loki Posté(e) le 3 juillet Auteur Share Posté(e) le 3 juillet Le 29/06/2025 à 16:55, herciv a dit : Les médias israéliens parlent de dommages cachés laissés par les attaques iraniennes [Dim, 29 juin 2025 15:52:18 https://www.saba.ye/en/news3507954.htm Les médias israéliens ont fait état des dégâts causés par les tirs de missiles iraniens, qui n'ont pas encore été divulgués, et ont fait de nombreuses victimes dans des bases militaires et des installations stratégiques israéliennes. La chaîne israélienne 13 a rapporté dimanche que les Israéliens ne comprenaient pas la mesure dans laquelle les Iraniens étaient précis et la mesure dans laquelle ils ont causé des dommages dans de nombreux endroits. Le rapport note que l'Institut Weizmann d'études avancées est connu de tous, mais que de nombreux sites ne sont toujours pas divulgués. Cela s'ajoute la stricte censure militaire des médias par les autorités israéliennes, l'interdiction de publier des informations, des photos ou des vidéos sur les médias traditionnels ou sociaux concernant l'emplacement des frappes de missiles iraniens ou les dommages qu'elles ont causés pendant la guerre qui a commencé le 13 juin et a duré 12 jours. Au cours de cette guerre, les forces armées iraniennes ont riposté aux frappes aériennes israéliennes par des barrages de missiles intenses, à l'aide de missiles balistiques hypersoniques, guidés pour frapper précisément leurs cibles dans les territoires occupés. Alors que Téhéran a révélé que son bilan de mort dépassait 610, outre les blessures de plus de 4 700 autres, soulignant qu'il "ne cache pas ses martyrs", l'ennemi israélien s'est abstenu de publier des informations précises. Les statistiques israéliennes indiquent qu'environ 29 à 30 civils ont été tués et plus de 1 300 blessés, selon le Service d'ambulance israélien. Selon certaines informations non officielles, au moins 200 civils israéliens ont été tués, mais les chiffres officiels ne sont pas favorables à ce chiffre, et il semble que le secret israélien sur les pertes ait conduit à des chiffres contradictoires. Je pense que la source israélienne de ces informations, c'est cette émission sur la chaîne 13 : en gros la censure interdit de divulguer certaines informations. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 3 juillet Share Posté(e) le 3 juillet Il y a 4 heures, loki a dit : en gros la censure interdit de divulguer certaines informations. C'est un peu le principe non? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 4 juillet Auteur Share Posté(e) le 4 juillet (modifié) Je n'ai pas pu vérifier l'article source ( haaretz ) : https://www.israeldefense.co.il/en/node/65588 Si les faits sont exacts, ça signifie que les israéliens n'ont interceptés que 200 missiles ( sur prés de 550 missiles tirés ) avec un taux de reussite de 86%. De même ces interceptions représenteraient 6 ans de stock de missiles arrow... L'article de Haaretz ( mais je n'y ai pas accès ) https://www.haaretz.com/israel-news/security-aviation/2025-07-01/ty-article/.premium/500-missiles-200-interceptors-5-billion-shekels-numbers-behind-irans-attacks-on-israel/00000197-c712-da1d-a5ff-e716a0680000 Modifié le 4 juillet par loki Complément 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 4 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 4 juillet il y a 46 minutes, loki a dit : Je n'ai pas pu vérifier l'article source ( haaretz ) : https://www.israeldefense.co.il/en/node/65588 Si les faits sont exacts, ça signifie que les israéliens n'ont interceptés que 200 missiles ( sur prés de 550 missiles tirés ) avec un taux de reussite de 86%. De même ces interceptions représenteraient 6 ans de stock de missiles arrow... L'article de Haaretz ( mais je n'y ai pas accès ) https://www.haaretz.com/israel-news/security-aviation/2025-07-01/ty-article/.premium/500-missiles-200-interceptors-5-billion-shekels-numbers-behind-irans-attacks-on-israel/00000197-c712-da1d-a5ff-e716a0680000 500 Missiles, 200 Interceptors, 5 Billion Shekels: Numbers Behind Iran's Attacks on Israel The IDF reported 36 Iranian missiles that hit – and 14 percent that missed ■ American researchers identified 10 unreported impact sites ■ Footage from Jordan suggests that around 200 interceptors were launched, at a cost of billions Iran launched more than 500 ballistic missiles at Israel, most of which landed in open areas, throughout the recent war. Israel and the United States intercepted the remainder with around 200 missile interceptors at an estimated cost of 5 billion shekels (nearly $1.5 million), according to an analysis of IDF data and open-source information. Data compiled by Haaretz from IDF reports over the course of the war shows that Iran carried out 42 missile barrages, firing roughly 530 ballistic missiles at Israel. Haaretz analyzed footage from 33 impact sites: 30 missiles were equipped with warheads containing hundreds of kilograms of explosives and struck locations in central, northern and southern Israel such as Tel Aviv-Jaffa (5), Haifa (4), Herzliya or Ramat Hasharon (4), Ramat Gan (3), Be'er Sheva (3), Petah Tikva (2), Rehovot (2), and single strikes in Bat Yam, Holon, Tamra, Rishon Lezion, Ness Ziona, Bnei Brak, and Zavdiel. Three other missiles carried cluster warheads, each releasing several smaller bomblets with warheads up to seven kilograms. One struck Be'er Sheva, another hit Rishon Letzion and the third fell across a wider area spanning Holon, Azor, Savyon, Bat Yam and Or Yehuda. American researchers Corey Scher and Jamon Van Den Hoek, experts in satellite imagery of conflict zones, identified 10 additional impact sites that had been previously unreported. A military source confirmed to Haaretz that an Iranian missile had indeed hit one of the locations identified by the researchers. The IDF reported 36 impacts in populated areas and an 86 percent interception success rate for Israel's and America's defense systems. Based on this data, if 36 missiles represent 14 percent of the total that got through, the air defense forces likely attempted to intercept around 258 ballistic missiles, successfully intercepting 222 of them. The remaining 272 missiles were likely allowed to fall in open areas without interception attempts. However, these numbers are estimates, as the IDF has not released exact statistics or explanations about its interception strategy during the war. Iranian ballistic missiles were intercepted by Israel's Arrow 3 and Arrow 2 systems, as well as the U.S.' THAAD system. The American battery had been stationed in southern Israel since October 2024 and had previously intercepted missiles from Yemen. This was the first time the system, equipped with six launchers and a special radar flown to Israel, intercepted missiles from Iran. In the lead-up to the attack in Iran, and during it, U.S. cargo planes landed in Israel carrying additional THAAD interceptors. Photographer Zaid al-Abbadi, based in Jordan's Amman, aimed his camera westward and captured eight nighttime salvos of missiles launched from Iran toward Israel. His footage allows for counting the number of interceptors launched by Israel and the U.S. According to Haaretz's count, 84 interceptors were launched during these eight salvos. American researchers who counted 82 interceptors were able to match their launch locations with Arrow and THAAD batteries deployed in Israel. Based on launch characteristics, they concluded that Israel launched 34 Arrow 3 interceptors and nine Arrow 2s, while the U.S. launched 39 THAAD interceptors. During these eight salvos documented by the Jordanian photographer, Iran launched around 225 ballistic missiles, according to IDF reports. Extrapolating the number of interceptors launched in these strikes to the total number of Iranian launches reported by the IDF, Israel and the U.S. are estimated to have fired around 195 interceptors over the 12-day war: about 80 Arrow 3s, 22 Arrow 2s, and 93 THAADs. Again, these are rough estimates – the ratio of launches in the eight documented salvos may differ from the 34 undocumented ones, and additional interception batteries may have been used in areas not captured on video. U.S. Navy Aegis ships also participated in the interceptions, but their involvement was not captured in the footage. 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet (modifié) il y a une heure, loki a dit : Je n'ai pas pu vérifier l'article source ( haaretz ) : https://www.israeldefense.co.il/en/node/65588 Article super intéressant parce qu'il pose les bonnes questions ... il était temps. J'espère qu'il est largement lu en Israël. C'est important parce qu'il relativise la position de force d'Israël face à l'Iran et fait la remarque que même la puissance la plus importante du monde ne peut pas garantir la défense d'Israël contre les capacité de fabrication de missiles balistiques de l'Iran et entre les lignes relativise fortement l'apport de la suprématie technologique d'Israël. Pour moi c'est un article clef parce qu'il marque un changement de point de vue remarquable. Si ce constat peut être partagé en Israël il se peut que la population abandonne sa vision extrémiste pour favoriser une vision plus consensuelle avec le reste du MO (vœux pieux je sais). Analyse - Au-delà de l'Euphorie: le péché d'Humbris et le risque d'érosion face à la défense aérienne israélienne L'écart entre le nombre de missiles lancés par l'Iran et le nombre d'intercepteurs dont disposent les États-Unis soulève une question troublante : qu'aurait-il eu lieu si les combats avaient duré plusieurs jours de plus ? Ami Rojkes Dombe - 03/07/2025 Au cours des 12 jours de combats en juin dernier, l’Iran a lancé plus de 500 missiles balistiques sur l’État hébreu lors d’un assaut sans précédent qui a mis à l’épreuve les capacités de défense aérienne israéliennes. Selon les données publiées par les journalistes de Haaretz, Avi Scharf et Bar Peleg, les Israéliens et les États-Unis ont lancé environ 200 intercepteurs, dont des missiles Arrow 2, Arrow 3, et THAAD, un coût total d'environ 5 milliards de shekels. Le taux d'interception était de 86%, mais des dizaines de missiles ont réussi à pénétrer dans les systèmes de défense et à frapper les zones construites à travers le pays, causant des dégâts importants: des dizaines de morts, des centaines de blessés, et environ 113 bâtiments gravement endommagés, ainsi que des centaines d'autres souffrant de divers degrés de destruction. L'écart entre le nombre de missiles lancés par l'Iran et le nombre d'intercepteurs dont disposent les États-Unis soulève une question troublante : qu'aurait-il eu lieu si les combats avaient duré plusieurs jours de plus ? Selon les données de production de missiles, les États-Unis n'ont fabriqué que 12 intercepteurs THAAD au cours de l'année précédant le conflit et ne devraient produire que 32 de plus au cours de l'année suivante, qui mettent en évidence les limites d'inventaire, même parmi les alliés. Le coût d'une interception unique est estimé en millions de dollars, et il est clair pour Isra-l que la capacité de maintenir des taux d'interception élevés au fil du temps est loin d'être garantie. La politique d'utilisation des intercepteurs était basée sur des évaluations des risques, certains missiles ne les ayant pas été intentionnellement désordonnés alors qu'ils se dirigeaient vers des zones ouvertes. Cependant, à mesure que les stocks d’intercepteurs diminueraient, la posture défensive israélienne serait devenue de plus en plus instable. Une baisse significative de la capacité d'interception aurait des implications au-delà des dégâts de l'infrastructure : de graves coups à la tête des bases de l'armée de l'air israélienne pourraient conduire à une paralysie opérationnelle des capacités défensives et offensives, restreindre la liberté d'action israélienne et potentiellement entraîner de lourdes pertes et des dégâts économiques massifs, s'intensifier à mesure que le conflit se poursuivait. Compte tenu des taux de production des États-Unis, des questions se posent également quant à la capacité d'Israel à reconstituer rapidement ses stocks dans un conflit prolongé. Si les États-Unis - la plus grande puissance économique et industrielle du monde - peuvent à peine produire 32 intercepteurs THAAD chaque année, de sérieux doutes apparaissent quant à la capacité israélienne propre à fabriquer un nombre similaire d'intercepteurs Arrow dans des conditions industrielles beaucoup plus limitées. Même si les mesures d'urgence pouvaient accélérer la production, les disparités dans les capacités de fabrication, les infrastructures et l'accès aux matières premières pourraient devenir une variable critique dans le prochain conflit. Cela présente une limite stratégique claire : les stocks d'intercepteurs, la capacité de les reconstituer, et donc la capacité de défendre le front intérieur, ne sont pas illimités. En dépit de ces défis inhérents, un sentiment quasi national d'euphorie a prévalu en Israel pendant et après les combats. Les porte-parole officiels ont souligné à plusieurs reprises les réalisations des systèmes de défense aérienne et ont souligné fièrement la résilience du pays face à une attaque de missiles sans précédent. Pourtant, sous la surface se trouve le péché de l'orgueil: toute la portée de la réalité opérationnelle et les risques stratégiques n'ont pas été présentés au public. Le succès numérique ne cache pas le fait qu'il s'agit d'une bataille de ressources limitées - et il est très probable qu'il n'est pas équipé pour soutenir un conflit de haute intensité avec l'Iran pendant plus de plusieurs semaines sans faire face à une forte diminution de la disponibilité des intercepteurs et de la capacité défensive. En outre, la question de l'érosion n'est pas limitée au conflit actuel. Chaque série prolongée de combats épuise les inventaires israéliens et américains des intercepteurs, ce qui soulève la question du temps qu'il faudra à l'État hébreu pour se remettre et retrouver la capacité de faire face à une autre confrontation. Les estimations des services de renseignement suggèrent que l'Iran possède encore des centaines de lanceurs et environ 1 000 missiles balistiques, et que son industrie des missiles se remet et se reconstruit à un rythme rapide. Cela fait de l'attrition une préoccupation stratégique centrale : alors qu'il lutte pour restaurer ses stocks d'intercepteurs, l'Iran pourrait non seulement récupérer son arsenal, mais aussi l'étendre. Au fil du temps, cela crée une menace persistante - où chaque conflit futur pourrait se dérouler dans des circonstances similaires, mais avec moins de ressources défensives et un potentiel encore plus destructeur. Une autre couche d'opacité concerne les accès directs aux infrastructures militaires. Dans un rapport connexe, la journaliste de Haaretz Raviv Drucker a révélé que certains missiles iraniens ont effectivement frappé des bases des FDI, bien que l'ampleur et la gravité des dégâts restent inconnues du public en raison de la censure militaire. Ce manque de transparence empêche un débat public honnête sur les questions de préparation, de dommages stratégiques et de résilience militaire, et élargit encore le fossé entre le discours officiel rassurant et la réalité sur le terrain. Dans la pratique, le discours public autour des systèmes de défense aérienne israéliens doit devenir plus honnête et plus transparent. Il ne suffit pas de s’appuyer sur des slogans réconfortants sur un « mur de fer invincible ». Alleluia La confrontation avec l’Iran a révélé non seulement la force des systèmes d’interception israéliens – mais aussi leurs limites, et l’urgente nécessité d’une réponse stratégique à l’érosion continue des capacités de défense nationale. Alleluia Modifié le 4 juillet par herciv 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 4 juillet Auteur Share Posté(e) le 4 juillet Une autre analyse sur les dépenses en missiles sol-air israéliennes et américaines. https://www.armscontrolwonk.com/archive/1220527/exhaustion-and-inflection-estimating-interceptor-expenditures-in-the-israel-iran-conflict/ Globalement on peut estimer que les stocks restants sont au plus bas ce qui est confirmé par : - la demande israélienne de renforts US sous la forme de destroyers. - l'arrêt brutal du conflit avec un cessez-le-feu aux conditions iraniennes (c'est à dire aucune à part l'arrêt des tirs alors que Trump exigeait encore une capitulation sans condition deux jours avant). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 4 juillet Auteur Share Posté(e) le 4 juillet https://www.courrierinternational.com/article/politique-vers-la-destitution-du-chef-de-l-opposition-arabe-israelienne_232753 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Il y a 4 heures, herciv a dit : Article super intéressant parce qu'il pose les bonnes questions ... il était temps. J'espère qu'il est largement lu en Israël. Haaretz est un journal de niche, plein de palestiniens et de gauchistes ... il est très peu lu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet https://www.haaretz.com/world-news/europe/2025-07-03/ty-article/.premium/over-400-media-figures-urge-bbc-to-remove-board-member-over-gaza-coverage/00000197-d1a4-d083-a3b7-f9f716010000 Over 400 Media Figures Urge BBC to Remove ex-Jewish Chronicle Director From Board Over Gaza Coverage 'Our failures impact audiences,' the signatories – including over 100 anonymous BBC staff members – wrote in their letter More than 400 cultural figures, journalists and industry professionals, including Harry Potter actress Miriam Margolyes and British director Mike Leigh, have signed a blistering open letter to BBC leadership accusing the broadcaster of censoring Palestinian voices and calling for the resignation of board member Sir Robbie Gibb, who until last year served as the director of The Jewish Chronicle. over alleged conflicts of interest. As first reported in The Guardian, the letter – also signed anonymously by 111 current BBC staff members – criticizes the corporation's Israel-Gaza coverage, claiming it falls short of its own editorial and is "crippled by the fear of being perceived as critical of the Israeli government." Citing a "culture of censorship," the signatories say staff have been penalized for sharing content critical of Israel. "For many of us, our efforts have been frustrated by opaque decisions made at senior levels of the BBC without discussion or explanation. Our failures impact audiences," the letter states. "We have not offered any significant analysis of the U.K. government's involvement in the war on Palestinians. We have failed to report on weapons sales or their legal implications. These stories have instead been broken by the BBC's competitors." The letter also raises concerns about Gibb, a previous head of the BBC's Westminster political team and ex-communications chief for former Prime Minister Theresa May. Until last August, Gibb served as the sole director of Jewish Chronicle Media Ltd. where he helped lead the opaque 2020 takeover of The Jewish Chronicle, a right-leaning outlet known for its staunchly pro-Israel stance. The paper has faced scrutiny in recent months for publishing articles based on fabricated claims and for resisting transparency about its ownership. The controversy led several prominent columnists, including Jonathan Freedland, to resign. Freedland wrote that the paper had become a "partisan, ideological instrument." Critics have cited Gibb's role in editorial hiring and oversight as evidence of his influence over the Chronicle's rightward shift. "We are concerned that an individual with close ties to The Jewish Chronicle … has a say in the BBC's editorial decisions in any capacity, including the decision not to broadcast 'Gaza: Medics Under Fire,'" the BBC letter states, referring to a documentary that the BBC acquired then shelved, reportedly at Gibb's behest. The film, which features first-hand accounts from Palestinian medics and documents Israeli attacks on healthcare facilities, was completed and approved internally months ago. But the BBC declined to air it, citing concerns over a "perception of partiality." According to Guardian reporting, independent production company Basement Films said it was "desperate" for the BBC to confirm a release date and apologized to the medics for the long delay. The decision prompted an earlier open letter, signed by hundreds of cultural figures including Oscar-winning actress Susan Sarandon, calling on the BBC to run the film. After the network ultimately dropped it, Channel 4 acquired and broadcast the documentary, saying it met all editorial and regulatory standards. Channel 4's head of news, Louisa Compton, defended the broadcast in a public statement: "This is a meticulously reported and important film examining evidence which supports allegations of grave breaches of international law by Israeli forces that deserves to be widely seen and exemplifies Channel 4's commitment to brave and fearless journalism." The letter's signatories say the BBC's shelving of the film reflects a broader failure to scrutinize the humanitarian crisis in Gaza. "We, the undersigned BBC staff, freelancers and industry figures, are extremely concerned that the BBC's reporting on Israel and Palestine continues to fall short of the standards our audiences expect," the letter concludes. "We believe the role of Robbie Gibb, both on the board and as part of the editorial standards committee, is untenable. We call on the BBC to do better for our audiences and recommit to our values of impartiality, honesty and reporting without fear or favor." In response, a BBC spokesperson told The Guardian the corporation welcomes internal discussion and remains committed to impartial journalism, citing its Gaza coverage and documentaries such as "Life and Death in Gaza". The BBC denied that Gibb or the board had any role in the decision to drop the medical documentary. "Robust discussions amongst our editorial teams about our journalism are an essential part of the editorial process," the spokesperson said. "We think these conversations are best had internally. The BBC is fully committed to covering the conflict impartially and has produced powerful coverage from the region." 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Il y a 5 heures, g4lly a dit : 500 Missiles, 200 Interceptors, 5 Billion Shekels: Numbers Behind Iran's Attacks on Israel The IDF reported 36 Iranian missiles that hit – and 14 percent that missed ■ American researchers identified 10 unreported impact sites ■ Footage from Jordan suggests that around 200 interceptors were launched, at a cost of billions Iran launched more than 500 ballistic missiles at Israel, most of which landed in open areas, throughout the recent war. Israel and the United States intercepted the remainder with around 200 missile interceptors at an estimated cost of 5 billion shekels (nearly $1.5 million), according to an analysis of IDF data and open-source information. Vu le taux de change actuel, je suppose que ce sont des milliards de dollars et pas des millions 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Fait intéressant l'arrivée de Zohran Mamdani comme maire de New York, semble bien plus préoccupante que je ne le pensais. After Iranian Missile Strikes, Israelis Now Fear Another Threat – This One in New York Many Israelis can't imagine Jews voting for someone – precisely because he is anti-Israel. A candidate for mayor of New York, no matter his policies, has to swear fealty to Zionism to be deemed worthy to serve the city's residents How many worries Jewish Israelis have. They haven't yet managed to emit a sigh of relief over "thwarting the Iranian threat," and a new threat has already arisen. His name is Zohran Mamdani, and he's the Democratic Party's candidate for mayor of New York City. Kan 11 public television described his victory as "a harsh blow to New York's Jews," and depicted him as holding extreme anti-Israel views. It said he supports the boycott, divestment and sanctions movement, has called for an intifada against Israel and has even demanded that Prime Minister Benjamin Netanyahu be arrested if he sets foot in the city. The Maariv newspaper wrongly described him as a radical Muslim Arab. Internet commenters were in a panic. New York has fallen, they wrote; another target has been conquered by the Islam that is destroying Europe, and now America as well. Israeli intellectuals, academics, senior politicians and activists from the Zionist center-left and, of course, rightists are all worried about the pro-Palestinian candidate, the "woke" guy who threatens the familiar order. He campaigned to freeze rents, expand subsidies for public transportation, raise the minimum wage, set up free public day-care centers, establish a municipal supermarket chain and impose a graduated tax on the wealthy. But in their view, all this was unimportant in light of the one sin for which there is no atonement – he doesn't think Israel is in the right. In their view, any candidate who refuses to recite the mantra "Israel has the right to defend itself," even if he is working for the benefit of millions of residents of the most complex city in the world, is a threat – not just to the Jews of New York, but to the idea that Zionism is the only possible worldview for Jews anywhere in the world. What shamelessness it takes, how morally wrong it is, to demand of American Jews that their elected officials bend the knee to a foreign country that is now accused of war crimes on top of occupation and apartheid and, in the name of Judaism, damage their Judaism's good name. What Zionist arrogance makes them think that a candidate for mayor of New York has to swear fealty to Zionism to be deemed worthy to serve the city's residents? Many Israelis don't fully understand the situation. They're playing the anti-Israel card against Mamdani? His voters – who include many Jews, and not just progressive and radical Jews – voted for him precisely because of that characteristic. Most Israelis don't see anything in the world that's outside their nationalist frame. They have trouble imagining a Jew who doesn't think about Israel when he's considering who to vote for. In the average Israeli's world, every progressive view is potentially antisemitic, and every Muslim – even if he isn't an Arab – is an Arab extremist. Mamdani swept New York not despite his views about Israel, but because of them. That's because more and more Americans don't see Israel as either a bastion of enlightenment in the Middle East or a small country surrounded by enemies, but as a country engaged in occupation and apartheid that's committing crimes. And when they hear a candidate who calls for freeing both Israelis and Palestinians of the burden of occupation and Zionism, they see hope, not a threat. It's interesting to note that during the same week when many Jews in New York voted for a pro-Palestinian Muslim as their candidate to lead the world's most important city, the Knesset was trying to silence a Palestinian citizen of Israel, MK Ayman Odeh. https://www.haaretz.com/opinion/2025-06-26/ty-article-opinion/.premium/after-iranian-missiles-strikes-israelis-now-fear-another-threat-this-one-in-new-york/00000197-acf2-d6b3-abf7-ecf3359e0000 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 4 juillet Auteur Share Posté(e) le 4 juillet il y a 10 minutes, rendbo a dit : Vu le taux de change actuel, je suppose que ce sont des milliards de dollars et pas des millions Oui 1.25 milliards de dollars Au minimum 3 millions pour un missile Arrow et plus de 10 pour un Thaad ( ce qui explique pourquoi il faudra 3 ans pour recompleter les stocks de Thaad tirés en 12 jours... ). Tout ça pour intercepter ( ou pas) un missile à quelques centaines de milliers de dollars. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet à l’instant, loki a dit : Oui 1.25 milliards de dollars Au minimum 3 millions pour un missile Arrow et plus de 10 pour un Thaad ( ce qui explique pourquoi il faudra 3 ans pour recompleter les stocks de Thaad tirés en 12 jours... ). Tout ça pour intercepter ( ou pas) un missile à quelques centaines de milliers de dollars. Pour les trois ans, je suppose que ce sont plus les délais de fabrications que l'argent... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 4 juillet Auteur Share Posté(e) le 4 juillet à l’instant, rendbo a dit : Pour les trois ans, je suppose que ce sont plus les délais de fabrications que l'argent... On parle de 30 missiles fabriqués par an et encore la production a doublé.... Côté Arrow ça doit être pire car ce sont des Arrow 3 qui sont majoritairement tirés ( ils ne sont produits que depuis quelques années ) et les israéliens avaient déjà piochés dans les stocks pour contrer les tirs iraniens d'avril et d'octobre 2024 ainsi que le harcèlement des houthis. Je pense que les Iraniens recompleteront leurs stocks de missiles balistiques avant que les israéliens recompletent leurs stocks d'Arrow 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
azety2 Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Une analyse du monde, avec le cout reel (traum, psy, handicap, reconstruction) https://www.lemonde.fr/international/article/2025/07/04/en-israel-le-cout-exorbitant-de-la-guerre-contre-l-iran_6618151_3210.html?search-type=classic&ise_click_rank=4 En Israël, le coût exorbitant de la guerre contre l’Iran A l’issue des douze jours du conflit, les dépenses militaires combinées aux réparations des sites touchés par les missiles iraniens devraient dépasser les 10 milliards d’euros. Les conséquences à long terme, en matière de capital humain, inquiètent encore davantage les économistes. Par Isabelle Mandraud (Tel-Aviv, envoyée spéciale) Publié aujourd’hui à 17h00 Temps de Lecture 4 min. Protégé par une banale palissade de chantier, un immeuble trapu de quatre étages dévasté par un missile iranien, rue Pinsker, au centre de Tel-Aviv, devra être rasé. Au sud de la ville, à Rehovot, l’institut Weizmann des sciences, fleuron de la recherche israélienne fondamentale, a été pour partie détruit. La raffinerie d’Haïfa, la grande ville portuaire du nord du pays, ne reprendra ses activités complètes qu’en octobre. La liste exhaustive des habitations et infrastructures touchées par les frappes iraniennes, entre le 13 juin, début de l’offensive lancée par l’Etat hébreu contre le régime de Téhéran, et le 24 juin, date du cessez-le-feu, n’a jamais été communiquée par le gouvernement israélien qui a soumis les médias, le temps de la guerre, à la censure. Mais l’addition s’annonce très lourde. Le montant des indemnisations pour les entreprises et bâtiments touchés, qui a été estimé, le 26 juin, par Shai Aharonovich, directeur général de l’administration fiscale israélienne, à 10 milliards de shekels (2,5 milliards d’euros), donne une idée de l’ampleur des dégâts. Si l’on y ajoute les dépenses militaires, le coût de la guerre avec l’Iran, qui a coûté la vie à 29 Israéliens – côté iranien on dénombre 640 morts, en majorité civils, et plus de 4 000 blessées –, devrait largement dépasser 40 milliards de shekels, de l’aveu même du ministre des finances d’extrême droite, Bezalel Smotrich, cité le même jour par l’agence Bloomberg. Une ardoise exorbitante. « D’un point de vue strictement économique, cette guerre, la plus éloignée de nos frontières, s’est révélée incroyablement chère, confirme Manuel Trajtenberg, professeur d’économie à l’université de Tel-Aviv et ancien chef du Conseil économique national. Chaque interception de missile par les systèmes sophistiqués [de défense aérienne] Arrow 2 et Arrow 3 a coûté entre 1 et 2 millions de dollars [entre 850 000 et 1,7 million d’euros]. L’Iran ayant tiré 530 missiles, vous pouvez faire le calcul. » Une partie des interceptions a été effectuée par des tiers, notamment par les Américains avec le système de défense antimissile Thaad, mais nul ne doute, en Israël, qu’il sera refacturé à l’Etat hébreu. « Il y a aussi toutes les heures de vol des avions israéliens qui ont bombardé l’Iran, poursuit l’économiste. Leur nombre n’a pas été rendu public, mais une heure représente 10 000 dollars [8 500 euros]… » Résilience de l’économie avancée Le budget de la défense israélienne, dont les dépenses ont explosé en 2024 pour atteindre 46,5 milliards de dollars (39,6 milliards d’euros) – soit la plus forte augmentation depuis la guerre des Six-Jours, en 1967, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm –, devait être revu à la baisse en 2025. Mais la reconstitution des stocks d’armes utilisés contre le régime de Téhéran pourrait changer la donne. Selon Meirav Arlosoroff, journaliste au quotidien Haaretz, la guerre contre l’Iran reste surpassée en termes financiers, dit-elle en montrant des graphiques, par la guerre du Kippour, en 1973, qui avait alors atteint « 30 % du produit intérieur brut [PIB] ». Mais elle est la plus coûteuse par jour, et surtout elle s’ajoute aux vingt et un mois de guerre à Gaza, menée en représailles à l’attaque sanglante du Hamas sur le sol israélien, le 7 octobre 2023. Le gouvernement de Benyamin Nétanyahou, qui finance ses guerres à coups d’émissions d’obligations, n’a de cesse de mettre en avant la résilience de l’économie israélienne. De fait, après douze jours à l’arrêt pendant lesquels les écoles, les commerces et les entreprises non essentielles sont restés fermés, l’activité économique du pays est repartie. Quoique révisée à la baisse, la croissance est encore positive. Le taux de chômage (2,5 % de la population) est au plus bas du fait, notamment, du retrait des permis de travail accordés avant le 7-Octobre aux Palestiniens des territoires occupés. Le ratio de la dette publique d’Israël par rapport au PIB a grimpé à 69 % en 2024, mais reste en deçà du niveau des Etats-Unis et des pays développés de l’Organisation de coopération et de développement économiques. Les agences internationales de notation, enfin, qui avaient rétrogradé la note de crédit d’Israël de « A + » à « A » en 2024, n’ont pas, à ce stade, révisé leur jugement. « Nous allons payer le prix fort » Mais pour nombre d’économistes, les conséquences, à moyen et long terme, de la guerre contre l’Iran, cumulée à celle toujours en cours à Gaza, sont très inquiétantes. « Tenez, venez voir, invite le professeur Trajtenberg en soulevant le rideau de son bureau de l’université. A gauche, la faculté de médecine vient d’ouvrir un nouveau bâtiment pour les personnes souffrant de post-traumas. Le jour où la guerre de Gaza s’arrêtera, nous devrons reconstruire le nord [du pays], les kibboutz, les habitations endommagées et, en matière de capital humain, nous allons payer le prix fort de tout cela. C’est bien plus important que les indicateurs économiques. » Professeur à l’école des études économiques de l’université Reichman, tout près de Tel-Aviv, Omer Moav partage le même avis. « Quand un soldat est gravement blessé psychologiquement ou handicapé physique à 20 ans, et il y en a beaucoup, sans compter les morts, cela signifie soixante à soixante-dix ans d’indemnités. » Mais ce qui le rend avant tout « très pessimiste » réside dans « l’inconséquence », selon lui, de la coalition au pouvoir menée par le premier ministre Nétanyahou. « Il n’y a toujours aucune solution en vue avec les Palestiniens et, pendant ce temps, le gouvernement continue de verser des millions et des millions aux ultraorthodoxes, qui n’effectuent pas le service militaire et paient peu d’impôts. Or, leur poids démographique [13 % de la population] doublera à la prochaine génération, ce n’est pas tenable !, s’exclame-t-il. Le gouvernement brûle l’avenir. » Trois semaines avant l’entrée en guerre d’Israël contre l’Iran, Karnit Flug, ex-gouverneure de la banque centrale d’Israël, ne disait pas autre chose. « On ne peut pas continuer à faire peser toujours plus sur ceux qui servent le pays, paient leurs impôts et sont les plus productifs. Ce sont eux [les laïcs] qui risquent le plus de partir », soulignait-elle dans un entretien au Times of Israël, le 27 mai, en mettant en garde contre la poursuite de la guerre à Gaza. Depuis, le contexte s’est encore alourdi. Isabelle Mandraud (Tel-Aviv, envoyée spéciale) 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Il y a 6 heures, loki a dit : Au minimum 3 millions pour un missile Arrow et plus de 10 pour un Thaad ( ce qui explique pourquoi il faudra 3 ans pour recompleter les stocks de Thaad tirés en 12 jours... ). Tout ça pour intercepter ( ou pas) un missile à quelques centaines de milliers de dollars. Je ne suis pas certain que les missiles soient tous "à quelques centaines de milliers de dollars". En revanche la capacité de production, bien plus que le coût, est en effet probablement sans comparaison... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 4 juillet Auteur Share Posté(e) le 4 juillet Je me suis basé sur la fiche wiki du missile sejjil https://en.wikipedia.org/wiki/Sejjil Qui est l'un des plus avancés. Les shahab 3 ( au moins les anciennes versions car les gadhr et emad sont bien améliorés ) sont de toute façon utilisables sans modération au vu de leur ancienneté. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akilius G. Posté(e) le 4 juillet Share Posté(e) le 4 juillet Il y a 10 heures, loki a dit : Une autre analyse sur les dépenses en missiles sol-air israéliennes et américaines. https://www.armscontrolwonk.com/archive/1220527/exhaustion-and-inflection-estimating-interceptor-expenditures-in-the-israel-iran-conflict/ Globalement on peut estimer que les stocks restants sont au plus bas ce qui est confirmé par : - la demande israélienne de renforts US sous la forme de destroyers. - l'arrêt brutal du conflit avec un cessez-le-feu aux conditions iraniennes (c'est à dire aucune à part l'arrêt des tirs alors que Trump exigeait encore une capitulation sans condition deux jours avant). l'article est intéressant le renfort de destroyers peut s'analyser comme une volonté américaine de ne pas utiliser les Thaad de manière intensive (même si les américains se sont inquiétés de la consommation de SM3 en Mer rouge) et de disposer d'un stock sur zone en cas de vagues massives. Les américains ont probablement pu arbitrer entre la consommation de Thaad et de SM3. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 6 juillet Auteur Share Posté(e) le 6 juillet (modifié) De nouvelles annexion en Syrie ? https://www.israelhayom.com/opinions/conditions-for-a-deal-with-syria/ Modifié le 6 juillet par loki Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 4 minutes, loki a dit : De nouvelles annexion en Syrie ? https://www.israelhayom.com/opinions/conditions-for-a-deal-with-syria/ L'annexion du Golan n'est pas négociable, ont déjà déclaré des officiels israéliens. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 6 juillet Auteur Share Posté(e) le 6 juillet à l’instant, Ciders a dit : L'annexion du Golan n'est pas négociable, ont déjà déclaré des officiels israéliens. Là ils proposent l'annexion de la zone neutre qui a été envahie l'année dernière.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet à l’instant, loki a dit : Là ils proposent l'annexion de la zone neutre qui a été envahie l'année dernière.... Je viens de lire. Mais oui, ça plus le Golan. Plus potentiellement d'autres choses. J'ai souri en lisant le passage où ils disent "il faut faire des concessions mais ce doit être mutuel". La dernière fois où Israël a concédé quoi que ce soit, je ne devais pas être jeune. Ou né. Mais dans tous les cas, je ne vois pas ce qu'ils pourraient donner à Damas, à l'exception peut-être de vagues garanties de sécurité qu'ils enfreindront à la première alerte. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 4 minutes, Ciders a dit : Je viens de lire. Mais oui, ça plus le Golan. Plus potentiellement d'autres choses. J'ai souri en lisant le passage où ils disent "il faut faire des concessions mais ce doit être mutuel". La dernière fois où Israël a concédé quoi que ce soit, je ne devais pas être jeune. Ou né. Mais dans tous les cas, je ne vois pas ce qu'ils pourraient donner à Damas, à l'exception peut-être de vagues garanties de sécurité qu'ils enfreindront à la première alerte. envie Si cela ne te dérange pas, je modifierai la justification de la prochaine intervention israélienne comme ceci (cf ci-dessus). 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 6 juillet Share Posté(e) le 6 juillet il y a 1 minute, rendbo a dit : Si cela ne te dérange pas, je modifierai la justification de la prochaine intervention israélienne comme ceci (cf ci-dessus). Aucun problème. Mais je pense que "impératif de sécurité nationale" ou "demain ils ont la bombe !" feront tout aussi bien l'affaire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 6 juillet Auteur Share Posté(e) le 6 juillet https://www.telegraph.co.uk/world-news/2025/07/05/iran-struck-five-israeli-military-bases-12-day-war/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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