C’est un message populaire. Teenytoon Posté(e) le 28 août 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 28 août 2022 J'ai du aller vérifier le titre de ce topic mais non je ne m'étais pas trompé 1 5 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. clem200 Posté(e) le 29 août 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 29 août 2022 (modifié) Il y a 7 heures, Teenytoon a dit : J'ai du aller vérifier le titre de ce topic mais non je ne m'étais pas trompé Mais tout est lié, si on empêche les banlieusards de rentrer en ville en bagnole ils achèteront peut être plus de Falcon pour se déplacer Modifié le 29 août 2022 par clem200 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 29 août 2022 Share Posté(e) le 29 août 2022 Il y a 3 heures, clem200 a dit : Mais tout est lié, si on empêche les banlieusards de rentrer en ville en bagnole ils achèteront peut être plus de Falcon pour se déplacer une voiture volante by DA et le plus drole c'est qu'on retrouvera notre bon vieil ennemi Airbus DS, lui proposant ça : alors que DA proposera quelque chose de beau et sexy, un peu dans ce genre de dessin d'artiste mytho : 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alberas Posté(e) le 31 août 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 août 2022 Résultats financiers du S1 2022/ Prise de commande record pour Dassault Aviation Le 31/08/2022 à 8:40 par Alicia Aloisi MIL/AERO L’entreprise aéronautique a publié ses résultats financiers du premier semestre 2022. Le bilan se caractérise par la commande de 86 Rafale et de 41 Falcon pour un montant record de 16,3 milliards d’euros contre 3,9Md€ au premier semestre 2021. La plupart des Rafale (80) ont été commandés par les Emirats Arabes Unis en avril. Le carnet de commandes Rafale s’élève aujourd’hui à 165 unités dont 125 à l’export et 40 pour la France. La commande de 42 appareils effectuée par l’Indonésie n’a pas été prise en compte dans ce bilan. Le carnet de commande du Falcon s’élève, lui, à 82 unités contre 55 au 31 décembre 2021. Le chiffre d’affaires de Dassault Aviation est resté stable entre le premier semestre 2021 et 2022 à 3,1Md€. En revanche, la marge opérationnelle est en progression. Elle s’établit ce semestre à 6,5% du chiffre d’affaires contre 5,6% l’an dernier. 1 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BP2 Posté(e) le 31 août 2022 Share Posté(e) le 31 août 2022 il y a 27 minutes, Alberas a dit : Résultats financiers du S1 2022/ Prise de commande record pour Dassault Aviation Le 31/08/2022 à 8:40 par Alicia Aloisi MIL/AERO L’entreprise aéronautique a publié ses résultats financiers du premier semestre 2022. Le bilan se caractérise par la commande de 86 Rafale et de 41 Falcon pour un montant record de 16,3 milliards d’euros contre 3,9Md€ au premier semestre 2021. La plupart des Rafale (80) ont été commandés par les Emirats Arabes Unis en avril. Le carnet de commandes Rafale s’élève aujourd’hui à 165 unités dont 125 à l’export et 40 pour la France. La commande de 42 appareils effectuée par l’Indonésie n’a pas été prise en compte dans ce bilan. Le carnet de commande du Falcon s’élève, lui, à 82 unités contre 55 au 31 décembre 2021. Le chiffre d’affaires de Dassault Aviation est resté stable entre le premier semestre 2021 et 2022 à 3,1Md€. En revanche, la marge opérationnelle est en progression. Elle s’établit ce semestre à 6,5% du chiffre d’affaires contre 5,6% l’an dernier. Un industriel comme on en aimerait des milliers en France. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Bechar06 Posté(e) le 31 août 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 août 2022 N'ai pas pu résister ! 9 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tetsuo Posté(e) le 8 septembre 2022 Share Posté(e) le 8 septembre 2022 Il parait que ça recrute chez Dassault pour aller former en Inde . Chez DRAL. Chaîne Falcon. 6 mois en France et zou en Inde. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 La nouvelle organisation du mco des moteurs m88 des rafale Français devient concrète 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 Il y a 11 heures, Tetsuo a dit : Il parait que ça recrute chez Dassault pour aller former en Inde . Chez DRAL. Chaîne Falcon. 6 mois en France et zou en Inde. "Engagez vous, rengagez vous, vous verrez du pays" il y a 18 minutes, Picdelamirand-oil a dit : La nouvelle organisation du mco des moteurs m88 des rafale Français devient concrète Il n'est jamais trop tard pour bien faire ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 (modifié) il y a 46 minutes, Picdelamirand-oil a dit : La nouvelle organisation du mco des moteurs m88 des rafale Français devient concrète Intéressant. Surtout sur l'évolution de la puissance moteur pour le futur standard F4 pour la France et les EAU. Modifié le 9 septembre 2022 par gargouille Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BP2 Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 (modifié) il y a 5 minutes, gargouille a dit : l'évolution de la puissance moteur Ca n'est pas écrit. On en fantasme tous mais rien de réellement concret à ce jour. Même si ca semble assez logique (le F4 aura besoin à minima de plus de génération électrique, et les EAU aiment les machines ++ pour eux (le -9 en M2000 et le bk60 en F16). L'évolution du M88 peut être aussi une nouvelle réduction de sa consommation. Modifié le 9 septembre 2022 par BP2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 (modifié) il y a 3 minutes, BP2 a dit : Ca n'est pas écrit. On en fantasme tous mais rien de réellement concret à ce jour. Vendredi, je dis ça, mais je dis rien, vendredi, vendredi. Modifié le 9 septembre 2022 par gargouille 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 Il y a 12 heures, Tetsuo a dit : 6 mois en France et zou en Inde. Chauffeur fourni ? Parce-que sinon ça me semble bien peu pour apprendre à slalomer entre les voitures, motos, touc-toucs, piétons, autres vaches sacrées et nids de poule . . . sachant que personne ne respecte ni les priorités, ni la vitesse autorisée, voire même pas le sens de circulation . . . il y a 52 minutes, gargouille a dit : Vendredi, je dis ça, mais je dis rien, vendredi, vendredi. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mgtstrategy Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 7 hours ago, gargouille said: Intéressant. Surtout sur l'évolution de la puissance moteur pour le futur standard F4 pour la France et les EAU. Je me suis fait avoir Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BP2 Posté(e) le 9 septembre 2022 Share Posté(e) le 9 septembre 2022 il y a 19 minutes, mgtstrategy a dit : Je me suis fait avoir moi zaussi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 15 septembre 2022 Share Posté(e) le 15 septembre 2022 (modifié) Au connaisseur de la maison Dassault: est ce que les activités civiles et militaires se font dans des bureaux d'études différents - comme chez les autres avionneurs- ou sont rassemblées dans la même unité - ce qui me semblerai logique ? Modifié le 15 septembre 2022 par Shorr kan Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BP2 Posté(e) le 15 septembre 2022 Share Posté(e) le 15 septembre 2022 il y a une heure, Shorr kan a dit : Au connaisseur de la maison Dassault: est ce que les activités civiles et militaires se font dans des bureaux d'études différents - comme chez les autres avionneurs- ou sont rassemblées dans la même unité - ce qui me semblerai logique ? Excellente question. Vue la taille de la maison, je milite pour un seul BE, mais je n'en sais rien de certain. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 15 septembre 2022 Share Posté(e) le 15 septembre 2022 Il y a 3 heures, Shorr kan a dit : Au connaisseur de la maison Dassault: est ce que les activités civiles et militaires se font dans des bureaux d'études différents - comme chez les autres avionneurs- ou sont rassemblées dans la même unité - ce qui me semblerai logique ? Je n'en sais rien, mais sur des critères tutélaires, le besoin d'en connaître n'étant pas le même, je vois mal une colocalisation trop étroite être acceptée par l'état. Qu'il y ait un voisinage, pourquoi pas. Qu'il y ait une porosité limitée, avec des mouvements (validés) de l'un à l'autre, aussi. Il peut même y avoir des ateliers, workshops et autres séances de travail communes sur des sujets "acceptables", ça peut s'envisager. Mais une unité unique avec des affectations variables et fluides, ça ne me semble pas envisageable. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 15 septembre 2022 Share Posté(e) le 15 septembre 2022 Et grand mystère ( ou mirage ... ) qui subsiste pour moi : Qu'est ce qu'un BE dans le domaine aérien ? Quelles spécialités ? Quelle organisation ? Quels outils ? ( même si j'en perçois qq uns de ces outils, niveau informatique ) Surtout qu'on est là dans ce qu'il y a de + secret ou "caché" dans une société comme DA Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 4 octobre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 4 octobre 2022 Les industriels français et allemands en compétition sur le "système spatial réactif" Deux consortiums, l'un mené par Dassault, l'autre regroupant ArianeGroup et l'allemand OHB, s'apprêtent à répondre à l'appel à propositions du Fonds européen de défense pour opérer des lancements de satellite en urgence. L'objectif est de disposer d'un accès autonome à l'espace, permettant des mises en orbite en quelques heures. 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 4 octobre 2022 Share Posté(e) le 4 octobre 2022 il y a 17 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Les industriels français et allemands en compétition sur le "système spatial réactif" Deux consortiums, l'un mené par Dassault, l'autre regroupant ArianeGroup et l'allemand OHB, s'apprêtent à répondre à l'appel à propositions du Fonds européen de défense pour opérer des lancements de satellite en urgence. L'objectif est de disposer d'un accès autonome à l'espace, permettant des mises en orbite en quelques heures. Un lien avec le MLA de Dassault ? (Pas accès à l'article ) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 octobre 2022 Share Posté(e) le 4 octobre 2022 il y a 37 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Les industriels français et allemands en compétition sur le "système spatial réactif" Deux consortiums, l'un mené par Dassault, l'autre regroupant ArianeGroup et l'allemand OHB, s'apprêtent à répondre à l'appel à propositions du Fonds européen de défense pour opérer des lancements de satellite en urgence. L'objectif est de disposer d'un accès autonome à l'espace, permettant des mises en orbite en quelques heures. https://www.defnat.com/e-RDN/vue-article-cahier.php?carticle=487&cidcahier=1291 " Savoir faire face à une catastrophe spatiale Renforcer notre résilience, c’est également se préparer à faire face à une catastrophe spatiale, c’est-à-dire lorsque nos moyens en orbite, notre segment sol ou notre outil de commandement et contrôle des opérations spatiales ont été détruits, volontairement ou non. La capacité de lancement réactif pour mettre en orbite des satellites « de substitution » dépasse largement le seul domaine militaire, et la guerre en Ukraine (63) rappelle cette dépendance : l’absence de stock de moteurs de fusée suffisant pour la fusée Véga et l’arrêt de la collaboration avec la fusée russe Soyouz (64) ont, d’ores et déjà, contraint la France à retarder la mise en orbite du satellite CSO3. Pour garantir notre accès à l’Espace en cas de catastrophe, il est aujourd’hui nécessaire de travailler sur une double capacité, offrant une résilience par le nombre : Disposer des technologies à l’état de l’art pour de petits satellites et des charges utiles rapidement disponibles, multi-domaines, multi-capteurs et multi-missions, paramétrables avant et après le lancement, qui permettront de pallier, au moins en partie, la perte capacitaire considérée, le temps de développer une nouvelle capacité spatiale, d’une part. Disposer, au niveau national ou avec l’aide de nos principaux partenaires en Europe, sans pour autant s’en rendre complètement dépendant, d’une capacité de lancement réactif, d’autre part. Il conviendra de couvrir tous les segments du système spatial, y compris le segment sol qui présente, lui aussi, ses propres vulnérabilités. Certes, cela représente un investissement fort et un changement de paradigme économique pour nos industriels, mais cette garantie permanente d’accès à l’Espace est une condition de notre résilience, civile et militaire. C’est une réelle ambition, un nouveau défi, mais c’est également l’ouverture vers un nouveau marché dont on mesure encore assez mal aujourd’hui l’importance. Reste à savoir si la France et l’Europe sont prêtes à relever ce défi comme elles ont su le faire il y a quelques années lors de la mise en service de la constellation Galileo. " 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 4 octobre 2022 Share Posté(e) le 4 octobre 2022 Je propose qu'on évite de dépendre de OHB. 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 octobre 2022 Share Posté(e) le 4 octobre 2022 il y a 5 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Je propose qu'on évite de dépendre de OHB. La stratégie de Thierry Breton c'est de faire en sorte de maintenir deux acteurs pour chaque besoin en Europe d'où son choix contre MBDA pour l'hypersonique. Pas de chance pour OHB il s'est allié avec l'acteur qui maitrise le plus l'accès à l'espace maintenant. Il faudrait savoir qui est dans le consortium avec Dassault mais je pense qu'ils ont toute leur chance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bocket Posté(e) le 4 octobre 2022 Share Posté(e) le 4 octobre 2022 1 hour ago, herciv said: https://www.defnat.com/e-RDN/vue-article-cahier.php?carticle=487&cidcahier=1291 " Savoir faire face à une catastrophe spatiale Renforcer notre résilience, c’est également se préparer à faire face à une catastrophe spatiale, c’est-à-dire lorsque nos moyens en orbite, notre segment sol ou notre outil de commandement et contrôle des opérations spatiales ont été détruits, volontairement ou non. La capacité de lancement réactif pour mettre en orbite des satellites « de substitution » dépasse largement le seul domaine militaire, et la guerre en Ukraine (63) rappelle cette dépendance : l’absence de stock de moteurs de fusée suffisant pour la fusée Véga et l’arrêt de la collaboration avec la fusée russe Soyouz (64) ont, d’ores et déjà, contraint la France à retarder la mise en orbite du satellite CSO3. Pour garantir notre accès à l’Espace en cas de catastrophe, il est aujourd’hui nécessaire de travailler sur une double capacité, offrant une résilience par le nombre : Disposer des technologies à l’état de l’art pour de petits satellites et des charges utiles rapidement disponibles, multi-domaines, multi-capteurs et multi-missions, paramétrables avant et après le lancement, qui permettront de pallier, au moins en partie, la perte capacitaire considérée, le temps de développer une nouvelle capacité spatiale, d’une part. Disposer, au niveau national ou avec l’aide de nos principaux partenaires en Europe, sans pour autant s’en rendre complètement dépendant, d’une capacité de lancement réactif, d’autre part. Il conviendra de couvrir tous les segments du système spatial, y compris le segment sol qui présente, lui aussi, ses propres vulnérabilités. Certes, cela représente un investissement fort et un changement de paradigme économique pour nos industriels, mais cette garantie permanente d’accès à l’Espace est une condition de notre résilience, civile et militaire. C’est une réelle ambition, un nouveau défi, mais c’est également l’ouverture vers un nouveau marché dont on mesure encore assez mal aujourd’hui l’importance. Reste à savoir si la France et l’Europe sont prêtes à relever ce défi comme elles ont su le faire il y a quelques années lors de la mise en service de la constellation Galileo. " Très intéressant cet article DEFNAT, je retiens également que ce sera difficile car l'objectif s'autonomie de la France n'est pas la chose la plus partagée et que nous sommes déja limités en capacité pour des lancements réactifs. Ce qui est plutot embêtant dans le domaine militaire. * Le partenariat avec l’Allemagne est jusqu’ici une nécessité, autant sur un plan politique – car le binôme France-Allemagne joue un rôle de catalyseur pour l’Europe – que sur le plan économique. L’accord, signé en mars 2020 pour la surveillance de l’Espace est, à ce titre, un exemple à suivre. Également, les Allemands et les Italiens se sont engagés à aider au financement d’Ariane 6 et à faire les mises en orbite gouvernementales via Ariane – engagement péniblement tenu en Europe , la notion d’autonomie d’accès étant une spécificité purement française. Là encore, il est nécessaire de maintenir cet intérêt partagé, car ce lanceur, indispensable à notre autonomie stratégique, a besoin de ce soutien des Nations européennes pour rester viable sur le long terme, étant donné l’approche économique agressive proposée par le concurrent américain Space X. * La capacité de lancement réactif pour mettre en orbite des satellites « de substitution » dépasse largement le seul domaine militaire, et la guerre en Ukraine rappelle cette dépendance : l’absence de stock de moteurs de fusée suffisant pour la fusée Véga et l’arrêt de la collaboration avec la fusée russe Soyouz ont, d’ores et déjà, contraint la France à retarder la mise en orbite du satellite CSO3. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant