herciv Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet (modifié) Twitter vient de bannir Reuter, Globaltimenews et trt en Inde. Ca commence à moins rigoler là. Modi a décidé de sortir la sulfateuse et de ne pas se laisser marcher sur les pieds. Modifié le 6 juillet par herciv 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 38 minutes, herciv a dit : Twitter vient de bannir Reuter, Globaltimenews et trt en Inde. Ca commence à moins rigoler là. Modi a décidé de sortir la sulfateuse et de ne pas se laisser marcher sur les pieds. https://fr.wikipedia.org/wiki/Schadenfreude Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 6 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 juillet (modifié) Renseignement français : la Chine a utilisé ses ambassades pour nuire aux ventes du Rafale, fleuron de l’aviation française https://apnews.com/article/france-china-pakistan-india-defense-rafale-64eec86b6e89718d6a49d8fdedf565f4 PARIS (AP) — La Chine a mobilisé ses ambassades pour semer le doute sur les performances des avions Rafale de fabrication française, après leur engagement dans les affrontements entre l’Inde et le Pakistan en mai, ont conclu des responsables militaires et des services de renseignement français. Pékin serait ainsi impliqué dans une tentative de saper la réputation et les ventes de ce chasseur emblématique français. D’après un rapport d’un service de renseignement français consulté par l’Associated Press, les attachés de défense dans les ambassades chinoises ont pris la tête d’une campagne visant à discréditer le Rafale, en tentant de convaincre les pays ayant déjà commandé l’appareil — notamment l’Indonésie — de ne pas en acheter davantage, et d’inciter les autres clients potentiels à privilégier des avions de fabrication chinoise. Ces informations ont été transmises à l’AP par un responsable militaire français, à condition que ni lui ni le service de renseignement concerné ne soient nommés. Les affrontements qui ont duré quatre jours entre l’Inde et le Pakistan en mai ont constitué la confrontation la plus sérieuse depuis des années entre les deux puissances nucléaires, impliquant des dizaines d’appareils de part et d’autre. Des responsables militaires et des chercheurs s’efforcent depuis d’analyser comment les équipements militaires chinois utilisés par le Pakistan — en particulier les avions de combat et les missiles air-air — se sont comportés face à l’arsenal déployé par l’Inde lors de ses frappes aériennes, notamment les Rafale français. Les ventes de Rafale et d’autres armements représentent un secteur stratégique pour l’industrie de défense française, et soutiennent les efforts du gouvernement à Paris pour renforcer ses partenariats à l’étranger, y compris en Asie où la Chine s’impose comme la puissance régionale dominante. La France mène un combat contre ce qu’elle considère comme une campagne de désinformation visant le Rafale Le Pakistan a affirmé que son armée de l’air avait abattu cinq avions indiens au cours des combats, dont trois Rafale. Ces affirmations ont suscité des interrogations sur les performances de l’appareil chez plusieurs pays clients de Dassault Aviation. L’Inde a reconnu des pertes, sans préciser le nombre exact. Le général Jérôme Bellanger, chef d’état-major de l’armée de l’air française, a déclaré qu’il existait des éléments attestant de la perte de trois appareils indiens : un Rafale, un Sukhoï d’origine russe et un Mirage 2000, un chasseur français de génération précédente. Il s’agit de la première perte confirmée d’un Rafale en combat, appareil que la France a exporté vers huit pays. « Évidemment, tous ceux, les pays qui ont acheté des Rafale, se sont posé des questions », a reconnu le général Bellanger. Les responsables français s’efforcent de préserver la réputation de l’appareil, en réagissant à ce qu’ils décrivent comme une campagne organisée de dénigrement et de désinformation en ligne, venue du Pakistan et de son allié chinois. Selon eux, cette campagne s’appuie sur des publications virales sur les réseaux sociaux, des images truquées montrant des débris présumés de Rafale, du contenu généré par intelligence artificielle, ainsi que des simulations de combat issues de jeux vidéo. Plus de 1 000 comptes nouvellement créés au moment des affrontements ont relayé un discours valorisant la supériorité technologique chinoise, selon des chercheurs français spécialisés dans la désinformation en ligne. Les responsables militaires français indiquent ne pas avoir pu établir de lien direct entre ces attaques numériques contre le Rafale et le gouvernement chinois. Les services de renseignement estiment que des officiels chinois ont fait pression sur des acheteurs potentiels pour écarter les avions français Mais le service de renseignement affirme que les attachés de défense chinois ont repris les mêmes éléments de langage lors de réunions avec des responsables de la sécurité et de la défense d’autres pays, en affirmant que les Rafale de l’armée indienne s’étaient mal comportés, tout en faisant la promotion de l’armement chinois. Les attachés de défense ont concentré leur lobbying sur les pays ayant déjà commandé des Rafale, ainsi que sur des États susceptibles d’en acheter, précise le service. Les autorités françaises ont été informées de ces réunions par les pays sollicités. Interrogé par l’AP sur ces accusations visant à affaiblir l’attrait du Rafale, le ministère chinois de la Défense nationale a répondu : « Les affirmations en question relèvent de la pure rumeur infondée et de la calomnie. La Chine a toujours adopté une approche prudente et responsable en matière d’exportations militaires, jouant un rôle constructif pour la paix et la stabilité régionales et mondiales. » Ces dernières années, la Chine a intensifié ses campagnes de désinformation sur les plateformes sociales mondiales comme X, Instagram ou Facebook, utilisant des réseaux d’influenceurs sponsorisés par l’État, des sites se faisant passer pour des organes de presse, et de faux comptes pour diffuser les récits émanant de Pékin. Le ministère français des Armées a déclaré que le Rafale avait été visé par « une vaste campagne de désinformation » qui « visait à promouvoir la supériorité d’équipements alternatifs, notamment d’origine chinoise ». La France considère le Rafale comme une “offre stratégique” « Le Rafale n’a pas été ciblé au hasard. C’est un avion de chasse extrêmement performant, exporté à l’étranger et engagé dans un théâtre très visible », a souligné le ministère sur son site internet. « Le Rafale a également été ciblé car il représente une offre stratégique française. En attaquant l’avion, certains acteurs ont cherché à remettre en cause la crédibilité de la France ainsi que sa base industrielle et technologique de défense. La campagne de désinformation visait donc non seulement un appareil, mais plus largement l’image nationale d’autonomie stratégique, de fiabilité industrielle et de partenariats solides. » Dassault Aviation a vendu 533 Rafale, dont 323 à l’export vers l’Égypte, l’Inde, le Qatar, la Grèce, la Croatie, les Émirats arabes unis, la Serbie et l’Indonésie. Cette dernière a commandé 42 appareils et envisage d’en acheter d’autres. Selon Justin Bronk, spécialiste de la puissance aérienne au Royal United Services Institute, un think tank de défense basé à Londres, la Chine chercherait ainsi à fragiliser les partenariats sécuritaires que la France tisse en Asie, en suscitant la méfiance vis-à-vis des équipements qu’elle fournit. « Dans l’optique de limiter l’influence des pays occidentaux dans l’Indo-Pacifique, il est logique que la Chine utilise les performances des systèmes pakistanais — ou du moins leurs performances supposées — dans l’abattage d’un Rafale comme levier pour en affaiblir l’attractivité à l’export », analyse-t-il. « Ils ont clairement vu une opportunité de nuire aux perspectives commerciales françaises dans la région. » Modifié le 6 juillet par Titus K 1 2 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/indus-treaty-verdict-when-water-outlasts-war (4 juillet 2025) Pendant plus de 60 ans, le traité sur les eaux de l'Indus entre l'Inde et le Pakistan a été l'un des rares triomphes durables de la diplomatie postcoloniale, survivant aux guerres, aux ruptures diplomatiques et aux escarmouches transfrontalières. Le traité, négocié par la Banque mondiale en 1960, a établi un compromis délicat mais durable : l'Inde contrôlerait les trois fleuves orientaux (Ravi, Beas, Sutlej), tandis que le Pakistan dépendrait des trois fleuves occidentaux (Indus, Jhelum, Chenab), l'Inde étant autorisée à en faire un usage limité à des fins autres que la consommation. Ce fragile équilibre s'est rompu en avril dernier, lorsque l'Inde a unilatéralement déclaré le traité « en suspens ». En réponse, le Pakistan s'est tourné vers la Cour permanente d'arbitrage de La Haye, un organisme habilité par le traité à statuer sur les différends lorsque les mécanismes bilatéraux échouent. Dans une décision de compétence supplémentaire rendue le mois dernier, la CPA a statué à l'unanimité que « l'Inde n'avait pas la possibilité de suspendre la procédure de manière unilatérale ». 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. herciv Posté(e) le 7 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 juillet Le RETEX public de l'IAF. Clairement une nouvelle dimension s'ouvre à l'Inde L'opération Sindoor est la plus grande victoire de l'Inde depuis 1971 https://sundayguardianlive.com/opinion/operation-sindoor-is-indias-greatest-victory-since-1971 Par Lieutenant. Général. Raj Shukla (à la retraite) - John Spencer 6 juillet 2025 Op Sindoor ne voulait pas s'emparer du sol. Il s'agissait de façonner l'équilibre futur des pouvoirs. Dans la longue et fière histoire militaire de l’Inde, la guerre de 1971 a été la référence du triomphe stratégique. L'Inde a libéré le Bangladesh, vaincu de manière décisive les forces pakistanaises dans l'est du pays et capturé plus de 90 000 prisonniers de guerre. C'était un tremblement de terre politique et militaire. Mais il y avait une chose que l'Inde n'a pas fait en 1971. Il n'a pas traversé le front occidental. Il n’a pas pénétré dans le cœur du Pakistan ni ébranlé la confiance de Rawalpindi dans sa domination militaire. Cela n'a pas été touché. L'opération Sindoor a changé cette équation. En seulement quatre jours, l'Inde a non seulement réagi à une attaque terroriste transfrontalière, mais elle a lancé une campagne militaire qui a frappé profondément le cœur militaire du Pakistan. Les avions de chasse indiens n'opéraient qu'à trois kilomètres du quartier général du Pakistan à Rawalpindi. Les missiles indiens ont touché les principales installations du Pendjab. Les attaques ont révélé des angles morts critiques dans les défenses du Pakistan. Et l'armée de l'air pakistanaise n'a pas réussi à disputer les cieux. L'Inde a établi une domination aérienne totale. Le 10 mai, le Pakistan a été nu et exposé, ayant perdu le contrôle total de son ciel. L'armée indienne a démontré une transition réussie vers une capacité de frappe de précision à long terme. Ce qui s'est déroulé n'était pas seulement une domination tactique, mais une validation des investissements à long terme dans la préparation, l'innovation et la doctrine adaptée à la guerre moderne. Il ne s'agissait pas d'une escalade. C'était un message. Contrairement à 1971, l'Inde ne fonctionnait pas dans le cadre d'objectifs limités axés sur l'est. Il a frappé l'ouest, au centre même de l'infrastructure militaire pakistanaise. Et il l'a fait sans déclencher une guerre à grande échelle ou en violation des normes internationales. Il s'agissait d'une guerre de précision moderne, exécutée avec des plates-formes indiennes, de la doctrine indienne et de la détermination de l'Inde. Pendant des années, le Pakistan s'est appuyé sur sa doctrine nucléaire pour créer un bouclier contre les représailles profondes de l'Inde. Ce bouclier a échoué. L'opération Sindoor a souligné l'utilité stratégique de la force et a exposé le caractère creux des insinuations nucléaires imprudentes du Pakistan. Les frappes de l'Inde sont restées en dessous du seuil nucléaire, mais ont été encore plus durement touchées que n'importe quel engagement précédent. L'idée selon laquelle le Pakistan pourrait s'intensifier à sa volonté sans conséquence a été démantelée. Le succès de l'opération Sindoor a également été le produit de la transformation de la défense de l'Inde. C'était une guerre menée avec des systèmes indigènes. Les batteries Akash, les missiles BrahMos, les plates-formes ISR indiennes, les munitions de vagauchage et les réseaux de communication de force conjointe, tout cela s'est avéré décisif. La capacité de l'Inde à projet et de mener des opérations complexes de triservice sans dépendre étrangère les fournisseurs étaient clairs. En revanche, l’armée pakistanaise s’appuyait fortement sur la technologie et la doctrine chinoises. Des drones à la défense aérienne, les systèmes chinois fournis n’ont pas réussi à détecter, dissuader ou contrer le rythme de l’Inde. Ce n'était pas seulement une victoire sur le Pakistan. C'était un verdict de bataille sur les armes chinoises. Ils étaient surpassés, dépassés et submergés. L'exécution de Sindoor a également révélé un niveau de synergie civil rarement observée dans les conflits modernes. Les dirigeants politiques ont donné une direction claire. Les commandants militaires l'ont traduit en action rapide et calibrée. L'escalade a été évitée non pas par prudence, mais par le contrôle. L'Inde a montré la maturité d'un pouvoir qui comprend à la fois la retenue et la détermination. Et les effets se sont ondulés au-delà du champ de bataille. La crédibilité dissuasive du Pakistan a été compromise. La Chine, qui suit de près, voit maintenant une Inde différente, capable d'opérations rapides, punitives et multi-domaines, et une entreprise peu disposée à être l'otage de la fausse logique de domination de l'escalade. Le message était indubitable. La guerre de 1971 reste un moment décisif. Elle a créé une nouvelle réalité stratégique. Mais il s'agissait d'une guerre de territoire et d'une nécessité humanitaire. L'opération Sindoor, en revanche, était une guerre de dissuasion, de profondeur stratégique et de domination technologique. Il a frappé le centre de gravité géopolitique du Pakistan. Il a atteint des lieux de 1971 n'a jamais pu, non seulement en géographie, mais en conséquence stratégique. C’est pourquoi l’opération Sindoor doit être reconnue comme la victoire militaire la plus complète de l’Inde depuis 1971. Cela a brisé l’imprection de l’impunité au Pakistan. Il a validé des décennies de réforme de la défense indienne. Il a mis en évidence l'innovation et la communité indiennes. Et il a réécrit les règles stratégiques d'engagement en Asie du Sud. En seulement quatre jours, l'Inde a démontré qu'elle pouvait réagir avec rapidité, précision et force écrasante. L'opération Sindoor ne visait pas à s'emparer du terrain. Il s'agissait de façonner l'équilibre futur des pouvoirs. Il ne s'agissait pas seulement d'une opération militaire. Il s'agissait d'une déclaration de capacité et de volonté nationales. Et cette déclaration pourrait définir les cinquante prochaines années de dissuasion plus que jamais depuis 1971. Lieutenant. Général. Raj Shukla (à la retraite) est un ancien commandant du Commandement de l'armée, de l'armée indienne. John Spencer est le directeur exécutif de l'Urban Warfare Institute et de renommée mondiale. Opérations militaires 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet il y a une heure, herciv a dit : Le succès de l'opération Sindoor a également été le produit de la transformation de la défense de l'Inde. C'était une guerre menée avec des systèmes indigènes. Les batteries Akash, les missiles BrahMos, les plates-formes ISR indiennes, les munitions de vagauchage et les réseaux de communication de force conjointe, tout cela s'est avéré décisif. La capacité de l'Inde à projet et de mener des opérations complexes de triservice sans dépendre étrangère A part la dernière phrase qui n'est pas vérifiable, le nationalisme sent bon la grosse enfumade dans cette Inde sans armement (et capacités) autres qu' "indigènes" 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet (modifié) il y a 14 minutes, rendbo a dit : A part la dernière phrase qui n'est pas vérifiable, le nationalisme sent bon la grosse enfumade dans cette Inde sans armement (et capacités) autres qu' "indigènes" Oui mais le nationalisme n'explique pas tout. L'Inde prend son envol et vient de s'affirmer au moins par rapport au chinois mais je pense également par rapport aux US. Modifié le 7 juillet par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 7 juillet Share Posté(e) le 7 juillet (modifié) Il y a 5 heures, rendbo a dit : A part la dernière phrase qui n'est pas vérifiable, le nationalisme sent bon la grosse enfumade dans cette Inde sans armement (et capacités) autres qu' "indigènes" N'oublis pas que nous tenons aussi ce genre de discours en France. Même si la distinction n'est pas évidente, je dirais que c'est un discours souverainiste plus que nationaliste. Mistral AI : Nationalisme Définition : Le nationalisme est une idéologie qui met l'accent sur l'identité nationale, souvent basée sur des critères culturels, ethniques, linguistiques ou historiques. Objectifs : Il vise à promouvoir et à protéger les intérêts d'une nation, souvent en mettant l'accent sur l'unité et la cohésion nationale. Approche : Le nationalisme peut être inclusif ou exclusif. Il peut chercher à unifier les personnes sous une identité commune ou, dans certains cas, exclure ceux qui ne correspondent pas à cette identité. Contexte : Il peut se manifester par des mouvements visant à l'indépendance, à la préservation de la culture nationale, ou à la promotion de la supériorité nationale. Souverainisme Définition : Le souverainisme est une idéologie qui met l'accent sur la souveraineté de l'État-nation. Il insiste sur l'importance de l'indépendance et de l'autonomie de l'État dans la prise de décision politique. Objectifs : Il vise à protéger et à renforcer la souveraineté de l'État, souvent en résistance à des influences ou des contrôles externes, comme ceux des organisations internationales ou supranationales. Approche : Le souverainisme est souvent associé à une méfiance envers les institutions internationales et à un désir de retrouver ou de maintenir le contrôle total sur les affaires internes de l'État. Contexte : Il peut se manifester par des mouvements visant à quitter des unions ou des organisations internationales, ou à résister à des traités et des accords qui limitent la souveraineté Modifié le 7 juillet par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 5 août Share Posté(e) le 5 août https://opexnews.fr/rafale-embuscade-operation-sindoor-pakistan/ "Comment le Pakistan a « pris par surprise » l’armée de l’air indienne et ses Rafale pendant l’opération Sindoor" "...L’embuscade des Rafale Ce face-à-face, estimé à quelque 110 appareils, constitue la plus vaste bataille aérienne depuis plusieurs décennies. Selon Reuters, des sources américaines ont confirmé qu’au moins un Rafale a été abattu par un missile PL-15. Cette nouvelle est restée officieuse côté indien – New Delhi n’a jamais admis publiquement la perte -, mais elle a été officialisée par Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, et le général Jérôme Bellanger, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace..." "...La « connaissance de la situation » comme levier tactique Ce coup tactique a été renforcé par une guerre électronique organisée : selon un officiel pakistanais, Islamabad a tenté de brouiller les systèmes de l’Indian Air Force (IAF) pour désorienter les pilotes de Rafale. Les autorités indiennes, tout en admettant des perturbations sur certains Soukhoï, contestent l’efficacité de ces manœuvres sur le SPECTRA embarqué, une suite de contre-mesures réputée puissante..." "...Plus que jamais, la leçon stratégique est claire : le futur de la supériorité aérienne ne se jouera plus sur la seule performance brute d’un chasseur, mais sur la maîtrise de la guerre de l’information, la qualité et la rapidité des flux de renseignement, l’intégration des plateformes et la résilience des réseaux de guerre électronique..." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 5 août Share Posté(e) le 5 août Il y a 7 heures, Ronfly a dit : https://opexnews.fr/rafale-embuscade-operation-sindoor-pakistan/ "Comment le Pakistan a « pris par surprise » l’armée de l’air indienne et ses Rafale pendant l’opération Sindoor" "...L’embuscade des Rafale Ce face-à-face, estimé à quelque 110 appareils, constitue la plus vaste bataille aérienne depuis plusieurs décennies. Selon Reuters, des sources américaines ont confirmé qu’au moins un Rafale a été abattu par un missile PL-15. Cette nouvelle est restée officieuse côté indien – New Delhi n’a jamais admis publiquement la perte -, mais elle a été officialisée par Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, et le général Jérôme Bellanger, chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace..." "...La « connaissance de la situation » comme levier tactique Ce coup tactique a été renforcé par une guerre électronique organisée : selon un officiel pakistanais, Islamabad a tenté de brouiller les systèmes de l’Indian Air Force (IAF) pour désorienter les pilotes de Rafale. Les autorités indiennes, tout en admettant des perturbations sur certains Soukhoï, contestent l’efficacité de ces manœuvres sur le SPECTRA embarqué, une suite de contre-mesures réputée puissante..." "...Plus que jamais, la leçon stratégique est claire : le futur de la supériorité aérienne ne se jouera plus sur la seule performance brute d’un chasseur, mais sur la maîtrise de la guerre de l’information, la qualité et la rapidité des flux de renseignement, l’intégration des plateformes et la résilience des réseaux de guerre électronique..." Une reprise presque mot pour mot de la propagande pakistanaise. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 5 août Share Posté(e) le 5 août (modifié) C'est le drame de ceux qui prétendent savoir tout sur tout ... Et qui manquent de modestie Modifié le 5 août par mudrets 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akilius G. Posté(e) le 5 août Share Posté(e) le 5 août il y a une heure, gustave a dit : Une reprise presque mot pour mot de la propagande pakistanaise. un article très court et sans intérêt, on a écrit mieux il y a deux mois, mais à quoi bon évoquer la propagande pakistanaise? Les indiens ont annoncé leur action à venir, les pakistanais les attendaient avec les moyens à dispositions et donc un certain avantage. Quand 20 à 25 % de la population mondiale est impliquée dans une guerre, la perte de quelques avions doit être relativisée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 5 août Share Posté(e) le 5 août Il y a 2 heures, Akilius G. a dit : un article très court et sans intérêt, on a écrit mieux il y a deux mois, mais à quoi bon évoquer la propagande pakistanaise? Les indiens ont annoncé leur action à venir, les pakistanais les attendaient avec les moyens à dispositions et donc un certain avantage. Quand 20 à 25 % de la population mondiale est impliquée dans une guerre, la perte de quelques avions doit être relativisée. La description de ce qui ce serait passé reprend exactement le narratif pakistanais. C'est un constat (un regret même), qui ne préjuge pas de l'importance à accorder à la perte du Rafale. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août (modifié) Et bam ! 50 % sur les produits indiens taxés par les etats-unis ! Droits de douane à 50 % : l’Inde défie Trump et continuera à acheter du pétrole russe https://www.latribune.fr/economie/international/malgre-les-droits-de-douane-de-trump-l-inde-n-est-pas-prete-a-renoncer-aux-petrole-russe-1030886.html Modifié le 7 août par Claudio Lopez 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 9 août Share Posté(e) le 9 août Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 10 août Share Posté(e) le 10 août (modifié) Il y a 10 heures, Titus K a dit : Je n'accède pas au lien, ça dit quoi au juste ? Merci par avance pour la réponse. Modifié le 10 août par MIC_A Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 10 août Share Posté(e) le 10 août Le CEMAA indien affirme qu'ils ont abattu 6 avions dont 5 chasseurs, la plupart avec leurs S-400 (300km pour le plus gros avion). Il affirme avoir les enregistrements électroniques correspondant. Il affirme également qu'ils ont détruit au sol un autre avion de surveillance et plusieurs F-16. Il propose une vérification indépendante de leurs parcs aériens respectifs. Le MINARM pakistanais nie que la PAF ait perdu le moindre avion. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) mercredi à 19:05 C’est un message populaire. Share Posté(e) mercredi à 19:05 (modifié) Rapport americain de plus de 200 pages qui évoque notamment Sindoor, par la United States–China Economic and Security Review Commission Cette phrase ... Pakistan’s military success over India in its four-day clash showcased Chinese weaponry. … est relayée par les trolls sino-pakistanais ... ici par exemple --> https://www.reddit.com/r/LessCredibleDefence/comments/1p189z3/trt_world_us_commission_acknowledges_pakistans/ Mais l’ensemble du passage reflète selon moi une réalité assez différente : -->https://www.uscc.gov/sites/default/files/2025-11/2025_Annual_Report_to_Congress.pdf Following the May 2025 India-Pakistan border crisis, China initiated a disinformation campaign to hinder sales of French Rafale aircraft in favor of its own J-35s, using fake social media accounts to propagate AI images of supposed “debris” from the planes that China’s weaponry destroyed. In 2024, pro-China online actors used AI-generated news anchors and fake social media accounts with AI-generated profile pictures to sow divisions in the United States on issues such as drug use, immigration, and abortion. ... China expanded its military cooperation with Pakistan in 2025, compounding its own security tensions with India. In November and December 2024, China and Pakistan held the three-week Warrior-VIII counterterrorism drills, and in February 2025, China’s navy participated in Pakistan’s multinational AMAN drills, highlighting China’s and Pakistan’s growing defense cooperation. India’s commentators viewed the drills as losses in their relationship with China and as direct security threats to its territorial positions. Pakistan’s military success over India in its four-day clash showcased Chinese weaponry. While characterization of this conflict as a “proxy war” may overstate China’s role as an instigator, Beijing opportunistically leveraged the conflict to test and advertise the sophistication of its weapons, useful in the contexts of its ongoing border tensions with India and its expanding defense industry goals. As Pakistan’s largest defense supplier, China provided approximately 82 percent of the country’s arms imports from 2019 to 2023. This clash was the first time China’s modern weapons systems, including the HQ-9 air defense system, PL-15 air-to-air missiles, and J-10 fighter aircraft were used in active combat, serving as a real-world field experiment. China reportedly offered to sell 40 J-35 fifth-generation fighter jets, KJ-500 aircraft, and ballistic missile defense systems to Pakistan in June 2025. That same month, Pakistan announced a 20 percent increase in its 2025–2026 defense budget, raising planned expenditures to $9 billion despite an overall budget decrease. In the weeks after the conflict, Chinese embassies hailed the successes of its systems in the India-Pakistan clash, seeking to bolster weapons sales. Pakistan’s use of Chinese weapons to down French Rafale fighter jets used by India also became a particular selling point for Chinese Embassy defense sales efforts despite the fact that only three jets flown by India’s military were reportedly downed and all may not have been Rafales. According to French intelligence, China initiated a disinformation campaign to hinder sales of French Rafales in favor of its own J-35s, and it used fake social media ac- counts to propagate AI and video game images of supposed “debris” from the planes China’s weaponry destroyed. Chinese Embassy officials convinced Indonesia to halt a purchase of Rafale jets already in process, furthering China’s inroads into other regional ac- tors’ military procurements. Modifié mercredi à 19:07 par Titus K 3 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deltafan Posté(e) mercredi à 23:52 Share Posté(e) mercredi à 23:52 (modifié) Il y a 4 heures, Titus K a dit : Rapport americain de plus de 200 pages qui évoque notamment Sindoor, par la United States–China Economic and Security Review Commission Cette phrase ... Pakistan’s military success over India in its four-day clash showcased Chinese weaponry. … est relayée par les trolls sino-pakistanais ... ici par exemple --> https://www.reddit.com/r/LessCredibleDefence/comments/1p189z3/trt_world_us_commission_acknowledges_pakistans/ Mais l’ensemble du passage reflète selon moi une réalité assez différente : -->https://www.uscc.gov/sites/default/files/2025-11/2025_Annual_Report_to_Congress.pdf Following the May 2025 India-Pakistan border crisis, China initiated a disinformation campaign to hinder sales of French Rafale aircraft in favor of its own J-35s, using fake social media accounts to propagate AI images of supposed “debris” from the planes that China’s weaponry destroyed. In 2024, pro-China online actors used AI-generated news anchors and fake social media accounts with AI-generated profile pictures to sow divisions in the United States on issues such as drug use, immigration, and abortion. ... China expanded its military cooperation with Pakistan in 2025, compounding its own security tensions with India. In November and December 2024, China and Pakistan held the three-week Warrior-VIII counterterrorism drills, and in February 2025, China’s navy participated in Pakistan’s multinational AMAN drills, highlighting China’s and Pakistan’s growing defense cooperation. India’s commentators viewed the drills as losses in their relationship with China and as direct security threats to its territorial positions. Pakistan’s military success over India in its four-day clash showcased Chinese weaponry. While characterization of this conflict as a “proxy war” may overstate China’s role as an instigator, Beijing opportunistically leveraged the conflict to test and advertise the sophistication of its weapons, useful in the contexts of its ongoing border tensions with India and its expanding defense industry goals. As Pakistan’s largest defense supplier, China provided approximately 82 percent of the country’s arms imports from 2019 to 2023. This clash was the first time China’s modern weapons systems, including the HQ-9 air defense system, PL-15 air-to-air missiles, and J-10 fighter aircraft were used in active combat, serving as a real-world field experiment. China reportedly offered to sell 40 J-35 fifth-generation fighter jets, KJ-500 aircraft, and ballistic missile defense systems to Pakistan in June 2025. That same month, Pakistan announced a 20 percent increase in its 2025–2026 defense budget, raising planned expenditures to $9 billion despite an overall budget decrease. In the weeks after the conflict, Chinese embassies hailed the successes of its systems in the India-Pakistan clash, seeking to bolster weapons sales. Pakistan’s use of Chinese weapons to down French Rafale fighter jets used by India also became a particular selling point for Chinese Embassy defense sales efforts despite the fact that only three jets flown by India’s military were reportedly downed and all may not have been Rafales. According to French intelligence, China initiated a disinformation campaign to hinder sales of French Rafales in favor of its own J-35s, and it used fake social media ac- counts to propagate AI and video game images of supposed “debris” from the planes China’s weaponry destroyed. Chinese Embassy officials convinced Indonesia to halt a purchase of Rafale jets already in process, furthering China’s inroads into other regional ac- tors’ military procurements. Quelque peu déçu... Narratif global sino-pakistanais sur le conflit. Rien sur la version indienne. La désinformation n'est mentionnée que sous l'angle d'un article d'Associated Press se référant aux services de renseignement français (rien en provenance des services US). Pas de débunkage de la fake News sur l'arrêt de la commande Rafale par l'Indonésie (c'est pourtant vieux de quelques mois, alors que le document sort en novembre). Rien sur le démenti de la commande de J-35 par le Pakistan (fin juin). Rien sur l'annonce, puis la marche arrière, indonésiennes sur l'achat de J-10... Je ne parle même pas du silence sur les trois espions chinois arrêtés en Grèce pour avoir filmé la base des Rafale locaux, et ce alors que le conflit indo-pakistanais était fini depuis plusieurs jours... (bon, c'est sûr que ça passionne moins les trolls/bots sino-pakistanais et autres sur les réseaux sociaux...). Modifié jeudi à 00:00 par Deltafan 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) jeudi à 05:30 Share Posté(e) jeudi à 05:30 Il y a 10 heures, Titus K a dit : Rapport americain de plus de 200 pages qui évoque notamment Sindoor, par la United States–China Economic and Security Review Commission Ce qui est interessant c'est que ce rapport lui-même produit de la desinformation. Comme @Deltafan le dit il évite soigneusement de mentionner certaines information cruciales. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) jeudi à 06:14 Share Posté(e) jeudi à 06:14 (modifié) Il y a 11 heures, Titus K a dit : Pakistan’s military success over India in its four-day clash showcased Chinese weaponry. ...En 3 jours le pakistan a réclamé un cessez-le-feu. Ça s'appelle une victoire Indienne. Sinon, on ne pense pas au Rafale que sous l'angle des ventes export. Les seules choses certaines sont que Sindoor a démontré: que le politique Indien n'a pas saisi l'ampleur du risque et a décidé de frapper trop tard, démontrant que l'IAF n'était soit pas assez prête soit que le politique Indien était indécis du fait du manque d'informations sur les camps terroristes pakistanais. que l'Inde manquait de ravitailleurs et d'AWACS ainsi que de liaisons de données tactiques performantes pour faire la différence. que le Rafale ne dispose pas d'assez de missiles air-air à très longue portée (2 Meteor) dans un contexte où un "commit" signifiait un tir, et que les missiles disponibles ne sont pas d'un niveau technologique suffisant par rapport au PL15E, une situation que le MICA NG ne va que très partiellement corriger puisque ce missile n'aura pas la portée suffisante du fait de son faible poids. que l'AASM est une excellente arme mais qui manque encore une fois de portée, situation rapidement contrée par l'annonce de l'AASM XLR, sauf qu'il faut aller plus vite. que le SCALP a globalement encore fait le job mais a aussi été intercepté, illustrant le manque de furtivité de cette arme dont le seuil de discrétion tend à décroitre face aux nouveaux moyens de détection radar/IR. Les Brahmos bien plus rapides n'ayant pas eu ce genre de problèmes. et enfin surtout que la guerre informationnelle est importante et a été absolument délaissée par l'Inde laissant le champ libre aux fake news pakistanaises ainsi qu'à l'amplification des "victoires" symboliques. Modifié jeudi à 06:18 par Patrick 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) jeudi à 07:12 Auteur Share Posté(e) jeudi à 07:12 il y a 58 minutes, Patrick a dit : .En 3 jours le pakistan a réclamé un cessez-le-feu. Tu as une source de ça ? C'est officiel ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) jeudi à 07:47 Share Posté(e) jeudi à 07:47 (modifié) Il y a 1 heure, Patrick a dit : que l'Inde manquait de ravitailleurs et d'AWACS ainsi que de liaisons de données tactiques performantes pour faire la différence. L'Inde a aussi démontré la vulnérabilité des AWACS paki sur une profondeur stratégique de 300 km. Je ne comprend où tu vois le problème de liaisons tactiques. Un colonel indien a parlé récemment de mission commune MKI / rafale pendant lesquels les deux collaboraient. Ca suppose une liaison tactique donc. Il y a 1 heure, Patrick a dit : que le Rafale ne dispose pas d'assez de missiles air-air à très longue portée (2 Meteor) dans un contexte où un "commit" signifiait un tir, et que les missiles disponibles ne sont pas d'un niveau technologique suffisant par rapport au PL15E, une situation que le MICA NG ne va que très partiellement corriger puisque ce missile n'aura pas la portée suffisante du fait de son faible poids. Oui L'inde doit faire l'acquisition de plus de missiles de longue portée. Mais elle revendique quand même 9 kills dont une partie en air-air. Je ne comprend pas la comparaison PL15E. Si encore tu comparais un couple PL-15E/J10 vs rafale/mica. En l'état vu le nombre de PL15E retrouvés il y a eu beaucoup de "failed". Même si on admet un nombre de kill de 3 sur les indiens le taux de réussite semble très faible. On n'est même pas certain d'un seul kill sur rafale puisqu'on ne sait toujours pourquoi ce rafale s'est crashé. Je rembarque aussi qu'il n'y a pas eu beaucoup de MKI tapés et que leur protection semble efficace contre les PL-15E alors qu'ils ont balancé tous les bhramos. Il semble bien que les rafales ont contribué à cette protection d'après le même colonel indien. Bref au bilan le PL-15E ne semble pas avoir été d'une grande efficacité contre l'ensemble de la chasse indienne qui a pu à sa guise défoncer ce qu'elle voulait au Pakistan malgré les PL-15E. Modifié jeudi à 08:13 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) jeudi à 09:13 Share Posté(e) jeudi à 09:13 Citation que le Rafale ne dispose pas d'assez de missiles air-air à très longue portée (2 Meteor) dans un contexte où un "commit" signifiait un tir, et que les missiles disponibles ne sont pas d'un niveau technologique suffisant par rapport au PL15E, une situation que le MICA NG ne va que très partiellement corriger puisque ce missile n'aura pas la portée suffisante du fait de son faible poids. Il ne semble pas qu'un seul Meteor ait été tiré, alors qu'il y en ait 2 ou 6 ne change pas grand chose... 2 Meteor tirés à 150 km qui aurait shooté des F-16 ou J-10, ça aurait calmé les paki et ça aurait suffit, mais ça n'est semble-t-il pas arrivé 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) jeudi à 12:28 Share Posté(e) jeudi à 12:28 Il y a 3 heures, Banzinou a dit : Il ne semble pas qu'un seul Meteor ait été tiré, alors qu'il y en ait 2 ou 6 ne change pas grand chose... 2 Meteor tirés à 150 km qui aurait shooté des F-16 ou J-10, ça aurait calmé les paki et ça aurait suffit, mais ça n'est semble-t-il pas arrivé J’avais même retenu que les Meteor n’avaient pas encore été livrés (ou mis en service opérationnel en Inde) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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