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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel


Philippe Top-Force

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Il y a 3 heures, clem200 a dit :

Mais tout est lié, si on empêche les banlieusards de rentrer en ville en bagnole ils achèteront peut être plus de Falcon pour se déplacer 

une voiture volante by DA   :wub:

et le plus drole c'est qu'on retrouvera notre bon vieil ennemi Airbus DS, lui proposant ça :

voiture-volante-ill.png?itok=lc0rKNgN

alors que DA proposera quelque chose de beau et sexy, un peu dans ce genre de dessin d'artiste mytho :

34237059.jpg

 

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il y a 27 minutes, Alberas a dit :

Résultats financiers du S1 2022/

 

Prise de commande record pour Dassault Aviation

Le 31/08/2022 à 8:40 par Alicia Aloisi

  MIL/AERO

L’entreprise aéronautique a publié ses résultats financiers du premier semestre 2022. Le bilan se caractérise par la commande de 86 Rafale et de 41 Falcon pour un montant record de 16,3 milliards d’euros contre 3,9Md€ au premier semestre 2021. La plupart des Rafale (80) ont été commandés par les Emirats Arabes Unis en avril. Le carnet de commandes Rafale s’élève aujourd’hui à 165 unités dont 125 à l’export et 40 pour la France. La commande de 42 appareils effectuée par l’Indonésie n’a pas été prise en compte dans ce bilan. Le carnet de commande du Falcon s’élève, lui, à 82 unités contre 55 au 31 décembre 2021.

Le chiffre d’affaires de Dassault Aviation est resté stable entre le premier semestre 2021 et 2022 à 3,1Md€. En revanche, la marge opérationnelle est en progression. Elle s’établit ce semestre à 6,5% du chiffre d’affaires contre 5,6% l’an dernier.

 

Un industriel comme on en aimerait des milliers en France.

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  • 2 weeks later...
Il y a 11 heures, Tetsuo a dit :

Il parait que ça recrute chez Dassault pour aller former en Inde . Chez DRAL. Chaîne Falcon.

6 mois en France et zou en Inde.

"Engagez vous, rengagez vous, vous verrez du pays" :biggrin:

il y a 18 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Il n'est jamais trop tard pour bien faire ...:smile:

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il y a 46 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Intéressant.

Surtout sur l'évolution de la puissance moteur pour le futur standard F4 pour la France et les EAU.

:wink:

 

 

 

Modifié par gargouille
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il y a 5 minutes, gargouille a dit :

l'évolution de la puissance moteur

Ca n'est pas écrit.  On en fantasme tous mais rien de réellement concret à ce jour.  Même si ca semble assez logique (le F4 aura besoin à minima de plus de génération électrique, et les EAU aiment les machines ++ pour eux (le -9 en M2000 et le bk60 en F16).

L'évolution du M88 peut être aussi une nouvelle réduction de sa consommation.

Modifié par BP2
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Il y a 12 heures, Tetsuo a dit :

6 mois en France et zou en Inde.

Chauffeur fourni ? Parce-que sinon ça me semble bien peu pour apprendre à slalomer entre les voitures, motos, touc-toucs, piétons, autres vaches sacrées et nids de poule . . . sachant que personne ne respecte ni les priorités, ni la vitesse autorisée, voire même pas le sens de circulation . . . :tongue:

il y a 52 minutes, gargouille a dit :

Vendredi, je dis ça, mais je dis rien, vendredi, vendredi. :wink:

:ph34r:

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Au connaisseur de la maison Dassault: est ce que les activités civiles et militaires se font dans des bureaux d'études différents - comme chez les autres avionneurs- ou sont rassemblées dans la même unité - ce qui me semblerai logique ?

Modifié par Shorr kan
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il y a une heure, Shorr kan a dit :

Au connaisseur de la maison Dassault: est ce que les activités civiles et militaires se font dans des bureaux d'études différents - comme chez les autres avionneurs- ou sont rassemblées dans la même unité - ce qui me semblerai logique ?

Excellente question.  Vue la taille de la maison, je milite pour un seul BE, mais je n'en sais rien de certain.

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Il y a 3 heures, Shorr kan a dit :

Au connaisseur de la maison Dassault: est ce que les activités civiles et militaires se font dans des bureaux d'études différents - comme chez les autres avionneurs- ou sont rassemblées dans la même unité - ce qui me semblerai logique ?

Je n'en sais rien, mais sur des critères tutélaires, le besoin d'en connaître n'étant pas le même, je vois mal une colocalisation trop étroite être acceptée par l'état.

Qu'il y ait un voisinage, pourquoi pas. Qu'il y ait une porosité limitée, avec des mouvements (validés) de l'un à l'autre, aussi. Il peut même y avoir des ateliers, workshops et autres séances de travail communes sur des sujets "acceptables", ça peut s'envisager.

Mais une unité unique avec des affectations variables et fluides, ça ne me semble pas envisageable.

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Et grand mystère ( ou mirage ...  )  qui subsiste pour moi :   Qu'est ce qu'un BE dans le domaine aérien ?  Quelles spécialités ? Quelle organisation ?  Quels outils ?  ( même si j'en perçois qq uns de ces outils, niveau informatique  )

Surtout qu'on est là dans ce qu'il y a de + secret ou "caché" dans une société comme DA

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  • 3 weeks later...
il y a 17 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Les industriels français et allemands en compétition sur le "système spatial réactif"

Deux consortiums, l'un mené par Dassault, l'autre regroupant ArianeGroup et l'allemand OHB, s'apprêtent à répondre à l'appel à propositions du Fonds européen de défense pour opérer des lancements de satellite en urgence. L'objectif est de disposer d'un accès autonome à l'espace, permettant des mises en orbite en quelques heures.

Un lien avec le MLA de Dassault ? (Pas accès à l'article :blush:)

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il y a 37 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Les industriels français et allemands en compétition sur le "système spatial réactif"

Deux consortiums, l'un mené par Dassault, l'autre regroupant ArianeGroup et l'allemand OHB, s'apprêtent à répondre à l'appel à propositions du Fonds européen de défense pour opérer des lancements de satellite en urgence. L'objectif est de disposer d'un accès autonome à l'espace, permettant des mises en orbite en quelques heures.

https://www.defnat.com/e-RDN/vue-article-cahier.php?carticle=487&cidcahier=1291

"

Savoir faire face à une catastrophe spatiale

Renforcer notre résilience, c’est également se préparer à faire face à une catastrophe spatiale, c’est-à-dire lorsque nos moyens en orbite, notre segment sol ou notre outil de commandement et contrôle des opérations spatiales ont été détruits, volontairement ou non. La capacité de lancement réactif pour mettre en orbite des satellites « de substitution » dépasse largement le seul domaine militaire, et la guerre en Ukraine (63) rappelle cette dépendance : l’absence de stock de moteurs de fusée suffisant pour la fusée Véga et l’arrêt de la collaboration avec la fusée russe Soyouz (64) ont, d’ores et déjà, contraint la France à retarder la mise en orbite du satellite CSO3.

Pour garantir notre accès à l’Espace en cas de catastrophe, il est aujourd’hui nécessaire de travailler sur une double capacité, offrant une résilience par le nombre : Disposer des technologies à l’état de l’art pour de petits satellites et des charges utiles rapidement disponibles, multi-domaines, multi-capteurs et multi-missions, paramétrables avant et après le lancement, qui permettront de pallier, au moins en partie, la perte capacitaire considérée, le temps de développer une nouvelle capacité spatiale, d’une part. Disposer, au niveau national ou avec l’aide de nos principaux partenaires en Europe, sans pour autant s’en rendre complètement dépendant, d’une capacité de lancement réactif, d’autre part. Il conviendra de couvrir tous les segments du système spatial, y compris le segment sol qui présente, lui aussi, ses propres vulnérabilités. Certes, cela représente un investissement fort et un changement de paradigme économique pour nos industriels, mais cette garantie permanente d’accès à l’Espace est une condition de notre résilience, civile et militaire. C’est une réelle ambition, un nouveau défi, mais c’est également l’ouverture vers un nouveau marché dont on mesure encore assez mal aujourd’hui l’importance.

Reste à savoir si la France et l’Europe sont prêtes à relever ce défi comme elles ont su le faire il y a quelques années lors de la mise en service de la constellation Galileo.

"

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il y a 5 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Je propose qu'on évite de dépendre de OHB.

La stratégie de Thierry Breton c'est de faire en sorte de maintenir deux acteurs pour chaque besoin en Europe d'où son choix contre MBDA pour l'hypersonique.

Pas de chance pour OHB il s'est allié avec l'acteur qui maitrise le plus l'accès à l'espace maintenant.

Il faudrait savoir qui est dans le consortium avec Dassault mais je pense qu'ils ont toute leur chance.

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1 hour ago, herciv said:

https://www.defnat.com/e-RDN/vue-article-cahier.php?carticle=487&cidcahier=1291

"

Savoir faire face à une catastrophe spatiale

Renforcer notre résilience, c’est également se préparer à faire face à une catastrophe spatiale, c’est-à-dire lorsque nos moyens en orbite, notre segment sol ou notre outil de commandement et contrôle des opérations spatiales ont été détruits, volontairement ou non. La capacité de lancement réactif pour mettre en orbite des satellites « de substitution » dépasse largement le seul domaine militaire, et la guerre en Ukraine (63) rappelle cette dépendance : l’absence de stock de moteurs de fusée suffisant pour la fusée Véga et l’arrêt de la collaboration avec la fusée russe Soyouz (64) ont, d’ores et déjà, contraint la France à retarder la mise en orbite du satellite CSO3.

Pour garantir notre accès à l’Espace en cas de catastrophe, il est aujourd’hui nécessaire de travailler sur une double capacité, offrant une résilience par le nombre : Disposer des technologies à l’état de l’art pour de petits satellites et des charges utiles rapidement disponibles, multi-domaines, multi-capteurs et multi-missions, paramétrables avant et après le lancement, qui permettront de pallier, au moins en partie, la perte capacitaire considérée, le temps de développer une nouvelle capacité spatiale, d’une part. Disposer, au niveau national ou avec l’aide de nos principaux partenaires en Europe, sans pour autant s’en rendre complètement dépendant, d’une capacité de lancement réactif, d’autre part. Il conviendra de couvrir tous les segments du système spatial, y compris le segment sol qui présente, lui aussi, ses propres vulnérabilités. Certes, cela représente un investissement fort et un changement de paradigme économique pour nos industriels, mais cette garantie permanente d’accès à l’Espace est une condition de notre résilience, civile et militaire. C’est une réelle ambition, un nouveau défi, mais c’est également l’ouverture vers un nouveau marché dont on mesure encore assez mal aujourd’hui l’importance.

Reste à savoir si la France et l’Europe sont prêtes à relever ce défi comme elles ont su le faire il y a quelques années lors de la mise en service de la constellation Galileo.

"

Très intéressant cet article DEFNAT, je retiens également que ce sera difficile car l'objectif s'autonomie de la France n'est pas la chose la plus partagée et que nous sommes déja limités en capacité pour des lancements réactifs. Ce qui est plutot embêtant dans le domaine militaire.

* Le partenariat avec l’Allemagne est jusqu’ici une nécessité, autant sur un plan politique – car le binôme France-Allemagne joue un rôle de catalyseur pour l’Europe – que sur le plan économique. L’accord, signé en mars 2020 pour la surveillance de l’Espace est, à ce titre, un exemple à suivre. Également, les Allemands et les Italiens se sont engagés à aider au financement d’Ariane 6 et à faire les mises en orbite gouvernementales via Ariane – engagement péniblement tenu en Europe , la notion d’autonomie d’accès étant une spécificité purement française. Là encore, il est nécessaire de maintenir cet intérêt partagé, car ce lanceur, indispensable à notre autonomie stratégique, a besoin de ce soutien des Nations européennes pour rester viable sur le long terme, étant donné l’approche économique agressive proposée par le concurrent américain Space X.

* La capacité de lancement réactif pour mettre en orbite des satellites « de substitution » dépasse largement le seul domaine militaire, et la guerre en Ukraine rappelle cette dépendance : l’absence de stock de moteurs de fusée suffisant pour la fusée Véga et l’arrêt de la collaboration avec la fusée russe Soyouz ont, d’ores et déjà, contraint la France à retarder la mise en orbite du satellite CSO3.

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