-Unis. Quelques jours plus tard, l’ambassade américaine à Canberra indiquait très clairement que si l’Australie devenait signataire de ce traité, elle ne bénéficierait plus de la protection de son « parapluie nucléaire ». Pour Andrew Fowler, « c’est clairement une menace, et donc non pas la réaction attendue d’un allié, mais celle d’un tyran (“bully”) ». Un tyran qui n’a, pour l’instant, apporté aucune garantie qu’il fournira ces fameux sous-marins nucléaires… Les margoulins... Ils ont donc bel et bien voulu nous faire ce que Navantia nous a fait avec le Scorpène! Sait-on s'ils ont pu gratter des technologies sensibles en définitive? Et quelles furent les rétorsions prises par la France (à part gueuler comme des putois)? Il y a 7 heures, Titus K a dit : La France aurait donc peut-être pu faire une proposition similaire aux canadiens ? Si ils s'étaient décidés à considérer la propulsion nucléaire ! Surtout que le canada a déjà ue industrie nucléaire civile (certes tres differente) ... à l'inverse de l'australie. Déjà tenté avec la classe Rubis dans les années 80! Les Américains avaient promis aux Canadiens l'accès aux Seawolf. Les Canadiens ont alors envoyé bouler l'offre Française puis ont été snobés par les Américains pour finalement se tourner vers des vieux sous-marins Anglais conventionnels totalement pourris et qui aujourd'hui ne naviguent que très peu à cause de problèmes de maintenance. Incroyable quand même que des alliés "traditionnels" soient devenus moins fiables que les Indiens qui ont également tenté les pires trucs à notre encontre dans d'autres domaines. Modifié le 25 juin par Patrick 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin il y a une heure, Patrick a dit : Les margoulins... Ils ont donc bel et bien voulu nous faire ce que Navantia nous a fait avec le Scorpène! Sait-on s'ils ont pu gratter des technologies sensibles en définitive? Et quelles furent les rétorsions prises par la France (à part gueuler comme des putois)? Tu proposes une bombe nucléaire sur Canberra ? Quand on lis ça franchement Citation « Je n’ai pas pu recouper cette information, concède Andrew Fowler. Mais j’ai échangé en off avec plusieurs personnes du ministère de la Défense, et ils sont capables d’une telle franchise sur leurs objectifs avec les gens dont ils pensent qu’ils ne parleront pas à la presse.» Je rappelle qu'il est ... Journaliste Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Julien Posté(e) le 25 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 juin Pas besoin de retorsions, surtout sur la base d'informations non confirmées. Les Australiens se sont très bien punis eux mêmes et NG a été dédommagé apparemment de manière satisfaisante. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 25 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 juin Il y a 2 heures, clem200 a dit : Je rappelle qu'il est ... Journaliste Andrew Fowler Andrew Fowler est un journaliste d’investigation primé et un ancien reporter pour les programmes Foreign Correspondent et Four Corners d’ABC. Fowler a commencé sa carrière de journaliste au début des années 1970, couvrant la campagne d’attentats à la bombe de l’IRA pour le London Evening News. Il a été chef de cabinet et rédacteur en chef étranger par intérim du journal The Australian. Il a écrit L’homme le plus dangereux du monde, l’histoire de Julian Assange et de WikiLeaks en 2011, qui a été mis à jour en 2012 et 2020. Fowler a interviewé Assange pour la première fois pour Foreign Correspondent en 2010, pour lequel le programme a remporté la médaille d’or du Festival de New York. Ses deux autres livres sont The War on Journalism (Random House, 2015) et Shooting the Messenger : Criminalising Journalism (Routledge, 2017). Fowler est lauréat du prix de la paix des Nations Unies, a donné des conférences sur le journalisme dans des universités en Australie et au Royaume-Uni et a contribué à divers articles universitaires. https://www.mup.com.au/books/nuked-paperback-softback Les retombées spectaculaires de l'accord double de l'Australie avec l'AUKUS Comme tous les programmes d'acquisition militaire d'une valeur de milliards de dollars, la décision de l'Australie d'acheter une nouvelle flotte de sous-marins devait être un processus torturant. Mais personne n'aurait pu prédire la traînée d'épave qu'il a laissée derrière lui, des boulevards de Paris aux chantiers navals d'Adélaïde, alors qu'au fond du gouvernement australien, un groupe secret a conspiré pour renverser la candidature française gagnante. Dans cette histoire de trahison et d'intrigue, Andrew Fowler expose les mensonges et la tromperie qui ont tant indigné le président de la France. Interviewant de nombreuses personnes principales impliquées et discutant avec des sources à Paris, Londres, Washington et Canberra, Fowler assemble le complot pour couler les Français et passer à un sous-marin américain à propulsion nucléaire - une opération bâclée qui a gravement compromis la capacité de l'Australie à se défendre. "Le premier guide essentiel pour comprendre les origines de l'accord AUKUS. Profondément étudié et finement conçu, ce livre soulève des questions importantes et sérieuses sur l'échec des gouvernements Morrison et Albanese à entreprendre les tests les plus fondamentaux et les plus essentiels de la diligence raisonnable politique concernant les risques et la faisabilité de l'aspiration de l'Australie à acquérir des sous-marins à propulsion nucléaire. Un must, s'il est sobre, de lire sur la tromperie, l'effondrement de la politique, l'ambition déplacée et l'échec continu à informer le public australien de ce que l'accord signifie et implique. » JAMES CURRAN » "La commission d'enquête d'un seul homme d'Andrew Fowler est une torpille nucléaire d'un livre et un service majeur pour le public australien. Il y a des détails étonnants dans chaque chapitre. Fowler déterre les preuves, nomme les noms et montre comment la sécurité nationale, qui devrait être un objectif, est utilisée comme couverture pour quelque chose de plus sinistre. » CLINTON FERNANDES » 6 4 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin il y a 12 minutes, ARMEN56 a dit : Andrew Fowler Andrew Fowler est un journaliste d’investigation primé et un ancien reporter pour les programmes Foreign Correspondent et Four Corners d’ABC. Fowler a commencé sa carrière de journaliste au début des années 1970, couvrant la campagne d’attentats à la bombe de l’IRA pour le London Evening News. Il a été chef de cabinet et rédacteur en chef étranger par intérim du journal The Australian. Il a écrit L’homme le plus dangereux du monde, l’histoire de Julian Assange et de WikiLeaks en 2011, qui a été mis à jour en 2012 et 2020. Fowler a interviewé Assange pour la première fois pour Foreign Correspondent en 2010, pour lequel le programme a remporté la médaille d’or du Festival de New York. Ses deux autres livres sont The War on Journalism (Random House, 2015) et Shooting the Messenger : Criminalising Journalism (Routledge, 2017). Fowler est lauréat du prix de la paix des Nations Unies, a donné des conférences sur le journalisme dans des universités en Australie et au Royaume-Uni et a contribué à divers articles universitaires. https://www.mup.com.au/books/nuked-paperback-softback Les retombées spectaculaires de l'accord double de l'Australie avec l'AUKUS Comme tous les programmes d'acquisition militaire d'une valeur de milliards de dollars, la décision de l'Australie d'acheter une nouvelle flotte de sous-marins devait être un processus torturant. Mais personne n'aurait pu prédire la traînée d'épave qu'il a laissée derrière lui, des boulevards de Paris aux chantiers navals d'Adélaïde, alors qu'au fond du gouvernement australien, un groupe secret a conspiré pour renverser la candidature française gagnante. Dans cette histoire de trahison et d'intrigue, Andrew Fowler expose les mensonges et la tromperie qui ont tant indigné le président de la France. Interviewant de nombreuses personnes principales impliquées et discutant avec des sources à Paris, Londres, Washington et Canberra, Fowler assemble le complot pour couler les Français et passer à un sous-marin américain à propulsion nucléaire - une opération bâclée qui a gravement compromis la capacité de l'Australie à se défendre. "Le premier guide essentiel pour comprendre les origines de l'accord AUKUS. Profondément étudié et finement conçu, ce livre soulève des questions importantes et sérieuses sur l'échec des gouvernements Morrison et Albanese à entreprendre les tests les plus fondamentaux et les plus essentiels de la diligence raisonnable politique concernant les risques et la faisabilité de l'aspiration de l'Australie à acquérir des sous-marins à propulsion nucléaire. Un must, s'il est sobre, de lire sur la tromperie, l'effondrement de la politique, l'ambition déplacée et l'échec continu à informer le public australien de ce que l'accord signifie et implique. » JAMES CURRAN » "La commission d'enquête d'un seul homme d'Andrew Fowler est une torpille nucléaire d'un livre et un service majeur pour le public australien. Il y a des détails étonnants dans chaque chapitre. Fowler déterre les preuves, nomme les noms et montre comment la sécurité nationale, qui devrait être un objectif, est utilisée comme couverture pour quelque chose de plus sinistre. » CLINTON FERNANDES » Le bouquin est-il disponible en français ? (l'éditeur devrait y songer ) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Eau tarie Posté(e) le 25 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 juin Il y a 4 heures, Patrick a dit : Les margoulins... Ils ont donc bel et bien voulu nous faire ce que Navantia nous a fait avec le Scorpène! Sait-on s'ils ont pu gratter des technologies sensibles en définitive? Et quelles furent les rétorsions prises par la France (à part gueuler comme des putois)? Qu'ils aient au moins envisagé l'option c'est une évidence. Il faut être d'un naïf pour ne pas y songer. Ne serait ce que de se poser la question de pouvoir le faire si la France devient un partenaire vu comme instable. Imaginons un pays qui passe à l'extrême droite anti US par exemple (au hasard ). Vu de leur fenêtre ça serait un gros risque. ça veut pas dire que tu vas le faire. Mais tu as un plan au cas ou. C'est supposé être ça le boulot des services de renseignement et des gouvernants / stratèges. Anticiper les changements, et réagir vite, voir avec un coup d'avance si c'est diplomatiquement tenable. Et nous en tant qu'exportateur, on doit bien sur en être conscient. C'est une évidence. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin Tout ceci a un avantage. Ca montre en creux que la techno française a un cran d'avance sur les autres. L'autre point important c'est que l'allié US n'est pas aussi fiable qu'il faudrait ... ET çà fini par interroger parce que le plan B proposer par AUKUS est toujours très largement dans les limbes et repose sur des sous-marinades UK à l'os et US qui a des difficultés de production. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin (modifié) il y a une heure, ARMEN56 a dit : Mais personne n'aurait pu prédire la traînée d'épave qu'il a laissée derrière lui, des boulevards de Paris aux chantiers navals d'Adélaïde C'est surtout çà qui interroge. Le jeux en valait-il la chandelle ? Même du point de vue US. L'allié Australien a une sous-marinade qui n'aura pas de vrai plan B avant au moins une décennie et qui va devoir envoyer ses marins aux US ou au UK pour tenter de sauvegarder un savoir-faire. Le risque est vraiment que l'Australie n'ait plus de sous-marine d'ici 15 ans sachant que c'est maintenant qu'il faut agir pour qu'elle soit prête d'ici là. Modifié le 25 juin par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin il y a une heure, herciv a dit : C'est surtout çà qui interroge. Le jeux en valait-il la chandelle ? J'ai envie de dire qu'ils s'en fichent On est à 100% sur du cynisme politique interne. Le long terme, pfiou, on s'en fou 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin Il y a 1 heure, ARMEN56 a dit : Andrew Fowler Andrew Fowler est un journaliste d’investigation primé et un ancien reporter pour les programmes Foreign Correspondent et Four Corners d’ABC. Fowler a commencé sa carrière de journaliste au début des années 1970, couvrant la campagne d’attentats à la bombe de l’IRA pour le London Evening News. Il a été chef de cabinet et rédacteur en chef étranger par intérim du journal The Australian. Il a écrit L’homme le plus dangereux du monde, l’histoire de Julian Assange et de WikiLeaks en 2011, qui a été mis à jour en 2012 et 2020. Fowler a interviewé Assange pour la première fois pour Foreign Correspondent en 2010, pour lequel le programme a remporté la médaille d’or du Festival de New York. Ses deux autres livres sont The War on Journalism (Random House, 2015) et Shooting the Messenger : Criminalising Journalism (Routledge, 2017). Fowler est lauréat du prix de la paix des Nations Unies, a donné des conférences sur le journalisme dans des universités en Australie et au Royaume-Uni et a contribué à divers articles universitaires. https://www.mup.com.au/books/nuked-paperback-softback Les retombées spectaculaires de l'accord double de l'Australie avec l'AUKUS Comme tous les programmes d'acquisition militaire d'une valeur de milliards de dollars, la décision de l'Australie d'acheter une nouvelle flotte de sous-marins devait être un processus torturant. Mais personne n'aurait pu prédire la traînée d'épave qu'il a laissée derrière lui, des boulevards de Paris aux chantiers navals d'Adélaïde, alors qu'au fond du gouvernement australien, un groupe secret a conspiré pour renverser la candidature française gagnante. Dans cette histoire de trahison et d'intrigue, Andrew Fowler expose les mensonges et la tromperie qui ont tant indigné le président de la France. Interviewant de nombreuses personnes principales impliquées et discutant avec des sources à Paris, Londres, Washington et Canberra, Fowler assemble le complot pour couler les Français et passer à un sous-marin américain à propulsion nucléaire - une opération bâclée qui a gravement compromis la capacité de l'Australie à se défendre. "Le premier guide essentiel pour comprendre les origines de l'accord AUKUS. Profondément étudié et finement conçu, ce livre soulève des questions importantes et sérieuses sur l'échec des gouvernements Morrison et Albanese à entreprendre les tests les plus fondamentaux et les plus essentiels de la diligence raisonnable politique concernant les risques et la faisabilité de l'aspiration de l'Australie à acquérir des sous-marins à propulsion nucléaire. Un must, s'il est sobre, de lire sur la tromperie, l'effondrement de la politique, l'ambition déplacée et l'échec continu à informer le public australien de ce que l'accord signifie et implique. » JAMES CURRAN » "La commission d'enquête d'un seul homme d'Andrew Fowler est une torpille nucléaire d'un livre et un service majeur pour le public australien. Il y a des détails étonnants dans chaque chapitre. Fowler déterre les preuves, nomme les noms et montre comment la sécurité nationale, qui devrait être un objectif, est utilisée comme couverture pour quelque chose de plus sinistre. » CLINTON FERNANDES » Je n'avais pas imaginé l'image de la France était si "archaïque" vis à vis d'une partie des australiens... Si les allemands ou les japonais avaient gagné l'appel d'offre, je ne pense pas que cette task force auraient existé. Apparemment, les SNA rubis et les SNLE n'ont jamais existé dans l'imaginaire de certains australiens voir du monde anglo-saxon. Et pourtant, il était convenu dès le départ que les sous marins australiens allaient être des sous marins franco-americain car il ne faut pas oublier que tout le système d'armes, voir une bonne partie de l'électronique embarqué seraient américains ! Et cela représentait facile 50 % du prix du submersible... Bref, cette trahison australienne reste en travers de la gorge car difficilement explicable 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin 3 hours ago, Claudio Lopez said: Je n'avais pas imaginé l'image de la France était si "archaïque" vis à vis d'une partie des australiens... Comme dans une bonne partie du monde. Et pas loin de nos frontières en Europe, pr commencer. Il me semble que la DGSE a serieusement été reprimandé pour pas avoir vu venir le coup... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin Il y a 3 heures, Claudio Lopez a dit : Je n'avais pas imaginé l'image de la France était si "archaïque" vis à vis d'une partie des australiens... Entre les essais nucléaires et le Rainbow Warrior ... les voleurs francais qui pillent les épiceries ... les francais asociaux qui n'ont pas compris qu'ailleurs qu'en France la loi c'est la loi et pas juste une recommandation ... forcément qu'on a une image de merde. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin il y a une heure, g4lly a dit : forcément qu'on a une image de merde. Damien Guérot et Silas Despreaux auront sauvé l’honneur . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 25 juin Share Posté(e) le 25 juin (modifié) Il y a 6 heures, Eau tarie a dit : Qu'ils aient au moins envisagé l'option c'est une évidence. Il faut être d'un naïf pour ne pas y songer. Ne serait ce que de se poser la question de pouvoir le faire si la France devient un partenaire vu comme instable. Imaginons un pays qui passe à l'extrême droite anti US par exemple (au hasard ). Vu de leur fenêtre ça serait un gros risque. Et ça concerne qui ça en France? C'est ridicule. Au Japon, en Corée du Sud ou dans n'importe quel pays du sud-est asiatique, avec les mêmes positions, "l'extrême droite anti-US" Française passerait pour un parti de centre-gauche! Et que dire de l'Inde actuelle... Et je ne parlerai même pas de Singapour pour rester fair-play. J'ai pas souvenir que les Japonais les Sud-Coréens ou les indiens aient été ostracisés de la manière dont l'ont été les Français. Il y a 6 heures, Eau tarie a dit : ça veut pas dire que tu vas le faire. Mais tu as un plan au cas ou. C'est supposé être ça le boulot des services de renseignement et des gouvernants / stratèges. Anticiper les changements, et réagir vite, voir avec un coup d'avance si c'est diplomatiquement tenable. Et nous en tant qu'exportateur, on doit bien sur en être conscient. C'est une évidence. C'est lunaire. Dans le cas que tu exposes, il fallait carrément ne pas inviter la France à participer... Il y a 6 heures, herciv a dit : C'est surtout çà qui interroge. Le jeux en valait-il la chandelle ? Même du point de vue US. L'allié Australien a une sous-marinade qui n'aura pas de vrai plan B avant au moins une décennie et qui va devoir envoyer ses marins aux US ou au UK pour tenter de sauvegarder un savoir-faire. Le risque est vraiment que l'Australie n'ait plus de sous-marine d'ici 15 ans sachant que c'est maintenant qu'il faut agir pour qu'elle soit prête d'ici là. Franchement, si la question mérite d'être posée, je pense qu'à ce stade on ne devrait rien en avoir à faire. J'ai pronostiqué qu'ils prendraient de nouveaux sous-marins conventionnels pour assurer la transition entre les Collins et la classe Aukus, qui pour sa part existe surtout pour donner de la visibilité industrielle au successeur des Astute. Je le pense toujours parce qu'aucun Virginia ne sera disponible pour l'Australie à temps et que les principaux tenants de la campagne de dénigrement par voie de presse menée contre Naval Group et le Shortfin Barracuda ont bossé pour TKMS par le passé. Il y a 5 heures, Claudio Lopez a dit : Je n'avais pas imaginé l'image de la France était si "archaïque" vis à vis d'une partie des australiens... Si les allemands ou les japonais avaient gagné l'appel d'offre, je ne pense pas que cette task force auraient existé. Apparemment, les SNA rubis et les SNLE n'ont jamais existé dans l'imaginaire de certains australiens voir du monde anglo-saxon. Et pourtant, il était convenu dès le départ que les sous marins australiens allaient être des sous marins franco-americain car il ne faut pas oublier que tout le système d'armes, voir une bonne partie de l'électronique embarqué seraient américains ! Et cela représentait facile 50 % du prix du submersible... Bref, cette trahison australienne reste en travers de la gorge car difficilement explicable Exactement. Et bizarrement les USA n'ont pas eu peur d'un revirement de la France vers je sais pas qui ou quoi... Étonnant non? Sérieux arrêtons de nous flageller pour des peccadilles. il y a une heure, g4lly a dit : Entre les essais nucléaires et le Rainbow Warrior ... les voleurs francais qui pillent les épiceries ... les francais asociaux qui n'ont pas compris qu'ailleurs qu'en France la loi c'est la loi et pas juste une recommandation ... forcément qu'on a une image de merde. Oh oui je suis sûr que les "backpackers" Français crasseux qui piquent dans les magasins sont les responsables de la dégradation des relations Franco-Australiennes. Surtout vu le contexte sécuritaire Australien actuel avec des hordes d'immigrés plus ou moins légaux qui mettent le zbeul chez eux de façon bien plus violente. D'autre part si ils avaient encore les essais nucléaires en tête, des essais survenus à 6826km de Brisbane sur la côte est, soit une distance supérieure qu'entre la même ville de Brisbane et... Taipeh sur l'île de TAÏWAN (c'est dire à quel point c'est la porte à côté) et bien il fallait pas nous inviter à la compétition! Sérieux c'est un truc de fou à la fin quoi... Modifié le 25 juin par Patrick 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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